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Chaudière. en particulier pour le ohauffage central
L'emploi du mazout pour le chauffage central a montré que les chaudières actuellement employées, ne présentent pas assez de souplesse pour permettre d'utiliser tous les avantages que l'emploi de ce combustible liquide peut donner.
Les chaudières en fonte peuvent vaporiser de 10 à 12 kg
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par heure et mètre carré de surface de chauffe, ce sont les plus répandues; si l'on dépasse ce chiffre, on brûle le mazout en pure perte, et l'on risque de détériorer la ohaudière.
,Avec les chaudières, dérivées des chaudières à haute pres- sion, on peut aller à une vaporisation de 18 à 20 kg, mais le rendement est mauvais.
La présente invention vise une chaudière dans laquelle un rendement très haut se maintient mime à des vaporisations très élevées, pouvant atteindre 60 kg et plus par heure et mètre car- ré de surface de chauffe. La chaudière conforme à l'invention, construite entièrement en acier, est constituée par des sections interchangeables formées chacune par un faisceau de tubes d'a- cier sans soudure, à dilatation libre, dudgeonnés sur un col- lecteur à section rectangulaire également en acier. Ce collec- teur est de préférence monté en sorte qu'il puisse recevoir un mouvement de rotation pour dégager les tubes de la ohaudière.
L'enveloppe de la chaudière est constituée par des caissons d'eau également interchangeables.
Un nouveau mode d'assemblage d'éléments de ce genre qui fait également l'objet de la présente invention permet de supprimer les joints d'étanohéité interposés habituellement entre leurs parois adjacentes autour des orifices en communication, et de rendre ces parois jointives sur toute leur étendue.
D'autres marques caractéristiques de l'objet de l'invention sont constituées par un dispositif répartissant l'eau et réglant sa circulation dans les divers tubes des sections, et par un foyer indépendant assurant, dans chaque cas, la bonne utilisa- tion des gaz.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'objet de l'invention en 5 figures.
La fige 1 représente la chaudière conforme à l'invention, en coupe longitudinale vertioale.
La fig. 2 en est une vue en plan.
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La fig. 3 est une vue de détail, à plus grande échelle.
La fig. 4 représente, en coupe, un assemblage à un presses joint double.
La fig. 5 est une vue analogue d'un assemblage à deux presse- joints doubles.
Les sections de la chaudière sont constituées par des faisceaux de tubes 1-1-1-1, 2-2-2-2 etc...* dont les extrémités sont dudgeonnées dans la paroi intérieure d'un collecteur à sec- tion rectangulaire 3. A l'entrée des tubes est monté un disposi- tif assurant la circulation convenable de l'eau dans les tubes.
Ce dispositif qui peut être connu en soi, mais qui peut être aussi celui représenté à la fig. 3, coopère avec une plaque en acier perforée 4 fixée devant les tubes. Une plaque analogue 4' peut être fixée devant leur sortie.
Dans le dispositif dé la fig. 3, l'entrée des tubes 1 est obturée par des bouchons 10 en forme de cloche, portés concentri- quement aux tubes par la plaque 4 dont les perforations permet- tent à l'eau de parvenir jusqu'aux tubes.
Ces sections sont interchangeables, et la chaudière en oom.. porte une ou plusieurs, selon la puissance demandée. Elles pivo- tent autour des axes 5 portés par un support 6 fixé à la carcas- se de la chaudière, de sorte que les faisceaux de tubes peuvent être retirés de l'enveloppe par un mouvement simple.
L'enveloppe de la chaudière est constituée par des caissons interchangeables 7-7 et 8, avec ou sans garnitures en dalles ré- fraotaires. Ces oaissons, assemblés entre eux et avec le collée- , teur, par tout dispositif approprié, augmentent le volume d'eau de la chaudière et reçoivent l'eau des retours. Il est évident qu'ils augmentent sensiblement le rendement du combustible.
La circulation des gaz chauds provenant du foyer (non repré- senté) sur lequel est montée la chaudière, est assurée paron dis- positifde ohioanes 9, en t6le et fonte dans la chaudière, en briques réfractaires dans le foyer, assurant la parfaite combus-
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tion du mazout sous la voûte.
Le foyer indépendant de la chaudière est construit selon le type de brûleur qui devra être employé et dont il assure ainsi le fonctionnement parfait. On voit que, bien qu'indépendant de la chaudière, il n'en constitue pas moins une des carzctériesti- ques de celle-ci.
Cette chaudière possède une circulation méthodique intense, assurant l'absorption complète des calories contenues dans les gaz chauds venant du foyer, lequel reçoit lui-même, ainsi qu'il a été dit, les dimensions requises pour chaque type de brûleur* La rotation du fassceau tubulaire autour de l'axe 5 facilite les visites et les nettoyages.
La fig. 4 montre l'assemblage de deux éléments de chaudière ou compartiments d'appareils quelconques A et B dans le cas où l'on peut accéder à l'orifice du premier dans le sens de la flè- ohe, tandis que le second est complètement fermé. Les bords 11 de l'orifice du premier sont appliqués contre les bords 12 de l'orifice du second directement, sans interposition d'aucun joint, de sorte que les parois adjacentes des deux compartiments peu- vent 8tre plates et jointives sur toute leur étendue. L'étanohéi- té de l'assemblage est obtenue au moyen d'un presse-joint amovi ble 13 disposé dans le compartiment accessible A.
Ce presse-joint comporte un cercle de portée 14 qui s'applique avec interposi- tion d'un joint plastique 15, contre les bords 11, et un second cercle de portée 16 qui s'applique, avec interposition d'un joint plastique 17, contre les bords 12 de l'autre compartiment, bords qui dépassent les bords 11, l'orifioe du compartiment B ayant un diamètre inférieur à celui de l'orifice du compartiment A. Le serrage du presse-joint 13 est effectué au moyen d'un boulon 18 passant à travers le moyeu 19 du croisillon 20 du presse-joint 13 et se vissant dans le moyeu 21 d'un croisillon 22 solidaire d'un anneau de renforcement 23 soudé intérieurement ou fixé de
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tpute autre manière aux borda 12.
Le croisillon 22 et l'anneau 23 sont introduits dans le compartiment 13 lors de la oonstruo- tion de celui-ci*
Au lieu de faire en sorte que les bords 13 dépassent les bords 11 et de serrer le joint 17 entre le cercle de portée 16 et les bords 12 on pourrait donner aux orifices des deux compartiments le même diamètre et serrer le joint 17 contre un cercle de por- tée correspondant de l'anneau 23, ainsi que cela est représente en pointillé en 17a et 23a dans la partie inférieure de la fig.4.
Le dispositif de la fig. 5 s'applique au cas où les deux com- partiments A et B permettent d'accéder à leurs orifices dans le sens des flèches. L'assemblage est réalisé au moyen de deux près-* se-jointe 13 semblables au presse-joint de la fige 4, montés d'une façon symmétrique dans les deux oompartiments et assemblés à l'ai- dé d'un boulon 18.
Le joint 17b interposé entre les cercles de portée 16 des deux presse-joints est constitué par une rondelle dont la section est le double de celle des deux joints 15 inter- posés entre les cercles de portée 14 et les bords 11 et 12 des orifices*
On remarquera que les deux dispositifs, la pression du fluide oontenu dans le caisson ou oompartiment tend à renforcer l'étant chéité de la oommunieation, en pressant sur les joints, de sec- tion trapézotdale convenablement orienté, aux endroits qu'ils sont appelés à rendre étanohes. Ces joints peuvent être soit en caoutchouc soit en toute autre matière adéquate.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.