BE386893A - - Google Patents

Info

Publication number
BE386893A
BE386893A BE386893DA BE386893A BE 386893 A BE386893 A BE 386893A BE 386893D A BE386893D A BE 386893DA BE 386893 A BE386893 A BE 386893A
Authority
BE
Belgium
Prior art keywords
lamp
lamp according
light
vapors
mercury
Prior art date
Application number
Other languages
English (en)
Publication of BE386893A publication Critical patent/BE386893A/fr

Links

Classifications

    • HELECTRICITY
    • H01ELECTRIC ELEMENTS
    • H01JELECTRIC DISCHARGE TUBES OR DISCHARGE LAMPS
    • H01J61/00Gas-discharge or vapour-discharge lamps
    • H01J61/82Lamps with high-pressure unconstricted discharge having a cold pressure > 400 Torr

Landscapes

  • Discharge Lamp (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  Tube de décharge électrique 
L'objet de la présente invention est une source lumi- neuse électrique, dont l'enveloppe étanche au vide est constituée en quartz, verre ou autres matières similaires et qu'on remplit de gaz rares ou inertes, tels que l'argone, le néon, ou l'azote. 



  On peut aussi employer les vapeurs métalliques, p.expl. la vapeur de mercure ou de cadmium. La lampe est caractérisée par le fait que l'émission de la lumière s'effectue par l'intermédiaire d'une colonne de décharge plus ou moins allongée, ou de l'arc voltaîque, tandis que les électrodes chauffées, susceptibles d'être activées de la manière connue, ne participent pas à l'émission proprement.'      dite de la lumière. Toutefois leur émission de lumière relati- vement faible ne joue qu'un rôle insignifiant.

   Le chauffage des 

 <Desc/Clms Page number 2> 

 électrodes s'effectue par l'arc directement ou bien   artificielle-   ment de la manière connue.   La.     caractéristique   essentielle de l'in- vention réside dans le fait qu'on introduit dans   1'ampoule,   en dehors des gaz ou vapeurs admis sous une pression   relativement   con- sidérable, encore d'autres gaz ou   vapeurs   sous une   pression     par-   tielle plus faible. Ce sont ces derniers fluides   seuls   ou en plus grand nombre, qui produisent   l'omission   de la lumière.

   On   n'utilise,   à cette fin, que des gaz ou vapeurs dont la tension   d'ionisation   est plus faible que celle du   gaz   de remplissage nommé ou   premier   lieu ou de la vapeur y correspondant. Sont   spécialement     indiquées   comme gaz émetteurs de lumière les vapeurs métalliques   fortement   électropositives, telles que p. expl. les   vapeurs   de natrium, de ca- lium, de lithium, comme aussi le   magnésium ,   le   cadmium,   le   mercure,   le thallium, le jode, l'arsenic, l'azote et   l'acide     carbonique.   



  Lorsqu'on emploie la vapeur, de mercure   pour   le   remplissage   des lampes, on procède en évaporant une certaine   quantité   de   mercure   introduite dans le tube par chauffage sous une pression   suffisante.   



  La pression de la vapeur de   mercure   peut,   sous     l'influence     d'une   charge appropriée, être portée à 1 atm. et plus.   Toutefois     l'émis-   sion de la lumière est,   totalement   ou en   partie,     produite     par   les vapeurs métalliques plus   facilement   ionisables,   renfermées     dans   le tube, telles que celles de natrium, de   lithium,   de   magnésium,   de calcium etc. 



   Une autre   caractéristique   très   importante  de   l'invention   réside en ce qu'on rend luminescentes   simultanément     doux   ou   plusieurs   sortes de vapeurs   métalliques   dans des conditions bien   déterminées   ce qui permet de produire une lumière d'une couleur   quelconque,   mais avant tout la lumière blanche. 



   Au dessin ci-annexé, donné à titre   d'exemple,     plusieurs   formes d'exécution de lampes,   munies   de différents artifices auxi-   liaires,   ont été représentées, sans que l'invention soit   précisément   limitée à ces. constructions. 

 <Desc/Clms Page number 3> 

 



   A la fig. 1, 1 désigne l'ampoule qui renferme la, source lumineuse. Celle-ci s'évase vers le bas et y devient sphérique. 



  Sa partie supérieure prend la forme d'un tube. Les entréesd'é-   lectrodes   sont désignées par 2 et 3, auxquelles sont reliées celles 4 et 5. Le culot 6 sert à la fixation courante dans la douille. 



  Le culot est construit de manière à permettre d'y introduire tuellement une résistance 7. Le fil conduisant à l'électrode in- férieure 2 est de préférence logé dans un tube en verre 8 ou en une autre matière isolante appropriée. Il est relié rigidement au tube 1 qu'il approche étroitement et débouche dans le culot 6. 



  Les fils 2 et 3 sont respectivement reliés aux contacts   9 et   10. 



  Grâce à cet aménagement la lampe ne doit être fixée que dans un seul culot, malgré qu'elle soit munie de contacts pour les deux électrodes. Le culot à   baïonette   peut naturellement être remplacé par un culot   Edison   etc. 



   Les électrodes peuvent être fabriquées en métal wolfram, en wolfram-thoirum, ou être du genre Wehnelt. Suivant la fig. 2 elles peuvent aussi être constituées par des rubans ou fils tres- sés, câblés ou encore être fabriquées en une matière poudreuse comprimée etc. La matière employée peut être le circon, le wolf- ram, le nickel etc., Dans ces électrodes, non formées d'une ma-   tiére   compacte, on introduit une masse   d' oxyde   d'alcali terreux connue. Celle-ci peut encore y être appliquée à l'extérieur. On a trouvé   avantageux   de placer le corps proprement dit de l'élec- trode sur un support métallique 12 quelconque (plaque circulaire, bague   annulaire   etc.).

   Dans celui-ci on peut produire, par induc- tion, des courants à haute fréquence ce qui permet d'éliminer les gaz du corps de l'électrode qui est de la sorte mieux refroidi, lors du   fonctionnement   de la lampe, par le contact avec la masse métallique. Pratiquement il est de la plus haute importance pour la durée de fonctionnement des électrodes, que celles-ci soient seulement chauffées à tel point qu'elles permettent l'émission 

 <Desc/Clms Page number 4> 

 
 EMI4.1 
 d'électrodes. Ce problème devient 1res importunt lorsque 1'in- tensité de courant de la lampe est de plusieurs ampères. 



  Fig. 3 montre une Forme d'exécution simil,.2:re dans laquelle on prévoit, en plus do la masse !I( t:1J.j. (lue) '(.me enveloppe appropriée 13 dans laquelle on introduit les JjlC::tacC: cJ..LCctl'OPO:3i Lits susmentionnés (natriur.2, lithium etc.). On peut aussi employer des alliages appropriés. La masse métallique 12 peut être remplacée par le corps 13, Les métaux s'évaporent se-t-on la fiLg..5, à travers le corps d'électrode 11 proprement dit et colorent l'arc en y pénétrant. Il est avantageux de constituer l'électrode inférieure à titre d'électrode accumulatrice, mais on peut employer également l'anode. 



   Au repos l'électrode   supérieure     repos e   sur   l'infé-   
 EMI4.2 
 rieure 4. En mettant la lampe dans le circuit, un cou1=1.i=-ei;;<:"tii.i traverse d'abord le circuit conducteur métljj.que formé des d-1-ec- troues en contact 4 et 5 et du ressort bimétallique 14 qui s'é- chauffe et se contracte. L'électrode 5 s'écarte donc de celle   4 ce   qui produit l'arc. Il est utile de régler la distance   définitive   entre les deux électrodes de telle sorte   que   ce soit la   presque   totalité du voltage du réseau qui soit absorbée dans   l'arc,   ce qui 
 EMI4.3 
 nécessite seulement une faible résistance ou 'une valve cor1'es1JOn- dante. 



   Fig. 4 et 5 motrent deux formes d'exécution du ressort bimétallique 14 qui comporte plusieurs pièces   bimétalliques   15 agissant dans le même sens (Fig. 4) ou un   long   ressort hélicoïdal 16 enroulé dans le même sens. 



   Fig. 6 montre une autre forme d'exécution   de   la lampe dans laquelle on prévoit un cylindre spécial 17 ouvert aux deux bouts et fixé aux attaches 18. Les électrodes débouchent à l'in- 
 EMI4.4 
 térieur du cylindre 17 dans lequel se forme l'arc voltalque. Il est établi en une matière transparente. Il se produit donc un fort courant de gaz dans ce ..cylinèlc.8) c)o sorte, '-.lue les va:!.J8urs 1.10- talliques entrent, suivant les flèches, dans le grand espace de 

 <Desc/Clms Page number 5> 

 condensation 19. Les vapeurs métalliques s'y déposent et les autres   gaz,débarrassés   d'elles, descendent entre les parois respectives du cylindre 17 et de l'ampoule.

   Pour activer le dépôt rapide du métal, on peut aménager dans la chambre 19 des surfaces de condensations spéciales constituées par des tôles ou treillis métalliques. Dans d'autres types d.e lampes, le métal condensé peut revenir à l'élec- trode inférieure qui l'évapore à nouveau en raison de son état de chauffe. 



   L'électrode inférieure peut aussi être aménagée à l'exté- rieur du cylindre 17 de sorte qu'une partie de l'arc se forme en dessous et en dehors de celui-ci. La position et le sens de dépla- cement du ressort bimétallique 14 sont avantageusement déterminés par l'enveloppe étroite en verre qui le renferme de sorte qu'il est forcé de se mouvoir d'une manière bien déterminée. L'emploi de res- sorts bimétalliques présente l'avantage que les lampes peuvent fonc- tionner dans n'importe quelle position - horizontale ou inverse - étant donné que le dit ressort, en refroidissant, reprend de, toute façon sa longueur originelle et amène ainsi le contact entre les électrodes 4 et 5. 



   Suivant la fig.   7   le corps de l'ampoule 1 prend la forme allongée d'un tube. L'artifice bimétallique est remplacé par un relais électro-magnétique et l'électrode supérieure 5 s'écarte de celle inférieure 4 lors du fonctionnement. Le relais comporte une bobine 20, un noyau extérieur 21 en fer, aménagés à l'extérieur   de-   l'ampoule, et un cylindre en fer 22 relié à l'électrode se trouvant à l'intérieur du tube. Les électrodes se touchent au repos. Aussi- tôt qu'on met la   lampe   dans le circuit, un court-circuit traverse d'abord la bobine 20 mise en série avec l'électrode et   ensuite.l'en-   droit de décharge entrant en fonction lors de l'allumage de la lampe. 



  Par ce fait le tube en fer 22 est attiré dans l'intérieur de la bo- bine ce qui produit à son tour l'écartement des électrodes et lafor- mation de l'arc. 

 <Desc/Clms Page number 6> 

 
 EMI6.1 
 



  Il est favorable de compenser, en plus grande partie, le poids de l'électrode 5 et du cylindre en fer 22 par un ressort or- 
 EMI6.2 
 dinaire hélicoïdal 23 afin que le débit 01ectr()-Jrlain()ti(ue neces- saire pour soulever l'électrode 5 ne soit pas trop il!'IJOl'téù1t. L'ex- cédant du poids sert 4z rétablir le contact entre les électrodes 4 et 5:par la descente de l'électrode 5 lors de 1'extinction cie la lampe. 
 EMI6.3 
 



  Le conducteur allant à l'entrée 2 de l'électrode inférieure est 
 EMI6.4 
 également, logé dans un tube isolant 8 etc. voisin de i   a."¯:uule . Afin de protéger le bout inférieur du =iui>e on le recouvre d'un collier 
 EMI6.5 
 24 ou d'un chapeau 25. 
 EMI6.6 
 



  Fig. 8 montre encore une variante de 1 la.u7)c, ë:.è.cll[) la- quelle les électrodes 4 et 5 ne doivent pas se toucher. Cela tient à ce que, tout en tenant cciupte du l'el '.f.JJ.ii::J..:5i.."e ;1 ci,l de ld..Li..J.t.1I)C, la décharge se produit ijumédiatement entre les ct(1)..' électrodes en établissant la tension et cela même à une tension ordinaire de 220 ou 110 volts du réseau. Le tube ne contient d'abord qu'un gaz, rare, p.expl. l'argone sous une pression de quelques 1,1.i-lii;>i-.t.-t,L,;; Lorsque la décharge se produit, les E:lactl'Or:e.^   .¯,CI,LtL1 i'C'.îl t et l'arc s'é- tablit. On peut naturellement aussi chauffer lU1c:: ou les 6.cu..: éLee- trodes p.expl. par l'intermédiaire d'un transformateur ou utiliser des électrodes chauffées 121C.11'E7ctC't.lex7.l..

   Lars ce cas on 11;lc"C, 1,:êluC utiliser la tension du réseau, ce qui el; ;, e o .< L1ùi;t L'arc se produit entre les électrodes malgré le, distance de 10 ill), et plus, entre les électrodes et priz7.cüm,ler¯ïc:nt en prt. jence d'urLe vapeur rc;tcLis¯i<n.e (mercure, natrium etc.). Cotte éventualité est prévue dans l'occur- rence. L' électrode inférieure ou encore j.o::; <le;iL:; peuvent $tre en- tourées d'une douille ouverte 2u en met.';.!, verre ou uerre cuite cc qui réduit la désagrégation d.e l'électrode. L'ai,c;niJ.,.;ene11t (Le la douille 26 a encore pour effet que l'é."r'(; reste plus .'silencieux :iL.- milieu de la douille dont la paroi intérieure se noircit t Lloins, tout en étant moins exposée à la. détérioration. La lar'pc ne né- 
 EMI6.7 
 cessite qu'un seul culot qui contient les deux conducteurs.

   Il en 

 <Desc/Clms Page number 7> 

 est de même pour la variante suivante - Fig. 9 - dans laquelle, le conducteur allant à l'électrode se trouve à l'intérieur du   tube.ß;   Ce conducteur 2 logé dans un tube en verre, porcelaine etc.. peut être relié, au choix, aux électrodes supérieure ou inférieure, 28 constitue un excédant de métal qu'on peut aussi prévoir dans la lampe suivant la fig. précédente, à moins   qu'on   ne l' ait déjà prévu dans le corps de l'électrode. 29 désigne une seconde enve- loppe qui entoure l'ampoule 1 d'une manière étanche et entre les- quelles on produit le vide afin d'éviter une perte de chaleur.

   Il" est ainsi possible de produire déjà à des charges faibles de 100 - 200 m/A une température suffisante dans l'intérieur de la lampe pour faire évaporer le natrium ou le mercure à tel point que la pression atteigne 1 atm. et davantage. La lampe absorbe une gran- de partie de la tension du réseau et l'émission de lumière est alors beaucoup plus économique. 



   Il est sans   aucune   importance que les métaux s'évaporant lors du fonctionnement de la lampe soient disposés en quantité suf- fisante dans l'électrode ou qu'ils soient placés en d'autres en- droits de la lampe où se produit leur évaporation lors d'un chauf- fage approprié de la laripe. Dans les deux éventualités on peut, par un faible chauffage du tube ou par l'évaporation de la surface du métal en réserve prévu aux électrodes porter à la luminescence le gaz ou la vapeur de remplissage ainsi que les autres gaz se trouvant encore dams le tube. Ce cas se présente notamment pour les vapeurs de natrium et de kalium que la lampe contient en de- hors de la vapeur de mercure servant de gaz de remplissage.

   Il est encore plus favorable de porter simultanément à la luminescence deux sortes (ou plus) de vapeurs métalliques dont les pressions ne diffèrent pas trop l'une de l'autre, tels que le natrium et le lithium ou le natrium et le cadmium ou encore le natrium ;combiné avec le kalium et le lithium. Dans ce cas il est nécessaire de choisir la quantité de la vapeur plus facilement ïonisable inférieu- 

 <Desc/Clms Page number 8> 

 re à celle de la vapeur métallique ayant une   tension   d'ïoni- sation supérieure. Dans ces   conditions   la vapeur   plus     facile-   
 EMI8.1 
 ment ionisa.ble doit être maintenue en-dessous (le la pression ne saturation li la vapeur.

   On réalise cette condition en n'intro- duisant qu'une faible quantité Cf', t.C;ï;L.¯ (l, réserve da-'s .Le tube conforme a la quantité devant être cvaporcc lors l'L, ¯1-.. tc..pura- ture de fonctionnement de la lampe. Lm prenant ces }"L'l cautions on peut amener les vapeurs :;uzi ie><;=1<>ia,de;: Li une luminescence suffisante à des températures situées entre ;"50 et 00  . 



  Si, par contre, les pressions des <i,ei;-;; espaces de va- peurs métalliques différent fortement   l'une   de   l'autre     et si   la pression de la vapeur plus difficilement ïonisable est de beau- coup supérieure à celle des autres, il est nécessaire que cette pression soit éventuellement maintenue en-dessous de la valeur 
 EMI8.2 
 de saturation lors de la tei-iprL,tL,,rC de fonctionnement.

   Il est ainsi   p.expl.   possible d'introduire - à une   température   d'envi- ron 300 à 400  - le natrium et le   kalium   en   quantité     quelconque   dans le tube, mais il faut veiller à ce que la   pression   de la 
 EMI8.3 
 vapeur de mercure, également présente, reste considérableuient en-dessous de la pression de saturation de 1 u.iic:, environ. Cette pression doit en général ne pas dépasser 50 - 100 1#1ùi. La pres- sion du natrium et du kalium, considérée à   une     température   de 300 et 400  , est entre 0,1 et 5 - 6 mm. Dans ces conditions les deux vapeurs métalliques, de même que toute autre qui soit pré- sente, sont portées à la, luminescence.

   Pour l'obtention de la lumière rouge, on peut utiliser, sous   haute   pression, le néon seul; pour l'obtention de la lumière verte on   emploie   le thal- lium ou- le magnésium à une   température   de 200 à 5000 C. Comme gaz de remplissage on emploie, suivant l'invention, de préféren- ce, les gaz rares et la, vapeur de   mercure   sous haute pression. 



  La lumière rouge peut encore être   produite     d'une autre     manière   
 EMI8.4 
 par l'évaporisation du kalium dans une atmosphère de Cc1Lj rares ou de, vapeurs de marcure.      

 <Desc/Clms Page number 9> 

 



   On obtient la lumière bleuâtre lorsqu'on évapore et porte à la luminescence le lithium, le cadmium ou le mercure séparément ou combinés clans une atmosphère de gaz rares ou dans de la vapeur de mercure.   Pnr   l'évaporation du samarium on obtient la lumière d'un jaune-rougeâtre. 



   Suivant la présente invention on obtient aussi la lumiè- re blanche panchromatique, c'est-à-dire une lumière dont le carac- tère blanc n'est pas engendré par la coopération de deux couleurs complémentaires, mais au moins par celle   de .3   ou 4 couleurs diffé- rentes. Le spectre ainsi produit est un spectre linéaire qui suffit dans la plupart des applications pratiques. Dans beaucoup de cas industriels il ne doit même pas être d'un blanc pur, mais il peut avoir une nuance jaunâtre ou bleuâtre. On obtient cette lumière le plus avantageusement en remplissant la lampe simultanément avec du natrium et du lithium ou encore avec du natrium et du cadmium. 



   Dans une combinaison du natrium et du lithium, le natrium ne peut pas être saturé. Les températures de fonctionnement se trouvent entre 280 - 500  C. Comme gaz de remplissage on emploie la valeur d'argon ou mieux encore celle de mercure et ce également sous haute      pression. En employant la vapeur de natrium, on arrive au meilleur rendement de la lumière blanche. Afin de compléter le spectre, on ajoute des vapeurs de lithium et de kadmium qui produisent les compléments rouge et bleu de rayonnement. Une autre possibilité est réalisée par le fait qu'on porte le kalium et le mercure simul- tanéraent à la luminescence, comme décrit ci-dessus.

   La lumière presque blanche est produite par l'utilisation simultanée du kalium avec le thallium ou le magnésium ou encore du lithium avec le   thaï- !   lium ou le magnésium ou du   kadmium   avec le thallium ou le magné- sium. Le zinc et le magnésium seuls ou combinés sont également uti-    lisables. Les lignes d'émission de ces deux métaux s'étendentconltte dans wismuth l'antimuul - sur totalité    comme dans le   wismuth   et l'antimum - sur la totalité du spectre,.   La '*!   lumière blanche est obtenue par la combinaison susmentionnée;,' du. kalium avec le natrium en la présence simultanée de la vapeur de 

 <Desc/Clms Page number 10> 

 mercure.

   Suivant les conditions de marche ou de   fonctionnement,   la pression de la vapeur de kalium seul ou celle du kalium et du mercure ne doivent pas être saturées. Les   lumières   rouf; etbleue ne doivent être ajoutées à   l'omission    jaune     principale   que dans un degré tel que l'exige l'application   pratique.     Les     expériences   ont démontré que pour satisfaire aux   exigences     physiologiques     par   
 EMI10.1 
 rapport à la lumière du jour, les c:orzhîcï...en-tc rouge et jaune peuvent être réduits à un cinquième. 



  En appliquant ces mesures, on obtient 80 llzren-:'.T.t :, et plus, de l'effet dépensé. 



  Les résistances ou valves, ainsi quo les C01;U:iut;u,./tf.:nü:G et autres auxiliaires nécessaires pour le fonctionnement <le ce ,j> n- re de lampes, correspondants aux différentes forces d'éxecution, sont de préférence réunis dans le culot de la 7¯c.<<pc: tel que lu montre la fig. 10. Ceci présente   l'avantage     qu'il   est   seulement   nécessaire d'acheter une nouvelle lampe si celle-ci est   brûlée.   Ce 
 EMI10.2 
 culot inten1édicÜre comporte une partie 50 qu'on introduit ou visse dans les douilles ordinaires, ainsi qu'une partie .31 qui cont.ie:t la résistance ou la valve j2 et ,, l'intérieur eh; laquelle est pré- vue une seconde douille 35 destinée à recevoir le culot de la   lampe.   



  34 désigne le protecteur courant. L'amenée du   courant   so fait d'une 
 EMI10.3 
 part directement par le contact central j;) au contact jô et d'autre part de la douille j0 ;;1 colle 5j en passant par Le résistance ou la valve 32.   il   est   naturellement,     nécessaire     d'utiliser   des   ampoules   (verres) susceptibles de résister   aux     influences     chimiques   des va- 
 EMI10.4 
 peurs de natrium ou de kalimrt etc. Une sorte à-1:,:;r>,.E,>;=-<= d'ar coules etc. ne contient aucune trace d'acide Î'¯¯1¯7¯Cl¯nlLC elles i  ; : o .01 C;O11'llzCf3 sous la dénomination : verres ou ampoules (tubes) "a,cr:t" .

   D'autres contiennent par contre l'acide silicique restant i111'c:J'Ü)ur a 1J Ft j ,1 afin de permettre leur fabrication facile. De toute façon les tubes etc. en question contiennent au t1Joins J - 15 jl Cl' 0<sTCE: d'aluminium, de circone ou de   baryum.  

Claims (1)

  1. Revendications.
    ----------------------------- 1.) Lampe électrique à atmosphère constituée par des gaz,- ou des vapeurs à l'intérieur d'un récipient étanche au vide avec émission de lumière par l'entremise d'une colonne de décharge posi- tive allongée et d'électrodes chaudes, activées, ne participant que faiblement à l'émission de la lumière caractérisée par le 'fait qu'on prévoit un remplissage constant de vapeurs métalliques ou de Gaz rares sous haute pression..
    2.) Lampe suivant la revendication 1) caractérisée par le faitqu'en dehors d'une charge aux gaz ou aux vapeurs, formé avantageusement de gaz rares ou inertes tels que l'argon, le néon ou de vapeurs, telles que celles de cadmium ou de mercure, elle renferme encoreun ou plusieurs autres gaz ou vapeurs, notamment des vapeurs métalliques, fortement électropositifs, tels que le natrium, le kalium, le lithium et en plus celles de magnésium, de zinc, de cadmium, de samarium, de thallium, d'iode, d'arsenic et de mercure ainsi que l'azote et l'acide carbonique ayant une pres- sion partielle' faiblepar rapport à celle du gaz de remplissage, ces gazou vapeurs participant également ou même dans une mesure dominante à l'émission de la lumière.
    8.) Lampe suivant les revendications 1 et 2, caractérisée par lo fait que le gaz auxiliaire à haute pression est constitué par la va.heur de mercure formée pendant le fonctionnement de la lampe par la vaporisation par chauffage suffisant d'une réserve y contenue de sorte que l'omission de la lumière se fait au moins en partie par l'entronise d'un gaz facilement ïonisable adjoint à la vapeur de mercure tel que la vapeur de natrium, de lithium, de magnésium ou de cadmium.
    4.) Lampe suivant les revendications 1 à 3 caractérisée par le fait que les électrodes contenues dans la lampe, entre les- quelles s'effectue la décharge électrique, sont constituées d'une <Desc/Clms Page number 12> EMI12.1 part par une structure métaniquo o ,1";e, ;Ï, Ll c ¯,... ; .,. :>voir 1 ;.,u l;i-,s substances, et s p é c 1 . 1 om . : i ; .1, t':¯1;,, r-u :'1:"','.;'; . l .l. -. l 1 ¯1 < ,- ¯ .. " . câbles ou coù;yii?1.iiéà; ou encore de p:>.iL5..,i,? ;:.., ( j;oT;,:1:<;.J) 'I.-J J,-"7'+:lî .? circon, do wolfram, el' oxoryllj,UTl1 ou de n \(,)1, 7t II '±J1,t1',; r-rt d'url8 charge i1 pouvoir activant, t't qu- l.c;--; ::1(1GD J ';\1 ,",ql b r- reux, de thorium, de 1,éimtb,aii, u:; eL'c0", " ,u" i¯:.
    (lU 1 ",l'. ,,,; " 5. ) l J.....", "J1' ,1." n suivanh tJ l ('1 :.: i , m .,= mi . i ¯1¯ . >, . ¯i i , < .. '<.. fi ,'"" ,"\ " ) , l'; , , , .. par le fait que les électrodes xn;-,f, 1,>.7TiL:-:P:.:.;;:i:t, Gi;. -.... '< >.1, r, viennent or) contact avec des ïil"'"^n;.S ;;';:;-:1 J 1,1'1'('(; <=;;; ror 'c ;-,l de plateaux circulaires ou ù.'<3,;,ivr;:.l;,:, '.0 1:<>,,;..,m c:t:,'"Jl ;l3 -,,vi:;:,.; t d'une part âtre chauffées par un couu^i t, à. ',r.i: c r-r;'cn '11,r ,a, d'autre part être constamment, refroidioo ,-^,; oi..51,gv,:t,1.oii W, oli,1.<*ii? pendant le fonctionnonent de la lanpe.
    6.) LaE1pe suivant les rTCi'7C11¯CC'.,ï,:i¯Wlt l D. r:;, carnet & l 1= 5, : , 1 par le fait que le netal ou son alliage j<i,c.l:; 1#a::t 1 ". vapeur ;ta7 - ligue luminescente est reparti 1 tl.ai; la r w;o, ,i" ' :7¯c ":,:, ;c; ou renferme dans un corps de réserve adjoint 01) voibin ' c 1,:,c;c cette réserve pouvant être constituée par une canule ou unn douille remplies d'alliages ou de cornbi 1'1 ni sorm a base de n8, t,ri1)r:.
    7. ) Lampe suivant les revendications 1 à G, C('r,i.('.t'\i'is00 par le fait que la réserve métallique co'istibuée par 8xor,lple par un amalgame d'alcali etc. se trouve placée,p!o1'1el:mt 10 forctio.zin;.nmi; de la lampe debout, dans sa partie inférieure . proximité de 1 '(ilcG- trode inférieure, où elle forme des vapeurs nontant vern l'arc, ces vapeurs étant condensées définitivement dano une c:<v7nbre de condensation supérieure où l'alcali condnnsé reste il J11c)j n3 qu'il EMI12.2 ne retombe dans un récipient inférieur. EMI12.3
    8. ) Lampe suivant les revendications 1. a 7, caractérisée par le fait que la vapeur métallique luminescente ent produite par EMI12.4 un chauffage suffisamment réduit du tube ou par une vaporisation restreinte du corps de réserve, dans une proportion faible telle qu'elle ne. Boit pas portée seule à la luminescence, mais encore <Desc/Clms Page number 13> que le gaz de remplissage (vapeur) plus difficile à exciter y soit porté aussi.
    9.) Lampe suivant les revendications 1 à 8, caractérisée par le fait que deux ou plusieurs espèces de vapeurs métalliques effectuent simultanément l'émission lumineuse, la pression parti- elle' de la vapeur à tension d'excitation ou d'ionisation étant calculée suffisamment bas et celle de la vapeur à tension d'ionisation plus élevée suffisamment haut; la pression particulière de la vapeur métallique mentionnée en premier lieuétantmaintenue en dessous de sa valeur de saturation par un calcul suffisamment petit de la réserve contenue dans le tube, et ce spécialement si cette pression est aussi ou plus élevée que celle de l'autre compo- sant.
    10.) Lampe suivant les revendication 1 à 9, caractérisée par le fait qu'on remplit simultanément la lampe de vapeurs de natrium et de lithium ou de natrium et de cadmium, la pression de la vapeur de natrium restant au moins dans le premier cas en dessous de la saturation afin de produire la lumière panchromatique blanche, blanche-jaunâtre ou blanche-bleuâtre dans une atmosphère de gaz rares, de vapeurs de kalium ou de mercure servant de gaz de remplis- sage.
    11.) Lampe suivant les revendications 1 à la, caractérisée par le fait qu'on remplit simultanément la lampe d'un borate de mercure et de kalium ou de mercure, de kalium et de natrium, la lampe étant portée à une température d'au moins 300 0 par une charge correspondante ou par chauffage spécial afin de produire une lu- mière presque panchromatique.
    12.) Lampe suivant les revendication 1 à 11,caractérisée par le fait qu'on vaporise simultanément et porte à l'émanation lumineuse le kalium ou le zinc en combinaison avec le magnésium ou le thallium ou encore le lithium avec du magnésium ou du thallium ou enfin la cadmium avec le magnésium ou le thallium afin de pro- <Desc/Clms Page number 14> duire la lumière blanche, blanche-jaunâtre ou blanche-bleuâtre. EMI14.1 13. ) Lampe suivant les revendications 7 a 12, caractéri- sée par le fait qu'on utilise: lo néon seul sous haute pression pour produire la lumière rouge, le magnésium ou le thallium avec le mercure ou des gaz rares sous haute pression pour produire la lumière verte, le kalium dans des gaz rares à haute pression pour produire la lumière rouge;;
    le samarium pour produire la lumière rouge...jaunâtre, et enfin le cadmium, le lithium ou la mercure seuls ou combinés pour produire la lumière bleuâtre. EMI14.2
    14. ) Lampe suivant les revendication o. 1 7, caractéri- sée par le fait qu'on utilise des verres résistant à des influences réductrices ou autres influences chimiques, spécialement des verres résistants au natrium et au kalium, p.expl. les verres 8. hase de, bore ou de bore silicique ayant une forte teneur en oxyde d'alumi- nium ou de zirkon, de béryl ou de baryum (5-15% au moins) ou des verres à une faible teneur en acide silicique (60% ou moins) ou encore à une forte teneur d'acide borique.
    15. ) Lampe suivant les revendications 1 à 14, caractéri- sée par le fait qu'elle contient une charge constatne de gaz ou (le vapeur à haute pression, le circuit 6 haut ferme par le contact ini- tial des électrodes et l'arc se produisant par leur écartement, EMI14.3 cette action ôtant provoquée par un relais fonctionnant au ;rolt,.-, de régime.
    16*) Lampe suivant les revendications a 1 r-, caractéri- sée par le fait qu'on prévoit dans la lampo vi: i?*1,;,i,? ")00tro1;::,rl1(]- tique soulevant l'électrode supérieure comportant un cylindre on tôle métallique qui lui est relié, un ressert hélicoïdal compensant presque totalement le poids de l'électrode et clv cylindre et une bobine extérieure, celle-ci étant mise en série avec l'arc de serte que le courant de régime les traverse tous 1.en deux, ladite bobine pouvant en même temps faire fonction de résistance. <Desc/Clms Page number 15>
    17.) Lampe suivant les revendications 1 à 14 et 16, caractérisée par le fait qu'on utilise un thermo-relais comportant plusieurs spires d'enroulement dirigées dans le même sens ou un rubant bimétallique qui lui est relié dans le but de produire l'écartement des électrodes.
    18.) Lampe suivant les revendications 1 à 17, caractéri- sée par le fait qu'on aménage de préférence dans la partie supé- rieure de la lampe des surfaces spéciales, telles que des cylindres ouverts en tôle, verre ou treillage susceptibles de capter, refroi- dir ou de filtrer le flux de gaz respectifo 19.)Lampe suivant les revendications 1 à 18, caractéri- sée par le fait que la lampe comporte des traversées d'électrodes à deux bouts différents, le fil conducteur d'amenée allant à l'élec- trode non reliée directement au culot ou au contact étant relié rigidement ou étroitement à la lampe tout en étant noyé dans une tubulure conduisant du culot supérieur vers l'extrémité inférieure de l'ampoule en épousant sa paroi, un collier ou une capsule pro- tectrice le fixant définitivement au corps de l'ampoule à cet endroit (tube).
    20. ) Lampe suivant les revendications 1 à 19, caractéri- sée par le fait que les résistances ohmiques ou inductives confor- mées aux différentes formes d'exécution sont aménagées dans une douille spéciale intermédiaire susceptible d'être introduite ou vissée d'une part dans les douilles courantes de lampes et de rece- voir d'autre part le culot de la lampe dans sa douille appropriéeo
BE386893D BE386893A (fr)

Publications (1)

Publication Number Publication Date
BE386893A true BE386893A (fr)

Family

ID=55464

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
BE386893D BE386893A (fr)

Country Status (1)

Country Link
BE (1) BE386893A (fr)

Similar Documents

Publication Publication Date Title
US5962977A (en) Low pressure discharge lamp having electrodes with a lithium-containing electrode emission material
FR2462778A1 (fr) Lampe a decharge comportant un ecran en materiau vitreux
FR2579021A1 (fr) Lampe a decharge a basse pression sans electrodes
US2262177A (en) Lighting and radiating tube
US7977858B2 (en) Low-pressure mercury vapor discharge lamp
US20060290285A1 (en) Rapid Warm-up Ceramic Metal Halide Lamp
FR2566177A1 (fr) Lampe a decharge a basse pression
BE386893A (fr)
US7999470B2 (en) Low-pressure mercury vapor discharge lamp
CA2688257C (fr) Lampe a vapeur de sodium a haute pression
EP2239761A2 (fr) Dispositif d&#39;éclairage et lampe à décharge haute intensité
US2042148A (en) Gaseous electric discharge lamp
FR2490005A1 (fr) Lampe a decharge dans la vapeur de sodium a haute pression
FR2493042A1 (fr) Lampe a decharge dans la vapeur de mercure a basse pression a trajet de decharge pliee
US20060158121A1 (en) Low-pressure mercury vapor discharge lamp
JP2005243339A (ja) 閃光放電ランプおよび光エネルギー照射装置
JP2012114007A (ja) 放電ランプ装置
BE883489A (fr) Lampe a decharge dans la vapeur de sodium a haute pression
JP4009008B2 (ja) セラミックス放電ランプ、ランプ装置および照明装置
US2202199A (en) Discharge device
FR2815172A1 (fr) Lampe sans mercure a cathodes creuses froides a luminescence fluorescence pour eclairage colore decoratif ou enseignes lumineuses
CH331676A (fr) Dispositif à décharge en atmosphère de gaz et de vapeur de mercure
JP2012074152A (ja) 無電極放電ランプ装置およびそれを用いた照明器具
JPS6324545A (ja) 小型高圧金属蒸気放電灯の瞬時点灯性能改善方法
BE408131A (fr)