BE372327A

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Description


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  P :RF.CTIO1V'PJ ' v'TS APPORTES AUX CULP(D31TIOIS uILTZIU;S DURES ET A ZL'tJRS PROCE- -DES   DE   FABRICATION.- 
Les composés métalliques de la famille du carbure de tungstène   cobalté,   dits Carboloy, comportent, ainsi qu'on le sait d'après le brevet prin-' 
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 cipal 350301 et ses pert'eetioi1nelneut8 de la Société demanderesse, un carbure du sixième groupe de la table périodique de Mendeleef, avec un métal auxiliaire du groupe fer de la même table  Le carbure jusqu'ici préféré est le carbure de tungstène,le métal auxiliaire le plus souvent utilisé étant le cobalt, dont on incorpore généralement une proportion pouvant varier entre 3 et   (les   limites 
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 généralemant admises en pratique étant contenues entre 6 et lwpl de cobalt),

   la   @   

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 cuisson se faisant à des températures intermédiaires à   1,75    C et   1,4o0 C ,   suivant la proportion de cobalt utilisée et la temps affecté à la cuisson. 



   La Société demanderesse à découvert qu'il était possible d'obte- nir un composé métallique   du ra me   genre, danse, homogène et dur, chauffant dans un four approprié (un four à hydrogène par exemple), d'abord la quantité voulue de charbon à   1.500    C pendant 4 heures environ (la forme préférée du produit carbonacé chauffé dans le four étant le noir de fumée dont le chauffage dans l'hydrogène exclut toutes impuretés). 6.près quoi on mélange le charbon ainsi traité avec une poudre fine d'oxyde de tungstène, et on agite le mélange à la main ou autrement. On peut donner au mélange les proportions suivantes : par exemple   136   gr. de carbone pour 1,280 gr. d'oxyde de tungstène.

   Ces deux éléments sont ensuite mélangés à une solution d'acétate de cobalt dans de l'eau distillée le tout étant agité convenablement. En mélangeant d'abord le carbone et l'oxyda de tungstène, on obtient d'excellents résultats, parce que le composé obtenu est mouillé par l'eau. Quand on utilise les proportions d'oxyde et de carbone indi- quées plus haut, on peut employer, dans la seconde phase du procédé décrit,   'Un   poids d'acétate de cobalt de 640 gr. pour deux litres d'eau, 
Si on évapore jusqu'à siccité à l'air libre,'et si on continue le chauffage jusqu'à décomposition de   l'@cétate   de cobalt, on amène ce composé cobalté à l'état d'oxyde.

   La poudre obtenue, qui représente   'Un   mélange intime d'oxyde de   cabalt,   d'oxyàe de tungstène et de carbone, est placée dans un creu- set de graphite et chauffée dans un four à hydrogène pendant une durée de 4 heu- res environ, à une température de l'ordre de 1.150  C. C'est une température qu'il convient de maintenir assez exactement, les limites indiquées par l'expé- rience comme les meilleurs étant de 1.125 C. au minimum et 1.175 C, au maximum. 



   Après chauffage, on peut comprimer le mélange'et lui donner sa ! cuisson finale. Ces opérations peuvent se faire à deux degrés ou en un seul de- gré, c'est-à-dire simultanément.

Claims

-RESUME- EMI3.1 ;-:-:::-g-8-:-:":-:- Perfectionnements, changements et additions apportés à l'objet du brevet principal, c'est-à-dire aux compositions métalliques dures et à louis modes de préparation au moyen d'un métal du 6ème groupe de la table de Mande- leuf et d'un métal du èmeo A titre de produits industriels nouveaux, l'invention couvre tous outils, et plus généralement tous articles fabriqués avec les composi- tions métalliques y décrites.