BE368382A - - Google Patents

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BE368382A
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    • DTEXTILES; PAPER
    • D06TREATMENT OF TEXTILES OR THE LIKE; LAUNDERING; FLEXIBLE MATERIALS NOT OTHERWISE PROVIDED FOR
    • D06FLAUNDERING, DRYING, IRONING, PRESSING OR FOLDING TEXTILE ARTICLES
    • D06F71/00Apparatus for hot-pressing clothes, linen or other textile articles, i.e. wherein there is substantially no relative movement between pressing element and article while pressure is being applied to the article; Similar machines for cold-pressing clothes, linen or other textile articles
    • D06F71/04Apparatus for hot-pressing clothes, linen or other textile articles, i.e. wherein there is substantially no relative movement between pressing element and article while pressure is being applied to the article; Similar machines for cold-pressing clothes, linen or other textile articles power-actuated
    • D06F71/06Apparatus for hot-pressing clothes, linen or other textile articles, i.e. wherein there is substantially no relative movement between pressing element and article while pressure is being applied to the article; Similar machines for cold-pressing clothes, linen or other textile articles power-actuated fluid-actuated
    • D06F71/062Apparatus for hot-pressing clothes, linen or other textile articles, i.e. wherein there is substantially no relative movement between pressing element and article while pressure is being applied to the article; Similar machines for cold-pressing clothes, linen or other textile articles power-actuated fluid-actuated with an upper movable pressing member and a lower fixed pressing member
    • D06F71/065Apparatus for hot-pressing clothes, linen or other textile articles, i.e. wherein there is substantially no relative movement between pressing element and article while pressure is being applied to the article; Similar machines for cold-pressing clothes, linen or other textile articles power-actuated fluid-actuated with an upper movable pressing member and a lower fixed pressing member the upper movable member rotating about a fixed axis
    • D06F71/067Fluid-control mechanisms for controlling the ironing pressure or the movement of the pressure member

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Textile Engineering (AREA)
  • Irons (AREA)

Description


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  "Presse à repasser automatique" 
Les presses à repasser sont actuellement divisées en deux catégories, à savoir celles qui sont utilisées par les blanchisseurs ou teinturiers et celles qui sont employées par les tailleurs. Dans la machine à repasser classique, la pièce d'ouvrage est soumise à une pression intense et est, en   fait,désséchée   poue en retirer l'humidité. Par ail- leurs, dans le type usuel de presse pour tailleurs, la pièce à repasser est tout d'abord humectée par de la vapeur, puis soumise à une légère pression afin de conformer cette pièce sur la table fixe et de la mettre en état d'être portée. 



   On a constaté, conformément à l'invention, que le pro- 

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 cédé habituel de repassage d'une pièce dans une presse, à savoir de la dessécher sous forte pression, est extrêmement nuisible pour la durabilité du   tisai   soumis à ce traitement, de même qu'à la   duràbilité   du rembourrage placé sur la table de la presse. La pression et la chaleur intenses auxquelles la pièce est soumise dans la machine à repasser usuelle ont pour résultat d'aplatir le tissu, en écrasant et on tuant la matière organique contenue dans ce tissu, qui, par exemple, peut être de la laine ou de la soie, suivant le cas, ce qui a pour résultat de rétrécir et de durcir le tissu ou la pièce d'habillement.

   Il en résulte que le tissu perd sa vie, prend un aspect usé et peut être comparé à un tissu poilu sur le- quel les poils se sont aplatis par suite d'un long usage sans nettoyage. Par exemple, si un article tel qu'un paletot de laine était repassé dans une machine à repasser usuelle, la pression et la chaleur intenses écraseraient la laine, la contracteraient et y détruiraient toute vie, en abrégeant ainsi la durée d'usage de ce vêtement et en le rendant inu- tilisable. 



   Dans les presses à repasser usuelles des apprêteurs et dans celles des tailleurs, l'humidité de la pièce soumise au repassage est desséchée dans le rembourrage de la table, ce qui le putréfie et le détruit. Cette corruption du rembourrage oblige à le changer fréquemment, ce qui augmente les frais d'entretien et d'exploitation de ces machines. Des expériences faites à ce sujet ont montré que les pièces qui sont ordinai- rement repassées dans ces machines contiennent en moyenne 42 % d'humidité quand elles sont placées entre la tête mobile et 

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 la table fixe de la presse. Jusqu'à présent, pratiquement toute cette humidité a été desséchée dans le rembourrage de la table et par conséquent il n'est pas surprenant que ce rembourrage ait été de courte durée. 



   Un autre inconvénient des machines à repasser et pres- ses habituelles réside dans le fait que jusqu'à présent, chaque fois qu'une pièce nécessitait plus d'une passe dans la machine, ou en d'autres termes chaque fois qu'il était nécessaire d'exécuter plus d'une opération de repassage sur cette pièce, le repassage de la partie de la pièce placée en premier lieu en position de repassage sur la table avait pour résultat d'enlever l'humidité de la partie adjacente non repassée de la pièce, ce qui obligeait à humecter ensuite cette partie afin de continuer et de terminer le passage de cette pièce. 



   Il est évident que dans le cas de soies et laines qui ont été lavées, il est désirable qu'elles soient séchées plutôt que repassées. C'est pour cette raison qu'il n'a pas été possible jusqu'à présent de travailler des pièces de ce genre dans la machine à repasser ordinaire. Si une pièce en soie était placée dans la machine à repasser ordinaire, elle se froisserait, deviendrait dure et serait en même temps décolorée. On a constaté qu'en séchant un article en soie ou en laine, au lieu de le presser, il n'est pas décoloré ou chiffphné et quitte la machine dans un état souple et lâche. 



  Le séchage des articles en laine empêche leur rétrécissement qui est la plus grosse difficulté rencontrée dans le repassa- ge de ces articles. 



   L'invention a pour objet une combinaison perfectionnée      

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 de machine à repasser et à sécher d'un type qui est conçu pour travailler toutes sortes d'articles lavés devant être repassés ou séchés, indifféremment qu'ils soient en coton, en soie   artificielle,   en soie ou en laine, et elle s'étend aux diverses caractéristiques. exposées ci-après. 



   Dans cette presse servant à sécher et repasser, les pièces sont placées sur un coussin gonflé ou ballonné formé par un coussin d'air comprimé, cet air étant chauffé et mis en circulation sous le coussin à grande vitesse et sous un volume qui est prédéterminé pour tenir compte des fuites d'air comprimé à travers les pores du rembourrage.

   On main- tient un coussin chauffé d'air en circulation sous le rem- bourrage de la table de la presse, cet air ayant une tempé- rature suffisante pour que toute humidité venant en contact avec le rembourrage   pendant   le fonctionnement de la presse soit immédiatement vaporisée, de façon à permettre à cette vapeur de s'échapper sur les   côtés   de la presse ou d'être en- traînée dans la masse d'air en circulation, en empêchant que cette humidité soit desséchée dans le rembourrage. Une circulation constante d'air chauffé intensément est main- tenue sous le rembourrage dans un double but, à savoir pour le traitement de l'article repassé par la machine et pour maintenir le rembourrage souple et chaud dans une mesure suf- fisante pour empêcher l'humidité de l'article de s'y déposer. 



   L'invention s'étend aussi à un nouveau procédé de re- passage qui consiste tout d'abord à gonfler ou ballonner le rembourrage sur lequel la pièce à repasser est posée avec de l'air chaud, à faire circuler l'air chaud dans des condi- tions de rapidité suffisante pour tenir compte de la pénétra- 

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 tion du rembourrage par l'air mis en circulation et à confor- mer la pièce ballonnée sur le rembourrage contre une tête chauffée, sans application d'aucune pression intense sur cette pièce d'ouvrage. 



   Dans la machine repasseuse-sécheuse combinée de l'inven- tion, l'humidité de l'article travaillé est refoulée sur les côtés hors de la presse sous la forme d'un nuage qui sert à empêcher le séchage des parties ou les non-repassés de la pièce qui sont adjacents à la partie soumise au repassage ou au séchage. 



   Le procédé de l'invention est également particularisé par la combinaison du séchage et du repassage d'une pièce consistant à soumettre cet article à de la chaleur sur un coussin d'air comprimé sans application d'une pression intense sur cette pièce et à faire s'échapper l'humidité contenue dans cette pièce sous la forme d'une vapeur, en empêchant de ce fait cette humidité d'être   desséchée,dans   le rembourrage de la table de   repassag e.   



   Jusqu'à présent, en raison du fait que la plupart des articles contiennent une moyenne de 42   %   d'humidité, une quantité considérable de l'énergie de la presse était dépen- sée pour dessécher l'humidité provenant de la pièce d'ouvrage, ce qui durcissait le rembourrage comme il a été indiqué pré-   cédemment   et diminuait la durabilité de la pièce.

   Dans la machine de l'invention, en raison du fait que l'humidité n'est pas desséchée de la pièce dans le rembourrage, mais qu'au lieu de cela la pièce est conformée contre la tête chauf- fée au moyen d'un coussin chauffé d'air comprimé qui empêche 

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 l'humidité de pénétrer dans le rembourrage parce que toute humidité venant en contact avec le rembourrage est vaporisée, on est en mesure d'augmenter l'efficacité de la machine de 40   %   par rapport, aux presses ou machines à repasser ordinai- res. 



   Il faut encore remarquer que dans la machine de l'inven- tion, étant donné que la pièce est soumise à de la chaleur intense sur les deux côtés, cette pièce se trouve finie ou lissée nécessairement sur les deux côtés. Ceci n'a pas été possible jusqu'à présent dans un seul lé de la pièce dans la machine à repasser ordinaire. 



   Une autre particularité du procédé et de la presse à repasser et sécher de l'invention dans lesquels la pièce est soumise sur un   coté   à un coussin chauffé d'air comprimé est que celui-ci est établi pour que toutes irrégularités et sail- lies de la pièce pénètrent dans ce coussin telles par exemple que les boutons, etc., ce qui fait que toute possibilité d'en- dommager la pièce pendant qu'elle est dans la presse se trouve réduite à un minimum. La presse de l'invention n'aplatit pas et ne casse pas les boutons et elle n'aplatit pas toutes au- tres irrégularités de la pièce, tels qu'ornements,broderies, etc. 



   -Avec le procédé et la presse de l'invention, il n'est pas nécessaire de changer quotidiennement le rembourrage de la presse et le rembourrage peut être utilisé constamment pendant des laps de temps relativement longs. En outre, l'article n'est pas désséché ou cuit et il est traité d'une façon qui lui fait quitter la machine ou presse sous son état normal, souple, 

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 . luisant, lâche et plaisant aux yeux. De plus, le séchage et le   pepassage   sont effectués avec beaucoup moins de pres- sion qu'il était nécessaire jusqu'à présent et il s'ensuit une dépense beaucoup moins élevée. 



   L'invention s'étend aussi à un système de commande perfectionné pour presses à repasser et sécher dans lequel les risques d'accidents sont réduits au minimum. Jusqu'à présent, dans un grand nombre de machines à repasser en   us e,   des   commandes   magnétiques étaient utilisées pour as- surer une pression intense dans la machine. Cependant, ces commandes se sont montrées dangereuses et inefficaces et il s'ensuivit qu'elles causèrent de nombreux accidents. Un grand nombre de ceux-ci se produisirent en raison du fait que les aimants étaient recouverts de l'humidité existant dans la salle de repassage ou blanchisserie et par suite ne fonction- naient pas.

   Le défaut de fonctionnement de ces commandes avait pour résultat à son tour que les têtes des machines ou presses associées à elles tombaient sur la ou les mains des ouvrievères. 



   Plus tard, dans cette industrie, on a développé la commande dite à deux mains. Par ce système de commande, il était nécessaire au conducteur de la presse ou à l'ouvrière d'employer les deux mains sur les pièces de commande afin d'assurer le fonctionnement de la presse. L'idée qui avait conduit à adopter cette commande était que le conducteur ne pouvait pas mettre ses mains entre les éléments de repas- sage. Ce système n'était pas absolument sûr pour la raison qu'il arrive souvent que deux femmes travaillent à la même machine et que l'une d'elles peut mettre ses mains entre les 

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 éléments de repassage pour maintenir la pièce sur la table pendant que l'autre manipule les commandes et que par consé- quent un accident peut se produire malgré la commande à deux mains. 



   Dans le procédé et l'appareil de l'invention, la tête est équilibrée à tous moments, de sorte que si la pression d'air tombait, cette tête reviendrait à sa position supé- rieure sans dommage ou   blessure   pour le conducteur ou l'ou-   vrière.   



   Suivant une autre caractéristique de l'invention, on peut établir une presse dans laquelle l'élement mobile est au début abaissé à proximité et à un certain écartement de la table sans application d'aucune pression sur cette table et dans laquelle la table est ballonnée ou gonflée en faisant circuler de l'air chaud contre la tête, de sorte que même dans le cas où l'ouvrière mettrait sa main entre la tête et la table de la presse, sa main ne serait pas écrasée et se- rait tout-au-plus brûlée seulement. 



   L'invention vise aussi un nouveau système de commande   à deux   mains pour assurer l'abaissement de la tête en coo- pération avec la table ballonnée, ce qui fait que l'ouvrière doit faire usage de ses deux mains pour commander la presse avant l'application de pression sur la tête. Dans un mode de réalisation du système de commande à deux mains pour pres- ses à sécher et repasser conformes à   l'invention,   il y a deux soupapes de commande, dont le fonctionnement de l'une bloque la tête contre tout mouvement et le fonctionnement subséquent de l'autre permet à la tête   d'être   abaissée 

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 lentement en coopération avec la table ballonnée, sans ap- plication de pression sur cette table. 



   Suivant un mode de réalisation du procédé et de la machine conformes à l'invention, la pièce peut être au début conformée contre un élément chauffé par un coussin chauffé d'air comprimé, sans application de pression sur cet élément, et de telle manière que l'humidité soit en le- vée de la pièce et vaporisée de façon à s'échapper de la presse et grâce à quoi la pièce peut ensuite être pressée, comme le nécessite le cas particulier, à la-volonté de l'ou-   vrière.   



   Conformément aux caractéristiques générales de l'in- vention, la presse à sécher et repasser comprend une table et une tête chauffée mobile pouvant coopérer avec la table, un dispositif pour assurer une circulation d'air chauffé sous le rembourrage de la table de façon à ballonner ce rembourrage pendant une opération d'enlèvement d'humidité, un dispositif servant à abaisser la tête pour l'amener à proximité mais à un certain écartement de la table ballon- née pour faciliter l'opération d'enlèvement d'humidité et un dispositif pouvant être commandé à la volonté de l'ou- vrière pour appliquer ensuite de la pression sur la tête afin de presser la pièce sur la table chaque fois que la nature de 1'article soumis au repassage nécessite cette opération. 



  L'invention comporte encore un système de commande pour faire fonctionner la presse qui comprend deux soupapes pou- vant être commandées à la main pour abaisser la tête en coopéi,ation avec la table et une soupape supplémentaire pou- vant être commandée ensuite par l'ouvrière pour appliquer de la pression sur la tête, ainsi qu'un dispositif de réglage 

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 à temps pour limiter automatiquement l'opération de pres- sage et permettre à la tête d'être ramenée à sa position originelle après qu'un certain laps de temps   s'estéooulé.   



   D'autres buts, caractéristiques et avantages de l'in- vention ressortent plus complètement de la description dé- taillée qui suit d'un mode de réalisation représenté sur les dessins annexés dans lesquels : 
Fig. l est une élévation de face de la nouvelle presse combinée à repasser et sécher, montrant la tête repasseuse dans sa position haute. 



   Fig. 2 est un plan de la machine. 



   Fig. 3 est une vue partielle par derrière à plus grande échelle de la machine. 



   Fig. 4 est une élévation latérale partielle de la ma- chine représentant en pointillés diverses positions du mé- canisme solidaire de la tête repasseuse. 



   Fig. 5 est une coupe partielle à plus grande échelle suivant la ligne V - V de la   fig.6,   en regardant dans la direction indiquée par les flèches. 



   Fig. 6 est une coupe partielle, partie en élévation, suivant la ligne VI- VI de la fig.2, en regardant dans la direction indiquée par les flèches. 



   Fig. 7 est un plan de la table repasseuse , en partie arrachée, pour montrer la disposition du serpentin à vapeur contenu dans cette table. 



   Fig. 8 est une coupe à plus grande échelle suivant la ligne VIII - VIII de la fig.7, en regardant dans la direction indiquée par les flèches. 



   Fig. 9 est une coupe à plus grande échelle de la tête 

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 repasseuse montrant en détails la disposition des chicanes contenues dans cette tête pour diriger le passage de vapeur à travers celle-ci. 



   Fig. 10 est une coupe de la tête repasseuse suivant la ligne X - X de la fig. 9 en regardant dans la direction indi- quée par les flèches. 



   Fig. 11 est une vue à plus grande échelle des deux élé- ments de repassage de la presse montrant leurs positions relatives pendant l'opération conforme à l'invention dite de ballonnement ou gonflage et avant le pressage de la tête repasseuse en prise avec la table fixe. 



   Fig. 12 est une vue analogue à la fig. 11 des éléments de repassage montrant la position de ces éléments après une légère application de pression sur la tête repasseuse. 



   Fig. 13 est une élévation des éléments de repassage quand ils sont pressés en étroite coopération pendant l'opé- ration dite de pressage. 



   Fig. 14 est une élévation latérale partielle des éléments de repassage tels que représentés dans la fig. 11 et qui montrent clairement la disposition de ces éléments de repas- sage pendant l'opération dite de ballonnement. 



   Fig. 15 est une vue analogue à la fig. 14 montrant l'ap- plication de pression sur la tête repasseuse et la disposition des éléments de repassage juste avant l'opération finale de pressage. 



   Fig. 16 est une coupe partielle à plus grande échelle d'une partie de la table fixe pendant l'opération de ballon- nement représentée dans la fig. 14, montrant la manière dont les couches supérieures de matière de la table fixe sont 

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 ballonnées vers l'extérieur par l'air circulant dans cette table. 



   Fig. 17 est un plan partiel à plus grande échelle d'un coin de la table fixe montrant les diverses couches de matiè- re composant   'le   rembourrage disposé sur cette table. 



   Fig. 18 est une vue schématique partie en coupe d'un système fonctionnant à l'air comprimé pour conunander le mouvement de la tête repasseuse l'amenant en coopération avec la table fixe. 



   Fig. 19 est un plan à plus grande échelle de la cana- lisation représentée dans la   fig.   2, qui est utilisée pour faire circuler de la   vapur   à travers la tête repasseuse mobile et la table fixe. 



   Fig. 20 Est un plan à plus grande échelle du mécanisme placé sur le tableau de commande sur le devant de la machine sensiblement suivant la ligne XX - XX de la   fig.6,   en re- gardant vers le bas, le couvercle extérieur pour ce mécanis- me étant retiré afin de montrer plus clairement ces organes. 



   Fig. 21 est une vue de face partielle du tableau re- présenté dans la fig.20, sensiblement suivant la ligne XXI - XXI de la fig.20. 



   Fig. 22 est une vue de derrière du mécanisme de soupape relié au tableau de commande, sensiblement suivant la ligne XXII - XXII de la fig.20, en regardant dans la direction indiquée par les flèches. 



   Fig. 23 est une coupe partielle suivant la ligne   XXIII -   XXIII de la fig.20, en regardant dans la direction indiquée par les flèches et montrant la construction de l'une des soupapes de commande à main. 

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   Fig. 24 est une coupe partielle suivant la ligne   XXIV -   XXIV de la fig.20, en regardant dans la direction indiquée par les flèches et montrant en détail la construction d'une autre des soupapes de commande à main. 



   Fig. 25 est un plan coupe suivant la ligne XXV - XXV de la fig. 6 en regardant dans la direction indiquée par les flèches. 



   Fig. 26 est une coupe partielle suivant la ligne XXVI - XXVI de la   fig.20,   en regardant dans la direction indiquée par les flèches et montrant en détail la construction du mécanisme de soupape manoeuvrable à la main pour commander l'application de pression sur la tête repasseuse. 



   Fig. 27 est une coupe partielle suivant la ligne XXVII - XXVII de la fige 6 en regardant dans la direction indiquée par les flèches et représentant la construction d'une souf-   flerie.   



   Comme on le voit le mieux dans la   fig.l,   la machine comprend un socle ou support 30 constitué par une construction métallique creuse sur laquelle sont supportés les éléments de repassage coopérants qui comprennent une table fixe 31 et une tête repasseuse mobile 32. Un plateau 33 en forme d'auge plate est supporté sur le dessus du socle 30 et dis- posé sous la table fixe 31; ce plateau 33 peut être fait en toute matière appropriée, par exemple en tôle métallique, il est destiné à supporter les extrémités de l'article sou- mis au repassage.

   Au-dessous de ce plateau est fixé un com- partiment métallique 34 destiné à recevoir des pièces d'ou- vrage devant être   humectées,   ainsi qu'un compartiment 35 des- tiné à recevoir une petite planche à repasser sur laquelle 

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 des parties spéciales des articles d'habillemetn peuvent être repassées à la main,Ces deux compartiments 34 et 35 sont disposés aux extrémités du plateau 33 et peuvent être éta- blis en tôle métallique. Au compartiment 35 est également 5 suspendue une boîte en tôle métallique 36 destinée à renfer- mer et loger un petit fer à main électrique transportable destiné à être utilisé conjointement avec la planche à re- passer placée dans le compartiment 35.

   Il va de soi que les compartiments métalliques 35, 34 et 36 peuvent être omis de 
10 la machine ou presse sans s'écarter aucunement des carac- téristiques de la présente invention. 



   La table fixe 31 (fig. 6) est supportée sur une colonne tubulaire   37   comportant des brides qui est convenablement fixée au-dessus du socle 30. Deux tubes 38 et 39 qui mènent 15 respectivement aux côtés pression et aspiration d'une souf- flerie conventionnelle 40 du dessus du socle 30 passent par cette colonne tubulaire 37 fixée au-dessous. La soufflerie 
40 (fig.   27)   comporte une admission ou aspiration déportée 
42, qui est disposée en communication avec le tube 39.

   La 20 sortie ou   orifice   de déchargement 43 de cette soufflerie est mis en communication avec le tube 38   (figs.   6 et 7) et est disposé radialement à la chambre 44 du rotor de la soufflerie dans laquelle un rotor 45 est monté sur un arbre 
46 entraîné par un moteur 47 (fig.5) duquel part un con- 25 duit flexible 48 (fig.6) qui contient des conducteurs élec- triquesmenant à un interrupteur électrique de   commande   50 qui sera complètement décrit plus loin. Cet interrupteur a pour fonction de commander   l'ouverture.et   la fermeture du circuit du moteur, de façon à commander le fonctionnement      

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 de la soufflerie conformément à la position de la tête repas- seuse 32. 



   La soufflerie 40 est disposée pour refouler de l'air dans une partie centrale de la table fixe 31 et pour aspirer de l'air d'une partie périphérique de la table fixe 31 de fa- çon à assurer une circulation constante d'air chaud à l'in- térieur de la table. Les détails de construction de la table vont maintenant être décrits. 



   La table inférieure fixe 32 comprend une enveloppe mé- tallique 51 qui peut être faite en tout métal approprié et est conformée de façon analogue à une planche à repasser, comme on le voit dans les figs. 7 et 8. Les tubes 38 et 39 sont reliés à la partie centrale de l'enveloppe 51. L'extré- mité supérieure du tube 38 est miseen communication avec une ouverture 52 formée dans la partie inférieure de l'enveloppe 51 et disposée pour distribuer de l'air directement dans la partie centrale de la table.

   L'autre tube 39 est mis en com- munication avec une ouverture 53 prévue dans l'enveloppe 51 et disposée pour aspirer de l'air par les conduits   diamétra-   lement opposés   54,   54 ayant leurs extrémités extérieures en communication avec une chambre périphérique 55 ménagée autour de la périphérie de la table 51 (figs. 7 et 8) et conformée à la configuration de la table. La chambre à air centrale 56 de la table fixe est séparée de la chambre périphérique 55 par une cloison 57 qui coopère avec la couronne extérieure de l'enveloppe 51 pour délimiter la chambre 55. Cette disposition des deux chambres 56 et 55 permet à l'air d'être refoulé dans la chambre 56 et d'être aspiré dans la chambre périphé- rique 55 par l'aspiration de la soufflerie 40.

   On décrira com- plètement ci-après le but de ce courant d'air circulatoire. 

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   Le fond 58 de la chambre 56 est relié à une série de chicanes 59 qui supportent un serpentin à   vapeur,Les  extré- mités de ce serpentin à vapeur 60 sont placées au centre de la table fixe comme le montre la fig. 7 et elles descendent pour être reliées à des tuyaux à vapeur qui seront décrits   ci -après.   Les extrémités du serpentin 60 sont désignées par 61 et 62 respectivement. 



   Sur le dessus de l'enveloppe 51 est fixée une plaque perforée 64 comportant de petites perforations 65 disposées au-dessus' de la chambre 56 et des perforations plus grandes 66 disposées autour de sapartie périphérique de   façonà   être en communication avec la chambre périphérique 55 de la table. 



   Un rembourrage qui comprend une couche extérieure de mousseline 71, une couche de feutre   72   disposée directement sous la mousseline et trois couches 73, 74 et 75 d'un tissu convenable très poreux (figs. 16 et 17) est disposé sur le dessus de la plaque perforée 64 et il enveloppe les côtés du corps 51 de la table. Ce rembourrage est maintenu en place sur la table fixe au moyen d'une .ceinture ou châdsis de serrage 76   (fig.8)   conformée pour d'emboïter étroitement sur la périphérie extérieure de la table fixe.

   Les deux couches extérieures du rembourrage, à savoir la couche de mousseline 71 et la couche de feutre 72 sont établies pour être bal- lonnées ou gonflées vers l'extérieur   (fig.16)   par de l'air circulant par les perforations 65 prévues dans la plaque 64 et à travers le rembourrage dans les perforations périphéri- ques 66 (fig.8). Cette opération de gonflage ou ballonnement qui est l'une des plus importantes caractéristiques de l'in- vention sera expliquée plus complètement plus loin. 

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   Une tête repasseuse mobile 32 est placée au-dessus de la table fixe 31 et coopère avec elle. Cette tête repasseuse, comme on le voit le mieux dans les figs. 9 et 10, comprend une pièce en métal moulé 80 comportant une face polie re- passeuse 81 sur sa surface de dessous et elle sst recouverte sur sa surface supérieure par un revêtement d'amiante 82 maintenu en place par une plaque de métal 83 (fig.10) con- formée pour s'adapter à la configuration de la tête repas- seuse. La pièce de métal moulé est établie creuse de façon à permettre le passage d'un fluide de chauffage, tel que de la vapeur, à travers cette pièce. De la vapeur est admise à l'intérieur de la tête repasseuse par le tuyau d'admission 84 et elle quitte la tête repasseuse creuse par un tuyau de sortie 85.

   La vapeur est forcée de suivre un trajet tor- tueux à travers la tête repasseuse au moyen de plusieurs chicanes 86,87, 88,89 et 90 d'une seule pièce avec la tê- te moulée 80   (fig.9).   Ces chicanes assirent un chauffage uniforme de toute la tête par la vapeur passant par celle-ci. 



   La tête 32 est supportée par deux bras de levier espacés   92,     92.   La partie intermédiaire de chacun de ces leviers est articulée sur un axe 93 (figs. 2 et 6) supporté à rotation par un moyeu 94 venu de pièce avec un prolongement 95 du so- cle 30. On remarquera par la fig.2 que les bras 92,92 di- vergent de la presse vers l'extérieur et qu'ils ont chacun leur extrémité extérieure munie d'un manchon tubulaire 97 et 98 respectivement, qui soit montés à pivotement sur un axe 99 (figs. 4 et 6).

   Une bielle 100 qui sera expliquée plus complètement dans ce qui suit, conjointement avec le mécanisme de leviers articulés servant à soulever et abaisser 

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 la tête repasseuse pour l'amener en et hors de la position de coopération avec la table fixe, est placée entre les manchons 97 et 98 et elle est supportée à pivotement par l'axe 99 (fig.3). 



   Les autres extrémités des leviers 92 et 92 comportent des parties formant console 101 et 102 qui sont maintenues élastiquement en contact et son neliées avec le dessus de la tête repasseuse 32 au moyen de boulons 10, d'écrous 104, et de ressorts intermédiaires 105. Les ressorts 105   enbou-   rent les tiges des boulons 103 et servent à pousser les parties 101, 102 formant console des leviers 92 en coopé- ration avec le dessus de la tête repasseuse. Chacune des parties 101, 102 comporte une partie déportée vers le haut, comme on le voit le mieux sur la fig.14, afin de ménager une saillie 96 formant pivot destinée à s'emboîter dans l'espace ménagé entre deux pattes montantes espacées 96' prévues sur le dessus de la tête repasseuse 32.

   Cette dis- position assure que la tête 32 est convenablement alignée avec les consoles 101 et 102 des leviers 92 et 92 et elle permet aussi à la tête de prendre un mouvement de pivotement autour des saillies 96 formant pivot. Les ressorts 105 ont' pour but de permettre à la tête   repasseusecb   s'ajuster elle- même sur le dessus de la table fixe pendant la course ou opé- ration de pressage de la presse de l'invention. Les deux le- viers 92 et 92 sont reliés entre eux près des consoles 101, 102 au moyen d'une traverse 106   (fig.2)   qui fait que ces le- viers se déplacent solidairement pendant le soulèvement et l'abaissement de la tête repasseuse. 



   Les tuyaux à vapeur 84 et 85 servant à amener de la   vapeur   dans la tête repasseuse 32   (fig.19)   sont reliés à des 

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 raccords pivotants 109, 110 respectivement, qui permettent aux tuyaux 84 et 85 de pivoter avec la tête repasseuse pendant le mouvement de cette dernière. Le raccord articulé 109 est relié par un tuyau 111 à un raccord de tuyau en T 112 et le raccrd articulé 110 est relié par un tuyau 113 à un raccord de tuyau en T 114 . Les deux raccords en T et les raccords articulés sont disposés à l'alignement axial de l'axe d'ar- ticulation 93, de sorte que les raccords articulés 109 et 110 pivotent autour du même axe que les bras 92 et 92 por- tant la tête repasseuse (figs. 2 et 3). 



   Du raccord 112 en T, une canalisation 115 s'étend vers l'arrière; le T 116 est relié à un tuyau montant 117 de distribution de vapeur, qui fournit de la vapeur pour chauf- fer les deux éléments repasseurs de la presse, ainsi que cela ressortira de la suite de la description. La distribu- tion de vapeur aux éléments de repassage par le tuyau 117 peut être commandée par une soupape à main 118 reliée au tuyau 117 (fig.3) . Un tuyau 120, qui est relié au tuyau d'ad- mission 61 de la table fixe 31 (fig.3, 7 ét 19) est égale- ment relié au tuyau 115 et descend de celui-ci.

   Le T 114 (fig.19) est relié à un tuyau à vapeur 121 s'étendant vers l'arrière, qui est à son tour relié à un tuyau descendant 122 (fig.3) relié à son extrémité inférieure à un T 123, qui est à son tour relié à l'extrémité de sortie 62 du serpentin à vapeur contenu dans la table fixe de repassage 32. Un tuyau de départ ou retour de vapeur 124, qui évacue la vapeur usée des deux éléments de repassage, est également relié au T 123. 



   Dans le mécanisme de leviers articulés servant à dépla- cer la tête repasseuse 32, comme il a déjà été indiqué, la bielle 100 est reliée à l'axe de pivotement 99 à l'extrémité 

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 postérieure des leviers écartés 92 et 92 et elle est éta- blie pour assurer le mouvement de ces leviers autour de l'axe d'articulation 93, afin de soulever et d'abaisser la   :ê te   repasseuse. La bielle 100 (figs. 3 et 6} comprend deux éléments écartés l'un de l'autre 131 et 132 reliés à un tendeur 133, destiné à faire varier la longueur totale de la bielle   100.   L'élément inférieur 132 est articulé sur un axe 134 monté entre deux bras descendants convergents espacés 135 et 136, dont les extrémités supérieures sont articulées sue l'axe 134.

   Les parties inférieures des bras 135, 136 (fig.3) se terminant en un moyeu 137 d'une seule pièce arec elles et articulé sur un   axe.158,   convenablement porté par   la 'partie   inférieure du socle 30. 



   Les bras 135, 136 et la bielle 100 forment un système articulé servant à actionner la tête repasseuse mobile. Ce système articulé passe par une ouverture verticale 140 prévue dans la partie postérieure du socle 30. 



   Deux axes alignés axialement 141, 141, également por- tés par le socle 30 (comme le montrent les   figs.   3, 6 et 25) sont placés directement au-dessus de l'axe d'articulation 138 Les extrémités libres de deux bras espacés 142, 142, aux- quels est relié un contre-poids 143 clairement représenté dans les figs. 6 et 25, sont articulées à ces axes 141, 141. 



  A ce contrepoids sont articulées deux bielles espacées 144, 144, qui montent en se dirigeant vers l'extérieur et dont chacune a son extrémité supérieure articulée à une patte descendante 145 des manchons 97 et 98 (figs. 3 et 6). Le rô- le de ce contrepoids, comme on l'expliquera plus complète- ment dans la description du fonctionnement de la presse est 

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 de tirer les extrémités postérieures des bras 91 et 92 vers le bas lorsque la presse n'est pas utilisée   peur   mantenir la tête repasseuse à l'écart de la table fixe et dans sa position supérieure. 



   Un axe de pivotement 146 est relié à des parties inter- médiaires des bras écartés 135, 136; une extrémité d'une tige de piston 147   (fig.6)   s'engageant dans un cylindre à air comprimé 148 (fig.2 3 et 6) est articulée à cet axe. 



  Ce cylindre à air comprimé 148 est disposé dans le socle creux 30 et renferme deux pistons alignés 149 et 150 (fig.18). 



  Le piston 149 est relié à la tige 147 et le piston 150 est relié à la tige 151, dont l'extrémité libre est articulée à un axe 152 (fig. 6) porté par une console 153, fixée au devant du socle 30. 



   Avant de décrire le mécanisme à air comprimé servant à commander le système de leviers articulés, on attire l'atten- tion sur le fait que le moteur 47 servant à actionner la soufflerie 40 est commandé par l'interrupteur 50 précédem- ment mentionné. Cet interrupteur est du type à mercure et est articulé sur un axe 155 relié à une console 156 (figs. 2 et 6) qui est assujettie au moyeu 94 disposé entre les bras écartés 91 et 92. Un bras de levier latéral 157, qui porte un contrepoids 158, est rigidement relié à l'interrupteur à mercure 50.

   Ce contrepoids peut être attaqué par un res- sort 160, fixé à l'extrémité supérieure 131 de la bielle 100, de sorte que lorsque le système de leviers articulés est amené dans sa position diextension ou non contractée, l'in- terrupteur est basculé parce que le ressort ou bras élastique 160 frappe le contrepoids 158. Ce basculement de l'interrup- teur 50 a pour résultat de fermer le circuit du moteur, ce 

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 qui met en route l'opération de gonflage ou séchage. Lorsque le système de leviers articulés se contracte, le ressort 160 est abaissé, ce qui dégage le contrepoids 155;   l'interrup-   teur est alors basculé dans la position d'ouverture par gravité du contrepoids 158, en ouvrant le circuit du moteur. 



   Afin de simplifier la description du système de coin- mande à air comprimé de la presse, ce système a étérepré- senté plus ou moins schématiquement dans la   fig.18,   mais, en se reportant aux figures 5,6, 20, 21, 22, 23, 24 et 26, le fonctionnement sera clairement compris. 



   Comme on le voit le mieux dans les   figs.l   et 6, le mé- canisme de soupape à main servant à commander ce système de commande à air comprimé est disposé sur le devant de la ma- chine et est monté sur un tableau 170, fixé de façon   amovi.-   ble au devant du socle 30. 



   Un chapeau ou couvercle 171 destiné à enfermer le mé- canisme de soupape est également fixé de façon amovible à ce tableau   170.   Ce couvercle 171 comporte trois ouvertures 172, 173 et   174     (fig,l),   par lesquelles passent lesmanettes des soupapes à main. 



   Il y a quatre de ces soupapes à main   175,   176 et 177 et 178 (fig.20). Ces quatre soupapes sont commandées par des manettes 179, 180, 181 et 182. La manette 179 passe par l'ouverture 172, les manettes 180 et 181 par l'ouverture verticale allongée 173 et la manette 182 par l'ouverture 174 du couvercle 171. 



   Les soupapes 175, 177 et 178 sont munies de poussoirs 184, 185 et 186, mobiles sous la commande des manettes 179, 180 et 182. :Ces poussoirs saillants sont reliés de la manière 

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 usuelle à des pièces mobiles assurant l'ouverture et la fer- meture des soupapes. C'est-à-dire que les soupapes 175, 177 et 178 sont de construction ordinaire et que les poussoirs saillants sont du type poussé vers l'extérieur par des ressorts 
La soupape 175, telle qu'elle est représentée dans les figs. 18, 20 et 23, est dans sa position de ferme- ture. La soupape 177, comme elle est représentée dans les figs. 18, 20 et 26, est dans sa position dtouverture. La sou- pape 178, telle qu'elle est représenté dans lesfigs, 18, 20 et 24, est dans sa position d'ouverture.

   A noter que ces trois soupapes   175,   177 et 178 sont reliées à un tuyau com- 1=:un 190 disposé directement derrière le tableau 170 (figs.18, 20 et 21). 



   La manette 179, servant à commander le fonc-   tionnement   de la soupape 175 (fig.23), comprend une pièce coudée articulée à une console 191, fixée sur le devant du tableau   170.   La soupape 175 est fixée sur la face postérieu- re du tableau 170 de telle façon que son poussoir saillant 184 soit disposé dans le trajet de mouvement de la branche verticale de la manette coudée 179, de manière que lorsqu'on abaisse la poignée horizon-tale de cette manette le poussoir 184 soit poussé vers l'intérieur dans la soupape pour ouvrir celle-ci. 



   La manette 182, servant commander la soupa- pe 178, comprend aussi une pièce coudée, dont une partie in- termédiaire de sa branche verticale est articulée à une con- sole de support 192   (fig.24)   fixée sur le devant du tableau 170. La soupape 178 peut être commandée par la manette 182 et est fixée sur le derrière du tableau 170, directement en face de la branche verticale de la manette, de sorte que lors- que la manette 182 est normalement maintenue, le poussoir      

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 186 se trouve dans sa position enfoncée ou position inté- rieure extrême, afin de maintenir cette soupape ouverte. 



   La manette 182 est maintenue dans la position représentée dans la fig.24 par un ressort 193, qui entou- re un goujon 194, fixé sur le devant du tableau 170. Ce ressort est disposé entre le tableau et l'extrémité infé- rieure 195 de la branche verticale de la manette   182.Cebte   construction permet au ressort comprimé 193 de maintenir normalement la manette 182 en prise avec le poussoir 186, pour maintenir la soupape 178 ouverte. 



   La manette 181 servant à déplacer le poussoir 185 de la soupape 177 vers l'intérieur dans la boite de soupape pour ouvrir cette soupape comprend un élément creux à section arquée établi pour actionner la manette 180, comme représenté en traits pointillés dans la fig.26. 



  Il est naturellement évident que les deux manettes 180 et 181 sont montées pour se déplacer autour d'un axe   commun,   La manette 181 est fixée à un moyeu 196 (fig. 20 et 26), qui présente une came 197, destinée à être amenée en pri- se avec le poussoir 185 pour ouvrir la soupape 17'7. Ce moyeu 196 est fixé à une extrémité d'un arbre tournant 198, tourillonné dans des consoles 199 et 200, fixées à la face antérieure du tableau 170. 



   L'autre   extrémité   de l'arbre 198 est fixée à un bras 201, qui s'étend vers   l'intérieur   par une   ouver-   ture convenable prévue dans le tableau 170 et dont l'extré- mité intérieure est articulée à l'extrémité supérieure d'une tige de piston 202 dtun régulateur à temps qui sera ex- pliqué plus complètement ci-après (figs. 5 et 18). 

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   La piècetournante d'actionnement   205   de la sou- pape 176 est placée à l'alignement axial de l'arbre 198. 



   Cette pièce est établie pour être tournée, afin d'ouvrir et de fermer la soupape 176 et elle peut être commandée par la manette 180, comportant le moyeu 20 6, fixé à l'ex- trémité extérieure de l'élément 205. La manette 180 est disposée pour être poussée soit dans la position d'ou- verture, soit dans la position de fermeture au   moyen,   d'un ressort 207, fixé à une extrémité sur le devant du tableau 170 et à l'autre extrémité sur la manette 180. Ce ressort à pour rôle d'empêcher la manette 180 d'être dans la posi-   o   tion neutre. De même, lorsqu'on commande la manette 180, ce ressort tend à la pousser dans la direction dans la- quelle elle est déplacée une fois que la manette a passé un axe prédéterminé.

   Par exemple, dans la   fig.26,   la manette est poussée dans la position inférieure, dans la- quelle la soupape 176 est ouverte. Afin de fermer la sou- pape 176, l'opérateur ou ouvrière pousse la manette vers le haut et, une fois quels. manette a passé l'axe, elle est poussée vers le haut dans la position indiquée en      pointillé dans la fige 26 par le ressort. Le mouvement amenant la manette 180 dans la position indiquée en poin- tillé a pour résultat de faire tourner la pièce de sou- pape 205, en ouvrant la soupape 176. 



   Si, après cela, la manette 181 est commandée, elle entraîne dans sa descente la manette 180, ce qui ouvre la soupape 176 et ferme la soupape 177. Il est évident que cette manette 181 peut être actionnée à la main ou peut être actionnée par l'arbre 198, par suite du fonctionnement du régulateur à temps, comme on l'ex- pliquera plus loin. 

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   Comme on le voit le mieux dans la figure schéma- tique 18, la soupape 175 est reliée par une tuyauterie 210 à un côté d'un raccord de tuyau à quatre voies 21.1 Dans cette tuyauterie 210 se trouvent une soupape de réduction ordinaire 212 et un robinet à main 208. La soupape 176 est reliée par une canalisation 215 à un autre   cote   du raccord 211 et un troisième côté de ce raccord est relié par une canalisation 214 à un réservoir distributeur d'air comprimé 215. Une soupape de réduction 215' servant à ré- gler le fluide à haute pression appliqué sur les pistons 149 et 150, pendant la course de pressage de la presse, est disposée dans la canalisation 213, près de la soupape 176, comme on le voit le mieux dans les fig.s18, 20 et 21. Une soupape de réduction de pression ordinaire 216 est disposée dans la canalisation 214.

   En se reportant à la fig.3, on voit que la distribution d'air comprimé dans le réservoir 215 est complétée par celle faite dans le ré- servoir 217, relié par une canalisation en U 218 au pre- mier réservoir 215. Ces deux réservoirs sont disposés sur les   côtés   du socle 30, directement sous le plateau ou . cuvette 33. 



   Le quatrième côté du raccord 211 est relié par une canalisation 219 au cylindre 220 de réglage à temps. 



  Une-soupape conventionnelle 221 (fig. 18), comportant un élément tournant de soupape 222, pouvant être commandé par un bras de levier 223, auquel il est fixé, est disposée dans la canalisation 219. L'extrémité libre du bras de levier 223 est reliée par une bielle 224, comprenant un ressort de tension 225, à une pédale 226, articulée à un axe 227   (fig.6)   et convenablement portée pr une console   928,qui   peut être fixée au plancher immédiatement sous le socle 30. 

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   La soupape 221 comprend une soupape de secours que l'opérateur ou l'ouvrière peut ouvrir rapidement en appuyant simplement sur la pédale 226, ce qui fait passer ' l'air comprimé directement des réservoirs distributeurs au cylindre de réglage à temps pour actionner le pis-- ton 230 de ce régulateur en le faisant monter dans le cylindre et en poussant de ce fait la tige 202 vers le haut, ce qui fait tourner l'arbre 198 et ouvre la soupa- pe 177 (fig.18). L'ouverture de cette soupape a pour résultat que l'air contenu dans le cylindre de   présage   148 s'échappe à l'atmosphère parce qu'un côté de la sou- pape 177 est ouvert à l'atmosphère, comme indiqué en 231. 



   En ce qui concerne maintenant les communications entre le cylindre 148 et la soupape de commande, le cy- lindre 148   (fig.18)   comprend deux   chambrera   piston 235 et   236,   dans lesquelles sont disposés les pistons 149 et 150 pouvant prendre séparément des mouvements alterna- tifs. Une extrémité de la chambre à piston 235 est reliée à une soupape d'échappement d'air 238 pour permettre le déplacement d'air dans cette chambre 235 lorsque le pis- ton 149 est déplacé vers la gauche dans la   fig.18.   Une extrémité de la canalisation 240, dont l'autre extrémité est reliée au côté de déchargement de la soupape 178, est également reliée à la même extrémité de la chambre 235 du cylindre qui comporte la soupape 238.

   L'autre extré- mité de la chambre 235 est reliée à une extrémité de la canalisation 241, dont l'extrémité supérieure est reliée au tuyau 190 au moyen d'un raccord 242 en T. 

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   La chambre 236 est reliée à une extrémité d'une canalisation 245, placée pour permettre à l'air d'entrer dans la chambre 236 près de la cloison 246, afin de dé- placer tout le cylindre 148   comme   un tout sur le piston 150, comrae il sera expliqué plus complètement dans la des- cription du fonctionnement de la presse. L'autre extré- mité de la canalisation 245 est reliée au coté de dé- chargement de la soupape   176.   Les deux canalisations 241 et 245 doivent en partie comprendre des tuyaux souples, comme le montre la fig.187 pour permettre le mouvement du cylindre mentionné ci-dessus. 



   Les deux canalisations 241 et 245 sont reliées à un manchon d'accouplement 24'7, qui sert non seulement à accoupler les deux parties du cylindre 148, mais qui comporte également, d'une seule pièce avec lui, la clci- son 246 précédemment mentionnée. 



   Les canalisations 241 et 245 sont reliées en tra- vers par une canalisation 250, qui contient une soupape de retenue 251 et une soupape de réduction ou soupape à pointeau 252. Le rôle de ces deux soupapes sera expli- qué plus loin. 



   Cette canalisation 250 est également reliée à une canalisation descendante 254, dont l'extrémité inférieure est en communication avec les deux canalisations paral- lèles 255 et 256, reliées à l'extrémité supérieure d'une canalisation 257, dont l'extrémité inférieure est en com- munication avec l'intérieur du cylindre régulateur à temps 220, sous le piston 230. L'extrémité supérieure du cy- lindre régulateur à temps 220 est reliée à une soupape 

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 d'échappement 260 pour permettre à l'air déplacé de s'é- chapper lorsque le piston régulateur est poussé vers le haut dans le cylindre régulateur à temps 220. 



   La canalisation 255 contient une soupape de retenue 261 et la canalisation 256 contient une soupape à pointeau 262 dans des buts qui seront expliqués en détail ci-après. 



   La presse fonctionne comme suit : 
En supposant que la tête repasseuse 32 est danssa position supérieure représentée dans la fig.l, l'ouvrière place la pièce à repasser ou   un"lit"   de cette pièce sur la table fixe, comme préparation à l'opération de gonflage ou ballonnement. Ensuite l'ouvrière pose une main sur la manette 179 et l'abaisse en ouvrant ainsi la soupape 175 et en permettant à l'air comprimé de pas- ser du réservoir de distribution 215 par les tuyaux 214, 210, 190 et 241 (fig.18) dans la chambre 235 du cylin- dre de pressage, près de la cloison 246. Cependant, cet air ne pousse pas la tige de piston 147 vers l'ex- térieur pour la raison que l'air comprimé passe égale- ment par la soupape ouverte 178 dans la chambre 235 sur l'autre côté du piston 149, ce qui bloque ce piston et l'empêche de fonctionner.

   Il est évident que le blocage de ce piston l'empêchant de se déplacer a aussi pour ré- sultat de bloquer la tête de repassage 32 pour l'empêcher de se déplacer, étant donné que le piston et la tête re- passeuse sont reliés par un système de leviers articulés. 



   Il devient en conséquence nécessaire que l'ou- vrière mette son autre main sur la manette 182 de la sou- 

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 pape 178 de façon à fermer cette soupape et à arrêter la distribution d'air venant du tuyau 240. Le piston 149 peut ensuite se déplacer sous l'action de l'air comprimé entrant dans la chambre.235 par la canalisation 241, ce qui force la tige de piston 147 à pousser le système de le- viers articulés en faisant ainsi abaisser la tête re- passeuse 32 dans la position représentée dans les   figs.ll   et 14.

   Il est évident que pour que ce mouvement vers l'extérieur de la tige de piston 147 se produise, il faut que l'ouvrière maintienne les deux manettes à soupapes 179 et 182 abaissées jusqu'à ce que le piston ait dépassé l'orifice d'admission par lequel débouche le tuyau 240, moment auquel, bien entendu, tout l'air comprimé entre- rait sur le même côté du piston 149 au cas   où   l'ouvrière relâcherait les deux manettes 179 et 182. Cette disposi- tion est grandement désirable parce qu'elle élimine toute possibilité que l'ouvrière mette ses mains entre les élé- ments de repassage pendant l'abaissement de la tête repas- seuse pour l'amener en coopération avec la table. 



   L'abaissement de la tête repasseuse 32 a pour ré- sultat de fermer l'interrupteur à mercure 50, en fermant ainsi le circuit du moteur et en mettant la   soufflerie   en fonctionnement pour faire circuler de l'air par la table chauffée 31. Cet air chaud a un volume suffisant et est mis en circulation dans des conditions suffisamment grandes de vitesse et de débit pour tenir compte de la fuite se pro- duisant à travers les pores de la mousseline 71 du   renibour-   rage placé sur la table de façon que, quelles que soient ces pertes, les couches supérieures du rembourrage soient 

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 gonflées ou ballonnées par un coussin d'air,comme le mon- trent les figs.ll, 14 et 16. Ce coussin d'air est naturel- lement élastique et pousee la pièce en contact avec la surface chauffée 81 de la tête repasseuse 32.

   Toutes les irrégularités se trouvant dans la pièce soumise au repas- sage telles, par exemple, que des boutons, se noient dans le rembourrage pour la raison que celui-ci est poussé vers le haut par un coussin d'air élastique et, par conséquent, les boutons et la pièce étendue ne sont aucunement endom- magés. 



   Dans le cas de pièces fines, par exemple de brode- ries, l'opération de gonflage de la presse de l'invention permet le repassage des parties brodées sqns aplatir ces broderies. En fait, les pièces quittent cette presse à l'état souple de sorte que la broderie est en réalité en relief et non pas durcie. 



   Dans le cas d'articles en soie et en laine, on a constaté que cette opération de gonflage est suffisante pour presser et repasser les deux   côtés-   des articles sans qu'il soit nécessaire qu'une autre pression soit appliquée sur eux. Cependant, pour d'autres catégories de pièces à repasser, par exemple pour des pièces plates, il est dési- rable d'appliquer une plus grande pression   snr   l'article. 



  Dans des cas de ce genre, l'ouvrière, après l'opération de gonflage, actionne la manette 180 de soupape de   façpn   à   lâmener   de sa position inférieure à sa position indiquée en pointillé dans la fig.26. Ce mouvement de la manette ouvre la soupape 176. L'ouverture de cette soupape permet à l'air comprimé de passer du réservoir 215 dans l'autre chambre 236 contre la tête du piston 150. L'air entrant dans la chambre 236 a une pression plus élevée que l'air comprimé qu'on laisse aller dans la chambre 235. Cette con- dition est réalisée par la soupape de réduction 212 et 

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 le robinet à main 208 intercalé dans la canalisation de distribution allant à la chambre 235.

   La soupape de ré- duction de pression 212 est réglée par avance pour per- mettre à de l'air de moindre pression d'entrer dans le tuyau 190 par rapport à la pression de l'air comprime passant dans le tuyau 213. Le robinet 208 est commandé à la main pour régler le courant d'air comprimé quittant le tuyau 210. En conséquence, il est évident que lors de l'introduction d'air comprimé à haute pression dans la chambre 236, l'ensemble du cylindre   148   coulisse lui- même en avant sur le piston 150 en raison du fait que la chambre 235 est remplie d'air à pression inférieure à celle de l'air contenu dans la chambre 236.

   Ceci   signi-   fie que la pression appliquée au système de leviers arti- culés pour presser la tête repasseuse en coopération avec la table fixe, comme représenté dans la   figs.12   et 15, est proportionnée à celle régnant dans la chambre 236. 



  Ensuite, l'air passe par la soupape à pointeau 252 et la soupape de retenue 251 et la pression dans la chambre 235 stélève graduellement jusqu'à ce qu'elle soit égale à celle régnant dans la chambre 236. La soupape de rete- nue a pour rôle d'empêcher le pasage d'air comprimé de la canalisation 241 dans la canalisation 245, mais elle est disposée pour laisser de l'air comprimé passer de cette dernière canalisation à la première. 



   Avec la disposition décrite ci-dessus, l'air comprimé, lors de la course de pressage, presse la tête repasseuse en prise avec la table fixe avec une pression   pDoportionnée   à celle régnant dans la chambre 235 et il augmente ensuite graduellement la pression exercée sur la 

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 tête repasseuse jusqu' ce que cette pression soit pro- portionnée à celle régnant dans la chambre 236, moment auquel la tête repasseuse prend une position telle que celle représentée dans la fig.13. 



   Pendant la course de pressage, de l'air passe également de la canalisation 245 à la canalisation 254 et à travers la soupape à pointeau 262 dans la partie in- férieure du cylindre régulateur à temps 220 en soulevant le piston 230 jusqu'à ce que la soupape 177 soit ouverte à   l'atmosphère.   



   Ensuite l'air s'échappe immédiatement du cylindre 148 par les tuyaux reliés à ce cylindre dans la canalisa- tion 190 et de là à l'atmosphère par la soupape   177.   



  L'air comprimé contenu dans le cylindre régulateur à temps 220 quitte ce cylindre par la soupape de retenue 261 au lieu de passer par la soupape à pointeau de sorte que l'air peut être évacué rapidement de la chambre de réglage à temps. Il est naturellement bien évident que la soupape à pointeau 262 est disposée pour régler la quan- tité d'air comprimé admise à entrer dans le cylindre régulateur à temps de façon à régler le moment auquel il est nécessaire de soulever le piston 230 pour commander la soupape   177.   Cependant, étant donné qu'il est désirable de ramener rapidement le système à sa position originelle après que l'opération de pressage a été terminée,

   on a prévu la soupape de retenue 261 qui est réglée pour per- mettre à l'air de s'échapper du cylindre régulateur à temps 220 plus rapidement qu'il ne pourrait le faire par la soupape à pointeau 262. Si, pour une raison quelconque, pendant l'opération de repassage, l'ouvrière désire arrê- 

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 ter immédiatement la pression qui est appliquée sur la tête repasseuse, elle peut le faire en appuyant simple- ment le pied sur la pédale 226, ce qui permet à l'air à haute pression venant du réservoir 215 d'entrer dans la chambre 220, d'ouvrir ainsi rapidement la soupape 177 et de libérer le système   d'air   comprimé.

   Il est évident qu'une fois qu'on a laissé l'air comprimé s'échapper des chambres 235 et 236 du cylindre 148, le contrepoids 143 entre en action pour ramener le système de leviers ar- ticulés en soulevant ainsi la tête repasseuse hors de coopération avec la table fixe. 



   On se rend compte par ce qui précède que,dans la presse de l'invention, la table possède un coussin chauffé d'air circulant sous son rembourrage, cet air ayant une température suffisamment haute pour faire vapori- ser immédiatement toute humidité venant en contact avec le rembourrage pendant le fonctionnement de la presse, de façon à permettre que cette vapeur s'échappe facilement de la presse ou soit entraînée dans la masse d'air en circulation et en empêchant ainsi que cette humidité soit desséchée dans le rembourrage. 



   Cette caractéristique de l'invention   est     avanta-   geuse en ce qui concerne le rembourrage du faitqu'elle augmente sa durabilité pour la raison que l'humidité des pièces qui sont repassées n'est pas concentrée et desséchée dans le rembourrage. 



   Un autre avantage de cette caractéristique de la machine   c'est   que   l'humidité   ou vapeur s'échappant sur les côtés de la machine sert à empêcher le séchage des parties 

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 ou les non repassés de la pièce qui sont adjacents à la partie soumise au repassage. 



   Le coussin d'air sous pression qui se trouve sous le rembourrage dans la table fixe est constitué par de l'air chaud mis en circulation sous le rembourrage à une grande vitesse par la soufflerie, cet air ayant un volume et une force prédéterminée pour tenir compte de la fuite d'air se produisant à travers les pores du rembourrage. 



  En d'autres termes, la presse est conçue de façon que pen- dant le fonctionnement de la soufflerie, il y ait à tous moments un volume suffisant d'air sous le rembourrage dans la table fixe pour permettre à ce rembourrage   d'être   gon- flé dans le but décrit précédemment. Le gonflement ou ballonnement du rembourrage placé sur la table fixe est naturellement avantageux en ce qu'il permet de sécher et repasser des articles en soie, soie artificielle ou en laine sans appliquer une pression très sensible sur ces articles, ce qui empêche leur rétrécissement, leur durcis- sement et leur décoloration pendant le repassage. 



   Cornue on l'a déjà indiqué, une pièce moyenne contient approximativement 42 % d'humidité. Bien entendu, étant donné que dans la machine conforme à l'invention l'humidité n'est pas désséchée dans la pièce ou dans le rembourrage, il s'ensuit nécessairement que l'énergie dépensée antérieurement par les presses pour dessécher 1(humidité de la pièce est économisée. Ceci signifie qu'on est en mesure, avec l'invention, d'augmenter l'efficaci- té de la machine d'approximativement 40 % par rapport à celle des presses ou machines à repasser ordinaires. 



   Un autre avantage de l'invention réside dans le fait que dans la machine les deux côtés de l'article 

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 sont soumis à une chaleur intense, de sorte que 1' article est nécessairement fini ou poli sur les aeux côtés en une seule pose et passe de l'article, tandis que jusqu'à présent cela n'était pas possible avec une machine à repasser ordinaire. 



   On a constaté qu'une presse comportant los ca+   ractéristiques   de l'invention et ayant une surface de repassage de cm25 est tellement plus efficace qu'une presse ordinaire qu'il est possible à un blanchisseur ou teinturier d'utiliser quatre des machines conformes à l'invention au lieu de six presses ordinaires pour faire une même quantité de travail que celle qui était débi- tée par les six presses d'ancien modèle. 



   JUsqu'à présent les fabricants de presses à re- passer ont insisté dans leur publicité sur le fait qu'en utilisant une pression intense dans leurs machines ils ont grandement augmenté la vitesse de ces machines. Pour as- surer le fonctionnement de ces machines ordinaires, il est habituellement nécessaire de fournir aux machines une pression d'au moins   5kg,25   d'air sec et 7   Kgs   de vapeur.

   Dans la presse de l'invention, en utilisant la caractéristique de ventilation, on constate qu'une pres- sion inférieure d'au moins 80 % est utilisée au centi- mètre carré que celle utilisée dans les machines prdi-   naires.   En fait, avec   3kg,5   d'air il est possible, avec la machine dé l'invention, de sécher et repasser plus de tonnes de marchandises dans une période de travail don- née que cela est possible avec les machines à repasser actuellement sur le marché. 



   De môme, dans la machine de l'invention, en 

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 raison de lacaractérisique de ventilation, on est en      mesure de réduire considérablement la distance séparant lest deux tables de repassage lorsque la table supérieure ou tête est soulevée hors de coopération avec la table inférieure, ou, en d'autres termes, lorsqu'elle est en po- sition de non fonctionnement. Dans les presses ordinaires, il n'a pas été possible de diminuer la distance séparant les éléments de repassage pour la réduire à une distance de moins de 25 à 30 cm., pour la raison que dans ces pres- ses les éléments repasseurs sont ecxtrêmenet chauds et que l'ouvrière se brûlerait les mains en posant une pièce sur la table si les éléments de repassage étaient rapprochés davantage l'un de l'autre.

   Le gonflage du rembourrage placé sur la table de la machine conforme à l'invention réduit au minimum comme cela est clair, la possibilité que l'ouvrière se brûle les mains en posant une pièce sur cette table et il permet aussi à la tête mobile d'être suspendue à une dis- tance considérablement moindre de la table que cela est possible dans une presse ordinaire. 



   Lorsque la tête mobile de la presse de l'invention est dans sa position supérieure, elle a une température d'environ 121  C. A ce moment, la table fixe a une tempéra- o ture de 110 C, tandis que le rembourrage placé sur cette table n'a qu'une température de 43 C et l'article reposant sur le rembourrage a une température d'environ 20 C. 



   Dans la seconde position de la presse ou, en d'au- tres termes, dans la position de ventilation, la tête re- passeuse est disposée à environ 4 cm. au-dessus de la ta- ble fixe. Ltabaissement de la tête mobile met naturellement 

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 la soufflerie en fonctionnement et il en résulte que le rembourrage et la pièce sont gonflés sur la table. Dans ces conditions, on constate que le rembourrage et la pièce prennent une température de 98  C. 



   Dans une troisième position de la tête de pres- sage,moment auquel la tête vient juste d'être abaissée dans sa course de pressage, les températures ont été prises et on a constaté que le rembourrage et l'article avaient alors une température d'environ 100 C 
Les faits mentionnés ci-dessus indiquent claire- ment que lorsque la tête mobile est abaissée en coopéra- tion avec la table fixe, la température de l'article et du rembourrage augmente. 



   Dans les expériences qui ont été faites avec la presse de l'invention, on a constaté qu'en prenant une pièce qui pèse normalement 425 grammes et en ajoutant à cette pièce 425 grammes d'eau, cette quantité d'humidité était retirée de cette pièce pendant que se développait le fonctionnement de la presse sur elle. On a constaté que pendant l'opération de ventilation du procédé de repassage conforme à l'invention, 112gg,5 de cette humidité étaient retirés dans la première minute de l'opération, puis 112gr,5 étaient retirés dans la seconde minute ce qui faisait un total de 225   grammes.   Ensuite, pendant la course de pres- sage de la presse, on a trouvé qutelle mettait sept secon- des à retirer les200 grammes d'humidité restants de la piè- ce.

   On a constaté que cette humidité s'échappe aux extré- mités des éléments de repassage dans l'atmosphère.   Aussitôt   qu'on a ouvert la presse, on a constaté que le rembourrage était chaud, sec et souple et semblait neuf. 

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   La presse de l'invention peut être facilement adaptée pour humecter une pièce soumise au repassage en introduisant un jet d'eau dans la machine pour distribuer autant de gouttes d'eau par seconde dans l'air mis en circulation par la soufflerie qu'il est nécessaire. Par conséquent, la presse de l'invention peut être utilisée tant chez les tailleurs que dans les blanchisseries et teinturies, étant donné que l'humidité déchargée dans l'air en circulation humidifierait l'air et humecterait de cette façon la pièce de même que le rembourrage placé sur la table, en permettant d'exécuter facilement le tra- vail qui se fait dans ces entreprises. 



   Bien qu'on ait décrit un mode de réalisation préféré de l'invention, celle-ci n'est pas limitée aux détails décrits; la construction décrite est susceptible de recevoir de nombreuses modifications sans sortir du cadre de l'invention. 



   REVENDICATIONS -------------- 
1.- Un procédé de repassage consistant à confor- mer les pièces sur un coussin d'air chauffé et à sécher la pièce par l'air dégagé de ce coussin d'air. 



   2. - Un procédé de repassage, suivant la revendi- cation 1, comprenant l'utilisation du coussin d'air pour régler l'application de chaleur et de pression à la pièce. 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

  1. 3.- Un procédé de repassage., suivant la revendi- cation 1, comprenant l'opération consistant à soumettre les pièces à de la chaleur sans application de pression sensible sur ces pièces et à gonfler les pièces de façon à en retirer la vapeur. <Desc/Clms Page number 40>
    4.- Un procédé de repassage, suivant la reven- dication 1, comprenant l'opération consistant à créer une circulation d'air chaud à travers la pièce pour en retirer la vapeur et à gonfler la pièce pour la confor- mer et en retirer les faux-plis.
    5. - Un procédé de repassage, suivant la revcndi- cation 4, comprenant après cela l'application de chaleur et pression supplémentaires à la pièce pour compléter son repassage.
    6. - Un procédé de repassage, suivant; les reven- dications 2 et 5, comprenant l'opération consistant à faire circuler de l'air autour de la pièce pour en éloi- gner l'humidité et à utiliser cette huinidité pour humec- ter les lits ou parties adjacentes de la pièce soumise au repassage.
    7.- Un procédé de repassage, suivant les reven- dications 1 et 3, comprenant l'opération consistant à faire circuler de l'air d'une zone prédéterminée de la pièce vers une autre zone de cette pièce pour éloigner l'humidité de la pièce.
    8.- Un procédé de repassage, suivant la reven- dication 7, comprenant l'opération consistant à faire circuler de l'air de la partie centrale de la pièce vers sa périphérie pour enlever l'humidité de cette pièce.
    9. - Un procédé de repassage, suivant les reven- dications 1 et 3, comprenant l'opération consistant à placer la pièce sur un support garni d'un rembourrage sous lequel on fait circuler 1.'air- chaud pour le soumettre à la pression du coussin d'air chaud et à faire circuler une partie de l'air à travers le rembourrage et autour <Desc/Clms Page number 41> d'elle pour enlever l'humidité du rembourrage et de la pièce.
    10.- Une machine à repasser pour la mise en oeuvre du procédé suivant les revendications 1 à 9 et appartenant au type de machines à repasser comportant deux éléments de repassage coopérants, mobiles l'un par rapport à l'autre, et dans lequel l'un des éléments porte un rembourrage, carac- térisée par un dispositif servant à gonfler le rembourrage pour augmenter l'efficacité de l'opération de séchage de la pièce placée sur ce rembourrage.
    11.- Une machine à repasser, suivant la revendi- cation 10, comportant un dispositif pour amener l'un des éléments de repassage dans une position où il est à proxi- mité de l'autre élément et un dispositif pour gonfler le renbourrage placé sur'l'autre élément en conformant la pièce placée sur cet autre élément par contact avec le premier élément de repassage mentionné.
    12.- Une machine à repasser, suivant les revendi- cations 10 et 11, comprenant un dispositif pour faire cir- culer de l'air sous et à travers le rembourrage pour vapori- ser l'humidité quittant la pièce, ce dispositif faisant circuler l'air étant de puissance suffisante pour faire gonfler le rembourrage.
    13.- Une échine à repasser, suivant les reven- dications 10 et 12, comprenait un dispositif pour presser fermement les éléments de repassage l'un contre l'autre, après la conformation de la pièce contre la surface de tra- vail du premier élément de repassage mentionné pour compléter <Desc/Clms Page number 42> le repassage de la pièce.
    14.- Une machine à repasser, suivant la revendi- cation 10, dans laquelle une tête repasseuse est mobile par rapport à une table fixe, comprenatn un bras articulé re- lié à la tête mobile pour l'actionner, un système de leviers articulés relié à ce bras et un piston commandé par fluide relié au système de leviers articulés pour le détendre et amener la tête en coopération avec la table fixe.
    15.- Une échine à repasser, suivant les revendi- cations 10 et 14, dans laquelle le piston commandé par un fluide est relié à une partie intermédiaire du système de leviers articulés pour détendre celui-ci.
    16.- Une machine à repasser, suivant la revendica- tion 14, comprenant un contrepoids supporté de façon pivo- tante, relié au bras et disposé sous -le dispositif à pis- ton commandé par fluide pour ramener automatiquement la tête hors de coopération avec la table fixe lorsqu'on relâche la pression dans le dispositif à piston.
    17.- Une machine à repasser, suivant les revendi- cations 10 et 11, comprenant un moteur électrique pour produire la circulation d'air à travers la table fixe et un interrupteur à mercure pouvant être commandé par le bras de la tête mobile pour commander le foncationnement t di moteur.
    18.- Une machine à repasser, suivant les revendica- tions 10 et 14, comprenant deux pistons pouvant être com- mandés par un fluide sous pression, les cylindres de ces pistons étant reliés l'un à l'autre, de manière:que les pis- tons soient alignés, l'un des pistons étant relié à un élé- ment fixe de la machine et l'autre piston au mécanisme de <Desc/Clms Page number 43> leviers articulés qui est fixé à l'élément de repassage mobile.
    19.- Une machine à repasser, suivant les revendi- cations 14 et 18, comprenant un mécanisme de commande pour faire déplacer l'um das pistons afin d'abaisser l'élément de repassager mobile dans une position où il se trouve au- dessus rie l'élément de repassage fixe et pour actionner en- suite l'autre piston afin de presser les éléments de re- passage l'un contre l'autre.
    20.- Une machine à repasser suivant la revendica- tion 19, comprenant, dans le dispositif servant à commander le fonctionnement des pistons, une soupape pouvant être com- mandée pour bloquer les éléments de repassage afin de les empêcher de fonctionner, une autre soupape pouvant être commandée pour faire déplacer l'élément mobile et l'amener dans une position où il se trouve au-dessus de l'élément fixe et près de ce lui-ci, et un autre dispositif pouvant être commandé pour appliquée une pression sur l'élément de repassage mobile pour le presser en prise avec l'autre élé- ment.
    21.- Une machine à repasser, suivant la revendica- tion 20,dans laquelle les deux soupapes servant à permet- tre le fonctionnement sont disposées de façon qu'une ou- vrière doive en:?loyer ses deux mains pour les commander dans le but d'abaisser l'élément de repassage.
    22.- Une machine à repasser, suivant les reven- dicatioiis 14 et 18 à 21, comprenant un contrepoids dis- posé pour exercer à tous moments une force sur l'élément de repassage mobile, afin de le ramener à l'écart de l'élé- <Desc/Clms Page number 44> ment fixe, de façon qu'immédiatement au retour du disposi- tif de commande. à la position initiale l'élément de repas- sage mobile soit relevé à sa position supérieure.
    23.- Une machine à repasser, suivant les revedi- cations 19 et 20, dans laquelle l'une das soupapes est reliée au piston pour permettre, lors du fonctionnement, de faire passer du fluide sous pression au piston tandis s que l'autre soupape est reliée au piston de façon que lors de son fonctionnement elle arrête la distribution du fluide au piston pour permettre au piston d'abaisser la tête de repassage en coopération avac la table.
    24.- Une machine à repasser suivant les revendi- cations 20 et 21 comprenait un dispositif de soupape sup- plémetaire pouvant fonctionner pour fournir un supplément à la pression appliquée sur le piston pour presser la tê- te en prise étroite avec la table fixe.
    25.-. Une machine à repasser suivant les revendi- cations 20 et 24, comprenant dans le mécanisme de comunande un dispositif régulateur à tempspouvant fonctionner auto- matiquement à l'expiration d'un laps de temps prédéterminé pour relâcher la pression dans le dispositif commandé par fluide pour permettre à la tête d'être ramenée de sa posi- tion de coopération avec la table.
    26.- Une machine à repasser suivant les revendi- . cations 20 et 23, comprenant dans le mécanisme de commande une soupape de secours pouvant être commandée à la main pour libérer immédiatement la tête de la pression du dis- positif de commande par fluide sous pression, par lequel <Desc/Clms Page number 45> la tête repasseuse mobile peut être ramenée de la position de coopération avec la table.
    27. - Une machine à repasser suivant les revendi- cations 20 et 21, comprenant des chambres cylindriques pour le piston et une communication entre ces chambres à piston, comprenant une soupape de retenue et une soupape réductrice de pression pour permettre à la pression ré- gnant dans ces chambres d'être égalisée à un moment pré- déterminé.
    28. - Une machine à repasser suivant les revendi- cations 20 et 21, comprenant une source de fluide sous pression, le mécanisme pour commander la communication de la source de fluide sous pression aveo le dispositif de pistons comprenant des canalisations pour appliquer une pression réduite au piston pour amener au début la tête v;rs la table et des communications pour appliquer ensuite une plus grande pression sur ce dispositif à pis- ton pour presser la tête en prise avec la table.
    29.- Une machine à repasser suivant la revendica- tion 10 comprenant un bras articulé sur lequel la tête est supportée et une liaison pivotante entre l'extrémité libre du bras et le dessus de la tête combinée avec un dispositif élastique servant à pousser l'extrémité libre du bras en coopération avec la tête.
    30.- Une machine à repasser, en substance comme décrit et représenté et pour le but exposé. <Desc/Clms Page number 46>
    31.- Un procédé de repassage en substance comme décrit et pour le but exposé.
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