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perfectionnements aux ci- sailles actionnées par moteur
La présente invention a trait aux cisailles capables de couper des barres métalliques de section q@@le conque et destinées à être actionnées par un moteur @
On connaît déjà des cisailles de ce type qui sont munies d'un embrayage; l'ouvrier est alors obligé de présenter auxcouteaux la barre à cisailler, pille de commander l'embrayage;
il y a donc deux opérations dis- tinctes d'où une notable perte de temps . 0 Dans d'autres cisailles, les couteaux se ferment et s'ouvrent conti- y naellement à une cadence régulière dépendant de la > ¯
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vitesse du moteur L'ouvrier doit observer cette caden- ce et attendre une période d'ouverture des couteaux pour présenter la barre à couper;
l'attente de cette période d'ouverture peut ne pas être considérable, mais elle pro- voque une perte de temps notable lorsqu'elle se produit un grand nombre de fois
L'objet de la présente invention est d'éviter ces inconvénients par la réalisation d'une cisaille dans laquelle la coupe de la barre commence automatiquement aussitôt que celle-ci est présentée entre les couteaux sans que l'ouvrier ait à manoeuvrer un organe quelconque de commande , à cet effet la cisaille suivant l'invention comporte deux couteaux dont ltun est actionné par un mo- teur à piston et un dispositif de distribution conjugué avec le piston de telle façon que l'action motrice du fluide ne dure qu'autant qu'une résistance est opposée à l'avancement du piston,
d'où résulte que celui-ci prend un mouvement alternatif de très faible amplitude tant que le couteau mobile fonctionne à vide
Le réglage est tel que l'intervalle entre le couteau fixe et le couteau ainsi animé d'un mouvement pulsatoire est alors alternativement un peu plus grand et un peu plus petit que l'épaisseur de la barre à cisail.
1er ,
Cette dernière peut donc être introduite aisé- ment et instantanément entre les couteaux .
Les pulsations cessent aussitôt que la barre fait obstacle au déplacement rapide du couteau mobile et le fluide moteur agissant dès lors avec toute sa
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puissance sur le piston provoque le cisaillement voulu
Pour mieux faire comprendre l 'invention, deux formes d'exécution de la cisaille vont être maintenant décrites en référence au dessin annexé à titre d'exempl dans lequel :
La figo 1 est une coupe longitudinale axiale d'une première forme de la cisaille au moment où une ba re est introduite
La figo 2 est une coupe transversale suivant la ligne II-II de la fige 1 .
La fige 3 est une coupe horizontale faite sui- vant la ligne III-III de la fig. 1
La fige 4 est une coupe semblable à celle de 1 fige 1, aucune barre n'étant placée entre les couteaux .
La fige 5 est une coupe analogue à celle de la fige 4 les organes occupant une position différente
La fig. 6 montre un second mode de réalisation de l'invention .
La figo 7 est une coupe transversale suivant la ligne VII-VII de la fige 6
La cisaille représentée aux fig, 1 à 5 compor- te essentiellement un cylindre de presse pneumatique ou hy- draulique b avec un orifice d'arrivée 4 et un orifice d'échappement m, un piston e sur lequel un fluide soue pression agit en opposition avec un ressort k et dont la tige,± porte à son extrémité le coutéau mobile g .Le couteau fixe i est porté par une vis j traversant une butée a solidaire du cylindre .
Chaque couteau est fixé sur une pièce g1 ou il munie d'un doigt vertical &2 ou
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2 qui glisse dans une rainure ,g du bâti et qui 1 em pêche de tourner, bien que cette pièce g,l ou il smit montée dans un logement cylindrique de la tige de piston
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f ou de la vits 1 respectivement . Une soupape L montée dans le piston!. en face de l'orifice de sortie m, est reliée au piston par un re& sort n agissant par traction .
L'orifice communique
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avec un réservoir gdans lequel la pompe aspire le fluide sans pression pour le comprimer de nouveau , Le fonctionnement% est le suivant ; La pompe ... envoie constamment et régulièrement le fluide sous pres- sion par l'orifice 4 dans le corps de pompe ± et ce fluide pousse la piston e à rencontre de l'action du ressort k .La pression exercée par la pompe et la force
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des ressorts Qi et ày sont réglées de telle façon que, si @aucune barre n'est introduite entre les couteaux 1 et
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la poussée du fluide sur la soupape , soit tout d'- abord, au début du mouvement en avant du.
piston e, supé- rieur à la force de traction du ressort a de sorte que cette soupape reste fermée, pale la tension du ressort
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n croissante la soupape est écartée de 1'orifice µy laissant s'échapper le fluide sous pression et permet- tant au ressort , de ramener à sa position de départ le piston et la soupape 1 qui vient à nouveau fermer
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l'orifice d'échappement a . Le cycle est alors terminé et le mouvement de va-et-vient du piston se reproduit de marne .
La pression du fluide et les forces des deux ressorts ¯4 et n sont de plus réglées de façon que le déplacement alternatif du piston soit très limitée de
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l'ordre de deux millimètres et demi à trois millimètres et suffisamment rapide pour que le piston puisse être considéré comme étant animé d'une série de pulsations.
On règle à l'aide de la vis N la position du couteau 1 relativement à celle du couteau & de manière que leur intervalle maximum soit supérieur d'environ deux millimètres à l'épaisseur de la barre à cisailler.
Grâce à ce réglage de l'intervalle des cou- teaux et à celui de la vitesse des pulsations on peut introduire presque instantanément et très facilement la barre que l'on présente entre les couteaux ,
Le piston est alors empêché par la barre à couper ¯4 d'avancer aussi rapidement que précédemment et la pression dans le corps de la presse .
augmente suffisamment vite pour que la traction du ressort n, lorsqu'elle commence à agir, soit insuffisante pour vaincre la pression du fluide compresseur sur la sou- pape l de sorte que celle-ci reste fermée pendant le restant de la course du piston, c'est-à-dire jusqu'à ce que la barre soit complètement cisaillée , Par contre, aussitôt que la barre est cisaillée, la pres- sion du fluide dans le corps de presse diminue brusque- ment et ne contrebalance plus la traction du ressort n qui devient assez forte pour arracher la soupape 1 de son siège, ce qui provoque l'échappement du fluide compresseur par l'orifice m,
le retour du piston à sa position initiale et le recommencement de son mouve- ment de pulsation jusqu'à ce qu'une nouvelle barre soit présentée entre les couteaux
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Suivant la forme de réalisation de la essaille représentée par la fig. 6, le ressort n est monté de telle sorte qu'il agisse sur la soupape 1 par compression;
et le ressort hélicoïdal k est remplacé par un ressort p en lame en forme de V tendant à s'ouvrir et à écarter les extrémités de la vis j et de la tige! en s'appuyant sur elles par l'intermédiaire de pièces q q1 qui portent les couteaux g et i et qui sont logées dans des alvéoles circulaires ménagés dans les extrémités de la via 1 et de la tige!;
le ressort p est engagé à frottement doux dans une mortaise,± pratiquée dans le bâti et ses branches em- pêchent les pièces q q1 de tourner l'une part rapport à 1'autre, assurant ainsi le parallélisme des couteaux mal- gré les rotations éventuelles de la vis j par rapport à la tige .f
Le fonctionnement est évidemment le même que dans le cas précédent
Dans la forme d'exécution décrite la tension du ressort a varie directement avec la distance entre le piston et la soupape,
mais on conçoit facilement qu'on pourrait au besoin adjoindra entre la soupape et le pis- ton un dispositif mécanique quelconque propre à modifier la tension du ressort a agissant pour fermer la soupape suivant touta loi désirée en fonction du déplacement du piston , On paut aussi prévoir des dispositifs de régla- ge quelconques propres à modifier la tension initiale du ressort n .
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improvements to motor-driven shears
The present invention relates to shears capable of cutting metal bars of section q @@ the conch and intended to be actuated by a motor @.
Shears of this type are already known which are provided with a clutch; the worker is then obliged to present the shearing bar to the knives, and to control the clutch;
there are therefore two distinct operations resulting in a significant loss of time. 0 In other shears, the knives continuously close and open at a regular rate depending on the> ¯
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motor speed The worker must observe this speed and wait for a period of opening of the knives to present the bar to be cut;
waiting for this opening period may not be long, but it causes a noticeable waste of time when it occurs a large number of times
The object of the present invention is to avoid these drawbacks by providing a shear in which the cutting of the bar begins automatically as soon as it is presented between the knives without the worker having to operate any member. control, for this purpose the shears according to the invention comprises two knives, one of which is actuated by a piston motor and a distribution device combined with the piston in such a way that the driving action of the fluid lasts only as long as a resistance is opposed to the advancement of the piston,
from which results that this one takes a reciprocating movement of very low amplitude as long as the movable knife operates empty
The adjustment is such that the interval between the fixed knife and the knife thus driven by a pulsating movement is then alternately a little larger and a little smaller than the thickness of the shear bar.
1st,
The latter can therefore be inserted easily and instantly between the knives.
The pulsations cease as soon as the bar obstructs the rapid movement of the mobile knife and the motor fluid therefore acts with all its power.
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power on the piston causes the desired shear
To better understand the invention, two embodiments of the shears will now be described with reference to the accompanying drawing by way of example in which:
Figo 1 is an axial longitudinal section of a first form of the shears when a ba re is introduced
Figo 2 is a cross section along line II-II of fig 1.
Figure 3 is a horizontal section taken along line III-III of FIG. 1
The pin 4 is a cut similar to that of 1 pin 1, no bar being placed between the knives.
Fig 5 is a section similar to that of fig 4, the members occupying a different position
Fig. 6 shows a second embodiment of the invention.
Figo 7 is a cross section along the line VII-VII of fig 6
The shears shown in figs, 1 to 5 essentially comprise a pneumatic or hydraulic press cylinder b with an inlet port 4 and an outlet port m, a piston e on which a fluid under pressure acts in opposition. with a spring k and the rod of which ± carries the mobile knife g at its end. The fixed knife i is carried by a screw j passing through a stop a integral with the cylinder.
Each knife is fixed on a part g1 or it provided with a vertical finger & 2 or
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2 which slides in a groove, g of the frame and which 1 prevents it from turning, although this part g, l or it is mounted in a cylindrical housing of the piston rod
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f or speed 1 respectively. A valve L mounted in the piston !. opposite the outlet orifice m, is connected to the piston by a return n acting by traction.
The orifice communicates
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with a reservoir g in which the pump sucks in the fluid without pressure to compress it again,% operation is as follows; The pump ... constantly and regularly sends the pressurized fluid through port 4 into the pump body ± and this fluid pushes the piston e against the action of the spring k. The pressure exerted by the pump and strength
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of the springs Qi and ày are adjusted in such a way that, if @no bar is introduced between the knives 1 and
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the thrust of the fluid on the valve, that is first of all, at the beginning of the forward movement of the.
piston e, greater than the tensile force of the spring a so that this valve remains closed, the spring tension is reduced
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Increasingly, the valve is moved away from the orifice µy allowing the pressurized fluid to escape and allowing the spring to return the piston and valve 1 to its starting position, which again closes
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the exhaust port a. The cycle is then completed and the back and forth movement of the piston is reproduced by marl.
The fluid pressure and the forces of the two springs ¯4 and n are further adjusted so that the reciprocating displacement of the piston is very limited by
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the order of two and a half to three millimeters and fast enough for the piston to be considered as being driven by a series of pulses.
The position of the knife 1 relative to that of the knife & is adjusted by means of the screw N so that their maximum interval is approximately two millimeters greater than the thickness of the bar to be sheared.
Thanks to this adjustment of the interval of the knives and that of the speed of the pulsations, it is possible to insert almost instantaneously and very easily the bar which is presented between the knives,
The piston is then prevented by the cutting bar ¯4 from advancing as quickly as before and the pressure in the body of the press.
increases quickly enough so that the traction of the spring n, when it begins to act, is insufficient to overcome the pressure of the compressor fluid on the valve l so that the latter remains closed for the remainder of the piston stroke, that is, until the bar is completely sheared. On the other hand, as soon as the bar is sheared, the pressure of the fluid in the press body drops sharply and no longer counterbalances the tension of the spring n which becomes strong enough to tear valve 1 from its seat, which causes the compressor fluid to escape through orifice m,
returning the piston to its original position and recommencing its pulsating movement until a new bar is presented between the knives
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According to the embodiment of the set shown in FIG. 6, the spring n is mounted so that it acts on the valve 1 by compression;
and the coil spring k is replaced by a v-shaped leaf spring p tending to open and spread the ends of the screw j and the rod! by relying on them by means of parts q q1 which carry the knives g and i and which are housed in circular cells formed in the ends of the via 1 and of the rod !;
the spring p is engaged with gentle friction in a mortise, ± made in the frame and its branches prevent the parts q q1 from turning relative to each other, thus ensuring the parallelism of the knives despite the rotations any of the screw j in relation to the rod .f
The operation is obviously the same as in the previous case
In the embodiment described, the tension of the spring a varies directly with the distance between the piston and the valve,
but we can easily see that we could, if necessary, add between the valve and the piston any mechanical device suitable for modifying the tension of the spring acting to close the valve according to any desired law according to the displacement of the piston. provide any adjustment devices suitable for modifying the initial tension of spring n.