BE364016A - - Google Patents

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BE364016A
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Publication of BE364016A publication Critical patent/BE364016A/fr

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    • CCHEMISTRY; METALLURGY
    • C10PETROLEUM, GAS OR COKE INDUSTRIES; TECHNICAL GASES CONTAINING CARBON MONOXIDE; FUELS; LUBRICANTS; PEAT
    • C10JPRODUCTION OF PRODUCER GAS, WATER-GAS, SYNTHESIS GAS FROM SOLID CARBONACEOUS MATERIAL, OR MIXTURES CONTAINING THESE GASES; CARBURETTING AIR OR OTHER GASES
    • C10J3/00Production of combustible gases containing carbon monoxide from solid carbonaceous fuels

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  • Chemical & Material Sciences (AREA)
  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Combustion & Propulsion (AREA)
  • Oil, Petroleum & Natural Gas (AREA)
  • Organic Chemistry (AREA)
  • Production Of Liquid Hydrocarbon Mixture For Refining Petroleum (AREA)
  • Hydrogen, Water And Hydrids (AREA)

Description


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  Perfectionnements à la fabrication de gaz 
La présente invention se rapporte la fabrication de gaz de puissance calorifique appropriée pour l'usage indus- triel ou domestique. 



   D'une fagon générale,   l'invention   a pour objet un procédé de fabrication d'un tel gaz, dans lequel de grandes quantités d'hydrocarbures fluides peuvent être utilisées avec une plus grande efficacité et sans les inconvénients inhérents aux procédés connus dans ce but. L'expression hydrocarbures fluides doit comprendre les hydrocarbures gazeux, tels que le gaz d'huile constituant un sous-produit des raffineries   dhui-   le et le gaz naturel aussi bien que les hydrocarbures liqui-   des tels q-ue-le   gas-oil et le pétrole. Ces substances seront 

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 appelées ci-après gaz d'huile. 



   Dans les procédés actuels de fabrication du gaz à l'eau carburé, la quantité de gaz d'huile dans le gaz défini- tif est relativement faible en comparaison de la quantité de gaz   l'eau   bleu, la proportion exacte dépendant du nombre de calo- ries exigé dans chaque localité. L'utilisation de grandes quantités d'huile ou de gaz d'huile pour   l'enrichissement   dans les procédés actuellement en usage nécessiterait la production de quantités correspondantes de gaz bleu. 



   Toutefois dans certaines localités où l'on dispose abondamment et à bas   prix. d'hydrocarbure s   fluides, par exemple d'huile au voisinage des puits de pétrole, ou de gaz d'huile dans le voisinage de raffineries qui produisent du gaz d'hui- le à pouvoir calorifique élevé   comme   sous produit, il peut ne pas être désirable, pour utiliser cette huile ou ce gaz d'huile, de produire la quantité de gaz bleu nécessaire à la fabrication du gaz à l'eau carburé par les procédés usuels. 



   Les   marnes   objections s'appliquent à l'emploi de grandes quantités de gaz naturel simplement pour enrichir le gaz à l'eau bleu. 



   En ces endroits, pour utiliser de grandes quantités de ces hydrocarbures fluides sans produire de grandes quan-   tités   de gaz bleu, on doit les soumettre au cracking donnant des gaz réformés de pouvoir calorifique moins élevé que le gaz d'huile produit dans les procédés actuels de fabrication de gaz à l'eau carburé. 



   Il existe actuellement certains procédés qui permet- tent d'obtenir ce résultat. L'un de ces procédés pour l'utili- sation d'une huile peu coûteuse, par exemple, est décrite   dams   ses grandes lignes   ci-après:   on brûle une partie de   lthui-   le pour chauffer des récupérateurs remplis d'empilages de 

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 briques, on fait passer le restant de l'huila avec de la vapeur à travers les empilages de briques chauffa on la vaporise et on la soumet au cracking jusqu'à obtention du pouvoir calorifique désiré pour l'usage domestique ou indus- triel. La vapeur réagit avec une certaine quantité du car- bone en excès dégagé par le gaz lors du cracking pour former le gaz à l'eau.

   La majeure partie de cet excès de carbone   n4est   toutefois pas utilisé de cette fagon et donne lieu à une très grande quantité de noir de fumée$ qui est incommode à manipuler et difficile a placer. Ce noir do fumée repré- sente aussi une portion considérable du pouvoir calorifique de   lhuile   originale qui n'est pas utilisé au cours du pro- cédé ou ne se trouve pas dans le gaz définitif. 



   On a soumis au cracking le gaz naturel de la même 'manière, également avec formation de très grandes quantités de noir de fumée. 



   On ne connait pas de procédé utilisant de grandes- quantités d'hydrocarbures fluides pour la fabrication de   @   gaz commercial, qui ne soit accompagné de la production inop-      portune de noir de famée et des pertes qui en résultent au point de vue économique. 



   Le but principal de cette invention est de fournir un procédé exempt de ces inconvénients, évitant les ennuis résultant du noir de fumée, utilisant efficacement   l'excès   de carbone pour la production de gaz et présentant un rende- ment élevé par unité d'hydrocarbure fluide original. En outre, le procédé présente une grande souplesse au point de vue du pouvoir calorifique et du poids spécifique du gaz produit. 



   Cette souplesse offre un grand avantage lorsque le procède est employé pour desservir un réseau de distribution n 

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 raccordé à d'autres sources de gaz, comme par exemple   du .   gaz de fours à coke ou du gaz à l'eau carbure ou du gaz de ces deux origines. Par suite des variations qui se produisent dans le débit et dans la charge, le maintien d'un poids spéci- fique du gaz distribué suffisamment uniforme pour éviter de devoir réajuster les brûleurs, est souvent difficile à conci- lier avec l'utilisation la plus économique des différentes sources de gaz, et pour réaliser cette économie, la plus grande souplesse de fonctionnement est désirable.

   La possibi- lité de produire un gaz qui peut être   remplace,   au point de vue du pouvoir calorifique et du poids spécifique, par celui d'une source différente et la possibilité de mélanger   les   gaz de deux sources de manière que le gaz mixte puisse être rem- placé au point de vue du pouvoir calorifique et du poids spé- cifique par un troisième gaz, constitue un avantage très appré- ciable. 



   Le présent procédé offre également Davantage de pouvoir être réalisé, si on le désire dans un gazogène pour gaz à l'eau normal. Ceci assure une plus grande souplesse du fait que si la source d'hydrocarbure fluide par exemple de gaz d'huile ou de gaz naturel, vient à se   taxir   ou à diminuer, l'appareil peut être employé sans délai pour la production de gaz à, l'eau carburé ordinaire. 



   On peut dire, d'une fagon générale, que l'invention consiste à introduire dans le procédé de fabrication d'un gaz mixte d'huile et de   gaz à     l'eau   bleu de toute puissance calo- rifique déterminée, par le cracking de gaz d'huile avec dépôt de carbone et dégagement de gaz à l'eau bleu dans une couche de   combustibles   en ignition par insufflation   d'air   et de vapeur, une caractéristique nouvelle qui consiste à   limiter   sensible- ment le dégagement du   gaz à   l'eau bleu au volume nécessaire 

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1 pour consommer le carbone déposé' de manière   à   économiser le      combustible solide, et une   caractéristique   additionnelle,

   qui consiste à emmagasiner de la chaleur dans la couche de com-   bustible,   principalement en brûlant du carbone déposé. 



   Le   dépôt   de la presque totalité de carbone dans la couche de combustible et son utilisation en cet endroit permettant d'éviter les   ennuis   dùs au noir de fumée et la perte résultante au point de vue économique. En même temps le      carbone est utilise de telle manière qu'on évite son accumula- tion dans la couche de combustible.

   De faibles quantités d'hy- drocarbures fluides peuvent être soumises au cracking;dans une couche de combustible sans donner lieu à, l'accumulation de carbone en excès* mais   lorsqu'on   en utilise de grandes   quan-     tités,   il se dépose un tel excès de carbone que si on en per- met l'accumulation, les interstices de la couche de combusti- bles   se bouchent   et il est impossible dans   ces   conditions d'obtenir un fonctionnement continu et économique.

   Si par exemple du gaz d'huile est soumis au cracking dans une couche de coke incandescent en grandes quantités et si on laisse le carbone en excès s'accumuler, le coke   s'agglutine   en formant une couche pour ainsi dire compacte dans la charge de combusti- ble; le soufflage provoque la formation de trous de tirage à la périphérie et les vagues suivantes d'hydrocarbures passent à travers le lit de combustible sans qu'il y ait cracking. 



   D'autre part, l'absence d'accumulation de carbone en excès et le maintien d'une couche de combustible libre et dégagée permet de réaliser un cracking   uniforme   et économique en marche continue. 



   Les principes généraux exposes ci-dessus peuvent être mis en pratique de différentes manières. Quelques modes de réalisation sont décrits ci-dessous avec référence aux des- 

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 sins annexés qui représentent des formes d'exécution   d'appa,-     reils   choisis à titre d'exemples comme étant aptes à réaliser   l'invention   et dans lesquels:

   Fig. 1 est une coupe verticale d'un gazogène contenant une charge de combustible, propre   à.   la réalisation de   l'invention,   
Fig. 2 est une coupe verticale partiellement en élévation d'un appareil dans lequel, si on le désire on peut réaliser aussi bien les procédés ordinaires de fabrication de gaz   à   l'eau carburé, que le procédé suivant la présente invention, et   Fige 3   est une vue semblable d'un appareil à l'aide duquel l'invention peut être réalisée dans des localités où l'on estime inutile de pouvoir fabriquer le gaz   à   l'eau   carbu-   ré par les procédés ordinaires. 



   Sur la Fige   1,   1 désigne d'une façon générale un gazogène contenant une charge de combustible 2 portée par   la.   grille 3 qui peut être formée d'un décendreur mécanique. 



  L'installation comprend un dispositif pour insuffler de l'air dans la masse en   combustion   et ce dispositif peut consister en un appareil 4 pour insuffler l'air de bas en haut ou un appareil 5 pour l'insuffler de haut en bas, ou bien il peut consister dans la combinaison de ces deux appareils. 6 désigne une conduite pour évacuer les gaz soufflés d'au-dessus de la couche de combustible   et ?   est une conduite d'évacuation sem- blable partant de dessous la charge de combustible, cette der- nière conduite pouvant être établie si le soufflage se fait de haut en bas. 



   Les conduites d'évacuation des gaz soufflés communi- quant avec la cheminée non représentée et, si on le désire, mènent d'abord les gaz à une chaudière de récupération et/ou des régénérateurs, en vue de récupérer la chaleur emportée 

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 par les g4z de combustion. 8 et 9 désignent des conduites   d 1 évacuation   de gaz commefcial débouchant au-dessus et   en-   dessous de la charge de combustible et communiquant avec le récipient laveur a. 10 et 11 sont des arrivées de   vapeur   envoyant celle-ci respectivement de bas en haut et de haut en bas. 12 et   13' désignent   les arrivées d'hydrocarbures gazeux:

   au-dessus et en-dessous de la charge de combustible,, respectivement.   14 et   15 désignent des portes de cendrier et 16 une porte de nettoyage. 18 désigne l'orifice de charge- ment du combustible. 



   Il est entendu que bien que tous les dispositifs ci-dessus décrits puissent être employas dans les diverses variantes de réalisation du procédé, il n'est pas nécessaire de les employer tous ennjointement pour exécuter chacune de ces variantes. 



   Un mode de réalisation de l'invention est décrit ci-dessous avec référence à la Fig. 1, 
La masse poreuse de combustible en ignition 2, de préférence du coke. est traversée de   bas-on   haut par un cou- rant d'air qui est soufflé en 4, les gaz soufflé s'échappant par la conduite d'évacuation 6. Lorsque la masse a été por- tée é une température suffisante, on arrête le courant d'air et on admet par la conduite   13,le   gaz d'huile, constituant par exemple le sous-produit d'une raffinerie d'huile, dans l'espace situé sous la masse de combustible, et on le fait cirouler de bas en haut à travers la charge.

   Au cours de som passage à travers la masse de combustible il est soumis au cracking et donne lieu à un gaz   d'huile   d'une pouvoir calori- fique moins élevé qui se tend par la conduite d'évacuation 8 et le récipient laveur a au réservoir d'accumulation. Le degré du cracking dépend de la température de la charge de 

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 combustible et de la quantité de gaz d'huile qui la traverse pendant un intervalle de temps détermine.

   Le carbone en excès se dépose dans une forte mesure dans la partie de la masse de combustible où l'insufflation d'air est la plus intense, de telle sorte qu'il y est consumé le plus rapidement pendant la période de soufflage suivante et ne peut pas s'y accumuler, 
Le sens du courant de gaz d'huile peut être renversé pendant chaque cycle ou au cours de cycles successifs, la circulation se faisant d'abord de bas en haut à travers la charge en ',- combustion et ensuite de haut en bas (l'arrivée se faisant par le tuyau 13 ou le tuyau 12) ou vice   versa..   Cette circu- lation ascendante et descendante du gaz   d'huile   a pour effet d'améliorer les conditions de combustion.

   Une circulation exclusivement ascendante tend à surchauffer le sommet de la charge de combustible et à en refroidir la base, tandis qu'une circulation exclusivement descendante tend à surchauffer la base de la charge et les barreaux de la grille. La circulation descendante provoque aussi le dép8t dumcarbone en excès   au-   dessus de la zône de soufflage oh il est plus difficilement   consuma   par le courant d'air. Ceci se produit lorsqu'on souffle l'air de bas en haut. Si l'on souffle l'air de haut en bas en admettant   l'air   en 5. le carbone en excès.provenant de la circulation descendante du gaz d'huile se dépose en grande partie dans une zône soumise à un soufflage intense. 



   Toutefois, il est préférable de souffler l'air de bas en haut et de faire circuler au moins une partie considérable du gaz d'huile de bas en haut dans le même sens que le courant d'air. 



   Si l'on se fie uniquement au soufflage de l'air pour consumer le carbone en   excès,,   en vue d'empêcher son   accumula-   tion et de maintenir le feu libre et dégagé, la charge de com- bustible devient trop chaude et on emploie une quantité d'air 

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 plus grande que celle nécessaire pour réaliser le cracking du gaz d'huile dans les conditions d'économile les plus favo-   raibles.   Pour cette raison, après accomplissement de plusieurs cycles, comprenant chacun une période de soufflag e d'air et une période de circulation du gaz d'huile à travers la charge de combustible.

   il est préférable de faire passer   à   travers cette dernière un courant de vapeur soit ascendant soit des-   cendant,   ou ascendant et descendante en admettant de la va-      peur par les tuyaux 10 et 11 respectivement, ou par 10 et 11 alternativement. La vapeur réagit avec le carbone en excès pour former du gaz à l'eau bleu qui se rend aux gazomètres, consume l'excès de carbone et facilite l'insufflation de l'air en empêchant l'accumulation de carbone dans la masse de combu-   stible.   



   Au lieu d'admettre la vapeur par intervalles, après l'accomplissment de plusieurs cycles comportant des périodes de soufflage d'air et de circulation de gaz   d'huile,   on peut faire passer de la vapeur dans la charge de combustible de bas en haut ou de haut en bas, après chaque passage du gaz d'huile 
On peut aussi admettre de la vapeur avec le gaz d'huile pendant le passage de celui-ci à travors la couche de combustible et on peut évidemment admettre de petites quanti- tés de vapeur pour balayer les gaz soufflas et le gaz d'huile quand c'est nécessaire. 



   Au lieu de faire succéder au soufflage d'air le pas- sage du gaz d'huile à travers la couche de combustible, on peut faire passer de la vapeur   à   travers celle-ci pour pro- duire du gaz bleu, après quoi on peut faire passer le gaz d'huile. Par exemple, on peut enyor le courant d'air de bas en t et lancer ensuite un courant de vapeur de haut 

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 en bas, ce qui a pour effet de porter la chaleur vers la base de la charge de combustible, puis ensuite faire passer le gaz d'huile de bas en haut. 



   Suivant l'inventio un gaz tel que celui obtenu comme sous-produit dans les raffineries   d'huile,   produit en dehors de l'installation et déjà débarrassé de ses produits de valeur tels que la gazoline, les huiles légères, etc... , peut être employé économiquement pour produire un gaz pour la consommation. L'un des avantages de l'invention est de pou- voir utiliser un pareil gaz étranger dans un récipient uni- que si on le désire. 



   Dans la description qui précède, on a choisi le gaz d'huile à titre d'exemple. D'autres hydrocarbures gazeux étrangers analogues comme par exemple, le gaz naturel, peu- vent être utilisés comme c'est décrit ci-dessus. 



   Il ressort de la description ci-dessus que la cha- leur emmagasinée dans la charge de combustible provient prin- cipalement de la combustion du carbone dépose, de telle sorte que la production de   gaz     l'eau   bleu peut être limitée à peu près au volume nécessaire pour consommer le carbone dépose qui n'est pas consommé par le courant d'air, mais évidemment, on peut produire plus de gaz à l'eau bleu si l'on brûle une   cer--   taine quantité de combustible solide pour augmenter la provi- sion de chaleur de la charge. 



   Sur la Fig. 2, la construction de l'appareil et la réalisation du procédé sont   à   peu près les marnes que ci-des- sus, à l'exception de ce qui suit: 31 désigne le gazogène d'une installation de gaz à l'eau carburé, 32 est le carbura- teur, 33 le surchauffeur. Le gazogène est pourvu d'une ouver- ture de soufflage d'air   341 et   d'ouvertures d'admission de va- peur 35 et 36. pour la circulation ascendante et descendante, 

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 respectivement. La vapeur pour la circulation descendante peut être introduite en 37 par exemple. Dans l'installation représentée, le gazogène est raccordé 4 sa base et à son som- met au carburateur par des raccords   à   vannes   38' et   39.

   Le gazogène est également muni d'une conduite d'évacuation 40 à la partie   inférieure,   qui communique avec le récipient   la-   veur   41,   par un raccordement non représenté. Le surchauffeur est aussi raccordé au récipient laveur comme c'est représenté. 



   Le gazogène peut être pour= de tuyaux d'admission à vannes 52 et 53 pour faire passer le gaz d'huile ou autre hydrocarbure, gazeux non produit dans l'installation, de bas en haut ou de haut en bas à travers la charge de combustible, respectivement. La charge de combustible est indiquée en 54. 



  Un dispositif pour l'admission d'hydrocarbure gazeux peut être établi en   55,,et   est relié au sommet du surchauffeur. On peut admettre de l'huile au carburateur ou au surchauffeur, par les conduites 56 et 57 respectivement. 58 désigne la cheminée du surchauffeur, 59 est une porte pour le nettoyage du   gazogè-   ne et ce dernier est aussi pourvu de portes de cendrier qui ne sont pas représentées. 60 est l'orifice de chargement du combustible. On peut également établir un conduit   d'évacuation   de   gaz ,   vanne 61 qui communique avec le récipient laveur par l'intermédiaire d'une conduite non représentée. 



   Le fonctionnement de l'appareil ci-dessus décrit peut être conduit suivant le procédé ordinaire employé pour la fabrication du gaz à l'eau carburé, et qui est trop connu pour qu'il soit nécessaire d'en donner une   description.   



   En utilisant cet appareil pour réaliser l'invention, on peut employer des quantités relativement grandes d'hydro- carbures gazeux produit au dehors, ainsi qu'il a été décrit 

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 prudemment, ou de grandes quantités d'hydrocarbures liqui- des tels que le gas oil le pétrole, etc... Le terme "huile" employé dans la. description doit   /âtre   considéré comme dési- gnant n'importe quel liquide de ce genre. Toutefois,   lorsqu'on   emploie du gaz d'huile provenant d'une source étrangère, on l'introduit dans la masse de combustible sous forme de gaz, d'huile, et lorsqu'on emploie de l'huile, on latransfonsforme en gaz-d'huile et on l'introduit comme tel dans la masse de com-   bustible.   



   Comme dans la description ci-dessus, on porte la couche de combustible 54 à l'incandescence et on la, maintient dans cet état par un soufflage approprié d'air et entre les différentes périodes de soufflage, on intercale des périodes de fabrication de gaz. 



   Le soufflage d'air ascendant peut s'effectuer en admettant de l'air en 34, les gaz   entraînes   par le courant d'air passant par le carburateur et le surohauffeur pour se rendre à la cheminée. De l'air est admis en 22, par exem- ple, pour achever leur combustion. La. chaleur des   gaz;   soufflés est emmagasinée dans les empilages de briques du carburateur et du surchauffeur que l'on peut considérer comme un   récupéra-   teur. On peut alors introduire le gaz d'huile dans le surchauf feur, en 55 par exemple, et le faire passer d'avant en arrière par le surchauffeur et le carburateur; dans ces récipients il subit un léger cracking et le cracking désiré est complété pendant sa descente à travers la couche de combustible en ignition du gazogène.

   Le carbone en excès se dépose en substan- ce dans la couche de combustible ainsi qu'il a été décrit pré-   cédemment,,   le gaz reforma s'échappant en 40 pour se rendre au récipient laveur. La. circulation du gaz d'huile à travers la couche de combustible peut alors être renversée et le gaz 

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 d'huile être introduit en 52 pour circuler de bas en haut   à.   travers le combustibles le gaz résultant reformé pasasnt à travers le carburateur et le surchauffeur pour se rendre au récipient laveur. Ensuit on peut faire circuler de bas en haut de la vapeur admise en 35, le gaz à l'eau bleu passant par le carburateur et le surchauffeur pour se rendre au ré- cipient laveur.

   Ou bien on peut faire circuler la vapeur de haut en bas en l'admettant dans le gazogène en 36 par exemple, ou dans le surchauffeur en l'admettant en 37,, ou dans ces deux appareils ou bien on peut provoquer une circulation descen- dante et ascendante en admettant la vapeur en 35 et 36 et une circulation ascendante et une circulation descendante en admettant la vapeur en 37. le gaz   à.   l'eau blou provenant des circulations descendantes se rend au récipient laveur en quit- tant la partie inférieure du gazogène par la canalisation 40, celui provenant des circulations ascendantes ou descendantes   S'en   va par   1*orifice   d'évacuation 23 au sommet du gazogène. 



  Pendant que du gaz d'huile passe de   5¯5, vers     1 t arrière   en traversant le surchauffeur, on peut introduire un courant de vapeur dirigé vers l'arriére, 
On peut faire passer la vapeur à travers la couche de combustible pendant chaque cycle de soufflage d'air et de circulation de gaz d'huile, ou bien à des intervalles dé- termines, par exemple après deux cycles successifs ou   davanta-     Se*   sans admission de vapeur, sauf pour le balayage, ou après deux ou plusieurs cycles successifs au cours desquels on n'envoie aucun   courait   formé exclusivement de vapeur, sauf pour le balayage. 



   On peut renverser le sens du courant de gaz d'huile pendant le cycle ou bien on peut changer de sons au cours de 

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 cycles successifs. De même, la totalité ou une partie du gaz   d'huile,circulant   de haut en bas peut être introduite au sommet du gazogène, en 53 par exemple, ou dans le carburateur, en 24 par exemple. 



   On peut faire passer le gaz d'huile introduit dane le,surchauffeur ou dans le carburateur, de bas en   haut à   travers-le gazogène au lieu de le faire circuler de haut en bas, en se servant d'une conduite 38 entre le carburateur et le gazogène, et on peut employer ce moyen de renverser le cou- rant de= gaz d'huile à travers la. couche de combustible au lieu d'introduire le gaz à l'huile en courant ascendant en 52 par exemple. 



   Pour obtenir le meilleur   fonctionnement,Inexpérience   à montré qu'il était désirable de pousser le cracking dans la couche de combustible à un point tel que le mélange de gaz   d'huile     reforma   et de gaz à l'eau bleu engendré en maintenant le feu libre et dégagé, présente un pouvoir   calorifique   infé- rieur , celui qui est actuellement admissible pour le gaz dis- tribué au public dans la plupart des localités, et nécessite un enrichissement. 



   Cet enrichissement peut être réalisé d'un grand nom- bre de manières différentes. Lorsqu'on admet du gaz d'huile dans le surchauffeur, en 55 par exemple, et qu'on le fait pas- ser vers l'arrière à   travers   le surchauffeur et le carburateur, il est soumis à un léger cracking dans ces récipients.

   Une cer- taine quantité de ce gaz ayant subi ce léger cracking peut   être   soutira par exemple par le conduit 61, et être mélangée avec le gaz dont le cracking a été poussé plus loin et qui a passé   à   travers la charge de combustible et s'est ensuite mélan- gé avec le gaz à   l'eau.   Ou bien, pendant la course ascendante   du gaz,d'huile   qu'on a fait passer à travers le carburateur et 

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 le surchauffeur après lui avoir fait traverser la couche de combustible, on peut enrichir le gaz reforme en admettant un supplément de gaz d'huile, en 24 par exemple, ou en 5,3 Ce gaz additionnel est soumis à un léger cracking dans le carbu- rateur et le surchauffeur pqur servir l'enrichissement.

   Pen- dant une circulation ascendante du   gaz ,   l'eau bleu, qu'on fait passer   à.   travers le carburateur et le surchauffeur, on peut aussi effectuer l'enrichissement en admettant du gaz   d4huile   en 53 ou en   24  ce gaz étant soumis à. un léger crac- king comme il a été décrit ci-dessus, 
On peut également effectuer l'enrichissement en utilisant une petite quantité du gaz d'huile primitif, en 55 par exemple, pendant le passage du gaz à   l'eau   bleu ou du gaz reformé à travers le surchauffeur vers le récipient laveur. 



   Dans la description ci-dessus, l'expression "gaz d'huile" est employée pour désigner également un hydrocarbure gazeux non produit dans la charge de combustible de   l'appareil.   



   A l'aide de l'appareil représenté sur la Fig.2 on peut aussi utiliser efficacement pour la réalisation du pro- cédé un hydrocarbure liquide tel que du gas-oil ou du pétrole. 



   De l'air est souffle dans le feu en   34,   comme décrit précédemment, les gaz soufflés étant brûles dans le carburateur et dans le surchauffeur où. leur chaleur est accumulée, On peut alors admettre de l'huile, en 57 par exemple au sommet du sur- Chauffeur, la vaporiser et la soumettre partiellement au cras- king dans le surchauffeur et le carburateur, puis de là,- la faire passer de bas en haut ou de haut en bas ou alternative- ment de bas en haut et de haut en bas, ou de haut en bas et de bas en haut à travers la couche de combustible de manière à      

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 compléter le cracking jusqu'au degré désire, détermine par les conditions de chauffage et la quantité d'huile admise. 



  La connexion 38 est utilisée pour la circulation ascendante à travers la couche   de-, combustible   et le gaz est évacue par l'orifice 23. On peut provoquer la circulation de courants ascendants ou descendants ou d'avant en arrière comme c'est décrit ci-dessus à propos de l'utilisation d'un hydrocarbure gazeux étranger. Comme précédemment, les cycles peuvent com- prendre des périodes de circulation de vapeur ou bien on peut faire circuler la vapeur à 9ntervalle s détermines après deux ou plusieurs cycles successifs comportant des souffla- ges   d'air   et des circulations d'huile avec une quantité de vapeur suffisante pour le balayage. On peut admettre de la vapeur avec l'huile comme   c'est   décrit ci-dessus à propos de   l'emploi   de gaz d'huile étrangers.

   Comme on lta déjà dit pour le gaz d'huile, la décomposition de l'huile peut pour des raisons d'efficacité être poussée à un degré tel que le mélange de gaz bleu et de gaz d'huile produit dans le   gazogè-   ne doive être enrichi avant de pouvoir être distribué,, 
Une certaine quantité de gaz d'huile relativement riche, produite par   l'admission   de   l'huile   dans la surchauf-   feur   et le carburateur, peut être soutirée par exemple par le conduit 61 avant que le reste du gaz passe à travers la couche de combustible, et être employée pour enrichir le gaz qui a subi un cracking plus complet. 



   On peut aussi effectuer l'enrichissement en admet- tant de l'huile au carburateur pendant une période de circu- lation ascendante de vapeur au cours de laquelle on fait passer le gaz bleu à travers le carburateur et le surchauffeur. 



   On remarquera que dans la description qui précède, le mélange   d'aile   et de gaz à l'eau bleu tel qu'il est pro- duit dans l'appareil peut contenir une proportion relative-      

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 ment faible de gaz   à.   l'eau dont la quantité peut être déter- minée par la plus ou moins grande production de gaz à.   l'eau   bleu nécessaire pour consommer à peu près complètement le carbone déposé, bien que la quantité de gaz à l'eau bleu puis- se être augmentée en brûleant une certaine quantité de combus- tible solide; et   c'est   à ce mélange de gaz, à sa sortie de l'appareil,   qu'on   ajoute, à l'extérieur de celui-ci% le gaz   d'huile   partiellement cracké ou du gaz d'huile. 



   La Fig.3 représente un appareil comprenant un   ga-   zogène et un seul récupérateur et   permettant   de réaliser avan- tageusement l'invention de la manière ci-dessus décrite, à   l'exception   de ce qui suit:   - désigne   le gazogène et 72 la charge de combustible. 73 est le récupérateur pourvu d'un empilage de briques. 74 est l'arrivés d'air de soufflage au gazogène,   75? et   76 sont des arrivées de vapeur pour une circu- lation ascendante et descendante, respectivement. 77 est une conduite d'évacuation munie d'une vanne, reliant le sommet du gazogène à la base du récupérateur.

   Le raccord à vanne 78 re- lie la base du gazogène au récupérateur. 79 et 80 sont des prises de gaz combustible partant du sommet et de la base du gazogène, respectivement, et raccordées à un récipient laveurs (non représenté). 81 est un tuyau pour admettre la vapeur au sommet du récupérateur. 82 est un conduit d'alimentation pour introduire un hydrocarbure gazeux, tel que le gaz d'huile, dans le récupérateur.   8ß est   un tuyau pour admettre de l'huile dans le récupérateur, 84 est un: tuyau de soutirage à vanne partant de la connexion établie entre le gazogène et le récu- pératieur.   85)est   une porte de nettoyage du gazogène,   86 t   un.orifice pour le chargement du combustible, 87 est la che- minée. 

 <Desc/Clms Page number 18> 

 



   Le procédé peut être réalisé à l'aide de cet appa- reil de la même manière que celle décrite précédemment avec 
 EMI18.1 
 référence à la Fig. 2. 



   Cet appareil est particulièrement applicable lorsqu'- on estime inutile d'avoir recours aux procédés ordinaires de fabrication de gaz à   l'eau   carburé,, Le soufflage de   l'air   à travers la couche de combustible se fait en 74; De l'huile peut être admise au récupérateur en 83, y être vaporisée et soumise partiellement au cracking pendant son passage à tra- vers l'empilage de briques, de la partie inférieure du récu-   pérateur,   lthuile peut circuler de bas en haut ou de haut en bas à travers la masse combustible lorsqu'on manoeuvre d'une manière appropriée les vannes des raccorde 77 et 78, le gaz reformé étant évacué en 79 ou 80 respectivement, Il est préfé- rable de le faire passer à la fois de bas en haut et de haut en bas,

   ou de haut en bas et de bas en haut après une période de soufflage   d'air,   et de faire passer, après plusieurs cycles de soufflage d'air et de circulation de gaz   d'huile,,   de la vapeur à travers la couche de combustible eN-admettant la vapeur en 75 pour une circulation ascendante ou en 81 pour une circulation d'avant en arrière,   la.   gaz à l'eau bleu ascen- dant résultant étant évacué en 79 et le gaz descendant étant évacué en 80. Si on le désire on peut produire une circula- tion descendante en admettant de la vapeur en 76. 



   Des circulations de vapeur peuvent être produites pendant chaque cycle, si on le désire, dans l'un ou dans   l'autre   sens, ou dans les deux sens, et de la vapeur peut être admise avec l'huile en 81, si on le désire. 



   On peut, comme sur la fig. 2. enrichir le gaz re- formé et le gaz bleu venant du gazogène, en soutirant du gaz à   l'huit   ayant subi un léger cracking en passant à travers les empilages de briques. Ces gaz qui ont subi un léger cracking peuvent être prélevés en 84. 

 <Desc/Clms Page number 19> 

 



   Lorsqu'on produit du gaz d'huile en faisant passer de l'huile de haut en bas à travers la masse en ignition, on peut introduire de l'huile au sommet du gazogène en 88 par exe,mple. au lieu de l'admettre dans le récupérateur en 83. 



   Du gaz   dthuile,   ou un autre hydrocarbure gazeux étranger peut être introduit en   82 dans   le récupérateur au lieu d'huile. 



   Dans la réalisation de l'invention. la majeure par- tie de la chaleur nécessaire pour   reformer   le gaz d'huile dans la couche de combustible est obtenue par la combustion du carbone en excès déposé dans cette couche de combustible et la consommation de coke par mètre cube de gaz définitif est très faible. Pour aider   à,   maintenir la couche de combus- tible bien dégagée, on peut agiter la masse de combustible par intermittences et on peut enlever le combustible à la partie inférieure de la charge pour le ramener au sommet. Ceci fait également partie de l'invention. 



   L'invention comprend aussi le nouvel appareil dé- crit   ci-dessus   et représenté sur les dessins pour exécuter ce procédé. 



   Bien entendu, le procédé et l'appareil sont   suscep-   tibles tous deux d'être grandement modifies. 
 EMI19.1 
 



  R E V E N D I C A i I 0 N So 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

1.- Procédé pour la production d'un mélange do gaz d'huile et de gaz à l'eau bleu en soumettant au cracking du gaz à l'huile avec dépôt de carbone dans une couche de combus- tible en ignition et en engendrant du gaz à l'eau bleu par soufflage d'air et de vapeur é travers cette couche de com- bustible, le carbone déposé étant utilisé pour la production <Desc/Clms Page number 20> de gaz, partiellement en le brûlant pour chauffer la charge de combustible et partiellement en le faisant réagir avec de la vapeur pour former du gaz à l'eau bleu, de manière à empêcher une accumulation excessive de carbone et maintenir la couche de combustible libre et dégagée pour le passage de grandes quantitesde gaz,
en économisant du combustible solide.
2.- Procédé pour la production d'un mélange de gaz d'huile et de gaz à l'eau bleu suivant la revendication 1, caractérise en ce que le gaz d'huile et le courant d'air passentdans le même sens à travers la masse de combustible.
3.- Procédé pour la production d'un mélange de gaz d'huile et de gaz à l'eau bleu, suivant la revendication 1, caractérise en ce que l'air et le gaz d'huile passent de bas en haut à travers la couche de combustible, 4.- Procède pour la production d'un mélange de gaz d'huile et de gaz à l'eau bleu suivant la revendication 1, caractérisé en ce que le gaz d'huile passe à travers la couche de combustible alternativement dans un sens et ensuite dans l'autre sens, entre des périodes de soufflage d'air.
5.- procédé pour la production d'un mélange de gaz d'huile et de gaz à l'eau bleu suivant la revendication 1, caractérise en ce qu'on renverse le sens du courant d'air à travers la couche de combustible et qu'entre deux périodes de renversement du courant d'air, on fait passer le gaz d'huile à travers la couche de combustible dans le sens du cousant d'air précédent.
6.- Appareil pour fabriquer un mélange de gaz d'huile et de gaz ! l'eau bleu comprenant en combinaison un gazogène, un dispositif pour souffler de ltair à travers la couche de combustible contenue dans ce gazogène. un dispositif pour envoyer de la vapeur à travers la charge de combustible et un dispositif pour faire passer du gaz d'huile à travers <Desc/Clms Page number 21> la couche de combustible dans l'un ou l'autre sens.
7.- Appareil pour fabriquer un mélange de gaz d'huiel 'et de gaz à leau bleu comprenant en combinaison un gazogène, une chambre contenant des matériaux réfractaire, un raccord entre le fond de cette chambre et le sommet du gazogène, un dispositif pour souffler de 1'air dans le gazo- gène, un dispositif pour aboyer de la vapeur dans le gazo- gène des sorties de gaz au sommet et à la base du gazogène un dispositif pour introduire un hydrocarbure fluide dans la chambre où il est transforma en gaz d'huile et un dispositif communiquant avec le raccord entre le sommet et la base du gazogène pour soutirer du gaz à l'huile.
8,- Appareil pour fabriquer un mélange de gaz d'huile et de gaz à l'eau bleu comme c'est- décrit ci-dessus avec réfé- rence à la Fige 1, la Fige 2 et la Fige 3 des dessins annexes.
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