<Desc/Clms Page number 1>
Procédé et appareil pour le, dépulpage de baies de caféier et fruits analogues.
La présente invention concerne un procédé et un appareil, par- ticulièrement destinés au dépulpage des fruits du caféier, désigné ci-après sous le nom de "baies de caféier", mais qui peuvent égale- ment être utilisés pour d'autres fruits analogues, dont on veut obtenir les noyaux,
Les grains de café se trouvent dans une enveloppe parcheminée dans laquelle ils sont appliqués l'un contre l'autre par leurs côtés aplatie. Cette enveloppe parcheminée est entourée d'une enveloppe glaireuse, qui est son tour entourée de la pulpe ou chair du fruit peoprement dite,, Pour obtenir les grains de café,il faut d'abord enlever la pulpe des fruits et l'enveloppe glaireuse et ensuite laver les noyaux, Ceci s' effectuait jusqu'ici en trois du fruit opérations.
On décortiquait d'abord la pulpe/au moyen d'un dispo- sitifen forme de moulin (dépulpeur), tandis que l'enveloppe glaireuse restait adhérente aux noyaux. Pour enlever également cette enveloppe, on soumettait les noyaux à un autre traitement dans des récipients où ils restaient de deux à trois jours, et où
<Desc/Clms Page number 2>
EMI2.1
u v OUI' U' ............. étaient l'enveloppe se dissolvait par fermentation.
Les noyaux /alors amenés à un dispositif de lavage, dans lequel les restes de l' enveloppe glaireuse dissous, encore adhérents, étaient enlevés par lavage, C'est seulement alors que les noyaux pouvaient être seines. Ce procédé connu est, come il ressort de ce qui précè- de, compliqué, couteux et exige beaucoup de temps, car il faut un certain nombre d'appareils et il s'écoule plusieurs jours avant que les fruits nouvellement récoltés soient prêts pour la dessication et la décortication de l'enveloppe parcheminée,.
L'invention a pour but de simplifier notablement ce procédé; elle consiste en ce que les fruits sont , sans traitement préala- ble, décortiqués, débarrassés de leur enveloppe glaireuse et lavés, d'une faon purement mécanique, en une seule, opération, de sorte que les noyaux soient prêts à être desséchés. On réalise ainsi des économie très notables comme emplacement, comme frais d'ins- tallation .et de fonctionnement et comme temps. Le nouveau procédé présente en outre encore l'avantage que des fruits, qui ne sont pas encore complètement murs et qui sont attaqués par la maladie provoquée par le boeboeck, peuvent être traités de telle manière que les noyaux peuvent être obtenus à l'état propre.
Pour exécuter ce procédé combiné de dépulpage, d'enlèvement de l'enveloppe glaireuse et de lavage, on peut faire passer les fruits, par exenple de manière continue, à travers une capacité cylindrique de section transversale annulaire, à savoir de telle manière qm' ils avancent en roulant à travers cette capacité, par exemple en hélice, et frottent ainsi l'un contre l'autre et contre les parois de la capacité;
la couche de fruits roulant de cette manière est de préférence soumise à une compression et en même temps à un lavage, La compression peut êtreobtenue de dif- férentes manières, par exemple simplement en disposant l'ouvertu- re d'évacuation des noyaux à la partie supérieure de la capa- cité cylindrique de sorte que les noyaux doivent sortir par le haut et qu'ainsi la masse est retenue en arrière etest obligée de séjourner dans cette capacité.
Ou bien encore, on peut prévoir
<Desc/Clms Page number 3>
des dispositifs pour obtenir un séjournement de la Matière pendant son mouvement de roulement; par exemple un rétrécissement continu ou intermittent ou un rétrécissement temporaire, répété plu- sieurs reprises de la capacité de roulement de la matière , cons- titue un moyen pour accroitre de façon continue ou temporaire la pression dans la couche de matière soumise au roulement. La cavité dans laquelle roule la matière, est constituée par exemple par un cylindre, monté de manière à pouvoir tourner dans une enveloppe cylindrique à une faible distance de celle-ci.
Les deux cylindres sont munis, sur leurs surfaces tournées l'une vers l'autre, de parties rugueuses, de saillies, de nervures ou ana- logues , pour produire la décortication des fruits. r,es nervures peuvent, en particulier sur le cylindre intérieur rotatif, être disposées obliquement par rapport a l'axe longitudinal du cylin- cire , de manière à exercer simultanément une action d'entraînement ou de transport sur la mà;tière.
L'invention présente encore un avantage essentiel, à savoir que la plupe 'des fruits et leur enveloppe glaireuse , peuvent être évacuées simultanément pour leur utilisation ultérieure. On peut alors agglomérer les résidus, c' est à dire le mélange de pul- pe de fruits et d'enveloppes glaireuses et employer comte combus- tible les briquettes ainsi obtenues. Dans le briquetage, il est très avantageus que l'enveloppe glairueuse sott évacuée en mélan- ge avec la pulpe des fruits , car elle constitue simultanément le liant pour la fabrication des briquettes, de sorte que l'addi- tion de liants spéciaux n'est en général pas nécessaire.
Sur le dessin ci-joint est représenté un appareil propre à la réalisation du précédé suivant l'intention, en un exemple d'exécuiton.
La fig. l représente l'appareil en une vue de coupe long!- tudinale', la fig. 8, en une vue, en coupe transversale suivant la ligne A-B de la fige- 1, la figé 3, en une vue en, coupe transversa- le .suivant la ligne C-D de la fig. 1, et la fig. /4 représente une / partie de l'appareil en développement.
@
<Desc/Clms Page number 4>
Dans un récipient cylindrique 1 est monté sur l'arbre 3 un cylindre 3. Les dimensions des deux cylindres, situés l'un à l'intérieur de l'autre, sont choisies de telle manière qu'il reste entre eux un certain intervalle et qu'on obtienne de cette façon une capacité de section transversale annulaire, à travers laquelle les fruits peuvent rouler. Les fruits sont amenés par la trémie à une extrémité du récipient, et les noyaux, débarrassés de leur pulpe et de leur enveloppe glaireuse, sortent par le haut à l'autre extrémité du récipient, par l'ouverture 5 ménagée dans, la partie supérieure de celui-ci, et sortent alors par le tube 6..
Sur la partme descendante 6' du tube 6 peut être disposée une arrivée d'eau 7' pour pouvoir amener de l'eau pour le nettoyage de noyaux. L'amenée de Il eau de lavage pour la capacité intérieure de l' appareil peut s'effectuer par l'arbre creux ? à partir duquel cette eau est amanée par des ouvertures 8 dans le cylindre intérieur 3 et, de celui-ci, par des ouvertures 9, dans la capa- cité annulaire*
La matière pénétrant dans l'appareil est d'abord entraînée en avant, par la vis transporteuse 10 dans la direction de la flèche,. Le cylindre extérieur 1 est muni de nervures longitu- dinales continues 11, et le cylindre intérieur de nervures dis- continues 12, qui sont disposées chacune entre deux bagues 13 de retenue de la matière.
Les nervures 12 sont de préférence dirigées un peu obliquement par rapport à l'axe du cylindre, de sorte qu'elles peuvent exercer simultanément sur la matière une action d'entraînement en avant dans la direction de la flèche x. Les bagues 13 font saillie au-delà des nervures 12 et rétré- cissent ainsi de gaon momentanée la capacité de roulement de la matière; on donne de préférence à ces bagues 13, comme représenté, une surface frontale 14 montant obliquement dans la direction d'entraînement de la matiére.
La matière provenant de la vis transporteuse 10 est d'abord refoulée contre la surface frontale inclinée 14 de la première bague de retenue 13; il se produit ainsi, déjà. e tre les nervures @
<Desc/Clms Page number 5>
12 et la paroi du cylindre 1 ou les nervures 11 de celui-ci, une décortication des fruits.- La matière pénètre alors, en passant à travers l'intervalle étroit entre la bague 13 et le cylindre l, dans la zone comprise entre les deux premières bagues, dans le sens d'avancement de la matière;
elle est soumise à nouveau en cet endroit à une action de décortication.' Les nervures obliques 12 la repoussent contre la surface frontale 14 de la deuxième bague, de sorte qu'une certaine compression est engen- drée dans la matière et que les fruits frottent non seulement contre les nervures et le cylindre extérieur, mais aussi l'un contre l'autre* Ce jeu se, poursuit de la même manière entre les zônes de bagues suivantes: On peut admettre que dans la première moitié, environ de la capacité de roulement et de décortication de la matière, la pulpe des fruits est en majeure partie enlevée et que, dans l'autre partie de cette capacité jusqu'à la dernière zône de bagues du cylindre, l'enveloppe glaireuse est mécani- quement détachée des noyaux, de même que les restes de pulpe adhérant encore à ceux-ci.
L'écartement des bagues de retenue 13 l'une de l'autre peut diminuer dans la direction d'entrainement de la matière, comme il est représenté dans le développement d'une partie de la surface supérieure du cylindte 3, sur la fig. 4. La matière est ainsi continuellement retenue e peut, suivant le nombre et l'écartement des bagues de retenue 13, être maintenue plus ou moins longtemps dans l'appareil. Pendant cette opération qui a lieu sous pression ,de décortication et d'enlèvement de l'enveloppe glaireuse des noyaux, on envoie continuellement de l'eau de nettoyage dans les aines de bagees. et, on accroit ainj- si notablement l'action de nettoyage des noyaux.
Les parties enlevées de la pulpe et de l'enveloppe glaireuse sortent du cylindre extérieur 1 par des ouvertures, fentes ou analogues 15 qui sont ménagées dans la partie inférieure du cylindre. La pulpe et les enveloppes glaireuses mélangées sont alors évacuées simultanément et peuvent être amenées un dispositif de brique- tage, quiforme avec ce mélange des briquettes combustibles,
<Desc/Clms Page number 6>
l'enveloppe glaireuse constituant le liant pour les briquettes à former,Les noyaux arrivant l'orifice d'évacuation sont arro- sés encore une fois dans la dernière sone de bagues, sont re- poussés par des nervures 12' ( fig.
3) qui sont également dis- posées un peu obliquement par rapport à 7.' axe du cylindre, vers l'orifice d'évacuation 5, et sortent finalement par l'orifice 5 vers le haut dans le tube 6, où ils sont . nouveau lavés par l'eau amenée par la trémie 7, Les noyaux sont alors exempts de pulpe et d'enveloppe glaireuse %et sont prêts à être séchés.
Lorsqu'ils sont secs, on enlève de manière habituelle l'enveloppe parcheminée et on obtient les grains de café,,.
La constitution du dispositif mécanique, au moyen duquel lee baies de caféier sont décortiquées, débarrassées de leur enveloppe glaireuse et lavées, en une seule opération, peut être différente de celle décrite ci-dessus; en particulier le mode de construction du cylindre intérieur, muni des neveures de , décortication, peut être adapté au genre de matière à traiter: 11 est essentiel que la matière, lors de la décortication et l'enlèvement de l'enveloppe glaireuse, soit soumiseà une compes- sion intermittente ou continue pour que la pllpe soit, non seu- lement écrasée comme dans les dispositifs connus jusqu'ici, mais que l'enveloppe glaireuse soit également détachée par frottement des baies l'une contre l'autre et contre les parois de la capa- cité de roulement.
Par cet enlèvement mécanique de l'enveloppe glaireuse, on obtient, comparativement son enlèvement réalisé jusqu'ici, par fermentation, une économie notable, en particu- lier comme emplacement, étant donné que l'appareil occupe beaucoup moins de pace que les installations emplyees jusqu'ici en outre aussi comme temps, étant donné que pour le passage de la matière à travers un appareil suivant l'invention, il faut relativement peu de temps comparativement au traitement utilisé jusqu'ici, qui exigeait de deuxatrois jours uniquement pour la fermentation des fruits décortiquée..
7
Le procédé suivant l'invention est particulièrement destiné
<Desc/Clms Page number 7>
au traitement des baies de caféier, mais il peut naturellement aussi être appliqué à d'autres fruits, dont les noyaux doivent être débarrassés en une seule opération de toutes leurs envelop- pes et être obtenus prêts pour leut traitement ultérieur.
<Desc / Clms Page number 1>
Method and apparatus for the pulping of coffee berries and the like.
The present invention relates to a process and an apparatus, particularly intended for pulping coffee fruits, hereinafter referred to as "coffee berries", but which can also be used for other similar fruits, whose nuclei we want to obtain,
The coffee beans are in a parchment envelope in which they are pressed against each other by their flattened sides. This parchment envelope is surrounded by a mucous envelope, which is in turn surrounded by the pulp or flesh of the fruit itself, To obtain the coffee beans, it is first necessary to remove the pulp of the fruits and the mucous envelope and then wash the pits. This has hitherto been carried out in three fruit operations.
The pulp was first shelled / using a mill-shaped device (pulper), while the mucus shell remained adherent to the pits. To remove this envelope as well, the nuclei were subjected to further treatment in containers where they remained for two to three days, and where
<Desc / Clms Page number 2>
EMI2.1
u v YES 'U' ............. were the husk dissolved by fermentation.
The pits / then brought to a washing device, in which the remains of the dissolved mucus shell, still adhering, were washed away. Only then could the pits be seined. This known process is, as appears from the above, complicated, expensive and time consuming, since a number of devices are required and several days elapse before the newly harvested fruits are ready for processing. desiccation and decortication of the parchment envelope ,.
The object of the invention is to considerably simplify this method; it consists in that the fruits are, without preliminary treatment, shelled, freed of their mucous envelope and washed, in a purely mechanical way, in a single operation, so that the stones are ready to be dried. Very noticeable savings are thus made in location, in installation and operating costs and in time. The new process has the further advantage that fruits which are not yet fully ripe and which are attacked by the disease caused by boeboeck can be treated in such a way that the stones can be obtained clean. .
In order to carry out this combined process of pulping, removing the mucus shell and washing, the fruits can be passed, for example continuously, through a cylindrical capacitor of annular cross-section, namely in such a manner. they advance by rolling through this capacity, for example in a helix, and thus rub against each other and against the walls of the capacity;
the fruit layer rolling in this way is preferably subjected to compression and at the same time to washing. The compression can be obtained in various ways, for example simply by arranging the discharge opening of the pits at the bottom. upper part of the cylindrical capacity so that the cores must exit from the top and thus the mass is retained behind and is forced to stay in this capacity.
Or else, we can predict
<Desc / Clms Page number 3>
devices for obtaining a stay of the Matter during its rolling movement; for example a continuous or intermittent shrinkage or a temporary shrinkage, repeated several times, of the rolling capacity of the material, constitutes a means of continuously or temporarily increasing the pressure in the layer of material subjected to the rolling. The cavity in which the material rolls is constituted for example by a cylinder, mounted so as to be able to rotate in a cylindrical casing at a small distance therefrom.
Both cylinders are provided on their surfaces facing each other with rough parts, protrusions, ribs or the like, to produce the husking of the fruit. r, es ribs can, in particular on the rotating inner cylinder, be disposed obliquely with respect to the longitudinal axis of the cylin- wax, so as to simultaneously exert a driving or transport action on the material.
Another essential advantage of the invention is that the fruit plume and their mucus husk can be removed simultaneously for subsequent use. The residue, that is to say the mixture of fruit pulp and mucus husks, can then be agglomerated and the briquettes thus obtained can be used as combustible. In briquetting, it is very advantageous for the mucus shell to be removed in admixture with the fruit pulp, since it simultaneously constitutes the binder for the manufacture of briquettes, so that the addition of special binders is not necessary. is usually not necessary.
In the attached drawing is shown an apparatus suitable for carrying out the precedent according to the intention, in an example of execution.
Fig. 1 shows the apparatus in a long sectional view! - tudinal ', FIG. 8, in a view, in cross-section taken along line A-B of fig. 1, fig. 3, in a view, in cross-section, along line C-D of fig. 1, and fig. / 4 represents a / part of the device in development.
@
<Desc / Clms Page number 4>
In a cylindrical container 1 is mounted on the shaft 3 a cylinder 3. The dimensions of the two cylinders, located one inside the other, are chosen in such a way that a certain gap remains between them and that in this way a capacity of annular cross-section is obtained, through which the fruits can roll. The fruits are brought by the hopper at one end of the container, and the stones, freed of their pulp and their mucous envelope, exit from the top at the other end of the container, through the opening 5 made in the upper part. from it, and then exit through tube 6 ..
On the descending part 6 'of the tube 6 can be arranged a water inlet 7' to be able to bring water for cleaning the cores. Can the washing water supply for the internal capacity of the device be supplied by the hollow shaft? from which this water is brought in through openings 8 in the inner cylinder 3 and, from this, through openings 9, into the annular capacity *
The material entering the apparatus is first driven forward by the conveyor screw 10 in the direction of the arrow. The outer cylinder 1 is provided with continuous longitudinal ribs 11, and the inner cylinder with discontinuous ribs 12, which are each disposed between two material retaining rings 13.
The ribs 12 are preferably directed somewhat obliquely with respect to the axis of the cylinder, so that they can simultaneously exert on the material a forward driving action in the direction of the arrow x. The rings 13 protrude beyond the ribs 12 and thus temporarily shrink the rolling capacity of the material; These rings 13 are preferably given, as shown, a front surface 14 rising obliquely in the direction of drive of the material.
The material from the conveyor screw 10 is first forced against the inclined front surface 14 of the first retaining ring 13; it is happening already. be the ribs @
<Desc / Clms Page number 5>
12 and the wall of the cylinder 1 or the ribs 11 thereof, a shell of the fruit. - The material then penetrates, passing through the narrow gap between the ring 13 and the cylinder 1, into the area between the two first rings, in the direction of progress of the material;
it is subjected again in this place to an action of decortication. ' The oblique ribs 12 push it back against the front surface 14 of the second ring, so that some compression is generated in the material and the fruits rub not only against the ribs and the outer cylinder, but also one. against the other * This game continues in the same way between the following zones of rings: We can admit that in the first half, approximately of the capacity of bearing and of husking of the material, the pulp of the fruits is in major part removed and that, in the other part of this capacity up to the last zone of rings of the cylinder, the mucous envelope is mechanically detached from the nuclei, as well as the remains of pulp still adhering to them.
The spacing of the retaining rings 13 from each other may decrease in the direction of material feed, as shown in the development of a part of the upper surface of the cylinder 3, in FIG. 4. The material is thus continuously retained and can, depending on the number and spacing of the retaining rings 13, be maintained for a longer or shorter time in the apparatus. During this operation, which takes place under pressure, of peeling and removal of the mucus envelope of the nuclei, cleaning water is continuously sent into the groin of the bagees. and, the cleaning action of the cores is thus considerably increased.
The parts removed from the pulp and the mucus casing exit from the outer cylinder 1 through openings, slits or the like 15 which are provided in the lower part of the cylinder. The pulp and the mixed mucous envelopes are then evacuated simultaneously and can be brought to a bricking device, which forms with this mixture combustible briquettes,
<Desc / Clms Page number 6>
the mucus envelope constituting the binder for the briquettes to be formed, The cores arriving at the discharge orifice are sprinkled once again in the last row of rings, are pushed back by ribs 12 '(fig.
3) which are also arranged a little obliquely in relation to 7. ' axis of the cylinder, towards the discharge port 5, and finally exit through the port 5 upwards into the tube 6, where they are. again washed by the water supplied by the hopper 7, the cores are then free of pulp and of mucous envelope% and are ready to be dried.
When they are dry, the parchment envelope is removed in the usual way and the coffee beans are obtained.
The constitution of the mechanical device, by means of which the coffee berries are shelled, stripped of their mucus and washed, in a single operation, may be different from that described above; in particular the method of construction of the inner cylinder, provided with the decortication nephews, can be adapted to the kind of material to be treated: it is essential that the material, during the decortication and the removal of the mucous envelope, be subjected to intermittent or continuous compression so that the pllpe is, not only crushed as in the devices known hitherto, but that the mucous envelope is also detached by friction of the berries against each other and against the walls of the bearing capacity.
By this mechanical removal of the mucous envelope, a significant saving is obtained, compared to the removal carried out so far by fermentation, in particular as regards location, since the apparatus occupies much less space than the installations employed. heretofore additionally also as time, since for the passage of the material through an apparatus according to the invention it takes relatively little time compared to the treatment used heretofore, which required two to three days only for fermentation shelled fruit.
7
The process according to the invention is particularly intended
<Desc / Clms Page number 7>
to the treatment of coffee berries, but it can of course also be applied to other fruits, the stones of which must be freed in a single operation of all their envelopes and be obtained ready for further processing.