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''PERFECTIONNEMENTS A OU RELATIFS AUX DISPOSITIFS AUTOMATIQUES
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POUR LA REGULATION .l';r LA LIMITATION :JrD UOUHAl1TD );Id UfJAGT; EN T.S.F"
La présente invention constitue un perfectionnement au Brevet principal ? 347.809, et se rapporte à des dispositifs do contrôle automatiques applicables à la signalisation électrique; elle n'est toutefois pas restreinte à cette application et convient particulièrement pour limiter et régler l'intensité des signaux transmis sur une ligne à @
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partir d'un récepteur de T.G.F, ou d'un appareil récepteur téléphonique ou télégraphique.
Le Brevet principal ? 347.809 décrit un dispositif automatique pour contrôler l'intensité de:, signaux, disposi-
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tif comoort8.nt :le; relata nl i.,IOIJt()f1 1),1.1' dur) i<J;i>.iiribi fi;>n;>1- olement proportionnels à l'intensité des signaux et action- nés, successivement, pour des valeurs croissantes de cette intensité, de telle manière que la réduction d'intensité soit fonction de la variation d'intensité du signal.
Dans une réalisation décrite au Brevet principal ? 347.809, le dispositif est appliqué à un récepteur compre-
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nftih iii .wi ; > 1 1 1 1 <ùfl 1,fo u hr111l.o r"'1 j,ln..],) 01. 111 '!'1Loi)!..OI\I', iJtJlII' en contrôler le courant provenant du détecteur (ou d'un am- plificateur basse fréquence suivant le détecteur). On se proposait d'étendre la gamme du réglage au-delà de celle que permet le dispositif précité à l'aide d'un relai supplémen- taire mettant hors service un ou plusieurs étages de l'ampli- ficateur haute fréquence,lorsque l'intensité du signal dépas-
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Il oolJo no, COLIII[ti 1-0 pour :i<; 1,iofifi<>r GOU!1 Ion ;çt,rr,n ro7aia de contrôle.
Le système proposé étant, de préférence, tel
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que la mise hors circuit du ou des étages de l'at-npl if ioatear haute fréquence, provoque une chute de courant direct telle que tous les relais,sauf le premier,sont désamorcés, la re-
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taise en circuit du ou des étages d'aMplification haute fré- qaence étant réalisée autofnatiquettient en prévoyant un con- tect supplémentaire, associé au premier relai de contrôle et ayant pour effet de couper le circuit du relai contrôlant le ou les dita étages quand l'intensité du courant direct
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baisse suffisaullnent. De cette façon, l'étendue de la garome de contrôle est presque doublée.
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La présente invention a pour objet des procédés perfec- tionnés pour obtenir une plus grande étendue de la gamme de contrôle qui peut être portée à plua du double de celle permise par les dispositifs réducteurs d'intensité de si- gnaux.
Selon la présente invention, dans une installation com- portant un dispositif de contrôle automatique de courant et servant à limiter et à régler des courants à basse fréquence on prévoit des moyens automatiques pour faire varier graduel- lement, par paliers successifs, l'intensité du courant, en- trant au dispositif régulateur automatique, ces dits moyens automatiques étant tels qu'à chaque variation successive de l'intensité du courant d'entrée le dispositif de réglage et de limitation automatique de courant agit sur la totalité
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do on eatmnv propre) de rÓe;la.e;a; Ion pitllorp sacanri.'p otn.nt tels que la gamme totale effective du réglage soit sensible- ment continue, c'est-à-dire interrompue seulement par les paliers successifs de réglage que réalise le dispositif au- tomatique de contrôle de courant.
L'invention est représentée aux dessins schématiques ci-joints. TRI (Fig. 1) représente le transformateur d'en-
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'trée d'un amplificateur hauto fro'q,.t(jnc(3 rOpr0l!entú par 2 lampes V1 et V2. montées en push-pull, alimentant un détec- teur dans le circuit de sortie.duquel est intercalé le dis- positif de contrôle automatique faisant l'objet du brevet principal.
Deux résistances RI et R2 de valeurs appropriées associées au circuit secondaire du transformateur sont munies de prises multiples reliées au:!: plots 5a-5e et 6a-6e respec- tivement. Chaque groupe de plots fait partie d'un ensemble comportant un collecteur tournant 5 g. ou 6 g. claveté sur /
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l'arbre de rotation commun S. et relié par l'intermédiaire des balais 5 f et 6 f aux grilles des lampes V1 et V2 res- pectivement.
De cette manière, l'intensité du signal transmis aux lampes V1 et V2 et ensuite au détecteur (non représenté) dépend de la position des collecteurs 5 g et 6 g, qui doi- vent être dimensionnés, prévus et disposés de façon à ne jamais couper le circuit grille des lampes V1 et V2
L'arbre S peut être animé d'un mouvement de rotation, dans le sens réduisant l'intensité des signaux, à l'aide d'un électro-aimant M1 dont l'armature est reliée 1-1:..1.11 cliquet 3 a. agissant sur une roue à rochet 3 fixée sur l'arbre S ; dans l'autre sens (sens de l'accroissement de l'intensité) par un électro-aimant similaire M2 agissant par l'intermédiaire d'un cliquet 4a et d'une roue à rochet 4. Les cliquets 3a, 4a sont munis de ressorts Spi, Sp2 , destinés à les maintenir écartés de leur roue à rochet res- pective 3 et 4.
La borne 7 et le point correspondant mis à la terre 7a sont associés à un contact auxiliaire (non représenté) dis- posé sur le dernier relai (interrupteur S6 de la Fig. 2 du brevet principal 347.809) du dispositif automatique de con- trôle de courant (non représenté) de telle manière que lors- que le dit relai est fermé , les points 7 ot 7a par- tie d'un circuit fermé.
La borne 8 et le point correspondant mis à la terre 8a sont associés à un contact auxiliaire disposé sur le premier relai (interrupteur Si de la Fig. 2 du brevet principal 347.809) faisant partie du dispositif automatique de con- trôle de courant, la disposition étant telle que les points 8 et 8a sont connectés ensemble quand le dit relai est ou- vert. 3b et 4b sont des contacts normalement fermés qui sont
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ouverts par des fourches 3c, 4c respectivernent, quand les cliquets 3a, 4a se déplacent. Ces contacts ont pour but de permettre aux ressorts Spl ou Sp2 de ramener leur cliquet respectif 3a ou 4a à leur position initiale en coupant le circuit d'un des électro-aimants M2 ou M1.
On constate que si le point 7 ou le point 8 est relié à la terre, l'électro-aimant M1 ou 112 , par l'intermédiaire du ressort Spl ou Sp2, du contact 3b ou 4b, et de la fourche 3c ou 4c, provoquera la rotation progressive de l'arbre S dans un sens ou dans l'autre, jusqu'au moment où un balai 16 ou 2b frottant sur un panneau lc ou 2c viendra en con- tact avec un segment isolé 1d ou 2d sur l'un des anneaux lorsque le circuit de 1'électro-aimant M1 ou M2 sera coupé.
Les segments isolés ld et 2d sont fixés à un endroit appro- prié des anneaux pour limiter la rotation de l'arbre S, dans chaque sens, aux position limites correspondantes que peuvent occuper les frotteurs 5g et 6g.
En pratique, les résistances R2 et R1, les frotteurs 5g et 6g, et leurs contacts associés, peuvent être disposés à l'intérieur d'une boîte de blindage pour l'amplificateur haute fréquence, toutes les autres parties du mécanisme, y compris les électro-aimants, étant à l'extérieur de cette boîte. Au surplus, pour réduire les effets d'induction de la part des enroulements des électros M1 et M2, ces enroule- ments sont incorporés, de préférence, dans une carcasse en fer formant l'armature de 1'électro-aimant.
Les prises sur les résistances R1 R2 doivent être faites en des endroits tels que lorsque l'intensité du si- gnal croît, chaque déplacement des frotteurs 5g, 6g dans la direction correspondant à la réduction d'intensité du courant allant au détecteur, provoquera l'ouverture de tous @
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los relais, excepté le premier, faisant partie du dispositif automatique de contrôle de courant, tandis que chaque dépla- cement dans la direction correspondant à l'accroissement
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d'intensité du courant allant ;1.11 dotentour, 1 -;:ro'loC1iH3rn. la fermeture de tous les -relais , excepté le dernier.
Si ces conditions ne sont pas remplies , on remarquera que, le premier et le dernier telai contrôlant les électros M1 et M2,il en résultera des oscillations dans le réglage de la valeur du courant haute fréquence ; une condition désagréable rencontrée communément dans les appareils de ré-
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eJL1.iSe connus ot provoquant notamment de l' i.ntormocLUJl1ti.on et de la distorsion.
Dans le dispositif décrit, quand le premier relai du dispositif automatique de contrôle de courant s'ouvre, il
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provoque le fonctionneïûenb de l'électro 2d qui fait dépla- cer les trotteurs 5g 6g de manière à accroître l'intensité du courant allant à l'amplificateur haute fréquence dans une proportion telle que tous les relais du dit dispositif automatique, excepté le dernier, se ferment; de cette façon, le même volume de son, à la sortie de la basse fréquence , est maintenu dans la ligne terrestre ou le récepteur télé- phonique, par un accroissement du courant allant à l'ampli- ficateur haute fréquence et 'une diminution simultanée de la valeur du courant basse fréquence entrant dans l'amplifica- teur basse fréquence.
Le fait que la variation de l'amplification haute fré- quence est obtenue par l'action d'un relai, alors que la variation compensatrice du côté basse fréquence est obtenue par la fermeture successive de plusieurs (par exemple 4) relais, occasionne deux durées d'action mécanique différen- tes, provoquant une surcharge momentanée de l'amplificateur basse-fréquence.
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Ce déséquilibre soudain et momentané, dans l'alimenta- tion correcte des amplificateurs haute et basse fréquence, produit une sorte de bruissement dans le téléphone, et au surplus peut produire la paralysie momentanée des lampes amplificatrices basse fréquence.
Pour éditer ce défaut, on utilise des moyens qui peu- vent, par exemple, comporter un réseau additionnel de résis- tances introduisant une perte d'environ 10 à 15 éléments de transmission, dans le circuit d'entrée de l'amplificateur basse fréquence pendant la durée de fonctionnement des dits relais.
La Fig. 2 représente schématiquement une disposition de ce genre. On y a représenté en O1 et 02 les connexions venant de la sortie du détecteur. L1 et L2 sont les conne- xions allant vers le réseau amortisseur contrôlant la puis-
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r.1tt.rtot:) ti,ttioti6o à ] 'l.11I1pl-ifiqt1.ol.1r bn.i1f:\f.l Frn.lttnr, du télnphono ou de la ligne.
RP est un réseau de résistances similaire à celui fai- sant partie du dispositif automatique de contrôle de cou- rant, et pouvant y être adjoint momentanément.
La -résistance RP est insérée momentanément dans le cir- cuit à l'aide d'un relai auxiliaire, comportant un enrou- lement Wl en parallèle avec celui de l'électro M2, et des contacts 1, 2, 3, 4.
On constate que lorsque le premier relai du dispositif automatique de contrôle de courant fait fonctionner l'élec- tro M2, la résistance supplémentaire RP est momentanément insérée dans le circuit au'moment où plus de puissance est amenée à l'amplificateur haute fréquence.
En réglant la durée de l'action mécanique du relai auxiliaire (enroulement W1) il est possible d'obtenir un fonctionnement silencieux..
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La modification représentée à la Fig. 3 des dessins annexés se différencie surtout des dispositions décrites précédemment en ce que les moyens pour contrôler la valeur du courant allant au détecteur ne sont pas mis en action par les relais du dispositif automatique de contrôle de cou- rant, mais bien par le courant venant du dit détecteur. Les parties correspondantes des Figs. 1 et 3 sont représentées par les mûmes notations.
On remarque, en se reportant à la Fig. 3, que les contacts 3b 4b et les fourches 3c, 4c sont omis, les points la, 2a étant connectés directement aux points 8 et 7 respectivement, et les circuits des bobines M1 et M2 étant complétés par les contacts 8c, 9c, 8d et llc,
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lOÓ 7d r;louu tiVGUtdrlt. gaz oWza,4 Lrj noub a;.i;c i;i tLûX ru. lais B2 B3, d'une manière telle que lorsque le relai B2 est alimenté, le contact 7d est ouvert et les contacts 8c 9c sont fermés, tandis que, quand le relai B3 est alimenté, le contact 8d est ouvert et les contacts 10c,11c sont fermés
Les relais B2 B actionnent chacun également une paire de contacts 4c 5c ou 6c 7c qui sont fermés quand leur re- la,1 correspondant est alimenté.
Le courant provenant du circuit de sortie des lampes
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'J1 V2 alimente un relai polarisé sensible BI, qui est traver- sé par un courant de valeur appropriée traversant la résis- tance variable R 10 en série avec 1''enroulement du relai.
R61 R62 sont des résistances variables permettant de
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régler la aenai'oilibé du rula,i Hl.
L'armature 12e du relai B1 se déplace entre deux contacts 13c 14c. Quand l'armature de ce relai est dans sa position supérieure, une batterie EG3 applique un poten- tiel négatif à la grille d'une lampe V3 par l'intermédiaire d'un circuit comprenant l'armature 12c, le contact les /
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contacts 4c,5c, la résistance R20 et la batterie Egl (pour autant que le circuit du rolai B2 soit coupé), tandis que lorsque le relai B1 est dans sa position inférieure, le potentiel de la batterie Eg3 est appliqué à la grille de la lampe V4 par l'intermédiaire d'un circuit comprenant l'armature 12c ; le contact 13c, les contacts 6c, 7c, la résistance R4 et la batterie Eg2 (pour autant que le circuit
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du. r^elai li3 t:JU1L UULlpd).
La jjuLub W oinnun do lu. rcSwi; L nua R20 et de la batterie Egl, est relié à la cathode de la lampe V3 par une résistance R3 et un condensateur K1 en parallèle ; d'une façon analogue, une résistance R5 et un condensateur K2 shuntent le circuit grille de la lampe V4.
Le mode de fonctionnement de ce dispositif est le suivant:
En supposant que l'armature 12c soit dans sa position supérieure, que les contacts 4c 5c soient ouverts, et que le condensateur Kl ait une charge suffisante pour polariser négativement la grille de la lampe V3, de façon que le cou- rant plaque de la lampe V3 soit nul ou très faible.
Le condensateur Kl se décharge graduellement au travers de la résistance R3, et quand la polarité grille tombe à une valeur prédéterminée, le courant plaque de la lampe V3 prendra une valeur suffisante pour actionner le relai B2 qui ferme les contacts 4g 5c, et coupe le circuit de l'é- lectro M2. Le condensateur Kl se recharge à nouveau, appli- que un potentiel négatif croissant à la grille de la lampe V3, dont le courant plaque diminue suffisamment jusqu'à désamorcer lerelai B2 et ouvrir les contacts 4c 5c en fer- mant en même temps le circuit de l'électro M2.
L'électro M2 sera amorcé et désamorcé successivement quand l'armature 12c reste en contact avec 14c, le nombre des déplacements
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de l'armature du relai B2 par unité de temps, étant fonction de la capacité du condensateur Kl, dela résistance R3 et des autres constantes des circuits.
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D'uno fa y on j1.lllilniro, uam.l 7'rirurrr.l,mo 1:' du 'ulat fait contact avec 13c. l'électro M1 sera successivement amorcé et désamorcé. Il est à noter que les contacts 8c 9c, du relai B2 sont incorporés dans le circuit de l'électro
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Lil , que les contacts 10c., 11 du relai B3 font partie du circuit de l'électro M2, e que les deux électros Ml, 1±2 ne peuvent, en cona6qucnca, fonctionner uÍ.I11111tnnú(mt.
Le relai Bl est réglé de façon que l' a,rTt1ak1're 12c vien- ne en contact avec l'un ou l'autre des contacts correspon- dants quand le courant dans les lampes de détection VI V2 atteint une valeur admissible maximum ou minimum.
La Fig. 4 représente une légère modification de la disposition de la Fig. 3, qui consiste à prévoir des re- lais à grande vitesse B4, B5 actionnés per les relais B2 B3, au lieu d'utiliser ces derniers directement.
Les contacts des relais B4 B5 sont indiqués par les mêmes notations que celles indiquant les contacts correspon- dants des relais B2 B3 à la Fig. 3.
On constatera que la présente invention, appliquée à un récepteur de T.S.F permet de réaliser un réglage par
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palier auccorinif du courant venant do lu. bauoo .rcScucnc4, par un réglage combiné du courant entrant dans l'amplifica- teur haute fréquence et dans 1'amplificateur basse fréquence sans modifier les caractéristiques de ces amplificateurs.
Le brevet principal décrit une disposition utilisant une onde porteuse pour contrôler les bandes de modulation.
Le dispositif faisant l'objet de la présente invention per- met naturellement une utilisation analogue. Au surplus, dans
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les cas où une onde porteuse, ou une onde porteuse et une bande de modulation est ou sont supprimées, il est possible d'employer des appareils conformes à la présente invention ou à celle couverte par le brevet principal, en transmettan dans le but déeffectuer le contrôle, une fréquence de modu- lation additionnelle, extérieure à la bande de fréquence de modulation produite par les atonaux, c'est-à-dire: dans le cas de la parole,en émettant une fréquence de modulation extérieure à la gamme 500-2300 périodes par exemple.
Avec une telle disposition, il est simplement nécessaire de fil- trer à la sortie du détecteur téléphonique (dans le cas de la parole) la fréquence additionnelle à l'aide d'un filtre passe-haut ou passe-bas, de rectifier cette fréquence et de l'utiliser pour contrôler les relais du dispositif auto- matique de contrôle de courant.
A titre alternatif² la fréquence additionnelle peut être comprise entre les fréquences extrêmes des signaux, cette fréquence étant alors supprimée dans les signaux.
Par exemple, dans le cas de la parole, cette fréquence additionnelle peut être de 1500 périodes-seconde, un filtre, de préférence du type pont de Wheatstone étant inséré dans le circuit à la sortie du détecteur pour empêcher que des impulsions de courant à la fréquence de 1500 périodes- seconde puissent entrer dans l'amplificateur basse fréquence.
On a constaté que la suppression de cette seule fré- quence n'affecte guère l'intelligibilité de la parole,
REVENDICATIONS.
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