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MEMOIRE DESCRIPTIF déposé à 1 appui d'une demande de
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BREVET D'INVENTION' Par La Société dite: C#tPAGNiE DES SURCIIAUFEEURS vour CHAUDIERE A VAPEUR, sous les bénéfices de la. Convention Internationale de 1883 eu é- gard à. la demande de brevet déposée en FRANCE le 11-1-1928,
La présente invention a pour objet une chaudière à vapeur qui est agencée de manière que les gaz de combustion ne subissent, dans leur trajet ascendant vers la cheminée, aucun changement de direction, sauf à l'endroit où ils doi- vent être débarrassés de leurs poussières et suies,
De plus,
la chaudière est munie d'un réchauffeur d'air qui se trouve placé à la partie supérieure du chemin suivi par les gaz. L'air circulent à contre courant d'abord dans
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un échangeur principal, métallique par exemple, où. il s'échauf- fe, s'achemine ensuite vers le foyer en traversant des cham- bres creuses ménagées dans les murs de la chaudière où il sert de calorifuge et absorbe en mime temps la chaleur de rayonnement émanant des briques au contact des gaz ä haute température, venant du foyer, on obtient ainsi une récupération plus complète de la chaleur tout en assurant une meilleure con servation des briques en contact avec des gaz à très haute tem- pérature,
puisqu'elles sont refroidies immédiatement par de l'air qui se renouvelle sans cesse, Figl est une coupe suivant YY de Fig.2.
Fig,2 est une coupe verticale suivant X X de la fig.1
Dans le s figs1 et 2 données à titre d'exemple., la chambre de combustion ou foyer., a de la chaudière qui est appropriée au chauflfage par le charbon pulvérisé, a ses parois verticales et horizontales, tapissées de tubes d'eau ou de va- peur pour utiliser au mieux la chaleur de rayonnement du foyer,
Les gaz de combustion provenant de la chambre ou foyer a, s'élèvent ensuite sur le faisceau tubulaire b dans un large carneau vertical u
Les gaz passent ensuite sur un surchauffeur c puis sur un éoonomiseur d= logés tous deux dans le carneau u au dessus du faisceau vaporisateur b A leur sortie de l'économiseur., ils effectuent un changement de direction suivant les flèches f,
représentées sur la fig.2 par les cloisons ou chicanes k et j et par des changements de section judicieusement déterminés, ils subissent une détente qui détermine, dans les encoignures g, la chute des cendres ou poussières qui peuvent être entraînées.
Ces cendrespourront ensuite être retirées par des ouvertures h ménagées à cet effet, ou par tout autre moyen, par exemple soufflage d'air comprimé ou de vapeur*
Les gaz ainsi nettoyés s'acheminent ensuite vers les réchauffeurs d'air,. placés au dessus du carne au. u, et de cha
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que côté de la chaudière pour s'échapper enfin par les chemi- née s 1.
L'air destiné à la combustion entre dans le haut de la chaudière par les orifices m, traverse à contre-courant, c-à-d en circulant en sens inverse des gaz, les réchaufeurs métalli- ques i et parvient déjà. chauffé par le s orifices g, dans la chambre o. Cette chambre est en communication avec les murs creux latéraux p par des orifices q, où l'air circule libre- ment ou y suit un chemin déterminé par les cloisons r par exem- ple, disposées suivait des plans inclinés, à l'intérieur des espaces creux des murs.
Il est ainsi conduit jusqu'à, la Par- tie inférieure de la chambre de combustion d'où il est intro- duit dans le foyer par les orifices s.,'
Il est bien évident que, sans sortir du cadre de l'in- vention, on peut apporter des modifications à la disposition générale desdifférents organes, les uns par rapport aux au- tres, par exemple, opérer la décantation des poussières conte- nues dans lesgaz Sans les encoignures g, avant l'économi- seur d, ou même opérer plusieurs décantations successives, par exemple, avant le surchauffeur c avant l'économiseur d, etc...
La. disposition générale de cette chaudière permet en par- ticulier l'emploi de maçonneries très simples, cax, comme il est figuré sur le dessin, on peut établir des murs complète- ment verticaux, sans voûtes, sauf celles nécessaires aux en- coignures de décantation,.
La construction générale de la chau- dière est donc considérablement simplifiée, et l'on peut obte- nir pour chaque partie de la chaudière, les rendements rela- tifs désirés, en faisant varier, à volonté, les sections de Passage des gaz ou en court-circuitant une partie du courant gazeux au moyen de simplesregistres disposés soit au centre desfaisceaux tubulaires des surchauffeurs et autres échangeurs, ainsi qu'il est figuré, par exemple, au centre de la Fig.2 en t,
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soit sur les cotés entre les différents faisceaux tubulaires et les murs latéraux,
R E suffis, 0
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1)- Chaudière Vapeur agencée de manière que les gaz de combustion ne subissent,
dans leur trajet ascendant jusqu'à la cheminée, aucun changement de direction, sauf aux endroits où ils doivent être débarrassés de leurs poussières et suies,,,
2)- Mode de réalisation de la chaudière ci-dessus spé- cifié eprésentant les particularités suivantes, pouvant être prises séparément ou en combinaison: a) - les parois du foyer sont garnies de faisceaux tubu- le-ires utilisant la chaleur rayonnante du foyer et le foyer est surmonté d'un large carne au, dans lequel sont étagés suc- cessivement., dans le sens de la, circulation des gaz, un fais- ceau vaporisateur, un faisceau surchauffeur, un écnnomiseur et un réchauffeur d'air;
b)- l'agencement d'orificesd'admission d'air à la par- tie supérieure de la chaudière, le courant d'air étant di- rigé vers le foyer en circulant à contre-courant dans le ré- chauffeur d'air, puisdans les parois creuses du carne au où. sont logés les faisceaux de tubes et foyer, pour pénétrer fi- nalement dans le foyer, afin d'obtenir à la fois la protection
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des parois de la cnaudière, leur isolement et une récupération
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