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La Sté dite : Siemens Schuckertwerke A.G. à Siemensstadt près Berlin,
Allemagne Transformateur polyphasé à noyau extérieur.
Convention Internationale : *, Demande de brevet allemand S. 79473 VIII/21 d 2 du 30 avril 1927 déposée au nom de la Sté Siemens Schuckertwerks G.m.b.H dont la demanderesse est 1'ayant-droit,
La présente invention concerne les transformateurs poly- phasés à noyau extérieur, et principalement les transforma- teurs de ce genre destinés à être employés dans l'exploita- tion de fours à souder, de fours carbure,
d' appareils à va- peur métallique ou- d'autres appareils fonctionnant au moyen d' arcs électriques* Les transformateurs usuels jusque a pré-
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sent présentent dans de semblables exploitationsl' inconvé- nient de déformer fortement la courbe de leur courant alter- natif, de sorte que même l'isolement des enroulements des transformateurs et des bobines d'impédance conjugués peut ê- tre mis en danger.
La présente invention a pour but de remé- dier à cet inconvénient et de faire en sorte que la courbe du courant se rapproche autant que possible de la forme sinusoï- dale A cet effet, on adjoint suivant la présente invention au'noyau du transfmormaéeur à noyau extérieur des paquets de tôles supplémentaires qui présentent une constitution s'écar- tant de la-forme de la partie principale du noyau du trans- formateur et produisent par conséquent un flux qui s'oppose à la déformation de la courbe du courant.
Pour l'explication de l'invention, on a représenté à. la fig. 1 une tôle de transformateur de la forme usuelle, telle que celle contenue dans la partie principale du transforma- teur, et à la fig. 2 une tôle supplémentaire utilisée sui- vent la présente invention.
Le noyau du transformateur est constitué principalement de tôles qui présentent pour un transformateur triphasé la forme représentée a la fig. 1, c'est à dire que les toles ont deux rangées de trois fenêtres f chacune, ces fenêtres étant séparées l'une de l'autre par des parties pleines s et servant à recevoir les enroulements. Outre ces tôles, on u- tilise encore suivant la présente invention des tôles supplé- mentaires ( fige 2 ) dans lesquelles les parties pleines a manquent et quiprésentent donc seulement deux fentes longi- tudinales f. Des paquets de semblables tales supplémentaires sont accolés au noyau de transformateur formé par empilage de tôles suivant la fig. 1, ou sont répartis dans le noyau.
Grâce à ces paquets de tôles supplémentaires comportant chacun deux fenêtres f'relativement longues qui enferment les trois enroulements'de phases montés sur un noyau de. fer
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commun., on obtient une allure plus ou moins sinusoïdale de la courbe du courant alternatif, ' ...
11 est à remarquer encore qu'à travers les paquets de tôles supplémentaires on peut faire passer soit les deux enroulements au transformateur, soit seulement l'un d'eux, par exemple l'enroulement secondaire qui doit être raccordé directement au consommateur de courant, provoquant autrement la déformation de la courbe du courant.
L'exemple de réalisation esquissé ci-dessus est basé sur l'hhpothës que les enroulements des trois phases sont dis- posés de façon à roudire tous la magnétisation dans le même sens. Le flux dans la partie supplémentaire du noyau de fer reçoit alors sa constitution entière* Mais ce mode de montage des trois phases ne concorde pas avec celui usuel pour les transformateurs à noyau extérieur et il présente également un certain inconvénient en ce sens que dans la partie principale du transformateur, les parties pleines s sont sollicitées plus fortement au point de vue magnétique . et doivent donc être rendues plus fortes.
Pour éviter cet inconvénient également, et pouvoir employer le mode de mon- tage usuel dans lequel la phase du milieu est montée contre la phase extérieure, on peut réaliser la présente invention de telle manière que les tôles de la partie supplémentaire sont entaillées de façon que les trois phases se renforcent toutes pour la production du flux supplémentaire (voir les flèches à la fige 3). Ce but s'obtient de la façon la plus simple par le fait qu'on ménage dans les tôles des fentes d'air 1 comme on l'a indiqué à la fig. 3
Cette figure montre un paquet supplémentaire z à fentes d'air obliques 1, placé sur un paquet de tôles qui présente la forme fondamentale du noyau du transformateur (fig.1).
Les vides h, h' que les paquets supplémentaires z laissent dans le noyau sont avantageusement remplis de bois ou d'au- tres pièces de tournure analogues /ion magnétiques.