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" Perfectionnements apportés aux machines à aûter les outils, de tours, de raboteuses, etc. " @ L'inention est relative aux machinesà affûter les outils, de tours, de raboteuses-, etc.
Elle a pour but, surtout, de rendre ces machi- nes telles que le déplacement à effectuer pour l'outil à affûter soit, pendant les changements d'angle de dépouil- le, le moins grand possible par rapport à la meule.
Elle consiste, principalement, à faire compren- dre, aux machines du genre en question, pour déterminer, par rapport à la meule, la position de l'outil à affûter, pendant les différentes phases de l'affûtage, un moyen (par exemple une came unique à double action) approprié à chaque genre d'outil à affûter, relié au porte-outil et tel, et se déplaçant de manière elle-même telle, que le- dit moyen assure, pour chaque phase de l'affûtage, d'une part, la distance de la meule au porte-outil et, d'autre
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part, l'angle de l'outil avec le plan de meulage.
Elle consiste, mise à part cette disposition principale, en certaines autres dispositions, qui s'utili- sent de préférence en même temps et dont il sera plus ex- plicitement parlé ci-après.
Elle vise plus particulièrement certains modes d'application, ainsi qu'un certain mode de réalisation desdites dispositions; et elle vise plus particulièrement encore, et ce à titre de produits industriels nouveaux, les machines du genre en question comportant application de ces mêmes dispositions, les éléments et outils spéciaux propres à leur établissement, ainsi que les installations comportant de semblables machines.
Et elle pourra, de toute façon, être bien com- prise à l'aide du complément de description qui suit, ainsi que des dessins ci-annexés, lesquels complément et dessins sont, bien entendu, donnés surtout à titre d'indi- cation.
La fig; 1 de ces dessins montre, en élévation schématique et partielle, partiel en coupe, une machine à affûter,les outils, de tours, de raboteuses, etc., établie conformément à l'invention.
Les fig. 2 et 3 montrent, respectivement en plan et en élévation schématiques, une pièce camée que comprend cette machine.
Selon l'invention, et plus spécialement selon @ de ses modes d'application, ainsi que celui des mo- des de réalisation de ses diverses parties, auxquels il semble qu'il y ait lieu d'accorder la préférence, se pro- posant d'établir une machine à affûter des outilsde tours, on s'y prend comme suit, ou de façon analogue.
On fait cette machine telle qu'elle comprenne, montés sur un bâti a: une meule d'émeri b dont on supposera l'axe hori-
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zontal, montée sur un support susceptible de coulisser parallèlement audit axe et mise en rotation par un moteur approprié quelconque, par exemple par un moteur électrique ±, tout en n'empêchant pas ladite meule de pouvoir être inclinée, à certains moments, dans un sens ou dans l'au- tre autour d'un axe M N parallèle à son propre axe, la- quelle meule est elle-même telle que, lorsque le porte- outil d., avec l'outil e. à affûter y fixé.évoluera en pre- nant des positions différentes, ledit porte-outil puisse rentrer plus ou moins dans ladite meule, celle-ci étant, à cet effet, constituée de façon appropriée,
-par exemple par une couronne d'émeri montée sur un plateau métallique creux f; un ensemble constitué par un bras g incliné ou non sur la verticale et à la partie supérieure duquel se trouve un logement cylin- drique propre à permettre que puisse y tourner sur lui-mê- me le nort-puitl d autour de l'axe moyen de l'outil e, supposé en place, lequel bras, à sa partie inférieure, est relié solidairement à une pièce camée h dont il va êtr par léfet est agencé de façon à pouvoir tourner, à la manière d'une.
sorte de tourelle -- appellation sous laquelle on désignera dans ce qui suit ledit bras --, autour d'une droite formant l'axe d'un pivot i, lequel axe se trouve dans le plan passant par l'axe moyen de l'outil en place dans le porte-outil et rencontre ce dernier axe en un point 0, extrémité correspondante à affûter dudit outil, pivot faisant corps avec un secteurcirculaire i1 propre à se déplacer, dans ledit plan, dans une glissière de mê- me forme et de centre 0, et par ladite pièce camée h -- une pièce camée de forme appropriée par outil à affûter -- fixée à la tou- relle et comprenant, d'une part, une première partie h1 en forme de came circulaire,, en saillie pax exemple sur la face-inférieure de ladite pièce camée,
dirigée dans la/
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direction du point 0, symétrique, dans sa position moyen- ne, par rapport au plan ci-dessus et dont le centre se trouve, dans ledit plan, entre le milieu de ladite partie h et l'axe du pivot i, laquelle partie hl a ses parois latérales parallèles entre elles de façon qu'elle puisse tourner, autour de ce dernier axe, en glissant entre deux galets , à axes parallèles entre eux, tourillonnés dans
2 le bâti a et, d'autre part, une seconde partie h en for- me de came, constituée par la face inférieure de la sail- lie que forme la partie h1 et ayant comme profil, pour un outil déterminé à affûter, celui représenté sur la fig.
3, ladite pièce camée 11 qui, sur la partie de son pourtour correspondant à la partie h2 porte un certain nombre d'en- coches, trois par exemple si ledit outil a, comme il sera supposé, trois faces à affûter, savoir une encoche h en face de la partie culminante de la partie hl et deux enco- ches h et h en face respectivement des extrémités de celle-ci;
un mécanisme tel qu"on puisse, à l'aide d'un levier de manoeuvre k faire avancer ou reculer la meule et met- tre en contact, avec la face inférieure de la partie de
2 came h , ou l'en séparer, une butée 1 propre à coulisser entre les galets , cela de façon que, lorsqu'on fait tour- ner le levier ¯4 dans le sens pour lequel il fait avancer la meule, un butoirm solidaire du support coulissant de
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ladite meule,'-Y1enne reDe n ree ague 9.
Il sur une tige coulissante o1 reliée à ladite butée par l'intermé- diaire d'un levier coudé p articulé, d'une part, à ladite tige o1 et, d'autre part, en p1, au bâti de la machine, lequel levier coudé vient alors, par son extrémité libre, au contact de ladite butée 1la séparation de celle-ci
2 d'avec la partie de came h étant obtenue en faisant tour- ner le levier de manoeuvre dans l'autre sens ; un mécanisme propre à permettre de faire varier la hauteur de la butée 1, entre les galets j, entre lesquels
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elle peut coulisser, lequel mécanisme est, par exemple, constitué en faisant comprendre, en un point approprié de
2 la tige o1 une double vis et un écrou o. ;
et un mécanisme propre à permettre que, après qu'on a fait tourner la pièce camée h de façon que chacune de ses encoches puisse se présenter en face d'un point fixe, la- dite pièce h puisse être tantôt immobilisée quand le petit levier h se dirige vers le butoirm et tantôt dégagée dans le cas* contraire, lequel mécanisme est, par exemple, cons- titué en articulant, en un point approprié du petit levier m l'une des extrémités d'une tige 3. dont l'autre extrémi- té est. elle-même articulée à un autre petit levier-r, de forme et de position telles que, dans le premier cas, il s'engage dans l'encoche correspondante,et, dans le second cas, s'en dégage.
L'appareil étant ainsi constitué et monté comme il convient, fonctionne, si le tout est judicieusement é- tabli, comme suit.
L'outil e à affûter étant convenablement mis en place dans le porte-outil d on fait tourner la tourelle g de façon que le petit levier r s'engage dans l'encoche h de la pièce camée h, Au moyen du levier de manoeuvre k, on fait avancer la meule vers l'outil jusqu'à ce que le butori m, venant rencontrer la bague o, prouvoque la
2 mise en contact de la butée 1 avec la partie h de came, ce qui permet l'affûtage de la première face de l'outil.
Cette face une fois affûtée, on agit-dans le sens contraire sur le levier k pour faire reculer la meule. A ce moment le butoir ni pousse le petit levier m. dans le sens. de la flèche dessinée dans son voisinage, et le petit le- vier r se trouve dégagé de l'encoche h On fait tourner ensuite très légèrement la tou- relle &, puis on rapproche la meule de l'outil e, en appu- yant sur le levier de commande k Le butoirm en appuyant lui -mime' sur la bague 2,9 force ladite meule à suivre un
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certain mouvement longitudinal donné par la partie h de came,cela au moyen de la tige c1du levier coudé p et de la butée 1 La face de l'outil e prend donc une forme 2 en¯rapport avec celle de ladite partie h de came.
Lorsque la pièce camée h a suffisamment tourné, le petit levier r. tombe dans l'encoche suivante.
On répète la même manoeuvre pour l'affûtage du reste de l'outil e en continuan/t à faire tourner la tourel- le g.
Pour affûter la partie supérieure e1 de l'outil, on fait tourner sur telle-même d'un angle convenable la tête du porte-outil , on ramène la pièce camée h de façon qu'entre en jeu l'encoche h ou tout autre encoche déter- minée en conséquence et on fait avancer la meule pour opé- rer l'affûtage.
Des encoches portées par la pièce camée h per- mettent, dans le cas d'affûtage d'outils droits, d'affûter ces outils sous des angles déterminés en engageant dans ces encoches le petit levier r.
On voit que la pièce camée h,permêet, grâce au profil de sa partie hl de came, de donner la dépouille
2 et, grâce au profil de sa partie h de came, de donner la forme à l'outil. Si on veut obtenir des outils ayant des formes déterminées, différentes grosseurs et des cotes données, on fait tourner, dans le sens convenable, et d'u-
2 ne quantité appropriée, l'écrou o .
Comme il va de soi, et comme il ressort d'ail- leurs déjà de ce qui précède, l'invention ne se limite au- cunement à ceux. de ses modes d'application, non plus qu'à celui des modes de réalisation de ses diverses parties, a- yant plus spécialement été indiqués; elle en embrasse, au contraire, toutes les variantes.
R S U IL'.9.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.