BE1026673B1 - Cartouche pour un dispositif vaporisateur - Google Patents

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BE1026673B1 BE20195716A BE201905716A BE1026673B1 BE 1026673 B1 BE1026673 B1 BE 1026673B1 BE 20195716 A BE20195716 A BE 20195716A BE 201905716 A BE201905716 A BE 201905716A BE 1026673 B1 BE1026673 B1 BE 1026673B1
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Christopher J Rosser
Andrew J Stratton
Alim Thawer
James P Westley
Norbert Wesely
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Abstract

Un dispositif de vaporisation comprend une cartouche pour un dispositif vaporisateur. Par exemple, la cartouche de vaporisateur et/ou ses caractéristiques peuvent améliorer la gestion des fuites du matériau vaporisable depuis la cartouche de vaporisateur, la régulation de l’écoulement d'air dans et/ou à proximité de la cartouche de vaporisateur, le chauffage du matériau vaporisable dans la cartouche de vaporisateur, la gestion du condensat dans la cartouche de vaporisateur, et/ou d’autres caractéristiques d’assemblage de la cartouche de vaporisateur. Les systèmes, les procédés et les articles de fabrication liés sont également décrits.

Description

TITRE : Cartouche pour un dispositif vaporisateur
DESCRIPTION Référence croisée aux applications connexes La présente demande revendique la priorité sur la demande provisoire US 62/915 005, déposée le 14 octobre 2019 et intitulée « Cartouche pour un dispositif vaporisateur », la demande provisoire US 62/812 161 déposée le 28 février 2019 et intitulée « Cartouche pour un dispositif vaporisateur », la demande provisoire US 62/747 099 déposée le 17 octobre 2018 et inti- tulée « Éléments d’alimentation de mèche et de chauffage dans un dispo- sitif vaporisateur », la demande provisoire US 62/812 148, déposée le 28 février 2019 et intitulée « Contrôle de trop-plein de réservoir avec points de constriction », la demande provisoire US 62/747 055 déposée le 17 oc- tobre 2018 et intitulée « Contrôle de trop-plein de réservoir », la demande provisoire US 62/747 130 déposée le 17 octobre 2018 et intitulée « Col- lecte et recyclage de condensat de vaporisateur» et la demande de brevet US 16/653 455, déposée le 15 octobre 2019 et intitulée « Élément chauf- fant», dont Pintégralité est incorporée ici pour référence.
Domaine de l’invention Le sujet décrit concerne généralement les caractéristiques d’une car- touche pour un vaporisateur, et dans certains exemples, concerne la ges- tion des fuites de matériau vaporisable liquide, le contrôle de l'écoulement d'air dans et à proximité d’une cartouche, le chauffage du matériau vapo- risable pour se traduire par la formation d’un aérosol et/ou d’autres carac- téristiques d’assemblage de la cartouche et d’un dispositif auquel elle peut être raccordée de manière séparable. Domaine Les dispositifs de vaporisateur qui sont généralement désignés ici comme étant des vaporisateurs, comprennent des dispositifs qui chauffent un ma- tériau vaporisable (par exemple un liquide, une matière végétale, certains autres solides, une cire, etc.) à une température suffisante pour libérer un ou plusieurs composés du matériau vaporisable sous une forme (par exemple un gaz, un aérosol, etc.) qui peut être inhalée par un utilisateur du vaporisateur.
Certains vaporisateurs, par exemple ceux dans lesquels au moins l’un des composés libérés du matériau vaporisable est de la ni- cotine, peuvent être utiles en tant qu’alternative au fait de fumer des ciga- rettes combustibles.
Résumé A des fins de résumé, certains aspects, avantages et nouvelles caractéris- tiques ont été décrits ici.
Il faut comprendre que tous ces avantages ne peuvent pas être atteints selon l’un quelconque des modes de réalisation particuliers.
Ainsi, le sujet décrit peut-être mis en œuvre ou réalisé d’une manière qui atteint ou optimise un avantage ou un groupe d'avantages sans pour autant atteindre tous les avantages comme cela peut être en- seigné ou suggéré ici.
Les différentes caractéristiques et rubriques décrites ici peuvent être incorporées ensemble ou séparément, excepté lorsque cela n’est pas faisable sur la base de la présente description et de ce que l'homme du métier comprend d’après cette dernière.
Dans un aspect, un vaporisateur comprend un réservoir configuré pour contenir un matériau vaporisable liquide.
Le réservoir est au moins partiel- lement défini par au moins une paroi et le réservoir comprend une chambre de stockage et un volume de trop-plein.
Le vaporisateur comprend en outre un collecteur disposé dans le volume de trop-plein.
Le collecteur comprend une structure capillaire configurée pour retenir un volume de matériau vaporisable liquide en contact de fluide avec la chambre de stock- age.
La structure capillaire comprend une caractéristique microfluidique configurée pour empêcher l’air et le liquide de dévier l’un par rapport à l’autre pendant le remplissage et le vidage du collecteur.
Dans un aspect lié qui peut être inclus dans un vaporisateur selon le pré- cédent aspect, une porte microfluidique pour réguler l’écoulement du ma- tériau vaporisable liquide entre une chambre de stockage et un volume de trop-plein attenant dans un vaporisateur comprend une pluralité d’ouver- tures raccordant la chambre de stockage et le collecteur et un point de pincement entre la pluralité d’ouvertures.
La pluralité d’ouvertures com- prend un premier canal et un second canal.
Le premier canal a un entraî- nement capillaire plus important que le second canal.
Facultativement, la porte microfluidique peut comprendre un rebord d’une ouverture entre la chambre de stockage et le collecteur qui est plus plat sur un premier côté faisant face au compartiment de stockage qu’un second côté plus arrondi faisant face au collecteur.
Dans un autre aspect lié qui peut être incorporé avec d’autres aspects, un collecteur configuré pour l'insertion dans une cartouche de vaporisateur comprend une structure capillaire configurée pour retenir un volume de matériau vaporisable liquide en contact de fluide avec une chambre de stockage de la cartouche de vaporisateur.
La structure capillaire comprend une caractéristique microfluidique configurée pour empêcher l'air et le li- quide de dévier l’un par rapport à l’autre pendant le remplissage et le vi- dage du collecteur.
Dans des variantes facultatives, une ou plusieurs des caractéristiques sui- vantes peuvent également être comprises dans n'importe quelle combinai- son réalisable.
Par exemple, une voie de passage principale peut être comprise pour fournir un raccordement de fluide entre la chambre de stockage et un atomiseur configuré pour convertir le matériau vaporisable liquide dans un état en phase gazeuse.
La voie de passage principale peut être formée à travers la structure du collecteur.
La voie de passage principale peut comprendre un premier canal configuré pour permettre au matériau vaporisable liquide de s’écouler de la chambre de stockage vers un élément de mèche dans l’atomiseur.
Le premier canal peut avoir une forme transversale avec au moins une irrégularité configu- rée pour permettre au liquide dans le premier canal de contourner une bulle d’air bloquant le reste du premier canal.
La structure capillaire peut comprendre une voie de passage secondaire qui comprend une caracté- ristique microfluidique, et la caractéristique microfluidique peut être confi- gurée pour permettre au matériau vaporisable liquide de se déplacer le long d’une longueur de la voie de passage uniquement avec un ménisque qui recouvre complètement une surface transversale de la voie de pas- sage secondaire.
La surface transversale peut être assez petite de sorte que, pour un matériau à partir duquel les parois de la voie de passage secondaire sont formées et une composition du matériau vaporisable Ii- quide, le matériau vaporisable liquide mouille de préférence la voie de pas- sage autour de tout le périmètre de la voie de passage secondaire.
La chambre de stockage et le collecteur peuvent être configurés pour maintenir une colonne continue de matériau vaporisable liquide dans le collecteur en contact avec le matériau vaporisable liquide dans la chambre de stockage de sorte qu’une réduction de pression dans la chambre de stockage par rapport à la pression ambiante amène la colonne continue de matériau vaporisable liquide dans le collecteur à être au moins partiel- lement aspirée dans la chambre de stockage.
La voie de passage secon- daire peut comprendre une pluralité de points de constriction espacés ayant une plus petite surface transversale que les parties de la voie de passage secondaire entre les points de constriction.
Les points de cons- triction peuvent avoir une surface plus plate dirigée le long de la voie de passage secondaire vers le compartiment de stockage et une surface plus ronde dirigée le long de la voie de passage secondaire à distance du com- partiment de stockage.
Une porte microfluidique peut être positionnée entre le collecteur et le com- partiment de stockage.
La porte microfluidique peut comprendre un rebord d’une ouverture entre la chambre de stockage et le collecteur qui est plus plat sur un premier côté faisant face au compartiment de stockage qu’un second côté plus arrondi faisant face au collecteur.
La porte microfluidique peut comprendre une pluralité d’ouvertures raccordant la chambre de stockage et le collecteur et un point de pincement entre la pluralité d’ou- vertures.
La pluralité d'ouvertures peut comprendre un premier canal et un 5 second canal, dans lequel le premier canal a un entraînement capillaire supérieur au second canal.
Un ménisque d'air — matériau vaporisable li- quide atteignant le point de pincement peut être acheminé vers le second canal en raison de l’entraînement capillaire supérieur dans le premier ca- nal de sorte qu’une bulle d'air est formée pour s'échapper dans le matériau vaporisable liquide dans la chambre de stockage.
Le matériau vaporisable liquide peut comprendre un ou plusieurs éléments parmi le propylène glycol et la glycérine végétale.
Un collecteur peut comprendre une voie de passage principale fournissant un raccordement de fluide entre le réservoir et un atomiseur configuré pour convertir le matériau vaporisable liquide dans un état de phase gazeuse, dans lequel la voie de passage principale est formée à travers une struc- ture du collecteur.
Dans des variantes facultatives, la structure capillaire peut comprendre une voie de passage secondaire comprenant la caracté- ristique microfluidique et la caractéristique microfluidique peut être confi- gurée pour permettre au matériau vaporisable liquide de se déplacer le long d’une longueur de la voie de passage secondaire uniquement avec un ménisque qui recouvre complètement une surface transversale de la voie de passage secondaire.
La surface transversale peut être assez petite de sorte que, pour un matériau à partir duquel les parois de la voie de passage secondaire sont formées et une composition du matériau vapori- sable liquide, le matériau vaporisable liquide mouille de préférence la voie de passage secondaire autour de tout le périmètre de la voie de passage secondaire.
La chambre de stockage et le collecteur peuvent être configu- rés pour maintenir une colonne continue de matériau vaporisable liquide dans le collecteur en contact avec le matériau vaporisable liquide dans la chambre de stockage de sorte qu’une réduction de pression dans la chambre de stockage par rapport à la pression ambiante amène la colonne continue de matériau vaporisable liquide dans le collecteur à être au moins partiellement aspirée dans la chambre de stockage.
La voie de passage secondaire peut comprendre une pluralité de points de constriction espa- cés ayant une surface transversale plus petite que les parties de la voie de passage secondaire entre les points de constriction.
Les points de cons- triction peuvent avoir une surface plus plate dirigée le long de la voie de passage secondaire vers le compartiment de stockage et une surface plus ronde dirigée le long de la voie de passage secondaire à distance du com- partiment de stockage.
Encore dans un autre aspect lié, une cartouche de vaporisateur comprend un logement de cartouche, une chambre de stockage disposée dans le logement de cartouche et configurée pour contenir un matériau vapori- sable liquide, une entrée configurée pour permettre à l’air d’entrer dans une voie d'écoulement d’air interne dans le logement de cartouche, un ato- miseur configuré pour provoquer la conversion d’au moins une certaine partie du matériau vaporisable liquide dans un état inhalable, un collecteur tel que décrit dans le précédent aspect.
Dans des variantes facultatives, une telle cartouche de vaporisateur peut comprendre une ou plusieurs caractéristiques telles que décrites ici, comme par exemple un élément de mèche positionné dans la trajectoire d'écoulement d’air interne et en communication de fluide avec le réservoir.
L'élément de mèche peut être configuré pour aspirer le matériau vapori- sable liquide de la chambre de stockage par l’action capillaire.
Un élément chauffant peut être positionné pour provoquer le chauffage de l’élément de mèche pour se traduire par la conversion d’au moins une certaine partie du matériau vaporisable liquide aspirée de la chambre de stockage en un état gazeux.
L’état inhalable peut comprendre un aérosol formé par la con- densation d’au moins une certaine partie du matériau vaporisable liquide à partir de l’état gazeux.
Le logement de cartouche peut comprendre une structure creuse monolithique ayant une première extrémité ouverte, et une seconde extrémité opposée à la première extrémité.
Le collecteur peut être reçu par insertion dans la première extrémité de la structure creuse monolithique.
Encore dans un autre aspect lié, il est prévu un réservoir pour une car- touche utilisable avec un dispositif vaporisateur.
Dans un mode de réalisa- tion, le réservoir comprend une chambre de stockage (par exemple, un réservoir) pour stocker le matériau vaporisable, ainsi qu’un volume de trop—plein séparable de la chambre de stockage et en communication avec la chambre de stockage via un évent menant à une voie de passage dans le volume de trop-plein.
La voie de passage dans le volume de trop-plein peut conduire à un orifice raccordé à l’air ambiant.
La chambre de stockage ou le réservoir peut éga- lement comprendre une première alimentation de mèche, et facultative- ment une seconde alimentation de mèche, respectivement mises en œuvre sous la forme d’une première cavité et d’une seconde cavité traver- sant un collecteur placé à l’intérieur de la cartouche.
Le collecteur peut comprendre une ou plusieurs structures de support qui forment la voie de passage dans le volume de trop-plein.
Les première et seconde cavités peuvent réguler l'écoulement du matériau vaporisable vers un logement de mèche configuré pour recevoir un élément de mèche.
L'élément de mèche positionné dans le logement de mèche ou le logement d’élément de mèche peut être configuré pour absorber le matériau vapori- sable circulant à travers les première et seconde alimentations de mèche de sorte que, en interaction thermique avec un atomiseur, le matériau va- porisable absorbé dans l’élément de mèche est converti en au moins l’un parmi une vapeur ou un aérosol et s'écoulant à travers une structure de tunnel de sortie formée à travers le collecteur et la chambre de stockage pour atteindre une ouverture dans l’embout buccal.
L'’embout buccal peut être formé à proximité de la chambre de stockage.
Le collecteur peut avoir une première extrémité et une seconde extrémité.
La première extrémité peut être couplée à l’ouverture dans l’embout buccal et la seconde extrémité, opposée à la première extrémité, peut être confi- gurée pour loger une mèche ou un élément de mèche.
Un logement de mèche selon certains modes de réalisation peut comprendre un ensemble de dents faisant saillie vers l’extérieur à partir de la seconde extrémité pour recevoir au moins partiellement l’élément de mèche, et une ou plusieurs nervures de compression positionnées à proximité des première ou se- conde alimentations de mèche et s'étendant à partir de la seconde extré- mité du collecteur pour comprimer l’élément de mèche.
Encore dans un autre aspect lié, un évent peut être prévu pour maintenir un état de pression d’équilibre dans la chambre de stockage de la car- touche et pour empêcher l’augmentation de la pression dans la chambre de stockage jusqu’à un point qui amènerait le matériau vaporisable à inon- der le logement de mèche.
L'état de pression d’équilibre peut être main- tenu en établissant un joint d'étanchéité au liquide au niveau de l’ouverture de l’évent positionné à un point où la chambre de stockage communique avec une voie de passage dans un volume de trop-plein dans la cartouche.
Le joint d'étanchéité au liquide est établi et maintenu au niveau de l’évent en maintenant la pression capillaire suffisante pour que les ménisques de matériau vaporisable soient formés au niveau d’une partie de l’évent me- nant à la voie de passage dans le volume de trop-plein.
La pression capillaire pour les ménisques de matériau vaporisable peut être régulée par exemple par des structures d’évent qui forment un canal principal et un canal secondaire qui construisent effectivement une valve fluidique pour réguler au moins un point de pincement au niveau de l’un parmi le canal principal ou le canal secondaire.
En fonction de la mise en œuvre, le canal principal et le canal secondaire peuvent avoir des géomé- tries progressivement rétrécies de sorte que, lorsque les ménisques conti- nuent de reculer, un entraînement capillaire du canal principal diminue à un débit supérieur à celui de l'entraînement capillaire du canal secondaire.
Une réduction progressive dans les entraînements capillaires des canaux principal et secondaire réduit le vide d’espace libre dans la chambre de stockage.
Encore dans un autre aspect lié, la pression de purge du canal principal chute au-dessous de la pression de purge du canal secondaire en raison de la réduction progressive dans les entraînements capillaires des canaux principal et secondaire l’un par rapport à l’autre.
Le ménisque dans le canal principal continue à se purger lorsque la pression de purge du canal prin- cipal change, alors que le ménisque dans le canal secondaire reste sta- tique.
La pression de purge impliquant l’angle de contact en recul du canal principal peut chuter au-dessous de la pression d'inondation impliquant l’angle de contact d'avancement du canal secondaire, amenant les canaux principal et secondaire à se remplir avec le matériau vaporisable.
Par conséquent, en réponse à un état de pression augmentée à l’intérieur de la chambre de stockage, le matériau vaporisable s'écoule dans la voie de passage du collecteur (c'est-à-dire le volume de trop-plein) par l’évent, dans lequel l’évent est construit pour maintenir un joint d'étanchéité au li- quide au niveau du point de pincement, de manière souhaitable, tout le temps.
Dans certains modes de réalisation, l’évent est construit pour pro- mouvoir un joint d'étanchéité au liquide au niveau de l’ouverture à partir de laquelle le matériau vaporisable s'écoule entre la chambre de stockage du réservoir et la voie de passage du collecteur dans le volume de trop-plein.
Encore dans un autre aspect lié, un ou plusieurs canaux d'alimentation de mèche peuvent être mis en œuvre pour réguler l’écoulement direct du ma- tériau vaporisable vers la mèche.
Un premier canal d’alimentation de mèche peut être formé à travers le collecteur positionné dans le volume de trop-plein et indépendant des canaux principal et secondaire de la valve de régulation mentionnée ci-dessus.
Le collecteur peut comprendre une structure de support qui forme le premier canal ou des canaux d'alimenta- tion de mèche supplémentaires.
La mèche peut être positionnée dans le logement de mèche de sorte que la mèche est configurée pour absorber le matériau vaporisable circulant à travers le premier canal.
En fonction de la mise en œuvre, le premier canal peut avoir une section transversale en forme de croix ou avoir une paroi de division partielle. La forme du premier canal peut fournir un ou plusieurs sous-canaux non principaux et un ou plusieurs sous-canaux principaux qui sont supérieurs en diamètre par rap- port aux sous—canaux non principaux.
En fonction de la mise en œuvre, lorsqu'un sous-canal principal ou un sous—canal non principal est limité ou bouché (par exemple en raison de la formation de bulle d’air), le matériau vaporisable peut circuler à travers un sous—canal en variante ou un canal principal. Dans une alimentation de mèche en forme de croix, un sous-canal principal peut s'étendre à travers le centre de l’alimentation de mèche en forme de croix. Lorsque le sous- canal principal est limité en raison de la formation d’une bulle de gaz dans une partie du sous-canal principal, le matériau vaporisable s’écoule à tra- vers au moins l’un des sous-canaux non principaux.
Dans certains modes de réalisation, le collecteur peut avoir une première extrémité et une seconde extrémité, la première extrémité faisant face à la chambre de stockage et la seconde extrémité étant orientée à l’opposé de la chambre de stockage et étant configurée pour comprendre le logement de mèche. Une seconde alimentation de mèche peut être mise en œuvre sous la forme d’un second canal pour permettre au matériau vaporisable stocké dans la chambre de stockage de s’écouler vers la mèche en même temps que le matériau vaporisable s'écoule à travers la première alimen- tation de mèche. La seconde alimentation de mèche peut avoir une section transversale en forme de croix.
Selon un ou plusieurs aspects, un réservoir pour une cartouche utilisable avec un dispositif vaporisateur peut comprendre une chambre de stockage configurée pour contenir le matériau vaporisable. Le réservoir peut être en relation opérationnelle avec un atomiseur configuré pour convertir le ma- tériau vaporisable d’une phase liquide à une phase vapeur ou aérosol pour l'inhalation par un utilisateur du dispositif vaporisateur. La cartouche peut également comprendre un volume de trop-plein pour retenir au moins une certaine partie du matériau vaporisable, par exemple lorsqu’un ou plu- sieurs facteurs amènent le matériau vaporisable dans la chambre de ré- servoir à circuler dans le volume de trop-plein dans la cartouche.
Les uns ou plusieurs facteurs peuvent comprendre la cartouche qui est exposée à un état de pression, qui est différent d’un premier état de pres- sion ambiante (par exemple en passant d’un premier état de pression à un second état de pression). Dans certains aspects, le volume de trop-plein peut comprendre une voie de passage qui se raccorde à une ouverture ou orifice de régulation d’air menant à l'extérieur de la cartouche (c'est-à-dire à Pair ambiant). La voie de passage dans le volume de trop-plein peut également être en communication avec la chambre de réservoir de sorte que la voie de passage peut servir d’évent d'air pour permettre l’égalisation de pression dans la chambre de réservoir.
En réponse à un évènement de pression négative dans l’environnement ambiant des cartouches, le maté- riau vaporisable peut être aspiré de la chambre de réservoir à l’atomiseur et convertit en phases vapeur ou aérosol, réduisant le volume du matériau vaporisable restant dans la chambre de stockage du réservoir.
La chambre de stockage peut être couplée au volume de trop-plein au moyen d'une ou de plusieurs ouvertures entre la chambre de stockage et le volume de trop-plein, par exemple de sorte que les unes ou plusieurs ouvertures mènent à une ou plusieurs voies de passage à travers le vo- lume de trop-plein.
L'écoulement du matériau vaporisable dans la voie de passage via l’ouverture peut être régulé au moyen des propriétés capil- laires d’un évent fluidique menant à une ou plusieurs voies de passage ou des propriétés capillaires des voies de passage elles-mêmes.
En outre, l'écoulement du matériau vaporisable dans les unes ou plusieurs voies de passage peut être réversible, permettant au matériau vaporisable d’être déplacé du volume de trop-plein à nouveau dans la chambre de réservoir.
Dans au moins un mode de réalisation, l'écoulement du matériau vapori- sable peut être inversé, en réponse au changement de l’état de pression (par exemple, lorsqu'un second état de pression dans la cartouche revient dans un premier état de pression). Le second état de pression peut être associé avec un évènement de pression négative.
Un évènement de pres- sion négative peut être le résultat d’une chute de pression ambiante par rapport à celle des un ou plusieurs volumes d'air retenus dans la chambre de réservoir ou une autre partie de la cartouche.
En variante, un évène- ment de pression négative peut provenir de la compression d’un volume interne de la cartouche en raison de la pression mécanique sur une ou plusieurs surfaces externes de la cartouche.
Un élément chauffant peut comprendre une partie chauffante et au moins deux pattes.
La partie chauffante peut comprendre au moins deux dents espacées l’une de l’autre.
La partie chauffante peut être préformée pour définir un volume intérieur configuré pour recevoir l’élément de mèche de sorte que la partie chauffante fixe au moins une partie de l’élément de mèche sur l’élément chauffant.
La partie chauffante peut être configurée pour être en contact avec au moins deux surfaces séparées de l’élément de mèche.
Les au moins deux pattes peuvent être couplées aux au moins deux dents et espacées de la partie chauffante.
Les au moins deux pattes peuvent être configurées pour communiquer électriquement avec une source d'alimentation.
L'énergie est configurée pour être fournie à la partie chauffante depuis la source d’alimentation afin de générer de la chaleur, vaporisant ainsi le matériau vaporisable stocké dans l’élément de mèche.
Dans certaines mises en œuvre, les au moins deux pattes comprennent quatre pattes.
Dans certaines mises en œuvre, la partie chauffante est configurée pour être en contact avec au moins trois surfaces séparées de l'élément de mèche.
Dans certaines mises en œuvre, les au moins deux dents comprennent une première partie de dent latérale, une seconde partie de dent latérale opposée à la première partie de dent latérale, et une partie de dent de plateforme raccordant la première partie de dent latérale avec la seconde partie de dent latérale.
La partie de dent de plateforme peut être position-
née de manière approximativement perpendiculaire à une partie de la pre- mière partie de dent latérale et de la seconde partie de dent latérale.
La première partie de dent latérale, la seconde partie de dent latérale et la partie de dent de plateforme définissent le volume intérieur dans lequel l'élément de mèche est positionné.
Dans certaines mises en œuvre, les au moins deux pattes sont positionnées à distance de la partie chauffante par un pont.
Dans certaines mises en œuvre, chacune des au moins deux pattes com- prend un contact de cartouche positionné au niveau d’une extrémité de chacune des au moins deux pattes.
Le contact de cartouche peut électri- quement communiquer avec la source d'alimentation.
Le contact de car- touche peut être coudé et s'étendre à distance de la partie chauffante.
Dans certaines mises en œuvre, les au moins deux dents comprennent une première paire de dents et une seconde paire de dents.
Dans cer- taines mises en œuvre, les dents de la première paire de dents sont régu- lièrement espacées l’une de l’autre.
Dans certaines mises en œuvre, les dents de la première paire de dents sont espacées par une largeur.
Dans certaines mises en œuvre, la largeur est plus importante au niveau d’une région interne de l’élément chauffant adjacent à la partie de dent de plate- forme que la largeur au niveau d’une région externe de l'élément chauffant adjacent à un bord externe de la première partie de dent latérale opposée à la région interne.
Dans certaines mises en œuvre, le dispositif vaporisateur est configuré pour mesurer une résistance de l’élément chauffant au niveau de chacune des quatre pattes pour réguler une température de l’élément chauffant.
Dans certaines mises en œuvre, l’élément chauffant comprend un écran thermique configuré pour isoler la partie chauffante d’un corps du dispositif vaporisateur.
Dans certaines mises en œuvre, le dispositif vaporisateur comprend en outre un écran thermique configuré pour entourer au moins une partie de l'élément chauffant et isoler la partie chauffante d’un corps d’un logement de mèche configuré pour entourer au moins une partie de élément de mèche et élément chauffant.
Dans certaines mises en œuvre, la partie chauffante est pliée entre la par- tie chauffante et les au moins deux pattes pour isoler la partie chauffante des au moins deux pattes. Dans certaines mises en œuvre, la partie chauf- fante comprend en outre au moins une languette qui s'étend à partir d’un côté des au moins deux dents pour permettre une entrée plus facile de l'élément de mèche dans le volume intérieur de la partie chauffante. Dans certaines mises en œuvre, la au moins une languette s'étend à distance du volume intérieur selon un angle.
Dans certaines mises en œuvre, les au moins deux pattes comprennent une caractéristique capillaire. La caractéristique capillaire peut provoquer un changement brutal de pression capillaire pour empêcher ainsi l’écoule- ment du matériau vaporisable au-delà de la caractéristique capillaire.
Dans certaines mises en œuvre, la caractéristique capillaire comprend un ou plusieurs coudes dans les au moins deux pattes. Dans certaines mises en œuvre, les au moins deux pattes s'étendent selon un angle vers le vo- lume intérieur de la partie chauffante, les au moins deux pattes coudées définissant la caractéristique capillaire.
Dans certaines mises en œuvre, un dispositif vaporisateur comprend un réservoir contenant le matériau vaporisable, un élément de mèche en com- munication de fluide avec le réservoir, et un élément chauffant. L'élément chauffant comprend une partie chauffante et au moins deux pattes. La par- tie chauffante peut comprendre au moins deux dents espacées l’une de l’autre. La partie chauffante peut être préformée pour définir un volume intérieur configuré pour recevoir l’élément de mèche de sorte que la partie chauffante fixe au moins une partie de l'élément de mèche sur l’élément chauffant. La partie chauffante peut être configurée pour être en contact avec au moins deux surfaces séparées de l’élément de mèche. Au moins deux pattes peuvent être couplées aux au moins deux dents et espacées de la partie chauffante. Les au moins deux pattes peuvent être configurées pour communiquer électriquement avec une source d’alimentation. L'éner- gie est configurée pour être fournie à la partie chauffante à partir de la source d’alimentation afin de générer de la chaleur, vaporisant ainsi le ma- tériau vaporisable stocké dans l’élément de mèche.
Un procédé pour former un ensemble d’atomiseur pour un dispositif vapo- risateur peut comprendre l’étape pour fixer un élément de mèche sur un volume intérieur d’un élément chauffant. L'élément chauffant peut com- prendre une partie chauffante comprenant au moins deux dents espacées l’une de l’autre, et au moins deux pattes espacées de la partie chauffante.
Les pattes peuvent être configurées pour communiquer électriquement avec une source d'alimentation du dispositif vaporisateur. La partie chauf- fante est configurée pour être en contact avec au moins deux surfaces de l'élément de mèche. Le procédé peut également comprendre l’étape pour coupler l’élément chauffant à un logement de mèche configuré pour entou- rer au moins une partie de l'élément de mèche et l’élément chauffant. L'étape de fixation peut également comprendre un coulissement de l’élé- ment de mèche dans le volume intérieur de l’élément chauffant.
Dans certaines mises en œuvre, un dispositif vaporisateur comprend une partie chauffante comprenant une ou plusieurs traces d’élément chauffant formées de manière solidaire et espacées les unes des autres, les une ou plusieurs traces d’élément chauffant étant configurées pour être en contact avec au moins une partie d’un élément de mèche du dispositif vaporisateur, une partie de raccordement configurée pour recevoir l’énergie d’une source d'alimentation et diriger l'énergie vers la partie chauffante, et une couche de placage ayant un matériau de placage qui est différent d’un matériau de la partie chauffante. La couche de placage peut être configu- rée pour réduire la résistance de contact entre élément chauffant et la source d’alimentation, localisant ainsi le chauffage de l’élément chauffant sur la partie chauffante.
Dans certains aspects de la présente invention, des problèmes associés au condensat qui se collecte le long d’un ou de plusieurs canaux internes et sorties (par exemple le long d'un embout buccal) de certains dispositifs de vaporisateur peuvent être traités en incluant une ou plusieurs caracté- ristiques décrites ici ou des approches comparables / équivalentes, telles que l’homme du métier le comprendrait. Les aspects de la présente inven- tion concernent les systèmes et les procédés pour capturer le condensat de matériau vaporisable dans un dispositif vaporisateur.
Dans certaines variantes, une ou plusieurs des caractéristiques suivantes peuvent facultativement être comprises dans n’importe quelle combinaison réalisable.
Les aspects de la présente invention concernent une cartouche pour un dispositif vaporisateur. La cartouche peut comprendre un réservoir com- prenant une chambre de réservoir définie par une barrière de réservoir. Le réservoir peut être configuré pour contenir un matériau vaporisable dans la chambre de réservoir. La cartouche peut comprendre une chambre de vaporisation en communication avec le réservoir et peut comprendre un élément de mèche configuré pour aspirer le matériau vaporisable de la chambre de réservoir à la chambre de vaporisation pour qu’il soit vaporisé par un élément chauffant. La cartouche peut comprendre une voie de pas- sage d’écoulement d’air qui s'étend à travers la chambre de vaporisation.
La cartouche peut comprendre au moins un canal capillaire adjacent à la voie de passage d’écoulement d'air. Chaque canal capillaire du au moins un canal capillaire peut être configuré pour recevoir un fluide et diriger le fluide d’un premier emplacement à un second emplacement via l’action capillaire.
Dans un aspect compatible avec la description courante, chaque canal ca- pillaire du au moins un canal capillaire peut être progressivement rétréci du point de vue de la taille. Le rétrécissement progressif de taille peut se traduire par une augmentation de l’entraînement capillaire à travers chaque canal capillaire du au moins un canal capillaire. Chaque canal ca- pillaire du au moins un canal capillaire peut être formé par une rainure définie entre une paire de parois.
Le au moins un canal capillaire peut com- muniquer de manière fluidique avec une mèche.
Le premier emplacement peut être adjacent à une extrémité de la voie de passage d’écoulement d'air et à un embout buccal.
Le au moins un canal capillaire peut collecter un condensat de fluide.
Dans un aspect lié, un dispositif vaporisateur peut comprendre un corps de vaporisateur comprenant un élément chauffant configuré pour chauffer un matériau vaporisable.
Le dispositif vaporisateur peut comprendre une cartouche configurée pour être couplée de manière amovible au corps de vaporisateur.
La cartouche peut comprendre un réservoir comprenant une chambre de réservoir définie par une barrière de réservoir.
Le réservoir peut être configuré pour contenir le matériau vaporisable dans la chambre de réservoir.
La cartouche peut comprendre une chambre de vaporisation en communication avec le réservoir et peut comprendre un élément de mèche configuré pour aspirer le matériau vaporisable de la chambre de réservoir à la chambre de vaporisation pour être vaporisé par l’élément chauffant.
La cartouche peut comprendre une voie de passage d'écoule- ment d'air qui s'étend à travers la chambre de vaporisation.
La cartouche peut comprendre au moins un canal capillaire adjacent à la voie de pas- sage d'écoulement d’air.
Chaque canal capillaire du au moins un canal ca- pillaire peut être configuré pour recevoir un fluide et diriger le fluide d’un premier emplacement vers un second emplacement via l’action capillaire.
Chaque canal capillaire du au moins un canal capillaire peut se rétrécir progressivement du point de vue de la taille.
Le rétrécissement progressif de taille peut se traduire par une augmentation de l’entraînement capillaire à travers chaque canal capillaire du au moins un canal capillaire.
Chaque canal capillaire du au moins un canal capillaire peut être formé par une rainure définie entre une paire de parois.
Le au moins un canal capillaire peut communiquer de manière fluidique avec une mèche.
Le premier em- placement peut être adjacent à une extrémité de la voie de passage d'écoulement d’air et un embout buccal.
Le au moins un canal capillaire peut collecter un condensat de fluide. Dans un aspect lié, un procédé d’une cartouche d’un dispositif de vapori- sation peut comprendre l’étape pour collecter un condensat dans un pre- mier canal capillaire d’au moins un canal capillaire de la cartouche. Cha- cun du au moins un canal capillaire peut être configuré pour recevoir un fluide et diriger le fluide d’un premier emplacement vers un second empla- cement via l’action capillaire. La cartouche peut comprendre un réservoir comprenant une chambre de réservoir définie par une barrière de réservoir. Le réservoir peut être configuré pour contenir un matériau vaporisable dans la chambre de réservoir. La cartouche peut comprendre une chambre de vaporisation en communication avec le réservoir et peut comprendre un élément de mèche configuré pour aspirer le matériau vaporisable de la chambre de réservoir à la chambre de vaporisation pour être vaporisé par un élément chauffant. La cartouche peut comprendre une voie de passage d'écoulement d’air qui peut s'étendre à travers la chambre de vaporisation. Le au moins un canal capillaire peut être adjacent à la voie de passage d'écoulement d'air. Le procédé peut comprendre l’étape pour diriger le condensat collecté vers la chambre de vaporisation et le long du premier canal capillaire.
Le procédé peut comprendre l’étape de vaporisation, au niveau de la chambre de vaporisation, du condensat collecté. Le premier canal capil- laire peut se rétrécir progressivement du point de vue de la taille. Chaque canal capillaire du au moins un canal capillaire peut être formé par une rainure définie entre une paire de parois. Le au moins un canal capillaire peut communiquer de manière fluidique avec une mèche. Le premier em- placement peut être adjacent à une extrémité de la voie de passage d'écoulement d’air et d’un embout buccal.
Les détails des une ou plusieurs variantes de l'invention décrite ici sont présentés sur les dessins joints et la description ci-dessous. D’autres ca- ractéristiques et avantages de l’invention décrite ici ressortiront plus clai- rement d’après la description et les dessins et d’après les revendications.
L'invention décrite n’est cependant pas limitée à l’un quelconque des modes de réalisation particuliers décrits.
Brève description des dessins Les dessins joints, qui sont incorporés ici et font partie de la présente di- vulgation, représentent certains aspects de l'invention décrite ici et con- jointement avec la description, aident à expliquer les principes associés aux mises en œuvre décrites, comme proposé ci-dessous.
[Fig. 1] illustre un schéma de principe d’un dispositif vaporisateur exem- plaire, selon une ou plusieurs mises en œuvre ; [Fig. 2A] illustre une vue en plan d’un corps de vaporisateur exemplaire et d’une cartouche de vaporisateur pouvant être insérée, selon une ou plu- sieurs mises en œuvre ; [Fig. 2B] représente une vue en perspective du dispositif vaporisateur de la Figure 2A selon une ou plusieurs mises en œuvre ; [Fig. 2C] représente une vue en perspective de la cartouche de la Figure 2A, selon une ou plusieurs mises en œuvre ; [Fig. 2D] représente une autre vue en perspective de la cartouche de la Figure 2C, selon une ou plusieurs mises en œuvre ; [Fig. 2E] illustre un schéma d’un système de réservoir configuré pour une cartouche de vaporisateur et/ou un dispositif vaporisateur afin d’améliorer l'écoulement d'air dans le dispositif vaporisateur, selon une ou plusieurs mises en œuvre ; [Fig. 2F] illustre un schéma d’un système de réservoir configuré pour une cartouche de vaporisateur ou un dispositif vaporisateur afin d’améliorer l'écoulement d'air dans le dispositif vaporisateur, selon une ou plusieurs mises en œuvre ; [Fig. 3A] [Fig. 3B] illustrent une vue en coupe en plan exemplaire d’une cartouche ayant une chambre de stockage et un volume de trop-plein, selon une ou plusieurs mises en œuvre ; [Fig. 4] illustre une vue en perspective en éclaté d’un exemple de mise en œuvre d’une cartouche selon les Figures 3A et 3B, selon une ou plusieurs mises en œuvre ; [Fig. 5] illustre une vue latérale en coupe en plan d’une partie fendue sé- lectionnée d’une cartouche, selon une ou plusieurs mises en œuvre ; [Fig. 6A] illustre une vue de dessus en coupe d’une structure de cartouche exemplaire, selon une ou plusieurs mises en œuvre ; [Fig. 6B] illustre une vue latérale en perspective de la cartouche exemplaire de la Figure 6A, selon une ou plusieurs mises en œuvre ; [Fig. 7A] [Fig. 7B] [Fig. 7C] [Fig. 7D] illustrent des modes de réalisation exemplaires d’un orifice de raccordement de cartouche ayant une construction mâle ou femelle, selon une ou plusieurs mises en œuvre ; [Fig. 8] illustre une vue de dessus en plan de la cartouche avec un motif ou logo exemplaire, selon une ou plusieurs mises en œuvre ; [Fig. 9A] [Fig. 9B] illustrent des vues en coupe en perspective et en plan d’une partie fendue d’une cartouche exemplaire, selon une ou plusieurs mises en œuvre ; [Fig. 10A] [Fig. 10B] illustrent des vues en perspective fermée et en éclaté d’une mise en œuvre de cartouche exemplaire avec une structure séparable pour lo- ger un mécanisme collecteur, selon une ou plusieurs mises en œuvre ; [Fig. 10C] [Fig. 10D] [Fig. 10E] illustrent des vues de face et latérale en perspective de compo- sants structurels de cartouche exemplaires avec un collecteur de gestion d'écoulement ayant un ou plusieurs canaux d’écoulement, selon une ou plusieurs mises en œuvre ; [Fig. 11A] illustre une vue en plan latérale d’une structure de collecteur à évent unique et canal unique exemplaire, selon une ou plusieurs mises en œuvre ;
[Fig. 11B] est une vue en plan latérale d’une cartouche exemplaire avec une structure de boîtier translucide contenant un collecteur exemplaire, tel que celui représenté sur la Figure 11A, selon une ou plusieurs mises en œuvre ;
[Fig. 11C]
[Fig. 11D]
[Fig. 11E] illustrent des vues latérales en perspective et en plan de struc- tures de collecteur exemplaires avec des dispositifs de constriction de ges-
tion d’écoulement intégrés dans les canaux d'écoulement, selon une ou plusieurs mises en œuvre ;
[Fig. 11F]
[Fig. 11G] illustrent des vues de face et latérale d’une structure de collec- teur exemplaire avec des dispositifs de constriction de gestion d’écoule-
ment dans les canaux d’écoulement du collecteur, selon une ou plusieurs mises en œuvre ;
[Fig. 11H] illustre une vue en gros plan d’une structure de collecteur exem-
plaire avec un ou plusieurs events qui peuvent réguler l’écoulement de li- quide entre une chambre de stockage et un volume de trop—plein dans une cartouche, selon une ou plusieurs mises en œuvre ;
[Fig. 111]
[Fig. 119]
[Fig. 11K] illustrent des vues en perspective d’une structure de collecteur exemplaire avec la régulation de gestion d’écoulement, selon une ou plu-
sieurs mises en œuvre ;
[Fig. 11L]
[Fig. 11M]
[Fig. 11N] illustrent des vues en plan de face et en gros plan d’un méca- nisme de gestion d'écoulement exemplaire dans la structure de collecteur,
selon une mise en œuvre ;
[Fig. 110] [Fig. 11P] [Fig. 11Q] [Fig. 11R] [Fig. 11S] [Fig. 117] [Fig. 11U] [Fig. 11V] [Fig. 11W]
[Fig. 11X] illustrent des photos au moment où l’écoulement de matériau vaporisable collecté dans le collecteur exemplaire des Figures 11L à 11N est géré pour accepter la purge correcte lorsque le ménisque du matériau vaporisable stocké dans le volume de trop-plein continue à reculer, selon une ou plusieurs mises en œuvre ;
[Fig. 12A]
[Fig. 12B] illustrent des exemples de structures de collecteur à plusieurs canaux et évent unique, selon une ou plusieurs mises en œuvre ;
[Fig. 13] illustre une structure de collecteur à double évent et plusieurs ca- naux exemplaire, selon une ou plusieurs mises en œuvre ;
[Fig. 14A]
[Fig. 14B] illustrent des vues latérales en plan en coupe et en perspective d’une structure de collecteur exemplaire pour une cartouche avec une double alimentation de mèche, selon une ou plusieurs mises en œuvre ; [Fig. 15A]
[Fig. 15B]
[Fig. 15C] illustrent des vues latérales en plan en perspective et en coupe supplémentaires d’une structure de collecteur exemplaire pour une struc- ture à double alimentation de mèche, selon une ou plusieurs mises en œuvre ;
[Fig. 16A]
[Fig. 16B]
[Fig. 16C] illustrent une vue latérale en plan en coupe d’une cartouche exemplaire, une vue latérale en plan d’un élément de mèche exemplaire logé dans une structure de collecteur, et une vue en perspective de la car-
touche exemplaire avec la structure de collecteur, respectivement, selon une ou plusieurs mises en œuvre ;
[Fig. 17A]
[Fig. 17B] illustrent une vue en perspective d’un premier côté d’une car-
touche et une vue en coupe d’un second côté de la cartouche ayant un élément de mèche qui fait saillie dans la chambre de stockage, selon une ou plusieurs mises en œuvre ;
[Fig. 18A]
[Fig. 18B]
[Fig. 18C]
[Fig. 18D] illustrent un exemple d’un élément chauffant et d’une voie de passage d'écoulement d'air dans une cartouche de vaporisateur selon une ou plusieurs mises en œuvre ;
[Fig. 19A]
[Fig. 19B]
[Fig. 19C] illustrent un exemple d’un élément chauffant et d’une voie de passage d’écoulement d'air dans une cartouche de vaporisateur, selon une ou plusieurs mises en œuvre ;
[Fig. 20A]
[Fig. 20B]
[Fig. 20C] illustrent un exemple d’un élément chauffant et une voie de pas- sage d'écoulement d'air dans une cartouche de vaporisateur, selon une ou plusieurs mises en œuvre ;
[Fig. 21A]
[Fig. 21B] illustrent des vues latérales de structures de collecteur exem-
plaires qui comprennent une ou plusieurs nervures ou profils de cordon d'étanchéité qui supportent certaines techniques de fabrication pour fixer le collecteur à une chambre de stockage dans la cartouche ;
[Fig. 22A] [Fig. 22B] illustrent un exemple d’un élément chauffant, selon une ou plu- sieurs mises en œuvre ; [Fig. 23] illustre un exemple d’une partie d’un logement de mèche, selon une ou plusieurs mises en œuvre ; [Fig. 24] illustre un exemple d’une puce d'identification, selon une ou plu- sieurs mises en œuvre ; [Fig. 25] illustre des vues en perspective, de face, latérale et en éclaté d’un mode de réalisation exemplaire d’une cartouche ;
[Fig. 26A] illustre des vues en perspective, de face, latérale, de dessous et de dessus d’un mode de réalisation exemplaire d’un collecteur avec un évent en forme de V ;
[Fig. 26B] [Fig. 26C] illustrent des vues en perspective et en coupe de structures de collecteur exemplaires avec différents angles de vue, avec une concentra- tion sur des détails structurels pour fixer la mise en place d’un élément de mèche et d’un logement de mèche par rapport à un atomiseur vers une extrémité d’une cartouche, selon une ou plusieurs mises en œuvre ;
[Fig. 26D]
[Fig. 26F]
[Fig. 26F] illustrent des vues en plan de dessus de mécanismes d'alimen- tation de mèche exemplaires formés ou structurés à travers le collecteur, selon une ou plusieurs mises en œuvre ;
[Fig. 27A]
[Fig. 27B] illustrent des vues de face de mécanismes de gestion d’écoule- ment exemplaires dans la structure de collecteur, selon une ou plusieurs mises en œuvre ;
[Fig. 28] illustre une vue de face d’une cartouche exemplaire contenant une structure de collecteur exemplaire ;
[Fig. 29A]
[Fig. 29B]
[Fig. 29C] illustrent des vues en perspective, de face et latérale, respecti-
vement, d’un mode de réalisation exemplaire d’une cartouche ;
[Fig. 30A]
[Fig. 30B] [Fig. 30C]
[Fig. 30D]
[Fig. 30E]
[Fig.
SOF] illustrent des vues en perspectives d'une cartouche exemplaire à différents niveaux de remplissage, selon une ou plusieurs modes de ré- alisation ;
[Fig. 31A]
[Fig. 31B]
[Fig. 31C] illustrent des vues de face d’une cartouche exemplaire telle que remplie et assemblée selon un mode de réalisation ;
[Fig. 32A]
[Fig. 32B]
[Fig. 32C] illustrent des vues de face, de dessus et de dessous d’une tra- jectoire d'air de cartouche exemplaire ;
[Fig. 33A]
[Fig. 33B] illustrent des vues de face et de dessus d’une cartouche exem- plaire avec une trajectoire d’écoulement d'air, des canaux d'alimentation en liquide et un système de collecte de condensation ;
[Fig. 34A] [Fig. 34B] illustrent des vues de face et latérale d’un corps de cartouche exemplaire avec une trajectoire d'écoulement d'air externe ;
[Fig. 35]
[Fig. 36] illustrent une vue en perspective d’une partie d’une cartouche exemplaire avec une structure de collecteur ayant un entrefer au niveau de la nervure inférieure de la structure de collecteur ;
[Fig. 37A]
[Fig. 37B]
[Fig. 37C] illustrent des vues de dessus de différentes formes d’alimenta- tion de mèche exemplaires pour une cartouche ; [Fig. 37D] [Fig. 37E] sont des modes de réalisation exemplaires d’un collecteur avec une mise en œuvre à double alimentation de mèche ; [Fig. 38] illustre une vue en gros plan d’une extrémité de l'alimentation de mèche qui est positionnée à proximité de la mèche et configurée pour re- cevoir au moins partiellement la mèche ; [Fig. 39] illustre une vue en perspective d’une structure de collecteur exem-
plaire ayant une alimentation de mèche de conception carrée en combi- naison avec un entrefer au niveau d’une extrémité de la voie de passage de trop-plein ;
[Fig. 40A] illustre une vue arrière de la structure de collecteur avec quatre sites d’éjection distincts, par exemple ;
[Fig. 40B] illustre une vue latérale de la structure de collecteur représentant en particulier une partie d’extrémité en forme de pince d’une alimentation de mèche qui peut maintenir fermement la mèche dans la trajectoire de l’alimentation de mèche, par exemple ;
[Fig. 40C] illustre une vue de dessus de la structure de collecteur avec des canaux d’alimentation de mèche pour recevoir le matériau vaporisable de la chambre de stockage de cartouche et menant le matériau vaporisable vers la mèche qui est maintenue en position à l’extrémité des canaux d’ali- mentation de mèche par les extrémités en saillie des canaux d'alimentation de mèche ;
[Fig. 40D] illustre une vue en plan de face des structures de collecteur.
Comme représenté, une cavité d’entrefer peut être formée au niveau de la partie inférieure de la structure de collecteur à l’extrémité d’une nervure inférieure de la structure de collecteur où la voie de passage de trop-plein du collecteur conduit à un event de régulation d’air en communication avec l’air ambiant ;
[Fig. 40E] illustre une vue de dessous de la structure de collecteur avec des canaux d’alimentation de mèche se terminant par la saillie en forme de pince, qui sont configurés pour maintenir la mèche en position sur chaque extrémité ; [Fig. 41 A]
[Fig. 41B] illustrent des vues de dessus et latérale en plan de la structure de collecteur avec deux parties d'extrémité en forme de pince des deux alimentations de mèche correspondantes ;
[Fig. 42A] [Fig. 42B] illustrent différentes vues en perspective, de dessus et latérale d’un collecteur exemplaire avec différentes mises en œuvre structurelles ; [Fig. 43A] illustre différentes vues en perspective, de dessus et latérale d’un logement de mèche exemplaire, selon une ou plusieurs modes de réalisation ;
[Fig. 43B] illustre les composants de collecteur et de logement de mèche d’une cartouche exemplaire dans lequel une languette en saillie est confi- gurée dans la structure du logement de mèche pour être reçue par inser- tion dans une encoche ou cavité de réception dans une partie inférieure correspondante du collecteur ;
[Fig. 44A] illustre une vue en éclaté en perspective d’un mode de réalisa-
tion d’une cartouche, compatible avec des mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 44B] illustre une vue en perspective de dessus d’un mode de réalisa- tion d’une cartouche compatible avec des mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 44C] illustre une vue en perspective de dessous d’un mode de réali- sation d’une cartouche compatible avec des mises en œuvre de la pré- sente invention ;
[Fig. 45] représente une vue schématique d’un élément chauffant destiné à être utilisé dans un dispositif vaporisateur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 46] présente une vue schématique d’un élément chauffant destiné à être utilisé dans un dispositif vaporisateur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 47] représente une vue schématique d’un élément chauffant destiné à être utilisé dans un dispositif vaporisateur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 48] représente une vue schématique d’un élément chauffant posi-
tionné dans une cartouche de vaporisateur destiné à être utilisé dans un dispositif vaporisateur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 49] représente un élément chauffant et un élément de mèche compa- tibles avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 50] représente un élément chauffant et un élément de mèche compa- tibles avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 51] représente un élément chauffant et un élément de mèche posi-
tionnés dans une cartouche de vaporisateur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 52] représente un élément chauffant et un élément de mèche posi- tionnés dans une cartouche de vaporisateur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 53] représente un élément chauffant positionné dans une cartouche de vaporisateur compatible avec les mises en œuvre de la présente inven- tion ;
[Fig. 54] représente un élément chauffant dans une position dépliée com- patible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 55] représente un élément chauffant dans une position pliée compa- tible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 56] représente un élément chauffant dans une position pliée compa- tible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 57] représente un élément chauffant dans une position dépliée com-
patible avec des mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 58] représente un élément chauffant dans une position partiellement pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 59] représente un élément chauffant dans une position partiellement pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 60] représente un élément chauffant dans une position partiellement pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 61] représente un élément chauffant dans une position partiellement pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 62] représente un élément chauffant dans une position partiellement pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 63] représente un élément chauffant dans une position dépliée com- patible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 64] représente un élément chauffant dans une position pliée compa- tible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 65] représente un élément chauffant dans une position partiellement pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 66] représente un élément chauffant dans une position partiellement pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 67] représente un élément chauffant dans une position partiellement pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 68] représente un élément chauffant dans une position partiellement pliée et un élément de mèche compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 69] représente un élément chauffant dans une position pliée et un élément de mèche compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 70] représente un élément chauffant dans une position pliée et un élément de mèche compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 71] représente un élément chauffant dans une position dépliée com-
patible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 72] représente un élément chauffant dans une position dépliée com- patible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 73] représente un élément chauffant dans une position dépliée com- patible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 74] représente un élément chauffant dans une position dépliée com- patible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 75] représente un élément chauffant couplé avec une partie d’une cartouche de vaporisateur compatible avec les mises en œuvre de la pré- sente invention ;
[Fig. 76] représente un élément chauffant et un élément de mèche posi- tionné dans une cartouche de vaporisateur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 77] représente un élément chauffant dans une position partiellement pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 78] représente un élément chauffant dans une position partiellement pliée et un élément de mèche compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 79] représente un élément chauffant ayant une partie plaquée, dans une position dépliée compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 80] représente un élément chauffant ayant une partie plaquée, dans une position pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente in- vention ;
[Fig. 81] représente un élément chauffant ayant une partie plaquée posi-
tionnée dans une cartouche de vaporisateur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 82] représente une vue en perspective d’un élément chauffant dans une position pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente in- vention ;
[Fig. 83] représente une vue latérale d’un élément chauffant dans une po- sition pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 84] représente une vue de face d’un élément chauffant dans une po- sition pliée compatible avec mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 85] représente une vue en perspective d’un élément chauffant dans une position pliée et un élément de mèche compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 86] représente un élément chauffant positionné dans une cartouche de vaporisateur compatible avec les mises en œuvre de la présente inven- tion ;
[Fig. 87] représente une vue en perspective d’un élément chauffant dans une position pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente in- vention ;
[Fig. 88] représente une vue latérale d’un élément chauffant dans une po- sition pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 89] représente une vue de dessus d’un élément chauffant dans une position pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente inven- tion ;
[Fig. 90] représente une vue de face d’un élément chauffant dans une po- sition pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 91] représente une vue en perspective d’un élément chauffant dans une position dépliée compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 92] représente une vue de dessus d’un élément chauffant dans une position dépliée compatible avec les mises en œuvre de la présente inven- tion ;
[Fig. 93A] représente une vue en perspective d’un élément chauffant dans une position pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente in- vention ;
[Fig. 93B] représente une vue en perspective d’un élément chauffant dans une position pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente in-
vention ;
[Fig. 94] représente une vue latérale d’un élément chauffant dans une po- sition pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 95] représente une vue de dessus d’un élément chauffant dans une position pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente inven- tion ; [Fig. 96] représente une vue de face d’un élément chauffant dans une po- sition pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 97A] représente une vue en perspective d’un élément chauffant dans une position dépliée compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 97B] représente une vue en perspective d’un élément chauffant dans une position dépliée compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 98A] représente une vue de dessus d’un élément chauffant dans une position dépliée compatible avec les mises en œuvre de la présente inven- tion ; [Fig. 98B] représente une vue de dessus d’un élément chauffant dans une position dépliée compatible avec les mises en œuvre de la présente inven- tion ; [Fig. 99] représente une vue en perspective d’un ensemble d’atomiseur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 100] représente une vue en perspective de dessous d’un ensemble d’atomiseur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 101] représente une vue en perspective en éclaté d’un ensemble d’atomiseur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 102] représente une vue en perspective d’un écran thermique com- patible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 103A] représente une vue en coupe latérale d’un ensemble d’atomi- seur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 103B] représente une autre vue en coupe latérale d’un ensemble d’atomiseur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 104] représente schématiquement un élément chauffant compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 105] représente une vue en perspective d’un élément chauffant dans une position pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente in-
vention ;
[Fig. 106] représente une vue latérale d’un élément chauffant dans une position pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente inven- tion ;
[Fig. 107] représente une vue en perspective d’un élément chauffant dans une position pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente in- vention ;
[Fig. 108] représente une vue latérale d’un élément chauffant dans une position pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente inven- tion ;
[Fig. 109] représente une vue de dessus d’un matériau de substrat avec un élément chauffant compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ;
[Fig. 110] représente une vue de dessus d’un élément chauffant dans une position dépliée compatible avec les mises en œuvre de la présente inven-
tion ;
[Fig. 111A] représente une vue en perspective de dessus d’un ensemble d’atomiseur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 111B] représente une vue en gros plan d’une partie d’un logement de mèche d’un ensemble d’atomiseur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 112] représente une vue en perspective de dessous d’un ensemble d’atomiseur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 113] représente une vue en perspective en éclaté d’un ensemble d’atomiseur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 114A] [Fig. 114B]
[Fig. 114C] représentent un procédé pour assembler un atomiseur compa- tible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 115A] [Fig. 115B] [Fig. 115C] représentent un procédé pour assembler un atomiseur compa- tible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 116] représente un organigramme illustrant les caractéristiques d’un procédé pour former et mettre en œuvre un élément chauffant compatible avec les mises en œuvre de la présente invention ; [Fig. 117] illustre un mode de réalisation d’une cartouche de vaporisateur ; [Fig. 118] illustre un mode de réalisation d’un embout buccal d’une car- touche de vaporisateur et /ou d’un dispositif vaporisateur ; [Fig. 119A] illustre une vue en coupe latérale d’un système de recyclage de condensat d’une cartouche de vaporisateur ; [Fig. 119B] illustre une première vue en perspective du système de recy- clage de condensat de la Figure 119A ; et [Fig. 119C] illustre une seconde vue en perspective du système de recy- clage de condensat de la Figure 119A.
Lorsque cela s'y prête, les mêmes numéros de référence ou des numéros de référence similaires désignent les mêmes structures, caractéristiques, aspects ou éléments ou structures, caractéristiques, aspects ou éléments similaires ou équivalents selon une ou plusieurs mises en œuvre. Description détaillée d’exemples de modes de réalisation Un vaporisateur configuré pour convertir un matériau vaporisable liquide en phase gazeuse et/ou phase aérosol (par exemple une suspension de phase gazeuse et un matériau en phase particulaire dans l’air qui est dans un équilibre local relatif entre les phases) peut typiquement comprendre un réservoir ou un récipient de stockage (également désigné ici sous le terme de réservoir, compartiment de stockage ou volume de stockage) contenant un volume de matériau vaporisable liquide, un atomiseur (qui peut également être désigné sous le terme d’ensemble d’atomiseur), un élément chauffant (par exemple un élément électriquement résistif à tra- vers lequel le courant électrique est amené à passer pour se traduire par la conversion du courant électrique en énergie thermique) qui chauffe le matériau vaporisable liquide pour se traduire par la conversion d’au moins une certaine partie du matériau vaporisable liquide en phase gazeuse et un élément de mèche (qui peut être désigné simplement sous le terme de mèche, mais qui fait généralement référence à un élément ou une combi- naison d’éléments qui exerce une force capillaire pour aspirer le matériau vaporisable liquide du réservoir jusqu’à l’endroit où il est chauffé par l’ac- tion de élément chauffant). Le matériau vaporisable liquide en phase ga- zeuse résultant peut, dans certains cas (en fonction de toute une variété de facteurs), commencer ensuite (et facultativement presque immédiate- ment) à se condenser au moins partiellement sous la forme d’un aérosol dans l’air en passant à travers, sur, à proximité, autour, etc. de l’atomiseur.
Lorsque le matériau vaporisable liquide dans l'élément de mèche est chauffé et converti en phase gazeuse (et ensuite facultativement en aéro- sol), le volume du matériau vaporisable liquide dans le réservoir est réduit.
En l’absence d’un mécanisme pour permettre l’introduction de l’air ou d’une autre substance dans l’espace vide (par exemple une partie du vo- lume de réservoir non occupée par le matériau vaporisable liquide) créé dans le réservoir lorsque le volume de matériau vaporisable liquide à l’in- térieur est réduit par la conversion en phase gazeuse/aérosol, il en résulte un état de pression réduite (par exemple un vide au moins partiel) dans le réservoir.
Cet état de pression réduite peut affecter de manière indésirable l’efficacité de l’élément de mèche pour aspirer le matériau vaporisable du compartiment de stockage ou réservoir à proximité de l’élément chauffant, pour être vaporisé dans la phase gazeuse étant donné que la pression de vide partielle agit à l'encontre de la pression capillaire créée dans l’élément de mèche.
Plus particulièrement, un état de pression réduite dans le réservoir peut se traduire par une saturation insuffisante de la mèche et finalement par le manque de matériau vaporisable suffisant qui est distribué à l’atomiseur pour le fonctionnement fiable du vaporisateur. Pour contrecarrer l’état de pression réduite, l’air ambiant peut être autorisé à entrer dans le réservoir pour égaliser la pression entre l’intérieur du réservoir et la pression am- biante. Le fait de permettre à lair de remplir à nouveau l’espace vide dans le réservoir qui est créé par le matériau vaporisable liquide vaporisé peut avoir lieu dans certains vaporisateurs en faisant passer l’air dans le réser- voir par l'élément de mèche. Cependant, ce procédé peut généralement nécessiter que l'élément de mèche soit au moins partiellement sec. Etant donné qu’un élément de mèche sec ne peut pas être facilement obtenu et/ou peut ne pas être souhaitable pour le fonctionnement fiable du vapo- risateur, une autre approche typique consiste à prévoir un évent pour per- mettre l’égalisation de pression entre les conditions ambiantes et dans le réservoir.
La présence d'air dans l’espace vide d’un réservoir, que ce soit par le biais de la mèche ou par le biais d’un autre évent ou structure d’évent, peut créer un ou plusieurs autres problèmes. Par exemple, une fois que la pres- sion d’air dans l’espace vide du réservoir est égalisée (ou au moins sur le point d’être égalisée) avec la pression ambiante, et en particulier lorsque l'espace vide rempli avec l'air augmente en volume par rapport au volume de réservoir total, la création d’un différentiel de pression négatif (par exemple, l’air dans l’espace vide étant à une pression supérieure à la pres- sion ambiante) entre l'air dans l’espace vide et les conditions ambiantes, peut conduire à une fuite du matériau vaporisable liquide du réservoir, par exemple par la mèche, par n'importe quel event qui est prévu, etc. Un dif- férentiel de pression négatif entre l’air dans le réservoir et la présente pres- sion ambiante peut être créé par un ou plusieurs facteurs, par exemple le chauffage de l'air dans l’espace vide (par exemple en maintenant le réser- voir dans une main, en faisant passer le vaporisateur d’une zone froide à une zone chaude, etc.), les forces mécaniques qui peuvent déformer la forme et réduire ainsi le volume intérieur du réservoir (par exemple la pres- sion sur une partie du vaporisateur provoque la déformation du volume de réservoir, etc.), une rapide chute de pression ambiante (par exemple comme cela peut se produire dans une cabine d’avion pendant le dépla- cement d'air, lorsqu’une voiture ou un train entre ou sort d’un tunnel, lorsqu'une fenêtre est ouverte ou fermée alors qu’un véhicule se déplace à une vitesse élevée, etc.) ou similaire.
Les fuites du matériau vaporisable liquide d’un réservoir d’un vaporisateur telles que celles décrites ci-dessus sont généralement indésirables, étant donné que le matériau vaporisable liquide ayant fui peut créer un désordre involontaire (par exemple en tâchant les vêtements ou d’autres articles à proximité du vaporisateur), peut se frayer un chemin dans une trajectoire d’'inhalation du vaporisateur et ainsi être ingéré par un utilisateur, peut in- terférer avec le fonctionnement du vaporisateur (par exemple en encras- sant un capteur de pression, en affectant la capacité opératoire des circuits électriques et/ou des commutateurs, en encrassant les orifices de charge- ment et/ou les raccordements entre une cartouche et un corps de vapori- sateur, etc.) ou similaire.
Les fuites du matériau vaporisable liquide peu- vent ainsi interférer avec la fonctionnalité et la propreté du vaporisateur.
Les exemples de vaporisateurs comprennent, sans limitation, les vapori- sateurs électroniques, les systèmes de distribution de nicotine électro- niques (ENDS) ou les dispositifs et les systèmes avec les mêmes caracté- ristiques ou capacités structurelles ou fonctionnelles ou des caractéris- tiques ou capacités structurelles ou fonctionnelles similaires ou équiva- lentes.
La Figure 1 représente un exemple de schéma de principe d’un exemple de vaporisateur 100. Le vaporisateur 100 peut comprendre un corps de vaporisateur 110 et une cartouche de vaporisateur 120 (égale- ment désignée simplement par cartouche de vaporisateur 120). Le corps de vaporisateur 110 peut comprendre une source d'alimentation 112 (par exemple une batterie qui peut être rechargeable), et un organe de com-
mande 104 (par exemple un dispositif logique programmable, un proces- seur ou des circuits capables d’exécuter un code logique) pour comman- der la distribution de chaleur à un atomiseur 141 pour amener un matériau vaporisable (non représenté) à être converti d’une forme condensée (par exemple un solide, un liquide, une solution, une suspension, une matière végétale au moins partiellement non traitée, etc.) à une phase gazeuse, ou plus généralement, pour que le matériau vaporisable soit converti en une forme inhalable ou un précurseur d’une forme inhalable.
Dans ce con- texte, une forme inhalable peut être un gaz ou un aérosol, ou une certaine autre forme en suspension dans l’air.
Un précurseur d’une forme inhalable peut comprendre un état en phase gazeuse du matériau vaporisable qui se condense au moins partiellement pour former un aérosol à un moment donné (facultativement immédiatement ou presque immédiatement ou en variante avec un certain délai ou après une certaine quantité de refroidis- sement) après la formation de l’état en phase gazeuse.
L’organe de com- mande 104 peut faire partie d’une ou de plusieurs cartes de circuit imprimé (PCB) compatibles avec certaines mises en œuvre et peut être utilisé pour contrôler certaines caractéristiques du corps de vaporisateur 110 en asso-
ciation avec un ou plusieurs capteurs 113. Comme représenté, le corps de vaporisateur 110, dans certaines mises en œuvre de la présente invention, peut comprendre un ou plusieurs capteurs 113, des contacts de corps de vaporisateur 125, un joint d'étanchéité 115 et facultativement un réceptacle de cartouche 118 configuré pour recevoir au moins une partie d’une cartouche de vaporisateur 120 pour se coupler avec le corps de vaporisateur 110 par une ou plusieurs parmi toute une variété de structures de fixation.
Comme abordé ci-dessus en référence aux Figures 7A à 7D, une construction de réceptacle mâle ou femelle ou certaines de ses combinaisons peuvent être utilisées pour coupler la car- touche de vaporisateur 120 avec le corps de vaporisateur 110. Par exemple, dans certaines mises en œuvre de la présente invention, une partie interne d’une première extrémité de la cartouche peut être reçue dans un réceptacle de cartouche 118 du corps de vaporisateur 110 alors qu'une partie externe de la première extrémité de la cartouche recouvre au moins partiellement une certaine partie d’une surface extérieure d’une structure du corps de vaporisateur 110 qui forme le réceptacle de car- touche 118. Un tel agencement pour coupler une cartouche de vaporisa- teur 120 à un corps de vaporisateur 110 peut permettre un procédé d’as- semblage pratique, facile à utiliser qui fournit également la résistance de couplage mécanique suffisante pour éviter la séparation involontaire de la cartouche de vaporisateur 120 et du corps de vaporisateur 110. Une telle configuration peut également fournir la résistance souhaitable pour fléchir le vaporisateur formé en couplant la cartouche de vaporisateur 120 au corps de vaporisateur 110. Concernant les contacts de corps de vaporisa- teur 125, il faut comprendre que ces derniers peuvent également être dé- signés sous le terme de « contacts de réceptacle 125 », en particulier dans des mises en œuvre dans lesquelles les contacts de cartouche 124 cor- respondants (abordés ci-dessous) font partie d’une cartouche de vapori- sateur 120 qui est insérée dans un réceptacle ou une structure en forme de réceptacle sur le corps de vaporisateur 110. Cependant, les termes « contacts de corps de vaporisateur 125 » et/ou « contacts de réceptacle 125 » sont également utilisés ici étant donné que les aspects de la pré- sente invention n’y sont pas limités (et peuvent être utilisés pour fournir différents avantages dans des systèmes différents de ceux dans lesquels) le couplage électrique entre une cartouche de vaporisateur 120 et un corps de vaporisateur 110 peut avoir lieu entre les contacts dans un réceptacle de cartouche 118 sur le corps de vaporisateur 110 et sur une partie de la cartouche de vaporisateur 120 qui est insérée dans le réceptacle de car- touche 118. Dans certains exemples, la cartouche de vaporisateur 120 peut com- prendre un réservoir 140 pour contenir un matériau vaporisable liquide et un embout buccal 130 pour distribuer une dose d’une forme inhalable du matériau vaporisable.
L'embout buccal peut facultativement être un com- posant séparé de la structure qui forme le réservoir 140, ou en variante il peut être formé à partir d'une même partie ou d’un même composant qui forme au moins une partie des une ou plusieurs parois du réservoir 140. Le matériau vaporisable liquide dans le réservoir 140 peut être une solu- tion porteuse dans laquelle des ingrédients actifs ou inactifs peuvent être suspendus, dissouts ou maintenus en solution, ou une forme liquide pure du matériau vaporisable lui-même.
Selon une mise en œuvre, une cartouche de vaporisateur 120 peut com- prendre un atomiseur 141 qui peut comprendre une mèche ou un élément de mèche ainsi qu’un dispositif de chauffage (par exemple un élément chauffant). Comme mentionné ci-dessus, l'élément de mèche peut com- prendre n'importe quel matériau pouvant provoquer l’absorption de fluide par pression capillaire par la mèche pour transporter une quantité d’un ma- tériau vaporisable liquide jusqu’à une partie de l’atomiseur 141 qui com- prend l'élément chauffant.
La mèche et l'élément chauffant ne sont pas représentés sur la Figure 1, mais sont décrits et abordés de manière plus détaillée ici en référence au moins aux Figures 3A, 3B et 4. En résumé, l'élément de mèche peut être configuré pour aspirer le matériau vapori- sable liquide d’un réservoir 140 configuré pour contenir le matériau vapo- risable liquide, de sorte que le matériau vaporisable liquide peut être va- porisé (c'est-à-dire converti dans un état de phase gazeuse) par la cha- leur distribuée de l'élément chauffant à l'élément de mèche et le matériau vaporisable liquide est aspiré dans l’élément de mèche.
Dans certaines mises en œuvre, l’air peut entrer dans un réservoir 140 par le biais de l'élément de mèche ou une autre ouverture pour égaliser au moins partiel- lement la pression dans le réservoir 140 en réponse au matériau vapori- sable liquide qui est retiré du réservoir 140 pendant la formation de vapeur et/ou d’aérosol.
Comme représenté sur la Figure 1, le capteur de pression (et l’un quel- conque des autres capteurs) 113 peut être positionné ou couplé (par exemple, par raccordement électrique, électronique, physique ou via un raccordement sans fil) à l'organe de commande 104. L'organe de com- mande 104 peut être un ensemble de carte de circuit imprimé ou un autre type de carte de circuit.
Pour prendre des mesures avec précision et main- tenir la durabilité du vaporisateur 100, il peut être bénéfique de prévoir un joint d'étanchéité résilient 115 afin de séparer une trajectoire d’écoulement d'air des autres parties du vaporisateur 100. Le joint d'étanchéité 115, qui peut être un joint, peut être configuré pour entourer au moins partiellement le capteur de pression 113 de sorte que les raccordements du capteur de pression 113 aux circuits internes du vaporisateur peuvent être séparés d’une partie du capteur de pression exposé à la trajectoire d'écoulement d'air.
Le matériau vaporisable liquide utilisé avec le vaporisateur 100 peut être prévu dans une cartouche de vaporisateur 120 qui peut être rechargeable lorsqu'elle est vide ou jetable à la faveur d’une nouvelle cartouche conte- nant un matériau vaporisable supplémentaire du même type ou d’un type différent.
Un vaporisateur peut être un vaporisateur utilisant une cartouche ou un vaporisateur multi-usage pouvant être utilisé avec ou sans car- touche.
Par exemple, un vaporisateur multi-usage peut comprendre une chambre chauffante (par exemple un four) configuré pour recevoir un ma- tériau vaporisable directement dans la chambre chauffante et également pour recevoir une cartouche ou un autre dispositif remplaçable ayant un réservoir, un volume ou un autre équivalent fonctionnel ou structurel pour contenir au moins partiellement une quantité utilisable de matériau vapori- sable.
Dans un exemple d’un vaporisateur utilisant une cartouche, le joint d'étan- chéité 115 peut également séparer des parties d’un ou de plusieurs rac- cordements électriques entre le corps de vaporisateur 110 et la cartouche de vaporisateur 120. Ces agencements du joint d'étanchéité 115 dans le vaporisateur 100 peuvent être utiles pour réduire les impacts potentielle-
ment disruptifs sur les composants de vaporisateur provenant des interac- tions avec un ou plusieurs facteurs environnementaux, tels que l’eau con- densée, le matériau vaporisable qui fuit d’un réservoir et/ou se condense après la vaporisation, afin de réduire la fuite de lair d’une trajectoire d'écoulement d'air congue dans le vaporisateur ou similaire.
De l'air, du liquide ou un autre fluide non voulu passant ou étant en contact avec les circuits du vaporisateur 100 peut provoquer différents effets indé- sirables, tels que des lectures de pression modifiées, ou peut se traduire par l’accumulation de matériau non voulu (par exemple l'humidité, le ma- tériau vaporisable et/ou similaire) dans des parties du vaporisateur 100 où le matériau non voulu peut provoquer un mauvais signal de pression, une dégradation du capteur de pression ou d’autres composants électriques ou électriques et/ou une durée de vie plus courte du vaporisateur.
Des fuites dans le joint d'étanchéité 115 peuvent également se traduire par un utilisateur qui inhale de l'air qui est passé sur des parties du vaporisateur 100 contenant ou fabriquées avec des matériaux non appropriés pour l’in- halation.
Les vaporisateurs configurés pour générer au moins une partie d’une dose inhalable d’un matériau vaporisable non liquide via le chauffage d’un ma- tériau vaporisable non liquide peuvent également être dans la portée de l'invention décrite.
Par exemple, au lieu ou en plus d’un matériau vapori- sable liquide, la cartouche de vaporisateur 120 peut comprendre une masse d’une matière végétale ou d’un autre matériau non liquide (par exemple une forme solide du matériau vaporisable lui-même telle qu’une « Cire ») qui est traité et formé pour avoir un contact direct avec au moins une partie d’un ou de plusieurs éléments chauffants résistifs (ou être chauffé par rayonnement et/ou par convection par un élément chauffant), qui peut être facultativement inclus dans une cartouche de vaporisateur 120 ou dans une partie d’un corps de vaporisateur 110. Le matériau vapo- risable solide (par exemple un qui comprend une matière végétale) peut émettre uniquement une partie de la matière végétale en tant que matériau vaporisable (par exemple de sorte qu’une certaine partie de la matière vé- gétale reste sous forme de déchet après que le matériau vaporisable a été émis pour l’inhalation) ou peut être capable d'avoir la totalité du matériau solide éventuellement qui soit vaporisé pour l’inhalation. Un matériau va- porisable liquide peut également être capable d’être complètement vapo- risé ou peut comprendre une certaine partie de matériau liquide qui reste après que tout le matériau approprié pour l’inhalation a été consommé. Lorsqu'elle est configurée avec le matériau vaporisable et l’élément chauf- fant dans la cartouche de vaporisateur 120, la cartouche de vaporisateur 120 peut se coupler mécaniquement et électriquement au corps de vapo- risateur 110, qui peut comprendre un processeur, une source d’alimenta- tion 112 et un ou plusieurs contacts de corps de vaporisateur 125 pour se raccorder aux contacts de cartouche 124 correspondants pour compléter un circuit avec l'élément chauffant résistif compris dans la cartouche de vaporisateur 120. On peut mettre en œuvre toute une variété de configu- rations de vaporisateur avec une ou plusieurs des caractéristiques décrites ici. Dans certaines mises en œuvre, le vaporisateur 100 peut comprendre une source d'alimentation 112 comme faisant partie du corps de vaporisateur 110 alors qu’un élément chauffant peut être disposé dans la cartouche de vaporisateur 120 configuré pour se coupler avec le corps de vaporisateur
110. Configuré ainsi, le vaporisateur 100 peut comprendre des caractéris- tiques de raccordement électriques pour terminer un circuit qui comprend l'organe de commande 104, la source d'alimentation 112, et l'élément chauffant compris dans la cartouche de vaporisateur 120. Les caractéristiques de raccordement peuvent, dans certaines mises en œuvre de la présente invention, comprendre au moins deux contacts de cartouche 124 sur une surface inférieure de la cartouche de vaporisateur 120 et au moins deux contacts 125 disposés à proximité d’une base du réceptacle de cartouche du vaporisateur 100, de sorte que les contacts de cartouche 124 et les contacts de réceptacle 125 établissent les raccorde- ments électriques lorsque la cartouche de vaporisateur 120 est insérée dans et couplée avec le réceptacle de cartouche 118. Dans certaines mises en œuvre de la présente invention, les contacts de corps de vapori- sateur 125 peuvent être des broches compressibles (par exemple, des broches POGO) qui sont rétractées sous la pression des contacts de car- touche 124 correspondants lorsqu'une cartouche de vaporisateur est insé- rée et fixée dans le réceptacle de cartouche 118. On envisage également d’autres configurations. Par exemple, on peut utiliser des contacts balais qui peuvent établir les raccordements électriques avec les contacts cor- respondants sur une partie de couplage d’une cartouche de vaporisateur. De tels contacts n’ont pas besoin d’établir un raccordement électrique avec les contacts de cartouche sur une extrémité inférieure de la cartouche de vaporisateur 120, mais peuvent plutôt être couplés en étant poussés vers l'extérieur à partir d’une ou de plusieurs parois latérales du réceptacle de cartouche 118 contre les contacts de cartouche 124 sur une partie d’un côté de la cartouche de vaporisateur 120 qui est dans le réceptacle lorsque la cartouche de vaporisateur 120 est correctement insérée dans le récep- tacle de cartouche 118.
Le circuit terminé par les raccordements électriques peut permettre la dis- tribution de courant électrique à l’élément chauffant résistif et peut en outre être utilisé pour des fonctions supplémentaires comme pour mesurer une résistance de l'élément chauffant résistif pour une utilisation à des fins de détermination ou de régulation de la température de l’élément chauffant résistif sur la base d’un coefficient thermique de résistivité de l’élément chauffant résistif, pour identifier une cartouche de vaporisateur 120 sur la base d’une ou de plusieurs caractéristiques électriques d’un élément chauffant résistif ou des autres circuits de la cartouche de vaporisateur 120. Dans certains exemples, au moins deux contacts de cartouche 124 et au moins deux contacts de corps de vaporisateur 125 (par exemple des con- tacts de réceptacle pour une mise en œuvre dans laquelle une partie d’une cartouche de vaporisateur 120 est insérée dans un réceptacle de car- touche 118) peuvent être configurés pour se raccorder électriquement dans l’une ou l’autre d’au moins deux orientations. En d’autres termes, un ou plusieurs circuits configurés pour le fonctionnement du vaporisateur 100 peuvent être terminés par l’insertion (ou un autre assemblage) d’au moins une partie d’une cartouche de vaporisateur 120 dans le réceptacle de cartouche 118 dans une première orientation de rotation (par exemple, autour d’un axe le long duquel l’extrémité de la cartouche de vaporisateur ayant la cartouche de vaporisateur 120 est insérée dans le réceptacle de cartouche 118 du corps de vaporisateur 110) de sorte qu’un premier con- tact de cartouche des au moins deux contacts de cartouche 124 est élec- triquement raccordé à un premier contact de réceptacle des au moins deux contacts de réceptacle 125 et un second contact de cartouche des au moins deux contacts de cartouche 124 est électriquement raccordé à un second contact de réceptacle des au moins deux contacts de réceptacle
125. En outre, les un ou plusieurs circuits configurés pour le fonctionnement du vaporisateur 100 peuvent être terminés par l'insertion (ou un autre assem- blage) d’une cartouche de vaporisateur 120 dans le réceptacle de car- touche 118 dans une seconde orientation de rotation de sorte que le pre- mier contact de cartouche des au moins deux contacts de cartouche 124 est électriquement raccordé au second contact de réceptacle des au moins deux contacts de réceptacle 125 et le second contact de cartouche des au moins deux contacts de cartouche 124 est électriquement raccordé au pre- mier contact de réceptacle des au moins deux contacts de réceptacle 125. Une cartouche de vaporisateur 120 peut être insérée de manière réver- sible dans un réceptacle de cartouche 118 du corps de vaporisateur 110, comme prévu de manière plus détaillée ici. Dans un exemple d'une structure de fixation pour coupler une cartouche de vaporisateur 120 à un corps de vaporisateur 110, le corps de vaporisa- teur 110 peut comprendre un encliquetage (par exemple une encoche, une saillie, etc.) faisant saillie vers l’intérieur à partir d’une surface interne du réceptacle de cartouche 118. Une ou plusieurs surfaces extérieures de la cartouche de vaporisateur 120 peuvent comprendre des évidements cor- respondants (non représentés sur la Figure 1) qui peuvent s'adapter ou s’encliqueter sur ces encoches lorsqu’une extrémité de la cartouche de vaporisateur 120 est insérée dans le réceptacle de cartouche 118 sur le corps de vaporisateur 110. La cartouche de vaporisateur 120 et le corps de vaporisateur 110 peuvent être couplés, par exemple, par l'insertion d’une extrémité de la cartouche de vaporisateur 120 dans le réceptacle de cartouche 118 du corps de va- porisateur 110. L'encliquetage dans le corps de vaporisateur 110 peut s'adapter dans et/ou être maintenu dans les évidements de la cartouche de vaporisateur 120 pour maintenir la cartouche de vaporisateur 120 en place lorsqu’elle est assemblée.
Un tel ensemble d’encliquetage — évide- ment peut fournir le support suffisant pour maintenir la cartouche de vapo- risateur 120 en place afin de garantir le contact suffisant entre les au moins deux contacts de cartouche 124 et les au moins deux contacts de récep- tacle 125, tout en permettant la libération de la cartouche de vaporisateur 120 du corps de vaporisateur 110 lorsqu'un utilisateur tire, avec une force raisonnable, sur la cartouche de vaporisateur 120 pour dégager la car- touche de vaporisateur 120 du réceptacle de cartouche 118. En plus de la discussion ci-dessus concernant les raccordements élec- triques entre la cartouche de vaporisateur 120 et le corps de vaporisateur 110 qui est réversible de sorte qu’au moins deux orientations de rotation de la cartouche de vaporisateur 120 dans le réceptacle de cartouche 118 peuvent être possibles, dans certaines mises en œuvre du vaporisateur 100, la forme de la cartouche de vaporisateur 120 ou au moins une forme de l'extrémité de la cartouche de vaporisateur 120 qui est configurée pour l'insertion dans le réceptacle de cartouche 118, peut avoir un symétrie de rotation d'au moins deux ordres.
En d’autres termes, la cartouche de va- porisateur 120 et au moins les caractéristiques de couplage mécaniques et les contacts électriques sur l’extrémité pouvant être insérée de la car- touche de vaporisateur 120 peuvent être symétriques suite à une rotation de 180° autour de l’axe le long duquel la cartouche de vaporisateur 120 est insérée dans le réceptacle de cartouche 118. Dans une telle configura- tion, les circuits du vaporisateur 100 peuvent supporter une opération iden- tique indépendamment de laquelle a lieu l’orientation symétrique de la car- touche de vaporisateur 120. Il faut comprendre que la totalité de l'extrémité pouvant être insérée de la cartouche n’est pas nécessairement symétrique dans toutes les mises en œuvre de la présente invention.
Par exemple, une cartouche de vaporisateur 120 qui a des caractéristiques mécaniques symétriques en rotation pour se mettre en prise par coopération avec des caractéristiques correspondantes à l’intérieur ou à l’extérieur d’un récep- tacle de cartouche 118, qui est formée et dimensionnée pour s'adapter à l'intérieur du réceptacle de cartouche 118 du corps de vaporisateur 110 et qui a également des contacts électriques de cartouche 124 avec la symé- trie en rotation et les circuits internes (qui peuvent facultativement être dans chacun ou les deux parmi la cartouche de vaporisateur 120 et le corps de vaporisateur 110) qui sont compatibles avec l’inversion des con- tacts électriques, est compatible avec la présente description même si toute la forme et l'apparence de l’extrémité pouvant être insérée de la car-
touche de vaporisateur 120 n’est pas symétrique en rotation.
Comme mentionné ci-dessus, dans certains modes de réalisation exem- plaires, la cartouche de vaporisateur 120 ou au moins une extrémité de la cartouche de vaporisateur 120, est configurée pour l'insertion dans le ré- ceptacle de cartouche 118 et peut avoir une section transversale non cir- culaire transversale par rapport à l’axe le long duquel la cartouche de va- porisateur 120 est insérée dans le réceptacle de cartouche 118. Par exemple la section transversale non circulaire peut être approximative- ment rectangulaire, approximativement elliptique (par exemple avoir une forme approximativement ovale), non rectangulaire mais avec deux en- sembles de côtés opposés parallèles ou approximativement parallèles (par exemple ayant une forme non-parallélogramme) ou d’autres formes ayant une symétrie en rotation d’au moins deux ordres. Dans ce contexte, le fait d’avoir approximativement une forme indique qu’une ressemblance ba- sique à la forme décrite ressort clairement, mais que les côtés de la forme en question n’ont pas besoin d’être complètement linéaires et les sommets n’ont pas besoin d’être complètement saillants. Une certaine quantité d’ar- rondissement des deux ou de chacun des bords ou des sommets de la forme transversale est envisagée dans la description de l’une quelconque des sections transversales non circulaires en référence ici.
Les au moins deux contacts de cartouche 124 et les au moins deux con- tacts de réceptacle 125 peuvent prendre différentes formes. Par exemple, un ou les deux ensembles de contacts peuvent comprendre des broches conductrices, des languettes, des montants, des trous de réception pour broches ou montants ou similaires. Certains types de contacts peuvent comprendre des ressorts ou d’autres caractéristiques de poussée pour provoquer un meilleur contact physique et électrique entre les contacts sur la cartouche de vaporisateur et le corps de vaporisateur. Les contacts élec- triques peuvent être plaqués or et/ou peuvent comprendre d'autres maté- riaux.
Un vaporisateur 100 compatible avec les mises en œuvre de la présente invention peut être configuré pour se raccorder (par exemple avec un rac- cordement sans fil ou avec fil) à un ou plusieurs dispositifs informatiques en communication avec le vaporisateur 100. A cette fin, l'organe de com- mande 104 peut comprendre un matériel de communication 105. L’organe de commande 104 peut également comprendre une mémoire 108. Un dis- positif informatique peut être un composant d’un système de vaporisateur qui comprend également le vaporisateur 100, et peut comprendre un ma- tériel de communication indépendant, qui peut établir un canal de commu- nication sans fil avec le matériel de communication 105 du vaporisateur
100.
Un dispositif informatique utilisé comme faisant partie du système de va- porisateur peut comprendre un dispositif informatique générique (par exemple un smartphone, une tablette, un ordinateur personnel, un autre dispositif portable comme une montre connectée ou similaire) qui exécute un logiciel pour produire une interface utilisateur pour permettre à un utili- sateur du dispositif d’'interagir avec un vaporisateur 100. Dans d’autres mises en œuvre, un dispositif utilisé comme faisant partie du système de vaporisateur peut être un matériel dédié telle qu’une télécommande ou un autre dispositif sans fil ou avec fil ayant une ou plusieurs commandes d'in- terface physique ou logicielle (par exemple configurable sur un écran ou un autre dispositif d'affichage et pouvant être sélectionnée via une interac- tion d’utilisateur avec un écran tactile ou un autre dispositif d’entrée comme une souris, un pointeur, une boule de commande, des boutons de curseur ou similaires). Le vaporisateur 100 peut également comprendre une ou plusieurs entrées 117 ou dispositifs pour fournir l'information à l’utilisateur.
Un dispositif informatique qui fait partie d’un système de vaporisateur, tel que défini ci-dessus peut être utilisé ou l’une quelconque des une ou plu- sieurs fonctions, telle que le contrôle du dosage (par exemple la surveil- lance de dose, le réglage de dose, la limitation de dose, le suivi utilisateur, etc.), le contrôle de session (par exemple la surveillance de session, le réglage de session, la limitation de session, le suivi utilisateur, etc.), le con- trôle de la distribution de nicotine (par exemple, la commutation entre la nicotine et le matériau vaporisable sans nicotine, l’ajustement d’une quan- tité de nicotine distribuée, etc.), l’obtention d’information de localisation (par exemple, la localisation des autres utilisateurs, les emplacements de centres commerciaux / détaillants, les lieux de vapotage, l’emplacement relatif ou absolu du vaporisateur lui-même, etc.), la personnalisation du vaporisateur (par exemple nommer le vaporisateur, bloquer / protéger le vaporisateur avec un mot de passe, ajuster un ou plusieurs contrôles pa- rentaux, associer le vaporisateur à un groupe d'utilisateurs, enregistrer le vaporisateur avec un fabricant ou une organisation de maintenance de ga- rantie, etc.), l'engagement dans des activités sociales (par exemple les communications de réseaux sociaux, l’interaction avec un ou plusieurs groupes, etc.) avec d’autres utilisateurs ou similaires.
Les termes « de ses- sion », « session », « session de vaporisateur » ou « session de vapeur » peuvent être utilisés pour faire référence à une période consacrée à l’utili- sation du vaporisateur.
La période peut comprendre une période de temps, un nombre de doses, une quantité de matériau vaporisable, ou similaire.
Dans exemple dans lequel un dispositif informatique fournit des signaux relatifs à l’activation de l'élément chauffant résistif, ou dans d’autres exemples au couplage d'un dispositif informatique avec un vaporisateur 100 pour la mise en œuvre des différentes fonctions de commande ou autre, le dispositif informatique exécute un ou plusieurs ensembles d’ins- tructions informatiques pour fournir une interface utilisateur et la manipu- lation de données sous-jacentes.
Dans un exemple, la détection par le dispositif informatique d'interaction utilisateur avec un ou plusieurs élé- ments d'interface utilisateur peut amener le dispositif informatique à signa- ler le vaporisateur 100 pour activer l'élément chauffant, à une température de fonctionnement totale pour la création d’une dose inhalable de vapeur / aérosol.
D'autres fonctions du vaporisateur 100 peuvent être comman- dées par l’interaction d’un utilisateur avec une interface utilisateur sur un dispositif informatique en communication avec le vaporisateur 100. Dans certains modes de réalisation, une cartouche de vaporisateur 120 utilisable avec un corps de vaporisateur 110 peut comprendre un atomi- seur 141 ayant un élément de mèche et un élément chauffant.
En variante, un ou les deux parmi l’élément de mèche et l’élément chauffant peut (peu- vent) faire partie du corps de vaporisateur 110. Dans des mises en œuvre dans lesquelles n'importe quelle partie de l’atomiseur 141 (par exemple un élément chauffant ou un élément de mèche) fait partie du corps de vapori- sateur 110, le vaporisateur 100 peut être configuré pour fournir le matériau vaporisable liquide d’un réservoir 140 dans la cartouche de vaporisateur à la mèche et aux autres parties d’atomiseur, comme par exemple un élé- ment de mèche, un élément chauffant, etc. Des structures capillaires qui comprennent un élément de mèche sont comprises par l'homme du métier comme étant un seul des modes de réalisation potentiels utilisables avec d’autres caractéristiques décrites ici. L’activation de élément chauffant peut être provoquée par la détection automatique de la bouffée sur la base d’un ou de plusieurs signaux géné- rés par un ou plusieurs capteurs 113, tels que par exemple un capteur ou des capteurs de pression disposés pour détecter la pression le long de la trajectoire d’écoulement d'air par rapport à la pression ambiante (ou peut mesurer des changements de pression absolue), un ou plusieurs capteurs de mouvement du vaporisateur 100, un ou plusieurs capteurs d’écoule- ment du vaporisateur 100, un capteur de lèvre capacitif du vaporisateur 100 ; en réponse à la détection d'interaction d’un utilisateur avec un ou plusieurs dispositifs d’entrée 116 (par exemple des boutons ou d'autres dispositifs de commande tactiles du vaporisateur 100), la réception des signaux d'un dispositif informatique en communication avec le vaporisa- teur 100 ou via d’autres approches pour déterminer qu’une bouffée a lieu ou est imminente.
L'élément chauffant peut être ou peut comprendre un ou plusieurs parmi un dispositif de chauffage conducteur, un dispositif de chauffage par rayon- nement, un dispositif de chauffage par convection. Un type d’élément chauffant peut être un élément chauffant résistif, qui peut être fabriqué avec ou comprendre au moins un matériau (par exemple un métal ou un alliage, par exemple un alliage de nickel-chrome, ou une résistance non métallique) configuré pour dissiper l'énergie électrique sous forme de cha- leur lorsque le courant électrique passe par un ou plusieurs segments ré- sistifs de élément chauffant.
Dans certaines mises en œuvre, l’atomiseur 141 peut comprendre un élé- ment chauffant qui comprend une bobine résistive ou un autre élément chauffant enroulé autour, positionné dans, intégré dans une forme volumi- neuse de, comprimé en contact thermique avec, positionné à proximité de, configuré pour chauffer l’air pour provoquer le chauffage par convection ou bien agencé pour délivrer la chaleur à un élément de mèche pour amener un matériau vaporisable liquide aspiré par élément de mèche d’un réser- voir 140 à être vaporisé pour l’inhalation successive par un utilisateur dans une phase gazeuse et/ou condensée (par exemple particules ou gouttes d’aérosol). D’autres configurations d’ensemble d’élément de mèche, d’élé- ment chauffant ou d’atomiseur peuvent être également possibles, comme abordé de manière plus détaillée ci-dessous.
Après la conversion du matériau vaporisable en phase gazeuse, et en fonction du type de vaporisateur, les propriétés physiques et chimiques du matériau vaporisable ou d’autres facteurs, au moins une certaine partie du matériau vaporisable en phase gazeuse peut se condenser sous forme particulaire dans un équilibre local au moins partiel avec la phase gazeuse qui fait partie d’un aérosol, qui peut former une certaine partie ou la totalité d’une dose inhalable fournie par le vaporisateur 100 pour une bouffée don- née ou aspirée sur le vaporisateur.
Il faut comprendre que l'interaction entre les phases gazeuse et conden- sée dans un aérosol généré par un vaporisateur peut être complexe et dynamique, comme des facteurs tels que la température ambiante, l’humi- dité relative, la chimie (par exemple des interactions acido-basiques, la protonation ou son manque d’un composé libéré par le matériau vapori- sable par chauffage, etc.), les conditions d’écoulement dans des trajec- toires d’écoulement d'air (à la fois à l’intérieur du vaporisateur et dans les voies aériennes d’un être humain ou d’un autre animal), le mélange d’un matériau vaporisable en phase gazeuse ou phase aérosol avec d’autres flux d'air, ou similaire peut affecter un ou plusieurs des paramètres phy- siques et/ou chimiques d’un aérosol.
Dans certains vaporisateurs, et en particulier dans les vaporisateurs pour la distribution de plusieurs maté-
riaux vaporisables volatils, la dose inhalable peut exister de manière pré- dominante dans la phase gazeuse (c'est-à-dire que la formation de parti- cules en phase condensée peut être très limitée).
Comme mentionné ici, certains vaporisateurs peuvent également (ou peu- vent en variante) être configurés pour créer une dose inhalable de maté- riau vaporisable en phase gazeuse et/ou en phase aérosol au moins en partie par le chauffage d’un matériau vaporisable non liquide, tel que par exemple un matériau vaporisable en phase solide (par exemple une cire ou similaire) ou une matière végétale (par exemple des feuilles de tabac ou des morceaux de feuilles de tabac) contenant le matériau vaporisable. Dans ces vaporisateurs, un élément chauffant résistif peut faire partie ou être incorporé dans ou en contact thermique avec les parois d’un four ou d’une autre chambre chauffante dans laquelle le matériau vaporisable non liquide est placé.
En variante, un élément ou des éléments chauffant(s) résistif(s) peut (peu- vent) être utilisé(s) pour chauffer lair passant par ou au-delà du matériau vaporisable non liquide pour provoquer le chauffage par convection du ma- tériau vaporisable non liquide. Encore dans d’autres exemples, un élément ou des éléments chauffant(s) résistif(s) peut (peuvent) être disposé(s) en contact intime avec la matière végétale de sorte que le chauffage par con- duction directe de la matière végétale a lieu depuis l’intérieur d’une masse de la matière végétale (par exemple, tel qu’opposé au chauffage par con- duction vers l’intérieur à partir des parois d’un four).
L'élément chauffant peut être activé au moyen d’un organe de commande 104, qui peut faire partie d’un corps de vaporisateur 110. L’organe de com- mande 104 peut amener le courant à passer par la source d'alimentation 112 par un circuit comprenant l'élément chauffant résistif, qui peut faire partie d’une cartouche de vaporisateur 120. L’organe de commande 104 peut être activé en association avec une bouffée d'utilisateur (par exemple aspiration, inhalation, etc.) sur un embout buccal 130 du vaporisateur 100 qui peut amener l'air à s’écouler par une entrée d'air, le long d’une trajec- toire d’écoulement d'air qui passe par un atomiseur 141. Un atomiseur 141 peut comprendre une mèche en combinaison avec un élément chauffant, par exemple.
L’écoulement d'air, provoqué par la bouffée de l'utilisateur, peut passer par une ou plusieurs zones ou chambres de condensation dans et/ou en aval de l’atomiseur 141 et ensuite vers une sortie d'air dans l’'embout buccal. L’air entrant passant le long de la trajectoire d’écoulement d'air peut ainsi passer sur, à travers, à proximité, autour, etc. de l’atomiseur 141, de sorte que le matériau vaporisable en phase gazeuse (ou une autre forme inha- lable du matériau vaporisable) est entraîné dans l'air dû à l’atomiseur 141 qui convertit une certaine quantité de matériau vaporisable en phase ga- zeuse. Comme mentionné ci-dessus, le matériau vaporisable en phase gazeuse entraîné peut se condenser lorsqu'il passe par le reste de la tra- jectoire d’écoulement d'air de sorte qu’une dose inhalable du matériau va- porisable sous une forme d’aérosol peut être distribuée par la sortie d’air (par exemple par un embout buccal 130 pour l'inhalation par un utilisateur). La température d’un élément chauffant résistif d’un vaporisateur 100 peut dépendre d’un ou de plusieurs facteurs, comprenant une quantité d’éner- gie électrique distribuée à l'élément chauffant résistif ou un cycle de ser- vice auquel l’énergie électrique est distribuée, un transfert de chaleur par conduction et/ou par rayonnement aux autres parties du vaporisateur 100 ou à l’environnement, un transfert de chaleur spécifique à l’air et/ou liquide ou au matériau vaporisable en phase gazeuse (par exemple faisant monter la température d’un matériau vaporisable jusqu’à son point de vaporisation ou en élevant une température d’un gaz tel que l'air et/ou l’air mélangé avec le matériau vaporisable vaporisé), des pertes de chaleur latentes dues à la vaporisation d’un matériau vaporisable de la mèche et/ou de l’atomiseur 141 dans son ensemble, des pertes de chaleur par convection dues à l'écoulement d'air (par exemple, l’air se déplaçant sur l’élément chauffant ou l’atomiseur 141 dans son ensemble lorsqu'un utilisateur in-
hale le vaporisateur 100), etc.
Comme mentionné ci-dessus, pour activer de manière fiable l’élément chauffant ou faire chauffer l'élément chauffant à une température souhai- tée, un vaporisateur 100 peut, dans certaines mises en œuvre, utiliser des signaux provenant d’un capteur de pression pour déterminer le moment où un utilisateur inhale.
Le capteur de pression peut être positionné dans la trajectoire d’écoulement d'air ou peut être raccordé (par exemple, par une voie de passage ou une autre trajectoire) à une trajectoire d'écoulement d'air raccordant une entrée pour que l’air entre dans le dispositif et une sortie par laquelle l’utilisateur inhale la vapeur résultante et/ou l’aérosol résultant de sorte que le capteur de pression subit des changements de pression simultanément au passage de l’air dans le vaporisateur 100 de l'entrée d'air à la sortie d'air.
Dans certaines mises en œuvre, élément chauffant peut être activé en association avec une bouffée de l'utilisateur, par exemple par la détection automatique de la bouffée, par exemple par le capteur de pression qui détecte un changement de pression dans la trajectoire d’écoulement d'air.
En référence aux Figures 1, 2A et 2B, la cartouche de vaporisateur 120 peut être insérée de manière détachable dans le corps de vaporisateur 110 au moyen du réceptacle de cartouche 118. Comme observé sur la Figure 2A qui illustre une vue en plan d’un corps de vaporisateur 110 à proximité d’une cartouche de vaporisateur 120, un réservoir 140 de la cartouche de vaporisateur 120 peut être formé dans son ensemble ou en partie à partir d’un matériau translucide de sorte qu’un niveau du matériau vaporisable liquide 102 dans la cartouche de vaporisateur 120 peut être visible.
La car- touche de vaporisateur 120 peut être configurée de sorte que le niveau du matériau vaporisable 102 dans le réservoir 140 de la cartouche de vapori- sateur 120 reste visible à travers une fenêtre dans le corps de vaporisateur 110 lorsque la cartouche de vaporisateur 120 est reçue dans le réceptacle de cartouche 118. En variante ou en plus, un niveau de matériau vapori- sable liquide 102 dans le réservoir 140 peut être observé par une paroi externe ou fenêtre transparente ou translucide formée dans une paroi ex- terne de la cartouche de vaporisateur 120. Modes de réalisation de trajectoire d'écoulement d'air En référence aux Figures 2C et 2D, on illustre une cartouche de vaporisa- teur 120 exemplaire dans laquelle une trajectoire d’écoulement d'air 134 est créée pendant une bouffée par un utilisateur sur le vaporisateur 100. La trajectoire d’écoulement d'air 134 peut diriger Pair jusqu’à une chambre de vaporisation 150 (voir, par exemple la Figure 2D) contenue dans un logement de mèche où l'air est combiné avec l’aérosol inhalable pour la distribution à un utilisateur via un embout buccal 130, qui peut également faire partie de la cartouche de vaporisateur 120. La chambre de vaporisa- tion 150 peut comprendre et/ou entourer au moins partiellement un atomi- seur 141 compatible avec le reste de la présente description.
Par exemple, lorsqu’un utilisateur tire sur le vaporisateur 100, la trajectoire d’écoulement d'air 134 peut passer entre une surface externe de la cartouche de vapo- risateur 120 (par exemple, la fenêtre 132) et une surface interne d’un ré- ceptacle de cartouche 118 sur le corps de vaporisateur 110. L'air peut en- suite être aspiré dans une extrémité insérable 122 de la cartouche, à tra- vers la chambre de vaporisation 150 qui comprend ou contient l’élément chauffant et l’élément de mèche, et sort par une sortie 136 de l’embout buccal 130 pour la distribution de l’aérosol inhalable à un utilisateur.
D’autres configurations de trajectoire d’écoulement d'air sont également dans la portée de la présente description, comprenant sans y être limité celles abordées de manière plus détaillée ci-dessous.
La Figure 2D représente des caractéristiques supplémentaires qui peuvent être incluses dans une cartouche de vaporisateur 120 compatible avec la présente invention.
Par exemple, la cartouche de vaporisateur 120 peut comprendre une pluralité de contacts de cartouche (tels que les contacts de cartouche 124) disposés sur l’extrémité insérable 122, qui est configu- rée pour être insérée dans le réceptacle de cartouche 118 d’un corps de vaporisateur 110. Les contacts de cartouche 124 peuvent faire facultative- ment partie d’un seul morceau de métal qui forme une structure conduc- trice (telle que la structure conductrice 126) raccordée à l’une des deux extrémités d’un élément chauffant résistif. La structure conductrice peut facultativement former des côtés opposés d’une chambre chauffante et peut facultativement servir d’écrans thermiques et/ou de dissipateurs de chaleur pour réduire la transmission de chaleur aux parois externes de la cartouche de vaporisateur 120. D’autres détails de cet aspect sont décrits ci-dessous. La Figure 2D représente également une canule 128 (qui est un exemple d’un concept plus général également désigné ici comme étant une voie de passage d’écoulement d'air) dans la cartouche de vaporisateur 120 qui définit une partie de la trajectoire d’écoulement d'air 134 passant entre une chambre chauffante (également désignée ici comme étant une chambre d’atomiseur, une chambre de vaporisation, ou similaire), qui peut être for- mée au moins en partie par la structure conductrice 126 et Pembout buccal
130. Cette configuration amène l’air à descendre autour de l’extrémité in- sérable 122 de la cartouche de vaporisateur 120 dans le réceptacle de cartouche 118 et ensuite à revenir dans la direction opposée après être passé autour de l’extrémité insérable 122 (par exemple une extrémité op- posée à l’extrémité qui comprend l’embout buccal 130) de la cartouche de vaporisateur 120 lorsqu’elle pénètre dans le corps de cartouche vers la chambre de vaporisation 150. La trajectoire d'écoulement d'air 134 se dé- place ensuite dans l’intérieur de la cartouche de vaporisateur 120, via un ou plusieurs tubes ou canaux internes (telle que la canule 128) et à travers une ou plusieurs sorties (telle que la sortie 136) formées dans l’embout buccal 130. Event d’égalisation de pression Comme mentionné ci-dessus, le retrait du matériau vaporisable 102 du réservoir 140 (par exemple via l'aspiration capillaire par l’élément de mèche) peut créer un vide au moins partiel (par exemple une pression ré- duite créée dans une partie du réservoir qui a été vidée par la consomma- tion du matériau vaporisable liquide) par rapport à la pression d’air am- biante dans le réservoir 140, et ce vide peut interférer avec l’action capil- laire fournie par l'élément de mèche.
Cette pression réduite peut, dans certains exemples, être suffisamment importante pour réduire l’efficacité de l'élément de mèche pour aspirer le matériau vaporisable liquide 102 dans la chambre de vaporisation 150, réduisant ainsi l’efficacité du vapori- sateur 100 pour vaporiser une quantité souhaitée du matériau vaporisable 102, comme lorsqu’un utilisateur tire une bouffée sur le vaporisateur 100. Dans des cas extrêmes, un vide créé dans le réservoir 140 peut provenir de l'incapacité à aspirer la totalité du matériau vaporisable 102 dans la chambre de vaporisation 150, menant ainsi à l’usage incomplet du maté- riau vaporisable 102. Une ou plusieurs caractéristiques d’évent peuvent être comprises en association avec un réservoir de vaporisateur 140 (in- dépendamment du positionnement du réservoir 140 dans une cartouche de vaporisateur 120 ou ailleurs dans un vaporisateur) pour permettre d’égaliser au moins partiellement (facultativement égaliser complètement) la pression dans le réservoir 140 avec la pression ambiante (par exemple la pression de l’air ambiant à l’extérieur du réservoir 140) pour réduire ce problème.
Dans certains cas, alors que l'autorisation d’égalisation de pression dans le réservoir 140 améliore l’efficacité de distribution du matériau vaporisable liquide dans l’atomiseur 141, elle le fait en amenant le volume vide, par ailleurs vide (ex l’espace vidé par l’utilisation du matériau vaporisable li- quide) dans le réservoir 140, à être rempli d’air.
Comme abordé de manière plus détaillée ci-dessous, ce volume vide rempli d’air peut ensuite subir des changements de pression par rapport à air ambiant, ce qui se traduit, dans certaines conditions, par la fuite du matériau vaporisable liquide hors du réservoir 140 et finalement à l’extérieur d’une cartouche de vaporisateur
120 et/ou une autre partie d’un vaporisateur qui contient le réservoir 140. Des mises en œuvre de la présente invention peuvent également fournir des avantages et des bénéfices concernant ce problème.
On décrit ci-dessous différentes caractéristiques et dispositifs qui surmon- tent ces problèmes.
Par exemple, on décrit ici différentes caractéristiques pour réguler l'écoulement d'air ainsi que l’écoulement du matériau vapori- sable, qui peuvent fournir des avantages et des améliorations par rapport aux approches existantes, tout en introduisant également des bénéfices supplémentaires tels que décrit ici.
Les dispositifs de vaporisateur et/ou cartouches décrits ici comprennent une ou plusieurs caractéristiques qui contrôlent et améliorent l'écoulement d'air dans le dispositif et/ou la chambre de vaporisation, améliorant ainsi le rendement et l’efficacité de la vaporisation du matériau vaporisable liquide par le dispositif vaporisateur sans introduire de caractéristiques supplémentaires qui peuvent mener à des fuites de matériau vaporisable liquide.
Les Figures 2E et 2F illustrent des schémas des premier et second modes de réalisation respectivement des systèmes de réservoir 200A, 200B con- figurés pour une cartouche de vaporisateur (telle que la cartouche de va- porisateur 120) et/ou un dispositif vaporisateur (tel que le vaporisateur 100) pour améliorer l’égalisation de pression et l'écoulement d'air dans le vapo- risateur.
Plus spécifiquement, les systèmes de réservoir 200A, 200B illus- trés sur les Figures 2E et 2F améliorent la régulation de pression dans le réservoir 240 de sorte qu’un vide créé dans le réservoir 240 est libéré après qu’un utilisateur a tiré sur le vaporisateur tout en réduisant ou même en supprimant l'incidence de la fuite de matériau vaporisable liquide par la structure d’évent.
Ceci permet à l’action capillaire du matériau poreux (par exemple un élément de mèche) associé avec le réservoir 240 et la chambre de vaporisation 242, de continuer à aspirer efficacement un ma- tériau vaporisable 202 du réservoir 240 dans la chambre de vaporisation 242 après chaque bouffée.
Comme représenté sur les Figures 2E et 2F, les systèmes de réservoir
200A, 200B comprennent un réservoir 240 configuré pour contenir un ma- tériau vaporisable liquide 202. Le réservoir 240 est scellé de tous les côtés par les parois de réservoir 232 excepté par une zone de logement de mèche qui s'étend entre le réservoir 240 et la chambre de vaporisation 242. Un élément chauffant ou dispositif de chauffage peut être contenu dans la chambre de vaporisation 242 et couplé à l'élément de mèche.
L'élément de mèche est configuré pour fournir l’action capillaire qui aspire le matériau vaporisable 202 du réservoir 240 à la chambre de vaporisation 242 pour être vaporisé en aérosol par le dispositif de chauffage.
L’aérosol est en- suite combiné avec l'écoulement d'air 234 se déplaçant le long d’une voie de passage d’écoulement d'air 238 du vaporisateur pour l’inhalation par un utilisateur.
Les systèmes de réservoir 200A, 200B comprennent également un limiteur d'écoulement d'air 244 qui limite le passage d’écoulement d'air 234 le long de la voie de passage d’écoulement d'air 238 du vaporisateur, comme lorsqu’un utilisateur tire sur le vaporisateur.
La limitation de l'écoulement d'air 234 provoquée par le limiteur d’écoulement d'air 244 peut permettre de former un vide le long d’une partie de la voie de passage d'écoulement d'air 238 en aval à partir du limiteur d'écoulement d'air 244. Le vide créé le long de la voie de passage d'écoulement d'air 238 peut aider à aspirer l’aérosol formé dans une chambre de vaporisation 242 (par exemple une chambre contenant au moins une partie de l’atomiseur 141) le long de la voie de passage d’écoulement d'air 238 pour l’inhalation par un utilisateur.
Au moins un limiteur d’écoulement d'air 244 peut être compris dans chacun des systèmes de réservoir 200A, 200B et le limiteur d'écoulement d'air 244 peut comprendre n'importe quel nombre de caractéristiques pour limiter l'écoulement d'air 234 le long de la voie de passage d’écoulement d'air 238. Comme représenté sur les Figures 2E et 2F, chacun des systèmes de ré- servoir 200A, 200B peut également comprendre un évent 246 configuré pour permettre sélectivement le passage d'air dans le réservoir 240 pour augmenter la pression dans le réservoir 240, afin de libérer le réservoir
240 de la pression négative (vide) par rapport à la pression ambiante, ré- sultant du fait que le matériau vaporisable 202 est aspiré hors du réservoir 240, comme abordé ci-dessus.
Au moins un évent 246 peut être associé au réservoir 240. L’évent 246 peut être une valve active ou passive et l’évent 246 peut comprendre n'importe quel nombre de caractéristiques pour permettre à l'air de passer dans le réservoir 240 pour libérer la pres- sion négative créée dans le réservoir 240. Par exemple, un mode de réalisation de l’évent 246 peut comprendre une voie de passage d'évent qui s'étend entre le réservoir 240 et la voie de passage d’écoulement d'air 238 et comprend un diamètre (ou plus géné- ralement, une surface transversale) qui est dimensionné de sorte qu’une tension de fluide (également désignée sous le terme de tension de surface) du matériau vaporisable 202 empêche le matériau vaporisable 202 de pas- ser par la voie de passage lorsque la pression est égalisée sur l’'évent 246 (par exemple, la pression dans le réservoir 240 est approximativement la même que la pression dans la voie de passage d’écoulement d'air 238). Cependant, le diamètre (ou plus généralement la surface transversale) de l’évent 246 et/ou la voie de passage d’évent peut être dimensionnée de sorte qu’une pression de vide créée dans le réservoir 240 peut venir à bout de la tension de surface du matériau vaporisable 202 dans l’évent 246 ou la voie de passage d’évent pour amener une bulle d'air à être libérée dans le réservoir 240 par l’évent en réponse à une pression suffisamment faible dans le réservoir 240 par rapport à la pression ambiante.
Par conséquent, un volume d'air peut passer par la voie de passage d'écoulement d'air 238 jusqu’au réservoir 240 et libérer la pression de vide.
Une fois que le volume d'air est ajouté au réservoir 240, la pression est à nouveau plus étroitement égalisée sur l’évent 246, permettant ainsi à la tension de surface du matériau vaporisable 202 d’empêcher l’entrée de l’air dans le réservoir 240, ainsi que d’empêcher la fuite du matériau vapo- risable hors du réservoir 240 par la voie de passage d’évent.
Dans un exemple de mode de réalisation, un diamètre de l’évent 246 ou de la voie de passage d’évent peut être dans la plage d’approximativement 0,3 mm à 0,6 mm, et peut également comprendre des diamètres dans une plage d’approximativement 0,1 à 2 mm. Dans certains exemples, l’évent 246 et/ou la voie de passage d’évent peut être non circulaire, de sorte qu'il peut être caractérisé par une section transversale non circulaire le long d’une direction de l’écoulement de fluide dans la voie de passage d’évent.
Dans un tel exemple, la section transversale n’est pas définie par un dia- mètre, mais plutôt par une surface transversale. De manière générale, si la forme transversale de l’évent 246 et/ou la voie de passage d’évent est circulaire ou non circulaire, dans certaines mises en œuvre de la présente invention, il peut être avantageux que la surface transversale de l’évent 246 diffère le long de sa trajectoire entre l’exposition à la pression d'air ambiante et l’intérieur du réservoir 240. Par exemple, une partie de l’évent 246 plus à proximité de la pression ambiante extérieure peut avantageu- sement avoir une surface transversale plus petite (par exemple un plus petit diamètre dans l'exemple dans lequel l’évent 246 a une section trans- versale circulaire) par rapport à une partie de l’évent 246 plus proche de l'intérieur du réservoir 240. La surface transversale plus petite plus proche de l’extérieur du système peut fournir une résistance plus importante à l'évacuation du matériau vaporisable liquide alors que la plus grande sur- face transversale plus proche de l’intérieur du réservoir 240 peut fournir une résistance relativement réduite pour l’évacuation d’une bulle d'air de l’évent 246 dans le réservoir 240. Dans certaines mises en œuvre de la présente invention, la transition entre la plus petite surface transversale et la plus grande surface transversale peut avantageusement ne pas être continue, mais impliquer plutôt une discontinuité le long d’une longueur de l’évent 246 et/ou de la voie de passage d’évent. Une telle structure peut être utile pour fournir une plus grande résistance globale pour l’évacuation du matériau liquide que pour l’équilibre de la pression de réservoir par la libération des bulles d'air de l’évent 246 parce que la plus grande surface transversale à proximité du réservoir peut avoir un plus faible entraînement capillaire par rapport à la plus petite surface transversale exposée à lair ambiant.
Le matériau de l’évent 246 et/ou de la voie de passage d'évent peut éga- lement aider à contrôler l’'évent 246 et/ou la voie de passage d’évent, comme en affectant un angle de contact entre les parois de l’évent 246 et/ou la voie de passage d’évent et du matériau vaporisable 202. L'angle de contact peut avoir un effet sur la tension de surface créée par le maté- riau vaporisable 202 et ensuite affecte le différentiel de pression de seuil qui peut être créé sur l’évent 246 et/ou la voie de passage d’évent avant qu’un volume de fluide ne soit autorisé à passer par l’évent 246, comme décrit ci-dessus.
L’évent 246 peut comprendre toute une variété de formes/tailles et de configurations qui sont dans la portée de la présente description.
De plus, différents modes de réalisation de cartouches et par- ties de cartouches qui comprennent une ou plusieurs de toute une variété de caractéristiques d’évent sont décrits de manière plus détaillée ci-des- sous.
Le positionnement de l’évent 246 (par exemple un évent passif) et du limi- teur d'écoulement d'air 244 par rapport à la chambre de vaporisation 242 aide au fonctionnement effectif des systèmes de réservoir 200A, 200B. par exemple, le positionnement incorrect de l’évent 246 ou du limiteur d’écou- lement d'air 244 peut se traduire par la fuite involontaire du matériau va- porisable 202 du réservoir 240. La présente description traite le position- nement effectif de l’évent 246 et du limiteur d'écoulement d'air 244 par rap- port à la chambre de vaporisation 242 (contenant la mèche). Par exemple, un petit différentiel de pression ou aucun différentiel de pression entre un évent passif et la mèche peut se traduire par un système de réservoir ef- fectif pour réduire la pression de vide dans le réservoir et se traduisant par l’action capillaire effective de la mèche tout en empêchant les fuites.
Les configurations du système de réservoir ayant le positionnement effectif de Vévent 246 et du limiteur d'écoulement d'air 244 par rapport à la chambre de vaporisation 242 sont décrites de manière plus détaillée ci-dessous.
Comme représenté sur la Figure 2E, le limiteur d'écoulement d'air 244 peut être positionné en amont de la chambre de vaporisation 242 le long de la voie de passage d’écoulement d'air 238 et l’évent 246 est positionné le long du réservoir 240 de sorte qu’il fournit la communication de fluide entre le réservoir 240 et une partie de la voie de passage d’écoulement d'air 238 qui est en aval de la chambre de vaporisation 242. Ainsi, lorsqu’un utilisa- teur tire sur le vaporisateur, une pression négative est créée en aval du limiteur d’écoulement d'air 244 de sorte que la chambre de vaporisation 242 subit une pression négative.
De manière similaire, un côté de l’évent 246 en communication avec la voie de passage d'écoulement d'air 238 subit également la pression négative.
Ainsi, une quantité faible à inexistante du différentiel de pression est créée entre l’évent 246 et la chambre de vaporisation 242 pendant la bouffée (par exemple lorsque l'utilisateur tire ou aspire l’air du dispositif de vapori- sation). Cependant, après la bouffée, l’action capillaire de la mèche aspire le matériau vaporisable 202 du réservoir 240 à la chambre de vaporisation 242 pour remplir à nouveau le matériau vaporisable 202 qui a été vaporisé et inhalé suite à la précédente bouffée.
Pour cette raison, un vide ou pres- sion négative est créé(e) dans le réservoir 240. Un différentiel de pression a ensuite lieu entre le réservoir 240 et la voie de passage d’écoulement d'air 238. Comme abordé ci-dessus, l’évent 246 peut être configuré de sorte qu’un différentiel de pression (par exemple une différence de pres- sion de seuil) entre le réservoir 240 et la voie de passage d’écoulement d'air 238 permet à un volume d'air de passer par la voie de passage d'écoulement d'air 238 dans le réservoir 240, réduisant ainsi le vide dans le réservoir 240 et revenant à une pression égalisée sur l’évent 246 et à un système de réservoir 200A stable.
Dans un autre mode de réalisation, comme représenté sur la Figure 2F, le limiteur d’écoulement d'air 244 peut être positionné en aval de la chambre de vaporisation 242 le long de la voie de passage d’écoulement d'air 238 et l’'évent 246 peut être positionné le long du réservoir 240 de sorte qu’il fournit la communication de fluide entre le réservoir 240 et une partie de la voie de passage d'écoulement d'air 238 qui est en amont de la chambre de vaporisation 242. Ainsi, lorsqu'un utilisateur tire sur le vaporisateur, la chambre de vaporisation 242 et l’évent 246 subissent peu de pression ou aucune pression ou une pression négative suite à la bouffée, se traduisant ainsi par un petit différentiel de pression à aucun différentiel de pression entre la chambre de vaporisation 242 et l’évent 246. Similaire au cas de la Figure 2E, le différentiel de pression créé sur l’évent 246 est le résultat de l’action capillaire de la mèche aspirant le matériau vaporisable 202 dans la chambre de vaporisation 242 après la bouffée.
Pour cette raison, un vide ou pression négative est créé dans le réservoir 240. Un différentiel de pres- sion se produit ensuite sur l’évent 246. Comme abordé ci-dessus, l’'évent 246 peut être configuré de sorte qu’un différentiel de pression (par exemple une différence de pression de seuil) entre le réservoir 240 et la voie de passage d'écoulement d'air 238 ou l’at- mosphère permet à un volume d'air de passer dans le réservoir 240 rédui- sant ainsi le vide dans le réservoir 240. Ceci permet d’égaliser la pression sur l’évent 246 et de stabiliser les systèmes de réservoir 200B.
L’évent 246 peut comprendre différentes configurations et caractéristiques et peut être positionné dans toute une variété de positions le long de la cartouche de vaporisateur 120, afin d’obtenir différents résultats.
Par exemple, un ou plusieurs évents 246 peuvent être positionnés de manière adjacente ou faire partie de la chambre de vaporisation 242 ou du logement de mèche.
Dans une telle configuration, les un ou plusieurs évents 246 peuvent four- nir la communication de fluide (par exemple l’air) entre le réservoir 240 et la chambre de vaporisation 242 (à travers laquelle l'écoulement d'air passe lorsqu'un utilisateur tire sur le vaporisateur et fait ainsi partie de la trajec- toire d’écoulement d'air). De manière similaire, comme décrit ci-dessus, un évent 246 placé de ma- nière adjacente ou faisant partie de la chambre de vaporisation 242 ou du logement de mèche peut permettre à lair de l’intérieur de la chambre de vaporisation 242 de se déplacer dans le réservoir 240 via l’évent 246 pour augmenter la pression à l’intérieur du réservoir 240, réduisant ainsi effica- cement la pression de vide créée en raison du matériau vaporisable 202 qui est aspiré dans la chambre de vaporisation 242. Ainsi, la décharge de la pression de vide permet une action capillaire rentable et efficace conti- nue du matériau vaporisable 202 dans la chambre de vaporisation 242 via la mèche pour créer la vapeur inhalable pendant les bouffées suivantes sur le vaporisateur par un utilisateur. La partie ci-dessous propose diffé- rents modes de réalisation exemplaires d’un élément de chambre de va- porisation à évent (par exemple un ensemble d’atomiseur) qui comprend un logement de mèche 1315, 178 (qui loge la chambre de vaporisation) et au moins un évent 596 couplé à ou faisant partie du logement de mèche 1315, 178 pour obtenir l'évacuation effective ci-dessus du réservoir 140. Modes de réalisation d'ensemble de cartouche à face ouverte En référence aux Figures 3A et 3B, on représente un exemple de vue en coupe en plan d’une cartouche 1320 selon un mode de réalisation alterna- tif, dans lequel la cartouche comprend un embout buccal ou zone d’embout buccal 1330, un réservoir 1340 et un atomiseur (non représenté individuel- lement). L'atomiseur peut comprendre un élément chauffant 1350 et un élément de mèche 1362, ensemble ou séparément, en fonction de la mise en œuvre, de sorte que l’élément de mèche 1362 est couplé par voie ther- mique ou thermodynamique à l'élément chauffant 1350 afin de vaporiser un matériau vaporisable 1302 aspiré ou stocké dans l’élément de mèche
1362.
On peut inclure des plaques 1326 dans un mode de réalisation, pour four- nir un raccordement électrique entre un élément chauffant 1350 et une source d’alimentation 112 (voir la Figure 1). Une voie de passage d’écou- lement d'air 1338, définie à travers ou sur un côté du réservoir 1340, peut raccorder une zone dans une cartouche 1320 qui loge l’élément de mèche 1362 (par exemple un logement de mèche non représenté séparément) à une ouverture qui mène à l’embout buccal ou une zone d’embout buccal
1330 pour fournir un chemin pour que le matériau vaporisable 1302 vapo- rise se déplace de la zone d’élément chauffant 1350 à la zone d’embout buccal 1330.
Comme proposé ci-dessus, élément de mèche 1362 peut être couplé à un atomiseur ou élément chauffant 1350 (par exemple un élément chauf- fant résistif ou bobine) qui est raccordé à un ou plusieurs contacts élec- triques (par exemple les plaques 1326). L'élément chauffant 1350 (et d’autres éléments chauffants décrits ici selon une ou plusieurs mises en œuvre) peut avoir différentes formes et/ou configurations et peut com- prendre un ou plusieurs éléments chauffants 1350, 500 ou leurs caracté- ristiques, comme proposé de manière plus détaillée ci-dessous par rap- port aux Figures 44A—116.
Selon une ou plusieurs mises en œuvre d'exemple, l’élément chauffant 1350 de la cartouche 1320 peut être réalisé (par exemple estampé) à partir d’une feuille de matériau et serti autour d’au moins une partie d’un élément de mèche 1362 ou coudé pour fournir un élément préformé configuré pour recevoir élément de mèche 1362 (par exemple l’élément de mèche 1362 est poussé dans élément chauffant 1350 et/ou l'élément chauffant 1350 est maintenu en tension et est tiré sur l'élément de mèche 1362).
L'élément chauffant 1350 peut être coudé de sorte que l'élément chauffant 1350 fixe l’élément de mèche 1362 entre au moins deux ou trois parties de l'élément chauffant 1350. L'élément chauffant 1350 peut être coudé pour se conformer à une forme d’au moins une partie de l'élément de mèche
1362. Les configurations de l'élément chauffant 1350 permettent une fa- brication plus cohérente et de meilleure qualité de élément chauffant 1350. La cohérence de la qualité de fabrication de l’élément chauffant 1350 peut être particulièrement importante pendant des procédés de fabrication échelonnés et/ou automatiques. Par exemple, l'élément chauffant 1350 selon une ou plusieurs mises en œuvre aide à réduire les problèmes de tolérance qui peuvent se produire pendant les procédés de fabrication, lors de l'assemblage d’un élément chauffant 1350 ayant plusieurs composants.
L'élément chauffant 1350 peut également améliorer la précision des me- sures prises à partir de l’élément chauffant 1350 (par exemple, une résis- tance, un courant, une température, etc.) due au moins en partie à la co- hérence améliorée de l’aptitude à la fabrication de l’élément chauffant 1350 qui a des problèmes de tolérance réduits.
Un élément chauffant 1350 réa- lisé (par exemple estampé) à partir d’une feuille de matériau et serti autour d’au moins une partie d’un élément de mèche 1362 ou coudé pour fournir un élément préformé aide de manière souhaitable à minimiser les pertes de chaleur et aide à garantir que l’élément chauffant 1350 se comporte comme prévu, pour être chauffé à la température appropriée.
De plus, abordé de manière plus détaillée ci-dessous en ce qui concerne un mode de réalisation inclus concernant un élément chauffant formé à partir de métal serti, l'élément chauffant 1350 peut être complètement et/ou sélectivement plaqué avec un ou plusieurs matériaux pour améliorer la performance thermique de l’élément chauffant 1350. Le placage de tout ou d’une partie de l’élément chauffant 1350 peut aider à minimiser les pertes de chaleur.
Le placage peut également aider à concentrer la chaleur sur une partie de l’élément chauffant 1350, fournissant ainsi un élément chauf- fant 1350 qui est chauffé plus efficacement et réduisant en outre les pertes de chaleur.
Le placage sélectif peut aider à diriger le courant fourni à l’élé- ment chauffant 1350 vers le bon emplacement.
Le placage sélectif peut également aider à réduire la quantité de matériau de placage et/ou les coûts associés à la fabrication de l’élément chauffant 1350. En plus ou en combinaison avec les éléments chauffants exemplaires dé- crits et/ou abordés ci-dessous, l’élément chauffant peut comprendre un élément chauffant plat 1850 (voir les Figures 18A-18D) positionné dans une cartouche de vaporisateur 1800 comprenant deux voies de passage d'écoulement d'air 1838, un élément chauffant plié 1950 (voir les Figures 19A-19C, 22A-22B et 44A—116) positionné dans une cartouche de vapo- risateur 1900 comprenant deux voies de passage d'écoulement d'air 1938, et un élément chauffant plié 2050 (voir les Figures 20A-20C) positionné dans une cartouche de vaporisateur 2000 comprenant une seule voie de passage d'écoulement d'air 2038. Comme mentionné ci-dessus, un élément chauffant 1350, dans un mode de réalisation, peut contenir un élément de mèche 1362. Par exemple, un élément de mèche 1362 peut s'étendre à proximité de ou à côté des plaques 1326 et à travers des éléments chauffants résistifs en contact avec des plaques 1326. Un logement de mèche peut entourer au moins une partie d’un élément chauffant 1350 et raccorder un élément chauffant 1350 directement ou indirectement à une voie de passage d’écoulement d'air
1338. Le matériau vaporisable 1302 peut être aspiré par un élément de mèche 1362 par une ou plusieurs voies de passage raccordées à un ré- servoir 1340. Dans un mode de réalisation, une ou deux parmi une voie de passage principale 1382 ou une voie de passage secondaire 1384 peuvent être utilisées pour aider à acheminer ou distribuer le matériau vaporisable 1302 à une ou aux deux extrémités d’un élément de mèche 1362 ou radia- lement le long d’un élément de mèche 1362. Modes de réalisation de collecteur de trop—plein Comme proposé de manière plus détaillée ci-dessous, en particulier en référence aux Figures 3A et 3B, l'échange d'air et matériau vaporisable liquide dans et à l'extérieur d’un réservoir de cartouche 1340 peut être avantageusement contrôlé, et une efficacité volumétrique de la cartouche de vaporisateur (définie comme étant un volume de matériau vaporisable liquide qui est finalement converti en aérosol inhalable par rapport à un volume total de la cartouche elle-même) peut également facultativement être améliorée en incorporant une structure désignée comme étant un col- lecteur 1313. Selon certaines mises en œuvre, une cartouche 1320 peut comprendre un réservoir 1340 qui est partiellement défini par au moins une paroi (qui peut facultativement être une paroi qui est partagée avec une coque externe de la cartouche) configurée pour contenir un matériau vaporisable liquide
1302. Le réservoir 1340 peut comprendre une chambre de stockage 1342 et un volume de trop-plein 1344, qui peut comprendre ou bien contenir le collecteur 1313. La chambre de stockage 1342 peut contenir le matériau vaporisable 1302 et le volume de trop-plein 1344 peut être configuré pour collecter ou retenir au moins une certaine partie du matériau vaporisable 1302, lorsqu'un ou plusieurs facteurs amènent le matériau vaporisable 1302 dans la chambre de stockage 1342 de réservoir à se déplacer dans le volume de trop-plein 1344. Dans certaines mises en œuvre de la pré- sente invention, la cartouche peut être initialement remplie avec un maté- riau vaporisable liquide de sorte que l'espace vide dans le collecteur est pré—rempli avec le matériau vaporisable liquide.
Dans des modes de réalisation exemplaires, la taille volumétrique du vo- lume de trop-plein 1344 peut être configurée pour être égale, approxima- tivement égale ou supérieure à une quantité d'augmentation dans le vo- lume du contenu (par exemple le matériau vaporisable 1302 et l’air) con- tenu dans la chambre de stockage 1342, lorsque le volume du contenu dans la chambre de stockage 1342 se dilate en raison d’un changement de pression attendu maximum que le réservoir peut subir par rapport à la pression ambiante.
En fonction des changements de pression ambiante ou de température ou d'autres facteurs, une cartouche 1320 peut subir un changement d’un pre- mier état de pression à un second état de pression (par exemple, un pre- mier différentiel de pression relatif entre l'intérieur du réservoir et la pres- sion ambiante et un second différentiel de pression relatif entre l’intérieur du réservoir et la pression ambiante). Dans certains aspects, le volume de trop—plein 1344 peut avoir une ouverture à l’extérieur de la cartouche 1320 et peut être en communication avec la chambre de stockage 1342 de ré- servoir de sorte que le volume de trop-plein 1344 peut servir de canal d’évent pour fournir l’égalisation de pression dans la cartouche 1320 et/ou collecteur et au moins temporairement retenir et facultativement ramener de manière réversible le matériau vaporisable liquide qui peut sortir de la chambre de stockage en réponse aux variations de différentiel de pression entre la chambre de stockage et lair ambiant. Comme décrit ici, un diffé- rentiel de pression concerne une différence de pression absolue entre une partie interne du réservoir et lair ambiant. Le matériau vaporisable 1302 peut être aspiré de la chambre de stockage 1342 jusqu’à l’atomiseur et converti en phase vapeur ou aérosol, réduisant le volume de matériau va- porisable restant dans la chambre de stockage 1342 et l'absence d’un cer- tain mécanisme pour ramener l'air à la chambre de stockage pour y égali- ser la pression avec la pression ambiante, peut conduire à la condition de vide au moins partiel, abordée précédemment ici.
A nouveau en référence aux Figures 3A et 3B, le réservoir 1340 peut être mis en œuvre pour comprendre des première et seconde zones sépa- rables, de sorte que le volume du réservoir 1340 est divisé en une chambre de stockage 1342 de réservoir et un volume de trop-plein 1344 de réser- voir. La chambre de stockage 1342 peut être configurée pour stocker le matériau vaporisable 1302 et peut être couplée à l’élément de mèche 1362 via une ou plusieurs voies de passage principales 1382. Dans certains exemples, une voie de passage principale 1362 peut être très courte en longueur (par exemple un trou débouchant à partir d’un espace contenant un élément de mèche ou d'autres parties d’un atomiseur). Dans d’autres exemplaires, la voie de passage principale peut faire partie d’une trajec- toire de fluide de confinement plus longue entre la chambre de stockage et Vélément de mèche. Le volume de trop-plein 1344 peut être configuré pour stocker et contenir des parties de matériau vaporisable 1302 qui peu- vent déborder de la chambre de stockage 1342 dans un second état de pression dans lequel la pression dans la chambre de stockage 1342 est supérieure à la pression ambiante, comme proposé de manière plus dé- taillée ci-dessous.
Dans un premier état de pression, le matériau vaporisable 1302 peut être stocké dans la chambre de stockage 1342 du réservoir 1340. Le premier état de pression peut exister, par exemple, lorsque la pression ambiante est approximativement la même ou supérieure à la pression à l’intérieur de la cartouche 1320. Dans ce premier état de pression, les propriétés struc- turelles et fonctionnelles de la voie de passage principale 1382 et de la voie de passage secondaire 1384 sont telles que le matériau vaporisable 1302 peut s'écouler de la chambre de stockage 1342 vers l'élément de mèche 1362 au moyen de la voie de passage principale 1382, par exemple par l’action capillaire de l’élément de mèche pour aspirer le liquide à proxi- mité de l’élément chauffant qui sert à convertir le matériau vaporisable li- quide en phase gazeuse.
Dans un mode de réalisation, dans le premier état de pression, aucune quantité ou des quantités limitées de matériau vaporisable 1302 s’écoulent dans la voie de passage secondaire 1384. Dans le second état de pression, le matériau vaporisable 1302 peut s'écouler de la chambre de stockage 1342 dans le volume de trop-plein 1344 du réservoir 1340 qui comprend par exemple un collecteur 1313 pour empêcher ou limiter un écoulement indésirable (par exemple excessif) de matériau vaporisable 1302 hors du réservoir. Le second état de pression peut exister ou être provoqué, par exemple, lorsqu'une bulle d'air se dilate dans la chambre de stockage 1342 (par exemple en raison de la pression ambiante qui devient inférieure à la pression à l’intérieur de la cartouche 1320).
De manière avantageuse, l’écoulement du matériau vaporisable 1302 peut être régulé en acheminant le matériau vaporisable 1302 entraîné à partir de la chambre de stockage 1342 par une augmentation de pression jusqu’au volume de trop-plein 1344. Le collecteur 1313 dans le volume de trop-plein peut comprendre une ou plusieurs structures capillaires qui con- tiennent au moins une certaine partie (et avantageusement la totalité du) du matériau vaporisable liquide en excès poussé hors de la chambre de stockage 1342 sans permettre au matériau vaporisable liquide d’atteindre une sortie du collecteur 1313. Le collecteur 1313 comprend également de manière avantageuse des structures capillaires qui permettent au matériau vaporisable liquide poussé dans le collecteur 1313 par la pression en ex- cès dans la chambre de stockage 1342 par rapport à la pression ambiante d’être aspiré de manière réversible dans la chambre de stockage 1342 lorsque la pression est égale ou est réduite dans la chambre de stockage 1342 par rapport à la pression ambiante. En d’autres termes, la voie de passage secondaire 1384 du collecteur 1313 peut avoir des caractéris- tiques ou propriétés microfluidiques qui empêchent l'air et le liquide de dé- vier l’un par rapport à l’autre pendant le remplissage et le vidage du collec- teur 1313. C'est-à-dire que les caractéristiques microfluidiques peuvent être utilisées pour gérer l'écoulement du matériau vaporisable 1302 à la fois à l’intérieur et à l'extérieur du collecteur 1313 (c'est-à-dire fournir des caractéristiques d'inversion d’écoulement) pour empêcher ou réduire les fuites du matériau vaporisable 1302 ou le piégeage des bulles d’air dans la chambre de stockage 1342 ou le volume de trop-plein 1344. En fonction des mises en œuvre, les caractéristiques ou propriétés micro- fluidiques mentionnées ci-dessus peuvent être liées à la taille, la forme, le revêtement de surface et les propriétés capillaires de élément de mèche 1362, la voie de passage principale 1382 et la voie de passage secondaire
1384. Par exemple, la voie de passage secondaire 1384 dans le collecteur 1313 peut facultativement avoir des propriétés capillaires différentes de la voie de passage principale 1382 qui conduit à l’élément de mèche 1362 pour permettre à un certain volume du matériau vaporisable 1302 de pas- ser de la chambre de stockage 1342 dans le volume de trop-plein 1344, pendant le second état de pression. Dans un exemple de mise en œuvre, la résistance globale du collecteur 1313 pour permettre au liquide de sortir est supérieure à la résistance de mèche globale, par exemple pour permettre au matériau vaporisable 1302 de s'écouler principalement à travers la voie de passage principale 1382 vers l’élément de mèche 1362 pendant le premier état de pression. L'élément de mèche 1362 peut fournir une trajectoire capillaire à travers ou dans l’élément de mèche 1362 pour le matériau vaporisable 1302 stocké dans le réservoir 1340. La trajectoire capillaire (par exemple la voie de passage principale 1382) peut être assez grande pour permettre une action à effet de mèche ou l’action capillaire afin de remplacer le matériau vaporisable liquide 1302 dans [élément de mèche 1362, et peut être assez petite pour empêcher les fuites du matériau vaporisable 1302 hors de la cartouche 1320 pendant un évènement de pression négative.
Le logement de mèche ou l’élément de mèche 1362 peut être traité pour empêcher les fuites.
Par exemple, la cartouche 1320 peut être recouverte après le rem- plissage pour empêcher les fuites ou l’évaporation à travers l’élément de mèche 1362. On peut utiliser n'importe quel revêtement approprié, com- prenant un revêtement vaporisable à la chaleur (par exemple une cire ou un autre matériau) par exemple.
Lorsqu'un utilisateur inhale par une zone d’embout buccal 1330, par exemple, lair s'écoule dans la cartouche 1320 par une entrée ou ouverture en relation opérationnelle avec élément de mèche 1362. L'élément chauf- fant 1350 peut être activé en réponse à un signal généré par un ou plu- sieurs capteurs 113 (voir la Figure 1). Les uns ou plusieurs capteurs 113 peuvent comprendre au moins l’un parmi un capteur de pression, un cap- teur de mouvement, un capteur d’écoulement ou un autre mécanisme ca- pable de détecter des changements dans la voie de passage d’écoulement d'air 1338. Lorsque l’élément chauffant 1350 est activé, l’élément chauffant 1350 peut avoir une augmentation de température en raison du courant qui circule à travers les plaques 1326. Ou bien à travers une autre partie électriquement résistive de l'élément chauffant qui sert à convertir l'énergie électrique en énergie thermique.
Dans un mode de réalisation, la chaleur générée peut être transférée vers au moins une partie du matériau vaporisable 1302 dans l'élément de mèche 1362 par le biais du transfert de chaleur par conduction, par con- vection ou par rayonnement de sorte qu’au moins une partie du matériau vaporisable 1302 aspiré dans l’élément de mèche 1362 est vaporisée.
En fonction de la mise en œuvre, l'air entrant dans la cartouche 1320 s'écoule sur (ou autour, à proximité de, etc.) l'élément de mèche 1362 et les élé- ments chauffés dans l’élément chauffant 1350 et se détache du matériau vaporisable liquide 1302 dans la voie de passage d’écoulement d'air 1338, où la vapeur peut facultativement être condensée et distribuée sous forme d’aérosol, par exemple par une ouverture dans la zone d’embout buccal
1330.
En référence à la Figure 3B, la chambre de stockage 1342 peut être rac- cordée à la voie de passage d’écoulement d'air 1338 (c'est-à-dire via la voie de passage secondaire 1384 du volume de trop-plein 1344) afin de permettre au matériau vaporisable liquide entraîné depuis la chambre de stockage 1342 par la pression augmentée dans la chambre de stockage 1342 par rapport à la pression ambiante, d’être retenu sans s'échapper de la cartouche de vaporisateur. Alors que les mises en œuvre décrites ici concernent une cartouche de vaporisateur contenant un réservoir 1340, il faut comprendre que les approches décrites sont également compatibles avec et envisagées pour être utilisées dans un vaporisateur qui n’a pas de cartouche séparable.
A nouveau en référence à l'exemple, lair admis dans la chambre de stock- age 1342 peut se dilater en raison d’un différentiel de pression par rapport à l’air ambiant. La dilatation de cet air dans l’espace vide de la chambre de stockage 1342 peut amener le matériau vaporisable liquide à se déplacer à travers au moins une certaine partie de la voie de passage secondaire 1384 dans le collecteur 1313. Les caractéristiques microfluidiques de la voie de passage secondaire 1384 peuvent amener le matériau vaporisable liquide à se déplacer le long d’une longueur de la voie de passage secon- daire 1384 dans le collecteur 1313 uniquement avec un ménisque qui re- couvre complètement la surface transversale de la voie de passage se- condaire 1384 transversale à la direction d’écoulement le long de la lon- gueur.
Dans certaines mises en œuvre de la présente invention, les caractéris- tiques microfluidiques peuvent comprendre une surface transversale suffi- samment petite de sorte que, pour le matériau à partir duquel les parois de la voie de passage secondaire sont formées et la composition du matériau vaporisable liquide, le matériau vaporisable liquide mouille de préférence la voie de passage secondaire 1384 autour de tout un périmètre de la voie de passage secondaire 1384. Pour un exemple dans lequel le matériau vaporisable liquide comprend un ou plusieurs éléments parmi le propylène glycol et la glycérine végétale, les propriétés de mouillage d’un tel liquide sont avantageusement considérées en combinaison avec la géométrie de la seconde voie de passage 1384 et les matériaux à partir desquels les parois de la voie de passage secondaire sont formées.
De cette manière, étant donné que le signe (par exemple positif, négatif ou égal) et la gran- deur du différentiel de pression entre la chambre de stockage 1340 et la pression ambiante varient, un ménisque est maintenu entre le liquide dans la voie de passage secondaire et Pair entrant de l’atmosphère ambiante, et le liquide et lair ne peuvent pas se déplacer lun au-delà de l’autre.
Etant donné que la pression dans la chambre de stockage 1342 chute suf- fisamment par rapport à la pression ambiante et s’il y a un volume de vide suffisant dans la chambre de stockage 1342 pour le permettre, le liquide dans la voie de passage secondaire 1384 du collecteur 1313 peut être retiré dans la chambre de stockage 1342 suffisamment, pour amener le ménisque de liquide — air d'attaque à atteindre une porte ou orifice entre la voie de passage secondaire 1384 du collecteur 1313 et la chambre de stockage 1342. A ce moment-là, si le différentiel de pression dans la chambre de stockage 1342 par rapport à la pression ambiante est suffi- samment négatif pour venir à bout de la tension de surface maintenant le ménisque au niveau de la porte ou de l’orifice, le ménisque est dépourvu des parois de porte ou d'orifice et forme une ou plusieurs bulles d'air qui sont libérées dans la chambre de stockage 1342 avec le volume suffisant pour égaliser la pression de la chambre de stockage par rapport à la pres- sion ambiante.
Lorsque l’air admis dans la chambre de stockage 1340, comme abordé ci- dessus (ou bien et présent ici) subit une condition de pression élevée par rapport à la pression ambiante (par exemple due à une chute de pression ambiante comme cela peut se produire dans une cabine d’avion ou à d’autres endroits à haute altitude, lorsqu'une fenêtre d’un véhicule en mou- vement est ouverte, lorsqu'un train ou un véhicule sort d’un tunnel, etc. ou une élévation de pression interne dans la chambre de stockage 1340 comme cela peut se produire en raison d’un chauffage local, la pression mécanique qui déforme une forme et réduit ainsi un volume de la chambre de stockage 1340, etc. ou similaire), on peut inverser le procédé décrit ci- dessus.
Le liquide passe par la porte ou l’orifice dans la voie de passage secondaire 1384 du collecteur 1313 et un ménisque se forme au niveau du bord d'attaque d’une colonne de liquide passant dans la voie de pas- sage secondaire 1384 pour empêcher l’air de dévier et s’écouler à contre- sens par rapport à la progression du liquide.
En maintenant ce ménisque dû à la présence des propriétés microfluidiques mentionnées ci-dessus, lorsque la pression élevée dans la chambre de stockage 1340 est réduite ultérieurement, la colonne de liquide est retirée dans la chambre de stock- age, facultativement jusqu’à ce que le ménisque atteigne la portée ou l’ori- fice.
Si le différentiel de pression favorise suffisamment la pression am- biante par rapport à la pression dans la chambre de stockage, le procédé de formation de bulles décrit ci-dessus a lieu jusqu’à ce que les pressions s'égalisent.
De cette manière, le collecteur sert de volume de trop-plein réversible qui accepte le matériau vaporisable liquide poussé hors de la chambre de stockage dans des conditions transitoires de pression de chambre de stockage plus importantes par rapport à la pression ambiante et permet à une certaine partie (et de manière souhaitable à la totalité ou au maximum) de ce volume de trop-plein de retourner dans le comparti- ment de stockage pour une distribution ultérieure à un atomiseur pour la conversion en une forme inhalable.
En fonction de la mise en œuvre, la chambre de stockage 1342 peut ou peut ne pas être raccordée à élément de mèche 1362 via la voie de pas- sage secondaire 1384. Dans des modes de réalisation dans lesquels une seconde extrémité de la voie de passage secondaire 1384 mène à l’élé- ment de mèche 1362, le matériau vaporisable 1302 qui peut sortir de la voie de passage secondaire 1384 au niveau de la seconde extrémité (op- posée à une première extrémité définissant le point de raccordement à la chambre de stockage 1342) peut en outre saturer l'élément de mèche
1362. La chambre de stockage 1342 peut facultativement être positionnée plus à proximité d’une extrémité du réservoir 1340 qui est à proximité de la zone d’embout buccal 1330. Le volume de trop-plein 1344 peut être positionné à proximité d’une extrémité du réservoir 1340 plus proche de l’élément chauffant 1350, par exemple entre la chambre de stockage 1342 et l’élé- ment chauffant 1350. Les modes de réalisation exemplaires représentés sur les Figures ne doivent être interprétés comme limitant la portée de l’in- vention revendiquée quant à la position des différents composants décrits ici. Par exemple, le volume de trop-plein 1344 peut être positionné sur la partie supérieure, centrale ou inférieure de la cartouche 1320. L'’emplace- ment et le positionnement de la chambre de stockage 1342 peuvent être ajustés par rapport à la position du volume de trop-plein 1344, de sorte que la chambre de stockage 1342 peut être positionnée sur la partie supé- rieure, centrale ou inférieure de la cartouche 1320 selon une ou plusieurs variantes. Dans une mise en œuvre, lorsque la cartouche de vaporisateur 1320 est remplie à pleine capacité, le volume de matériau vaporisable liquide peut être égal au volume interne de la chambre de stockage 1342 plus le vo- lume de trop-plein 1344 (qui peut, dans certains exemples, être le volume de la voie de passage secondaire 1384 entre la porte ou l’orifice raccordant la voie de passage secondaire 1384 à la chambre de stockage 1340) et une sortie de la voie de passage secondaire 1384. En d’autres termes, une cartouche de vaporisateur compatible avec les mises en œuvre de la pré- sente invention peut être remplie d’origine avec le matériau vaporisable liquide de sorte que la totalité ou au moins une partie du volume interne du collecteur est remplie avec le matériau vaporisable liquide. Dans un tel exemple, le matériau vaporisable liquide est distribué à un atomiseur, si nécessaire, pour la distribution à un utilisateur. Le matériau vaporisable liquide distribué peut être aspiré par la chambre de stockage 1340, ame- nant ainsi le liquide dans la voie de passage secondaire 1384 du collecteur 1313 à être à nouveau aspiré dans la chambre de stockage 1340, étant donné que l’air ne peut pas entrer dans la voie de passage secondaire 1384 en raison du ménisque maintenu par les propriétés microfluidiques de la voie de passage secondaire 1384 qui empêchent l'air de s’écouler au-delà du matériau vaporisable liquide dans la voie de passage secon- daire 1384. Après qu’une quantité suffisante de matériau vaporisable li- quide a été délivrée à l’atomiseur depuis la chambre de stockage 1340 (par exemple pour la vaporisation et l’inhalation de l'utilisateur) pour ame- ner le volume d’origine du collecteur 1313 à être aspiré dans la chambre de stockage 1340, l’action abordée ci-dessus se produit — des bulles d'air peuvent être libérées par une porte ou un orifice entre le passage secon- daire 1384 et la chambre de stockage pour égaliser la pression dans le compartiment de stockage étant donné que l’on utilise plus de matériau vaporisable liquide. Lorsque lair qui est ainsi entré dans le compartiment de stockage subit une pression élevée par rapport à la pression ambiante, le matériau vaporisable liquide sort de la chambre de stockage 1340 par la porte ou l’orifice dans la voie de passage secondaire jusqu’à ce que la condition de pression élevée dans le compartiment de stockage n'existe plus, auquel point, le matériau vaporisable liquide dans la voie de passage secondaire 1384 peut être aspiré à nouveau dans la chambre de stockage
1340. Dans certains modes de réalisation, le volume de trop-plein 1344 est suf- fisamment important pour contenir un pourcentage de matériau vapori- sable 1302 stocké dans la chambre de stockage 1342, facultativement jusqu’à approximativement 100%. Dans un mode de réalisation, le collec- teur 1313 est configuré pour contenir d’au moins 6% à 25% du volume du matériau vaporisable 1302 pouvant être stocké dans la chambre de stock- age 1342. D'autres plages sont possibles.
La structure du collecteur 1313 peut être configurée, construite, moulée, fabriquée ou positionnée dans le volume de trop-plein 1344, dans diffé- rentes formes et ayant des propriétés différentes, pour permettre aux par- ties débordantes du matériau vaporisable 1302 d’être reçues, contenues ou stockées au moins temporairement, dans le volume de trop-plein 1314 d’une manière contrôlée (par exemple au moyen de pression capillaire), empêchant ainsi le matériau vaporisable 1302 de fuir de la cartouche 1320 ou de saturer excessivement l’élément de mèche 1362. Il faut comprendre que la description ci-dessus concernant une voie de passage secondaire n’est pas prévue pour se limiter à une seule voie de passage secondaire
1384. Une ou facultativement plus d’une voie de passage secondaire peut être raccordée à la chambre de stockage 1340 via un(e) ou plus d’un(e) porte ou orifice. Dans certaines mises en œuvre de la présente invention, une seule porte ou un seul orifice peut se raccorder à plus d’une voie de passage secondaire, ou une seule voie de passage secondaire peut se partager en plus d’une voie de passage secondaire pour fournir un volume de trop-plein supplémentaire ou d’autres avantages.
Dans certaines mises en œuvre de la présente invention, un évent d’air 1318 peut raccorder le volume de trop-plein 1344 à la voie de passage d'écoulement d'air 1338 qui mène finalement à l’environnement d’air am- biant à l’extérieur de la cartouche 1320. Cet évent d'air 1318 peut per- mettre à une trajectoire pour l’air ou les bulles qui peuvent avoir été for- mées ou piégées dans le collecteur 1313 de s'échapper par l’évent d’air 1318, par exemple pendant un second état de pression lorsque la voie de passage secondaire 1384 est remplie avec le trop-plein du matériau va- porisable 1302.
Selon certains aspects, l’évent d’air 1318 peut servir d’évent inverse et fournir l’égalisation de pression dans la cartouche 1320 pendant un retour au premier état de pression, depuis le second état de pression, étant donné que le trop-plein du matériau vaporisable 1302 revient vers la chambre de stockage 1342 depuis le volume de trop-plein 1344. Dans cette mise en œuvre, étant donné que la pression ambiante est supérieure à la pression interne dans la cartouche 1320, lair ambiant peut s’écouler à travers l’évent d'air 1318 dans la voie de passage secondaire 1384 et aider efficacement à pousser le matériau vaporisable 1302 temporaire- ment stocké dans le volume de trop-plein 1344 dans une direction inverse à nouveau dans la chambre de stockage 1342. Dans un ou plusieurs modes de réalisation, la voie de passage secondaire 1384 dans le premier état de pression peut comprendre de lair.
Dans le second état de pression, le matériau vaporisable 1302 peut entrer dans la voie de passage secondaire 1384, par exemple par une ouverture (c'est- à—dire l’évent) au point d’interface entre la chambre de stockage 1342 et le volume de trop-plein 1344. Pour cette raison, l'air dans la voie de pas- sage secondaire 1384 est déplacé et peut sortir par l’évent d'air 1318. Dans certains modes de réalisation, l’'évent d’air 1318 peut servir de ou comprendre une valve de régulation (par exemple une membrane d’os- mose sélective, une porte microfluidique, etc.) qui permet à l’air de sortir du volume de trop-plein 1344, mais empêche le matériau vaporisable 1302 de sortir de la voie de passage secondaire 1384 dans la voie de pas- sage d’écoulement d'air 1338. Comme mentionné précédemment, l’évent d'air 1318 peut servir l’orifice d'échange d’air pour permettre à lair d’entrer et de sortir du collecteur 1313, par exemple lorsque le collecteur 1313 est rempli pendant un évènement de pression négative et se vide suite à l’évè- nement de pression négative (c'est-à-dire pendant une transition entre les premier et second états de pression précédemment abordés). Par conséquent, le matériau vaporisable 1302 peut être stocké dans le collecteur 1313 jusqu’à ce que la pression à l’intérieur de la cartouche 1320 soit stabilisée (par exemple lorsque la pression revient à la pression am- biante ou satisfait un équilibre souhaité) ou jusqu’à ce que le matériau va- porisable 1302 soit retiré du volume de trop-plein 1344 (par exemple au moyen de la vaporisation dans un atomiseur). Ainsi, le niveau de matériau vaporisable 1302 dans le volume de trop-plein 1344 peut être contrôlé en gérant l'écoulement de matériau vaporisable 1302 à l’intérieur et à l’exté- rieur du collecteur 1313 lorsque la pression d’air change. Dans un ou plu- sieurs modes de réalisation, le trop-plein du matériau vaporisable 1302 de la chambre de stockage 1342 dans le volume de trop-plein 1344 peut être inversé ou peut être réversible en fonction des changements détectés dans l’environnement (par exemple, lorsqu'un évènement de pression qui provoque le débordement du matériau vaporisable 1302 diminue ou est terminé). Comme mentionné ci-dessus, dans certaines mises en œuvre de la pré- sente invention, dans un état dans lequel la pression à l’intérieur de la car- touche 1320 devient relativement inférieure à la pression ambiante (par exemple lorsqu’elle passe du second état de pression mentionné précé- demment à nouveau dans le premier état de pression), l'écoulement du matériau vaporisable 1302 peut être inversé dans une direction qui amène le matériau vaporisable 1302 à revenir du volume de trop-plein 1344 dans la chambre de stockage 1342 du réservoir 1340. Ainsi, en fonction de la mise en œuvre, le volume de trop-plein 1344 peut être configuré pour con- tenir temporairement les parties débordantes du matériau vaporisable 1302 pendant un second état de pression. en fonction de la mise en œuvre, pendant ou après un retour à un premier état de pression, au moins une certaine partie du trop-plein du matériau vaporisable 1302 retenue dans le collecteur 1313 revient dans la chambre de stockage 1342.
Afin de réguler l'écoulement de matériau vaporisable 1302 dans la car- touche 1320, dans d’autres mises en œuvre de la présente invention, le collecteur 1313 peut facultativement comprendre un matériau absorbant ou semi-absorbant (par exemple un matériau ayant des propriétés de type éponge) pour collecter ou contenir de manière permanente ou semi-per- manente le trop-plein du matériau vaporisable 1302 se déplaçant dans la voie de passage secondaire 1384. Dans un mode de réalisation exem- plaire, dans lequel le matériau absorbant est compris dans le collecteur 1313, l'écoulement inverse du matériau vaporisable 1302 du volume de trop-plein 1344 à la chambre de stockage 1342 peut ne pas être aussi pratique ou possible par rapport aux modes de réalisation qui sont mis en œuvre sans (ou sans trop de) matériau absorbant dans le collecteur 1313. Par conséquent, la réversibilité ou le taux de réversibilité du matériau va- porisable 1302 dans la chambre de stockage 1342 peut être contrôlé en comprenant plus ou moins de densités ou volumes de matériau absorbant dans le collecteur 1313 ou en contrôlant la texture du matériau absorbant, où ces caractéristiques se traduisent par un taux d’absorption plus élevée ou moins élevé, immédiatement ou sur des périodes de temps plus longues.
La Figure 4 est une vue en perspective en éclaté d’un exemple de mise en œuvre d’une cartouche 1320. Comme représenté, le corps de la cartouche 1320 peut être réalisé avec deux pièces pouvant être raccordées (ou sé- parables), telle qu’une première partie 1422 (par exemple le boîtier supé- rieur) et une seconde partie 1424 (par exemple le boîtier inférieur) qui peu- vent se monter ensemble selon un modèle de mise en œuvre architectural de haut en bas ou un procédé d’assemblage.
Cette architecture séparable simplifie les procédés d’assemblage et de fabrication et peuvent ne pas impliquer l'assemblage ou la construction de plusieurs plus petites pièces pour construire une plus grande pièce.
Au lieu de cela, comme dans le mode de réalisation exemplaire illustré sur la Figure 4, les plus grandes pièces (par exemple une première partie 1422 et une seconde partie 1424) peuvent être raccordées pour former par exemple, des caractéristiques de cartouche (par exemple, le revêtement) et les plus petits composants de cartouche internes (par exemple des éléments en forme de nervure oppo- sés qui forment un ou plusieurs parmi un collecteur 1313, un réservoir 1340, une chambre de stockage 1342, un volume de trop—plein 1344, etc.). En référence à la Figure 4, un élément chauffant 1450 peut être positionné dans une cavité ou un boîtier mis en œuvre entre une première partie 1422 et une seconde partie 1424 du corps de la cartouche 1420. Dans un exemple, une éponge ou un autre matériau absorbant 1460 peut égale- ment être positionné(e) dans une zone d’embout buccal 1430 afin de col- lecter le matériau vaporisable liquide en excès (par exemple comme cela peut se former par la condensation de matériau vaporisé et/ou de vapeur d’eau pour former de plus grosses gouttes qui peuvent créer une sensation désagréable lorsqu’elles sont ingérées pendant l’inhalation) se déplaçant à travers une voie de passage d’écoulement d'air 1438. Par conséquent, l'assemblage ou le démontage des composants supplémentaires (par exemple un élément chauffant 1450 ou une éponge 1460) peut être réalisé d’une manière simple et efficace, dans laquelle un grand nombre de parties de machine ou d’automatisation d’assemblage peut ne pas être nécessaire pour la construction de la cartouche 1320 à partir d’un petit ensemble de composants dans un boîtier en deux parties séparables réunies dans l'exemple de mise en œuvre décrite ici.
La construction en deux parties séparables décrite ici peut fournir un ou plusieurs des avantages ou améliorations exemplaires suivants sur une mise en œuvre en variante : un moindre nombre de pièces, des coûts d’as- semblage ou de fabrication moindres (par exemple le mode de réalisation illustré sur la Figure 4 nécessite quatre pièces pour être fabriqué et assem- blé), aucune exigence d'outillage ou des exigences d’outillage réduites, aucun noyau d’outillage à faible tirant, fragile, profond ou des noyaux d’ou- tillage à faible tirant, fragiles, profonds limités, des structures de nervure qui sont relativement peu profondes.
En fonction de la mise en œuvre, on peut utiliser des techniques de soudage par ultrasons ou au laser pour créer une soudure à l’état solide entre une première partie 1422 et une seconde partie 1424 d'une cartouche 1420. Le soudage par ultrasons est un procédé communément utilisé pour les plastiques dans lesquels les vibrations acoustiques ultrasonores à haute fréquence sont localement appliquées sur les pièces à usiner (par exemple une première partie 1422 et une seconde partie 1424) qui sont maintenues ensemble sous pression afin de créer une soudure à l’état solide. Le sou- dage au laser est un procédé de soudage utilisé pour assembler des pièces de métal ou des thermoplastiques à l’aide d’un faisceau laser qui fournit une source de chaleur concentrée (par exemple un faisceau laser), permettre des soudures profondes, étroites à des taux de soudage élevés. En référence à la Figure 5, on illustre une vue en coupe en plan d’une partie sélectionnée d’une cartouche 1320. En référence à la fois aux Fi- gures 4 et 5, une première partie 1422 (non représentée sur la Figure 5) et une seconde partie 1424 de la cartouche 1420 peuvent être moulées à partir de parties de plastique au moyen du moulage par injection (par exemple un modèle de mise en œuvre de haut en bas). Dans un mode de réalisation exemplaire, une ligne de technique d’outillage de dépouille peut être utilisée pour permettre la séparation des moitiés de moule (par exemple, une première partie 1422 et une seconde partie 1424, comme représenté sur la Figure 4) permettant à chaque partie d’être éjectée sans aucune obstruction à la création de contre-dépouilles et permettant en outre la cavitation sensible de moule, pour aider à raccourcir le cycle d’ou- tillage et permettre un temps et un procédé de fabrication plus efficace. En référence aux Figures 6A et 6B, on représente respectivement une vue de dessus en coupe et une vue latérale en perspective d’une cartouche
1320. Comme représenté, un orifice de remplissage 610 peut être mis en œuvre dans un ou plusieurs modes de réalisation de la cartouche 1320 pour permettre le remplissage de la chambre de stockage 1342 de réser- voir par exemple au moyen d’une aiguille de remplissage 622. Comme re- présenté, l'aiguille de remplissage 622 peut être facilement et pratique- ment insérée dans l’orifice de remplissage 610, par exemple au moyen d’une voie de passage de remplissage 630 menant à une chambre de stockage 1342 (ou volume de trop-plein 1344), en fonction de la mise en œuvre. Par conséquent, le matériau vaporisable 1302 peut être injecté dans un réservoir 1340 par une voie de passage de remplissage 630, à l’aide d'une aiguille de remplissage 622 par exemple. Dans certains modes de réalisation, la voie de passage de remplissage 630 peut être construite ou positionnée sur un côté de la cartouche 1320, par exemple, opposée au côté où la voie de passage d'écoulement d'air 1338 est positionnée.
Les Figures 7A à 7D illustrent des variantes de conception pour un orifice de raccordement de cartouche. Les Figures 7A et 7B sont des vues en perspective et les Figures 7C et 7D sont des vues latérales en coupe en plan de modes de réalisation d’orifice de raccordement en variante, qui peuvent comprendre par exemple des parties de mise en prise mâle ou femelle. En référence aux Figures 1, 2 et 7A à 7D, une cartouche 1320 peut être mise en œuvre dans différentes configurations à l’extrémité où la cartouche 1320 met en prise le corps de vaporisateur 110. Dans un mode de réalisation, comme représenté sur les Figures 1 et 2, le corps de vapo- risateur 110 peut comprendre un réceptacle de cartouche 118 pour rece- voir de manière détachable une cartouche 1320 avec un orifice mâle 710 (voir les Figures 7A et 7C), de sorte que dans un état fixé, les contacts de cartouche 124 positionnés dans l’orifice mâle de la cartouche 1320 sont reçus par des contacts de réceptacle 125 correspondants dans un récep- tacle de cartouche 118 par encliquetage, par exemple. Une configuration de contrepartie peut être dirigée vers une cartouche 1320 ayant un orifice femelle 712 (voir les Figures 7B et 7D) pour recevoir une extrémité d’un corps de vaporisateur 110, qui comprend des contacts de réceptacle 125. En référence à la Figure 8, on illustre une vue en plan de dessus d’une cartouche 1320. Dans un exemple, la cartouche 1320 peut être mise en œuvre à l’aide d’une construction en deux parties séparables, où un relief (par exemple la marque du propriétaire, un numéro de série, un numéro de brevet, etc.) ou facultativement des caractéristiques décoratives ou or- nementales peuvent être imprimées sur les parois externes de la car- touche 1320 au moyen d’un procédé de moulage. Le procédé de moulage permet la flexibilité de la conception de la forme externe ou des logos affi-
chables à l’extérieur ou des conceptions ornementales sans affecter le po- sitonnement ni la formation de composants fonctionnels internes (par exemple, un réservoir 1340, une chambre de stockage 1342 ou un volume de trop-plein 1344).
En particulier, la marque JUUL®, comme représenté sur la Figure 8, est une marque déposée de JUUL LABS, Inc. une société du Delaware, ayant son siège social à San Francisco, Californie. Tous les droits sont réservés par le propriétaire ou le cessionnaire de la marque. L'utilisation de la marque exemplaire sur la Figure 8 ne doit pas être interprétée comme li- mitant la portée de l'invention décrite pour comprendre une telle concep- tion ou marque exclusive. Certains modes de réalisation peuvent être sans marque ou contenir aucune caractéristique de conception ornementale ou externe. Ainsi, la Figure 8 propose une illustration d’un relief moulé qui, sans limitation, peut apparaître comme étant une marque ou une concep- tion sur un ou plusieurs côtés d’une cartouche 1320.
En référence aux Figures 9A et 9B, on illustre des vues en perspective et en coupe en plan d’une cartouche 1320 exemplaire, où une première par- tie 1422 de la cartouche 1320 est séparée d’une seconde partie 1424 (voir également la Figure 4). Dans un ou plusieurs modes de réalisation, la car- touche 1320 peut être congue et fabriquée au moyen d'une division de partie. C'est-à-dire qu’en fonction de la mise en œuvre, plusieurs sections fendues d’une partie sont raccordées ensemble pour faire une partie en- tière, comme représenté au moyen de l’exemple de la Figure 4.
En référence à la Figure 9A, une division de partie peut permettre de mou- ler un appareil pour contact électrique et de chauffer une retenue d’élément dans une zone de logement de mèche 910 de la cartouche 1320. Comme représenté de manière plus détaillée sur la Figure 9B, un ou plusieurs trous d’évent 920 peuvent être percés ou positionnés au moyen du moulage par injection ou d’un autre procédé approprié, dans le corps de la cartouche 1320 dans une zone proche de la zone de logement de mèche 910 pour permettre d'identifier l'évacuation de vapeur ou l'écoulement d'air vers la mèche, par exemple pour aider à contrôler la condensation dans la car- touche 1320 ou affecter les forces capillaires.
En référence aux Figures 10A et 10B, on illustre respectivement des vues en perspective assemblées et en éclaté d’un mode de réalisation exem- plaire en variante d’une cartouche 1320. Comme mentionné précédem- ment, un modèle de mise en œuvre de haut en bas peut être utilisé pour construire une structure de cartouche à face ouverte, par exemple, avec deux boîtiers pouvant être fixés (ou détachables) comprenant une pre- mière partie 1422 et une seconde partie 1424. Comme représenté, la pre- mière partie 1422 (par exemple le boîtier supérieur) et la seconde partie 1424 (par exemple le boîtier inférieur) peuvent fournir une construction en deux parties ayant une ou plusieurs cavités internes qui peuvent être utili- sées pour loger au moins l’un parmi un élément chauffant 1350, un élé- ment de mèche 1362 ou des plaques 1326. Il faut comprendre que des procédés d’assemblage en variante peuvent être utilisés pour se traduire par des structures ayant certaines ou toutes les caractéristiques décrites ici.
En particulier, dans le mode de réalisation exemplaire représenté sur les Figures 10A et 10B, au lieu ou en plus d'utiliser des cavités et des parois moulées pour former des structures internes (par exemple, un réservoir 1340 sur la Figure 3A) de la cartouche, certaines caractéristiques telle que la voie de passage secondaire 1384 (voir la Figure 3A) peuvent être mises en œuvre dans un collecteur amovible ou pouvant être fixé 1313 qui peut être construit indépendamment comme une pièce séparée et peut être en- capsulé ultérieurement entre une première partie 1422 et une seconde partie 1424 (par exemple, voir les Figures 10A et 10B) ou inséré en va- riante dans un corps de cartouche creux facultativement monolithique adapté pour recevoir un collecteur 1313 d’une extrémité ouverte (voir les Figures 10C, 10D, 11B, 13, 16C, 17A, 22F). En référence aux Figures 10A à 43B, on décrit différentes mises en œuvre qui peuvent utiliser un collecteur 1313, tel que configuré, conçu, manufac- turé, fabriqué ou construit de manière complètement ou partiellement in- dépendante d’un logement de cartouche 1320. Il faut souligner que les mises en œuvre décrites sont proposées à titre d'exemple. Dans des mises en œuvre ou modes de réalisation en variante, un collecteur 1313 peut être formé, comme représenté sur les Figures 10A à 14B, ayant une cons- truction qui, au moins structurellement, est semi-dépendante ou complè- tement indépendante de la construction d’autres composants de la car- touche 1320.
Dans certaines mises en œuvre interchangeables, différents modes de ré- alisation ou types de collecteur 1313, comme représenté sur les Figures 10A à 14B, peuvent être insérés ou encapsulés, par exemple, dans un logement de cartouche 1320 standardisé. Comme proposé de manière plus détaillée ici, étant donné que certaines des fonctionnalités principales pour contrôler l'écoulement du matériau vaporisable 1302 dans la car- touche 1320 peuvent être obtenues en manipulant la structure de collec- teur 1313 ou ses propriétés de matériau, des économies et d’autres ren- dements et avantages peuvent être dérivés du fait d’avoir une construction qui permet des modèles de collecteur 1313 interchangeables qui peuvent s'adapter à différents logements de cartouche, par exemple.
En référence aux Figures 10C et 10D, par exemple, dans certaines mises en œuvre, au lieu d’une construction en deux parties séparables illustrées sur les Figures 10A et 10B, une cartouche 1320 peut avoir un logement de cartouche formé avec une structure creuse monolithique ayant une pre- mière extrémité et une seconde extrémité. La première extrémité (c'est- à—dire une première extrémité, également désignée comme étant une par- tie de réception du logement de cartouche) peut être configurée pour re- cevoir, par insertion, au moins un collecteur 1313. Dans un mode de réali- sation, la seconde extrémité du logement de cartouche peut servir d’em- bout buccal avec un orifice ou ouverture. L'orifice ou ouverture peut être situé(e) à l'opposé de l’extrémité de réception du logement de cartouche où le collecteur 1313 peut être reçu par insertion.
Dans certains modes de réalisation, l’ouverture peut être raccordée à l’extrémité de réception au moyen d’une voie de passage d'écoulement d'air 1338 qui peut s'étendre à travers le corps de la cartouche 1320 et le collecteur 1313, par exemple.
Comme dans d’autres modes de réalisation de cartouche compatibles avec la présente description, un atomiseur, par exemple un comprenant un élément de mèche et un élément chauffant comme abordé ailleurs ici, peut être positionné de manière adjacente à ou au moins partiellement dans la voie de passage d’écoulement d'air 1338 de sorte qu’une forme inhalable ou facultativement un précurseur de la forme inhalable du maté- riau vaporisable liquide peut être libéré(e) de l’atomiseur dans l’air passant par la voie de passage d'écoulement d'air 1338 vers l’orifice ou l’ouverture.
Modes de réalisation de l’orifice d'échange d'air En référence aux Figures 11A et 11B, on représente des vues latérales planes illustratives d’un collecteur à une porte et un canal 1313. Dans ces modes de réalisation exemplaires, une porte 1102 peut être prévue au ni- veau d’une ouverture vers une première partie (par exemple la partie su- périeure) du collecteur 1313 où le collecteur 1313 est en contact ou en communication avec la chambre de stockage 1342 du réservoir (voir éga- lement les Figures 3A et 3B précédemment abordées). Une porte 1102 peut raccorder dynamiquement la chambre de stockage 1342 à un volume de trop-plein 1344 formé par une seconde partie (par exemple une partie centrale) du collecteur 1313. Dans un mode de réalisation, la seconde partie du collecteur 1313 peut avoir une structure nervurée ou en forme de multiples ailettes formant un canal de trop-plein 1104 qui décrit une spirale, se rétrécit progressivement ou s’incline dans une direction à distance de la porte 1102 et vers un orifice d'échange d'air 1106, comme représenté sur la Figure 11A, pour conduire ou amener un matériau vaporisable 1302 à se déplacer vers l’orifice d'échange d'air 1106 après que le matériau vaporisable 1302 est entré dans le volume de trop-plein 1344 à travers la porte 1102. L'orifice d'échange d'air 1106 peut être raccordé à lair ambiant au moyen d’une trajectoire d’air ou d’une voie de passage d’écoulement d'air qui est rac- cordée à l’'embout buccal.
Cette trajectoire d'air ou voie de passage d'écoulement d'air n’est pas explicitement représentée sur la Figure 11 A.
Dans certaines mises en œuvre, le collecteur 1313 est configuré pour avoir une ouverture centrale ou tunnel à travers lequel un canal d’écoulement d'air menant à l’embout buccal est mis en œuvre, comme proposé de ma- nière plus détaillée ci-dessous (par exemple voir l’ouverture désignée par le numéro de référence 1100 sur la Figure 11D). Le canal d’écoulement d'air peut être raccordé à l’orifice d'échange d'air 1106, de sorte que le volume à l’intérieur de la voie de passage de trop-plein du collecteur 1313 est raccordé à l’air ambiant via l’orifice d’échange d'air 1106 et également raccordé au volume dans la chambre de stockage 1342 via la porte 1102. Ainsi, selon un ou plusieurs modes de réalisation, la porte 1102 peut être utilisée en tant que valve fluidique de régulation pour réguler principale- ment le liquide et l'écoulement d'air entre le volume de trop-plein 1344 et la chambre de stockage 1342. L’orifice d'écoulement d'air 1106 peut être utilisé pour réguler principalement l’_écoulement d'air (et à l’occasion l’écou- lement de liquide) entre le volume de trop-plein 1344 et une trajectoire d'air menant à l’'embout buccal, par exemple.
Le canal de trop-plein 1104 peut être diagonal, vertical ou horizontal par rapport au corps allongé de la cartouche 1320. Le matériau vaporisable 1302, au moment où la cartouche 1320 est rem- plie, peut avoir au moins une interface initiale avec le collecteur 1313 au moyen de la porte 1102. En effet, une interface initiale entre le matériau vaporisable 1302 et la porte 1102 peut, par exemple, empêcher la possibi- lité que lair piégé dans le canal de trop-plein 1104 entre dans une zone de cartouche où le matériau vaporisable 1302 est stocké (par exemple la chambre de stockage 1342). En outre, une telle interface peut déclencher une première interaction capillaire entre le matériau vaporisable 1302 et les parois du canal de trop-plein 1104, à un état d’équilibre, pour permettre à une quantité limitée de matériau vaporisable 1302 de s’écouler dans le canal de trop-plein 1104 pour obtenir ou maintenir l’état d’équilibre.
L’état d'équilibre fait référence à un état dans lequel le matériau vapori- sable 1302 ne s'écoule pas à l’intérieur ni ne s'écoule à l’extérieur du vo- lume de trop-plein 1344, ou un état dans lequel de tels écoulements vers l’avant ou inverse sont négligeables.
Au moins dans certains modes de réalisation, l’action capillaire (ou interaction) entre les parois du canal de trop-plein 1104 et le matériau vaporisable 1302 est telle qu’un état d’équi- libre peut être maintenu lorsque la cartouche 1320 est dans le premier état de pression, lorsque la pression à l’intérieur de la chambre de stockage 1342 est approximativement égale à la pression ambiante.
L'établissement d’un état d’équilibre et de l'interaction capillaire supplé- mentaire entre le matériau vaporisable 1302 et les parois du canal de trop- plein 1104 peut être établi ou configurée adaptant ou en ajustant la taille volumétrique du canal de trop-plein 1104 le long de la longueur du canal.
Comme proposé ici de manière plus détaillée, le diamètre (qui est utilisé ici pour faire généralement référence à une mesure de la grandeur de la section transversale du canal de trop-plein 1104, comprenant des mises en œuvre de la présente invention dans lesquelles le canal de trop-plein n’a pas de section transversale circulaire) du canal de trop-plein 1104, peut être rétréci à un intervalle ou des points prédéterminés ou sur toute la longueur de tout le canal pour permettre une interaction capillaire suffi- samment robuste qui fournit les écoulements direct et inverse de matériau vaporisable 1302 à l’intérieur et à l’extérieur du collecteur 1313, en fonction des changements de pression et en outre pour permettre un grand volume global du canal de trop-plein tout en maintenant toujours des points de porte pour la formation de ménisque pour empêcher l'air de s’écouler au- delà du liquide dans le canal de trop-plein 1104. Comme proposé de manière plus détaillée ici, le diamètre du canal de trop-plein 1104 peut être suffisamment petit ou étroit de sorte que la com-
binaison de la tension de surface, provoquée par la cohésion dans le ma- tériau vaporisable 1302, et des forces de mouillage entre le matériau va- porisable 1302 et les parois du canal de trop-plein 1104 peut agir pour provoquer la formation d’un ménisque qui sépare le liquide de l’air dans une dimension transversale par rapport à l’axe d’écoulement du canal de trop-plein 1104 de sorte que l'air et le liquide ne peuvent pas se croiser.
Il faut comprendre que les ménisques ont une courbure inhérente, donc la référence à une dimension transversale à la direction d’écoulement n’est pas prévue pour laisser entendre que interface air — liquide est planaire dans cette dimension ou dans n'importe quelle autre dimension.
L’élément de mèche 1362 peut être un raccordement thermique ou ther- modynamique avec un élément chauffant 1350 (voir les Figures 3B et 11B, par exemple) pour induire la génération de vapeur provenant du chauffage du matériau vaporisable 1302, comme abordé de manière détaillée précé- demment en référence aux Figures 3A et 3B.
En variante, l’orifice d'échange d'air 1106 peut être construit pour fournir une voie d’échappe- ment de gaz mais pour empêcher l’écoulement du matériau vaporisable 1302 hors du canal de trop—plein 1104. En référence à la fois aux Figures 11A et 11B, les écoulements direct ou inverse du matériau vaporisable 1302 dans le collecteur 1313 peuvent être contrôlés (par exemple améliorés ou diminués) en mettant en œuvre des structures appropriées (par exemple des configurations de microcanal) pour introduire ou tirer parti des propriétés capillaires qui peuvent exister entre le matériau vaporisable 1302 et les parois de retenue du canal de trop-plein 1104. Par exemple, les facteurs associés à la longueur, au dia- mètre, à la texture de surface interne (par exemple rugueuse par rapport à lisse), aux saillies, au rétrécissement progressif directionnel des struc- tures de canal, aux constrictions ou au matériau utilisé pour construire ou recouvrir la surface de la porte 1102, au canal de trop-plein 1104 ou à l’orifice d'échange d'air 1106, peuvent affecter positivement ou négative- ment la vitesse à laquelle un liquide est aspiré dans ou se déplace à travers le canal de trop-plein 1104 au moyen de l’action capillaire ou d'autres forces influentes agissant sur la cartouche 1320. Un ou plusieurs facteurs mentionnés ci-dessus, en fonction de la mise en œuvre, peuvent être utilisés pour contrôler le déplacement du matériau vaporisable 1302 dans le canal de trop-plein 1104 pour introduire un degré souhaitable de réversibilité, lorsque le matériau vaporisable 1302 est col- lecté dans les structures de canal du collecteur 1313. Ainsi, dans certains modes de réalisation, l'écoulement du matériau vaporisable 1302 dans le collecteur 1313 peut être complètement réversible ou semi-réversible en contrôlant sélectivement les différents facteurs mentionnés ci-dessus et en fonction des changements de l’état de pression à l’intérieur ou à l’exté- rieur de la cartouche 1320. Comme représenté sur les Figures 3A, 3B, 11A et 11B, dans un ou plu- sieurs modes de réalisation, le collecteur 1313 peut être formé, construit ou configuré pour avoir une structure à un canal et à un évent.
Dans de tels modes de réalisation, le canal de trop-plein 1104 peut être une voie de passage continue, un tube, un canal ou une autre structure pour rac- corder la porte 1102 à l’orifice d'échange d'air 1106, facultativement posi- tionné à proximité de élément de mèche 1362 (par exemple voir égale- ment les Figures 3A et 3B représentant un seul canal de trop-plein 1104 allongé dans le volume de trop-plein 1344). Par conséquent, dans de tels modes de réalisation, le matériau vaporisable 1302 peut entrer ou sortir du collecteur 1313 par la porte 1102 ou par un canal construit de manière singulière, où le matériau vaporisable 1302 s'écoule dans une première direction lorsque le collecteur 1313 est rempli et dans une seconde direc- tion lorsque le collecteur 1313 est purgé.
Pour aider à maintenir un état d’équilibre ou en fonction d’une mise en œuvre, pour réguler l'écoulement du matériau vaporisable 1302 dans le canal de trop-plein 1104, la forme et la configuration structurelle du canal de trop-plein 1104, de la porte 1102 ou de l’orifice d'échange d'air 1106 peuvent être adaptées ou modifiées pour équilibrer le débit du matériau vaporisable 1302 dans le canal de trop-plein 1104 à différents états de pression.
Dans un exemple, le canal de trop-plein 1104 peut être progres- sivement rétréci de sorte que l'extrémité progressivement rétrécie (c'est- à—dire l’extrémité avec une plus petite ouverture ou plus petit diamètre) mène à la porte 1102. Dans une mise en œuvre, l’extrémité non progressivement rétrécie (c'est- à—dire l’extrémité du canal de trop-plein 1104 avec une plus grande ou- verture ou un plus grand diamètre) peut conduire à l’orifice d'échange d'air 1106 qui peut être raccordé à l’environnement ambiant à l'extérieur de la cartouche 1320 ou à la trajectoire d’écoulement d'air à partir de laquelle le matériau vaporisable 1302 vaporisé est distribué à l’embout buccal (voir par exemple la Figure 3a, l’évent d’air 1318 raccordé à la voie de passage d'écoulement d'air 1338). Dans un mode de réalisation, l’extrémité non progressivement rétrécie peut également mener à une zone à proximité du logement de mèche, de sorte que si le matériau vaporisable 1302 sort du canal de trop-plein 1104, le matériau vaporisable 1302 peut être utilisé pour saturer élément de mèche 1362. Une structure de canal progressivement rétrécie, en fonction de la mise en œuvre, peut réduire ou augmenter la restriction d’écoulement dans le col- lecteur 1313. Par exemple, dans un mode de réalisation dans lequel le canal de trop-plein 1104 est progressivement rétréci vers la porte 1102, une pression capillaire favorable vers un écoulement inverse est induite dans le canal de trop-plein 1104, de sorte que la direction de l’écoulement de matériau vaporisable 1302 est hors du collecteur 1313 et dans la chambre de stockage 1342 lorsque l’état de pression change (par exemple, lorsqu'un évènement de pression négative est supprimé ou réduit). En par- ticulier, la mise en œuvre du canal de trop—plein 1104 avec une plus petite ouverture peut empêcher l’écoulement libre du matériau vaporisable 1302 dans le collecteur 1313. Une configuration non progressivement rétrécie pour le canal de trop-plein 1104 dans une direction allant vers l'orifice d'échange d’air 1106 fournit un stockage efficace du matériau vaporisable
1302 dans le collecteur 1313 pendant un second état de pression (par exemple un état de pression négative) lorsque le matériau vaporisable 1302 s'écoule dans le collecteur 1313 depuis des sections plus étroites du canal de trop-plein 1104 dans des sections volumétriques plus grandes du canal de trop-plein 1104. Ainsi, le diamètre et la forme de la structure de collecteur 1313 peuvent être mis en œuvre de sorte que l'écoulement du matériau vaporisable 1302 à travers la porte 1102 et dans le canal de trop-plein 1104 est régulé à un débit souhaitable, pendant un second état de pression (par exemple un évènement de pression négative) afin d'empêcher le matériau vaporisable 1302 de s’écouler trop librement (par exemple au-delà d’un certain débit ou seuil) dans le collecteur 1313 et également pour favoriser un écoule- ment inverse à nouveau dans la chambre de stockage 1342 dans un pre- mier état de pression (par exemple lorsque l’évènement de pression néga- tive est réduit). Il faut souligner que la combinaison des interactions entre l’évent 1002, le canal de trop-plein 1104 dans le collecteur 1313 qui com- posent le volume de trop-plein 1344 et l’orifice d’échange d'air 1106, dans un mode de réalisation, fournit la bonne évacuation des bulles d’air qui peuvent être introduites dans la cartouche en raison de différents facteurs environnementaux ainsi que l’écoulement régulé du matériau vaporisable 1302 à l’intéreur et à l’extéreur du canal de trop-plein 1104. Modes de réalisation de l’embout buccal En référence à la Figure 11B (voir également les Figures 10C, 10D), dans certains modes de réalisation, une partie de la cartouche 1320 qui com- prend la chambre de stockage 1342 peut être configurée pour comprendre également un embout buccal qui peut être utilisé par l’utilisateur pour in- haler le matériau vaporisable 1302 vaporisé.
Une voie de passage d’écou- lement d'air 1338 peut s'étendre à travers la chambre de stockage 1342, raccordant ainsi une chambre de vaporisation.
En fonction de la mise en œuvre, la voie de passage d'écoulement d'air 1338 peut être une structure en forme de paille ou cylindre creux, par exemple qui forme un canal à l'intérieur de la chambre de stockage 1342 pour permettre le passage du matériau vaporisable 1302 vaporisé.
Alors que le passage d’écoulement d'air peut avoir une forme circulaire ou au moins approximativement trans- versale circulaire, il faut comprendre que d’autres formes transversales pour le passage d’écoulement d'air sont également dans la portée de la présente description.
Une première extrémité de la voie de passage d'écoulement d'air 1338 peut être raccordée à une ouverture au niveau d’une première extrémité « d’embout buccal » de la chambre de stockage 1342 à partir de laquelle un utilisateur peut inhaler le matériau vaporisable 1302 vaporisé.
Une se- conde extrémité de la voie de passage d’écoulement d'air 1338 (opposée à la première extrémité) peut être reçue dans une ouverture au niveau d’une première extrémité du collecteur 1313, comme proposé de manière plus détaillée ici.
En fonction de la mise en œuvre, la seconde extrémité de la voie de passage d'écoulement d'air 1338 peut s'étendre complète- ment ou partiellement à travers une cavité de réception qui s'étend à tra- vers le collecteur 1313 et se raccorde à un logement de mèche, où l’élé- ment de mèche 1362 peut être logé.
Dans certaines configurations, la voie de passage d'écoulement d'air 1338 peut faire partie intégrante d’un embout buccal moulé moncolithique qui comprend la chambre de stockage 1342 où la voie de passage d’écoule- ment d'air 1338 s'étend à travers la chambre de stockage 1342. Dans d’autres configurations, la voie de passage d'écoulement d'air 1338 peut être une structure indépendante qui peut être séparément insérée dans la chambre de stockage 1342. Dans certaines configurations, la voie de pas- sage d’écoulement d'air 1338 peut être une extension structurelle du col- lecteur 1313 ou du corps de la cartouche 1320 comme s'étendant intérieu- rement à partir de l’ouverture dans la partie d’embout buccal, par exemple.
Sans limitation, toute une variété de différentes configurations structurelles peut être possible pour raccorder l’embout buccal (et la voie de passage d'écoulement d'air 1338 à l’intérieur de l’embout buccal) à l’orifice d'échange d'air 1106 dans le collecteur 1313. Comme proposé ici, le col- lecteur 1313 peut être inséré dans le corps de la cartouche 1320, qui peut également servir de chambre de stockage 1342. Dans certains modes de réalisation, la voie de passage d’écoulement d'air 1338 peut être construite comme un manchon interne qui fait partie intégrante d’un corps de car- touche monolithique, de sorte qu’une ouverture dans une première extré- mité du collecteur 1313 peut recevoir une première extrémité de la struc- ture de manchon formant la voie de passage d'écoulement d'air 1338. En référence aux Figures 18A à 18D, certains modes de réalisation peu- vent comprendre une cartouche de vaporisateur 1800 comprenant un double embout buccal cylindrique 1830 raccordé à deux voies de passage d'écoulement d'air 1838. Dans de tels modes de réalisation, une dose plus importante de matériau vaporisable 1302 vaporisé peut être distribuée par rapport à un simple embout buccal cylindrique. Un double embout buccal cylindrique 1830, en fonction de la mise en œuvre, peut également avan- tageusement fournir une expérience de vapotage plus régulière et plus sa- tisfaisante. Modes de réalisation de la porte fluidique En référence aux Figures 10A à 11H, en fonction de la mise en œuvre, différents facteurs peuvent être pris en considération pour aider à surveiller et à réguler les écoulements avant et inverse de matériau vaporisable 1302 à l’intérieur et à l'extérieur du collecteur 1313. Certains de ces facteurs peuvent comprendre la configuration de l'entraînement capillaire d’un évent fluidique, désigné ici sous le terme de porte 1102. L'entraînement capillaire de la porte 1102 peut être, par exemple, inférieur à celui de l’élé- ment de mèche 1362. En outre, la résistance à l'écoulement du collecteur 1313 peut être supérieure à celle de l’élément de mèche 1362. Le canal de trop-plein 1104 peut avoir des surfaces internes lisses ou ondulées pour réguler le débit du matériau vaporisable 1302 à travers le collecteur
1313. Le canal de trop-plein 1104 peut être formé avec une courbe pro- gressivement rétrécie pour fournir la bonne interaction capillaire et des forces qui limitent le débit à travers la porte 1102 et dans le volume de trop-plein 1344 pendant un premier état de pression pour promouvoir un débit inverse à travers la porte 1102 et hors du volume de trop-plein 1344 pendant un second état de pression.
Des modifications supplémentaires à la forme et à la structure des compo- sants de collecteur 1313 peuvent être possibles pour aider à réguler da- vantage ou à régler finement l'écoulement de matériau vaporisable 1302 à l’intérieur ou à l’extérieur du collecteur 1313. Par exemple, une configu- ration de canal en spirale légèrement incurvé (c'est-à-dire opposé au ca- nal avec des spires ou bords saillants) comme représenté sur les Figures 11A à 11H peut permettre d'inclure des caractéristiques supplémentaires, tels qu’un ou plusieurs évents, canaux, ouvertures ou structures de cons- triction, dans le collecteur 1313 à intervalles prédéterminés le long du ca- nal de trop-plein 1104. Comme proposé de manière plus détaillée ici, de telles caractéristiques supplémentaires, structures ou configurations peu- vent aider à fournir un niveau plus élevé de régulation d'écoulement pour le matériau vaporisable 1302 le long du canal de trop-plein 1104 ou à tra- vers la porte 1102, par exemple.
Il faut souligner qu’indépendamment des différents éléments structurels et mises en œuvre abordés tout au long de la présente description, certaines caractéristiques et fonctionnalités (par exemple l’interaction capillaire parmi différents composants) peuvent être mises en œuvre dans la struc- ture de collecteur 1313 pour aider à réguler l'écoulement du matériau va- porisable 1302 dans (1) les structures à un canal et un évent, (2) les struc- tures à plusieurs canaux et un évent ou (3) les structures à plusieurs ca- naux et plusieurs évents, par exemple. En référence aux Figures 10E, 11A, 11C, 11D et 11E, on présente des configurations structurelles exemplaires pour le collecteur 1313 selon cer- taines variantes. Comme représenté, une surface en spirale complètement ou partiellement inclinée peut être mise en œuvre pour définir un ou plu- sieurs côtés du volume interne du canal de trop-plein 1104 du collecteur
1313, de sorte que le matériau vaporisable 1302 peut s'écouler librement en raison de la pression capillaire (ou la force de gravité) à travers le canal de trop-plein 1104 lorsque le matériau vaporisable 1302 pénètre dans le canal de trop-plein 1104. Un ou plusieurs canaux ou tunnels, facultative- ment centraux, tel qu’un tunnel central 1100, peuvent être configurés sur la hauteur longitudinale du collecteur 1313, ayant deux ouvertures oppo- sées.
Au niveau de la première extrémité, un arbre central ou tunnel central 1100 à travers la structure de collecteur 1313 peut interagir avec ou se raccorder à une zone de boîtier dans laquelle un élément de mèche 1362 ou un ato- miseur peut être positionné. Au niveau de la seconde extrémité, le tunnel central 1100 peut interagir avec, se raccorder à ou recevoir une extrémité d’une conduite ou d’un tube qui forme une voie de passage d'écoulement d'air 1338 dans la partie d’'embout buccal de la cartouche 1320. Une pre- mière extrémité de la voie de passage d’écoulement d'air 1338 peut se raccorder (par exemple au moyen de l'insertion) à la seconde extrémité du tunnel central 1100. Une seconde extrémité de la voie de passage d’écou- lement d'air 1338 peut comprendre une ouverture ou orifice formé(e) dans la zone d’embout buccal.
Selon un ou plusieurs modes de réalisation, le matériau vaporisable 1302 vaporisé généré par un atomiseur peut entrer dans la première extrémité du tunnel central 1100 dans le collecteur 1313, passer à travers le tunnel central 1100 et en outre sortir de la seconde extrémité du tunnel central 1100 dans la première extrémité de la voie de passage d'écoulement d'air
1338. Le matériau vaporisable 1302 vaporisé peut ensuite se déplacer à travers la voie de passage d'écoulement d'air 1338 et sortir par l’ouverture d’embout buccal formée au niveau de la seconde extrémité de la voie de passage d'écoulement d'air 1338.
Le collecteur 1313 peut être configuré comme une pièce indépendante avec une construction ou structure qui peut être insérée dans le corps de la cartouche 1320 (par exemple, voir les Figures 10C, 11B, 11C-11E).
Suite à l'insertion, un joint d'étanchéité à l’air peut être formé entre les pa- rois internes du corps de coque de la cartouche 1320 et les rebords ex- ternes de la structure en forme de rainure du collecteur 1313 qui forme la surface inclinée en spirale. En d’autres termes, trois parois du canal de trop-plein 1104, telles qu’enfermées par la surface des parois internes du corps de coque de la cartouche 1320, forment un canal de trop—plein 1104 suite à insertion du collecteur 1313 dans le corps de cartouche 1320. Par conséquent, un canal de trop-plein 1104 peut être formé au moyen des parois internes du corps de la cartouche 1320 enfermant les parois internes de la structure en forme de nervure. Comme représenté, une porte 1102 peut être positionnée au niveau d’une extrémité du canal de trop- plein 1104, vers l’endroit où la chambre de stockage 1342 est positionnée, pour contrôler et fournir l’entrée et la sortie du matériau vaporisable 1302 dans le canal de trop-plein 1104 dans le collecteur 1313. Un orifice d'échange d'air 1106 peut être positionné vers une autre extrémité du ca- nal de trop-plein 1104, de préférence opposé à l'extrémité où la porte 1102 est positionnée. La porte 1102 peut réguler Pécoulement du matériau vaporisable 1302 à l'intérieur et à l’extérieur du canal de trop-plein 1104 dans le collecteur
1313. L’orifice d’échange d’air 1106 peut, via une trajectoire de raccorde- ment à lair ambiant, réguler l'écoulement d’air à l’intérieur et à l’extérieur du canal de trop-plein 1104 afin de réguler la pression d'air dans le collec- teur 1313, et à son tour dans la chambre de stockage 1342 de la cartouche 1320, comme proposé de manière plus détaillée ici. Dans certains modes de réalisation, l’orifice d'échange d'air 1106 peut être configuré pour em- pêcher le matériau vaporisable 1302 qui peut avoir rempli le canal de trop- plein 1104 du collecteur 1313 (par exemple suite à un évènement de pres- sion négative) de sortir du canal de trop—plein 1104. Dans une certaine mise en œuvre, l’orifice d’échange d'air 1106 peut être configuré pour amener le matériau vaporisable 1302 à sortir vers une voie qui mène à la zone dans laquelle l’élément de mèche 1362 est logé. La mise en œuvre peut aider à éviter les fuites de matériau vaporisable 1302 dans une voie de passage d'écoulement d'air (par exemple le tunnel cen- tral 1100) qui mène à l’embout buccal, pendant un évènement de pression négative, par exemple. Dans certaines mises en œuvre, l’orifice d'échange d'air 1106 peut avoir une membrane qui permet l’entrée et la sortie de ma- tériau gazeux (par exemple des bulles d'air) mais empêche le matériau vaporisable 1302 d'entrer et de sortir du collecteur 1313 par l’orifice d'échange d'air 1106. En référence aux Figures 11C à 11H, le débit du matériau vaporisable 1302 à l’intérieur et à l’extérieur du collecteur 1313 à travers la porte 1102 peut être directement associé à la pression volumétrique à l'intérieur du canal de trop-plein 1104. Ainsi, le débit à l’intérieur et à l'extérieur du collecteur 1313, à travers la porte 1102, peut être contrôlé au moyen de la manipula- tion du diamètre hydraulique du canal de trop-plein 1104 de sorte que la réduction du volume global du canal de trop-plein 1104 (par exemple uni- formément ou au moment de l'introduction de plusieurs points de constric- tion) peut mener à une pression accrue dans le canal de trop-plein 1104 et l’ajustement du débit dans le collecteur 1313. Par conséquent, dans au moins une mise en œuvre, le diamètre hydraulique du canal de trop-plein 1104 peut être réduit (par exemple rétréci, pincé, restreint ou limité), uni- formément ou en introduisant un ou plusieurs points de constriction 1111a, le long de la longueur de la trajectoire en spirale du canal de trop-plein
1104. Les Figures 11C à 11E, à titre d'exemple, illustrent deux niveaux de lon- gueur partielle et trois niveaux de pleine longueur construits sur un ou plu- sieurs des côtés du collecteur 1313, avec chaque niveau en pleine lon- gueur, sur le côté représenté sur les Figures, qui a trois points de constric- tion 11114, par exemple. II faut souligner que, dans différentes mises en œuvre, plus ou moins de niveaux ou points de constriction 1111a peuvent être mis en œuvre, définis, construits ou introduits pour ajuster la pression volumétrique dans le collecteur 1313. Un point de constriction 1111 a, à des fins d'illustration, est indiqué de manière évidente par un cercle dans le niveau central du collecteur 1313. Les points de constriction 1111a peuvent être formés ou introduits le long de la longueur du canal de trop-plein 1104 dans toute une variété de ma- nières et de formes.
Dans la partie suivante, des modes de réalisation exemplaires avec différents points de constriction ou formes sont décrits pour mieux illustrer certaines caractéristiques.
Il faut cependant noter que ces modes de réalisation exemplaires ne doivent pas être interprétés comme limitant la portée de l'invention revendiquée, à une configuration ou forme particulière.
En référence à la Figure 11C, dans un exemple de mise en œuvre, un point de constriction 1111a peut être formé au moyen de bossages, bords rele- vés, protubérances ou saillies (ci-après désignés sous le terme de « sail- lies ») s'étendant à partir des surfaces de plafond ou plancher ou paroi latérale (ou l’une quelconque ou la totalité de ces dernières) du canal de trop-plein 1104 (c'est-à-dire les pales du collecteur 1313). La forme des saillies peut être définie comme étant un bossage, un doigt, une dent, une ailette, un bord ou n'importe quelle autre forme qui limite une section trans- versale à une direction d’écoulement dans le canal de trop-plein.
Sur l’il- lustration de la Figure 11C, la vue latérale en coupe d’une saillie est repré- sentée comme étant similaire à la forme d’une ailette saillante, par exemple, où l’extrémité distale des saillies est progressivement rétrécie jusqu’à un bord.
Comme représenté sur la Figure 11C, le bord pointu ou en porte-à—faux de la forme d'ailette saillante peut être arrondi.
Cependant, dans d’autres modes de réalisation, le bord en porte-à-faux peut être progressivement rétréci jusqu’à une extrémité saillante.
Le caractère saillant, la taille, ’em- placement relatif et la fréquence de mise en place des saillies dans le canal de trop-plein 1104 peuvent être manipulés pour continuer à ajuster fine- ment un ménisque séparant le liquide et l’air pour qu’il se forme à l’intérieur du canal de trop-plein 1104.
Par exemple, comme représenté sur la Figure 11C, les saillies peuvent avoir une face arrondie d’un côté et une face plate du côté opposé.
La face arrondie des saillies peut faire face (c'est-à-dire être dirigée vers) à l’écou- lement extérieur du matériau vaporisable 1302 (c'est-à-dire l'écoulement hors du collecteur 1313 et dans la chambre de stockage 1342), alors que la face plate des saillies peut faire face à l'écoulement intérieur du matériau vaporisable 1302 (c'est-à-dire l'écoulement dans le collecteur 1313 et à partir de la chambre de stockage 1342) à travers la porte 1102. Comme mentionné, dans différentes mises en œuvre, la formation des saillies le long du canal de trop-plein 1104 peut être manipulée du point de vue du nombre, de la taille, de la forme, de l'emplacement et de la fré- quence pour l’ajustement fin du débit hydraulique du matériau vaporisable 1302 à l’intérieur et à l’extérieur du collecteur 1313. Par exemple, s’il est souhaitable de plutôt maintenir un écoulement entrant dans le canal de trop—plein 1104 à un débit plus élevé que l’écoulement sortant, alors les saillies peuvent être formées pour avoir une surface plate faisant face à l'écoulement sortant et une surface arrondie faisant face à l'écoulement entrant pour faciliter la formation et la retenue d’un ménisque résistant à l'écoulement extérieur de liquide (par exemple à distance de la chambre de stockage 1340) tout en facilitant la libération du ménisque du côté de la saillie faisant face à nouveau au compartiment de stockage 1340. De cette manière, une série de ces saillies peut fonctionner comme une sorte de système « de cliquet hydraulique » dans lequel l'écoulement de liquide de retour dans le compartiment de stockage est encouragé de manière mi- crofluidique par rapport à l'écoulement extérieur à partir du compartiment de stockage.
Cet effet peut être obtenu, au moins en partie, par la ten- dance relative d’un ménisque à se détacher du côté de la chambre de stockage des saillies que du côté opposé.
En référence à nouveau à la Figure 11C, dans un exemple de mise en œuvre, en plus des (ou au lieu des) saillies s'étendant à partir du plancher ou des plafonds du canal de trop-plein 1104, certaines saillies peuvent s'étendre à partir des parois internes du canal de trop-plein 1104. Comme représenté plus clairement sur la Figure 11F, une saillie peut s'étendre à partir d’une paroi interne du canal de trop-plein 1104 au même point de constriction 1111a, où deux saillies supplémentaires s'étendent à partir du plancher et du plafond du canal de trop-plein 1104 afin de former un point de constriction en forme de C 1111a. L'exemple de mise en œuvre illustré sur les Figures 11D et 11F peut ajuster plus efficacement les propriétés microfluidiques du canal de trop-plein 1104 pour encourager l’écoulement de liquide à se rétracter vers la chambre de stockage 1340 par rapport à la mise en œuvre de la Figure 11C, parce que le diamètre hydraulique du canal de trop-plein 1104 est plus contraint (c'est-à-dire rétréci) au point de constriction 1111a représenté sur les Figures 11D et 11F.
Les saillies formées le long du canal de trop-plein 1104 ne doivent pas être uniformes du point de vue des formes, de la taille, de la fréquence ou de la symétrie. C'est-à-dire qu’en fonction de la mise en œuvre, différents points de constriction 1111a ou 1111b peuvent être mis en œuvre dans différentes tailles, conceptions, formes ou différents emplacements ou une fréquence différente le long du canal de trop-plein 1104. Dans un exemple, la forme d’un point de constriction 1111a ou 1111b peut être similaire à la forme de la lettre C avec un diamètre interne rond. Dans certains modes de réalisation, au lieu de former un diamètre interne comme une forme de C arrondie, la paroi interne du point de constriction peut avoir des coins (par exemple des coins saillants) tels que ceux représentés sur les Figures 11F et 11G.
Dans certains exemples, le canal de trop-plein 1104, à un premier niveau, peut avoir des saillies s'étendant du plafond du canal de trop-plein 1104, alors qu’à un deuxième niveau, les saillies peuvent s’étendre à partir du plancher du canal de trop-plein 1104. A un troisième niveau, les saillies peuvent s'étendre à partir des parois internes, par exemple. Des variantes des mises en œuvre ci-dessus peuvent être possibles en ajustant ou en changeant le nombre de saillies et les formes de saillies ou le positionne- ment des saillies dans différentes séquences ou niveaux pour aider à con- trôler l’effet microfluidique sur l'écoulement dans les deux directions dans le canal de trop-plein 1104. Dans un exemple, les points de constriction 1111a peuvent être mis en œuvre sur un ou plusieurs (ou tous) niveaux, cotés ou largeurs du collecteur 1313, par exemple.
En référence aux Figures 11E et 11G, en plus de définir les points de cons- triction 1111a le long d’une longueur plus longue du canal de trop-plein 1104, ou d’un côté plus large du collecteur 1313, un ou plusieurs points de constriction supplémentaires 1111b peuvent être définis le long du côté plus étroit du collecteur 1313. Ainsi, l'exemple de mise en œuvre sur les Figures 11E et 11G peut améliorer l’ajustement de la résistance à ou l’en- couragement du détachement du ménisque dans une direction souhaitée dans le canal de trop-plein 1104 par rapport à la mise en œuvre sur la Figure 11D, parce que le diamètre hydraulique global (ou volume d’écou- lement) du canal de trop-plein 1104 est plus limité en raison de l’ajout de points de constriction supplémentaires 1111b.
En référence aux Figures 11F et 11G, pour une meilleure clarté, chaque niveau plein dans l'exemple illustré peut comprendre trois points de cons- triction 1111b de chaque côté, en plus des deux points de constriction 1111b supplémentaires, par exemple.
Ainsi le collecteur 1313 de la Figure 11D peut comprendre un total de 18 points de constriction, alors que le collecteur 1313 de la Figure 11E peut comprendre un total de 26 points de constriction.
Dans cet exemple, les modes de réalisation illustrés sur la Figure 11E fournissent une régulation d’écoulement microfluidique amélio- rée (par exemple dans la direction vers l’extérieur) en raison de la pression capillaire qui est renforcée au niveau des multiples points de constriction 1111a et 1111b.
En référence à la Figure 11H, dans certains modes de réalisation, la porte 1102 peut être construite pour comprendre une ouverture ou une configu- ration d’ouverture qui, de manière similaire à un point de constriction 1111a ou 1111b, a un bord progressivement rétréci, un rebord ou une bride qui est plus plat(e) dans une direction. Par exemple, le rebord de l'ouverture de la porte 1102 peut être formé pour être plat d’un côté (par exemple, le côté orienté vers la chambre de stockage 1342) et arrondi de l’autre côté (par exemple le côté orienté à l’opposé de la chambre de stockage 1342). Dans une telle configuration, les forces microfluidiques encourageant l'écoulement à nouveau vers la chambre de stockage 1340 sur l’écoule- ment à distance de la chambre de stockage 1340 peuvent être améliorées en raison d’un détachement de ménisque plus facile sur le côté moins ar- rondi par rapport au côté plus arrondi. Par conséquent, en fonction de la mise en œuvre et des variantes dans la structure ou la construction des points de constriction et de la porte 1102, la résistance à l'écoulement du matériau vaporisable 1302 hors du collec- teur 1313 peut être supérieure à la résistance à l'écoulement du matériau vaporisable 1302 dans le collecteur 1313 et vers la chambre de stockage
1340. Dans certaines mises en œuvre, la porte 1102 est construite pour maintenir un joint d'étanchéité au liquide de sorte qu’une couche de maté- riau vaporisable 1302 est présente au milieu où la chambre de stockage 1342 communique avec le canal de trop-plein 1104 dans le volume de trop-plein 1344. La présence d’un joint d'étanchéité au liquide peut aider à maintenir un équilibre de pression entre la chambre de stockage 1342 et le volume de trop-plein 1344 pour favoriser un niveau suffisant de vide (par exemple un vide partiel) dans la chambre de stockage 1342 pour em- pêcher le matériau vaporisable 1302 de s’évacuer complètement dans le volume de trop-plein 1344, ainsi qu’éviter que l’élément de mèche 1362 soit privé de saturation adéquate. Dans une ou plusieurs mises en œuvre exemplaires, une seule voie de passage ou seul canal dans le collecteur 1313 peut être raccordé(e) à la chambre de stockage 1342 au moyen de deux évents, de sorte que les deux évents maintiennent un joint d'étanchéité au liquide indépendamment du positionnement de la cartouche 1320. La formation d’un joint d'étan- chéité au liquide au niveau de la porte 1102 peut également aider à empê- cher lair dans le collecteur 1313 d'entrer dans la chambre de stockage 1342 même lorsque la cartouche 1320 est maintenue en diagonale par rapport à l’horizon ou lorsque la cartouche 1320 est positionnée avec l’em- bout buccal orienté vers le bas. En effet, si les bulles d’air provenant du collecteur 1313 pénètrent dans le réservoir, la pression à l'intérieur de la chambre de stockage 1342 est égalisée par rapport à celle de la pression ambiante. C'est-à-dire que le vide partiel à l’intérieur de la chambre de stockage 1342 (par exemple créé suite à l'évacuation du matériau vapori- sable 1302 par les alimentations de mèche 1368) est décalé, si l’air am- biant s'écoule dans la chambre de stockage 1342. En référence aux Figures 111 à 11K, on propose des vues en perspective des configurations de porte 1102 en variante pour la structure de collecteur
1313. Les configurations en variante peuvent fournir des avantages con- cernant la gestion et le contrôle d'écoulement de l’air et/ou du matériau vaporisable liquide 1302. Dans certains scénarios, le vide d’espace libre peut ne pas être maintenu lorsque l’espace vide (c'est-à-dire l’espace libre au-dessus du matériau vaporisable 1302) dans la chambre de stock- age 1342 est en contact avec la porte 1102. Pour cette raison, comme mentionné précédemment, le joint d'étanchéité au liquide établi au niveau de la porte 1102 peut être rompu. Cet effet peut être dû à la porte 1102 qui est incapable de maintenir un film fluidique lorsque le collecteur 1313 est évacué et que l’espace libre vient en contact avec la porte 1102, menant à une perte de vide d'espace libre partiel. Dans certains modes de réalisation, l’espace libre dans la chambre de stockage 1342 peut avoir la pression ambiante, et s’il y existe un décalage hydrostatique entre la porte 1102 et l’atomiseur dans la cartouche 1320, le contenu de la chambre de stockage 1342 s’évacue dans l’atomiseur, se traduisant par une inondation de la boîte de mèche et des fuites. Afin d’évi- ter les fuites, un ou plusieurs modes de réalisation peuvent être mis en œuvre pour supprimer le décalage hydrostatique entre la porte 1102 et l’atomiseur et maintenir la fonctionnalité de la porte 1102 lorsque la chambre de stockage 1342 est presque évacuée.
Comme représenté dans les modes de réalisation exemplaires des Fi- gures 111 et 11J, des parois de division miniaturisées ou des structures en forme de labyrinthe 1190 peuvent être construites autour de la porte 1102 pour établir un raccordement à entraînement élevé entre la porte 1102 et le canal de trop-plein 1104 dans le collecteur 1313 pour maintenir le joint d'étanchéité au liquide au niveau de la porte 1102. Dans l’exemple de la Figure 11J, une structure en forme de fossé 1190 est représentée en tant que moyen pour améliorer davantage le maintien du joint d'étanchéité au liquide au niveau de la porte 1102 selon une ou plusieurs mises en œuvre. Mode de réalisation de la porte fluidique contrôlée Les Figures 11L et 11N illustrent des vues en plan et en gros plan d’une porte fluidique contrôlée 1102 dans la structure de collecteur 1313, selon une ou plusieurs mises en œuvre. Comme représenté, la voie de passage ou canal de trop-plein 1104 dans le collecteur 1313 peut être raccordé(e) à la chambre de stockage 1342 au moyen d’une porte fluidique contrôlée en forme de V ou en forme de corne 1102, par exemple de sorte que la porte en forme de V 1102 comprend au moins deux (et de manière sou- haitable trois) ouvertures qui sont raccordées à la chambre de stockage
1342. Comme proposé de manière plus détaillée ici, un joint d'étanchéité au liquide peut être maintenu au niveau de la porte 1102 indépendamment de l'orientation verticale ou horizontale de la cartouche 1320.
Comme représenté sur la Figure 11L, sur un premier côté de l’évent, une trajectoire d’évent peut être maintenue entre le canal de trop-plein 1104 et la porte 1102 à travers laquelle les bulles d’air peuvent s'échapper du canal de trop-plein 1104 dans le collecteur dans le réservoir. Sur un second côté, un ou plusieurs canaux à entraînement élevé raccordés au réservoir peu- vent être mis en œuvre pour encourager le pincement au niveau d’un point de pincement 1122 pour maintenir un joint d'étanchéité au liquide qui em- pêchent l'évacuation prématurée des bulles d’air hors du canal de trop- plein 1104 et dans le réservoir, ainsi que l'entrée indésirable d’air ou de matériau vaporisable 1302 dans le canal de trop-plein 1104 depuis le ré- servoir.
En fonction de la mise en œuvre, les canaux à entraînement élevé, repré- sentés à titre d'exemple du côté droit de la Figure 11L, sont de préférence maintenus scellés en raison de la pression capillaire exercée par le maté- riau vaporisable liquide 1302 dans le réservoir de cartouche.
Les canaux à faible entraînement formés sur le côté opposé (c'est-à-dire représenté sur le côté gauche sur la Figure 11L) peuvent être configurés pour avoir un entraînement capillaire relativement plus faible par rapport aux canaux à entraînement élevé mais ont toujours un entraînement capillaire suffisant de sorte que dans un premier état de pression, un joint d'étanchéité au liquide est maintenu à la fois dans les canaux à entraînement élevé et les canaux à faible entraînement.
Par conséquent, dans le premier état de pression (par exemple lorsque la pression à l’intérieur du réservoir est approximativement égale ou supé- rieure à la pression d’air ambiante), ensuite un joint d'étanchéité au liquide est maintenu à la fois dans les canaux à faible entraînement et à entraîne- ment élevé, empêchant les bulles d'air de s’écouler dans le réservoir.
Au contraire, dans un second état de pression (par exemple lorsque la pres- sion à l’intérieur du réservoir est inférieure à la pression d’air ambiante), les bulles d'air formées dans le canal de trop-plein 1104 (par exemple au moyen de l’entrée dans l’orifice d'échange d'air 1106) ou plus générale- ment un bord de ménisque d’attaque d’une interface matériau vaporisable liquide — air peuvent se déplacer vers le haut et vers la porte fluidique con- trôlée 1102. Lorsque le ménisque atteint le point de pincement 1122 posi- tionné entre les canaux à faible entraînement et à entraînement élevé de l’évent 1104, Pair est de préférence acheminé par le canal ou les canaux à faible entraînement, en raison d’une résistance capillaire plus élevée qui est présente dans le canal (les canaux) à entraînement élevé.
Une fois que les bulles sont passées par la partie de canal à faible entraî- nement de la porte 1102, les bulles d'air pénètrent dans le réservoir et égalisent la pression à l’intérieur du réservoir avec celle de l’air ambiant.
Ainsi, l’orifice d’échange d'air 1106 en combinaison avec la porte fluidique contrôlée 1102 permet à l’air ambiant pénétrant dans le canal de trop-plein 1104 de passer dans le réservoir, jusqu’à ce qu’un état de pression d’équi- libre soit établi entre le réservoir et l’air ambiant.
Comme mentionné pré- cédemment, ce procédé peut être désigné comme étant la ventilation du réservoir.
Une fois qu’un état de pression d'équilibre est établi (par exemple une transition d’un second état de pression à un premier état de pression), alors un joint d'étanchéité au liquide est à nouveau établi au point de pincement 1122, en raison de la présence de liquide à la fois dans les canaux à entraînement élevé et les canaux à faible entraînement qui sont alimentés par le matériau vaporisable liquide 1302 stocké dans le ré- servoir.
Les Figures 110 à 11X illustrent des photos lorsque l’écoulement d'air, col- lecté dans le collecteur exemplaire 1313 des Figures 11L à 11B, est géré pour accepter la bonne ventilation lorsque le ménisque de matériau vapo- risable 1302 continue à reculer.
La Figure 110 illustre un ménisque en recul où, lorsque le matériau vapo- risable 1302 est retiré du réservoir dans la mèche, le vide d’espace libre partiel augmente en résistance.
Ceci est suffisant pour venir à bout de l’en- traînement capillaire en recul du ménisque, déplaçant à nouveau le mé- nisque par le collecteur vers le point de constriction où le ménisque voit le différentiel de pression le plus élevé tel que dicté par la géométrie.
La Figure 11P illustre la façon dont le ménisque traverse un premier joint dans la porte 1102, lorsque le ménisque s'approche de la porte 1102. Au niveau de ce premier joint, le vide partiel d’espace libre est maximisé lorsqu'il correspond à la plus petite géométrie dans la structure de porte 1102, et le vide partiel dans le réservoir continue à grossir jusqu’à ce point.
La Figure 11Q illustre la façon dont plusieurs ménisques reculent lorsque l’espace libre atteint le vide partiel maximum. Les ménisques sont au ni- veau de leur courbure la plus étroite sur leurs plans principaux et à ces emplacements, les pressions de drain des trois canaux sont égales et les trois ménisques reculent simultanément, tel qu’opposé au fait de reculer uniquement d’un canal. Etant donné que les courbures de ces trois mé- nisques augmentent maintenant au fur et à mesure qu'ils reculent, la diffé- rence de pression soutenue sur ces derniers diminue et le vide partiel d’es- pace libre commence alors à diminuer.
La Figure 11R illustre la façon dont les ménisques secondaires commen- cent à remplir les canaux capillaires. Les conicités sur ces géométries de canal sont telles que lorsque les ménisques continuent à reculer, l’entraî- nement capillaire du canal principal diminue à une vitesse plus élevée que celle des canaux secondaires. Cette réduction progressive de l’entraîne- ment capillaire réduit le vide partiel d’espace libre maintenu. Lorsque la pression de drain du ménisque principal chute au-dessous de la pression de drain des canaux secondaires, ce ménisque continue à s’évacuer alors que les autres ménisques restent statiques. La pression de drain, impli- quant l’angle de contact en recul du canal principal, peut chuter au-des- sous de la pression d'inondation, impliquant langle de contact d’avance- ment des canaux secondaires, les amenant à se remplir à nouveau, comme représenté sur les Figures.
La Figure 11S illustre la façon dont les ménisques secondaires de l’un des deux ménisques dans chaque canal secondaire atteint un point de tan- gence lorsque les deux ménisques fusionnent pour n’en devenir qu’un. Ce ménisque combiné a une courbure augmentée et donc un entraînement capillaire plus faible. L’entraînement plus élevé du ménisque principal peut amener le système à réagir momentanément en transformant le ménisque principal en ménisque d’avancement. Le recul successif du ménisque prin- cipal a probablement lieu avec le ménisque secondaire maintenu à cet emplacement.
La Figure 11T illustre la façon dont le ménisque secondaire se déplace vers le collecteur.
Dans un scénario dans lequel la chambre de stockage est pleine de liquide, le ménisque principal continue à reculer, réduisant en outre le vide partiel d'espace libre au fur et à mesure que sa courbure aug- mente.
Lorsque le vide partiel chute au-dessous de la pression capillaire d'avancement du ménisque secondaire, le ménisque secondaire com- mence à procéder une fois de plus à l’entraînement pour fermer l’espace.
Dans un scénario dans lequel la chambre de stockage est vide ou presque vide, le joint d'étanchéité au liquide au niveau de la porte 1102 est stable jusqu’à ce que la bulle se rompe, raccordant l’espace libre à l’environne- ment.
La Figure 11U illustre la façon dont le ménisque secondaire ferme le joint au niveau de la porte 1102. Lorsque le ménisque secondaire avance jusqu’à ce qu’il rencontre le sommet du coin dans le canal principal, la géométrie est conçue pour encourager le ménisque secondaire à se par- tager pour remplir à la fois la porte 1102 et les canaux de collecteur 1313. Ces deux ménisques nouvellement formés peuvent servir à isoler l’espace libre par rapport à l’air ambiant et ainsi un vide partiel d’espace libre peut être établi à nouveau, garantissant que les fuites via les canaux d’alimen- tation en liquide, se réduisent.
Etant donné que les ménisques nouvelle- ment formés ont de plus petites courbures qu'avant la séparation, les mé- nisques nouvelles formés continuent à procéder dans les canaux en raison de l'entraînement capillaire accru.
Les Figures 11V à 11X illustrent la libération de bulle dans la chambre de stockage 1342. La pression dans la cartouche 1320 à ce point atteint la stabilité lorsque la bulle d’air piégée dans le canal de ménisque principal est éjectée par le déséquilibre créé par les ménisques d’avancement et de recul.
Le matériau vaporisable 1302 est ensuite autorisé à entrer et à dé- placer la bulle à travers le canal supérieur droit.
Par conséquent, alors qu’une structure de canal à entraînement élevé peut être prévue via un fossé fermé à proximité de la porte 1102, un plus petit fossé peut être plutôt utilisé pour réduire le risque des bulles piégées. Dans certaines mises en œuvre, les canaux progressivement rétrécis peu- vent être conçus pour augmenter l'entraînement vers l’évent contrôlé. En prenant en considération le pincement des deux ménisques d’avancement, la paroi de réservoir du réservoir et le fond de canal peuvent être configu- rés pour continuer à fournir l’entraînement, alors que les parois latérales fournissent un emplacement de pincement pour les ménisques. Dans une configuration, l'entraînement net des ménisques d’avancement ne dé- passe pas celui des ménisques en recul, maintenant ainsi le système sta- tiquement stable. Modes de réalisation du collecteur à plusieurs portes et plusieurs canaux En référence aux Figures 12A et 12B, on illustre une vue latérale en pers- pective exemplaire et une vue latérale en plan exemplaire des modes de réalisation d’une structure de collecteur à évent unique et plusieurs canaux
1200. Comme représenté sur la Figure 12A, le collecteur 1200 est formé pour avoir une porte unique 1202 et plusieurs canaux 1204(a) à 1204(j). Comme représenté sur la Figure 12A, selon une ou plusieurs mises en œuvre, la porte 1202 peut être positionnée par exemple au centre ou à mi- chemin de la largeur longitudinale du collecteur 1313 pour permettre au matériau vaporisable 1302 d'entrer au moins dans un premier canal 1204(a) du collecteur 1313 et se diffuser progressivement dans et à travers des canaux supplémentaires 1204(b)—1204(j). La position de la porte 1202 peut être modifiée en fonction de la mise en œuvre qui est au centre, sur le côté ou un coin ou à un autre emplacement le long de la longueur ou de la largeur du collecteur 1313. Une structure de collecteur à évent unique et plusieurs canaux 1200 peut avoir l’avan- tage supplémentaire de permettre au matériau vaporisable 1302 d'entrer par une porte unique 1202 à un premier débit et se diffuser à un deuxième débit (par exemple un débit plus rapide que le premier débit) par de mul- tiples canaux (1204(a)—1204(j) du collecteur 1200. De manière avantageuse, une structure de collecteur à porte unique et plusieurs canaux 1200 permet l’écoulement contrôlé (par exemple l’écou- lement limité) du matériau vaporisable 1302 de la chambre de stockage 1342 dans le volume de trop-plein 1344 (voir la Figure 3A) et permet en outre un écoulement moins contrôlé (par exemple moins limité) une fois que le matériau vaporisable 1302 est dans le volume de trop-plein 1344. Dans certains modes de réalisation, on peut mettre en œuvre une structure à plusieurs niveaux, à plusieurs canaux, de sorte que, comme représenté sur la Figure 12B, par exemple, l'écoulement du matériau vaporisable 1302 dans un premier ensemble de canaux 1204(a)—1204(f) est à un deu- xième débit et l'écoulement du matériau vaporisable 1302 dans un second ensemble de canaux 1204(g)-1204(k) est à un troisième débit.
Le troi- sième débit peut être plus rapide ou plus lent que le deuxième débit.
Par conséquent, dans le mode de réalisation exemplaire représenté sur la Figure 12B, le matériau vaporisable 1302 peut s'écouler à travers la porte 1202 à un premier débit, à travers les canaux 1204(a)-1204(f) à un deu- xième débit, et à travers les canaux 1204(g)—1204(k) à un troisième débit.
Dans un ou plusieurs modes de réalisation, le deuxième débit peut être plus rapide que le premier débit et le troisième débit, par exemple, de sorte que le matériau vaporisable 1302 peut avoir un écoulement limité à travers la porte 1202, un écoulement moins limité à travers le premier ensemble de canaux (par exemple niveau 1) et un écoulement relativement plus li- mité dans le second ensemble de canaux (par exemple niveau 2). Cette configuration à plusieurs niveaux peut aider à améliorer le débit à travers le collecteur 1200 mais à maintenir une restriction contrôlable contre un écoulement rapide du matériau vaporisable 1302 vers élément de mèche 1362, une fois que le matériau vaporisable 1302 est entré dans le collec- teur 1200. Dans le mode de réalisation à double niveau représenté sur la Figure 12B, le premier ensemble de canaux 1204(a)-1204(f) (par exemple niveau 1) peut avoir une configuration réversible de sorte que le matériau vapori- sable 1302 collecté dans le premier ensemble de canaux peut revenir dans le réservoir 1340. Le second ensemble de canaux 1204(g)—1204(k) (par exemple, niveau 2), au contraire, ne peut pas avoir de configurations ré- versibles.
Dans de tels modes de réalisation, en raison de la proximité du second ensemble de canaux par rapport à l’élément de mèche 1362, le matériau vaporisable 1302 est principalement aspiré du second ensemble de canaux et ensuite du premier ensemble de canaux (par exemple, ni- veau 1 servant de compartiment de réserve). Le fait d’avoir une construc- tion réversible et non-réversible, comme abordé ci-dessus, peut aider à fournir des améliorations supplémentaires par rapport aux autres modes de réalisation abordés ici.
Dans certains modes de réalisation à plusieurs niveaux, en configurant le second ensemble de canaux 1204(g)-1204(k) comme étant non-réver- sible, on peut avoir une garantie supplémentaire que l’élément de mèche 1362 ne sera pas mal alimenté étant donné que le matériau vaporisable 1302 peut être disponible à proximité immédiate de l’élément de mèche 1362 lorsqu’il est stocké dans le second ensemble de canaux 1204(g)- 1204(k) pendant un évènement de trop-plein.
En outre, la possibilité qu’un fort écoulement de matériau vaporisable 1302 dans le logement de mèche pendant un évènement de pression négative puisse être empêché dans des mises en œuvre à plusieurs niveaux, parce que, comme prévu précé- demment, le second ensemble de canaux 1204(g)—1204(k) peut être con- figuré pour avoir un écoulement plus restrictif par rapport au premier en- semble de canaux 1204(a)-1204(f). En outre, en raison de la réversibilité, le premier ensemble de canaux 1204(a)-1204{f) ne peut pas contenir un volume relativement grand de matériau vaporisable 1302. Dans certains modes de réalisation, afin d'augmenter ou de limiter la réversibilité ou l'écoulement du matériau vaporisable 1302 dans le premier ensemble de canaux 1204(a)-1204(f) ou le second ensemble de canaux 1204(g)- 1204(k), le matériau absorbant (par exemple des éponges) peut être intro- duit dans une ou deux zones de canaux.
En référence à la Figure 13, on illustre une vue latérale en perspective exemplaire d’une structure de collecteur à plusieurs évents et plusieurs canaux 1300, selon une ou plusieurs mises en œuvre. Comme représenté, le collecteur 1300 peut être positionné à l’intérieur d’une cartouche de sorte que le collecteur 1300 a deux évents 1301. Cette mise en œuvre peut per- mettre au matériau vaporisable 1302 de s’écouler dans les canaux 1204 à un débit relativement plus rapide, en particulier par rapport à un collecteur à évent unique 1200 représenté sur les Figures 21A et 12B.
Modes de réalisation de l'alimentation de mèche En référence à nouveau aux Figures 10C, 10D, 11B, dans certaines va- riantes, le collecteur 1313 peut être configuré pour être reçu par insertion par une extrémité de réception de la chambre de stockage 1342. L'extré- mité du collecteur 1313 qui est opposée à l’extrémité qui est reçue par la chambre de stockage 1342 peut être configurée pour recevoir un élément de mèche 1362. Par exemple, les saillies en forme de fourche peuvent être formées pour recevoir solidement l’élément de mèche 1362. Un logement de mèche 1315 peut être utilisé pour fixer en outre l’élément de mèche 1362 dans une position fixe entre les saillies. Cette configuration peut éga- lement aider à empêcher élément de mèche 1362 à se gonfler sensible- ment et s'affaiblir en raison d’une saturation excessive.
En référence aux Figures 11C, 11D et 11E, en fonction de la mise en œuvre, un ou plusieurs parmi des conduits supplémentaires, des canaux, des tubes ou des cavités peuvent se déplacer à travers le collecteur 1313 et peuvent être construits ou configurés comme des trajectoires qui alimen- tent l'élément de mèche 1362 avec le matériau vaporisable 1302 stocké dans la chambre de stockage 1342. Dans certaines configurations, telles que celles abordées de manière plus détaillée ici, les conduits d’alimenta- tion de mèche, les tubes ou les cavités (c'est-à-dire les alimentations de mèche 1368) peuvent s'étendre de manière approximativement parallèle au tunnel central 1100. Dans au moins une configuration, on peut trouver plusieurs alimentations de mèche qui s'étendent en diagonale le long de la longueur du collecteur 1313, par exemple indépendamment ou en rac- cordement avec un échange de mèche, comprenant une ou plusieurs autres alimentations de mèche.
Dans certains modes de réalisation, une pluralité d’alimentations de mèche peut être raccordée par interaction dans une configuration à plu- sieurs liaisons de sorte qu’un échange des trajectoires d’alimentation, se croisant éventuellement, peut conduire à la zone de logement de mèche.
Cette configuration peut aider à empêcher le blocage complet du méca- nisme d'alimentation de mèche si, par exemple, une ou plusieurs trajec- toires d'alimentation dans l’échange d’alimentation de mèche sont bou- chées au moyen de la formation de bulles de gaz ou d’autres types d’obs- truction.
De manière avantageuse, l’instrumentation des multiples trajec- toires d'alimentation peut permettre au matériau vaporisable 1302 de se déplacer en toute sécurité à travers une ou plusieurs trajectoires (ou un croisement vers une trajectoire différente mais ouverte) vers la zone de logement de mèche, même si certaines des trajectoires ou certaines des voies dans l’échange d'alimentation de mèche sont complètement ou par- tiellement bouchées ou bloquées.
En fonction de la mise en œuvre, une trajectoire d’alimentation de mèche peut être formée pour être tubulaire, par exemple, avec une forme de dia- mètre transversal circulaire ou multifacette.
Par exemple, la section trans- versale creuse de l’alimentation de mèche peut être triangulaire, rectangu- laire, pentagonale ou avoir n'importe quelle autre forme géométrique ap- propriée.
Dans un ou plusieurs modes de réalisation, le périmètre trans- versal de l’alimentation de mèche peut être en forme de croix creuse, par exemple de sorte que les bras de la croix ont une largeur plus étroite par rapport au diamètre de la partie transversale centrale de la croix à partir de laquelle les bras s'étendent.
Plus généralement, un canal d’alimentation de mèche (également désigné ici sous le terme de premier canal) peut avoir une forme transversale avec au moins une irrégularité (par exemple une saillie, un canal latéral, etc.) qui fournit une trajectoire en variante pour que le matériau vaporisable liquide s’y écoule dans le cas dans lequel une bulle d'air bloque le reste de la surface transversale de l'alimentation de mèche.
La section transversale en forme de croix du présent exemple est un exemple de cette structure, mais l'homme du métier comprend que d’autres formes sont également envisagées et réalisables en fonction de la présente description.
Une mise en ceuvre de conduit ou tube en forme de croix qui est formée à travers une trajectoire d’alimentation de mèche peut venir à bout des pro- blèmes d’obstruction parce qu’un tube en forme de croix peut être essen- tiellement considéré comme comprenant cinq trajectoires séparées (par exemple une trajectoire centrale formée au niveau du centre creux de la croix et quatre trajectoires supplémentaires formées dans les bras creux de la croix). Dans une telle mise en œuvre, un blocage dans le tube d’ali- mentation par une bulle de gaz, par exemple, se forme probablement au niveau de la partie centrale du tube en forme de croix, laissant des trajec- toires auxiliaires (c'est-à-dire des trajectoires qui traversent les bras du tube en forme de croix) ouvertes pour l'écoulement.
Selon un ou plusieurs aspects, les trajectoires d’alimentation de mèche peuvent être suffisamment larges pour permettre le déplacement libre du matériau vaporisable 1302 à travers les trajectoires d'alimentation et vers la mèche.
Dans certains modes de réalisation, l'écoulement à travers l’ali- mentation de mèche peuvent être amélioré ou logé en divisant le diamètre relatif de certaines parties de l'alimentation de mèche pour renforcer la traction ou pression capillaire sur le matériau vaporisable 1302 se dépla- gant à travers une trajectoire d'alimentation de mèche.
En d'autres termes, en fonction de la forme et d'autres facteurs structurels ou matériels, cer- taines trajectoires d’alimentation de mèche peuvent reposer sur les forces de gravitation et capillaires pour induire le mouvement du matériau vapo- risable 1302 vers la partie de logement de mèche.
Dans la mise en œuvre de tube en forme de croix, par exemple, les trajec-
toires d'alimentation qui traversent les bras du tube en forme de croix peu- vent être configurées pour alimenter la mèche au moyen de la pression capillaire au lieu de compter sur la force de gravitation. Dans une telle mise en œuvre, la partie centrale du tube en forme de croix peut alimenter la mèche en raison de la force de gravitation, par exemple alors que l’écou- lement du matériau vaporisable 1302 dans les bras du tube en forme de croix peut être supporté par la pression capillaire. Il faut noter que le tube en forme de croix décrit ici est prévu pour fournir un mode de réalisation exemplaire. Les concepts et la fonctionnalité mis en œuvre dans ce mode de réalisation exemplaire peuvent être étendus aux trajectoires d’alimen- tation de mèche avec différentes formes transversales (par exemple, des tubes avec des sections en forme d’étoile creuses ayant deux bras ou plus s’étendant à partir d’un tunnel central s'étendant le long d’une trajectoire d'alimentation de mèche).
En référence à la Figure 11C, on illustre une construction de collecteur exemplaire 1313 dans laquelle deux alimentations de mèche 1368 sont positionnées sur deux côtés opposés du tunnel central 1100 de sorte que le matériau vaporisable 1302 peut entrer dans les alimentations et s'écou- ler directement vers la zone de cavité au niveau de l’autre extrémité du collecteur 1313, où le logement pour la mèche est formé.
Les mécanismes d’alimentation de mèche peuvent être formés à travers le collecteur 1313 de sorte qu’au moins une trajectoire d'alimentation de mèche dans le collecteur 1313 peut être formée comme un tube creux à diamètre en croix à plusieurs facettes. Par exemple, la section transversale creuse de l’alimentation de mèche peut se présenter sous la forme du signe plus (par exemple, une alimentation de mèche en forme de croix creuse, si elle est observée à partir d’une vue en coupe de dessus), de sorte que les bras de la croix ont une largeur plus étroite par rapport au diamètre de la partie de croisement centrale de la croix à partir de laquelle les bras s'étendent.
Un conduit ou tube avec le diamètre en forme de croix formé à travers une trajectoire d’alimentation de mèche peut venir à bout des problèmes d’obs- truction parce qu’un tube avec un diamètre en forme de croix peut être considéré comme comprenant cinq trajectoires séparées (par exemple une trajectoire centrale formée au niveau du centre creux de la croix et quatre trajectoires supplémentaires formées dans les bras creux de la croix). Dans une telle mise en œuvre, un blocage dans le tube d'alimenta- tion par une bulle de gaz (par exemple une bulle d'air) se forme probable- ment au niveau de la partie centrale du tube en forme de croix.
Un tel positionnement central de la bulle de gaz quitte finalement les tra- jectoires auxiliaires (c'est-à-dire les trajectoires qui traversent les bras du tube en forme de croix) qui restent ouvertes pour l’écoulement du matériau vaporisable 1302, même lorsque la trajectoire centrale est bloquée par la bulle de gaz.
D’autres mises en œuvre pour une structure de voie de pas- sage d'alimentation de mèche qui sont possibles, peuvent accomplir le même objectif ou un objectif similaire que celui décrit ci-dessus par rapport au piégeage des bulles de gaz ou le fait d’éviter que les bulles de gaz piégées ne bouchent complètement la voie de passage d’alimentation de mèche.
L’ajout de plus d’évents dans la structure du collecteur 1300 peut permettre des débits plus rapides, en fonction de la mise en œuvre, lorsqu'un volume collectif relativement plus grand de matériau vaporisable 1302 peut être déplacé lorsque les évents supplémentaires sont disponibles.
Ainsi, bien que non explicitement représentés, des modes de réalisation avec plus de deux évents (par exemple des mises en œuvre avec un triple évent, des mises en œuvre avec un quadruple évent, etc.) sont également dans la portée de l'invention décrite.
En référence aux Figures 14A et 14B, certains modes de réalisation peu- vent comprendre une structure de collecteur 1400 avec deux alimentations pour la mèche.
Dans de tels modes de réalisation, la mèche peut avoir un niveau de saturation plus élevé et une possibilité de sous-alimentation moindre par rapport à un mode de réalisation dans lequel on prévoit une seule alimentation.
En référence aux Figures 15A, 15B et 15C, on propose des vues latérales en plan en perspective et en coupe d'une structure de collecteur exem- plaire pour une mèche à double alimentation 1562. Comme représenté, une mèche ou la mèche 1562 peut être disposée ou logée dans une car- touche 1500, de sorte qu’au moins deux alimentations de mèche séparées 1566 et 1568 sont prévues pour permettre que le matériau vaporisable 1302 se déplace vers une zone de la cartouche 1500 où la mèche 1562 est logée.
Comme indiqué précédemment, une alimentation à deux mèches peut avoir l’avantage de fournir à la mèche 1562 par exemple deux fois l’écou- lement du matériau vaporisable 1302 par rapport à une alimentation à une seule mèche, en variante. De manière avantageuse, une mise en œuvre d'alimentation à deux mèches fournit une grande alimentation à la mèche 1562 et aide à empêcher une mèche 1562 sèche si, par exemple, l’une des alimentations de mèche es bloquée. Comme représenté, une partie inférieure de la mèche 1562 peut s'étendre vers le bas dans une zone de la cartouche 1500 qui forme la chambre chauffante ou l’atomiseur.
En référence aux Figures 16A, on propose une vue latérale en plan en coupe d’une cartouche exemplaire dans laquelle une mèche à double corne ou double alimentation 1562 est positionnée dans une structure de collecteur. La Figure 16B est une vue latérale en coupe en plan d’une structure de collecteur exemplaire dans laquelle une mèche 1562 peut être logée. La Figure 16C propose une vue en perspective exemplaire de la cartouche, selon une ou plusieurs mises en œuvre. Comme représenté, une première extrémité de la mèche 1562 peut avoir deux alimentations, cornes ou extrémités à bride pour mettre au moins partiellement en prise deux ouvertures de mèche ou plus dans une séparation 1513 de sorte qu’au moins l’une des extrémités à bride met en prise de manière tangen- tielle, par exemple, un volume dans la chambre de stockage 1542, ou par exemple s'étend au moins partiellement dans le volume dans la chambre de stockage 1542. Selon une ou plusieurs mises en œuvre, la cartouche 1500 peut com- prendre un réservoir avec une chambre de stockage 1542 pour stocker le matériau vaporisable 1302. Un volume secondaire 1510 séparable de la chambre de stockage 1542 peut également être formé à l’intérieur de la cartouche 1500. Le volume secondaire 1510 peut être en communication avec la chambre de stockage 1542 via une ou plusieurs alimentations de mèche 1590. Le volume secondaire 1510 peut être configuré pour loger au moins une mèche 1562. La mèche 1562 peut être configurée pour ab- sorber le matériau vaporisable 1302 se déplaçant à travers l’alimentation de mèche 1590 de sorte que, en interaction thermique avec un atomiseur, le matériau vaporisable 1302 est absorbé dans la mèche 1562 et est con- verti en au moins l’un parmi la vapeur ou un aérosol. La mèche 1562 peut être au moins partiellement confinée par un ou plu- sieurs éléments chauffants d’un atomiseur positionné dans le volume se- condaire 1510. Une séparation 1513 pour séparer au moins partiellement la chambre de stockage 1542 du volume secondaire 1510 peut être prévue de sorte que l’écoulement du matériau vaporisable 1302 à travers les ali- mentations de mèche 1590 est contrôlable. Au moins une première partie de l’alimentation de mèche 1590 peut être formée par au moins une ou plusieurs ouvertures dans la séparation 1513. Au moins une seconde partie de l’alimentation de mèche 1590 peut com- prendre une voie de passage de matériau vaporisable raccordant les une ou plusieurs ouvertures dans la séparation 1513 au volume secondaire
1510. Une voie de passage d’écoulement d'air 1538 peut être prévue pour raccorder le volume secondaire 1510 à un embout buccal de sorte que le matériau vaporisable 1302, qui a été converti en vapeur, sort du volume secondaire 1510 vers l’embout buccal par la voie de passage d’écoule- ment d'air 1538. En référence aux Figures 16A, 16B, 16C, 17A et 17B, on propose une vue en perspective d’un premier côté d’une cartouche et une vue en coupe d’un second côté de la cartouche ayant une mèche 1562 qui fait saillie dans la chambre de stockage 1542. La mèche 1562 peut comprendre au moins une première extrémité 1592 et une seconde extrémité 1594, la pre- mière extrémité 1592 étant à proximité de la séparation 1513 et la seconde extrémité s'étendant de manière distale dans une direction opposée à la première extrémité 1592. Une première extrémité 1592 de la mèche peut faire au moins partielle- ment saillie à travers une ouverture de mèche dans la séparation 1530 pour s’étendre au moins partiellement dans un volume dans la chambre de stockage 1542. Dans un aspect, la première extrémité 1592 de la mèche 1562 peut au moins partiellement faire saillie à travers une ouver- ture de mèche dans la séparation 1530 pour mettre en prise au moins de manière tangentielle un volume dans la chambre de stockage 1542. La Figure 26A illustre des vues en perspective, de face, latérale, de des- sous et de dessus d’un mode de réalisation exemplaire d’un collecteur 1313 avec une porte en forme de V 1102. Comme représenté sur les Fi- gures 25 et 26, le collecteur 1313 peut être monté à l’intérieur d’une cavité creuse dans la cartouche 1320 conjointement avec les composants sup- plémentaires (par exemple, l’élément de mèche 1362, élément chauffant 1350 et le logement de mèche 1315). L'élément de mèche 1362 peut être positionné entre une seconde extrémité du collecteur 1313 avec l’élément chauffant 1350 enroulé autour de l’élément de mèche 1362. Pendant l’as- semblage, le collecteur 1313, l'élément de mèche 1362 et l’élément chauf- fant 1350 peuvent être montés ensemble et recouverts par le logement de mèche 1315 avant d’être inséré dans la cavité à l’intérieur de la cartouche
1320. Le logement de mèche 1315 peut être inséré conjointement avec les autres composants mentionnés dans une extrémité de la cartouche 1320 qui est opposée à l’'embout buccal pour maintenir les composants à l’inté- rieur d’une manière étanche à la pression ou ajusté par pression. Le joint d'étanchéité ou l’ajustement du logement de mèche 1315 et du collecteur
1313 à l’intérieur des parois internes du manchon de réception de la car- touche 1320 est suffisamment étanche, de manière souhaitable, pour em- pêcher les fuites de matériau vaporisable 1302 maintenu dans le réservoir de la cartouche 1320. Dans certains modes de réalisation, le joint d'étan- chéité à la pression entre le logement de mèche 1315 et le collecteur 1313 et les parois internes du manchon de réception de la cartouche 1320 est suffisamment étanche pour empêcher le démontage manuel des compo- sants à mains nues.
En référence aux Figures 10C, 10D, 11B, 26B et 26C, dans certaines va- riantes, un collecteur 1313 peut être configuré pour être reçu par insertion par une extrémité de réception d’une chambre de stockage 1342. Comme représenté sur les Figures 26B et 26C, l'extrémité du collecteur 1313 qui est opposée à l’extrémité qui est reçue par la chambre de stockage 1342 peut être configurée pour recevoir un élément de mèche 1362. Par exemple, des saillies en forme de fourche 1108 peuvent être formées pour recevoir, solidement, l’élément de mèche 1362. Un logement de mèche 1315, comme représenté sur les vues en coupe vers le fond des Figures 26B et 26C, peut être utilisé pour fixer en outre l'élément de mèche 1362 dans une position fixe entre les saillies en forme de fourche 1108. Cette configuration peut également aider à empêcher le gonflement sensible et l’affaiblissement l’élément de mèche 1362 en raison de la saturation ex- cessive.
En référence à la Figure 26B, dans un mode de réalisation, un élément de mèche 1362 peut être contraint ou comprimé dans certains emplacements le long de sa longueur (par exemple, vers les extrémités distales longitudi- nales de l’élément de mèche 1362 positionné directement sous les alimen- tations de mèche 1368) au moyen de nervures de compression 1110 pour aider à empêcher les fuites, par exemple, en maintenant une plus grande zone de saturation du matériau vaporisable 1302 vers les extrémités de l'élément de mèche 1362, de sorte que la partie centrale de l’élément de mèche 1362 reste plus sèche et soit moins encline aux fuites.
En outre,
l’utilisation des nervures de compression 1110 peut en outre comprimer l'élément de mèche 1362 dans le logement d’atomiseur pour empêcher les fuites dans l’atomiseur.
En référence aux Figures 26D à 26F, on illustre des vues en plan de des- sus de mécanismes d'alimentation de mèche exemplaires formés par ou structurés à travers le collecteur 1313, selon une ou plusieurs mises en œuvre.
Comme représenté sur la Figure 26D, au moins une trajectoire d'alimentation de mèche 1368 dans le collecteur 1313 peut être formée comme un tube creux à diamètre en croix à plusieurs facettes.
Par exemple, la section transversale creuse de la trajectoire d'alimentation de mèche 1368 peut avoir la forme du signe plus (par exemple, une alimen- tation de mèche en forme de croix creuse si elle est observée depuis une vue en coupe de dessus), de sorte que les bras de la croix ont une largeur plus étroite par rapport au diamètre de la partie de croisement centrale de la croix à partir de laquelle les bras s'étendent.
En référence à la Figure 26E, un conduit ou tube avec un diamètre en forme de croix formé à travers une trajectoire d’alimentation de mèche 1368 peut venir à bout des problèmes d’obstruction parce qu’un tube avec un diamètre en forme de croix peut être considéré comme comprenant cinq trajectoires séparées (par exemple une trajectoire centrale formée au niveau du centre creux de la croix et quatre trajectoires supplémentaires formées dans les bras creux de la croix). Dans une telle mise en œuvre, un blocage dans le tube d'alimentation au moyen d’une bulle de gaz (par exemple une bulle d'air) est probablement formé au niveau de la partie centrale du tube en forme de croix, comme représenté sur la Figure 26E.
Un tel positionnement central de la bulle de gaz quitte finalement les tra- jectoires auxiliaires (c'est-à-dire les trajectoires qui traversent les bras du tube en forme de croix) qui restent ouvertes pour l’écoulement du matériau vaporisable 1302, même lorsque la trajectoire centrale est bloquée par la bulle de gaz.
En référence à la Figure 26F, d’autres mises en œuvre pour une structure de trajectoire d'alimentation de mèche 1368 qui sont possibles, peuvent réaliser le même objectif ou un objectif similaire à celui décrit ci-dessus par rapport au piégeage des bulles de gaz ou à l’évitement que les bulles de gaz piégées ne bouchent complètement la trajectoire d’alimentation de mèche 1368. Comme représenté dans illustration exemplaire de la Figure 26F, une ou plusieurs saillies en forme de goutte 1368a/1368b) (par exemple similaires du point de vue de la forme à un ou plusieurs mamelons séparés avec une trajectoire d'alimentation de mèche 1368 entre eux) peu- vent être formées à une extrémité de la trajectoire d’alimentation de mèche 1368 à travers laquelle le matériau vaporisable 1302 s'écoule de la chambre de stockage 1342 dans le collecteur 1313 pour aider à conduire le matériau vaporisable 1302 à travers la trajectoire d'alimentation de mèche 1368, si une bulle de gaz est piégée dans la région centrale de la trajectoire d’alimentation de mèche 1368. De cette manière, un écoule- ment raisonnablement contrôlable et compatible de matériau vaporisable 1302 peut être diffusé en continu vers la mèche, empêchant un scénario dans lequel la mèche est saturée de manière inadéquate avec le matériau vaporisable 1302. Modes de réalisation de l'élément chauffant En référence aux Figures 18A à 18D, la cartouche de vaporisateur 1800 peut également comprendre un élément chauffant 1850 (par exemple, un élément chauffant plat), comme mentionné ci-dessus.
L'élément chauffant 1850 comprend une première partie 1850A positionnée approximative- ment parallèlement aux voies de passage d'écoulement d'air 1838 et une seconde partie 1850B positionnée de manière approximativement perpen- diculaire aux voies de passage d'écoulement d'air 1838. Comme repré- senté, la première partie 1850A de l’élément chauffant 1850 peut être po- sitionnée entre les parties opposées d’un collecteur 1813. Lorsque l’élé- ment chauffant 1850 est activé, on assiste à une augmentation de tempé- rature due à l’écoulement de courant à travers l’élément chauffant 1850 pour générer de la chaleur, par exemple.
La chaleur peut être transférée à une certaine quantité de matériau vapo- risable 1302 par transfert de chaleur par conduction, convection et/ou rayonnement de sorte qu’au moins une partie du matériau vaporisable 1302 est vaporisée. Le transfert de chaleur peut avoir lieu pour le matériau vaporisable 1302 dans le réservoir, le matériau vaporisable 1302 aspiré du collecteur 1813 et/ou le matériau vaporisable 1302 aspiré dans une mèche retenue par l’élément chauffant 1850. L'air passant dans le dispositif vapo- risateur s'écoule le long d’une trajectoire d'air sur l'élément chauffant 1850, détachant le matériau vaporisable 1302 vaporisé de l'élément chauffant 1850 et/ou de la mèche. Le matériau vaporisable 1302 vaporisé peut être condensé en raison du refroidissement, des changements de pression, etc., de sorte qu’il sort de l'embout buccal 1830 par au moins l’une des voies de passage d’écoulement d'air 1838 sous forme d’aérosol pour l’in- halation par un utilisateur.
En référence aux Figures 19A à 19C, une cartouche de vaporisateur 1900 peut comprendre un élément chauffant 1950 plié et deux voies de passage d'écoulement d'air 1938. Comme mentionné ci-dessus, l’élément chauf- fant 1950 peut être serti autour d’une mèche 1962 ou préformé pour rece- voir la mèche 1962. L'élément chauffant 1950 peut comprendre une ou plusieurs dents 1950A. Les dents 1950A peuvent être positionnées dans une partie chauffante de l’élément chauffant 1950 et sont conçues de sorte que la résistance des dents 1950A correspond à la quantité appropriée de résistance pour influencer le chauffage localisé dans l’élément chauffant 1950 pour chauffer plus efficacement et plus effectivement le matériau va- porisable 1302 de la mèche 1962.
Les dents 1950A forment de fins segments ou traces de chauffage de tra- jectoire en série et/ou en parallèle pour fournir la quantité souhaitée de résistance. La géométrie particulière des dents 1950A peut être sélection- née de manière souhaitable pour produire une résistance localisée parti- culière pour chauffer l'élément chauffant 1950. Par exemple les dents 1950A peuvent comprendre une ou plusieurs différentes configurations et caractéristiques de dent décrites et abordées de manière plus détaillée ci- dessous.
Lorsque l’élément chauffant 1950 est activé, il en résulte une augmentation de température due à l'écoulement de courant à travers l’élément chauffant 1950 pour générer de la chaleur.
La chaleur est transférée à une certaine quantité de matériau vaporisable 1302 par transfert de chaleur par con- duction, convection et/ou rayonnement de sorte qu'au moins une partie du matériau vaporisable 1302 est vaporisée.
Le transfert de chaleur peut avoir lieu sur le matériau vaporisable 1302 dans le réservoir, le matériau vapo- risable 1302 aspiré du collecteur 1913 et/ou le matériau vaporisable 1302 aspiré dans la mèche 1962 retenue par l'élément chauffant 1950. Dans certaines mises en œuvre, le matériau vaporisable 1302 peut être vaporisé le long d’un ou de plusieurs bords des dents 1950A.
L’air passant dans le dispositif vaporisateur s'écoule le long de la trajec- toire d'air sur l'élément chauffant 1950, détachant le matériau vaporisable 1302 vaporisé de [élément chauffant 1950 et/ou la mèche 1962. Le maté- riau vaporisable 1302 vaporisé peut être condensé en raison du refroidis- sement, des changements de pression, etc., de sorte qu'il sorte de l’em- bout buccal par au moins l’une des voies de passage d’écoulement d'air 1938 sous forme d’aérosol pour l’inhalation par un utilisateur.
En référence aux Figures 20A à 20C, une cartouche de vaporisateur 2000 peut comprendre un élément chauffant 2050 plié et une seule voie de pas- sage d’écoulement d'air 2038 (par exemple centrale). Comme mentionné ci-dessus, l’élément chauffant 2050 peut être serti autour d’une mèche 2062 ou préformé pour recevoir la mèche 2062. L'élément chauffant 2050 peut comprendre une ou plusieurs dents 2050A.
Les dents 2050A peuvent être positionnées dans une partie chauffante de l’élément chauffant 2050 et sont conçues de sorte que la résistance des dents 2050A correspond à la quantité appropriée de résistance pour influencer le chauffage localisé dans l’élément chauffant 2050 pour chauffer plus efficacement et plus ef- fectivement le matériau vaporisable de la mèche 2062.
Les dents 2050A forment de fins segments ou traces de chauffage de tra- jectoire en série et/ou en parallèle pour fournir la quantité de résistance souhaitée.
La géométrie particulière des dents 2050A peut être sélection- née de manière souhaitable pour produire une résistance localisée parti- culière pour chauffer l’élément chauffant 2050. Par exemple, les dents 2050A peuvent comprendre une ou plusieurs de différentes configurations de dent décrites de manière plus détaillée ci-dessous.
Lorsque l’élément chauffant 2050 est activé, il en résulte une augmentation de température due au courant qui s'écoule à travers l’élément chauffant 2050 pour générer de la chaleur.
La chaleur est transférée à une certaine quantité de matériau vaporisable 1302 par le biais du transfert de chaleur par conduction, par convection et/ou par rayonnement de sorte qu'au moins une partie du matériau vaporisable 1302 est vaporisée.
Le transfert de chaleur peut se produire sur le matériau vaporisable 1302 dans le ré- servoir, le matériau vaporisable 1302 aspiré du collecteur 2013 et/ou le matériau vaporisable 1302 aspiré dans la mèche 2062 retenue par l’élé- ment chauffant 2050. Dans certaines mises en œuvre, le matériau vaporisable 1302 peut être vaporisé le long d’un ou de plusieurs bords des dents 2050A.
L'air passant dans le dispositif vaporisateur s'écoule le long de la trajectoire d'air sur l'élément chauffant 2050, détachant le matériau vaporisable 1302 vaporisé de l’élément chauffant 2050 et/ou de la mèche 2062. Le matériau vapori- sable 1302 vaporisé peut être condensé en raison du refroidissement, des changements de pression, etc, de sorte qu'il sort de l’'embout buccal par au moins l’une des voies de passage d’écoulement d'air sous la forme d’un aérosol pour l’inhalation par un utilisateur.
En référence aux Figures 10C, 11B et 21A, dans certains modes de réali- sation, le collecteur 1313 peut être configuré pour comprendre une nervure plate 2102 qui s'étend à l’extérieur au niveau du périmètre inférieur du col- lecteur 1313 pour créer une surface appropriée pour souder le collecteur 1313 aux parois internes de la chambre de stockage 1342, après que le collecteur 1313 a été inséré dans une cavité ou réceptacle de réception dans la chambre de stockage 1342. En fonction de la mise en œuvre, une option de soudure en plein périmètre ou soudure de pointage peut être utilisée pour fixer fermement le collecteur 1313 dans une cavité ou réceptacle de réception dans la chambre de stockage 1342. Dans certains modes de réalisation, un couplage étanche par friction et imperméable aux fuites peut être établi sans utiliser de tech- niques de soudage.
Dans certains modes de réalisation, on peut utiliser un matériau adhésif au lieu de ou en plus des techniques de couplage men- tionnées ci-dessus.
En référence aux Figures 11B et 21B, selon un ou plusieurs aspects, un profilé de cordon de soudure 2104 peut être façonné au périmètre des ner- vures en spirale du collecteur 1313 qui définissent un canal de trop-plein 1104, de sorte que le profilé de cordon de soudure 2104 peut supporter un procédé de moulage par injection à rotation rapide.
La géométrie du profilé de cordon de soudure 2104 peut être conçue de toute une variété de ma- nières de sorte que le collecteur 1313 peut être inséré dans une cavité ou réceptacle de réception dans la chambre de stockage 1342 d’une manière étanche par friction, où le matériau vaporisable 1302 peut s’écouler à tra- vers le canal de trop-plein 1104 sans aucune fuite le long du profilé de cordon de soudure 2104. En référence aux Figures 22A, 22B et 82 à 86, une cartouche de vapori- sateur 2200 peut comprendre l'élément chauffant plié, tel que l’élément chauffant 500 et deux voies de passage d’écoulement d'air 2238. Comme mentionné ci-dessus, l’élément chauffant 500 peut être serti autour d’une mèche 2262 ou préformé pour recevoir la mèche 2262. L'élément chauf- fant 500 peut comprendre une ou plusieurs dents 502. Les dents 502 peu- vent être positionnées dans une partie chauffante de l’élément chauffant 500 et sont conçues de sorte que la résistance des dents 502 correspond à la quantité appropriée de résistance pour influencer le chauffage localisé dans l’élément chauffant 500 pour chauffer plus efficacement et plus effec- tivement le matériau vaporisable 1302 de la mèche 2262. Les dents 502 forment de fins segments ou traces de chauffage de trajec- toire en série et/ou en parallèle pour fournir la quantité souhaitée de résis- tance.
La géométrie particulière des dents 502 peut être sélectionnée de manière souhaitable pour produire une résistance particulière localisée pour chauffer l’élément chauffant 500. Par exemple, les dents 502 et l’élé- ment chauffant 500 peuvent comprendre une ou plusieurs différentes con- figurations et caractéristiques de dent décrites de manière plus détaillée ci-dessous.
Dans certaines mises en œuvre, les dents 502 comprennent une partie de dent de plateforme 524 et des parties de dent latérales 526. La partie de dent de plateforme 524 est configurée pour être en contact avec une ex- trémité de la mèche 2262 et les parties de dent latérales 526 sont configu- rées pour être en contact avec les côtés opposés de la mèche 2262. La partie de dent de plateforme 524 et les parties de dent latérales 526 for- ment une poche qui est formée pour recevoir la mèche 2262 et/ou se con- former à la forme d’au moins une partie de la mèche 2262. La poche per- met à la mèche 2262 d'être fixée et retenue par l’élément chauffant 500 sans la poche.
Dans certaines mises en œuvre, les parties de dent latérales 526 et la partie de dent de plateforme 524 retiennent la mèche 2262 via la compres- sion.
La partie de dent de plateforme 524 et les parties de dent latérales 526 sont en contact avec la mèche 2262 pour fournir un contact multidi- mensionnel entre l'élément chauffant 500 et la mèche 2262. Le contact multidimensionnel entre l’élément chauffant 500 et la mèche 2262 fournit un transfert plus efficace et/ou plus rapide du matériau vaporisable 1302 du réservoir de la cartouche de vaporisateur à la partie chauffante (via la mèche 2262) pour être vaporisé.
L'élément chauffant 500 peut comprendre une ou plusieurs pattes 506 s’étendant à partir des dents 502, et les contacts de cartouche 124 formés au niveau de la partie d'extrémité et/ou faisant partie d’au moins l’une des une ou plusieurs pattes 506. L'élément chauffant 500 représenté sur les Figures 22A à 22B et 82 à 86 comprend quatre pattes 506 à titre d'exemple. Au moins l’une des pattes 506 peut comprendre et/ou définir l’un des con- tacts de cartouche 124 qui est configuré pour être en contact avec un con- tact correspondant des contacts de réceptacle 125 du vaporisateur. Dans certaines mises en œuvre, une paire de pattes 506 (et les contacts de car- touche 124) peut être en contact avec un seul des contacts de réceptacle
125.
Les pattes 506 peuvent être à ressort pour permettre aux pattes 506 de maintenir le contact avec les contacts de réceptacle 125. Les pattes 506 peuvent comprendre une partie qui est incurvée pour aider à maintenir le contact avec les contacts de réceptacle 125. Le fait de solliciter par ressort les pattes 506 et/ou la courbure des pattes 506 peut aider à augmenter et/ou à maintenir la pression constante entre les pattes 506 et les contacts de réceptacle 125. Dans certaines mises en œuvre, les pattes 506 sont couplées avec un support 176 pour aider à augmenter et/ou maintenir la pression constante entre les pattes 506 et les contacts de réceptacle 125. Le support 176 peut comprendre du plastique, du caoutchouc ou d’autres matériaux pour aider à maintenir le contact entre les pattes 506 et les con- tacts de réceptacle 125. Dans certaines mises en œuvre, le support 176 est formé comme faisant partie des pattes 506.
Les pattes 506 peuvent être en contact avec un ou plusieurs contacts d’es- suyage qui sont configurés pour nettoyer le raccordement entre les con- tacts de cartouche 124 et les autres contacts ou la source d'alimentation
112. Par exemple, les contacts d’essuyage comprennent au moins deux bossages parallèles mais décalés qui se mettent en prise par friction et coulissent l’un contre l’autre dans une direction qui est parallèle ou per- pendiculaire à la direction d'insertion.
Dans certaines mises en œuvre, les pattes 506 comprennent des parties de retenue 180 qui sont configurées pour être pliées autour d’au moins une partie d’un logement de mèche 178 qui entoure au moins une partie de la mèche 2262. Les parties de retenue 180 forment une extrémité des pattes 506. Les parties de retenue 180 aident à fixer l’élément chauffant 500 et la mèche 2262 sur le logement de mèche 178 (et sur la cartouche de vaporisateur). Lorsque l’élément chauffant 500 est activé, il en résulte une augmentation de température due au courant qui s'écoule à travers l’élément chauffant 500 pour générer de la chaleur. La chaleur est transférée à une certaine quantité de matériau vaporisable 1302 par le biais de transfert de chaleur par conduction, par convection et/ou par rayonnement de sorte qu'au moins une partie du matériau vaporisable 1302 est vaporisée. Le transfert de chaleur peut avoir lieu sur le matériau vaporisable 1302 dans le réser- voir, le matériau vaporisable 1302 aspiré du collecteur 2213 et/ou le maté- riau vaporisable 1302 aspiré dans la mèche 2262 retenue par élément chauffant 500.
Dans certaines mises en œuvre, le matériau vaporisable 1302 peut être vaporisé le long d’un ou de plusieurs bords des dents 502. L'air passant dans le dispositif vaporisateur s'écoule le long de la trajectoire d’air sur l'élément chauffant 500, détachant le matériau vaporisable 1302 vaporisé de l’élément chauffant 500 et/ou de la mèche 2262. Le matériau vapori- sable 1302 vaporisé peut être condensé en raison du refroidissement, des changements de pression, etc, de sorte qu'il sort de l’'embout buccal par au moins l’une des voies de passage d’écoulement d'air 2238 sous la forme d’un aérosol pour l’inhalation par un utilisateur.
La Figure 23 illustre une vue en coupe du logement de mèche 178, com- patible avec les mises en œuvre de la présente invention. Le logement de mèche 178 peut comprendre une nervure de support de mèche 2296 qui s’étend d’une coque externe du logement de mèche 178 vers la mèche 2262 lorsqu’elle est assemblée. La nervure de support de mèche 2296 aide à empêcher la déformation de la mèche 2262 pendant l’assemblage. La Figure 24 illustre un exemple du logement de mèche 178 comprenant une puce d'identification 2295. La puce d'identification 2295 peut être re- tenue au moins en partie par le logement de mèche 178. La puce d'identi- fication 2295 peut être configurée pour communiquer avec un lecteur de puce correspondant situé sur le vaporisateur.
La Figure 25 illustre des vues en perspective, de face, latérale et en éclaté d’un mode de réalisation exemplaire d’une cartouche 1320 avec des com- posants montés par pression. Comme représenté, la cartouche 1320 peut comprendre une combinaison d’embout buccal — réservoir formée sous la forme d’un manchon avec une voie de passage d'écoulement d'air 1338 définie à travers le manchon. Une zone dans la cartouche 1320 loge le collecteur 1313, l'élément de mèche 1362, l’élément chauffant 1350 et le logement de mèche 1315. Une ouverture au niveau d’une première extré- mité du collecteur 1313 mène à la voie de passage d'écoulement d'air 1338 dans l’embout buccal et fournit une voie pour le matériau vaporisable 1302 vaporisé pour qu’il se déplace de la zone d’élément chauffant 1350 à Pembout buccal à partir duquel un utilisateur inhale. Modes de réalisation de l’évent fluidique supplémentaire et/ou en variante En référence aux Figures 27A à 27B, on illustre des vues en gros plan en plan de face de mécanismes de gestion d'écoulement exemplaires dans la structure de collecteur 1313. Similaire à la discussion du mécanisme de gestion d’écoulement en référence aux Figures 11M et 11N, les méca- nismes d’évent de gestion d’écoulement 2701 ou 2702 peuvent être mis en œuvre sous différentes formes dans différents modes de réalisation. Dans l'exemple de la Figure 27A, les voies de passage ou le canal de trop- plein 1104 dans le collecteur 1313 peuvent être raccordés à la chambre de stockage au moyen d'un évent fluidique 2701, par exemple, de sorte que l’évent 2701 comprend au moins deux ouvertures qui sont raccordées à la chambre de stockage de la cartouche.
Comme proposé précédemment, un joint d'étanchéité au liquide peut être maintenu au niveau de l’évent 2701 indépendamment du positionnement de la cartouche. D’un côté, une trajectoire d’évent peut être maintenue entre le canal de trop-plein et l’évent 2701. D'un autre côté, les canaux à entraînement élevé peuvent être mis en œuvre pour encourager le pince- ment afin de maintenir un joint d'étanchéité au liquide.
La Figure 27B illustre une structure d’évent 2702 en variante avec trois ouvertures qui sont raccordées à la chambre de stockage de la cartouche avec une trajectoire de pincement qui empêche la rupture du joint d'étan- chéité au liquide entre l’évent 2701 et la chambre de stockage.
La Figure 28 illustre une photo lorsque l’écoulement du matériau vapori- sable collecté dans le collecteur exemplaire des Figures 27A ou 27B est géré pour accepter la bonne ventilation dans la chambre de stockage de cartouche, selon une mise en œuvre.
Comme représenté, la construction d’évent 2701 sur la Figure 27A peut se distinguer de la construction d’évent 2702 sur la Figure 27B, en ce que la dernière construction d’évent 2702 fournit une zone ouverte d’un côté, au lieu de la structure de paroi repré- sentée sur la Figure 27A.
Cette mise en œuvre plus ouverte fournit une interaction microfluidique améliorée entre le matériau vaporisable 1302 et le côté ouvert de l’évent 2702. En référence aux Figures 29A à 29C, on illustre des vues en perspective, de face et latérale d’un mode de réalisation exemplaire d’une cartouche.
La cartouche, telle que représentée, peut être assemblée à partir d’une pluralité de composants comprenant un collecteur, un élément chauffant, et un logement de mèche pour maintenir les composants de cartouche en place lorsque les composants sont insérés dans un corps d’une cartouche.
Dans un mode de réalisation, une soudure au laser peut être mise en œuvre au niveau d’une jonction circonférentielle positionnée approximati- vement au point auquel une extrémité de la structure de collecteur ren- contre le logement de mèche.
Une soudure au laser empêche l’écoule- ment du matériau vaporisable liquide 1302 à partir du collecteur dans la chambre chauffante où l’atomiseur est placé.
En référence aux Figures 30A à 30F, on illustre des vues en perspective d'une cartouche exemplaire à différentes capacités de remplissage.
Comme mentionné précédemment, la taille volumétrique du volume de trop-plein peut être configurée pour être égale à, approximativement égale à ou supérieure à la quantité d'augmentation du volume du contenu, con- tenu dans la chambre de stockage.
Lorsque le volume du contenu dans la chambre de stockage se dilate en raison d’un ou de plusieurs facteurs en- vironnementaux, si le volume du contenu, contenu dans la chambre de stockage est X, lorsque la pression à l’intérieur de la chambre de stockage augmente à Y, alors Z quantités de matériau vaporisable 1302 peuvent être déplacées de la chambre de stockage dans le volume de trop-plein.
Ainsi, dans un ou plusieurs modes de réalisation, le volume de trop-plein est configuré pour être au moins assez grand pour contenir Z quantités de matériau vaporisable 1302. La Figure 30A illustre une vue en perspective d’un corps de cartouche exemplaire ayant un réservoir qui, lorsqu'il est rempli, loge le stockage d’un volume d’approximativement 1,20 ml de matériau vaporisable 1302, par exemple.
La Figure 30B illustre une vue en perspective d’une cartouche exemplaire complètement assemblée, dans laquelle la chambre de stock- age et les voies de passage de trop-plein de collecteur logent un volume combiné d’approximativement 1,20 ml de matériau vaporisable 1302 lors- que les deux sont remplis, par exemple.
La Figure 30C illustre une vue en perspective d’une cartouche exemplaire complètement assemblée lorsque la voie de passage de trop—plein de collecteur est remplie avec un volume approximatif de 0,173 ml, par exemple.
La Figure 30D illustre une vue en perspective d’une cartouche exemplaire complètement assemblée lorsque la chambre de stockage est remplie à un volume approximatif de 0,934 ml, par exemple.
La Figure 30E illustre une vue en perspective d’une car- touche exemplaire complètement assemblée avec des canaux d’alimenta- tion de mèche et une voie de passage d’écoulement d'air dans l’embout buccal représenté sur une vue en coupe, les canaux d’alimentation de mèche ayant un volume d’approximativement 0,094 ml, par exemple.
La Figure 30F illustre une vue en perspective d’une cartouche exemplaire complètement assemblée avec un canal d'air de trop-plein incorporé dans une partie du collecteur vers la nervure inférieure, le canal d’air d’écoule- ment d'air ayant un volume approximatif de 0,043 ml, par exemple.
Les Figures 31A à 31C illustrent des vues de face d’une cartouche exem- plaire, selon un mode de réalisation, dans lequel une application de rem- plissage à deux aiguilles est mise en œuvre pour remplir le réservoir de la cartouche (Figure 31A) avant que le collecteur et un bouchon de fermeture ne soient insérés dans le corps de la cartouche (Figure 31B) afin de former une cartouche complètement assemblée (Figure 31C). Les Figures 34A et 34B illustrent des vues de face et latérale d’un corps de cartouche exemplaire avec une trajectoire d’écoulement d'air externe.
Dans certains modes de réalisation, une ou plusieurs portes, également désignées sous le terme de trous d’entrée d'air, peuvent être prévues sur le corps de vaporisateur 110. Les trous d’entrée peuvent être positionnés à l’intérieur d’un canal d'entrée d'air avec une largeur, une hauteur et une profondeur, qui est dimensionné pour empêcher l’utilisateur de bloquer de manière involontaire les trous d’entrée d’air individuels, lorsque l'utilisateur tient le vaporisateur 100. Dans un aspect, la construction de canal d'entrée d'air peut être suffisamment longue afin de ne pas bloquer ni limiter signi- ficativement l'écoulement d'air à travers le canal d’entrée d'air, lorsque par exemple les doigts d’un utilisateur bloquent une zone du canal d’entrée d'air.
Dans certaines configurations, la construction géométrique du canal d’en- tree d'air peut fournir au moins l’une parmi une longueur minimum, une profondeur minium ou une largeur minimum, par exemple pour garantir qu’un utilisateur ne puisse pas recouvrir ou bloquer complètement les trous d'entrée d'air dans le canal d’entrée d’air avec une main ou une autre partie du corps.
Par exemple, la longueur du canal d’entrée d’air peut être plus longue que la largeur d’un doigt humain moyen et la largeur et la profon- deur du canal d’entrée d’air peuvent être telles que lorsque le doigt d’un utilisateur est comprimé sur le dessus du canal, les plis de peau créés ne s’interfacent pas avec les trous d’entrée d'air à l’intérieur du canal d’entrée d'air.
Le canal d'entrée d'air peut être construit ou formé comme ayant des bords arrondis ou formés pour s’enrouler autour d’un ou de plusieurs coins ou zones du corps de vaporisateur 110, de sorte que le canal d'entrée d'air ne peut pas facilement être recouvert par le doigt ou une partie de corps d’un utilisateur.
Dans certains modes de réalisation, un couvercle facultatif peut être prévu pour protéger le canal d'entrée d'air de sorte que le doigt d’un utilisateur ne pas bloquer, ni complètement limiter l'écoulement d'air dans le canal d'entrée d'air.
Dans un exemple de mise en œuvre, le canal d'en- tree d'air peut être formé au niveau de l’interface entre la cartouche de vaporisateur 120 et le corps de vaporisateur 110 (par exemple au niveau de la zone de réceptacle — voir la Figure 1). Dans une telle mise en œuvre, le canal d'entrée d'air peut être protégé du blocage dû au fait que le canal d'entrée d'air est formé à l’intérieur de la zone de réceptacle.
Cette mise en œuvre peut également permettre une configuration dans laquelle le ca- nal d'entrée d'air est dissimulé de la vue.
Les Figures 32A à 32C illustrent des vues de face, de dessus et de des- sous d'un corps de cartouche exemplaire, respectivement, avec un collec- teur de condensat 3201 incorporé à l'intérieur de la trajectoire d'air.
En référence à la Figure 33A, l'air ou la vapeur peut s’écouler dans une trajectoire d’écoulement d'air dans la cartouche.
La trajectoire d’écoule- ment d'air peut s'étendre longitudinalement à partir d’un orifice ou ouver- ture dans l’embout buccal, à l’intérieur le long du corps de la cartouche de sorte que le matériau vaporisable 1302 inhalé par l’'embout buccal passe par un collecteur de condensat 3201. Comme représenté sur la Figure 33B, en plus du collecteur de condensat 3201, des canaux de recyclage de con- densat 3204 (par exemple, des canaux microfluidiques) peuvent être for- mes pour se déplacer à partir de l'ouverture dans l’embout buccal jusqu’à la mèche, par exemple.
Le collecteur de condensat 3201 agit sur le matériau vaporisable 1302 va- porisé qui est refroidi et transformé en gouttes dans l’embout buccal pour collecter et acheminer les gouttes de condensat vers les canaux de recy- clage de condensat 3204. Les canaux de recyclage de condensat 3204 collectent et ramènent le condensat et les grosses gouttes de vapeur à la mèche, et empêchent le matériau vaporisable liquide formé dans l’embout buccal d’être déposé dans la bouche de l’utilisateur, pendant la bouffée de l'utilisateur ou l’inhalation par l’'embout buccal.
Les canaux de recyclage de condensat 3204 peuvent être mis en œuvre sous la forme de canaux mi- crofluidiques pour piéger les condensats de goutte de liquide et éliminer ainsi l’inhalation directe du matériau vaporisable, sous forme liquide, et éviter une sensation ou goût indésirable dans la bouche de l'utilisateur.
Des modes de réalisation supplémentaires et/ou en variante des canaux de recyclage de condensat, et/ou une ou plusieurs autres caractéristiques pour contrôler, collecter et/ou recycler le condensat dans un dispositif va- porisateur sont décrits et représentés par rapport aux Figures 117 à 119C.
Les canaux de recyclage de condensat (et/ou les une ou plusieurs autres caractéristiques décrites et représentées par rapport aux Figures 117 à 119C) peuvent seuls ou en combinaison avec une ou plusieurs caractéris- tiques de la cartouche de vaporisateur, aider à contrôler, collecter et/ou recycler le condensat dans un dispositif vaporisateur.
En référence aux Figures 35 et 36, on illustre des vues en perspective d’une partie d’une cartouche exemplaire où la structure de collecteur 1313 comprend un entrefer 3501 au niveau de la nervure inférieure de la struc- ture de collecteur.
Le positionnement de l’entrefer 3501 peut coïncider avec l'emplacement où Vorifice d’échange d'air est positionné dans la structure de collecteur 1313. Comme proposé précédemment, la structure de collecteur 1313 peut être configurée pour avoir une ouverture centrale à travers laquelle un canal d'écoulement d'air menant à l’embout buccal est mis en œuvre.
Le canal d'écoulement d'air peut être raccordé à l’orifice d'échange d'air, de sorte que le volume à l’intérieur de la voie de passage de trop-plein du collecteur 1313 est raccordé à l’air ambiant via l’orifice d'échange d'air et également raccordé au volume dans la chambre de stockage via un évent.
Selon un ou plusieurs modes de réalisation, l’'évent peut être utilisé en tant que valve de régulation pour réguler principalement l’écoulement de li- quide entre la voie de passage de trop-plein et la chambre de stockage.
L’orifice d'échange d'air peut être utilisé pour réguler principalement l'écoulement d'air entre la voie de passage de trop-plein et une trajectoire d'air menant à l’embout buccal, par exemple.
La combinaison des interac- tions entre l’évent, les canaux de collecteur de la voie de passage de trop- plein et l’orifice d’échange d'air fournissent une bonne saturation de mèche et une bonne ventilation des bulles d’air qui peuvent être introduites dans la cartouche en raison des différents facteurs environnementaux ainsi que l'écoulement régulé de matériau vaporisable 1302 à l'intérieur et à l’exté- rieur des canaux de collecteur.
La présence d’un entrefer 3501 au niveau des orifices d'échange d’air permet un procédé de ventilation plus robuste étant donné qu’il empêche le matériau vaporisable liquide 1302 stocké dans le collecteur de s'infiltrer dans la zone de logement de mèche.
Les Figures 37A à 37C illustrent des vues de dessus de différentes formes et configurations d’alimentation de mèche exemplaires pour une cartouche selon un ou plusieurs modes de réalisation.
Comme représenté, la Figure 37A illustre une section transversale d’alimentation de mèche en forme de croix selon un mode de réalisation exemplaire.
La Figure 37B illustre une alimentation de mèche avec une section transversale approximativement rectangulaire.
La Figure 37C illustre une alimentation de mèche avec une section transversale approximativement carrée.
Comme proposé précé- demment, en fonction de la mise en œuvre, une ou plusieurs alimentations de mèche 3701 peuvent être construites comme des conduits, des canaux, des tubes ou des cavités qui se déplacent à travers la structure de collec- teur 1313 sous la forme de trajectoires qui alimentent la mèche avec le matériau vaporisable 1302 stocké dans la chambre de stockage. Dans cer- taines configurations, les alimentations de mèche 3701 peuvent s'étendre de manière approximativement parallèle au canal central 3700 dans le col- lecteur 1313.
En fonction de la mise en œuvre, une trajectoire d’alimentation de mèche peut être formée pour être tubulaire, par exemple, avec une forme de sec- tion transversale sensiblement rectangulaire ou carrée, comme représenté sur les Figures 37B et 37C. Un conduit ou tube de forme transversale à largeur variable formé à travers une trajectoire d’alimentation de mèche peut venir à bout des problèmes d’obstruction, si ces formes fournissent une configuration à plusieurs trajectoires qui permet au matériau vapori- sable 1302 de se déplacer à travers l’alimentation de mèche même si une bulle d'air est formée dans une certaine zone de l'alimentation de mèche. Dans de telles mises en œuvre, un blocage dans le tube d'alimentation de mèche est probablement formé au niveau d’une partie du tube d’alimenta- tion de mèche, laissant les trajectoires auxiliaires (par exemple les trajec- toires en variante) ouvertes pour l’écoulement.
Selon un ou plusieurs aspects, les trajectoires d’alimentation de mèche peuvent être suffisamment larges pour permettre le libre déplacement du matériau vaporisable 1302 à travers les trajectoires d'alimentation et vers la mèche. Dans certains modes de réalisation, l'écoulement à travers l’ali- mentation de mèche peut être amélioré ou logé en concevant le diamètre relatif de certaines parties de l'alimentation de mèche pour renforcer la traction ou pression capillaire sur le matériau vaporisable 1302 qui se dé- place à travers la trajectoire d'alimentation de mèche. En d’autres termes, en fonction de la forme et d'autres facteurs structurels ou matériels, cer- taines trajectoires d’alimentation de mèche peuvent compter sur les forces de gravitation ou capillaires pour induire le mouvement du matériau vapo- risable 1302 vers la partie de logement de mèche.
Les Figures 37D et 37E illustrent des modes de réalisation exemplaires d’un collecteur 1313 avec une mise en œuvre de double alimentation de mèche 3701. Au moins l’une des alimentations de mèche 3701 peut être formée pour comprendre une paroi intérieure partielle.
La paroi intérieure partielle peut être configurée pour partager le volume de l’intérieur d’une alimentation de mèche 3701 en deux volumes séparés (c'est-à-dire des ventricules) comme illustré sur les vues en perspective en coupe des Fi- gures 37D et 37E.
La mise en œuvre de paroi partielle permet au matériau vaporisable liquide 1302 de s’écouler facilement du réservoir vers la zone de logement de mèche afin de saturer la mèche.
Dans certaines mises en œuvre, la paroi partielle dans une seule alimen- tation de mèche forme essentiellement deux ventricules dans l’unique ali- mentation de mèche.
Les ventricules dans l’alimentation de mèche peu- vent être disjoints au moyen de la paroi partielle et être utilisés séparément pour permettre au matériau vaporisable 1302 de s’écouler vers le loge- ment de mèche.
Dans de tels modes de réalisation, si une bulle de gaz est délogée dans l’un des ventricules dans l’alimentation de mèche, l’autre ventricule peut rester ouvert.
Un ventricule peut être volumétriquement grand pour fournir un écoulement suffisant de matériau vaporisable 1302 vers la mèche pour la saturation adéquate.
Par conséquent, dans des modes de réalisation dans lesquels on utilise deux alimentations de mèche 3701, effectivement quatre ventricules peu- vent être disponibles pour transporter l'écoulement du matériau vapori- sable 1302 vers la mèche.
Ainsi, dans le cas de la formation de bulles de gaz dans un, deux ou même trois ventricules, au moins un quatrième ven- tricule est utilisable pour diriger l'écoulement du matériau vaporisable 1302 vers la mèche, réduisant les chances de déshydratation de la mèche.
En référence à la Figure 38, une vue en gros plan d’une extrémité de l’ali- mentation de mèche qui est positionnée à proximité de la mèche (par exemple à l’extrémité configurée pour recevoir au moins partiellement la mèche) où facultativement au moins une partie de la mèche est prise en sandwich entre deux dents ou plus s'étendant à partir de l’extrémité de l’alimentation de mèche.
La Figure 39 illustre une vue en perspective d’une structure de collecteur exemplaire ayant une alimentation de mèche à conception carrée en com- binaison avec un entrefer au niveau d’une extrémité de la voie de passage de trop-plein.
En référence aux Figures 40A à 40E, on illustre respectivement des vues arrière, latérale, de face et de dessous d’une structure de collecteur exem- plaire. La Figure 40A illustre une vue arrière de la structure de collecteur avec quatre sites d’éjection distincts, par exemple. La Figure 40B illustre une vue latérale de la structure de collecteur représentant en particulier une partie d’extrémité en forme de pince 4002 d’une alimentation de mèche qui peut fermement maintenir la mèche dans la trajectoire de l’ali- mentation de mèche, par exemple. Comme représenté sur la Figure 40C, la partie du corps de cartouche qui s'étend intérieurement vers le corps de cartouche depuis l’embout buccal, peut être reçue à travers un canal cen- tral 3700 dans la structure de collecteur formant une voie de passage des voies respiratoires pour que le matériau vaporisable 1302 vaporisé s’échappe de l’atomiseur vers l’embout buccal.
La Figure 40C illustre une vue de dessus de la structure de collecteur avec des canaux d’alimentation de mèche 4001 pour recevoir le matériau vapo- risable de la chambre de stockage de la cartouche et menant le matériau vaporisable vers la mèche qui est maintenue en position à l’extrémité des canaux d'alimentation de mèche 4001 par les extrémités en saillie des ca- naux d'alimentation de mèche 4001 formant la partie d’extrémité en forme de pince 4002.
La Figure 40D illustre une vue en plan de face des structures de collecteur. Comme représenté, une cavité d’entrefer peut être formée au niveau de la partie inférieure de la structure de collecteur à l’extrémité d’une nervure inférieure de la structure de collecteur où la voie de passage de trop-plein du collecteur mène à un évent de régulation d’air 3902 en communication avec l'air ambiant. La partie du corps de cartouche qui s'étend à partir de l’'embout buccal peut être reçue à travers le canal central 3700 dans la structure de collecteur formant une voie de passage des voies respira- toires pour que le matériau vaporisable 1302 vaporisé s'échappe de l’ato- miseur vers l’embout buccal.
La Figure 40E illustre une vue de dessous de la structure de collecteur 1313 où deux canaux d’alimentation de mèche se terminent par deux par- ties d’extrémité en forme de pince 4002 configurées pour maintenir la pince en position au niveau de l'extrémité inférieure du collecteur 1313. Comme représenté, facultativement, un rebord segmenté, une bride ou une lèvre 4003 peut être formé(e) sur la surface de l’extrémité inférieure du collec- teur 1313, où le collecteur 1313 se raccorde à la partie supérieure du bou- chon 760 au moment de l’assemblage.
La lèvre 4003 fournit une mise en prise étanche à la pression entre la partie supérieure du bouchon 760 et la partie inférieure du collecteur 1313, fonctionnant d’une manière similaire à un joint torique flexible, de sorte que le bon joint d'étanchéité puisse être établi pendant l’assemblage.
Dans un mode de réalisation, l’extrémité in- férieure du collecteur 1313 peut être soudée au laser sur la partie supé- rieure du bouchon 760. Les Figures 41A et 41B illustrent des vues de dessus et latérale en plan d’un mode de réalisation en variante de la structure de collecteur ayant deux parmi la partie d'extrémité en forme de pince 4002 et deux alimenta- tions de mèche correspondantes.
Comme représenté, ce mode de réali- sation en variante est plus court en hauteur par rapport au mode de réali- sation illustré sur la Figure 40A.
Cette hauteur réduite fournit la fonction- nalité améliorée en changeant structurellement la forme du collecteur 1313 et la longueur de la voie de passage dans le collecteur 1313 dans lequel le matériau vaporisable 1302 s'écoule.
Ainsi, en fonction de la mise en œuvre, la longueur du matériau vaporisable 1302, la voie de passage à travers le collecteur 1313 peut être plus courte dans certains modes de réalisation pour fournir une pression capillaire plus efficace et une meil- leure gestion de l'écoulement du matériau vaporisable 1302 dans la voie de passage du collecteur 1313.
Les Figures 42A et 42B illustrent différentes vues en perspective, de des- sus, de dessous et latérale d’un collecteur 1313 exemplaire avec diffé- rentes mises en œuvre structurelles.
Par exemple, le mode de réalisation représenté sur la Figure 42A comprend des points de constriction qui com- prennent des parois en forme de C positionnées verticalement.
En con- traste, dans le mode de réalisation représenté sur la Figure 42B, les parois en forme de C sont positionnées en diagonale pour favoriser l'écoulement plus contrôlé du matériau vaporisable 1302 le long de la voie de passage de collecteur 1313. Comme représenté dans le mode de réalisation exem- plaire de la Figure 42B, les parois en forme de C sont positionnées en diagonale par rapport à la lame inférieure du collecteur, et positionnées verticalement par rapport aux parties de lame dans le collecteur qui s’incli- nent vers le bas.
Comme mentionné précédemment, le débit à l’intérieur et à l'extérieur du collecteur 1313 est régulé en manipulant le diamètre hydraulique du canal de trop-plein 1104 dans le collecteur 1313 par l'introduction d’un ou de plusieurs points de constriction, qui réduisent efficacement le volume glo- bal du canal de trop-plein 1104. Comme représenté, l'introduction de plu- sieurs points de constriction dans le canal de trop-plein 1104 divise le ca- nal de trop-plein en plusieurs segments dans lesquels le matériau vapori- sable 1302 peut s’écouler dans une première ou une seconde direction, par exemple vers ou à distance de l’évent de régulation d’air 3902, respec- tivement.
L'introduction des points de constriction aide à établir et à contrôler l’état de pression capillaire dans le canal de trop-plein 1104 de sorte que l’écou- lement hydraulique du matériau vaporisable 1302 vers l’'évent de régula- tion d’air 3902 est minimisé dans un état de pression lorsque la pression dans le réservoir de cartouche est égale ou inférieure à l’air ambiant.
Dans un état de pression dans lequel la pression dans le réservoir est inférieure à la pression ambiante (par exemple, au-delà d’un premier seuil), les points de constriction sont configurés pour contrôler la pression capillaire ou l’écoulement hydraulique du matériau vaporisable 1302 dans le canal de trop-plein 1104 de sorte que l'air ambiant peut entrer dans le canal de trop-plein 1104 à travers l’évent de régulation d’air 3904 et monte vers la porte fluidique contrôlée 1102 dans le réservoir pour ventiler (c'est-à-dire établir un état de pression d’équilibre dans) la cartouche.
Dans certains modes de réalisation ou scénarios, le procédé de ventilation mentionné ci-dessus peut ne pas impliquer ou nécessiter l’entrée d'air am- biant dans l’évent de régulation d'air 3904. Dans certains scénarios exem- plaires, au lieu ou en plus de l’air qui pénètre dans l’évent de régulation d'air 3904, des bulles d’air ou des gaz piégés à l’intérieur du canal de trop— plein 1104 peuvent monter vers la porte fluidique contrôlée 1102 pour aider à établir un état de pression d’équilibre dans la cartouche en ventilant le réservoir lorsque les bulles d’air sont introduites dans le réservoir à partir du canal de trop-plein 1104 par la porte fluidique contrôlée 1102, comme proposé de manière plus détaillée en référence aux Figures 11M et 11N, par exemple.
La conception des points de constriction et des parois en forme de C dans la trajectoire du canal de trop-plein 1104, comme repré- senté sur les Figures 42A et 42B, favorise un écoulement plus régulé du matériau vaporisable 1302 dans le canal de trop-plein 1104 en gérant mieux la pression capillaire tout le long de la trajectoire du canal de régu- lation de trop-plein 1104. La Figure 43A illustre différentes vues en perspective, de dessus, de des- sous et latérale d’un logement de mèche 1315 exemplaire, selon un ou plusieurs modes de réalisation.
Comme représenté, un(e) ou plusieurs perforations ou trous peuvent être formés dans la partie inférieure du loge- ment de mèche 1315 pour accepter l’écoulement d'air à travers une mèche positionnée dans le logement de mèche 760 du logement de mèche 1315. Un nombre suffisant de trous favorise l'écoulement d'air adéquat dans le logement de mèche 760 et fournit la bonne vaporisation en temps voulu du matériau vaporisable 1302 absorbé dans la mèche en réaction à la cha- leur générée par l’élément chauffant positionné à proximité de ou autour de la mèche.
La Figure 43B illustre les composants de collecteur 1313 et de logement de mèche 760 d’une cartouche 1320 exemplaire, selon un ou plusieurs modes de réalisation.
Comme représenté, le logement de mèche 1315 (qui comprend la partie de logement de mèche de la cartouche) peut être mis en œuvre pour comprendre un élément ou languette en saillie 4390. La languette 4390 peut être configurée pour s'étendre à partir de l'extrémité supérieure du logement de mèche 1315 qui, pendant l'assemblage, se couple avec une extrémité de réception du collecteur 1313. La languette 4390 peut comprendre une ou plusieurs facettes qui correspondent à ou s'accordent à une ou plusieurs facettes dans une encoche de réception ou cavité de réception 1390, par exemple, dans la partie inférieure du collec- teur 1313. La cavité de réception 1390 peut être configurée pour recevoir de manière amovible la languette 4390 pour une mise en prise par encli- quetage, par exemple.
La mise en prise par encliquetage peut aider à maintenir le collecteur 1313 et le logement de mèche 1315 ensemble pen- dant ou après l'assemblage.
Dans certains modes de réalisation, la languette 4390 peut être utilisée pour diriger l'orientation du logement de mèche 1315 pendant l’assem- blage.
Par exemple, dans un mode de réalisation, un ou plusieurs méca- nismes vibrants (par exemple, des bols vibrants) peuvent être utilisés pour stocker ou organiser temporairement les différents composants de la car- touche 1320. Selon certaines mises en œuvre, la languette 4390 peut être utile pour orienter la partie supérieure du logement de mèche 1315 pour un dispositif de préhension mécanique pour le but d’une mise en prise fa- cile et un assemblage automatique correct.
Modes de réalisation de l'élément chauffant supplémentaire et/ou en va- riante Comme mentionné ci-dessus, la cartouche de vaporisateur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention peut comprendre un ou plusieurs éléments chauffants.
Les Figures 44A à 116 illustrent des modes de réalisation d’un élément chauffant compatible avec les mises en œuvre de la présente invention.
Alors que les caractéristiques décrites et repré- sentées par rapport aux Figures 44A à 116 peuvent être comprises dans différents modes de réalisation des cartouches de vaporisateur décrites ci-dessus et/ou peuvent comprendre une ou plusieurs caractéristiques des différents modes de réalisation des cartouches de vaporisateur dé- crites ci-dessus, les caractéristiques des éléments chauffants décrits et représentés par rapport aux Figures 44A à 116 peuvent de plus et/ou en variante être comprises dans un ou plusieurs autres modes de réalisation exemplaires des cartouches de vaporisateur, telles que celles décrites ci- dessous.
Un élément chauffant compatible avec les mises en œuvre de la présente invention peut être formé de manière souhaitable pour recevoir un élément de mèche et/ou serti ou comprimé au moins partiellement autour de l’élé- ment de mèche.
L'élément chauffant peut être plié de sorte que l’élément chauffant est configuré pour fixer l’élément de mèche entre au moins deux ou trois parties de l’élément chauffant.
L'élément chauffant peut être plié pour se conformer à une forme d’au moins une partie de l'élément de mèche.
L'élément chauffant peut être plus facilement fabriqué sur les élé- ments chauffants typiques.
L'élément chauffant compatible avec les mises en œuvre de la présente invention peut également être réalisé avec un métal électriquement conducteur approprié pour le chauffage résistif et dans certaines mises en œuvre, l'élément chauffant peut comprendre le placage sélectif d’un autre matériau pour permettre à l’élément chauffant (et ainsi au matériau vaporisable) d’être plus efficacement chauffé.
La Figure 44A illustre une vue en éclaté d’un mode de réalisation de la cartouche de vaporisateur 120, la Figure 44B illustre une vue en perspec- tive d’un mode de réalisation de la cartouche de vaporisateur 120 et la Figure 44C illustre une vue en perspective de dessous d’un mode de réa- lisation de la cartouche de vaporisateur 120. Comme représenté sur les
Figures 44A à 44C, la cartouche de vaporisateur 120 comprend un loge- ment 160 et un ensemble d’atomiseur (ou l’atomiseur) 141. L’ensemble d’atomiseur 141 (voir les Figures 99 à 101) peut comprendre un élément de mèche 162, un élément chauffant 500 et un logement de mèche 178. Comme expliqué de manière plus détaillée ci-dessous, au moins une partie de l’élément chauffant 500 est positionnée entre le loge- ment 160 et le logement de mèche 178 et est exposé pour être couplé avec une partie du corps de vaporisateur 110 (par exemple électriquement couplé avec les contacts de réceptacle 125). Le logement de mèche 178 peut comprendre quatre côtés.
Par exemple, le logement de mèche 178 peut comprendre deux côtés courts opposés et deux côtés longs opposés.
Les deux côtés longs opposés peuvent chacun comprendre au moins un (deux ou plus) évidement 166 (voir les Figures 99, 111 A). Les évidements 166 peuvent être positionnés le long du côté long du logement de mèche 178 et adjacents aux intersections respectives entre les côtés longs et les côtés courts du logement de mèche 178. Les évidements 166 peuvent être formés pour se coupler, de manière amovible, avec une caractéristique correspondante (par exemple un ressort) sur le corps de vaporisateur 110 pour fixer la cartouche de vaporisateur 120 sur le corps de vaporisateur 110 dans le réceptacle de cartouche 118. Les évidements 166 fournissent un moyen de fixation mécaniquement stable pour coupler la cartouche de vaporisateur 120 au corps de vaporisateur 110. Dans certaines mises en œuvre, le logement de mèche 178 comprend également une puce d'identification 174 qui peut être configurée pour com- muniquer avec un lecteur de puce correspondant positionné sur le vapori- sateur.
La puce d'identification 174 peut être collée et/ou fixée d’une autre manière sur le logement de mèche 178, tel que sur un côté court du loge- ment de mèche 178. Le logement de mèche 178 peut en plus ou en va- riante comprendre un évidement de puce 164 (voir la Figure 100) qui est configuré pour recevoir la puce d'identification 174. L’évidement de puce 164 peut être entouré par deux, quatre parois ou plus.
L’évidement de puce
164 peut être formé pour fixer la puce d’identification 174 sur le logement de mèche 178. Comme mentionné ci-dessus, la cartouche de vaporisateur 120 peut gé- néralement comprendre un réservoir, une trajectoire d'air et un ensemble d’atomiseur 141. Dans certaines configurations, "élément chauffant et/ou l’atomiseur décrit selon les mises en œuvre de la présente invention peu- vent être mis en œuvre directement dans un corps de vaporisateur et/ou peut ne pas être amovible du corps de vaporisateur.
Dans certaines mises en œuvre, le corps de vaporisateur peut ne pas comprendre de cartouche amovible.
Différents avantages et bénéfices de la présente invention peuvent con- cerner des améliorations par rapport aux présentes configurations de va- porisateur, procédés de fabrication et similaires.
Par exemple, un élément chauffant d’un dispositif vaporisateur compatible avec les mises en œuvre de la présente invention peut être réalisé (par exemple estampé), de ma- nière souhaitable, à partir d’une feuille de matériau et serti autour d’au moins une partie d’un élément de mèche ou plié pour fournir un élément préformé configuré pour recevoir "élément de mèche (par exemple, l’élé- ment de mèche est poussé dans l’élément chauffant et/ou l’élément chauf- fant est maintenu en tension et est tiré sur l'élément de mèche). L'élément chauffant peut être plié de sorte que l'élément chauffant fixe élément de mèche entre au moins deux parties ou trois de l'élément chauffant.
L’élé- ment chauffant peut être plié pour se conformer à une forme d’au moins une partie de l'élément de mèche.
La configuration de l’élément chauffant permet une fabrication de qualité plus compatible et améliorée de l’élément chauffant.
La compatibilité de la qualité de fabrication de l’élément chauf- fant peut être particulièrement importante pendant les procédés de fabri- cation échelonnés et/ou automatiques.
Par exemple, l'élément chauffant compatible avec les mises en œuvre de la présente invention aide à ré- duire les problèmes de tolérance qui peuvent se produire pendant les pro- cédés de fabrication lors de l'assemblage d’un élément chauffant ayant plusieurs composants.
Dans certaines mises en œuvre, la précision des mesures prises de l’élé- ment chauffant (par exemple, une résistance, un courant, une température, etc.) peut être améliorée, en raison au moins en partie de la compatibilité améliorée lors de la fabrication de élément chauffant ayant des problèmes de tolérance réduits.
Une plus grande précision lors des mesures peut fournir une expérience améliorée à l’utilisateur lorsqu'il utilise le dispositif vaporisateur.
Par exemple, comme mentionné ci-dessus, le vaporisateur 100 peut recevoir un signal pour activer l’élément chauffant, à pleine tem- pérature de fonctionnement pour la création d’une dose inhalable de va- peur/aérosol ou à une température plus faible pour commencer à chauffer l'élément chauffant.
La température de l’élément chauffant du vaporisateur peut dépendre de tout un nombre de facteurs, comme mentionné ci-des- sus, et plusieurs de ces facteurs peuvent être rendus plus prévisibles en supprimant les variations potentielles lors de la fabrication et de l’assem- blage des composants d’atomiseur.
Un élément chauffant réalisé (par exemple estampé) à partir d’une feuille de matériau et serti autour d’au moins une partie d’un élément de mèche ou plié pour fournir un élément préformé, aide de manière souhaitable à minimiser les pertes de chaleur et aide à garantir que l’élément chauffant se comporte de manière prévi- sible pour être chauffé à la température appropriée.
De plus, comme mentionné ci-dessus, l'élément chauffant peut être com- plètement et/ou sélectivement plaqué avec un ou plusieurs matériaux pour améliorer la performance thermique de l’élément chauffant.
Le fait de pla- quer tout ou une partie de l’élément chauffant peut aider à minimiser les pertes de chaleur.
Le placage peut également aider à concentrer la partie chauffée de l’élément chauffant dans le bon emplacement, fournissant un élément chauffant chauffé de manière plus efficace et réduisant en outre les pertes thermiques.
Le placage sélectif peut aider à diriger le courant fourni à l’élément chauffant jusqu’au bon emplacement.
Le placage sélectif peut également aider à réduire la quantité de matériau de placage et/ou de coûts associés à la fabrication de l'élément chauffant.
Une fois que l’élément chauffant est formé dans la forme appropriée via un ou plusieurs procédés abordés ci-dessous, l’élément chauffant peut être serti autour de l’élément de mèche et/ou plié dans la bonne position pour recevoir l’élément de mèche.
L'élément de mèche peut, dans certaines mises en œuvre, être une mèche fibreuse, formée comme un tampon au moins approximativement plat ou avec d’autres formes transversales telles que des cercles, des ovales, etc.
Un tampon plat peut permettre que le débit auquel le matériau vaporisable est aspiré dans l’élément de mèche soit régulé plus précisément et/ou exactement.
Par exemple, une longueur, une largeur et/ou une épaisseur peuvent être ajustées pour un rendement optimal.
Un élément de mèche formant un tampon plat peut également fournir une surface de transfert supérieure, qui peut permettre un écoule- ment augmenté du matériau vaporisable du réservoir dans l'élément de mèche pour la vaporisation par l’élément chauffant (en d’autres termes, un transfert de masse plus important du matériau vaporisable), et de l’élément de mèche pour que l'écoulement d’air passe par ce dernier.
Dans de telles configurations, l’élément chauffant peut être en contact avec l’élément de mèche dans plusieurs directions (par exemple, sur au moins deux côtés de l'élément de mèche) pour augmenter l’efficacité du procédé d'aspiration du matériau vaporisable dans l’élément de mèche et de vaporisation du matériau vaporisable.
Le tampon plat peut également être plus facilement formé et/ou découpé, et ainsi peut être plus facilement assemblé avec l'élément chauffant.
Dans certaines mises en œuvre, comme abordé de manière plus détaillée ci-dessous, l’élément chauffant peut être configuré pour entrer en contact avec l’élément de mèche uniquement d’un côté de l'élément de mèche.
L'élément de mèche peut comprendre un ou plusieurs matériaux rigides ou compressibles, tels que le coton, la silice, la céramique et/ou similaire.
Par rapport à certains autres matériaux, un élément de mèche en coton peut permettre un débit augmenté et/ou plus contrôlable du matériau va- porisable depuis le réservoir de la cartouche de vaporisateur dans l’élé- ment de mèche pour être vaporisé.
Dans certaines mises en œuvre, l’élé- ment de mèche forme un tampon au moins approximativement plat qui est configuré pour venir en contact avec l’élément chauffant et/ou être fixé entre au moins deux parties de l'élément chauffant.
Par exemple, le au moins un tampon approximativement plat peut avoir au moins une pre- mière paire de côtés opposés qui sont approximativement parallèles entre eux.
Dans certaines mises en œuvre, le tampon au moins approximative- ment plat peut également avoir au moins une seconde paire de côtés op- posés qui sont approximativement parallèles entre eux, et approximative- ment perpendiculaires à la première paire de côtés opposés.
Les Figures 45 à 48 illustrent des vues schématiques d’un élément chauf- fant 500 compatible avec des mises en œuvre de la présente invention.
Par exemple, la Figure 45 illustre une vue schématique d’un élément chauffant 500 dans une position dépliée.
Comme représenté, dans la po- sition dépliée, l'élément chauffant 500 forme un élément chauffant planaire.
L'élément chauffant 500 peut être initialement formé avec un matériau de substrat.
Le matériau de substrat est ensuite coupé et/ou estampé à la bonne forme via différents procédés mécaniques, comprenant sans y être limité Vestampage, le découpe au laser, la photogravure, la gravure chi- mique et/ou similaire.
Le matériau de substrat peut être réalisé avec un métal électriquement conducteur approprié pour le chauffage résistif.
Dans certaines mises en œuvre, l’élément chauffant 500 comprend un alliage de nickel-chrome, un alliage de nickel, de l’acier inoxydable et/ou similaire.
Comme abordé ci- dessous, l'élément chauffant 500 peut être plaqué avec un revêtement dans un ou plusieurs emplacements sur une surface du matériau de subs- trat pour améliorer, limiter ou bien modifier la résistivité de l’élément chauf- fant dans les un ou plusieurs emplacements du matériau de substrat (qui peuvent être la totalité ou une partie de l’élément chauffant 500).
L’élément chauffant 500 comprend une ou plusieurs dents 502 (par exemple des segments chauffants) positionnées dans une partie chauf- fante 504, une ou plusieurs parties ou pattes de raccordement 506 (par exemple une, deux ou plus) positionnées dans une région de transition 508 et un contact de cartouche 124 positionné dans une région de contact électrique 510 et formé au niveau d’une partie d’extrémité de chacune des une ou plusieurs pattes 506. Les dents 502, les pattes 506, et les contacts de cartouche 124 peuvent être formés de manière solidaire.
Par exemple, les dents 502, les pattes 506 et les contacts de cartouche 124 forment des parties de l’élément chauffant 500 qui est estampé et/ou coupé dans le matériau de substrat.
Dans certaines mises en œuvre, l'élément chauffant 500 comprend également un écran thermique 518 qui s'étend à partir d’une ou de plusieurs des pattes 506 et peut également être formé de ma- nière solidaire avec les dents 502, les pattes 506 et les contacts de car- touche 124. Dans certaines mises en œuvre, au moins une partie de la partie chauf- fante 504 de l'élément chauffant 500 est configurée pour s'interfacer avec le matériau vaporisable aspiré dans l’élément de mèche depuis le réservoir 140 de la cartouche de vaporisateur 120. La partie chauffante 504 de l’élé- ment chauffant 500 peut être formée, dimensionnée et/ou traitée autre- ment pour créer une résistance souhaitée.
Par exemple, les dents 502 po- sitonnées dans la partie chauffante 504 peuvent être conçues de sorte que la résistance des dents 502 correspond à la quantité appropriée de résistance pour influencer le chauffage localisé dans la partie chauffante 504 pour chauffer plus efficacement et effectivement le matériau vapori- sable de l’élément de mèche.
Les dents 502 forment de fins segments ou traces de chauffage de trajectoire en série et/ou en parallèle pour fournir la quantité de résistance souhaitée.
Les dents 502 (par exemple des traces) peuvent comprendre différentes formes, tailles et configurations.
Dans certaines configurations, une ou plu- sieurs des dents 502 peuvent être espacées pour permettre au matériau vaporisable d’être diffusé par effet de mèche hors de l'élément de mèche et depuis cet endroit, vaporisé des bords latéraux de chacune des dents
502. La forme, la longueur, la largeur, la composition, etc. parmi d’autres propriétés des dents 502 peuvent être optimisées pour maximiser l’effica- cité afin de générer un aérosol en vaporisant le matériau vaporisable de- puis l’intérieur de la partie chauffante de l'élément chauffant 500 et pour maximiser l'efficacité électrique. La forme, la longueur, la largeur, la com- position, etc. parmi d’autres propriétés des dents 502 peuvent être optimi- sées en plus ou en variante pour répartir uniformément la chaleur sur la longueur des dents 502 (ou une partie des dents 502, comme au niveau de la partie chauffante 504). Par exemple, la largeur des dents 502 peut être uniforme ou variable le long de la longueur des dents 502 pour con- trôler le profil de température sur au moins la partie chauffante 504 de l'élément chauffant 500. Dans certains exemples, la longueur des dents 502 peut être contrôlée pour obtenir une résistance souhaitée le long d’au moins une partie de l’élément chauffant 500, comme au niveau de la partie chauffante 504. Comme représenté sur les Figures 45 à 48, les dents 502 ont chacune la même taille et la même forme. Par exemple, les dents 502 comprennent un bord externe 503 qui est approximativement aligné et ont une forme généralement rectangulaire, avec des bords externes plats ou carrés 503 (voir également les Figures 49 à 53) ou des bords externes arrondis 503 (voir les Figures 54 et 55). Dans certaines mises en œuvre, une ou plusieurs des dents 502 peuvent comprendre des bords externes 503 qui ne sont pas alignés et/ou peuvent être dimensionnés ou formés différemment (voir les Figures 57 à 62). Dans certaines mises en œuvre, les dents 502 peuvent être régulièrement espacées ou avoir un espace- ment variable entre les dents 502 adjacentes (voir les Figures 87 à 92). La géométrie particulière des dents 502 peut être sélectionnée de manière souhaitable pour produire une résistance localisée particulière pour chauf- fer la partie chauffante 504, et pour maximiser la performance de l’élément chauffant 500 afin de chauffer le matériau vaporisable et générer un aéro-
sol.
L'élément chauffant 500 peut comprendre des parties de géométrie plus larges et/ou plus épaisses, et/ou de composition différente par rapport aux dents 502. Ces parties peuvent avoir des zones de contact électriques et/ou plus de parties conductrices et/ou peut comprendre des caractéris- tiques pour monter l’élément chauffant 500 dans la cartouche de vaporisa- teur.
Les pattes 506 de l’élément chauffant 500 s'étendent à partir d’une extrémité de chaque dent située le plus à l’extérieur 502A.
Les pattes 506 forment une partie de l’élément chauffant 500 qui a une largeur et/ou une épaisseur qui est typiquement plus large qu’une largeur de chacune des dents 502. Mais dans certaines mises en œuvre, les pattes 506 ont une largeur et/ou une épaisseur qui est identique ou plus étroite que la largeur de chacune des dents 502. Les pattes 506 couplent l’élément chauffant 500 au logement de mèche 178 ou une autre partie de la cartouche de vaporisateur 120, de sorte que l’élément chauffant 500 est au moins par- tiellement ou complètement enfermé par le logement 160. Les pattes 506 fournissent la rigidité pour encourager l'élément chauffant 500 à être mé- caniquement stable pendant et après la fabrication.
Les pattes 506 raccor- dent également les contacts de cartouche 124 avec les dents 502 position- nées dans la partie chauffante 504. Les pattes 506 sont formées et dimen- sionnées pour permettre à l'élément chauffant 500 de maintenir les exi- gences électriques de la partie chauffante 504. Comme représenté sur la Figure 48, les pattes 506 éloignent la partie chauffante 504 d’une extrémité de la cartouche de vaporisateur 120 lorsque l'élément chauffant 500 est assemblé avec la cartouche de vaporisateur 120. Comme abordé de ma- nière plus détaillée ci-dessous, au moins par rapport aux Figures 82 à 98 et 130 à 104, les pattes 506 peuvent également comprendre une caracté- ristique capillaire 598, qui limite ou empêche le fluide de s’écouler hors de la partie chauffante 504 jusqu’aux autres parties de l’élément chauffant 500.
Dans certaines mises en œuvre, une ou plusieurs des pattes 506 com- prennent une ou plusieurs caractéristiques de positionnement 516. Les ca- ractéristiques de positionnement 516 peuvent être utilisées pour le posi- tionnement relatif de l'élément chauffant 500 ou ses parties pendant et/ou après l'assemblage en interagissant avec d’autres composants (par exemple adjacents) de la cartouche de vaporisateur 120. Dans certaines mises en œuvre, les caractéristiques de positionnement 516 peuvent être utilisées pendant ou après la fabrication pour positionner correctement le matériau de substrat pour couper et/ou estamper le matériau de substrat afin de former l’élément chauffant 500 ou après le traitement de l’élément chauffant 500. Les caractéristiques de positionnement 516 peuvent être cisaillées et/ou découpées avant le sertissage ou bien le pliage de l’élé- ment chauffant 500. Dans certaines mises en œuvre, l’élément chauffant 500 comprend un ou plusieurs écrans thermiques 518. Les écrans thermiques 518 forment une partie de l’élément chauffant 500 qui s'étend latéralement à partir des pattes 506. Lorsqu'ils sont pliés et/ou sertis, les écrans thermiques 518 sont positionnés en décalage dans une première direction et/ou une se- conde direction opposée à la première direction dans le même plan, par rapport aux dents 502. Lorsque l’élément chauffant 500 est assemblé dans la cartouche de vaporisateur 120, les écrans thermiques 518 sont configu- rés pour être positionnés entre les dents 502 (et la partie chauffante 504) et le corps (par exemple le corps en plastique) de la cartouche de vapori- sateur 120. Les écrans thermiques 518 peuvent aider à isoler la partie chauffante 504 du corps de la cartouche de vaporisateur 120. Les écrans thermiques 518 aident à minimiser les effets de la chaleur émanant de la partie chauffante 504 sur le corps de la cartouche de vaporisateur 120 pour protéger l'intégrité structurelle du corps de la cartouche de vaporisateur 120 et pour empêcher la fusion ou une autre déformation de la cartouche de vaporisateur 120. Les écrans thermiques 518 peuvent également aider à maintenir une température constante au niveau de la partie chauffante
504 en retenant la chaleur dans la partie chauffante 504, empêchant ainsi ou limitant les pertes de chaleur alors que la vaporisation a lieu. Dans cer- taines mises en œuvre, la cartouche de vaporisateur 120 peut également ou en variante comprendre un écran thermique 518A qui est séparé de l'élément chauffant 500 (voir la Figure 102). Comme mentionné ci-dessus, l’élément chauffant 500 comprend au moins deux contacts de cartouche 124 qui forment une partie d’extrémité de cha- cune des pattes 506. Par exemple, comme représenté sur les Figures 45 à 48, les contacts de cartouche 124 peuvent former la partie des pattes 506 qui est pliée le long d’une ligne de pliage 507. Les contacts de car- touche 124 peuvent être pliés à un angle d’approximativement 90 degrés par rapport aux pattes 506. Dans certaines mises en œuvre, les contacts de cartouche 124 peuvent être pliés à d’autres angles, tel qu’un angle d’ap- proximativement 15 degrés, 25 degrés, 35 degrés, 45 degrés, 55 degrés, 65 degrés, 75 degrés ou d’autres plages entre eux, par rapport aux pattes
506. Les contacts de cartouche 124 peuvent être pliés vers ou à distance de la partie chauffante 504, en fonction de la mise en œuvre. Les contacts de cartouche 124 peuvent également être formés sur une autre partie de l'élément chauffant 500, comme le long d’une longueur d’au moins l’une des pattes 506. Les contacts de cartouche 124 sont configurés pour être exposés à l’environnement, lorsqu'ils sont assemblés dans la cartouche de vaporisateur 120 (voir la Figure 53). Les contacts de cartouche 124 peuvent former des broches conductrices, des languettes, des montants, des trous de réception ou des surfaces pour les broches ou les montants ou d’autres configuration de contact. Certains types de contacts de cartouche 124 peuvent comprendre des ressorts ou d’autres caractéristiques de poussée pour provoquer un meilleur contact physique et électrique entre les contacts de cartouche 124 sur la cartouche de vaporisateur et les contacts de réceptacle 125 sur le corps de vapori- sateur 110. Dans certaines mises en œuvre, les contacts de cartouche 124 comprennent des contacts d’essuyage qui sont configurés pour nettoyer le raccordement entre les contacts de cartouche 124 et d'autres contacts ou source d'alimentation.
Par exemple, les contacts d’essuyage comprennent deux bossages parallèles mais décalés qui se mettent en prise par friction et coulissent l’un par rapport à l’autre dans une direction qui est parallèle ou perpendiculaire à la direction d'insertion.
Les contacts de cartouche 124 sont configurés pour s’interfacer avec les contacts de réceptacle 125 disposés à proximité d’une base du réceptacle de cartouche du vaporisateur 100 de sorte que les contacts de cartouche 124 et les contacts de réceptacle 125 établissent des raccordements élec- triques lorsque la cartouche de vaporisateur 120 est insérée dans et cou- plée avec le réceptacle de cartouche 118. Les contacts de cartouche 124 peuvent communiquer électriquement avec la source d’alimentation 112 du dispositif vaporisateur (tel que via les contacts de réceptacle 125, etc.). Le circuit terminé par ces raccordements électriques peut permettre la dis- tribution de courant électrique à l’élément chauffant résistif pour chauffer au moins une partie de l’élément chauffant 500 et peut en outre être utilisé pour des fonctions supplémentaires, comme par exemple pour mesurer une résistance de l'élément chauffant résistif destinée à être utilisée pour déterminer et/ou contrôler une température de l’élément chauffant résistif sur la base d’un coefficient thermique de résistivité de l'élément chauffant résistif, pour identifier une cartouche sur la base d’une ou de plusieurs ca- ractéristiques électriques d’un élément chauffant résistif ou les autres cir- cuits de la cartouche de vaporisateur, etc.
Les contacts de cartouche 124 peuvent être traités, comme expliqué de manière plus détaillée ci-dessous, pour fournir des propriétés électriques améliorées (par exemple la résis- tance de contact) en utilisant, par exemple, le placage conducteur, le trai- tement de surface et/ou des matériaux déposés.
Dans certaines mises en œuvre, élément chauffant 500 peut être traité par toute une série d'opérations de sertissage et/ou de pliage pour former l'élément chauffant 500 dans une forme tridimensionnelle souhaitée.
Par exemple, l'élément chauffant 500 peut être préformé pour recevoir ou être serti autour d’un élément de mèche 162 pour fixer l’élément de mèche entre au moins deux parties (par exemple, des parties approximativement parallèles) de l’élément chauffant 500 (comme entre des parties opposées de la partie chauffante 504). Pour sertir l'élément chauffant 500, l’élément chauffant 500 peut être plié le long de lignes de pliage 520 les unes vers les autres.
Le fait de plier l'élément chauffant 500 le long des lignes de pliage 520 forme une partie de dent de plateforme 524 définie par la région entre les lignes de pliage 520 et les parties de dent latérales 526 définies par la région entre les lignes de pliage 520 et les bords externes 503 des dents 502. La partie de dent de plateforme 524 est configurée pour être en contact avec une extrémité de l’élément de mèche 162. Les parties de dent latérales 526 sont configurées pour être en contact avec les côtés opposés de l'élément de mèche 162. La partie de dent de plateforme 524 et les parties de dent latérales 526 forment une poche qui est formée pour rece- voir l'élément de mèche 162 et/ou se conformer à la forme d’au moins une partie de l’élément de mèche 162. La poche permet à l’élément de mèche 162 d'être fixée et retenue par l'élément chauffant 500 à l’intérieur de la poche.
La partie de dent de plateforme 524 et les parties de dent latérales 526 sont en contact avec l’élément de mèche 162 pour fournir un contact multidimensionnel entre l’élément chauffant 500 et l’élément de mèche 162. Le contact multidimensionnel entre l’élément chauffant 500 et l’élément de mèche 162 fournit un transfert plus efficace et/ou plus rapide du matériau vaporisable du réservoir 140 de la cartouche de vaporisateur 120 à la par-
tie chauffante 504 (via l’élément de mèche 162) pour être vaporisé.
Dans certaines mises en œuvre, les parties des pattes 506 de l’élément chauffant 500 peuvent également être pliées le long de lignes de pliage 522 à distance les unes des autres.
Le fait de plier les parties des pattes 506 de l'élément chauffant 500 le long des lignes de pliage 522 à distance les unes des autres positionne les pattes 506 dans une position éloignée de la partie chauffante 504 (et des dents 502) de l’élément chauffant 500 dans une première et/ou seconde direction opposée à la première direction
(par exemple dans le même plan). Ainsi, le pliage des parties des pattes 506 de l'élément chauffant 500 le long des lignes de pliage 522 à distance les unes des autres éloigne la partie chauffante 504 du corps de la car- touche de vaporisateur 120. La Figure 46 illustre un schéma de l’élément chauffant 500 qui a été plié le long des lignes de pliage 520 et des lignes de pliage 522 autour de l’élément de mèche 162. Comme représenté sur la Figure 46, l'élément de mèche est positionné dans la poche formée en pliant l'élément chauffant 500 le long des lignes de pliage 520 et 522. Dans certaines mises en œuvre, l'élément chauffant 500 peut également être plié le long des lignes de pliage 523. Par exemple, les contacts de cartouche 124 peuvent être pliés les uns vers les autres (sur et hors de la page représentée sur la Figure 47) le long des lignes de pliage 523. Les contacts de cartouche 124 peuvent être exposés à l’environnement pour être en contact avec les contacts de réceptacle, alors que les parties rési- duelles de l’élément chauffant 500 sont positionnées dans la cartouche de vaporisateur 120 (voir les Figures 48 et 53). A l'usage, lorsqu’un utilisateur prend une bouffée sur l’'embout buccal 130 de la cartouche de vaporisateur 120 lorsque l'élément chauffant 500 est assemblé dans la cartouche de vaporisateur 120, l'air s'écoule dans la car- touche de vaporisateur et le long d’une trajectoire d'air.
En association avec la bouffée de l'utilisateur, l’élément chauffant 500 peut être activé, par exemple par la détection automatique de la bouffée via un capteur de pres- sion, par la détection d’une poussée d’un bouton par l’utilisateur, par des signaux générés à partir d’un capteur de mouvement, d’un capteur d’écou- lement, d’un capteur de lèvre capacitif et/ou une autre approche capable de détecter qu’un utilisateur prend ou est sur le point de prendre une bouf- fée ou bien d’inhaler pour amener l’air à pénétrer dans le vaporisateur 100 et se déplacer le long d’au moins la trajectoire d'air.
La puissance peut être fournie par le dispositif vaporisateur à l'élément chauffant 500 au niveau des contacts de cartouche 124, lorsque l'élément chauffant 500 est activé.
Lorsque l’élément chauffant 500 est activé, il en résulte une augmentation de température due à l'écoulement de courant à travers l’élément chauffant 500 pour générer de la chaleur.
La chaleur est transférée à une certaine quantité de matériau vaporisable par transfert de chaleur par conduction, par convection et/ou par rayonnement, de sorte qu'au moins une partie du matériau vaporisable se vaporise.
Le transfert de chaleur peut avoir lieu sur le matériau vaporisable dans le réservoir et/ou le matériau vaporisable aspiré dans l’élément de mèche 162 retenu par l’élément chauffant 500. Dans certaines mises en œuvre, le matériau vaporisable peut être vapo- risé le long d’un ou de plusieurs bords des dents 502, comme mentionné ci-dessus.
L'air passant dans le dispositif vaporisateur s'écoule le long de la trajectoire d’air sur l'élément chauffant 500, détachant le matériau vapo- risable vaporisé de élément chauffant 500. Le matériau vaporisable va- porisé peut être condensé en raison du refroidissement, des changements de pression, etc, de sorte qu'il sorte de l’embout buccal 130, sous la forme d’un aérosol pour inhalation par un utilisateur.
Comme mentionné ci-dessus, l'élément chauffant 500 peut être réalisé avec différents matériaux, tel qu’un alliage de nickel-chrome, de l’acier inoxydable ou d’autres matériaux de dispositif de chauffage résistifs.
Des combinaisons de deux matériaux ou plus peuvent être incluses dans l’élé- ment chauffant 500, et de telles combinaisons peuvent comprendre à la fois des distributions homogènes de deux matériaux ou plus dans tout l’élé- ment chauffant ou d’autres configurations dans lesquelles des montants relatifs de deux matériaux ou plus sont spatialement hétérogènes.
Par exemple, les dents 502 peuvent avoir des parties qui sont plus résistives et ainsi être conçues pour devenir plus chaudes que d'autres sections des dents ou de l’élément chauffant 500. Dans certaines mises en œuvre, au moins les dents 502 (telles que dans la partie chauffante 504) peuvent comprendre un matériau qui présente une conductivité élevée et une ré- sistance à la chaleur.
L'élément chauffant 500 peut être complètement ou sélectivement plaqué avec un ou plusieurs matériaux.
Etant donné que l'élément chauffant 500 est réalisé avec un matériau thermique et/ou électriquement conducteur, comme l'acier inoxydable, un alliage de nickel-chrome, ou un autre alliage thermiquement et/ou électriquement conducteur, élément chauffant 500 peut subir des pertes électriques ou de chaleur dans la trajectoire entre les contacts de cartouche 124 et les dents 502 dans la partie chauffante 504 de l’élément chauffant 500. Pour aider à réduire les pertes thermiques et/ou électriques, au moins une partie de l’élément chauffant 500 peut être plaquée avec un ou plusieurs matériaux pour réduire la résistance dans la trajectoire électrique menant à la partie chauffante 504. Dans certaines mises en œuvre compatibles avec la présente invention, il est avantageux que la partie chauffante 504 (par exemple les dents 502) reste non plaquée, avec au moins une partie des pattes 506 et/ou des contacts de cartouche 124 qui est plaquée avec un matériau de placage qui réduit la résistance (par exemple chacune ou à la fois la résistance volumique ou la résistance de contact) dans ces parties. Par exemple, l'élément chauffant 500 peut comprendre différentes parties qui sont plaquées avec différents matériaux. Dans un autre exemple, l’élé- ment chauffant 500 peut être plaqué avec des matériaux en couche. Le placage d’au moins une partie de l’élément chauffant 500 aide à concentrer l'écoulement de courant sur la partie chauffante 504 pour réduire les pertes électriques et/ou thermiques dans d’autres parties de l’élément chauffant
500. Dans certaines mises en œuvre, il est souhaitable de maintenir une faible résistance dans la trajectoire électrique entre les contacts de car- touche 124 et les dents 502 de l'élément chauffant 500 pour réduire les pertes électriques et/ou thermiques dans la trajectoire électrique et pour compenser la chute de tension qui est concentrée sur la partie chauffante
504. Dans certaines mises en œuvre, les contacts de cartouche 124 peuvent être sélectivement plaqués. Le placage sélectif des contacts de cartouche 124 avec certains matériaux peut minimiser ou supprimer la résistance de contact au point où les mesures sont prises et le contact électrique est réalisé entre les contacts de cartouche 124 et les contacts de réceptacle.
Le fait de prévoir une faible résistance sur les contacts de cartouche 124 peut fournir des mesures et des lectures de tension, de courant et/ou de résistance plus précises, qui peuvent être bénéfiques pour déterminer pré- cisément la véritable température de courant de la partie chauffante 504 de l’élément chauffant 500. Dans certaines mises en œuvre, au moins une partie des contacts de car- touche 124 et/ou au moins une partie des pattes 506 peuvent être pla- quées avec un ou plusieurs matériaux de placage externes 550. Par exemple, au moins une partie des contacts de cartouche 124 et/ou au moins une partie des pattes 506 peuvent être plaquées avec de l’or, un autre matériau qui fournit une faible résistance de contact, comme le pla- tine, le palladium, argent, le cuivre ou similaire.
Dans certaines mises en ceuvre, afin de fixer le matériau de placage ex- terne à faible résistance sur élément chauffant 500, une surface de l’élé- ment chauffant 500 peut être plaquée avec un matériau de placage adhé- rant.
Dans ces configurations, le matériau de placage adhérant peut-être déposé sur la surface de élément chauffant 500 et le matériau de placage externe peut être déposé sur le matériau de placage adhérant, définissant des première et seconde couches de placage, respectivement.
Le maté- riau de placage adhérant comprend un matériau avec des propriétés ad- hésives lorsque le matériau de placage externe est déposé sur le matériau de placage adhérant.
Par exemple, le matériau de placage adhérant peut comprendre du nickel, du zinc, de l'aluminium, du fer, leurs alliages, ou similaires.
Les Figures 79 à 81 illustrent des exemples de l’élément chauf- fant 500 dans lequel les contacts de cartouche 124 ont été sélectivement plaqués avec le matériau de placage adhérant et/ou le matériau de pla- cage externe.
Dans certaines mises en œuvre, la surface de l’élément chauffant 500 peut être préparée pour déposer le matériau de placage externe sur l’élément chauffant 500 en utilisant un primaire sans placage plutôt qu’en plaquant la surface de l’élément chauffant 500 avec le matériau de placage adhérant.
Par exemple, la surface de l'élément chauffant 500 peut être préparée à l’aide de la gravure plutôt qu’en déposant le matériau de placage adhérant.
Dans certaines mises en œuvre, la totalité ou une partie des pattes 506 et des contacts de cartouche 124 peut être plaquée avec le matériau de pla- cage adhérant et/ou le matériau de placage externe.
Dans certains exemples, les contacts de cartouche 124 peuvent comprendre au moins une partie qui a un matériau de placage externe ayant une épaisseur plus importante par rapport aux parties résiduelles des contacts de cartouche 124 et/ou des pattes 506 de l’élément chauffant 500. Dans certaines mises en œuvre, les contacts de cartouche 124 et/ou les pattes 506 peuvent avoir une plus grande épaisseur par rapport aux dents 502 et/ou à la partie chauffante 504. Dans certaines mises en œuvre, plutôt que de former l’élément chauffant 500 avec un seul matériau de substrat et de plaquer le matériau de subs- trat, élément chauffant 500 peut être formé avec différents matériaux qui sont couplés ensemble (par exemple, via le soudage au laser, des procé- dés de diffusion, etc.). Les matériaux de chaque partie de l’élément chauf- fant 500 qui est couplée, peuvent être sélectionnés pour fournir une faible résistance ou pas de résistance au niveau des contacts de cartouche 124 et une résistance élevée aux dents 502 ou à la partie chauffante 504 par rapport aux autres parties de l’élément chauffant 500. Dans certaines mises en œuvre, l'élément chauffant 500 peut recevoir un dépôt électrolytique avec de l’encre argentée et/ou une pulvérisation ap- pliquée avec un ou plusieurs matériaux de placage, comme le matériau de placage adhérant et le matériau de placage externe.
Comme mentionné ci-dessus, l’élément chauffant 500 peut comprendre différentes formes, tailles et géométries pour chauffer plus efficacement la partie chauffante 504 de l'élément chauffant 500 et vaporiser plus effica- cement le matériau vaporisable.
Les Figures 49 à 53 illustrent un exemple d’un élément chauffant 500 com- patible avec les mises en œuvre de la présente invention.
Comme repré- senté, l’élément chauffant 500 comprend les unes ou plusieurs dents 502 positionnées dans la partie chauffante 504, les une ou plusieurs pattes 506 s'étendant à partir des dents 502, les contacts de cartouche 124 formés au niveau de la partie d’extrémité de chacune des une ou plusieurs pattes 506, et les écrans thermiques 518 s’étendant à partir des une ou plusieurs pattes 506. Dans cet exemple, chacune des dents 502 a les mêmes forme et taille ou des forme et taille similaires.
Les dents 502 ont un bord externe carré et/ou plat 503. Sur les Figures 49 à 52, les dents 502 ont été serties autour d’un élément de mèche 162 (par exemple un tampon plat) pour fixer l'élément de mèche 162 dans la poche des dents 502. Les Figures 54 à 55 illustrent un autre exemple d’un élément chauffant 500 compatible avec les mises en œuvre de la présente invention dans une position non pliée (Figure 54) et une position pliée (Figure 55). Comme représenté, l’élément chauffant 500 comprend les une ou plusieurs dents 502 positionnées dans la partie chauffante 504, les une ou plusieurs pattes 506 s'étendant à partir des dents 502, les contacts de cartouche 124 for- més au niveau de la partie d’extrémité de chacune des une ou plusieurs pattes 506, et les écrans thermiques 518 s'étendant à partir des une ou plusieurs pattes 506. Dans cet exemple, chacune des dents 502 ont les mêmes taille et forme ou des tailles et forme similaires et les dents 502 ont un bord externe arrondi et/ou semi-circulaire 503. La Figure 56 illustre un autre exemple d’un élément chauffant 500 dans une position pliée compatible avec les mises en œuvre de la présente in- vention qui est similaire à élément chauffant exemplaire 500 représenté sur les Figures 54 à 55, mais dans cet exemple, chacune des dents 502 a les mêmes forme et taille ou des forme et taille similaires et les dents 502 ont un bord externe carré et/ou plat 503. Les Figures 57 à 62 illustrent d’autres exemples de l’élément chauffant 500 dans lequel au moins l’une des dents 502 a une taille, forme ou position qui est différente des dents 502 résiduelles.
Par exemple, comme repré- senté sur les Figures 57 à 58, l'élément chauffant 500 comprend les une ou plusieurs dents 502 positionnées dans la partie chauffante 504, les une ou plusieurs pattes 506 s'étendant à partir des dents 502, et les contacts de cartouche 124 formés au niveau de la partie d’extrémité de chacune des une ou plusieurs pattes 506. Dans cet exemple, les dents 502 com- prennent un premier ensemble de dents 505A et un second ensemble de dents 505B.
Les premier et second ensembles de dents 505A, 505B sont décalés l’un de l’autre.
Par exemple, les bords externes 503 des premier et second ensembles de dents 505A, 505B ne sont pas alignés entre eux.
Comme représenté sur la Figure 58, lorsque la partie chauffante 504 est dans la position pliée, le premier ensemble de dents 505A semble être plus court que le second ensemble de dents 505B dans la première partie de l'élément chauffant 500, et le premier ensemble de dents 505A semble être plus long que le second ensemble de dents 505B dans la seconde partie de l'élément chauffant 500. Comme représenté sur les Figures 59 à 60, l'élément chauffant 500 com- prend les une ou plusieurs dents 502 positionnées dans la partie chauf- fante 504, les une ou plusieurs pattes 506 s'étendant à partir des dents 502, et les contacts de cartouche 124 formés au niveau de la partie d’ex- trémité de chacune des une ou plusieurs pattes 506. Dans cet exemple, les dents 502 comprennent un premier ensemble de dents 509A et un se- cond ensemble de dents 509B.
Les premier et second ensembles de dents 509A, 509B sont décalés l’un de l’autre.
Par exemple, les bords externes 503 des premier et second ensembles de dents 509A, 509B ne sont pas alignés.
Ici, le second ensemble de dents 509B comprend une seule dent située le plus à l’extérieur 502A.
Comme représenté sur les Figures 59 à 60, lorsque la partie chauffante 504 est dans la position pliée, le premier ensemble de dents 509A semble être plus long que le second ensemble de dents 509B.
De plus, sur les Figures 59 à 60, les dents 502 ne sont pas pliées.
Au lieu de cela, les dents 502 sont positionnées sur une première partie et une seconde partie de l’élément chauffant 500 qui est positionnée approximativement parallèle à et opposée à la première partie.
Le premier ensemble de dents positionné sur la première partie de l’élément chauffant
500 est séparé du second ensemble de dents positionné sur la seconde partie de l’élément chauffant 500 par une partie de plateforme 530 qui est positionnée entre et espacée à la fois du premier et du second ensemble de dents.
La partie de plateforme 530 est configurée pour être en contact avec une extrémité de l’élément de mèche 162. La partie de plateforme
530 comprend une partie découpée 532. La partie découpée 532 peut four-
nir des bords supplémentaires le long desquels le matériau vaporisable peut être vaporisé à partir du moment où l’élément chauffant 500 est activé.
Comme représenté sur les Figures 61 à 62, l'élément chauffant 500 com-
prend les une ou plusieurs dents 502 positionnées dans la partie chauf-
fante 504, les une ou plusieurs pattes 506 s'étendant à partir des dents
502 et les contacts de cartouche 124 formés au niveau de la partie d’ex- trémité de chacune des une ou plusieurs pattes 506. Dans cet exemple,
les dents 502 comprennent un premier ensemble de dents 509A et un se-
cond ensemble de dents 509B.
Les premier et second ensembles de dents
509A, 509B sont décalés l’un de l’autre.
Par exemple, les bords externes
503 des premier et second ensembles de dents 509A, 509B ne sont pas alignés entre eux.
Ici, chacun parmi le premier et le second ensemble de dents 509A, 509B comprend deux dents 502. Comme représenté sur les Figures 61 à 62, lorsque la partie chauffante 504 est dans la position pliée,
le premier ensemble de dents 509A semble être plus court que le second ensemble de dents 509B.
De plus, sur les Figures 61 à 62, les dents 502 ne sont pas pliées.
Au lieu de cela, les dents 502 sont positionnées sur une première partie et une seconde partie (qui est parallèle et opposée à la première partie), de l'élément chauffant 500. Le premier ensemble de dents positionné sur la première partie est séparé du second ensemble de dents positionné sur la seconde partie par une partie de plateforme qui est positionnée entre et éloignée des premier et second ensembles de dents.
La partie de plateforme est configurée pour être en contact avec une ex- trémité de l'élément de mèche 162. La partie de plateforme comprend une partie découpée. La partie découpée peut fournir des bords supplémen- taires le long desquels le matériau vaporisable peut être vaporisé à partir du moment où l'élément chauffant 500 est activé. Les Figures 63 à 68 illustrent un autre exemple d’un élément chauffant 500 compatible avec les mises en œuvre de la présente invention dans une position non pliée (Figure 63) et une position pliée (Figures 64 à 68). Comme représenté, l'élément chauffant 500 comprend les une ou plu- sieurs dents 502 positionnées dans la partie chauffante 504, les une ou plusieurs pattes 506 s'étendant à partir des dents 502, les contacts de car- touche 124 formés au niveau de la partie d’extrémité de chacune des une ou plusieurs pattes 506, et les écrans thermiques 518 s'étendant à partir des une ou plusieurs pattes 506. Dans cet exemple, l’élément chauffant 500 est configuré pour être serti autour et/ou plié pour recevoir un élément de mèche 162 de forme cylindrique ou un élément de mèche 162 ayant une section transversale circulaire. Chacune des dents 502 comprend des ouvertures 540. Les ouvertures 540 peuvent fournir des bords supplémen- taires le long desquels le matériau vaporisable peut être vaporisé à partir du moment où l’élément chauffant 500 est activé. Les ouvertures 540 ré- duisent également la quantité de matériau utilisée pour former l’élément chauffant 500, réduisant le poids de l'élément chauffant 500 et la quantité de matériau utilisée pour l'élément chauffant 500, réduisant ainsi des coûts de matériau.
Les Figures 69 à 78 illustrent un élément chauffant 500 compatible avec les mises en œuvre de la présente invention, dans lequel l’élément chauf- fant 500 est comprimé contre un côté de l’élément de mèche 162. Comme représenté, l’élément chauffant 500 comprend les une ou plusieurs dents 502 positionnées dans la partie chauffante 504, les une ou plusieurs pattes 506 s'étendant à partir des dents 502, et les contacts de cartouche 124 formés au niveau de la partie d’extrémité de chacune des une ou plusieurs pattes 506. Dans ces exemples, les pattes 506 et les contacts de car- touche 124 sont configurées pour se plier dans une troisième direction, plutôt que dans une première — deuxième direction qui est perpendiculaire à la troisième direction. Dans une telle configuration, les dents 502 de la partie chauffante 504 forment une plateforme planaire qui est orientée vers l'extérieur à partir de l'élément chauffant 500 et est configurée pour être comprimée contre l’élément de mèche 162 (par exemple, d’un côté de l'élément de mèche 162).
Les Figures 71 à 74 illustrent plusieurs exemples de l’élément chauffant 500 compatibles avec les mises en œuvre de la présente invention com- prenant des dents 502 configurées dans différentes géométries. Comme mentionné ci-dessus, les dents 502 forment une plateforme planaire qui est comprimée contre un côté de l'élément de mèche 162 à l'usage. Les pattes 506 plutôt que les dents 502, étant pliées dans la position pliée.
La Figure 75 illustre un exemple de élément chauffant 500 représenté sur la Figure 71, assemblé avec un composant de la cartouche de vaporisa- teur 120, tel qu’un logement de mèche (par exemple le logement de mèche 178) qui loge l'élément de mèche 162 et l'élément chauffant 500 et la Fi- gure 76 illustre l’élément chauffant 500 assemblé avec une cartouche de vaporisateur 120 exemplaire compatible avec les mises en œuvre de la présente invention. Comme représenté, les contacts de cartouche 124 sont pliés les uns vers les autres dans une direction latérale.
Les Figures 77 et 78 illustrent l'exemple de l'élément chauffant 500 dans lequel les dents 502 forment une plateforme qui est configurée pour être comprimée contre l’élément de mèche 162. Ici, les pattes 506 peuvent for- mer des structures en forme de ressort qui obligent les dents 502 à être comprimées contre l'élément de mèche 162 lorsqu'une force latérale vers l'intérieur est appliquée sur chacune des pattes 506. Par exemple, la Fi- gure 78 illustre un exemple des dents 502 qui sont comprimées contre l'élément de mèche 162 lorsque l'énergie (par exemple un courant) est fournie à l'élément chauffant 500, comme par les contacts de cartouche
124. Les Figures 82 à 86 illustrent un autre exemple d’un élément chauffant 500 compatible avec les mises en œuvre de la présente invention.
Comme re- présenté, l'élément chauffant 500 comprend les une ou plusieurs dents 502 positionnées dans la partie chauffante 504, les une ou plusieurs pattes 506 s'étendant à partir des dents 502, et les contacts de cartouche 124 formés au niveau de la partie d’extrémité et/ou comme une partie de cha- cune des une ou plusieurs pattes 506. Dans cet exemple, chacune des dents 502 ont les mêmes forme et taille ou des forme et taille similaires et est éloignée des autres à égales distances.
Les dents 502 ont un bord externe arrondi 503. Comme représenté sur la Figure 85, les dents 502 ont été serties autour d’un élément de mèche 162 (par exemple un tampon plat) pour fixer l’élé- ment de mèche 162 dans la poche formée par les dents 502. Par exemple, les dents 502 peuvent être pliées et/ou serties pour définir la poche dans laquelle l'élément de mèche 162 se trouve.
Les dents 502 comprennent une partie de dent de plateforme 524 et des parties de dent latérales 526. La partie de dent de plateforme 524 est configurée pour être en contact avec un côté de l’élément de mèche 162 et les parties de dent latérales 526 sont configurées pour être en contact avec les côtés opposés de l’élé- ment de mèche 162. La partie de dent de plateforme 524 et les parties de dent latérales 526 forment la poche qui est formée pour recevoir élément de mèche 162 et/ou se conformer à la forme d’au moins une partie de l'élément de mèche 162. La poche permet à l’élément de mèche 162 d’être fixé et retenu par l’élément chauffant 500 dans la poche.
Dans certaines mises en œuvre, les parties de dent latérales 526 et la partie de dent de plateforme 524 retiennent l’élément de mèche 162 via la compression (par exemple, au moins une partie de l’élément de mèche 162 est comprimée entre les parties de dent latérales 526 opposées et/ou la partie de dent de plateforme 524). La partie de dent de plateforme 524 et les parties de dent latérales 526 sont en contact avec l'élément de mèche 162 pour fournir un contact multidimensionnel entre l’élément chauffant 500 et l'élément de mèche 162. Le contact multidimensionnel entre l’élément chauffant 500 et élément de mèche 162 fournit un transfert plus efficace et/ou plus rapide du matériau vaporisable du réservoir 140 de la cartouche de vaporisateur 120 à la partie chauffante 504 (via l’élément de mèche 162) à vaporiser. Les une ou plusieurs pattes 506 de l’élément chauffant 500 exemplaire représenté sur les Figures 82 à 86 comprennent quatre pattes 506. Cha- cune des pattes 506 peut comprendre et/ou définir un contact de cartouche 124 qui sont configuré pour être en contact avec un contact de réceptacle 125 correspondant du vaporisateur 100. Dans certaines mises en œuvre, chaque paire de pattes 506 (et les contacts de cartouche) peut être en contact avec un seul contact de réceptacle 125. Les pattes 506 peuvent être à ressort pour permettre aux pattes 506 de maintenir le contact avec les contacts de réceptacle 125. Les pattes 506 peuvent comprendre une partie qui s'étend le long d’une longueur des pattes 506 qui est incurvée pour aider à maintenir le contact avec les contacts de réceptacle 125. La sollicitation par ressort des pattes 506 et/ou de la courbure des pattes 506 peut aider à augmenter et/ou maintenir la pression constante entre les pattes 506 et les contacts de réceptacle 125. Dans certaines mises en œuvre, les pattes 506 sont couplées avec un support 176 qui aide à aug- menter et/ou à maintenir la pression constante entre les pattes 506 et les contacts de réceptacle 125. Le support 176 peut comprendre le plastique, le caoutchouc ou d’autres matériaux, pour aider à maintenir le contact entre les pattes 506 et les contacts de réceptacle 125. Dans certaines mises en œuvre, le support 176 est formé comme faisant partie des pattes
506. Les pattes 506 peuvent être en contact avec un ou plusieurs contacts d’es- suyage qui sont configurés pour nettoyer le raccordement entre les con- tacts de cartouche 124 et les autres contacts ou source d'alimentation. Par exemple, les contacts d'essuyage comprennent au moins deux bossages parallèles, mais décalés qui se mettent en prise par friction et coulissent l’un contre l’autre dans une direction qui est parallèle ou perpendiculaire à la direction d'insertion.
Comme représenté sur les Figures 82 à 98, les une ou plusieurs pattes 506 de l’élément chauffant 500 comprennent quatre pattes 506. Les Fi- gures 91 à 92, 97A à 98B et 109 à 110 représentent des exemples de l'élément chauffant 500 dans la position non pliée.
Comme représenté, l'élément chauffant 500 a une forme de H, définie par les quatre pattes 506 et les dents 502. Cette configuration permet de mesurer plus précisément la résistance sur le dispositif de chauffage, et réduit la variabilité des me- sures de résistance, permettant ainsi une génération d’aérosol plus effi- cace et une génération d’aérosol de meilleure qualité.
L'élément chauffant 500 comprend deux paires de pattes 506 opposées.
Les dents 502 sont couplées (par exemple se coupent) avec chacune des paires de pattes 506 opposées au niveau de ou à proximité d’un centre de chacune des paires de pattes 506 opposées.
La partie chauffante 504 est positionnée entre les paires de pattes 506 opposées.
La Figure 109 illustre un exemple de l’élément chauffant 500 avant que l'élément chauffant 500 n’ait été estampé et/ou formé d’une autre manière à partir d’un matériau de substrat 577. Le matériau de substrat 577A en excès peut être couplé avec l’élément chauffant 500 au niveau d’un, de deux emplacements de couplage 577B ou plus.
Par exemple, comme re- présenté, le matériau de substrat 577A en excès peut être couplé avec l'élément chauffant 500 au niveau de deux emplacements de couplage 577B, à proximité des extrémités latérales 173 opposées de la partie de plateforme de l’élément chauffant et/ou de la partie chauffante 504 de l’élé- ment chauffant 500. Dans certaines mises en œuvre, l'élément chauffant 500 peut être tout d’abord estampé dans le matériau de substrat 577 et ensuite retiré du matériau de substrat 577A en excès au niveau des em- placements de couplage 577B (par exemple, en tordant, en tirant, en es- tampant, en coupant, etc. l'élément chauffant 500).
Comme mentionné ci-dessus, pour sertir l'élément chauffant 500, l’élé- ment chauffant 500 peut être coudé ou bien plié le long des lignes de pliage 523, 522A, 522B, 520 vers ou à distance les uns des autres (voir par exemple la Figure 98A). Bien que les lignes de pliage soient illustrées sur la Figure 98A, les éléments chauffants 500 exemplaires décrits et repré- sentés sur les Figures 44A à 115C peuvent être sertis, pliés ou bien coudés le long des lignes de pliage. Le fait de plier l'élément chauffant 500 le long des lignes de pliage 520 forme une partie de dent de plateforme 524 défi- nie par la région entre les lignes de pliage 520 et/ou entre les parties de dent latérales 526 définies par la région entre les lignes de pliage 520 et les bords externes 503 des dents 502. La partie de dent de plateforme 524 peut être en contact avec une extrémité et/ou supporter une extrémité de l'élément de mèche 162. Les parties de dent latérales 526 peuvent être en contact avec les côtés opposés de l’élément de mèche 162. La partie de dent de plateforme 524 et les parties de dent latérales 526 définissent un volume intérieur de l'élément chauffant qui forme une poche formée pour recevoir l’élément de mèche 162 et/ou se conformer à la forme d’au moins une partie de l’élément de mèche 162. Le volume intérieur permet de fixer et de retenir l’élément de mèche 162 grâce à l’élément chauffant 500 dans la poche. La partie de dent de plateforme 524 et les parties de dent laté- rales 526 sont en contact avec l'élément de mèche 162 pour fournir le con- tact multidimensionnel entre l’élément chauffant 500 et l'élément de mèche
162. Le contact multidimensionnel entre l’élément chauffant 500 et l’élé- ment de mèche 162 fournit un transfert plus efficace et/ou plus rapide du matériau vaporisable du réservoir 140 de la cartouche de vaporisateur 120 à la partie chauffante 504 (voir l'élément de mèche 162) à vaporiser. Dans certaines mises en œuvre, les parties des pattes 506 de l’élément chauffant 500 peuvent également être coudées le long des lignes de pliage 522A, 522B. Le pliage des parties des pattes 506 de l'élément chauffant 500 le long des lignes de pliage 522 à distance des autres, positionne les pattes 506 dans une position éloignée de la partie chauffante 504 (et des dents 502) de l'élément chauffant 500 dans une première et/ou seconde direction opposée à la première direction (par exemple dans le même plan). Ainsi, le pliage des parties des pattes 506 de l’élément chauffant 500 le long des lignes de pliage 522 à distance des autres, éloigne la partie chauf- fante 504 du corps de la cartouche de vaporisateur 120. Le pliage des parties des pattes 506 le long des lignes de pliage 522A, 522B forme un pont 585. Dans certaines mises en œuvre, le pont 585 aide à réduire ou à supprimer le trop-plein de matériau vaporisable de la partie chauffante 504, comme dû à l’action capillaire.
Le pont 585 aide également à isoler la partie chauffante 504 des pattes 506, de sorte que la chaleur générée au niveau de la partie chauffante 504 n’atteint pas les pattes 506. Ceci aide égale- ment à localiser la chaleur de l'élément chauffant 500 à l’intérieur de la partie chauffante 504. Dans certaines mises en œuvre, l'élément chauffant 500 peut également être coudé le long des lignes de pliage 523 pour définir les contacts de cartouche 124. Les contacts de cartouche 124 peuvent être exposés à l’environnement ou peuvent sinon être accessibles (et peuvent être posi- tionnés dans un intérieur d’une partie de la cartouche, telle que la coque externe) pour entrer en contact avec les contacts de réceptacle, alors que d’autres parties, telle que la partie chauffante 504 de l’élément chauffant 500, sont positionnées dans une partie inaccessible de la cartouche de vaporisateur 120, tel que le logement de mèche.
Dans certaines mises en œuvre, les pattes 506 comprennent des parties de retenue 180 qui sont configurées pour être coudées autour d’au moins une partie d’un logement de mèche 178 qui entoure au moins une partie de l’élément de mèche 162 et l’élément chauffant 500 (telle que la partie chauffante 504). Les parties de retenue 180 forment une extrémité des pattes 506. Les parties de retenue 180 aident à fixer l’élément chauffant 500 et l'élément de mèche 162 sur le logement de mèche 178 (et la car- touche de vaporisateur 120). Les parties de retenue 180 peuvent être cou- dées en variante à distance d’au moins une partie du logement de mèche
178. Les Figures 87 à 92 illustrent un autre exemple d’un élément chauffant 500 compatible avec les mises en œuvre de la présente invention.
Comme re- présenté, l'élément chauffant 500 comprend les une ou plusieurs dents 502 positionnées dans la partie chauffante 504, les une ou plusieurs pattes 506 s'étendant à partir des dents 502, et les contacts de cartouche 124 formés au niveau de la partie d'extrémité et/ou comme faisant partie des une ou plusieurs pattes 506. Les dents 502 peuvent être pliées et/ou serties pour définir la poche dans laquelle un élément de mèche 162 (par exemple, un tampon plat) se trouve.
Les dents 502 comprennent une partie de dent de plateforme 524 et des parties de dent latérales 526. La partie de dent de plateforme 524 est con- figurée pour être en contact avec un côté de l'élément de mèche 162 et les parties de dent latérales 526 sont configurées pour être en contact avec les autres côtés opposés de l’élément de mèche 162. La partie de dent de plateforme 524 et les parties de dent latérales 526 forment la poche qui est formée pour recevoir l'élément de mèche 162 et/ou se conformer à la forme d’au moins une partie de l’élément de mèche 162. La poche permet à l'élément de mèche 162 d’être fixé et retenu par l’élément chauffant 500 à l’intérieur de la poche.
Dans cet exemple, les dents 502 ont différentes formes et tailles et sont espacées les unes des autres à des distances identiques ou variables.
Par exemple, comme représenté, chacune des parties de dent latérales 526 comprend au moins quatre dents 502. Dans une première paire 570 de dents 502 adjacentes, chacune des dents 502 adjacentes est espacée à une distance identique d’une région interne 576 positionnée à proximité de la partie de dent de plateforme 524 jusqu’à une région externe 578 posi- tionnée à proximité du bord externe 503. Dans une seconde paire 572 de dents 502 adjacentes, les dents 502 adjacentes sont espacées par une distance variable de la région interne 576 à la région externe 578. Par exemple, les dents 502 adjacentes de la seconde paire 572 sont espacées par une largeur qui est supérieure au niveau de la région interne 576 qu’au niveau de la région externe 578. Ces configurations peuvent aider à main- tenir une température constante et uniforme le long de la longueur des dents 502 de la partie chauffante 504. Le fait de maintenir une température constante le long de la longueur des dents 502 peut fournir un aérosol de meilleure qualité, lorsque la température maximum peut être maintenue plus uniformément sur toute la partie chauffante 504. Comme mentionné ci-dessus, chacune des pattes 506 peut comprendre et/ou définir un contact de cartouche 124 qui est configuré pour être en contact avec un contact de réceptacle 125 correspondant du vaporisateur
100. Dans certaines mises en œuvre, chaque paire de pattes 506 (et les contacts de cartouche 124) peut être en contact avec un seul contact de réceptacle 125. Dans certaines mises en œuvre, les pattes 506 compren- nent des parties de retenue 180 qui sont configurées pour être coudées et s’étendent généralement à distance de la partie chauffante 504. Les par- ties de retenue 180 sont configurées pour être positionnées dans un évi- dement correspondant dans le logement de mèche 178. Les parties de retenue 180 forment une extrémité des pattes 506. Les parties de retenue 180 aident à fixer élément chauffant 500 et l’élément de mèche 162 sur le logement de mèche 178 (et la cartouche de vaporisateur 120). Les par- ties de retenue 180 peuvent avoir une partie de pointe 180A qui s’étend à partir d’une extrémité de la partie de retenue 180 vers la partie chauffante 504 de l’élément chauffant 500. Cette configuration réduit la possibilité que la partie de retenue soit en contact avec une autre partie de la cartouche de vaporisateur 120 ou un dispositif de nettoyage pour nettoyer la car- touche de vaporisateur 120. Le bord externe 503 des dents 502 dans la partie chauffante 504 peut comprendre une languette 580. La languette 580 peut comprendre une, deux, trois, quatre languettes 580 ou plus. La languette 580 peut s'étendre vers l’extérieur à partir du bord externe 503 et s'étendre à distance d’un centre de l’élément chauffant 500. Par exemple, la languette 580 peut être positionnée le long d’un bord de l’élément chauffant 500 entourant un vo- lume interne défini par au moins les parties de dent latérales 526 pour re- cevoir l'élément de mèche 162. La languette 580 peut s’étendre vers l’ex- térieur à distance du volume interne de l’élément de mèche 162. La lan- guette 580 peut également s’étendre à distance dans une direction oppo- sée à la partie de dent de plateforme 524. Dans certaines mises en œuvre, les languettes 580 positionnées sur les côtés opposés du volume interne de l’élément de mèche 162 peuvent s'étendre à distance les unes des autres.
Cette configuration aide à élargir l’ouverture menant au volume in- terne de l’élément de mèche 162, aidant ainsi à réduire la probabilité que l'élément de mèche 162 s’attrape, se déchire et/ou soit endommagé lorsqu'il est assemblé avec l’élément chauffant 500. En raison du matériau de l’élément de mèche 162, l'élément de mèche 162 peut s’attraper facile- ment, se déchirer et/ou s'endommager lorsqu'il est assemblé (par exemple positionné dans ou inséré dans) avec l’élément chauffant 500. Le contact entre l’élément de mèche 162 et le bord externe 503 des dents 502 peut également endommager l’élément chauffant.
La forme et/ou le positionne- ment de la languette 580 peuvent permettre de positionner plus facilement l'élément de mèche 162 à l’intérieur de ou dans la poche (par exemple le volume interne de l’élément chauffant 500) formée par les dents 502, em- pêchant ou réduisant ainsi la probabilité que l’élément de mèche 162 et/ou l'élément chauffant ne soient endommagés.
Ainsi, les languettes 580 ai- dent à réduire ou empêcher l’'endommagement provoqué sur l’élément chauffant 500 et/ou l'élément de mèche 162 suite à l’entrée de l’élément de mèche 162 en contact thermique avec l’élément chauffant 500. La forme de la languette 580 aide également à minimiser l’impact sur la résis-
tance de la partie chauffante 504. Dans certaines mises en œuvre, au moins une partie des contacts de car- touche 124 et/ou au moins une partie des pattes 506 peuvent être pla- quées avec un ou plusieurs matériaux de placage externes 550 pour ré- duire la résistance de contact au point où l’élément chauffant 500 est en contact avec les contacts de réceptacle 125. Les Figures 93A à 98B illustrent un autre exemple d’un élément chauffant 500 compatible avec les mises en œuvre de la présente invention.
Comme représenté, l’élément chauffant 500 comprend les une ou plusieurs dents 502 positionnées dans la partie chauffante 504, les une ou plusieurs pattes 506 s'étendant à partir des dents 502, et les contacts de cartouche 124 formés au niveau de la partie d'extrémité et/ou faisant partie de chacune des une ou plusieurs pattes 506. Les dents 502 peuvent être pliées et/ou serties pour définir la poche dans laquelle un élément de mèche 162 (par exemple un tampon plat) se trouve.
Les dents 502 comprennent une partie de dent de plateforme 524 et des parties de dent latérales 526. La partie de dent de plateforme 524 est con- figurée pour être en contact avec un côté de l'élément de mèche 162 et les parties de dent latérales 526 sont configurées pour être en contact avec d’autres côtés opposés de l’élément de mèche 162. La partie de dent de plateforme 524 et les parties de dent latérales 526 forment la poche qui est formée pour recevoir l'élément de mèche 162 et/ou se conformer à la forme d’au moins une partie de l’élément de mèche 162. La poche permet à l'élément de mèche 162 d’être fixé et retenu par l’élément chauffant 500 dans la poche.
Dans cet exemple, les dents 502 ont les mêmes forme et taille et sont espacées les unes des autres par des distances égales.
Ici, les dents 502 comprennent une première partie de dent latérale 526A et une seconde partie de dent latérale 526B qui sont espacées par la partie de dent de plateforme 524. Chacune des première et seconde parties de dent laté- rales 526A, 526B comprend une région interne 576 positionnée à proximité de la partie de dent de plateforme 524 jusqu’à une région externe 578 po- sitionnée à proximité du bord externe 503. Au niveau de la région externe 578, la première partie de dent latérale 526A est positionnée de manière approximativement parallèle à la seconde partie dent 526A.
Au niveau de la région interne 576, la première partie de dent latérale 526A est position- née en décalage par rapport à la seconde partie de dent 526B et les pre- mière et seconde parties de dent latérales 256A, 526B ne sont pas paral- lèles. Cette configuration peut aider à maintenir une température constante et uniforme le long de la longueur des dents 502 de la partie chauffante
504. Le fait de maintenir une température constante le long de la longueur des dents 502 peut fournir un aérosol de meilleure qualité, lorsque la tem- pérature maximum peut être maintenue plus uniformément sur toute la partie chauffante 504.
Comme mentionné ci-dessus, chacune des pattes 506 peut comprendre et/ou définir un contact de cartouche 124 qui est configuré pour être en contact avec un contact de réceptacle 125 correspondant du vaporisateur
100. Dans certaines mises en œuvre, chaque paire de pattes 506 (et les contacts de cartouche 124) peut être en contact avec un seul contact de réceptacle 125. Dans certaines mises en œuvre, les pattes 506 compren- nent des parties de retenue 180 qui sont configurées pour être coudées et s’étendre généralement à distance de la partie chauffante 504. Les parties de retenue 180 sont configurées pour être positionnées dans un évidement correspondant dans le logement de mèche 178. Les parties de retenue 180 forment une extrémité des pattes 506. Les parties de retenue 180 ai- dent à fixer l’élément chauffant 500 et l’élément de mèche 162 sur le loge- ment de mèche 178 (et la cartouche de vaporisateur 120). Les parties de retenue 180 peuvent avoir une partie de pointe 180A qui s'étend à partir d’une extrémité de la partie de retenue 180 vers la partie chauffante 504 de l’élément chauffant 500. Cette configuration réduit la probabilité que la partie de retenue soit en contact avec une autre partie de la cartouche de vaporisateur 120 ou un dispositif de nettoyage pour nettoyer la cartouche de vaporisateur 120.
Le bord externe 503 des dents 502 dans la partie chauffante 504 peut comprendre une languette 580. La languette 580 peut s’étendre vers l’ex- térieur à partir du bord externe 503 et s'étendre à distance d’un centre de l'élément chauffant 500. La languette 580 peut être formée pour permettre à l'élément de mèche 162 d’être plus facilement positionné dans la poche formée par les dents 502, empêchant ainsi ou réduisant la probabilité que l'élément de mèche 162 soit attrapé sur le bord externe 503. La forme de la languette 580 aide à minimiser l'impact sur la résistance de la partie chauffante 504. Dans certaines mises en œuvre, au moins une partie des contacts de car- touche 124 et/ou au moins une partie des pattes 506 peuvent être pla- quées avec un ou plusieurs matériaux de placage externes 550 afin de réduire la résistance de contact au point où élément chauffant 500 est en contact avec les contacts de réceptacle 125. Les Figures 99 à 100 illustrent un exemple de l’ensemble d’atomiseur 141, avec l’élément chauffant 500 assemblé avec le logement de mèche 178, et la Figure 101 illustre une vue en éclaté de l’ensemble d’atomiseur 141, compatible avec les mises en œuvre de la présente invention.
Le logement de mèche 178 peut être réalisé à partir de plastique, de polypropylène et similaire.
Le logement de mèche 178 comprend quatre évidents 592 dans lesquels au moins une partie de chacune des pattes 506 de l’élément chauffant 500 peut être positionnée et fixée.
Comme représenté, le loge- ment de mèche 178 comprend également une ouverture 593 fournissant l’accès à un volume interne 594, dans lequel au moins la partie chauffante 504 de l’élément chauffant 500 et l’élément de mèche 162 sont positionnés.
Le logement de mèche 178 peut également comprendre un écran ther- mique 518A séparé, qui est représenté sur la Figure 102. L'écran ther- mique 518A est positionné dans le volume interne 594 dans le logement de mèche 178 entre les parois du logement de mèche 178 et l’élément chauffant 500. L'écran thermique 518A est formé pour entourer au moins partiellement la partie chauffante 504 de l’élément chauffant 500 et pour éloigner l'élément chauffant 500 des parois latérales du logement de mèche 178. L'écran thermique 518A peut aider à isoler la partie chauffante 504 du corps de la cartouche de vaporisateur 120 et/ou du logement de mèche 178. L'écran thermique 518A aide à minimiser les effets de la cha- leur provenant de la partie chauffante 504 sur le corps de la cartouche de vaporisateur 120 et/ou le logement de mèche 178 pour protéger l'intégrité structurelle du corps de la cartouche de vaporisateur 120 et/ou le logement de mèche 178 et pour empêcher la fusion ou une autre déformation de la cartouche de vaporisateur 120 et/ou du logement de mèche 178. L'écran thermique 518A peut également aider à maintenir une température cons- tante au niveau de la partie chauffante 504 en retenant la chaleur dans la partie chauffante 504, empêchant ainsi ou limitant les pertes de chaleur.
L’écran thermique 518A comprend une ou plusieurs fentes 590 (par exemple trois fentes) au niveau d’une extrémité, qui s’alignent avec une ou plusieurs fentes (par exemple, une, deux, trois, quatre, cinq, six ou sept fentes ou plus) 596 formées dans une partie du logement de mèche 178 opposé à l’ouverture 593, telle qu’une base du logement de mèche 178 (voir les Figures 100 et 112). Les une ou plusieurs fentes 590, 596 permet- tent la fuite de la pression provoquée par l’écoulement du matériau vapo- risable liquide dans la partie chauffante 504 et la vaporisation du matériau vaporisable, sans affecter l'écoulement liquide du matériau vaporisable.
Dans certaines mises en œuvre, l’inondation peut se produire entre l’élé- ment chauffant 500 (par exemple, les pattes 506) et une paroi externe du logement de mèche 178 (ou entre les parties de l’élément chauffant 500). Par exemple, le matériau vaporisable liquide peut s’accumuler en raison de la pression capillaire entre les pattes 506 de l’élément chauffant 500 et la paroi externe du logement de mèche 178, comme indiqué par la trajec- toire de liquide 599. Dans de tels cas, il peut y avoir suffisamment de pres- sion capillaire pour aspirer le matériau vaporisable liquide hors du réservoir et/ou de la partie chauffante 504. Pour aider à limiter et/ou à empêcher le matériau vaporisable liquide de s'échapper du volume interne du logement de mèche 178 (ou de la partie chauffante 504), le logement de mèche 178 et/ou l’élément chauffant 500 peuvent comprendre une caractéristique ca- pillaire qui provoque un changement brutal de pression capillaire, formant ainsi une barrière de liquide qui empêche le matériau vaporisable liquide de passer la caractéristique sans utiliser de joint d'étanchéité supplémen- taire (par exemple, un joint d'étanchéité hermétique). La caractéristique capillaire peut définir une rupture capillaire, formée par un point saillant, un coude, une surface incurvée ou une autre surface dans le logement de mèche 178 et/ou l'élément chauffant 500. La caractéristique capillaire per- met de positionner un élément conducteur (par exemple l’élément chauf- fant 500) à la fois dans une région mouillée et une région sèche.
La caractéristique capillaire peut être positionnée sur et/ou de faire partie de l’élément chauffant 500 et/ou du logement de mèche 178 et provoque un changement brutal de pression capillaire.
Par exemple, la caractéris- tique capillaire peut comprendre un coude, un point saillant, une surface incurvée, une surface coudée ou une autre caractéristique de surface qui provoque un changement brutal de pression capillaire entre l’élément chauffant et le logement de mèche, le long d’une longueur de l’élément chauffant, ou d’un autre composant de la cartouche de vaporisateur.
La caractéristique capillaire peut également comprendre une saillie ou une autre partie de l’élément chauffant et/ou du logement de mèche qui élargit un canal capillaire, tel que le canal capillaire formé entre des parties de l'élément chauffant, entre l'élément chauffant et le logement de mèche, et similaire, qui est suffisant pour réduire la pression capillaire dans le canal capillaire (par exemple, la caractéristique capillaire éloigne l’élément chauffant du logement de mèche) de sorte que le canal capillaire n’aspire pas le liquide dans le canal capillaire.
Ainsi la caractéristique capillaire em- pêche ou limite l'écoulement du liquide le long d’une trajectoire de liquide au-delà de la caractéristique capillaire, au moins en partie, en raison du changement brutal et/ou de la réduction de pression capillaire.
La taille et/ou la forme de la caractéristique capillaire (par exemple le coude, le point saillant, la surface incurvée, la surface coudée, la saillie, et similaire) peuvent dépendre d’un angle de mouillage formé entre les matériaux, tels que l’élément chauffant et le logement de mèche ou d’autres parois d’un canal capillaire formé entre les composants, peuvent dépendre d’un maté- riau de l’élément chauffant et/ou du logement de mèche ou d’un autre com- posant, et/ou peuvent dépendre d’une taille d’un espace formé entre deux composants, tel que l’élément chauffant et/ou le logement de mèche défi- nissant le canal capillaire, parmi d’autres propriétés.
A titre d'exemple, les Figures 103A et 103B illustrent le logement de mèche 178 ayant une caractéristique capillaire 598 qui provoque un changement brutal de pression capillaire.
La caractéristique capillaire 598 empêche ou limite l'écoulement de liquide le long de la trajectoire de liquide 599 au- delà de la caractéristique capillaire 598 et aide à empêcher ou à limiter le regroupement du liquide entre les pattes 506 et le logement de mèche 178. La caractéristique capillaire 598 sur le logement de mèche 178 éloigne l'élément chauffant 500 (par exemple un composant réalisé à partir de mé- tal, etc.) du logement de mèche 178 (par exemple un composant réalisé à partir de plastique, etc.), réduisant ainsi la résistance capillaire entre les deux composants.
La caractéristique capillaire 598 représentée sur les Fi- gures 103A et 103B comprend également un bord saillant au niveau d’une extrémité d’une surface coudée du logement de mèche qui limite ou em- pêche l’écoulement du liquide au-delà de la caractéristique capillaire 598. Comme représenté sur la Figure 103B, les pattes 506 de [élément chauf- fant 500 peuvent être également coudées vers l’intérieur vers le volume intérieur de l’élément chauffant 500 et/ou le logement de mèche 178. Les pattes coudées 506 peuvent former une caractéristique capillaire qui aide à limiter ou à empêcher l’écoulement du liquide sur une surface externe de l'élément chauffant et le long des pattes 506 de l’élément chauffant 500. A titre d’autre exemple, l’élément chauffant 500 peut comprendre une ca- ractéristique capillaire (par exemple, un pont 585) qui est formée avec les une ou plusieurs pattes 506 à distance de la partie chauffante 504 (voir les Figures 82 à 98). Le pont 585 peut être formé en pliant élément chauffant 500 le long des lignes de pliage 520, 522. Dans certaines mises en œuvre,
le pont 585 aide réduire ou à supprimer le trop-plein de matériau vapori- sable de la partie chauffante 504, en raison de l’action capillaire. Dans cer- tains exemples, comme les éléments chauffants 500 exemplaires repré- senté sur les Figures 93A à 98B, le pont 585 est coudé et/ou comprend un coude pour aider à limiter l'écoulement de fluide hors de la partie chauf- fante 504. A titre d’autre exemple, l’élément chauffant 500 peut comprendre une ca- ractéristique capillaire 598 qui définit un point saillant pour provoquer un changement brutal de pression capillaire, empêchant ainsi l'écoulement du matériau vaporisable liquide au-delà de la caractéristique capillaire 598. La Figure 104 représente un exemple de l'élément chauffant 500 ayant la caractéristique capillaire 598, compatible avec les mises en œuvre de la présente invention. Comme représenté sur la Figure 104, la caractéristique capillaire 598 peut former une extrémité du pont 585 qui s'étend vers l’ex- térieur à distance de la partie chauffante par une distance qui est supé- rieure à une distance entre les pattes 506 et la partie chauffante 504. L'ex- trémité du pont 585 peut être un bord saillant pour aider en outre à empê- cher le passage du matériau vaporisable liquide par les pattes 506 et/ou hors de la partie chauffante 504, réduisant ainsi les fuites et l'augmentation de la quantité de matériau vaporisable qui reste dans la partie chauffante
504. Les Figures 105 à 106 illustrent une variante de l’élément chauffant 500 représenté sur les Figures 87 à 92. Dans cette variante de l’élément chauf- fant 500, les pattes 506 de l'élément chauffant 500 comprennent un coude au niveau d’une région d’inflexion 511. Le coude dans les pattes 506 peut former une caractéristique capillaire 598, qui aide à empêcher l’écoule- ment du matériau vaporisable liquide au-delà de la caractéristique capil- laire 598. Par exemple, le coude peut créer un changement brutal de pres- sion capillaire, qui peut également aider à limiter ou à empêcher l’écoule- ment du matériau vaporisable liquide au-delà du coude et/ou le regroupe- ment entre les pattes 506 et le logement de mèche 178, et peut aider à limiter ou empêcher l'écoulement du matériau vaporisable liquide hors de la partie chauffante 504. Les Figures 107 à 108 illustrent une variante des éléments chauffants 500 représentés sur les Figures 93A à 98B. Dans cette variante de l’élément chauffant 500, les pattes 506 de l’élément chauffant 500 comprennent un coude au niveau d’une région d’inflexion 511. Le coude dans les pattes 506 peut former une caractéristique capillaire 598, qui aide à empêcher l'écoulement du matériau vaporisable liquide au-delà de la caractéristique capillaire 598. Par exemple, le coude peut créer un changement brutal de pression capillaire, qui aide également à limiter ou à empêcher l’écoule- ment du matériau vaporisable liquide au-delà du coude et/ou le regroupe- ment entre les pattes 506 et le logement de mèche 178, et peut aider à limiter ou empêcher l'écoulement du matériau vaporisable liquide hors de la partie chauffante 504. Les Figures 111A à 112 illustrent un autre exemple de l’ensemble d’atomi- seur 141, avec l'élément chauffant 500 assemblé au logement de mèche 178 et à l'écran thermique 518A, et la Figure 113 illustre une vue en éclaté de l’ensemble d’atomiseur 141, compatible avec les mises en œuvre de la présente invention. Le logement de mèche 178 peut être réalisé à partir de plastique, de polypropylène et similaire. Le logement de mèche 178 com- prend quatre évidements 592 dans lesquels au moins une partie de cha- cune des pattes 506 de l’élément chauffant 500 peut être positionnée et fixée. Dans les évidements 592, le logement de mèche 178 peut com- prendre une ou plusieurs caractéristiques de retenue de logement de mèche 172 (voir la Figure 115A) qui aident à fixer l'élément chauffant 500 sur le logement de mèche 178, comme par exemple via un agencement par encliquetage entre au moins une partie des pattes 506 de l’élément chauffant 500 et les caractéristiques de retenue de logement de mèche
172. Les caractéristiques de retenue de logement de mèche 172 peuvent également aider à éloigner l’élément chauffant 500 d’une surface du loge-
ment de mèche 178, pour aider à empêcher la chaleur d’agir sur le loge- ment de mèche et de faire fondre une partie du logement de mèche 178. Comme représenté, le logement de mèche 178 comprend également une ouverture 593 fournissant l’accès à un volume interne 594, dans lequel au moins la partie chauffante 504 de l’élément chauffant 500 et l’élément de mèche 162 sont positionnés.
Le logement de mèche 178 peut également comprendre une ou plusieurs autres découpes qui aident à éloigner l'élément chauffant 500 d’une sur- face du logement de mèche 178 pour réduire la quantité de chaleur qui est en contact avec la surface du logement de mèche 178. Par exemple, le logement de mèche 178 peut comprendre des découpes 170. Les dé- coupes 170 peuvent être formées le long d’une surface externe du loge- ment de mèche 178 à proximité de l’ouverture 593. Les découpes 170 peuvent également comprendre une caractéristique capillaire, telle que la caractéristique capillaire 598. La caractéristique capillaire des découpes 170 peut définir une surface (par exemple une surface incurvée) qui coupe les points de tangence entre des parois adjacentes (ou d’intersection) (telles que les parois du logement de mèche). La surface incurvée peut avoir un rayon qui est suffisant pour réduire ou supprimer la capillarité for- mée entre les parois externes adjacentes du logement de mèche.
En référence aux Figures 111A à 112, le logement de mèche 178 peut comprendre une languette 168. La languette 168 peut aider à positionner correctement et/ou orienter le logement de mèche pendant l’assemblage de la cartouche de vaporisateur, par rapport aux un ou plusieurs autres composants de la cartouche de vaporisateur.
Par exemple, le matériau ajouté formant la languette 168 décale le centre de masse du logement de mèche 178. En raison du centre de masse décalé, le logement de mèche 178 peut tourner ou coulisser dans une certaine orientation pour s’aligner avec une caractéristique correspondante d’un autre composant de la car- touche de vaporisateur pendant l’assemblage.
Les Figures 114A à 114C illustrent un procédé exemplaire pour former l’en- semble d’atomiseur 141 de la cartouche de vaporisateur 120, comprenant le logement de mèche 178, l'élément de mèche 162 et l'élément chauffant 500, compatibles avec les mises en œuvre de la présente invention.
Comme représenté sur la Figure 114A, l’élément de mèche 162 peut être inséré dans la poche formée dans l'élément chauffant 500 (par exemple formée par les parties de dent latérales 526 et la partie de dent de plate- forme 524). Dans certaines mises en œuvre, l'élément de mèche 162 se dilate après avoir été fixé sur l'élément chauffant 500, lorsque le matériau vaporisable est introduit dans l’élément de mèche 162. La Figure 114B représente l'élément de mèche 162 et élément chauffant 500 qui sont couplés au logement de mèche 178 et la Figure 114C repré- sente un exemple de l'élément de mèche 162 et de l'élément chauffant 500 assemblés avec le logement de mèche 178. Au moins une partie de l’élé- ment chauffant 500, telle que la partie chauffante 504, peut être position- née dans le volume interne du logement de mèche 178. Les pattes 506 (par exemple, les parties de retenue 180) de l'élément chauffant 500 peu- vent se coupler avec les parois externes du logement de mèche 178, par exemple, via un agencement par encliquetage.
En particulier, les parties de retenue 180 des pattes 506 peuvent se coupler avec et être position- nées au moins partiellement dans les évidements dans le logement de mèche 178. Les Figures 115A à 115C illustrent un autre procédé exemplaire pour for- mer un ensemble d’atomiseur 141 de la cartouche de vaporisateur 120, comprenant le logement de mèche 178, l'élément de mèche 162 et l’élé- ment chauffant 500, compatibles avec les mises en œuvre de la présente invention.
Comme représenté sur la Figure 115A, l’élément chauffant 500 peut être couplé au logement de mèche 178, par exemple, en insérant ou en positionnant la au moins une partie de l’élément chauffant 500, telle que la partie chauffante 504 dans le volume interne du logement de mèche 178. Les pattes 506 (par exemple les parties de retenue 180) de l’élément chauffant 500 peuvent se coupler avec les parois externes du logement de mèche 178, via par exemple un agencement par encliquetage.
En particu- lier, les parties de retenue 180 ou une autre partie des pattes 506 peuvent se coupler avec et être positionnées au moins partiellement dans les évi- dements dans le logement de mèche 178, par exemple, en se couplant avec les caractéristiques de retenue de logement de mèche 172. Comme représenté sur la Figure 115B, l'élément de mèche 162 peut être inséré dans la poche formée dans l'élément chauffant 500 (par exemple formée par les parties de dent latérales 526 et la partie de dent de plate- forme 524. Dans certaines mises en œuvre, l’élément de mèche 162 est comprimé lorsque l’élément de mèche 162 est couplé avec l’élément chauffant 500. Dans certaines mises en œuvre, l'élément de mèche 162 se monte dans l’élément chauffant 500 et se dilate après avoir été fixé sur l'élément chauffant 500, lorsque le matériau vaporisable est introduit dans l'élément de mèche 162. La Figure 115C représente un exemple de élément de mèche 162 et de l'élément chauffant 500 assemblés avec le logement de mèche 178 pour former l’ensemble d’atomiseur 141. La Figure 116 illustre un procédé exemplaire 3600 pour assembler l’élé- ment chauffant 500 compatible avec les mises en œuvre de la présente invention.
L’organigramme de procédé 3600 illustre les caractéristiques d’un procédé, qui peut facultativement comprendre une certaine partie ou la totalité de la partie suivante.
Dans le bloc 3610, on prévoit un substrat planaire ayant des propriétés de chauffage résistives.
Dans le bloc 3612, le substrat planaire peut être découpé et/ou estampé à la géométrie sou- haitée.
Dans le bloc 3614, au moins une partie de l'élément chauffant 500 peut être plaquée.
Par exemple, comme mentionné ci-dessus, une ou plu- sieurs couches d’un matériau de placage (par exemple un matériau de placage adhérant et/ou un matériau de placage externe) peuvent être dé- posées sur au moins une partie d’une surface externe de l'élément chauf- fant 500. Dans le bloc 3616, la partie chauffante 504 (par exemple les dents 502) peut être coudée et/ou sertie autour d’un élément de mèche pour correspondre à la forme de l’élément de mèche et pour fixer l’élément de mèche à l'élément chauffant.
Dans le bloc 3618, les contacts de car- touche 124 qui, dans certaines mises en œuvre, forment une partie d’ex- trémité des pattes 506 de l’élément chauffant 500, peuvent être coudés dans une première ou deuxième direction le long d’un plan ou une troi- sième direction qui est perpendiculaire à la première ou deuxième direction.
Dans le bloc 3620, l'élément chauffant 500 peut être assemblé dans une cartouche de vaporisateur 120 et on peut provoquer la communication de fluide entre l'élément de mèche 162 et un réservoir de matériau vapori- sable.
Dans le bloc 3622, le matériau vaporisable peut être aspiré dans l'élément de mèche 162, qui peut être positionné en contact avec au moins deux surfaces de la partie chauffante 504 de l’élément chauffant 500. Dans le bloc 3624, un moyen de chauffage peut être prévu sur les contacts de cartouche 124 de l’élément chauffant pour chauffer l'élément chauffant 500, au moins la partie chauffante 504. Le chauffage provoque la vaporisation du matériau vaporisable.
Dans le bloc 3626, le matériau vaporisable vapo- risé est entraîné dans un écoulement d’air jusqu’à un embout buccal de la cartouche de vaporisation dans laquelle l’élément chauffant est positionné.
Modes de réalisation de contrôle de condensat, de collecte et de recyclage Les Figures 117 à 119C illustrent des modes de réalisation d’une cartouche de vaporisateur comprenant une ou plusieurs caractéristiques pour con- trôler, collecter et/ou recycler le condensat dans un dispositif vaporisateur.
Alors que les caractéristiques décrites et représentées par rapport aux Fi- gures 117 à 119C peuvent être comprises dans les différents modes de réalisation des cartouches de vaporisateur décrites ci-dessus et/ou peu- vent comprendre une ou plusieurs caractéristiques des différents modes de réalisation des cartouches de vaporisateur décrites ci-dessus, les ca- ractéristiques des cartouches de vaporisateur décrites et représentées par rapport aux Figures 117 à 119C peuvent de plus et/ou en variante être comprises dans un ou plusieurs autres modes de réalisation exemplaires des cartouches de vaporisateur, tels que ceux décrits ci-dessous.
Une approche typique grâce à laquelle un dispositif vaporisateur génère un aérosol inhalable à partir d’un matériau vaporisable implique le chauf- fage du matériau vaporisable dans une chambre de vaporisation (ou une chambre de dispositif de chauffage) pour amener le matériau vaporisable à être converti en phase gazeuse (ou vapeur). Une chambre de vaporisa- tion fait généralement référence à une zone ou volume dans le dispositif vaporisateur à l’intérieur duquel une source de chaleur (par exemple par conduction, par convection et/ou par rayonnement) amène le chauffage d’un matériau vaporisable à produire un mélange d’air et de matériau va- porisable vaporisé pour former une vapeur pour l’inhalation par un utilisa- teur du dispositif de vaporisation.
Depuis l'introduction des dispositifs de vaporisateur sur le marché, les car- touches de vaporisateur contenant du liquide libre (c'est-à-dire le liquide maintenu dans un réservoir et non retenu par un matériau poreux) ont ga- gné en popularité.
Les produits sur le marché peuvent avoir des tampons de coton ou aucune caractéristique pour collecter un condensat produit par la génération de vapeur dans un dispositif vaporisateur.
Le liquide de condensation peut former un film sur les parois d’une trajec- toire d'air et peut remonter jusqu’à l’embout buccal avec le potentiel de fuir dans la bouche d’un utilisateur, ce qui peut provoquer une expérience dé- sagréable.
Même si le film de paroi ne fuit pas de l’'embout buccal, il peut être entraîné par l'écoulement d'air créant de grosses gouttes qui peuvent être aspirées dans la bouche et la gorge de l'utilisateur, se traduisant par une expérience désagréable pour l’utilisateur.
Les problèmes liés à l’utili- sation d’un tampon en coton pour absorber un tel condensat comprennent l'’inefficacité ainsi que des coûts de fabrication et d’assemblage supplé- mentaires pour intégrer le tampon de coton dans une partie d’un dispositif vaporisateur.
En outre, l'accumulation et la perte de condensat et/ou de matériau vaporisable non vaporisé peuvent finalement se traduire par une incapacité à aspirer la totalité du matériau vaporisable dans la chambre de vaporisation, gaspillant ainsi le matériau vaporisable.
Ainsi, on souhaite des dispositifs de vaporisation et/ou des cartouches de vaporisation amé- liorés.
Le fait de vaporiser le matériau vaporisable dans un aérosol, comme décrit de manière plus détaillée ci-dessous, peut se traduire par la collecte du condensat le long d’un ou de plusieurs canaux internes et sorties (par exemple le long d'un embout buccal) de certains vaporisateurs.
Par exemple, un tel condensat peut comprendre le matériau vaporisable qui a été aspiré depuis un réservoir, formé en un aérosol et condensé dans le condensat avant de sortir du vaporisateur.
De plus, le matériau vaporisable qui a contourné le procédé de vaporisation peut également s’accumuler le long des un ou plusieurs canaux internes et/ou sorties d'air.
Ceci peut se traduire par le condensat et/ou le matériau vaporisable non vaporisé qui sort de la sortie d’embout buccal et le dépôt dans la bouche d’un utilisateur, créant ainsi à la fois une expérience désagréable pour l’utilisateur ainsi que la réduction de la quantité d’aérosol inhalable disponible.
En outre, l'accumulation et la perte de condensat peuvent finalement se traduire par l'incapacité à aspirer la totalité du matériau vaporisable du réservoir dans la chambre de vaporisation, gaspillant ainsi le matériau vaporisable.
Par exemple, lorsque les particules de matériau vaporisable s'accumulent dans les canaux internes d'un tube d'air en aval d’une chambre de vapori- sation, la section transversale effective de la voie de passage d’écoule- ment d'air se rétrécit, augmentant ainsi le débit d'air et appliquant ainsi des traînées sur le fluide accumulé, amplifiant par conséquent le potentiel pour entraîner le fluide des canaux internes et à travers la sortie d’embout buc- cal.
On décrit ci-dessous différentes caractéristiques et dispositifs qui améliorent ou viennent à bout de ces problèmes.
Comme mentionné ci-dessus, le fait d’aspirer le matériau vaporisable du réservoir et de vaporiser le matériau vaporisable en un aérosol peut se traduire par le condensat de matériau vaporisable qui se collecte de ma-
nière adjacente à et/ou dans une ou plusieurs sorties formées dans l’em- bout buccal. Ceci peut se traduire dans le condensat qui sort par les sorties et le dépôt dans la bouche de l’utilisateur, créant ainsi à la fois une expé- rence désagréable pour l’utilisateur ainsi que la réduction de la quantité de vapeur consommable disponible. On décrit ci-dessous différentes ca- ractéristiques de dispositif vaporisateur qui améliorent ou viennent à bout de ces problèmes. Par exemple, on décrit ici différentes caractéristiques pour contrôler le condensat dans un dispositif vaporisateur, qui peut fournir des avantages et des améliorations par rapport aux approches existantes, tout en introduisant également des bénéfices supplémentaires, tels que décrits ici. Par exemple, on décrit des caractéristiques de dispositif vapo- risateur qui sont configurées pour collecter et contenir le condensat qui se forme et se collecte de manière adjacente à une sortie de l’embout buccal, empêchant ainsi le condensat de sortir par la sortie.
En variante ou en plus, l’aspiration du matériau vaporisable 102 du réser- voir 140 et la vaporisation du matériau vaporisable en un aérosol peuvent se traduire par la collecte du condensat dans un ou plusieurs tubes ou canaux internes (tel qu’un tube d'air) d’un dispositif vaporisateur. Comme cela sera décrit de manière plus détaillée ci-dessous, on décrit les carac- téristiques de dispositif vaporisateur qui sont configurées pour piéger le condensat et empêcher les particules de matériau vaporisable de sortir par la sortie d’air de la cartouche de vaporisateur.
La Figure 117 illustre un mode de réalisation d’une cartouche de vaporisa- teur 120 comprenant un collecteur de condensat à ailettes 352 configuré pour collecter et contenir le condensat qui se forme ou se collecte de ma- nière adjacente à une sortie de l’embout buccal ou d’une autre région de la cartouche de vaporisateur 120 empêchant ainsi le condensat de sortir par la sortie. Comme représenté sur la Figure 117, le collecteur de con- densat à ailettes 352 peut être disposé dans une chambre à proximité de la sortie 136 dans un embout buccal 130 de sorte que l’aérosol passe par le collecteur de condensat à ailettes 352 avant de sortir par la sortie 136.
La Figure 118 illustre un mode de réalisation d’un embout buccal 330 com- prenant un mode de réalisation d’un collecteur de condensat à ailettes 352 ayant une pluralité d’ailettes microfluidiques 354. L'embout buccal 330 peut être configuré pourune cartouche de vaporisateur (telle que la car- touche de vaporisateur 120) et/ou un dispositif vaporisateur (tel que le va- porisateur 100) avec les ailettes microfluidiques 354 logées dans le collec- teur de condensat à ailettes 352 pour améliorer la collecte et le confine- ment dans la cartouche de vaporisateur.
Comme représenté sur la Figure 118, les ailettes microfluidiques 354 comprennent un ensemble de parois 355 ou d’autres saillies et rainures étroites 353 qui ont des propriétés mi- crofluidiques.
Dans un mode de réalisation exemplaire, chaque paroi dans l’ensemble de parois 355 peut être positionnée parallèlement, ou sensible- ment parallèlement aux autres de sorte que l’espace entre chaque paroi crée les rainures 353 qui définissent des canaux capillaires.
Les parois 355 définissent ou bien forment un ou plusieurs canaux capillaires ou rainures qui sont configurés pour collecter le fluide ou un autre condensat.
L’embout buccal 330 illustré sur la Figure 118 peut améliorer ou modifier la collecte et le confinement du condensat dans le réservoir de sorte que le condensat s’écoulant hors d’une sortie de tube d'air 332 (tel qu’un tube d'air ou une canule 128, comme représenté sur la Figure 117) peut être piégé ou se collecter entre les ailettes microfluidiques 354 lorsque l’utilisa- teur procède à une inhalation sur le dispositif vaporisateur.
Comme men- tionné, les ailettes microfluidiques définissent un ou plusieurs canaux ca- pillaires à travers lesquels le fluide est collecté via une force capillaire for- mée lorsque le fluide est positionné dans le(s) canal(aux) capillaire(s). Pour maintenir le fluide piégé par le collecteur de condensat à ailettes 352 sans qu'il soit extrait par la traînée de l’élément chauffant, la force capillaire des ailettes microfluidiques peut être supérieure à la traînée d’élément chauffant en prévoyant des rainures étroites ou des canaux dans lesquels le fluide est positionné.
Par exemple, une largeur de rainure effective peut être de 0,3 mm et/ou une plage d’approximativement 0,1 mm à approxi- mativement 0,8 mm.
Un avantage à cette configuration est de limiter le besoin de fabriquer des pièces supplémentaires, réduisant ainsi le nombre de pièces sans perte de fonction.
Dans un mode de réalisation, le collecteur de condensat à ailettes et l’embout buccal peuvent être fabriqués sous la forme d’un corps monolithique à l’aide d’un moule, (par exemple un moule de plastique). De plus, le collecteur de condensat à ailettes et l'embout buccal peuvent être des structures séparées qui sont soudées ensemble, qui forment collecti- vement le collecteur de condensat à ailettes.
D'autres procédés de fabri- cation et d’autres matériaux sont dans la portée de la présente description.
Dans d’autres modes de réalisation, les ailettes microfluidiques peuvent être formées comme une partie séparée et se monter dans l’embout buccal.
Par exemple, les ailettes microfluidiques peuvent être formées dans n’im- porte quelle partie du dispositif vaporisateur ou cartouche de vaporisateur pour collecter et contenir le condensat.
Les ailettes microfluidiques peu- vent être formées avec l’embout buccal ou peuvent être formées en tant que seconde partie en plastique et être montées dans l’embout buccal.
En plus de se collecter dans l’embout buccal, le condensat de matériau vaporisable peut s'accumuler dans une ou plusieurs voies de passage d'écoulement d'air ou canaux internes d’un dispositif vaporisateur.
On dé- crit ci-dessous différentes caractéristiques et différents dispositifs qui amé- liorent ou viennent à bout de ces problèmes.
Par exemple, on décrit ici différentes caractéristiques pour recycler le condensat dans un dispositif vaporisateur, tels que les modes de réalisation d’un système de recyclage de condensat, comme cela sera décrit de manière plus détaillée ci-des- sous.
Les Figures 119A à 119C illustrent un mode de réalisation d’un système de recyclage de condensat 360 d’une cartouche de vaporisateur (telle que la cartouche de vaporisateur 120) et/ou d’un dispositif vaporisateur (tel que le vaporisateur 100). Le système de recyclage de condensat 360 peut être configuré pour collecter le condensat de matériau vaporisable et diriger à nouveau le condensat vers la mèche pour une réutilisation.
Le système de recyclage de condensat 360 peut comprendre un tube d'air 334 intérieurement rainuré créant une voie de passage d'écoulement d'air 338 qui s’étend à partir de l’'embout buccal vers la chambre de vaporisation 342 et peut être configuré pour collecter le condensat de matériau vapori- sable et le diriger (via l’action capillaire) à nouveau vers la mèche pour une réutilisation.
Une fonction des rainures peut comprendre que le condensat de matériau vaporisable soit piégé ou positionné d’une autre manière dans les rainures.
Le condensat, une fois positionné dans les rainures, descend vers la mèche en raison de l’action capillaire créée par l’élément de mèche.
Le drainage du condensat dans les rainures peut au moins partiellement être atteint via l’action capillaire.
S’il existe de la condensation à l’intérieur du tube d'air, les particules de matériau vaporisable remplissent les rainures plutôt que de former ou de construire une paroi de condensat à l’intérieur du tube d'air si les rainures étaient absentes.
Lorsque les rainures sont assez remplies pour établir la communication de fluide avec la mèche, le condensat s’évacue par et depuis les rainures et peut être réutilisé sous forme de matériau vaporisable.
Dans certains modes de réalisation, les rainures peuvent être progressivement rétrécies de sorte que les rainures sont plus étroites vers la mèche et plus larges vers l’'embout buccal.
Un tel rétrécissement progressif peut encourager le fluide à se déplacer vers la chambre de vaporisation lorsque davantage de condensat se collecte dans les rainures, via une action capillaire plus importante au niveau du point plus étroit.
La Figure 119A représente une vue en coupe du tube d'air 334. Le tube d'air 334 comprend une voie de passage d’écoulement d'air 338 et une ou plusieurs rainures internes ayant un diamètre hydraulique décroissant vers la chambre de vaporisation 342. Les rainures sont dimensionnées et for-
mées de sorte que le fluide (tel que le condensat) disposé dans les rai- nures peut être transporté d’un premier emplacement à un second empla- cement via l’action capillaire.
Les rainures internes comprennent des rai- nures de tube d'air 364 et des rainures de chambre 365. Les rainures de tube d'air 364 peuvent être disposées à l’intérieur du tube d'air 334 et peu- vent se rétrécir progressivement de sorte que la section transversale des rainures de tube d’air 364 au niveau de la première extrémité 362 de tube d'air peut être supérieure à la section transversale des rainures de tube d'air 364 au niveau d’une seconde extrémité 363 de tube d'air.
Les rainures de chambre 365 peuvent être disposées à proximité de la seconde extré- mité 363 de tube d'air et couplées avec les rainures de tube d'air 364. Les rainures internes peuvent être en communication de fluide avec la mèche et configurées pour permettre à la mèche de drainer de manière continue le condensat de matériau vaporisable des rainures internes, empêchant ainsi l'accumulation d’un film de condensat dans la voie de passage d'écoulement d'air 338. Le condensat peut de préférence entrer dans les rainures internes en raison de l'entraînement capillaire des rainures in- ternes.
Le gradient d’entraînement capillaire dans les rainures internes di- rige la migration de fluide vers le logement de mèche 346, où le condensat de matériau vaporisable est recyclé en saturant à nouveau la mèche.
Les Figures 119B et 119C représentent une vue interne du système de recyclage de condensat 360, comme respectivement observé depuis la première extrémité 362 de tube d'air, et la seconde extrémité 363 de tube d'air.
La première extrémité 362 de tube d'air peut être disposée à proxi- mité de l’embout buccal et/ou de la sortie d’air.
La seconde extrémité 363 de tube d'air peut être disposée à proximité de la chambre de vaporisation 342 et/ou du logement de mèche 346, et peut être en communication de fluide avec les rainures de chambre 365 et/ou la mèche.
Les rainures de tube d'air 364 peuvent avoir un premier diamètre 366 et un second dia- mètre 368. Le second diamètre 368 peut être plus étroit que le premier diamètre 366.
Comme abordé ci-dessus, lorsque la section transversale effective de la voie de passage d'écoulement d'air se rétrécit, par accumulation du con- densat dans la voie de passage d’écoulement d'air ou par conception, comme abordé ici, le débit de Pair se déplaçant à travers le tube d'air aug- mente, appliquant des traînées sur le fluide accumulé (par exemple, le condensat). Le fluide sort de la sortie d'air lorsque les traînées tirant le fluide vers l’utilisateur (par exemple en réponse à l'inhalation sur le vapo- risateur) sont supérieures aux forces capillaires tirant le fluide vers la mèche.
Afin de venir à bout de ce problème et encourager le condensat à distance de la sortie d'embout buccal et à nouveau vers la chambre de vaporisation 342 et/ou la mèche, une voie de passage d’écoulement d'air progressive- ment rétrécie est prévue de sorte qu’une section transversale des rainures de tube d'air 364 à proximité de la chambre de vaporisation 342 est plus étroite qu’une section transversale des rainures de tube d'air 364 à proxi- mité de l’embout buccal.
En outre, chacune des rainures internes se rétré- cit de sorte que la largeur des rainures internes à proximité de la première extrémité 362 de tube d’air peut être plus large que la largeur des rainures internes à proximité de la seconde extrémité 363 de tube d'air.
Ainsi, la voie de passage se rétrécissant progressivement augmente l'entraînement capillaire des rainures de tube d'air 364 et encourage le mouvement de fluide du condensat vers les rainures de chambre 365. En outre, les rai- nures de chambre 365 à proximité de la seconde extrémité de tube d'air 363 peuvent être plus larges que la largeur des rainures de chambre 365 à proximité de la mèche.
C'est-à-dire que chaque canal de rainure se ré- trécit progressivement à approche de la mèche en plus de la voie de pas- sage d'écoulement d'air qui se rétrécit elle-même vers l’extrémité de mèche.
Afin de maximiser l’efficacité de l’action capillaire fournie par la conception de système de recyclage de condensat, la taille transversale de tube d'air par rapport à la taille de rainure peut être prise en considération.
Alors que l'entraînement capillaire peut augmenter au fur et à mesure que la largeur de rainure rétrécit, il peut en résulter des tailles de rainure plus petites dans le condensat qui déborde des rainures et bouche le tube d'air. Ainsi, la largeur de rainure peut aller d’approximativement 0,1 mm à approximati- vement 0,8 mm. Dans certains modes de réalisation, la géométrie ou nombre de rainures peut varier. Par exemple, les rainures peuvent ne pas nécessairement avoir un diamètre hydraulique décroissant vers la mèche. Dans certains modes de réalisation, un diamètre hydraulique décroissant vers la mèche peut améliorer la performance de l’entraînement capillaire, mais on peut prendre d’autres modes de réalisation en considération. Par exemple, les rainures internes et les canaux peuvent avoir une structure sensiblement droite, une structure progressivement rétrécie, une structure hélicoïdale et/ou d’autres agencements.
Dans certains modes de réalisation, les caractéristiques requises pour créer l’entraînement capillaire peuvent être solidaires avec la structure de logement de l’unité de génération d’aérosol (par exemple, la chambre de vaporisation), l’embout buccal et/ou une partie d’une pièce en plastique séparée (tel que le collecteur de condensation à ailettes, abordé ici).
Terminologie Lorsqu’une caractéristique ou un élément est désigné ici comme étant « Sur » une autre caractéristique ou élément, elle (il) peut être directement sur l’autre caractéristique ou élément ou des caractéristiques et/ou élé- ments intermédiaires peuvent également être présents. En contraste, lorsqu'une caractéristique ou élément est désigné comme étant « directe- ment sur » une autre caractéristique ou élément, il n’y a pas de caractéris- tiques ni d’éléments intermédiaires présents. Il faut également comprendre que, lorsqu’une caractéristique ou élément est désigné(e) comme étant « raccordé(e) », « fixé(e) » ou « couplé(e) » à une autre caractéristique ou élément, elle (il) peut être directement raccordé(e), fixé(e) ou couplé(e) à l’autre caractéristique ou élément, ou des caractéristiques ou éléments in- termédiaires peuvent être présents.
En contraste, lorsqu’une caractéris- tique ou élément est désigné(e) comme étant « directement raccordé(e) », « directement fixé(e) » ou « directement couplé(e) » à une autre caracté- ristique ou élément, il n’y a pas de caractéristiques ou éléments intermé- diaires présents.
Bien que décrits ou représentés par rapport à un mode de réalisation, les caractéristiques et les éléments ainsi décrits ou représentés peuvent s’ap- pliquer à d’autres modes de réalisation.
L'homme du métier notera égale- ment que les références à une structure ou caractéristique qui est dispo- sée de manière « adjacente » à une autre caractéristique, peut avoir des parties qui se chevauchent ou qui sont sous-jacentes par rapport à la ca- ractéristique adjacente.
La terminologie utilisée ici a pour but de décrire des modes de réalisation particuliers et des mises en œuvre particulières uniquement et n’est pas prévue pour être limitative.
Par exemple, comme utilisées ici, les formes singulières « un », « une » et « le », « la » peuvent être prévues pour com- prendre également les formes plurielles, à moins que le contexte n'indique clairement le contraire.
Il faut comprendre que les termes « comprend » et/ou « comprenant », lorsqu'ils sont utilisés dans la présente divulgation, spécifient la présence de caractéristiques, étapes, opérations, éléments et/ou composants mentionnés, mais n’excluent pas la présence ou l’ajout d’un ou de plusieurs autres caractéristiques, étapes, opérations, éléments, composants et/ou leurs groupes.
Comme utilisé ici, le terme « et/ou » com- prend l’une quelconque ou toutes les combinaisons des un ou plusieurs des articles listés associés et peut être abrégé par « / » . Dans les descriptions ci-dessus et dans les revendications, les expres- sions comme « au moins l’un parmi » ou « un ou plusieurs » peuvent se produire suivies par une liste conjonctive d'éléments ou caractéristiques.
Le terme « et/ou » peut également se produire dans une liste de deux ou plusieurs éléments ou caractéristiques.
Sauf indication implicitement ou explicitement contraire par le contexte dans lequel elle est utilisée, une telle expression est prévue pour signifier l’un quelconque des éléments ou caractéristiques listés individuellement ou l’un quelconque des éléments ou caractéristiques mentionnés en combinaison avec l’un quelconque des autres éléments ou caractéristiques mentionnés.
Par exemple, les expres- sions « au moins l’un parmi À et B », « un ou plusieurs de et B » ; et « A et/ou B » sont chacune prévues pour signifier « A seul, B seul ou A et B ensemble ». Une interprétation similaire est également prévue pour des listes comprenant trois articles ou plus.
Par exemple, les expressions « au moins l’un parmi A, Bet C » ; «un ou plusieurs de A, Bet C >» ; et «A, B et/ou C » sont chacune prévues pour signifier « A seul, B seul, C seul, À et B ensemble, A et C ensemble, B et C ensemble, ou À et B et C ensemble.
L'utilisation du terme « basé sur » ci-dessus et dans les revendications est prévue pour signifier « basé au moins, en partie, sur », de sorte qu’une caractéristique ou élément non mentionné(e) est également autorisé(e). Les termes relatifs à l’espace, tels que « avant », « arrière », « sous », « au-dessous », « inférieur », « sur », « supérieur » et similaire peuvent être utilisés ici pour faciliter la description pour décrire une relation d’un élément ou caractéristique avec un autre (d’autres) élément(s) ou caracté- ristique(s), comme illustré sur les Figures.
II faut comprendre que les termes relatifs à l'espace sont prévus pour englober les différentes orien- tations du dispositif à l'usage ou en fonctionnement en plus de orientation illustrée sur les Figures.
Par exemple, si un dispositif sur les Figures est inversé, les éléments décrits comme étant « sous » ou « au-dessous » d’autres éléments ou caractéristiques sont alors orientés « sur » les autres éléments ou caractéristiques.
Ainsi le terme exemplaire « sous » peut en- glober une orientation à la fois sur et sous.
Le dispositif peut être sinon orienté (entraîné en rotation à 90 degrés ou à d’autres orientations) et les descripteurs relatifs à l’espace utilisés ici, sont interprétés de manière cor- respondante.
De manière similaire, les termes « vers le haut », « vers le bas », « vertical », « horizontal » et similaires peuvent être utilisés à des fins d'explication, sauf indication contraire.
Bien que les termes « premier » et « second (deuxième) » peuvent être utilisés ici pour décrire différents caractéristiques/éléments (y compris des étapes), ces caractéristiques/éléments ne doivent pas être limités par ces termes, sauf indication contraire.
Ces termes peuvent être utilisés pour dis- tinguer une caractéristique/élément d’une autre caractéristique/élément.
Ainsi, une première caractéristique/premier élément abordé(e) ci-dessous peut être qualifié(e) de seconde (deuxième) caractéristique/second (deu- xième) élément, et de manière similaire, une seconde caractéristique/se- cond élément abordé(e) ci-dessous peut être qualifié(e) de première ca- ractéristique/premier élément sans pour autant s’éloigner des enseigne- ments prévus ici.
Comme utilisés ici dans la divulgation et les revendications y compris dans les exemples et sauf indication contraire, tous les numéros peuvent être lus comme s'ils étaient précédés du terme « environ » ou « approximati- vement », et même si le terme n'apparaît pas expressément.
L'expression « environ » OU « approximativement » peut être utilisée lors de la descrip- tion de la grandeur et/ou de la position pour indiquer que la valeur et/ou la position décrite est dans une plage prévue raisonnable de valeurs et/ou de positions.
Par exemple, une valeur numérique peut avoir une valeur qui représente +/- 0,1% de la valeur mentionnée (ou plage de valeurs), +/- 1% de la valeur mentionnée (ou plage de valeurs), +/- 2% de la valeur men- tionnée (ou plage de valeurs), +/- 5% de la valeur mentionnée (ou plage de valeur), +/- 10% de la valeur mentionnée (ou plage de valeurs), etc.
Les valeurs numériques données ici doivent également être comprises comme comprenant environ ou approximativement cette valeur, sauf indi- cation contraire.
Par exemple, si la valeur « 10 » est décrite, alors « environ 10 » est éga- lement décrit.
N’importe quelle plage numérique ici est prévue pour com- prendre toutes les sous-plages intégrées ici.
Il faut également comprendre que lorsqu’une valeur est décrite, celle « inférieure ou égale à » la valeur,
« Supérieure ou égale à la valeur », et les plages possibles entre les va- leurs sont également décrites, comme le comprendra l’homme du métier.
Par exemple, si la valeur « X » est décrite, la valeur « inférieure ou égale à X » ainsi que la valeur « supérieure ou égale à X » (par exemple, lorsque X est une valeur numérique) sont également décrites.
II faut comprendre que tout au long de la demande, on fournit des données dans un certain nombre de formats différents et en ce que ces données représentent des points de fin et des points de départ, et des plages pour n'importe quelle combinaison de points de données.
Par exemple, si un point de données particulier « 10 » et un point de données particulier « 15 » peuvent être décrits, il faut comprendre que les valeurs supérieures à, supérieures ou égales, inférieures à, inférieures ou égales, et égales à 10 et 15 peuvent être considérées comme décrites ainsi que des valeurs entre 10 et 15. II faut comprendre que chaque unité entre deux unités particulières peut également être décrite.
Par exemple, si 10 et 15 peuvent être décrits, alors 11, 12, 13 et 14 peuvent également être décrits.
Bien que différents modes de réalisation en variante sont décrits ci-dessus, on peut apporter n’importe quel nombre de changements aux différents modes de réalisation sans pour autant s'éloigner des enseignements.
Par exemple, l’ordre dans lequel les différentes étapes de procédé décrites sont réalisées, peut souvent être modifié dans des modes de réalisation en variante, et dans d’autres modes de réalisation en variante, une ou plu- sieurs étapes de procédé peuvent être complètement ignorées.
Des ca- ractéristiques facultatives de différents modes de réalisation de dispositif et de système peuvent être incluses dans certains modes de réalisation et pas dans d’autres.
Par conséquent, la description précédente est prévue principalement à des fins exemplaires et ne doit pas être interprétée pour limiter la portée des revendications.
Un ou plusieurs aspects ou caractéristiques de la présente invention dé- crite ici peuvent être réalisés dans des circuits électroniques numériques, des circuits intégrés, des circuits intégrés à application spécifique (ASIC),
des réseaux prédiffusés programmables par l’utilisateur (FPGA), du maté- riel informatique, un micrologiciel, un logiciel et/ou leurs combinaisons.
Ces différents aspects ou caractéristiques peuvent comprendre la mise en œuvre dans un ou plusieurs programmes informatiques qui peuvent être exécutés et/ou interprétés sur un système programmable comprenant au moins un processeur programmable, qui peut être un but spécial ou géné- ral, couplé pour recevoir des données et des instructions, et pour trans- mettre des données et des instructions à un système de stockage, au moins un dispositif d’entrée et au moins un dispositif de sortie.
Le système programmable ou le système informatique peut comprendre des clients et des serveurs.
Un client et un serveur peuvent être à distance l’un de l’autre et peuvent interagir par le biais d’un réseau de communication.
La relation du client et du serveur a lieu en vertu des programmes informatiques qui tournent sur les ordinateurs respectifs et ont une relation client-serveur entre eux.
Ces programmes informatiques, qui peuvent également être désignés sous le terme de programmes, logiciels, applications logicielles, applica- tions, composants ou codes, comprennent des instructions machine pour un processeur programmable et peuvent être mis en œuvre dans un lan- gage de procédure évolué, un langage orienté objet, un langage de pro- grammation fonctionnelle, un langage de programmation logique et/ou un langage ensemble/machine.
Tel qu’utilisé ici, le terme « milieu lisible par machine » concerne n'importe quel produit, appareil et/ou dispositif de programme informatique, tel que par exemple des disques magnétiques, des disques optiques, la mémoire et les circuits logiques programmables (PLD), utilisés pour fournir des ins- tructions et/ou données machine à un processeur programmable, compre- nant un milieu lisible par machine qui reçoit des instructions machine sous forme de signal lisible par machine.
Le terme « signal lisible par machine » concerne n'importe quel signal uti- lisé pour fournir des instructions et/ou données machine à un processeur programmable. Le milieu lisible par machine peut stocker de telles instruc- tions machine de manière non transitoire, comme par exemple si c'était une mémoire solide non transitoire ou un lecteur de disque dur magnétique ou n’importe quel milieu de stockage équivalent. Le milieu lisible par ma- chine peut en variante ou en plus stocker de telles instructions machine d'une manière transitoire, comme par exemple, si c'était une mémoire cache de processeur ou une autre mémoire vive associée à un ou plu- sieurs cœurs de processeur physiques. Les exemples et les illustrations inclus ici représentent, à titre d'illustration et pas de limitation, des modes de réalisation spécifiques dans lesquels la présente invention décrite peut être pratiquée. Comme mentionné, d’autres modes de réalisation peuvent être utilisés et dérivés, de sorte que des substitutions et changements structurels et logiques peuvent être ap- portés sans pour autant s'éloigner de la portée de la présente divulgation.
Ces modes de réalisation de la présente invention peuvent être désignés individuellement ou collectivement par le terme « invention » simplement par commodité et sans vouloir limiter volontairement la portée de la pré- sente demande à une invention unique ou un concept inventif unique, si l’on en décrit plus d’un en fait.
Ainsi, bien que des modes de réalisation spécifiques ont été illustrés et décrits ici, n'importe quel agencement calculé pour obtenir le même but peut être remplacé pour les modes de réalisation spécifiques présentés. La présente divulgation est prévue pour couvrir l’une quelconque ou toutes les adaptations ou variantes des différents modes de réalisation. Les com- binaisons des modes de réalisation ci-dessus, et d’autres modes de réali- sation non spécifiquement décrits ici, ressortiront plus clairement pour l'homme du métier suite à la lecture de la description ci-dessus.
La présente invention décrite a été proposée ici en référence à une ou plusieurs caractéristiques ou modes de réalisation. L'homme du métier re- connaîtra et notera que, malgré la nature détaillée des modes de réalisa-
tion exemplaires proposés ici, des changements et des modifications peu- vent être appliqués aux modes de réalisation sans pour autant limiter ni s’éloigner de la portée généralement prévue.
Ces adaptations et combi- naisons ainsi que les autres des modes de réalisation proposés ici sont dans la portée de la présente invention décrite, telle que définie par les éléments et caractéristiques décrits et leur ensemble complet d’équiva- lents.
Une partie de la divulgation de ce document de brevet peut contenir un matériau qui est soumis à la protection des droits d'auteur.
Le propriétaire n’a pas opposé d’objection à la reproduction par l’un quelconque parmi le document de brevet ou la divulgation de brevet, lorsqu'elle apparaît dans le brevet et le fichier ou dépôts de brevet de l’Office des marques, mais se réserve tous les droits d'auteur.
Certaines marques ici en référence peu- vent être des marques de droit commun ou déposées du demandeur, du cessionnaire ou de tiers affiliés ou non affiliés avec le demandeur ou le cessionnaire.
L'utilisation de ces marques est prévue pour fournir une di- vulgation suffisante à titre d’exemple et ne doit pas être interprétée pour limiter exclusivement la portée de la présente invention décrite au matériau associé à ces marques.

Claims (106)

Revendications
1. Vaporisateur comprenant: un réservoir configuré pour contenir un matériau vaporisable liquide, le réservoir au moins partiellement défini par au moins une paroi, le réservoir comprenant une chambre de stockage et un volume de trop-plein ; un collecteur disposé dans le volume de trop-plein, le collecteur comprenant une structure capillaire configurée pour retenir un volume de matériau vaporisable liquide en contact fluidique avec la chambre de stockage, la structure capillaire comprenant une caractéristique microfluidique configurée pour empêcher une déviation de l'air et du liquide l’un par rapport à l’autre pendant le remplissage et le vidage du collecteur.
2. Vaporisateur selon la revendication 1, comprenant en outre une voie de passage principale formant une connexion fluidique entre la chambre de stockage et un atomiseur configuré pour convertir le matériau vaporisable liquide dans un état de phase gazeuse.
3. Vaporisateur selon la revendication 2, dans lequel la voie de passage principale est formée à travers une structure du collecteur.
4. Vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 2 ou 3, dans lequel la voie de passage principale comprend un premier canal configuré pour permettre l'écoulement du matériau vaporisable liquide de la chambre de stockage vers un élément de mèche dans l’atomiseur, le premier canal ayant une forme de section transversale avec au moins une irrégularité configurée pour permettre au liquide dans le premier canal de dévier une bulle d’air bloquant le reste du premier canal.
5. Vaporisateur selon la revendication 4, dans lequel la forme de section transversale ressemble à une croix.
6. Vaporisateur selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel la structure capillaire comprend une voie de passage secondaire comprenant la caractéristique microfluidique, et dans lequel la caractéristique microfluidique est configurée pour permettre au matériau vaporisable liquide de se déplacer le long d’une longueur de la voie de passage secondaire uniquement avec un ménisque qui recouvre complètement une surface de section transversale de la voie de passage secondaire.
7. Vaporisateur selon la revendication 6, dans lequel la surface de section transversale est suffisamment petite pour que, pour un matériau à partir duquel les parois de la voie de passage secondaire sont formées et une composition du matériau vaporisable liquide, le matériau vaporisable liquide mouille de préférence la voie de passage secondaire autour de tout un périmètre de la voie de passage secondaire.
8. Vaporisateur selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel la chambre de stockage et le collecteur sont configurés pour maintenir une colonne continue de matériau vaporisable liquide dans le collecteur en contact avec le matériau vaporisable liquide dans la chambre de stockage de sorte qu’une réduction de pression dans la chambre de stockage par rapport à la pression ambiante amène la colonne continue du matériau vaporisable liquide dans le collecteur à être au moins partiellement aspirée dans la chambre de stockage.
9. Vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 6 à 8, dans lequel la voie de passage secondaire comprend une pluralité de points de constriction espacés ayant une plus petite surface de section transversale que les parties de la voie de passage secondaire entre les points de constriction.
10. Vaporisateur selon la revendication 9, dans lequel les points de constriction ont une surface plus plate dirigée le long de la voie de passage secondaire vers le compartiment de stockage et une surface plus ronde dirigée le long de la voie de passage secondaire à distance du compartiment de stockage.
11. Vaporisateur selon l’une quelconque des revendications précédentes, comprenant en outre une porte microfluidique entre le collecteur et le compartiment de stockage, la porte microfluidique comprenant un rebord d’une ouverture entre la chambre de stockage et le collecteur qui est plus plat sur un premier côté faisant face au compartiment de stockage qu’un second côté plus arrondi faisant face au collecteur.
12. Vaporisateur selon la revendication 11, dans lequel la porte microfluidique comprend une pluralité d’ouvertures raccordant la chambre de stockage et le collecteur et un point de pincement entre la pluralité d'ouvertures, la pluralité d’ouvertures comprenant un premier canal et un second canal, dans lequel le premier canal a un entraînement capillaire plus important que le second canal.
13. Vaporisateur selon la revendication 12, dans lequel un ménisque d'air — matériau vaporisable liquide atteignant le point de pincement est acheminé vers le second canal en raison de l'entraînement capillaire plus important dans le premier canal de sorte qu’une bulle d’air est formée pour s’échapper dans le matériau vaporisable liquide dans la chambre de stockage.
14. Vaporisateur selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le matériau vaporisable liquide comprend un ou plusieurs éléments parmi le propylène glycol et la glycérine végétale.
15. Porte microfluidique pour réguler l'écoulement d’un matériau vaporisable liquide entre une chambre de stockage et un volume de trop— plein attenant dans un vaporisateur, la porte microfluidique comprenant : une pluralité d’ouvertures raccordant la chambre de stockage et le collecteur, la pluralité d’ouvertures comprenant un premier canal et un second canal, dans laquelle le premier canal a un entraînement capillaire plus important que le second canal ; et un point de pincement entre la pluralité d'ouvertures.
16. Porte microfluidique selon la revendication 15, dans laquelle la porte microfluidique comprend un rebord d’une ouverture entre la chambre de stockage et le collecteur qui est plus plat sur un premier côté faisant face au compartiment de stockage qu’un second côté plus arrondi faisant face au collecteur.
17. Collecteur configuré pour l’inserton dans une cartouche de vaporisateur ; le collecteur comprenant : une structure capillaire configurée pour retenir un volume de matériau vaporisable liquide en contact fluidique avec une chambre de stockage de la cartouche de vaporisateur, la structure capillaire comprenant une caractéristique microfluidique configurée pour empêcher la déviation de l’air et du liquide l’un par rapport à l’autre pendant le remplissage et le vidage du collecteur.
18. Collecteur selon la revendication 17, comprenant en outre la porte microfluidique selon l’une quelconque des revendications 15 et 16.
19. Collecteur selon l’une quelconque des revendications 17 à 18, comprenant en outre une voie de passage principale formant une connexion fluidique entre le réservoir et un atomiseur configuré pour convertir le matériau vaporisable liquide en un état de phase gazeuse, dans lequel la voie de passage principale est formée à travers une structure du collecteur.
20. Collecteur selon l’une quelconque des revendications 17 à 19, dans lequel la structure capillaire comprend une voie de passage secondaire comprenant la caractéristique microfluidique, et dans lequel la caractéristique microfluidique est configurée pour permettre au matériau vaporisable liquide de se déplacer le long d’une longueur de la voie de passage secondaire uniquement avec un ménisque qui recouvre complètement une surface transversale de la voie de passage secondaire.
21. Collecteur selon la revendication 20, dans lequel la surface transversale est suffisamment petite pour que, pour un matériau à partir duquel des parois de la voie de passage secondaire sont formées et une composition du matériau vaporisable liquide, le matériau vaporisable liquide mouille de préférence la voie de passage secondaire autour de tout le périmètre de la voie de passage secondaire.
22. Collecteur selon l’une quelconque des revendications 17 à 21, dans lequel la chambre de stockage et le collecteur sont configurés pour maintenir une colonne continue du matériau vaporisable liquide dans le collecteur en contact avec le matériau vaporisable liquide dans la chambre de stockage de sorte qu’une réduction de pression dans la chambre de stockage par rapport à la pression ambiante amène la colonne continue du matériau vaporisable liquide dans le collecteur à être au moins partiellement aspirée dans la chambre de stockage.
23. Collecteur selon l’une quelconque des revendications 20 à 22, dans lequel la voie de passage secondaire comprend une pluralité de points de constriction espacés ayant une surface transversale plus petite que des parties de la voie de passage secondaire entre les points de constriction.
24. Collecteur selon la revendication 23, dans lequel les points de constriction ont une surface plus plate dirigée le long de la voie de passage secondaire vers le compartiment de stockage et une surface plus arrondie dirigée le long de la voie de passage secondaire à distance du compartiment de stockage.
25. Cartouche de vaporisateur comprenant : un logement de cartouche ; une chambre de stockage disposée dans le logement de cartouche et configurée pour contenir un matériau vaporisable liquide ; une entrée configurée pour permettre à l’air d’entrer dans une trajectoire d'écoulement d'air interne dans le logement de cartouche; un atomiseur configuré pour provoquer la conversion d’au moins une certaine partie du matériau vaporisable liquide dans un état inhalable ; et un collecteur selon l’une quelconque des revendications 17 à 24.
26. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 25, dans laquelle l’atomiseur comprend : un élément de mèche positionné dans une trajectoire d’écoulement d'air interne et en communication fluidique avec le réservoir, l'élément de mèche étant configuré pour aspirer le matériau vaporisable liquide de la chambre de stockage sous l’action capillaire ; et un élément chauffant positionné pour provoquer le chauffage de l’élément de mèche afin de se traduire par la conversion d’au moins une certaine partie du matériau vaporisable liquide aspiré de la chambre de stockage dans un état gazeux.
27. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 26, dans laquelle l’état inhalable comprend un aérosol formé par la condensation d’au moins une certaine partie du matériau vaporisable liquide à partir de l’état gazeux.
28. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 25 à 27, dans laquelle le logement de cartouche comprend une structure creuse monolithique ayant une première extrémité ouverte et une seconde extrémité opposée à la première extrémité.
29. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 28, dans laquelle le collecteur est reçu, par insertion, dans la première extrémité de la structure creuse monolithique.
30. Vaporisateur comprenant un corps de vaporisateur et la cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 25 à 29, dans lequel le corps de vaporisateur et la cartouche de vaporisateur peuvent être fixés de manière séparable afin de former le vaporisateur.
31. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 25 à 30, dans laquelle l’élément chauffant comprend : une partie chauffante comprenant au moins deux dents espacées l’une de l’autre, la partie chauffante étant préformée pour définir un volume intérieur configuré pour recevoir l'élément de mèche de sorte que la partie chauffante fixe au moins une partie de l'élément de mèche sur l’élément chauffant, la partie chauffante étant configurée pour être en contact avec au moins deux surfaces séparées de l’élément de mèche ; et au moins deux pattes couplées aux au moins deux dents et espacées de la partie chauffante, les au moins deux pattes étant configurées pour communiquer électriquement avec une source d'alimentation, dans lequel l’énergie est configurée pour être fournie à la partie chauffante depuis la source d’alimentation afin de générer de la chaleur, vaporisant ainsi le matériau vaporisable stocké dans l’élément de mèche.
32. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 31, dans laquelle les au moins deux pattes comprennent quatre pattes.
33. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 32, dans laquelle la partie chauffante est configurée pour être en contact avec au moins trois surfaces séparées de l’élément de mèche.
34. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 31 à 33, dans laquelle les au moins deux dents comprennent : une première partie de dent latérale ; une seconde partie de dent latérale opposée à la première partie de dent latérale ; et une partie de dent de plateforme raccordant la première partie de dent latérale avec la seconde partie de dent latérale, la partie de dent de plateforme étant positonnée de manière approximativement perpendiculaire à une partie de la première partie de dent latérale et la seconde partie de dent latérale, dans laquelle la première partie de dent latérale, la seconde partie de dent latérale et la partie de dent de plateforme définissent le volume intérieur dans lequel l’élément de mèche est positionné.
35. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 34, dans laquelle les au moins deux pattes sont positionnées à distance de la partie chauffante par un pont.
36. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 31 à 35, dans laquelle chacune des au moins deux pattes comprend un contact de cartouche positionné au niveau d’une extrémité de chacune des au moins deux pattes, le contact de cartouche étant configuré pour communiquer électriquement avec la source d'alimentation, le contact de cartouche étant coudé et s'étendant à distance de la partie chauffante.
37. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 34 à 36, dans laquelle les au moins deux dents comprennent une première paire de dents et une seconde paire de dents.
38. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 37, dans laquelle les dents de la première paire de dents sont régulièrement espacées l’une de l’autre.
39. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 37 ou la revendication 38, dans laquelle les dents de la première paire de dents sont espacées par une largeur.
40. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 39, dans laquelle la largeur est plus importante au niveau d’une région interne de l’élément chauffant adjacent à la partie de dent de plateforme que la largeur au niveau d’une région externe de l'élément chauffant adjacent à un bord externe de la première partie de dent latérale opposée à la région interne.
41. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 32 à 40, dans laquelle le dispositif vaporisateur est configuré pour mesurer une résistance de l’élément chauffant au niveau de chacune des quatre pattes pour réguler une température de l’élément chauffant.
42. Vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 31 à 41, comprenant en outre un écran thermique configuré pour isoler la partie chauffante d’un corps du dispositif vaporisateur.
43. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 31 à 42, dans laquelle le dispositif vaporisateur comprend en outre un écran thermique configuré pour entourer au moins une partie de l’élément chauffant et isoler la partie chauffante d’un corps d’un logement de mèche configuré pour entourer au moins une partie de l'élément de mèche et de l'élément chauffant.
44. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 31 à 43, dans laquelle la partie chauffante est pliée entre la partie chauffante et les au moins deux pattes pour isoler la partie chauffante des au moins deux pattes.
45. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 31 à 44, dans laquelle la partie chauffante comprend en outre au moins une languette qui s'étend d’un côté des au moins deux dents pour permettre une entrée plus facile de l’élément de mèche dans le volume intérieur de la partie chauffante.
46. Vaporisateur selon la revendication 45, dans lequel la au moins une languette s'étend à distance du volume intérieur à un angle.
47. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 31 à 46, dans laquelle les au moins deux pattes comprennent une caractéristique capillaire, la caractéristique capillaire provoquant un changement brutal de pression capillaire pour empêcher ainsi l'écoulement du matériau vaporisable au-delà de la caractéristique capillaire.
48. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 47, dans laquelle la caractéristique capillaire comprend un ou plusieurs coudes dans les au moins deux pattes.
49. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 47 à 48, dans laquelle les au moins deux pattes s'étendent à un angle vers le volume intérieur de la partie chauffante, les au moins deux pattes coudées définissant la caractéristique capillaire.
50. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 25 à 30, dans laquelle l’élément chauffant comprend : une partie chauffante comprenant une ou plusieurs traces de chauffage formées de manière solidaire et espacées les unes des autres, les une ou plusieurs traces de chauffage étant configurées pour être en contact avec au moins une partie de l'élément de mèche du dispositif vaporisateur ; une partie de raccordement configurée pour recevoir l’énergie d’une source d'alimentation et diriger l'énergie vers la partie chauffante ; et une couche de placage ayant un matériau de placage qui est différent d’un matériau de la partie chauffante, la couche de placage étant configurée pour réduire la résistance de contact entre l'élément chauffant et la source d'alimentation, localisant ainsi la chaleur de l'élément chauffant sur la partie chauffante.
51. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 50, dans laquelle la couche de placage comprend une ou plusieurs couches déposées sur la partie de raccordement.
52. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 50 à 51, dans laquelle la couche de placage est formée de manière solidaire avec la partie de raccordement.
53. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 50 à 52, dans laquelle la couche de placage comprend une couche de placage adhérante et une couche de placage externe.
54. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 53, dans laquelle au moins la couche de placage externe est configurée pour réduire la résistance de contact entre l'élément chauffant et la source d'alimentation.
55. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 53 à 54, dans laquelle la couche de placage adhérante est déposée sur l'élément chauffant pour faire adhérer la couche de placage externe sur l'élément chauffant.
56. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 50 à 55, dans laquelle le matériau de la partie chauffante comprend un alliage de nickel-chrome.
57. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 50 à 56, dans laquelle la couche de placage comprend de l'or.
58. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications à 57, comprenant en outre un logement de mèche, le logement de mèche comprenant : 25 une paroi externe ; et un volume intérieur défini par la paroi externe, le volume intérieur étant configuré pour recevoir une partie d’un élément chauffant et un élément de mèche du dispositif vaporisateur.
59. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 58, dans laquelle l'élément chauffant comprend une partie chauffante et une partie de raccordement, la partie chauffante étant configurée pour chauffer le matériau vaporisable stocké dans l’élément de mèche pour générer un aérosol, la partie de raccordement étant configurée pour communiquer électriquement avec une source d'alimentation pour fournir l'énergie à la partie chauffante, et dans laquelle la partie de l’élément chauffant est la partie chauffante.
60. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 58 à 59, dans laquelle la paroi externe est configurée pour être positionnée entre la partie chauffante et la partie de raccordement.
61. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 58 à 60, dans laquelle la paroi externe comprend deux côtés courts opposés et deux côtés longs opposés.
62. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 61, dans laquelle chacun des deux côtés longs opposés comprend un évidement configuré pour coupler de manière amovible la cartouche de vaporisateur à une caractéristique correspondante du corps de vaporisateur.
63. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 62, dans laquelle l’évidement est positionné à proximité d’une intersection entre un côté long des deux côtés longs opposés et un côté court des deux côtés courts opposés.
64. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 63, dans laquelle chacun des deux côtés longs opposés comprend deux évidements.
65. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 61 à 64, dans laquelle la paroi externe comprend en outre une base positionnée de manière approximativement perpendiculaire aux deux côtés courts opposés et aux deux côtés longs opposés.
66. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 65, dans laquelle la base comprend une ou plusieurs fentes, dans laquelle la pression d'air provoquée par l'écoulement du matériau vaporisable dans la partie chauffante est configurée pour s'échapper par les une ou plusieurs fentes.
67. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 61, dans laquelle au moins l’un des deux côtés courts opposés comprend un évidement de puce configuré pour recevoir une puce d'identification.
68. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 67, dans laquelle l’évidement de puce comprend au moins deux parois configurées pour entourer et retenir la puce d'identification.
69. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 68, dans laquelle les au moins deux parois comprennent au moins quatre parois.
70. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 58 à 69, dans laquelle la paroi externe comprend: deux côtés courts opposés ; deux côtés longs opposés ; une base positionnée de manière approximativement perpendiculaire aux deux côtés courts opposés et aux deux côtés longs opposés ; et une ouverture opposée à la base.
71. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 70, comprenant en outre un rebord externe entourant ouverture et s'étendant à distance de ouverture.
72. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 71, dans laquelle la paroi externe comprend une caractéristique capillaire, la caractéristique capillaire provoquant un changement brutal de pression capillaire entre l'élément chauffant et logement de mèche pour empêcher ainsi l'écoulement du matériau vaporisable au-delà de la caractéristique capillaire.
73. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 72, dans laquelle la caractéristique capillaire comprend une surface incurvée formée à l'intersection entre au moins l’un des deux côtés longs opposés et le rebord externe.
74. Cartouche de vaporisateur selon la revendication 73, dans laquelle la surface incurvée a un rayon qui est suffisant pour casser des points de tangence entre la surface externe et le rebord externe.
75. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 72 à 74, dans laquelle la caractéristique capillaire est positionnée dans une découpe dans la paroi externe, la découpe étant configurée pour espacer l'élément chauffant de la paroi externe, empêchant ainsi de la chaleur en excès d'atteindre la paroi externe.
76. Cartouche de vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 58 à 75, comprenant en outre une découpe dans la paroi externe configurée pour éloigner l'élément chauffant de la paroi externe, empêchant ainsi de la chaleur en excès d'atteindre la paroi externe.
77. Composant de collecteur d’un vaporisateur destiné à être utilisé avec un matériau vaporisable liquide, le composant de collecteur comprenant : un passage de fluide ; un orifice externe disposé au niveau d’une première extrémité du passage de fluide et configuré pour être en communication fluidique avec l’air ambiant à l'extérieur du vaporisateur ; et un évent de contrôle disposé au niveau d’une seconde extrémité du passage de fluide à distance de la première extrémité et configuré pour gérer l'écoulement entre le passage de fluide et un réservoir du vaporisateur configuré pour contenir le matériau vaporisable liquide, l’évent de contrôle étant configuré pour fournir au moins: une première résistance fluidique au pincement d’une bulle d’air dans le réservoir lorsque l'air est dans le passage de fluide adjacent à l’évent de contrôle et un volume de vide dans le réservoir est à une pression inférieure à Vair ambiant à Jl’extéreur du vaporisateur; et une seconde résistance fluidique au passage du matériau vaporisable liquide par l’évent de contrôle dans le passage de fluide lorsque le volume de vide dans le réservoir est à une pression supérieure à l’air ambiant à l'extérieur du vaporisateur ; au moins une première alimentation de mèche mise en œuvre sous la forme d’un premier canal pour permettre au matériau vaporisable stocké dans la chambre de stockage de s’écouler vers une mèche placée dans un logement de mèche positionné dans le volume de trop-plein, l’évent maintenant un état d’équilibre dans la chambre de stockage pour empêcher l'augmentation de la pression dans la chambre de stockage jusqu’à un point qui provoquerait Vinondation du logement de mèche par le matériau vaporisable.
78. Composant de collecteur selon la revendication 77, dans lequel l’état d’équilibre est maintenu en établissant un joint d'étanchéité au liquide à l'ouverture de l’évent où la chambre de stockage communique avec la voie de passage dans le volume de trop-plein.
79. Composant de collecteur selon la revendication 78, dans lequel le joint d'étanchéité au liquide est établi et maintenu au niveau de l’évent en maintenant la pression capillaire suffisante pour former des ménisques de matériau vaporisable au niveau d’une partie de l’évent menant à la voie de passage dans le volume de trop-plein.
80. Composant de collecteur selon la revendication 79, dans lequel la pression capillaire pour les ménisques de matériau vaporisable est contrôlée par des structures en forme de V formant un canal principal et un canal secondaire construisant la valve pour contrôler au moins un point de pincement au niveau de l’un parmi le canal principal ou le canal secondaire.
81. Composant de collecteur selon la revendication 80, dans lequel le canal principal et le canal secondaire ont des géométries progressivement rétrécies, de sorte que lorsque les ménisques continuent à reculer, un entraînement capillaire du canal principal diminue plus rapidement que l'entraînement capillaire du canal secondaire.
82. Composant de collecteur selon la revendication 81, dans lequel une réduction progressive dans les entraînements capillaires des canaux principal et secondaire réduit un vide d’espace libre partiel maintenu dans la chambre de stockage.
83. Composant de collecteur selon la revendication 82, dans lequel une pression de drain du canal principal chute au-dessous d'une pression de drain du canal secondaire en raison de la réduction progressive des entraînements capillaires des canaux principal et secondaire les uns par rapport aux autres.
84. Composant de collecteur selon la revendication 83, dans lequel le ménisque dans le canal principal continue à se purger lorsque la pression de drain du canal principal change, alors que le ménisque dans le canal secondaire reste statique.
85. Composant de collecteur selon la revendication 84, dans lequel la pression de drain impliquant l'angle de contact en recul du canal principal peut chuter au-dessous de la pression d'inondation impliquant langle de contact d'avancement du canal secondaire, amenant les canaux principal et secondaire à se remplir avec le matériau vaporisable.
86. Composant de collecteur selon la revendication 85, dans lequel, en réponse à une pression accrue à l’intérieur de la chambre de stockage, le matériau vaporisable s'écoule dans la voie de passage du collecteur à travers l’évent, dans lequel l’'évent est fabriqué pour maintenir le joint d'étanchéité au liquide à tout moment.
87. Cartouche pour un dispositif vaporisateur, la cartouche comprenant : un réservoir comprenant une chambre de réservoir définie par une barrière de réservoir, le réservoir étant configuré pour maintenir un matériau vaporisable dans la chambre de réservoir ; une chambre de vaporisation en communication avec le réservoir et comprenant un élément de mèche configuré pour aspirer le matériau vaporisable de la chambre de réservoir dans la chambre de vaporisation pour être vaporisé par un élément chauffant ; une voie de passage d’écoulement d'air qui s'étend à travers la chambre de vaporisation ; et au moins un canal capillaire adjacent à la voie de passage d’écoulement d'air, chaque canal capillaire du au moins un canal capillaire étant configuré pour recevoir un fluide et diriger le fluide d’un premier emplacement vers un second emplacement via l’action capillaire.
88. Cartouche selon la revendication 87, dans laquelle chaque canal capillaire du au moins un canal capillaire se rétrécit progressivement en taille.
89. Cartouche selon la revendication 88, dans laquelle le rétrécissement en taille provoque une augmentation de l’entraînement capillaire à travers chaque canal capillaire du au moins un canal capillaire.
90. Cartouche selon l’une quelconque des revendications 87 à 89, dans laquelle chaque canal capillaire du au moins un canal capillaire est formé par une rainure définie entre une paire de parois.
91. Cartouche selon l’une quelconque des revendications 87 à 90, dans laquelle le au moins un canal capillaire communique de manière fluidique avec une mèche.
92. Cartouche selon la revendication 91, dans laquelle le premier emplacement est adjacent à une extrémité de la voie de passage d'écoulement d'air et un embout buccal.
93. Cartouche selon l’une quelconque des revendications 87 à 92, dans laquelle le au moins un canal capillaire collecte un condensat de fluide.
94. Dispositif vaporisateur comprenant : un corps de vaporisateur comprenant un élément chauffant configuré pour chauffer un matériau vaporisable ; et une cartouche configurée pour être couplée de manière amovible au corps de vaporisateur, la cartouche comprenant : un réservoir comprenant une chambre de réservoir définie par une barrière de réservoir, le réservoir étant configuré pour contenir le matériau vaporisable dans la chambre de réservoir ; une chambre de vaporisation en communication avec le réservoir et comprenant un élément de mèche configuré pour aspirer le matériau vaporisable de la chambre de réservoir dans la chambre de vaporisation pour être vaporisé par l'élément chauffant ; une voie de passage d’écoulement d'air qui s'étend à travers la chambre de vaporisation ; et au moins un canal capillaire adjacent à la voie de passage d’écoulement d'air, chaque canal capillaire du au moins un canal capillaire étant configuré pour recevoir un fluide et diriger le fluide d’un premier emplacement vers un second emplacement via l’action capillaire.
95. Dispositif vaporisateur selon la revendication 94, dans lequel chaque canal capillaire du au moins un canal capillaire se rétrécit progressivement en taille.
96. Dispositif vaporisateur selon la revendication 95, dans lequel le rétrécissement en taille provoque une augmentation de l’entraînement capillaire à travers chaque canal capillaire du au moins un canal capillaire.
97. Dispositif vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 94 à 96, dans lequel chaque canal capillaire du au moins un canal capillaire est formé par une rainure définie entre une paire de parois.
98. Dispositif vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 94 à 97, dans lequel le au moins un canal capillaire communique de manière fluidique avec une mèche.
99. Dispositif vaporisateur selon la revendication 98, dans lequel le premier emplacement est adjacent à une extrémité de la voie de passage d'écoulement d'air et un embout buccal.
100 Dispositif vaporisateur selon l’une quelconque des revendications 94 à 99, dans lequel le au moins un canal capillaire collecte un condensat de fluide.
101. Procédé comprenant les étapes suivantes : collecter un condensat dans un premier canal capillaire d'au moins un canal capillaire d’une cartouche d’un dispositif de vaporisation, chacun du au moins un canal capillaire étant configuré pour recevoir un fluide et diriger le fluide d’un premier emplacement vers un second emplacement via l’action capillaire, la cartouche comprenant : un réservoir comprenant une chambre de réservoir définie par une barrière de réservoir, le réservoir étant configuré pour contenir un matériau vaporisable dans la chambre de réservoir ;
une chambre de vaporisation en communication avec le réservoir et comprenant un élément de mèche configuré pour aspirer le matériau vaporisable de la chambre de réservoir dans la chambre de vaporisation pour être vaporisé par un élément chauffant ; et une voie de passage d’écoulement d'air qui s'étend à travers la chambre de vaporisation, le au moins un canal capillaire étant adjacent à la voie de passage d'écoulement d'air ; et diriger le condensat collecté vers la chambre de vaporisation et le long du premier canal capillaire.
102. Procédé selon la revendication 101, comprenant en outre l’étape consistant à vaporiser, au niveau de la chambre de vaporisation, le condensat collecté.
103. Procédé selon l’une quelconque des revendications 101 à 102, dans lequel le premier canal capillaire se rétrécit progressivement en taille.
104. Procédé selon l’une quelconque des revendications 101 à 103, dans lequel chaque canal capillaire du au moins un canal capillaire est formé par une rainure définie entre une paire de parois.
105. Procédé selon l’une quelconque des revendications 101 à 104, dans lequel le au moins un canal capillaire communique de manière fluidique avec une mèche.
106. Procédé selon la revendication 105, dans lequel le premier emplacement est adjacent à une extrémité de la voie de passage d'écoulement d'air et à un embout buccal.
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