BE1017286A6 - Dispositif destine a rendre visible une marque sur un verre de lunettes. - Google Patents

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BE1017286A6
BE1017286A6 BE200600572A BE200600572A BE1017286A6 BE 1017286 A6 BE1017286 A6 BE 1017286A6 BE 200600572 A BE200600572 A BE 200600572A BE 200600572 A BE200600572 A BE 200600572A BE 1017286 A6 BE1017286 A6 BE 1017286A6
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BE200600572A
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Matthias Hornauer
Adalbert Hanssen
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Carl Zeiss Vision Gmbh
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    • G01MEASURING; TESTING
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    • G01M11/02Testing optical properties
    • G01M11/0207Details of measuring devices
    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
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    • B24BMACHINES, DEVICES, OR PROCESSES FOR GRINDING OR POLISHING; DRESSING OR CONDITIONING OF ABRADING SURFACES; FEEDING OF GRINDING, POLISHING, OR LAPPING AGENTS
    • B24B13/00Machines or devices designed for grinding or polishing optical surfaces on lenses or surfaces of similar shape on other work; Accessories therefor
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Abstract

Appareil destiné à rendre visible un verre de lunettes (16) pourvu d'une marque (18) et placé sur un support (12), avec une source lumineuse d'éclairage (20) pour produire un faisceau lumineux d'éclairage (22), avec une caméra (36) pour recevoir un faisceau lumineux d'observation (34), avec des premiers moyens optiques (24) pour guider le faisceau lumineux d'éclairage jusqu'au verre de lunettes et à travers lui ainsi qu'a travers la marque et avec des deuxièmes moyens optiques pour guider le faisceau lumineux d'éclairage qui a traversé le verre de lunettes en tant que faisceau lumineux d'observation jusqu'à la caméra, le verre de lunettes étant revêtu d'un revêtement phototropique (19) et pourvu en dessous du revêtement de la marque, la source lumineuse d'éclairage étant une source lumineuse ponctuelle.

Description

« Dispositif destiné à rendre visible une marque sur un verre de lunettes » L’invention concerne un dispositif destiné à rendre visible un verre de lunettes pourvu d’une marque, comprenant un verre de lunettes posé sur un support, une source lumineuse d’éclairage pour produire un faisceau lumineux d’éclairage, une caméra pour recevoir un faisceau lumineux d’observation, des premiers moyens optiques pour guider le faisceau lumineux d’éclairage de la source lumineuse vers le verre de lunettes et lui faire traverser le verre de lunettes ainsi que la marque (18; 52) et des deuxièmes moyens optiques pour guider le faisceau lumineux d’éclairage ayant traversé le verre de lunettes en tant , que faisceau lumineux d’observation vers la caméra.
Un dispositif du type mentionné ci-dessus est connu par le document DE 103 33 426 A1.
Des verres de lunettes, en particulier des verres dit progressifs, sont pourvus de marques dont la position est détectée et traitée pendant la production du verre de lunettes pour serrer, usiner, marquer et vérifier le verre de lunettes dans une position correcte et enfin pour le placer dans les lunettes du consommateur final. Des marques sont appliquées de manière permanente sur des verres de lunettes et en fait par un procédé de gravure au diamant, par formage lors du moulage de verres de lunettes en matière synthétique ou par marquage au laser.
Quand il est question dans le cadre de la présente demande de « verres de lunettes » il faut aussi entendre par là des verres de contact et d’autres composants optiques comparables.
Afin que le porteur de lunettes ne soit pas perturbé par les marques lors de l’utilisation des lunettes, ces marques sont réalisées de manière à n’être identifiables que dans des conditions lumineuses très spéciales. L’identification de la position d’une marque sur un verre de lunettes pendant le processus de production est par conséquent difficile.
Cela vaut notamment quand le verre de lunettes est pourvu d’un revêtement phototropique. De tels verres de lunettes sont aussi qualifiés de HIP (High Index Phototropic) dans le domaine technique. Les revêtements phototropiques du type qui nous intéresse ici sont relativement épais. L’épaisseur de couche est d’environ 30 pm, tandis que les autres couches d’ennoblissement (couches antireflets, etc.) présentent une épaisseur de couche de l’ordre de seulement environ 2 -3 pm. Les marques sont appliquées sur les corps de lentille avant l’ennoblissement. Ils sont par conséquent recouverts par les couches d’ennoblissement appliquées plus tard. Alors que pour les minces couches d’ennoblissement habituelles, cela ne pose aucun problème notable pour l’identification de la marque, il se pose un problème quand la marque est recouverte par une épaisse couche phototropique. De ce fait, la marque est notamment optiquement effacée, c’est-à-dire que les bords de la marque sont flous. Elle n’apparaît plus que comme un phénomène de basse fréquence contrairement à une situation avec seulement des couches minces.
Pour un contrôle de verres progressifs au point de référence de la vision de loin et de la vision de près, il est nécessaire de mesurer l’action des verres progressifs au niveau de coordonnées déterminées sur le verre de lunettes en fonction des marques appliquées. Pour une mesure manuelle ou pour une mesure automatique, les marques doivent donc être rendues visibles. Cela se fait dans le cadre de procédés et de dispositifs connus au moyen des grilles de forme rhombique ou de motifs rayés qui ont une configuration floue et dont les transitions clair / sombre rendent la marque identifiable.
L’inconvénient de cette procédure connue, en particulier lors de l’identification automatique des marques, réside dans le fait que la grille est imagée avec un agrandissement différent en fonction de l’action du verre de lunettes étudié, à savoir en fonction de l’action dioptrique en question du verre de lunettes. C’est pourquoi il est nécessaire pour l’identification de la marque d’effectuer un travail considérable pour ce qui est des algorithmes utilisés. Les procédés connus n’ont pas débouché jusqu’à présent sur une identification automatique entièrement fiable. C’est pourquoi dans la pratique actuelle, il est nécessaire qu’une main-d’œuvre spécialement formée intervienne dans le processus de production et corrige les erreurs détectées même dans des installations de vérification automatisées.
Mais la situation est similaire, même quand les marques sont identifiées au moyen d’une opération de vérification manuelle dans le cadre d’un processus de production. Dans ce cas, un éclairage différent est utilisé pour rendre les marques visibles en fonction du procédé de marquage utilisé. Dans des dispositifs connus, cela se fait par permutation manuelle d’unités d’éclairage. Même avec ces procédés manuels, les marques mêmes ne sont toutefois que vaguement identifiables, de sorte que des erreurs lors du positionnement et de l’orientation du verre de lunettes en question sont possibles. Cela vaut aussi notamment pour ce qui est du temps à disposition pour l’identification de la marque. Pour ces raisons, il est nécessaire, en particulier pour des verres de lunettes en matière synthétique, de marquer à la main les verres de lunettes au moyen d’un feutre ou similaire (« tracer des points ») avant l’identification proprement dite de la marque, ce qui requiert du travail et du temps supplémentaire.
Des considérations correspondantes valent également pour un autre domaine dans le cadre de l’usinage de tels verres de lunettes, à savoir pour les automates d’estampillage qui, d’après l’état actuel de la technique, requièrent aussi l’assistance d’un opérateur. Celui-ci observe les verres de lunettes sur un écran pour corriger manuellement dans le système des positions de marque qui ne sont pas automatiquement identifiées, par exemple au moyen d’une entrée avec la boule de commande. Cet inconvénient se traduit également par une diminution de la productivité des machines de marquage actionnées manuellement, assistées par vidéo.
On connaît par le document DE 103 33 426 A1 cité au début un dispositif qui remédie dans une certaine mesure aux problèmes évoqués ci-dessus en ce sens que le faisceau lumineux d’éclairage est guidé à travers le verre de lunettes, est réfléchi sur le côté opposé d’un rétroréflecteur qui bouge, est guidé à nouveau à travers le verre de lunettes et amené en tant que faisceau lumineux d’observation jusqu’à la caméra. Quand le rétroréflecteur est bougé, un arrière-plan plus homogène est engendré, arrière-plan duquel les marques se détachent nettement plus clairement et donc de manière plus contrastée que ce qu’on connaissait précédemment. Les verres de lunettes à vérifier apparaissent uniformément clairs lors de la mesure. Sur les bords de la marque, apparaît toutefois une dispersion tellement forte que la lumière dispersée ne remplit plus la condition de rétroréflexion avec pour conséquence que les marques apparaissent sombres sur l’arrière-plan clair. Grâce au mouvement du rétroréflecteur, sa structure devient floue et les ondulations, inhomogénéités, saletés, etc., du rétroréflecteur même ne sont plus dérangeantes.
Cette procédure connue a fait ses preuves pour des verres de lunettes normaux sans couches d’ennoblissement ou avec de minces couches d’ennoblissement (quelques pm d’épaisseur). Elle atteint toutefois ses limites pour les raisons mentionnées ci-dessus quand le verre de lunettes est revêtu de couches épaisses (d’environ 30 pm d’épaisseur), comme des couches phototropiques.
L’invention a, par conséquent, pour tâche de perfectionner un dispositif du type mentionné au début au point que les inconvénients cités soient évités. Il s’agit en particulier de permettre de traiter également des verres de lunettes avec des couches épaisses au cours d’un processus de production, en ce sens que d’une part les marques appliquées seront identifiées au bon endroit, mais que d’autre part une mesure du verre de lunettes dans le cadre de ce même procédé et aussi dans le même dispositif sera possible. Tout cela doit avoir lieu avec des moyens aussi simples que possible en termes d’appareil et de procédé.
Dans le cas d’un dispositif du type cité au début, le problème est résolu selon l’invention du fait que le verre de lunettes est revêtu d’un revêtement phototropique et est pourvu de la marque en dessous du revêtement, et du fait que la source lumineuse d’éclairage est une source lumineuse ponctuelle.
Le problème à la base de l’invention est complètement résolu de cette façon.
L’utilisation d’une source lumineuse en forme de point (appelée « étoile artificielle ») a pour conséquence que les perturbations de basse fréquence sont identifiables. L’image identifiable des marques est par conséquent plus nette dans la région des bords.
Dans une forme de réalisation préférée de l’invention, la source lumineuse ponctuelle présente par rapport à la marque un rapport d’ouverture de moins de 1/200, de préférence de moins de 1/500.
Cette mesure présente l’avantage qu’un compromis optimal entre appareil d’éclairage ponctuel idéal et un appareil d’éclairage pratiquement réalisable peut être trouvé. Dans une réalisation pratique d’un rapport d’ouverture de 1/500, on peut par exemple utiliser une diode électroluminescente à haut rendement avec un diaphragme sélectif, qui présente un diamètre de 1 mm et une distance de 500 mm par rapport à la surface du verre de lunettes pourvu de la marque.
Il est en outre préféré que la source lumineuse ponctuelle présente une longueur d’onde au bord ou en dehors de la région visible, de préférence de moins de 400 ou de plus de 750 nm.
Cette mesure présente l’avantage que la lumière parasite et ambiante peut être convenablement éliminée par un filtre du côté récepteur.
Un effet particulièrement bon est en outre obtenu quand un signal vidéo engendré dans la caméra à partir du faisceau lumineux d’observation est détaché par contraste des voisinages finis par au moins une opération de convolution. Ce faisant, les fréquences de lieu élevées seront plus fortement détachées que les basses fréquences de lieu, par exemple en raison d’un effet de différenciation.
Le signal vidéo produit à partir du faisceau lumineux d’observation dans la caméra peut, selon l’invention, être utilisé à différentes fins. D’une part, il peut servir à déterminer la marque au moyen de l’identification de marque. D’autre part, il peut servir pour déterminer une position du verre de lunettes sur un support et ensuite pour déterminer une action dioptrique du verre de lunettes.
Selon l’invention, les différentes trajectoires du faisceau peuvent être rassemblées en totalité ou en partie pour pouvoir mettre en œuvre le procédé dans un espace aussi petit que possible.
Dans une première variante, le faisceau lumineux d’éclairage est intégré dans la trajectoire du faisceau lumineux d’observation. Dans une deuxième variante, le faisceau lumineux de mesure est intégré dans la trajectoire du faisceau lumineux d’observation. Dans une troisième variante enfin, le faisceau lumineux de mesure est intégré dans la trajectoire du faisceau lumineux d’éclairage.
Cela se fait dans des formes de réalisation du dispositif selon l’invention de préférence grâce à des séparateurs de faisceaux correspondants ou d’autres moyens optiques appropriés, par exemple des miroirs percés.
En relation avec les séparateurs de faisceaux utilisés, on préfère prévoir un piège de lumière pour une fraction du faisceau lumineux concerné qui traverse le séparateur de faisceaux.
Quand un séparateur de faisceaux est prévu pour intégrer le faisceau lumineux d’éclairage dans la trajectoire du faisceau lumineux d’observation, cela se fait de préférence de telle manière qu’une pupille d’entrée de la caméra et une pupille de sortie de la source lumineuse d’éclairage soient conjuguées à ce séparateur de faisceaux.
Dans d’autres formes de réalisation préférées de l’invention, le faisceau lumineux d’éclairage et le faisceau lumineux de mesure sont produits avec des longueurs d’onde lumineuse différentes.
Cette mesure présente également l’avantage que les deux faisceaux lumineux peuvent être séparés exactement l’un de l’autre pour ce qui est du traitement électronique ultérieur.
Le faisceau lumineux d’éclairage est produit en tant que lumière rouge et le faisceau lumineux de mesure est produit en tant que lumière verte.
En outre, il est de préférence possible que le faisceau lumineux de mesure tombant sur le capteur soit guidé à travers un filtre qui agit comme filtre d’arrêt pour la longueur d’onde lumineuse du faisceau lumineux d’éclairage.
Cette mesure contribue également à séparer les deux trajectoires de faisceau l’une de l’autre.
Le rétroréflecteur peut enfin être configuré de manière plane ou cintrée.
D’autres avantages ressortent de la description et du dessin joint.
Il est entendu que les caractéristiques mentionnées ci-dessus et les caractéristiques qui sont encore à expliquer ci-dessous peuvent être utilisées non seulement dans la combinaison indiquée mais aussi dans d’autres combinaisons ou seules, sans s’écarter du cadre de la présente invention.
Des exemples de réalisation de l’invention sont représentées dans le dessin et seront expliqués de manière plus détaillée dans le description qui suit.
La fig. 1 montre une vue de côté extrêmement schématisée d’un premier exemple de réalisation d’un dispositif selon l’invention, et
La fig. 2 montre une vue de côté également schématisée d’un deuxième exemple de réalisation d’un dispositif selon l’invention, à savoir d’un appareil de mesure d’un indice focométrique, des moyens optiques étant en plus prévus pour mesurer un verre de lunettes.
Sur la figure 1, 10 désigne de manière générale un premier exemple de réalisation d’un dispositif selon l’invention.
Il est prévu, dans le dispositif 10, un support 12 avec une ouverture centrale 14. Sur le support 12 et au-dessus de l’ouverture 14 se trouve un verre de lunettes 16.
Comme on peut le voir dans la coupe agrandie sur la figure 1, le verre de lunettes 16 est pourvu d’une marque indiquée par 18. La marque est appliquée dans la surface du verre de lunettes 16. Le verre de lunettes 16 est en outre pourvu d’un revêtement 19 épais, en particulier phototropique, qui recouvre la marque 18. L’épaisseur du revêtement 19 est d’environ 30 pm.
Une source lumineuse d’éclairage 20 est orientée de préférence perpendiculairement à l’axe optique du verre de lunettes 16 qui coïncide, dans l’exemple représenté, avec l’axe optique 21 d’une caméra 36. La source lumineuse d’éclairage est une source lumineuse ponctuelle. Elle a par rapport à la surface supérieure du verre de lunette 16 sur la figure 1 un rapport d’ouverture de moins de 1/200, de préférence de moins de 1/500. Quand la source lumineuse d’éclairage 20 est formée par une diode électroluminescente à haut rendement (par exemple, du type SFH4230 de la firme Osram) avec un diaphragme sélectif placé devant elle, le diamètre du diaphragme peut être de 1 mm et la distance du diaphragme par rapport à la surface du verre de lunettes 16 pourvu de la marque 18 peut être de 500 mm pour un rapport d’ouverture de 1/500.
La source lumineuse d’éclairage fonctionne de préférence à une longueur d’onde qui se trouve en dehors ou aux marges du champ visible et qui est donc par exemple de moins de 400 ou de plus de 750 nm.
La source lumineuse d’éclairage 20 émet un faisceau lumineux d’éclairage 22. Celui-ci arrive sur un séparateur de faisceaux 24, par exemple un miroir partiellement transparent, et est réfléchi à cet endroit dans la direction de l’axe optique 21 de la caméra 36. Une fraction du faisceau lumineux d’éclairage 22 sortant de la source lumineuse d’éclairage et traversant le séparateur de faisceaux 24 est absorbée par un piège de lumière 26 qui est disposé derrière le séparateur de faisceaux 24.
Le faisceau lumineux d’éclairage 22 traverse le verre de lunettes 16 et arrive sur un rétroréflecteur 30 qui, dans la représentation selon la figure 1, est disposé en dessous du verre de lunettes 16. Le rétroréflecteur 30 est pourvu d’un revêtement rétroréfléchissant 32. Il peut aussi être configuré comme une feuille rétroréflex que l’on trouve habituellement dans le commerce ou comme un rétroréflecteur avec des miroirs triples disposés de manière régulière ou des prismes triples dotés d’une couche réfléchissante.
Le faisceau lumineux d’éclairage 22 réfléchi par le rétroréflecteur 30 traverse de nouveau - en sens inverse - le verre de lunettes 16 et est alors dirigé comme faisceau lumineux d’observation 34 vers la caméra 36, par exemple une caméra CCD. La caméra 36 est focalisée sur le verre de lunettes 16 et produit une image du verre de lunettes 16 dans laquelle la marque 18 est visible devant l’arrière-plan du rétroréflecteur 30.
Le rétroréflecteur 30 est relié par une connexion active indiquée de manière extrêmement schématique, dans l’exemple représenté un arbre d’entraînement, à un moteur d’entraînement 38. Le moteur d’entraînement 38 fait tourner le rétroréflecteur 30 autour d’un axe vertical qui est de préférence aligné sur l’axe 21 de la caméra ainsi que sur l’axe du faisceau lumineux d’éclairage 22. Cela est illustré sur la figure 1 par la flèche 39.
Dans l’exemple de réalisation représenté sur la figure 1, le revêtement rétroréfléchissant 32 est formé de manière continue dans la région de l’axe de rotation vertical du rétroréflecteur 30. Pour cette raison, un motif qui n’est toutefois que peu perturbant dans la pratique peut, par conséquent, rester identifiable dans la région de l’axe de rotation et dans un petit voisinage circulaire dans des circonstances défavorables, il convient d’indiquer déjà à cet endroit que le rétroréflecteur 30 peut aussi, pour cette raison, être configuré en forme d’anneau circulaire, comme c’est le cas pour l’exemple de réalisation de la figure 2 qui reste encore à expliquer plus bas.
Au lieu de faire tourner le rétroréflecteur 30 dans sa totalité autour d’un axe vertical, on peut aussi le faire osciller linéairement et transversalement par rapport à l’axe 21. Quand, dans ce cas, on utilise des rétroréflecteurs avec un motif uniforme des éléments rétroréfléchissants, il faut veiller à donner une direction appropriée au mouvement oscillatoire linéaire par rapport au motif.
Enfin, il est également possible dans une autre variante de faire effectuer au rétroréflecteur une translation rotative parallèle semblable au mouvement oscillant d’un disque à meuler d’une meuleuse oscillante.
Dans l’ensemble, il s’agit essentiellement lors du mouvement du rétroréflecteur 30 que les structures régulières du rétroréflecteur 30 et une saleté y adhérant le cas échéant s’estompent en flou de mouvement. Il a déjà été mentionné que les principales composantes du mouvement du rétroréflecteur 30 doivent pour l’essentiel courir transversalement à l’axe optique 21 de la caméra 36.
Pour le revêtement rétroréfléchissant 32 du rétroréflecteur 30, on utilise de préférence un motif uniforme d’éléments individuels, par exemple des prismes triples ou des miroirs triples disposés de manière uniforme. Il est alors utile de coupler le mouvement du rétroréflecteur 30 aux impulsions de synchronisation verticales de la caméra 36.
Le circuit représenté sur la figure 1 est utilisé à cet effet. Le circuit est constitué d’un appareil de commande 40 qui est relié par une première ligne 41 à la caméra et par une deuxième ligne 42 au moteur d’entraînement 38. L’appareil de commande électronique 40 donne de son côté des instructions au moteur d’entraînement 38 par l’intermédiaire une troisième ligne 43.
Les impulsions de synchronisation verticales de la caméra 36 sont transmises à l’appareil de commande électronique 40 par la première ligne 41. Le moteur 38 fournit par la deuxième ligne 42 des impulsions de codage qui sont comparées dans l’appareil de commande électronique 40 avec les impulsions de synchronisation verticales. Un signal de commande pour le courant ou la tension du moteur d’entraînement 38 qui est transmis par la troisième ligne 43 est dérivé de cette comparaison. Le réglage peut, dans ce cas, avoir pour effet une synchronisation de la vitesse de rotation, c’est-à-dire que la vitesse de rotation du moteur d’entraînement 38 est adaptée à la fréquence des impulsions de synchronisation verticales. Toutefois, un couplage à verrouillage de phase est en plus particulièrement préféré, ce qui assure une position de phase prédéterminée entre le mouvement périodique du moteur d’entraînement 38 (par exemple le mouvement rotatif) et les impulsions de synchronisation verticales de la caméra 36.
On obtient grâce à l’utilisation d’un rétroréflecteur 30 en mouvement que l’arrière-plan, devant lequel le verre de lunettes 16 est mis en image dans la caméra 36, soit homogène. On évite de ce fait l’inconvénient de dispositions connues dans lesquels une autre structure floue est encore superposée à la marque à identifier, structure qui peut même avoir l’ordre de grandeur de la marque à identifier. Quant, par contre, on fait bouger le rétroréflecteur 30 de la manière décrite, on peut extraire une image de base homogène lors du traitement d’image. Cela n’est déjà pas possible avec des dispositifs connus parce que le motif d’arrière-plan non homogène est reproduit dans des tailles différentes en fonction de la différence de courbure des verres de lunettes.
Il est particulièrement avantageux lors de l’observation de l’image contrastée que l’on fasse en outre passer le signal vidéo de la caméra par un dispositif d’amélioration du contraste. Cela conduit, par exemple, à une opération de convolution locale des valeurs de gris avec une fonction noyau qui a des caractères de différenciation dans plusieurs directions. Des détails à ce propos se trouvent dans le document DE 103 33 426 A1 cité au début.
Dans l’exemple de réalisation selon la figure 2, 44 désigne un dispositif, à savoir un focomètre, avec un logement 46 étanche à la lumière.
Dans l’exemple de réalisation selon la figure 2, un dispositif 44 qui présente une ouverture 48 est représenté. Un verre de lunettes est désigné par 50. Le verre de lunettes 50 se trouve sur un support 54 et correspond concrètement au verre de lunettes 16 de la figure 1, c’est-à-dire qu’il est également pourvu d’un épais revêtement phototropique (non représenté sur la figure 2).
En outre, seule une marque 52 est représentée sur la figure 2. En réalité, il est toutefois prévu deux marques qui se trouvent à distance prédéfinie au-dessus et en dessous du plan du dessin. Les deux marques définissent par leur position l’endroit du verre de lunettes 50 où une propriété physique, par exemple la puissance du verre de lunette 50, doit être mesurée. Un faisceau lumineux de mesure 64 est dirigé sur cet endroit. À cet effet, le verre de lunettes 50 est placé par un opérateur sur un support tubulaire 54 et y est orienté manuellement par rapport aux marques 52. Il peut s’agir dans ce cas d’un focomètre habituellement disponible dans le commerce. Pour la mesure, le verre de lunettes 50 est positionné dans ce focomètre de telle manière que les marques 52 affichées de manière contrastée viennent se placer à un endroit prédéterminé dans l’image de la caméra. Les marques ne se trouvent pas à l’endroit de la mesure mais dans un rapport géométrique déterminé vis-à-vis de celui-ci.
Le logement 46 présente uniquement sur le côté droit de la figure 2 l’ouverture 48 accessible de l’extérieur. Dans cette ouverture 48 se trouve un logement pour le verre de lunettes 50 qui est pourvu des marques 52.
En dessous du verre de lunettes 50 se trouve un rétroréflecteur 56 en forme d’anneau circulaire, indiqué uniquement de manière schématique ici, qui peut être mis en rotation au moyen d’un moyen d’entraînement (non représenté), comme l’indique la flèche 58. Sur ce point, ce qui a été expliqué plus haut pour l’exemple de réalisation selon la figure 1 vaut aussi ici.
Dans le logement 46 se trouve une chambre supérieure 60 à l’extrémité gauche de laquelle une source lumineuse de mesure 62 est disposée. La source lumineuse de mesure 62 émet un faisceau lumineux de mesure 64. Celui-ci traverse tout d’abord un premier filtre de couleur 66 et puis un diaphragme 68 avant d’être dévié vers le bas dans un prisme 70 ou un miroir correspondant. Le faisceau lumineux de mesure 64 traverse un compensateur prismatique 72 ainsi qu’un trou dans un miroir percé 73 et rencontre le côté supérieur du verre de lunettes 50. Il traverse le verre de lunettes 50 ainsi que le support 54 et traverse alors un deuxième filtre de couleur 74 prévu dans le perfectionnement préféré de l’invention avant de rencontrer un capteur 76.
Dans une chambre centrale 77 du logement 46 se trouve une source lumineuse d’éclairage 78 dont trois exemples de réalisation seront encore expliqués ci-dessous sur la base des figures 3 à 5.
La source lumineuse d’éclairage 78 émet un faisceau lumineux d’éclairage 79. Celui-ci arrive tout d’abord sur un miroir de déviation 80 et puis sur un miroir semi-transparent agissant comme séparateur de faisceaux 81. Une fraction du faisceau lumineux d’éclairage 79 traversant le séparateur de faisceaux 81 est absorbée par un piège de lumière 75 qui est disposé derrière le séparateur de faisceaux 81. Le faisceau lumineux d’éclairage 79 est toutefois dévié pour l’essentiel vers la droite par le séparateur de faisceaux 81 pour rencontrer le prisme 82 ou un miroir qui dévie le faisceau lumineux d’éclairage 79 vers le bas. Après une nouvelle déviation par un miroir de déviation 83, le faisceau lumineux d’éclairage 79 traverse une fenêtre 84 de l’ouverture 48 et rencontre le miroir percé 73 qui dévie de nouveau le faisceau lumineux d’éclairage 79 ver le bas où il rencontre le verre de lunettes 50 et éclaire la marque 52.
Le faisceau lumineux d’éclairage 79 réfléchi par le verre de lunettes 50 ou encore la marque 52 forme alors un faisceau lumineux d’observation 85 qui court tout d’abord vers le haut et parvient en passant par le miroir percé 73, le miroir de déviation 83, le prisme 82 et le séparateur de faisceaux 81 jusqu’à un autre prisme 86 et ou un miroir correspondant qui dévie le faisceau lumineux d’observation 85 vers le bas où il parvient via un objectif 87 à une caméra CCD 88. Le prisme 86, l’objectif 87 et la caméra CCD 88 se trouvent dans une chambre gauche 89 du logement 46.
La pupille d’entrée de l’objectif 87 et la pupille de sortie de la source lumineuse d’éclairage 78 sont conjuguées l’une à l’autre par rapport au séparateur de faisceaux 81.
Le dispositif 44 selon la figure 2 fonctionne comme suit :
Dans un circuit de mesure, le faisceau lumineux de mesure 64 est émis de la manière décrite par la source lumineuse de mesure 62 sur le verre de lunettes 50, traverse celui-ci et arrive sur le capteur 76. Des propriétés physiques du verre de lunettes peuvent être mesurées de cette façon. Pour mieux le différencier du faisceau lumineux d’éclairage 79 ou encore du faisceau lumineux d’observation 85, le faisceau lumineux de mesure 64 est émis à une autre longueur d’onde, par exemple comme lumière verte. À cet effet, le premier filtre de couleur 66 est réalisé comme un filtre vert. Le deuxième filtre de couleur avant le capteur 76 a par contre la fonction d’un filtre d’arrêt qui ne laisse pas passer d’autres longueurs d’onde lumineuse, en particulier celles de la source lumineuse d’éclairage 78. On évite de cette façon qu’une autre lumière, à l’exception du faisceau lumineux de mesure 64, arrive sur le capteur 76.
Dans le même temps, le faisceau lumineux d’éclairage 79 est dirigé de la manière décrite par la source lumineuse d’éclairage 78 sur le verre de lunettes 50 pour y éclairer la marque 52. L’image réfléchie de la marque 52 parvient alors en tant de faisceau lumineux d’observation 85 jusqu’à la caméra CCD 88 et est traité à partir de là comme signal vidéo.
Pendant que cela se passe, le rétroréflecteur 56 en dessous du verre de lunettes 50 est mis en mouvement (flèche 58) et en fait de la manière déjà décrite, à savoir de manière rotative autour du support ou dans une translation rotative parallèle.
La fréquence d’un des mouvements périodiques précités du rétroréflecteur 56 est alors de nouveau choisie de telle manière qu’elle soit adaptée à une fréquence de lecture de la caméra 88.
Il est également entendu ici qu’une amélioration du contraste par des opérations de convolution du type expliqué plus haut peut être obtenue.
Une mesure d’un paramètre physique du verre de lunettes 50 peut être effectuée, à la place ou en plus du capteur, par l’évaluation du signal vidéo de la caméra CCD 88.
En général, on s’efforce toutefois de découpler d’une part le circuit de mesure et d’autre part le circuit d’éclairage / d’observation l’un de l’autre.

Claims (16)

1. Appareil destiné à rendre visible un verre de lunettes (16; 50) pourvu d’une marque (18; 52), avec un verre de lunettes (16; 50) placé sur un support (12; 54), avec une source lumineuse d’éclairage (20; 78) pour produire un faisceau lumineux d’éclairage (22; 79), avec une caméra (36; 88) pour recevoir un faisceau lumineux d’observation (34; 85), avec des premiers moyens optiques (24; 73, 80, 81, 82, 83) pour guider le faisceau lumineux d’éclairage (22; 79) de la source lumineuse (20; 78) jusqu’au verre de lunettes (16; 50) et à travers le verre de lunettes (16; 50) ainsi qu’à travers la marque (18; 52), et avec des deuxièmes moyens optiques (82, 83, 85, 86) pour guider le faisceau lumineux d’éclairage (22; 79) qui a traversé le verre de lunettes (16; 50) en tant que faisceau lumineux d’observation (34; 85) jusqu’à la caméra, caractérisé en ce que le verre de lunettes (16; 50) est revêtu d’un revêtement phototropique (19) et est pourvu en dessous du revêtement (19) de la marque (18; 52) et en ce que la source lumineuse d’éclairage (22; 79) est une source lumineuse ponctuelle.
2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que la source lumineuse ponctuelle présente par rapport à la marque (18; 52) un rapport d’ouverture de moins de 1/200, de préférence de moins de 1/500.
3. Dispositif selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que la source lumineuse ponctuelle présente une longueur d’onde au bord ou en dehors du champ visible, de préférence de moins de 400 ou de plus de 750 nm.
4. Dispositif selon une ou plusieurs des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que la source lumineuse d’éclairage (20; 78) est disposée sur un premier côté du verre de lunettes (16; 50), en ce qu’un réflecteur (30; 56) est disposé sur le côte du verre de lunettes (16; 50) opposé au premier côté, et en ce que le réflecteur (30; 56) est relié à un moteur d’entraînement (40) pour mouvoir (42, 58) le réflecteur (30; 56).
5. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que le réflecteur (30; 56) est configuré comme un rétroréflecteur.
6. Dispositif selon une ou plusieurs des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que sont prévus en outre : une source lumineuse de mesure (62) architecturalement différente de la source lumineuse d’éclairage (78) pour produire un faisceau lumineux de mesure (64) pour une mesure d’une propriété physique du verre de lunettes (50), un capteur (76), des troisièmes moyens optiques (54, 66, 68, 70, 72) pour guider le faisceau lumineux de mesure (64) de la source lumineuse de mesure (62) jusqu’au verre de lunettes (50) et du verre de lunettes (50) jusqu’au capteur (76).
7. Dispositif selon la revendication 6, caractérisé en ce que la source lumineuse de mesure (62) et la source lumineuse d’éclairage (78) ainsi que les premiers moyens optiques (73, 80, 81, 82, 83) et les troisièmes moyens optiques (54, 66, 68, 70, 72) sont chaque fois des unités architecturalement différentes.
8. Dispositif selon une ou plusieurs des revendications 1 à 7, caractérisé en ce qu’un séparateur de faisceaux (24; 81) est prévu pour intégrer le faisceau lumineux d’éclairage (22; 79) dans la trajectoire du faisceau lumineux d’observation (34; 85).
9. Dispositif selon la revendication 8, caractérisé en ce qu’un piège de lumière (76; 75) est prévu pour une fraction du faisceau lumineux d’éclairage (22; 79) traversant le premier séparateur de faisceaux (24; 81).
10. Dispositif selon la revendication 8 ou 9, caractérisé en ce qu’une pupille d’entrée de la caméra (36; 88) et une pupille de sortie de la source lumineuse d’éclairage (20; 78) sont disposées de manière conjuguée par rapport au séparateur de faisceaux (81).
11. Dispositif selon une ou plusieurs des revendications 1 à 10, caractérisé en ce qu’un moyen optique (73) est prévu pour intégrer le faisceau lumineux de mesure (64) dans la trajectoire du faisceau lumineux d’observation (85).
12. Dispositif selon une ou plusieurs des revendications 1 à 11, caractérisé en ce qu’un moyen optique (73) est prévu pour intégrer le faisceau lumineux de mesure (64) dans la trajectoire du faisceau lumineux d’éclairage (79).
13. Dispositif selon la revendication 12, caractérisé en ce que la source lumineuse d’éclairage (78) présente des moyens qui diaphragment le faisceau lumineux d’éclairage (79) au moins dans la zone d’incidence du faisceau lumineux de mesure (64) sur le verre de lunettes (50).
14. Dispositif selon une ou plusieurs des revendications 1 à 13, caractérisé en ce que la source lumineuse d’éclairage (78) et la source lumineuse de mesure (62) émettent des faisceaux lumineux (64, 79) de longueur d’onde lumineuse différente.
15. Dispositif selon la revendication 14, caractérisé en ce qu’un filtre qui agit comme un filtre d’arrêt pour la longueur d’onde lumineuse du faisceau lumineux d’éclairage (79) est placé en amont du capteur (76).
16. Dispositif selon une ou plusieurs des revendications 1 à 15, caractérisé en ce que le réflecteur est bombé.
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