BE1011303A6 - Aeroglisseur volant a ecope variable. - Google Patents

Abstract

La présente invention propose un parachute motorisé pouvant se déplacer sur toutes les surfaces et ayant deux utilisations différentes. Une utilisation classique de chariot de parachute motorisé et une utilisation de type aéroglisseur pour les déplacements terrestre. Le chariot est constitué d'un habitacle en matériaux composite (11) entouré de jupes de caoutchouc (2). A l'arrière de l'habitacle se trouve un moteur (8) entraînant une courroie reliée à une grosse hélice carénée (1). Derrière l'hélice, une écope variable (5) est chargée de récupérer une partie de l'air pulsé pour l'envoyer sous l'habitacle entouré de jupe. Dans l'axe de l'hélice à l'arrière de celle-ci un gouvernail (3) est placé. Ce gouvernail est utilisé pour les déplacements terrestres. Le chariot dispose de deux commandes indépendantes. La première est une commande au pied de type palonnier (10), elle est utilisée pour diriger l'engin en vol. La deuxième commande dirige le gouvernail de direction qui est utilisé pour les déplacements terrestres (3). L'habitacle est surmonté d'une structure métallique auxquelles sont fixées les suspentes du parachute (6). Le système d'écope variable...

Description

   <Desc/Clms Page number 1> 
 



   L'AEROGLISSEUR VOLANT A ECOPE VARIABLE L'invention concerne un parachute motorisé à chanot sur cousin d'air fonctionnant de manière analogue aux aéroglisseurs. 



  A l'heure actuelle il existe deux philosophies dans le monde du parachute motorisé :
1. Le concept américain qui utilise un chariot solide   surmotorisé   et une voile de parachute de 50 m2. 



  2 le concept européen qui utilise un petit chariot léger et une aile de parapente. 



  Dans les deux cas les chariots sont des chariots tricycle avec la roue avant directrice. 



  La présente invention propose un parachute motorisé pouvant se déplacer sur toutes les surfaces et ayant deux utilisations différentes. 



  Une utilisation classique de chariot de parachute   motorisé   et une utilisation de type aéroglisseur pour les déplacements terrestre Aéroglisseur volant est constitué d'un parachute de 50m2, d'un habitacle en matériaux composite, d'une hélice carénée, d'un gouvernail de direction utilisé pour les déplacements terrestre, d'un palonnier utilisé pour dinger le parachute en vol, d'un moteur qui entraîne via une courroie l'hélice carénée et d'une écope variable à deux modes : le premier mode consacre la totalité du souffle de l'hélice à la propulsion, le deuxième mode consacre une partie du souffle de l'hélice à la sustentation du chariot. 



  Pour ce qui est de la fabrication, les matériaux les plus utilisés pour l'aéroglisseur volant sont les matériaux composites tel que la fibre de verre et le carbone, pour ce qui est des pièces mécaniques ou métalliques l'aluminium et l'acier inoxydable dominent. 



  Les principaux avantages sont : la possibilité d'atterrissage sur tous types de surface (terre, eau, glace, neige) et la double fonction du chariot aéroglisseur, une fonction terrestre du type aéroglisseur et une fonction du type chariot de parachute motorisé. 



  La figure 1 représente une vue de profil du chariot aéroglisseur avec le parachute. 



  La figure 2 représente une vue de haut du chariot aéroglisseur. 



  La figure 3 représente une vue de profil du chariot aéroglisseur avec une coupe au niveau de l'écope variable. Dans ce cas l'écope consacre la totalité du souffle pour la propulsion. 



  La figure 4 représente une vue de profil du   chanot   aéroglisseur avec une coupe au niveau de l'écope variable. Dans ce cas l'écope consacre une partie du souffle de l'hélice à la sustentation. 



  L'aéroglisseur volant comprend'1 une hélice carénée, 2 des jupes en caoutchouc, 3 un gouvernail, 4 un carénage en matériaux composite, 5 une écope variable, 6 une structure métallique qui est le point d'accroche du parachute, 7 un réservoir qui alimente le moteur, 8 un moteur qui entraîne l'hélice carénée via une courroie, 9 un siège pilote, 10 un palonnier qui commande les suspentes de frem du parachute,   11   un habitacle en matériaux composite, 12 une commande de gouvernail sur lequel ce trouve la poignée d'accélération, 13 une écope variable, 14 un parachute.

Claims (4)

1. REVENDICATION La revendication 1 du brevet concerne le chanot du parachute motorisé Ce chariot est constitué d'un habitacle (11) en matériaux composites entourés de jupes de caoutchouc
2. (2) A l'avant de cet habitacle se trouve un carénage (4).

   Sous cet habitacle sont disposé deux patins qui sont utiles en cas d'attemssage sans moteur A l'amère de l'habitacle se trouve un moteur (8) entraînant une courroie reliée à une grosse hélice carenée (1) A côté de ce moteur se trouve le réservoir (7) Cette hélice est aussi chargée de redresser le flux d'air afin de faciliter le pilotage Demère les pales de l'hélice, deux écopes variables (5)

   sont chargées de récupérer une partie de l'air pulsé pour l'envoyer dans les jupes gonflables et sous l'habitacle Environ 30% de l'air propulsé par Inélice s'engouffre ainsi dans le boucher en caoutchouc et sous l'habitacle Les 70% restant servent à la propulsion proprement dite La pression d'air qui se cree dans les jupes et sous l'habitacle est suffisante pour creer un effet de sol et surélever l'ensemble de un ou deux centimètres au-dessus de la surface portante L'air s'echappe par dessous en permanence et forme un cousin d'air qui accompagne l'engin dans tous ses déplacements Dans l'axe de l'hélice a l'amère de celle-ci un gouvernail est placé (3)

   Ce gouvernail est utilise pour les déplacements terrestres de l'engin L'habitacle dispose de deux commandes indépendantes La première est une commande au pied du type palonnier (10) auquel sont raccordées les suspentes de frein du parachute, cette commande est utilisée pour diriger le parachute motorisé en vol La deuxième commande est constitué de deux leviers disposés de part et d'autre du siège du pilote (12) Ces deux leviers via un système de câble dirigent le gouvernail de direction.

   Cette commande est munie d'un système de blocage qui cale le gouvernail de façon perpendiculaire à l'hélice carénée. Sur le levier droit se trouve la commande d'accélérateur qui est une manette de type frem de vélo.

   L'habitacle du chanot sur cousin d'air est surmonté d'une structure en tube métallique constitué de deux tnangles équilatéraux (6). Ces deux tnangles équilatéraux disposés de part et d'autre de l'habitacle sont reliés entre eux par trois transversales Les suspentes de la voile du parachute sont fixées aux sommets de ces deux tnangles étant donnée que le sommet de ces deux tnangles ce trouvent au centre de gravité de la machine La revendication 2 concerne l'écope variable.

   Cette écope vanable à deux modes Le prenuer mode permet d'utiliser tout le soude de l'hélice à la propulsion de l'engm (fig.
3. 3), le deuxième mode oriente 30% du souffle de l'hélice dans les jupes gonflables et sous l'habitacle pour assurer la sustentation de l'engin, les 70% restant du souffle sont utilisés a la propulsion de la machme (fig.
4. 4) Le passage d'un mode à l'autre peut se faire de manière progressive Cette écope vanable est constituée de deux clapets chargés d'onenter le souffle de l'hélice de manière ad doc Cette écope est commandable du siège du pilote (9) via un levier de commande (13) <Desc/Clms Page number 3> L'intérêt de cette écope variable est de dissocier la puissance moteur de la sustentation.

   Cette dissociation permet de limiter la distance de décollage de l'engin étant donnée que l'on peut gonfler la voile du parachute à l'arrêt. Effectivement pour gonflé la voile du parachute, il faut provoquer un vent relatif à l'aide du souffle de l'hélice. L'autre intérêt de cette écope variable est de pouvoir disposer de la totalité du souffle de l'hélice en vol.

   Lors de la phase préparatoire de l'envol l'écope variable n'envoie pas une partie du souffle de l'hélice dans les jupes gonflables. La totalité du souffle de l'hélice est utilisé pour créer un vent relatif nécessaire au gonflage de la voile du parachute.

   Une fois que la voile du parachute est au-dessus de l'engin, le pilote actionne la commande de l'écope afin d'envoyer une partie du souffle de l'hélice dans les jupes.

   Après quelques instants le chariot est en sustentation et peut décoller.

   Lorsque que l'engin a décollé le pilote actionne de nouveau l'écope pour consacrer la totalité du souffle de l'hélice à la propulsion du parachute motonsé.

   Lors de l'atterrissage, le pilote dans la phase préparatoire de l'atterrissage actionne l'écope pour envoyer une partie du souffle de l'hélice dans les jupes. Une fois que l'engin glisse sur son coussin d'air crée par l'effet de sol, le pilote réduit les gaz doucement afin de dégonfler progressivement les jupes.

   Le frottement des jupes, qui ce dégonflent, sur le sol ralentira doucement l'engin.