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"Ensemble comprenant une roue et un organe de suspension"
L'invention concerne un ensemble comprenant une roue et un organe de suspension pour cette roue, ledit organe de suspension étant pourvu d'un élément de fixation destiné à fixer l'ensemble au châssis d'un moyen de transport.
De tels ensembles sont généralement connus.
Ils sont par exemple utilisés pour des chariots employés dans des magasins de libre-service, des aéroports ou des gares de chemins de fer, des brouettes ou autres moyens de transport de marchandises généralement. La roue est, en général, reliée à l'organe de suspension par l'intermédiaire de son axe, qui est fixé à l'aide d'une vis à l'organe de suspension. Ce moyen de fixation est simple et peu onéreux et permet un remplacement rapide de la roue.
Un désavantage des ensembles connus est que, lorsqu'ils sont utilisés pour des moyens de transport, mis à la disposition du public, comme par exemple les chariots susdits, leur démontage aisé les rend vulnérables aux vols ou à d'autres actes de vandalisme. De plus, il suffit de démonter une seule roue pour rendre le chariot inutilisable.
La présente invention a pour but de réaliser un ensemble sensiblement moins vulnérable aux vols et autres actes de vandalisme.
A cette fin, un ensemble suivant l'invention est caractérisé en ce ledit organe de suspension comporte un premier et un second bras qui sont chacun pourvus d'un élément de liaison disposé à hauteur de
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l'axe de rotation de la roue et destiné à relier entre eux lesdits bras de façon dissimulée, lesdits premier et second bras formant, lorsqu'ils sont reliés, une première ouverture permettant le passage de la roue qui est soutenue et guidée à l'intérieur de l'espace enveloppé par les bras à l'aide de moyens de roulement disposés coaxialement audit axe. La roue tourne à travers ladite ouverture et, comme elle est soutenue et guidée à l'intérieur de l'espace enveloppé par les bras, il faut ouvrir les bras pour pouvoir enlever la roue.
Mais, du fait que le premier et le second bras sont reliés entre eux de façon dissimulée, il est pratiquement impossible d'apercevoir les éléments de liaison de l'extérieur. La dissociation des deux bras devient donc impossible sans détruire totalement l'ensemble. Aussi celui qui veut voler une roue, est donc obligé de détruire l'ensemble, ce qui rend le vol moins facile. De plus, puisque les bras sont reliés entre eux et enveloppent partiellement la roue, on obtient une. structure relativement rigide, ce qui la rend moins vulnérable aux actes de vandalisme.
Une première forme de réalisation préférentielle d'un ensemble suivant l'invention est caractérisée en ce lesdits moyens de roulement sont formés par un chemin de billes disposé entre un appui formé sur le flanc intérieur de chaque bras et un évidement dans la jante de la roue. Ceci permet une bonne répartition des efforts sur les roues et est simple à monter. De plus, un tel chemin de billes permet de sensiblement limiter l'empreinte sur le flanc intérieur du bras.
Une deuxième forme de réalisation préférentielle d'un ensemble suivant l'invention est caractérisée en ce que lesdits premier et second bras forment, lorsqu'ils sont reliés, une seconde ouverture sensiblement perpendiculaire audit axe destiné à y loger un axe de jonction permettant la fixation de l'ensemble audit châssis. La fixation de l'ensemble au châssis du moyen
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de transport peut ainsi être réalisée sans que l'axe de jonction soit apparent. On empêche ainsi que l'ensemble soit facilement démonté du châssis, rendant ainsi le vol plus difficile.
Une troisième forme de réalisation préférentielle d'un ensemble suivant l'invention est caractérisée en ce qu'une butée est logée dans une première cavité située à une extrémité de fixation de l'ensemble du moyen de transport, ladite butée étant disposée coaxialement à l'axe de jonction. La butée peut ainsi absorber l'effort de charge exercée par les objets chargés dans le chariot, en particulier les efforts exercés verticalement sur l'ensemble.
Une quatrième forme de réalisation préférentielle d'un ensemble suivant l'invention est caractérisée en ce qu'un roulement à billes est logé dans un évidement situé coaxialement par rapport à la seconde ouverture et disposé à l'intérieur de l'espace enveloppé par les bras. Ce roulement à billes peut ainsi absorber le couple transversal et axial exercé sur l'ensemble par les objets chargés dans le chariot. De plus, il assure la rigidité de l'ensemble.
De préférence, un circlips est logé dans un autre évidement situé coaxialement par rapport à la seconde ouverture et disposé à l'intérieur de l'espace enveloppé par les bras. Le montage de l'ensemble sur le chariot peut ainsi être réalisé facilement et de façon durable.
De préférence, un repère est appliqué dans la face extérieure des bras. Ceci permet au service d'entretien, en cas de remplacement d'un ensemble, de retrouver facilement l'endroit pour appliquer un outillage adapté pour le démontage.
L'invention sera maintenant décrite plus en détail à l'aide des dessins qui illustrent un exemple de réalisation d'un ensemble suivant l'invention.
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Dans les dessins :
La figure 1 illustre un exemple d'un ensemble suivant l'invention.
Les figures 2 et 3 illustrent schématiquement une partie du premier, respectivement du second, bras d'un ensemble suivant l'invention.
La figure 4 montre une vue en coupe transversale d'un ensemble suivant l'invention.
Dans les dessins, une même référence a été attribuée à un même élément ou à un élément analogue.
Un exemple de réalisation d'un ensemble suivant l'invention est illustré à la figure 1. L'ensemble comporte un organe de suspension 1 auquel une roue 2 est suspendue. L'ensemble est de préférence fabriqué en une matière synthétique, par exemple en SMC.
Toutefois d'autres matériaux, comme par exemple du métal ou une combinaison de métal et de matière synthétique, peuvent également être utilisés. L'ensemble est de préférence utilisé pour des chariots, en particulier des chariots destinés à l'usage des magasins de libreservice, des aéroports ou des gares. D'autres applications, comme par exemple pour des jouets ou des brouettes, sont également envisageables. La roue est de préférence pourvue d'un profil lorsqu'elle est entièrement fabriquée en matière synthétique, ou est recouverte d'une bande en caoutchouc.
L'organe 1 de suspension comporte une premier 3 et un second 4 bras, qui sont reliés entre eux de façon dissimulée. L'organe 1 comporte également un couvercle 5 posé sur les premier et second bras. L'axe de jonction traverse le couvercle 5 et sert à fixer l'ensemble au châssis d'un moyen de transport, comme par exemple le chariot susdit. L'axe de jonction est de préférence pourvu d'un pas de vis 26, comme illustré à la figure 4, permettant de visser l'axe 6 dans le châssis. D'autres moyens de liaison, comme par exemple
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le collage, sont également possible pour relier l'axe de jonction au châssis. Suivant une autre alternative, l'axe de jonction 6 ne fait pas partie de l'ensemble, mais est intégré au châssis, par exemple par moulage ou soudage.
La figure 2, respectivement 3, illustre schématiquement une partie du premier 3, respectivement second 4, bras. Le premier bras 3 est pourvu d'une premier élément 7 de liaison, par exemple un élément femelle formé par une buse 7, disposé en saillie par rapport au flanc du bras. Le second bras 4 est pourvu d'un second élément 8 de liaison, par exemple un élément mâle, formé par une tige 8 disposée en saillie par rapport au flanc du bras. La tige 8 s'emboîte dans la buse 7. La liaison entre le premier et le second bras est donc réalisée de façon dissimulée à l'intérieur de l'organe de suspension, comme illustré à la figure 4.
L'avantage de cette solution sera expliqué ci-dessous.
¯Le cas échéant la tige 7 peut également être collée à l'intérieur de la buse afin de relier les bras entre eux de façon indémontable. D'autres réalisations des éléments de liaison sont également envisageables, comme par exemple l'utilisation d'une goupille de sécurité ou d'une douille à baïonnette.
Lorsque le premier 3 et le second 4 bras sont reliés entre eux, ils forment une première ouverture 10 permettant le passage de la roue 2. La roue est disposée de façon à pouvoir tourner autour d'un axe 9.
La roue est toutefois entièrement creuse à hauteur de l'axe 9 où sont logés les éléments de liaison 7 et 8.
La jante de la roue 2 est soutenue et guidée à l'intérieur de l'espace délimité par les bras, à l'aide de moyens à roulement 11,12, 12 et 14 disposés coaxialement à l'axe 9.
Dans l'exemple de réalisation illustré à la figure 4, les moyens à roulement sont formés par deux
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chemins de billes 15,16 circulaires disposés de part et d'autre d'un axe central 17. Les billes du chemin de billes sont logées entre un appui 18 formé sur le flanc intérieur du bras et un évidement 19 formé sur le côté extérieur de la jante de la roue 2. Lors de sa rotation, la roue tourne donc sur les chemins de billes qui s'appuyent sur l'appui 18 des bras. Lorsque l'ensemble est monté sur un chariot, l'essentiel de l'effort est porté sur les moyens de roulement inférieurs 13,14. La dimension des billes, des bras et de la roue est choisie de telle façon que le poids soit supporté par six billes, trois de chaque côté.
Ceci permet de mieux répartir le poids sur les billes et donc de limiter l'empreinte des billes sur l'appui 18.
Au lieu d'utiliser un chemin de billes, il est également possible d'utiliser des roulements. Suivant une autre alternative, les moyens de roulement sont disposés sur la buse 7 mais toujours coaxialement à l'axe 9. Les billes ou les roulements sont de préférence fabriqués en matière synthétique. Toutefois des billes en acier ou des roulements en nylon peuvent également être utilisés.
Comme illustré à la figure 4, les éléments de liaison 7,8 ainsi que les moyens de roulement 11,12, 13 et 14 ne sont pas accessibles de l'extérieur lorsque l'ensemble, suivant l'invention, est monté. Les moyens de roulement sont complètement encastrés à l'intérieur de l'espace enveloppé par les bras. De plus, les éléments de liaison 7,8 sont rigidement reliés les uns aux autres et leur liaison est dissimulée. La roue ne peut donc pas être dissociée de l'ensemble sans détruire les bras 3 et 4, ce qui contrarie considérablement celui qui voudrait s'approprier la roue. De plus, la roue étant creuse à hauteur de l'axe 9, son utilisation à d'autres fins est fortement limitée.
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L'ensemble est de préférence fabriqué en une matière synthétique rigide, ce qui le rend sensiblement moins vulnérable aux actes de vandalisme. Le fait que les billes 15 et 16 ne soient pas accessibles de l'extérieur limite également considérablement le vandalisme.
Le montage de l'ensemble sur un châssis d'un moyen de transport, comme par exemple d'un chariot, est réalisé à l'aide de l'axe de jonction 6, qui vient se loger dans une second ouverture 20 disposée sensiblement perpendiculairement à l'axe 9. Cette seconde ouverture est de préférence légèrement conique et son diamètre se réduit en partant de l'extrémité supérieure où l'ensemble est fixé au châssis.
L'axe de jonction 6 possède, à son extrémité inférieure, un évidement 22 dans lequel vient se loger un circlips 21, lui-même logé dan un autre évidement des premier et deuxième bras. Le circlips est de préférence situé à une certaine distance de la première ouverture 10, près du fond de la partie supérieure du bras. Ainsi le circlips ne gêne pas le montage de l'ensemble sur le châssis.
Une butée à billes 23 est logée dans une cavité située juste en dessous du couvercle 5. Cette butée à billes sert à encaisser les efforts de charge exercés verticalement sur l'ensemble lorsque le chariot ou autre moyen de transport est chargé. Les efforts de charge ne sont ainsi pas directement transmis aux bras, limitant donc la fatigue de l'ensemble.
La rotation de l'ensemble, formé par l'organe de support et la roue, autour de l'axe médian 17 est essentiellement assurée par le roulement 24, logé dans un évidement des bras situés à peu près entre la butée à billes 23 et le circlips 21. Le roulement 24, qui est de préférence un roulement à billes, est également destiné à encaisser les efforts axiaux et transversaux exercés sur l'ensemble par le chargement disposé
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dans le chariot. Le roulement 24 empêche en outre qu'un couple trop élevé soit exercé sur l'ensemble.
De préférence, l'extrémité de l'axe de jonction 6, destinée à être logée dans l'ouverture 10, est légèrement conique, ce qui facilite le montage de cet axe 6 dans la seconde ouverture. En effet, la pointe conique de l'axe va provoquer l'écartement du circlips 21 lors de son introduction dans la seconde ouverture 20. Lorsque l'évidement 22 sera arrivé à hauteur du circlips, ce dernier viendra automatiquement s'emboîter dans l'évidement 22.
Le montage de l'ensemble est réalisé à partir du premier 3 et du second 4 bras dans lequel sont introduits le roulement à billes 23 et le roulement 24 ainsi que le circlips. Ces éléments sont montés dans leur cavité respective prévue dans le bras. Les billes d'un premier chemin à billes sont également disposées dans l'appui. Ainsi, par exemple, lorsque l'on prend d'abord le premier bras 3, les billes 15 sont disposées sur l'appui 18. Ensuite, la roue 2 est glissée pardessus la tige 7 pour venir s'appuyer sur les billes 15.
Un second chemin de billes est ensuite disposé sur le second bras. Les bras sont ensuite reliés ensemble à l'aide des éléments de liaison 7 et 8 qui, de préférence, sont collés ensemble. L'axe 6 de jonction est alors introduit dans la seconde ouverture 20 et fixé dans le circlips. Enfin, le couvercle 5 est fixé sur l'ensemble, qui est alors prêt à être monté sur un châssis.
De préférence, un repère 25 de faible dimension est prévu sur la face extérieure d'au moins un des bras 3 ou 4. Le repère 25 est situé à peu près entre le roulement 24 et le circlips 21 et sert au démontage de l'ensemble lorsque ce dernier doit être remplacé pour raison d'usure par exemple. En effet, puisque l'ensemble est difficilement démontable pour des raisons de vol et de vandalisme, il faut prévoir des
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dispositions particulières pour le remplacement des pièces usées. Le repère 25 donne ainsi une indication pour y appliquer une foreuse et forer un trou à travers les bras et l'axe 6. Après que le trou a été foré, on y introduit une barre pour démonter l'ensemble du châssis.
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"Assembly comprising a wheel and a suspension member"
The invention relates to an assembly comprising a wheel and a suspension member for this wheel, said suspension member being provided with a fixing element intended to fix the assembly to the chassis of a means of transport.
Such assemblies are generally known.
They are for example used for carts used in self-service stores, airports or railway stations, wheelbarrows or other means of transporting goods generally. The wheel is, in general, connected to the suspension member via its axle, which is fixed with a screw to the suspension member. This attachment means is simple and inexpensive and allows rapid replacement of the wheel.
A disadvantage of known assemblies is that, when they are used for means of transport, made available to the public, such as the aforementioned carts, their easy disassembly makes them vulnerable to theft or other acts of vandalism. In addition, it suffices to disassemble a single wheel to make the trolley unusable.
The object of the present invention is to produce an assembly which is substantially less vulnerable to theft and other acts of vandalism.
To this end, an assembly according to the invention is characterized in that said suspension member comprises a first and a second arm which are each provided with a connecting element disposed at the height of
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the axis of rotation of the wheel and intended to connect together said arms in a concealed manner, said first and second arms forming, when they are connected, a first opening allowing the passage of the wheel which is supported and guided to the inside the space enveloped by the arms using rolling means arranged coaxially with said axis. The wheel turns through said opening and, as it is supported and guided inside the space enveloped by the arms, it is necessary to open the arms in order to be able to remove the wheel.
However, owing to the fact that the first and second arms are connected to one another in a concealed manner, it is practically impossible to see the connecting elements from the outside. The dissociation of the two arms therefore becomes impossible without completely destroying the whole. Also the one who wants to steal a wheel, is therefore obliged to destroy the whole, which makes the theft less easy. In addition, since the arms are connected together and partially envelop the wheel, we obtain a. relatively rigid structure, which makes it less vulnerable to acts of vandalism.
A first preferred embodiment of an assembly according to the invention is characterized in that said rolling means are formed by a track of balls disposed between a support formed on the inner flank of each arm and a recess in the rim of the wheel . This allows a good distribution of the forces on the wheels and is simple to assemble. In addition, such a path of balls makes it possible to substantially limit the imprint on the inner flank of the arm.
A second preferred embodiment of an assembly according to the invention is characterized in that said first and second arms form, when they are connected, a second opening substantially perpendicular to said axis intended to accommodate therein a junction axis allowing the fixing of the assembly to said chassis. The attachment of the assembly to the chassis of the means
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transport can thus be performed without the junction axis being apparent. This prevents the assembly from being easily removed from the chassis, thus making theft more difficult.
A third preferred embodiment of an assembly according to the invention is characterized in that a stop is housed in a first cavity located at a fixing end of the assembly of the means of transport, said stop being arranged coaxially with the 'axis of junction. The stop can thus absorb the load force exerted by the objects loaded in the carriage, in particular the forces exerted vertically on the assembly.
A fourth preferred embodiment of an assembly according to the invention is characterized in that a ball bearing is housed in a recess located coaxially with the second opening and disposed inside the space enveloped by the arms. This ball bearing can thus absorb the transverse and axial torque exerted on the assembly by the objects loaded in the carriage. In addition, it ensures the rigidity of the whole.
Preferably, a circlip is housed in another recess situated coaxially with respect to the second opening and disposed inside the space enveloped by the arms. The assembly of the assembly on the trolley can thus be carried out easily and durably.
Preferably, a mark is applied in the outer face of the arms. This allows the maintenance service, in case of replacement of an assembly, to easily find the place to apply tools suitable for disassembly.
The invention will now be described in more detail using the drawings which illustrate an embodiment of an assembly according to the invention.
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In the drawings:
FIG. 1 illustrates an example of an assembly according to the invention.
Figures 2 and 3 schematically illustrate a part of the first, respectively the second, arm of an assembly according to the invention.
Figure 4 shows a cross-sectional view of an assembly according to the invention.
In the drawings, the same reference has been assigned to the same element or to an analogous element.
An exemplary embodiment of an assembly according to the invention is illustrated in FIG. 1. The assembly comprises a suspension member 1 from which a wheel 2 is suspended. The assembly is preferably made of a synthetic material, for example SMC.
However, other materials, such as for example metal or a combination of metal and synthetic material, can also be used. The assembly is preferably used for trolleys, in particular trolleys intended for the use of self-service stores, airports or stations. Other applications, such as for example toys or wheelbarrows, are also possible. The wheel is preferably provided with a profile when it is entirely made of synthetic material, or is covered with a rubber band.
The suspension member 1 comprises a first 3 and a second 4 arms, which are interconnected in a concealed manner. The member 1 also includes a cover 5 placed on the first and second arms. The junction pin passes through the cover 5 and serves to fix the assembly to the chassis of a means of transport, such as for example the above-mentioned carriage. The junction pin is preferably provided with a thread 26, as illustrated in FIG. 4, allowing the pin 6 to be screwed into the chassis. Other means of connection, such as for example
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bonding, are also possible to connect the junction pin to the chassis. According to another alternative, the junction pin 6 is not part of the assembly, but is integrated into the chassis, for example by molding or welding.
Figure 2, respectively 3, schematically illustrates part of the first 3, respectively second 4, arm. The first arm 3 is provided with a first connecting element 7, for example a female element formed by a nozzle 7, arranged projecting relative to the side of the arm. The second arm 4 is provided with a second connecting element 8, for example a male element, formed by a rod 8 arranged projecting relative to the side of the arm. The rod 8 fits into the nozzle 7. The connection between the first and the second arm is therefore carried out concealed inside the suspension member, as illustrated in FIG. 4.
The advantage of this solution will be explained below.
¯If necessary the rod 7 can also be glued to the inside of the nozzle in order to connect the arms together in a non-removable manner. Other embodiments of the connecting elements are also possible, such as for example the use of a safety pin or a bayonet socket.
When the first 3 and the second 4 arms are connected together, they form a first opening 10 allowing the passage of the wheel 2. The wheel is arranged so that it can rotate around an axis 9.
The wheel is however entirely hollow up to the axis 9 where the connecting elements 7 and 8 are housed.
The rim of the wheel 2 is supported and guided inside the space delimited by the arms, using rolling means 11, 12, 12 and 14 arranged coaxially with the axis 9.
In the embodiment illustrated in FIG. 4, the rolling means are formed by two
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circular ball tracks 15,16 arranged on either side of a central axis 17. The balls of the ball track are housed between a support 18 formed on the inner flank of the arm and a recess 19 formed on the outer side of the rim of the wheel 2. During its rotation, the wheel therefore turns on the ball tracks which rest on the support 18 of the arms. When the assembly is mounted on a carriage, most of the force is carried on the lower rolling means 13,14. The size of the balls, arms and wheel is chosen so that the weight is supported by six balls, three on each side.
This makes it possible to better distribute the weight over the balls and therefore to limit the imprint of the balls on the support 18.
Instead of using a ball path, it is also possible to use bearings. According to another alternative, the rolling means are arranged on the nozzle 7 but always coaxially with the axis 9. The balls or the bearings are preferably made of synthetic material. However, steel balls or nylon bearings can also be used.
As illustrated in FIG. 4, the connecting elements 7, 8 as well as the rolling means 11, 12, 13 and 14 are not accessible from the outside when the assembly, according to the invention, is mounted. The rolling means are completely embedded inside the space enveloped by the arms. In addition, the connecting elements 7,8 are rigidly connected to each other and their connection is concealed. The wheel cannot therefore be dissociated from the assembly without destroying the arms 3 and 4, which considerably annoys those who would like to appropriate the wheel. In addition, the wheel being hollow up to the axis 9, its use for other purposes is greatly limited.
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The set is preferably made of a rigid synthetic material, which makes it significantly less vulnerable to acts of vandalism. The fact that the balls 15 and 16 are not accessible from the outside also considerably limits vandalism.
The assembly of the assembly on a chassis of a means of transport, such as a trolley, is carried out using the junction pin 6, which is housed in a second opening 20 arranged substantially perpendicularly to axis 9. This second opening is preferably slightly conical and its diameter is reduced starting from the upper end where the assembly is fixed to the chassis.
The connecting pin 6 has, at its lower end, a recess 22 in which is housed a circlip 21, itself housed in another recess of the first and second arms. The circlip is preferably located at a certain distance from the first opening 10, near the bottom of the upper part of the arm. Thus the circlip does not interfere with the assembly of the assembly on the chassis.
A ball stop 23 is housed in a cavity located just below the cover 5. This ball stop serves to collect the load forces exerted vertically on the assembly when the carriage or other means of transport is loaded. Load forces are therefore not directly transmitted to the arms, thus limiting the fatigue of the assembly.
The rotation of the assembly, formed by the support member and the wheel, around the median axis 17 is essentially ensured by the bearing 24, housed in a recess of the arms situated approximately between the thrust ball 23 and the circlip 21. The bearing 24, which is preferably a ball bearing, is also intended to absorb the axial and transverse forces exerted on the assembly by the load disposed
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in the cart. The bearing 24 also prevents excessive torque being exerted on the assembly.
Preferably, the end of the junction pin 6, intended to be housed in the opening 10, is slightly conical, which facilitates the mounting of this pin 6 in the second opening. In fact, the conical tip of the axis will cause the circlip 21 to move apart when it is inserted into the second opening 20. When the recess 22 has reached the level of the circlip, the latter will automatically fit into the recess 22.
The assembly of the assembly is carried out from the first 3 and the second 4 arms into which are introduced the ball bearing 23 and the bearing 24 as well as the circlip. These elements are mounted in their respective cavity provided in the arm. The balls of a first ball path are also arranged in the support. Thus, for example, when the first arm 3 is first taken, the balls 15 are placed on the support 18. Then, the wheel 2 is slid over the rod 7 to come to bear on the balls 15.
A second path of balls is then placed on the second arm. The arms are then connected together using the connecting elements 7 and 8 which, preferably, are glued together. The junction pin 6 is then introduced into the second opening 20 and fixed in the circlip. Finally, the cover 5 is fixed to the assembly, which is then ready to be mounted on a chassis.
Preferably, a small mark 25 is provided on the outer face of at least one of the arms 3 or 4. The mark 25 is situated approximately between the bearing 24 and the circlip 21 and is used for dismantling the assembly when the latter must be replaced for reasons of wear, for example. Indeed, since the assembly is difficult to dismantle for reasons of theft and vandalism, it is necessary to provide
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special provisions for the replacement of worn parts. The reference 25 thus gives an indication for applying a drill there and drilling a hole through the arms and the axis 6. After the hole has been drilled, a bar is introduced therein to disassemble the entire chassis.