RAQUETTES DE TENNIS AMELIOREES.
La présente invention concerne les raquettes de tennis. Elle permet d'améliorer leurs performances, de prolonger la durée de vie moyenne des cordages et, généralement, de diminuer le coût des réparations de ceux-ci.
Les raquettes actuelles, remarquables, ont encore des défauts, dont les suivants, non classés par ordre d'importance:
1) Les cordages sont généralement à remplacer complètement dès
qu'une corde se rompt.
2) Il faut, pour bien faire, disposer au moins d'une raquette
de rechange, de préférence identique.
3) Vu ceci, le coût élevé des cordages en boyaux naturels, nettement plus élastiques mais moins résistants à l'usure, à l'humidité et aux tractions élevées que les cordes synthétiques, les joueurs amateurs utilisent surtout ces dernières.
Or, d'une part, le rendement des cordages synthétiques est moins élevé que celui des cordages en boyaux naturels (Notions d'élasticité, d'accumulation de l'énergie cinétique, de coéfficient de restitution maximum ) mais l'emploi des synthétiques augmente, pour le joueur, la probabilité d'ennuis aux articulations, surtout au coude. ( Le "tennis e lbow" en jargon tennistique ).
4) Il est nécessaire de centrer parfaitement la balle car le
centre de restitution maximum, non seulement se trouve dans les raquettes classiques de formes symétriques, dans l'axe du manche, mais il est distinct du-centre géométrique," de
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5) Les cordes longitudinales se déplacent alternativement dans
les deux sens, en fonction des effets donnés à la balle et de la face utilisée du tamis. Les frottements absorbent de l'énergie et accélèrent l'usure des cordes; aussi les joueurs désirant donner beaucoup d'effet de rotation aux balles optent-ils pour une tension élevée des cordes.
6) Il est fréquent d'observer que les cordes transversales sont
incurvées vers l'extrémité de la raquette. Cette déformation permanente augmente la tension et modifie donc le rendement.
Les cordes déformées sont à remettre en place, parfois même en cours de partie.
7) Seule une fraction de la surface du tamis, située autour de.
son centre de restitution. maximum,possède un rendement suffisant.
8) Plus le cadre et le manche sont rigides, plus élevé est le
coefficient de restitution maximum, mais moins la raquette est confortable quand la balle est mal centrée et/ou que le cordage manque d'élasticité.
9) Les vibrations et la rotation de la raquette dans la main
du joueur, quand l'impact de la balle est décalé par rapport au grand axe de la raquette, sont nuisibles au jeu et/ou au joueur.
Une raquette convenant parfaitement pour le service, les coups en puissance, frappés à plat ou avec un minimum d'effet, ceux en conférant beaucoup, peu coûteuse à l'usage, confortable, belle, minimisant les risques d'ennuis physiologiques pour les joueurs, peu sensible à l'humidité et convenant pour la grande majorité des joueurs, n'existe pas.
Constructeurs et joueurs de haut niveau sont constamment à la recherche du meilleur compromis, de la formule optimale.
Les brevets ci-après relatifs aux raquettes de tennis présentent de l'intérêt. Ils sont indiqués, ci-après, par ordre d'ancienneté, le brevet IX étant le moins ancien.
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Le choix de cadres rigoureusement carrés facilite la description de la raquette faisant l'objet de l'invention. Cette
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est peu esthétique.
Dans les figures 1 - 2 - 3 on a:
1. Le cadre ( périmètre intérieur )
2. Le manche
3. Corde d'une des deux nappes de frappe. Dans cette figure elles sont parallèles à l'axe du manche
4. Corde de la nappe médiane distante de chacune des nappes de frappe.
5. Similaire à 3, mais faisant partie de la seconde nappe
de frappe.
Dans la figure 4, d'une coupe, les éléments 1-2-3-4-5 correspondent à ceux des figures précédentes.
Dans la figure 5, d'une coupe, on a:
1 et 2 : Voir les figures 1-2-3
6 : Une des cordes transversales d'une des deux nappes de frappe.
7 : Corde longitudinale de la nappe médiane.
8 : Une des cordes transversales de l'autre nappe de
frappe.
Les cordes étant, dans ces figures, équidistantes au sein de chaque nappe et le cadre étant de forme carrée, la somme des tractions des cordes de la nappe de frappe comportant la corde 3, soit T3, plus la somme des tractions des cordes de
<EMI ID=4.1>
être égal à la'somme--des tractions de la nappe médiane,,',
<EMI ID=5.1>
Rappelons qu'il s'agit de schémas théoriques.
<EMI ID=6.1>
moins déformables on peut s'écarter légèrement de l'équivalence absolue sans sortir du cadre de la présente invention.
Pour la figure 5, correspondant à une raquette dont les cordes de frappe sont perpendiculaires à l'axe du manche, la
<EMI ID=7.1>
Une raquette dont la forme est assez esthétique est représentée par la figure 6, où on a:
<EMI ID=8.1>
2' Le manche joint au cadre grâce à deux branches. 3-4-5 : Voir les figures 1-2-3-4
9 La partie inférieure du cadre, dont la forme est
telle que la longueur des cordes longitudinales
3 et 5 est identique partout ou ceci importe.
Les figures 4 et 5.concernent des raquettes dont toutes lescordes de frappe sont situées dans un même plan� Ceci convient pour certains joueurs.
Pour d'autres, mieux vaut, par nappe, répartir les cordes dans deux ou trois plans différents, en alternant la position des cordes de frappe par rapport au plan médian du cadre.
Dans la figure 7, concernant une coupe, on a:
<EMI ID=9.1>
exemple )
1" : L'autre coté du cadre.
3' : Une des cordes de la nappe de frappe gauche, 3
<EMI ID=10.1>
Les variantes possibles sont nombreuses. Elles dépendent surtout des besoins spécifiques des joueurs et de la règlementation qui, par exemple, interdit depuis une dizaine d'années les raquettes,dites, à double cordage.
Dans la raquette faisant l'objet de l'invention deux cas sont à considérer. Ou bien il n'y a jamais contact entre des cordes de la nappe de frappe et des cordes de la nappe médiane. Alors il s'agit en fait de raquettes à demi cordage.
Ou encore il y a parfois contact, et alors on est en présence de raquettes ne comportant que localement et momentanément un cordage complet, avec fils de chaîne et de trame superposés mais non entrelacés.
Vu l'espace entre nappes et les relations
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il n'y a jamais contact simultané entre les 3 nappes et le tamis ne devient jamais analogue à ceux des raquettes à double tamis.
De toute façon, la solution " pas de contact entre deux nap-
<EMI ID=12.1>
déformable et que la distance entre ses cordes et celles de la nappe médiane soit calculée en conséquence.
Parmi les variantes, les deux principales sont:
A: Il y a trois nappes de cordes, comme dans les figures
1 à 7.
B: Il n'y a que deux nappes de corde, toutes deux de frappe.
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ainsi que précisé ci-après, sans qu'on les classe par ordre d'importance.
1) composition, taille et forme du cadre ( A et B ) 2) Composition, diamètre, tension des cordes et espacement de
celles-ci ( A et B )
3) Répartition des cordes, par plan, constituant une même
nappe ( A et B )
4) Pour les raquettes du type A, répartition des cordes médianes de part et d'autre du plan médian du cadre aux deux extrémités axiales et absence de cordes dans la région centrale, les cordes des nappes médianes n'étant pas nécessairement situées dans des plans parallèles La figure 8, d'une coupe, explicite ceci. On a:
1-2-3-5 : Voir les figures 1-2-3-4.
4' : Nappe médiane proche de-la nappe de frappe 3, faiblement inclinée afin que l'espace libre entre les cordes 3 et 4' augmente vers le centre du cadre où il n'y a plus de cordes médianes.
4" : idem que 4' mais la nappe est inclinée en sens
opposé.
4".* et 4"": Comme 4', 4" mais par rapport à la nappe de frappe
5.
5) Une alternative.à "4"consiste à ce que les cordes de la nappe médiane, disposées dans un ou plusieurs plans, soient plus flexibles au niveau de la partie centrale des cordes des frappe, région où le contact entre cordes de deux nappes peut avoir lieu si l'impact est puissant.
6) Le nombre de segments indépendants par nappe peut être de
trois, cinq ... (A.B)
Le but de ceci est double. Pour les nappes de frappe,ceci permet d'encore utiliser la raquette, temporairement, quand une des cordes se rompt. Pour la ou les nappes médianes, à cet objectif s'ajoute celui exposé en "5".
7) La distance entre nappes (A,B).
8) L'angle formé entre les cordes de frappe et l'axe du manche.
Pour A: Surtout des cordes parallèles à cet axe ou, parfois, perpendiculaires à ce dernier.
Pour B: Surtout des cordes parallèles au sol quand l'axe de la raquette est incliné à 45[deg.] vers lui. Toute-fois des angles compris entre 30 et 60[deg.] sont parfois admissibles, l'angle entre cordes des deux nappes étant de 90[deg.].
Le. nombre de combinaisons possibles est tellement élevé qu'il était préférable de se limiter à citer les principales variantes.
Les constructeurs devront choisir et limiter le nombre de modèles, quitte à ce qu'il faille aussi, au départ de cadres standards, réaliser perforations et cordages sur commande
pour les joueurs professionnels ou désirant le devenir.
De plus, la perforation des cadres devra être plus précise et l'acquisition de ces raquettes se réalisera souvent après essais.
A noter que le brevet IV concerne les tamis avec cordes entrelacées, mais hors axe, que le brevet VII prévoit, pour les tamis classiques, l'emploi de deux longueurs de cordes en vue de pouvoir continuer à jouer s'il y a rupture d'une corde et que le brevet I, imprécis, pourrait être gênant.
Le brevet III, du même inventeur, est différent.
Le brevet IX complète le brevet I et y incorpore des accessoires prévus dans le brevet III.
Le brevet IX parait concerner la raquette dite " à double cordage", dont l'existence fut brève. Or, dans le brevet IX, texte et figures, les nappes se touchent déjà au repos.
Ces raquettes sont nettement différentes de celles faisant l'objet de la présente invention. Leurs cordages, complexes, très difficiles à mettre en place, sont, selon l'inventeur, destinés à donner aux balles un maximum d'effet.
Que les raquettes, selon l'invention, soient du type A ou du type B, il faut que leurs cadres soient légers alors qu'ils doivent être larges, vu la présence des nappes de cordes.
De tels cadres, dits aérodynamiques,, à la mode depuis peu, se déforment facilement en cours de cordage. Il y a remède à ceci. Leur cordage est plus facile et rapide que celui des raquettes actuelles.
Quand l'esthétique est primordial et qu'on désire utiliser un cadre de forme ovale, ovoïde ou autre, empêchant que les cordes des nappes extérieures de frappe aient toutes la même longueur ou à peu près ceci, il reste possible. de proportionner les écartements entre cordes de mêmes nature et diamètre à l'inverse de leur longueur, à condition que les écartements ne soient pas excessifs, la surface d'impact avec la balle restant constante.
L'aptitude à conférer les principaux effets de rotation aux
<EMI ID=14.1>
tion et de la direction des cordes des nappes de frappe.
Il suffit d'examiner les figures pour observer que les nappes 6 et 7, avec cordes perpendiculaires au manche,.sont moins aptes à "travailler" les balles que les nappes 3, 5 et 3' 3" 5' 5".
Le parti pouvant être tiré de ceci est évident, selon qu'on préfère le jeu dit "à plat" ou son opposé, efficace mais fatigant, plus lent et moins spectaculaire.
REVENDICATIONS.
1) Raquettes de tennis dont les cordes, réparties en au moins
2 nappes, ne se touchent pas, au repos, à l'intérieur du cadre, l'écartement entre les nappes et leur flexibilité étant tels. qu'il ne puisse y avoir contact entre elles en cours de jeu, quelle que soit la puissance des coups, ou encore, que le contact entre, au maximum, deux nappes de cordes, momentané et localisé, soit peu brutal pour le bras du joueur et les cordes.
IMPROVED TENNIS RACKETS.
The present invention relates to tennis rackets. It improves their performance, extends the average lifespan of ropes and, generally, reduces the cost of repairing them.
The current snowshoes, remarkable, still have faults, including the following, not ranked in order of importance:
1) Ropes are generally to be replaced completely as soon as
that a rope breaks.
2) To do well, you need at least one racket
spare, preferably identical.
3) Given this, the high cost of natural gut ropes, clearly more elastic but less resistant to wear, humidity and high traction than synthetic strings, amateur players mainly use the latter.
However, on the one hand, the yield of synthetic ropes is lower than that of natural gut ropes (Notions of elasticity, accumulation of kinetic energy, maximum restitution coefficient) but the use of synthetics increases , for the player, the probability of problems with the joints, especially the elbow. ("Tennis e lbow" in tennis jargon).
4) It is necessary to center the ball perfectly because the
center of maximum restitution, not only is found in the classic rackets of symmetrical forms, in the axis of the handle, but it is distinct from the geometrical-center, "de
<EMI ID = 1.1>
5) The longitudinal strings move alternately in
both directions, depending on the effects given to the ball and the face used of the sieve. The friction absorbs energy and accelerates the wear of the strings; therefore players wishing to give a lot of spin to the balls opt for high string tension.
6) It is common to observe that the transverse strings are
curved towards the end of the racket. This permanent deformation increases the tension and therefore modifies the yield.
The deformed strings must be replaced, sometimes even during the game.
7) Only a fraction of the screen surface, located around.
its restitution center. maximum, has sufficient yield.
8) The more rigid the frame and the handle, the higher the
maximum coefficient of restitution, but the less comfortable the racket is when the ball is badly centered and / or the string lacks elasticity.
9) The vibrations and the rotation of the racket in the hand
of the player, when the impact of the ball is offset from the long axis of the racket, are harmful to the game and / or the player.
A racket perfectly suited for service, power shots, hit flat or with minimal effect, those giving a lot, inexpensive to use, comfortable, beautiful, minimizing the risk of physiological problems for players , not very sensitive to humidity and suitable for the vast majority of players, does not exist.
Manufacturers and top players are constantly looking for the best compromise, the optimal formula.
The following patents relating to tennis rackets are of interest. They are indicated below in order of seniority, the IX patent being the least old.
<EMI ID = 2.1>
The choice of strictly square frames facilitates the description of the racket which is the subject of the invention. This
<EMI ID = 3.1>
is unattractive.
In Figures 1 - 2 - 3 we have:
1. The frame (interior perimeter)
2. The handle
3. Cord from one of the two punching pads. In this figure they are parallel to the axis of the handle
4. Cord of the middle ply distant from each of the striking plies.
5. Similar to 3, but part of the second layer
typing.
In Figure 4, of a section, the elements 1-2-3-4-5 correspond to those of the previous figures.
In Figure 5, from a section, we have:
1 and 2: See Figures 1-2-3
6: One of the transverse strings from one of the two striking plies.
7: Longitudinal cord of the middle ply.
8: One of the transverse strings of the other layer of
hit.
The strings being, in these figures, equidistant within each ply and the frame being of square shape, the sum of the pulls of the strings of the striking ply comprising the string 3, ie T3, plus the sum of the pulls of the strings
<EMI ID = 4.1>
to be equal to the 'sum - pulls of the middle tablecloth ,,',
<EMI ID = 5.1>
Recall that these are theoretical diagrams.
<EMI ID = 6.1>
less deformable one can deviate slightly from absolute equivalence without departing from the scope of the present invention.
For FIG. 5, corresponding to a racket whose striking strings are perpendicular to the axis of the handle, the
<EMI ID = 7.1>
A racket whose shape is quite aesthetic is shown in Figure 6, where we have:
<EMI ID = 8.1>
2 'The handle joined to the frame with two branches. 3-4-5: See figures 1-2-3-4
9 The lower part of the frame, whose shape is
such as the length of the longitudinal strings
3 and 5 is identical wherever it matters.
Figures 4 and 5 relate to rackets, all of the hitting strings located in the same plane � This is suitable for some players.
For others, it is better, by layer, to distribute the strings in two or three different planes, by alternating the position of the striking strings relative to the median plane of the frame.
In figure 7, concerning a section, we have:
<EMI ID = 9.1>
example)
1 ": The other side of the frame.
3 ': One of the strings of the left punching cable, 3
<EMI ID = 10.1>
There are many possible variations. They depend above all on the specific needs of the players and the regulations which, for example, have prohibited for ten years rackets, say, double rope.
In the racket which is the subject of the invention two cases are to be considered. Or else there is never contact between strings of the striking ply and strings of the middle ply. So it's actually half string snowshoes.
Or there is sometimes contact, and then we are in the presence of snowshoes comprising only locally and momentarily a complete rope, with warp and weft son superimposed but not interlaced.
Given the space between tablecloths and relationships
<EMI ID = 11.1>
there is never simultaneous contact between the 3 layers and the sieve never becomes analogous to those of rackets with double sieve.
Anyway, the solution "no contact between two nap-
<EMI ID = 12.1>
deformable and that the distance between its cords and those of the middle ply is calculated accordingly.
Among the variants, the two main ones are:
A: There are three layers of strings, as in the figures
1 to 7.
B: There are only two plies of rope, both for striking.
<EMI ID = 13.1>
as specified below, without being ranked in order of importance.
1) composition, size and shape of the frame (A and B) 2) Composition, diameter, tension of the strings and spacing of
these (A and B)
3) Distribution of the strings, by plane, constituting the same
tablecloth (A and B)
4) For type A snowshoes, distribution of the median strings on either side of the median plane of the frame at the two axial ends and absence of strings in the central region, the strings of the median tablecloths not necessarily being located in parallel planes Figure 8, of a section, explains this. We have:
1-2-3-5: See Figures 1-2-3-4.
4 ': Middle tablecloth close to the hitting pad 3, slightly inclined so that the free space between the strings 3 and 4' increases towards the center of the frame where there are no more middle strings.
4 ": same as 4 'but the cable is tilted in direction
opposite.
4 ". * And 4" ": Like 4 ', 4" but relative to the punching ribbon
5.
5) An alternative to "4" is that the strings of the middle ply, arranged in one or more planes, are more flexible at the level of the central part of the striking strings, region where the contact between strings of two plies can take place if the impact is powerful.
6) The number of independent segments per layer can be
three, five ... (A.B)
The purpose of this is twofold. For the tablecloths of strike, this makes it possible to still use the racket, temporarily, when one of the strings breaks. For the median layer (s), to this objective is added that set out in "5".
7) The distance between layers (A, B).
8) The angle formed between the striking strings and the axis of the handle.
For A: Especially strings parallel to this axis or, sometimes, perpendicular to the latter.
For B: Especially strings parallel to the ground when the axis of the racket is inclined at 45 [deg.] Towards it. However, angles between 30 and 60 [deg.] Are sometimes admissible, the angle between the strings of the two layers being 90 [deg.].
The. the number of possible combinations is so high that it was better to limit oneself to citing the main variants.
The manufacturers will have to choose and limit the number of models, even if it is also necessary, starting from standard frames, to make perforations and ropes to order
for professional players or wishing to become one.
In addition, the perforation of the frames must be more precise and the acquisition of these rackets will often be carried out after testing.
Note that patent IV relates to sieves with intertwined but off-axis strings, that patent VII provides, for conventional sieves, the use of two lengths of strings in order to be able to continue playing if there is a break in 'a rope and that patent I, imprecise, could be troublesome.
Patent III, from the same inventor, is different.
The IX patent supplements the I patent and incorporates accessories provided for in the III patent.
The IX patent appears to concern the so-called "double string" racket, the existence of which was brief. However, in patent IX, text and figures, the sheets are already touching at rest.
These rackets are clearly different from those which are the subject of the present invention. Their ropes, complex, very difficult to set up, are, according to the inventor, intended to give the balls maximum effect.
Whether the snowshoes according to the invention are of type A or of type B, their frames must be light whereas they must be wide, given the presence of the strings of strings.
Such so-called aerodynamic frames, which have been in fashion for a short time, easily deform during stringing. There is a remedy for this. Their stringing is easier and faster than that of current rackets.
When aesthetics are paramount and you want to use an oval, ovoid or other frame, preventing the strings of the outer strike pads from being all the same length or roughly this, it remains possible. to proportion the spacings between ropes of the same kind and diameter as opposed to their length, provided that the spacings are not excessive, the impact surface with the ball remaining constant.
The ability to impart the main rotation effects to
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tion and direction of the strings of the striking plies.
It is enough to examine the figures to observe that the layers 6 and 7, with cords perpendicular to the handle, are less able to "work" the balls than the layers 3, 5 and 3 '3 "5' 5".
The advantage that can be drawn from this is obvious, depending on whether one prefers the game called "flat" or its opposite, effective but tiring, slower and less spectacular.
CLAIMS.
1) Tennis rackets with strings, divided into at least
2 layers, do not touch, at rest, inside the frame, the spacing between the layers and their flexibility being such. that there can be no contact between them during the game, whatever the power of the blows, or that the contact between, at most, two layers of strings, momentary and localized, is not brutal for the arm of the player and strings.