Face avant de véhicule automobile à serrage amélioré
L'invention concerne une face avant de véhicule automobile et le serrage des éléments qu'elle comporte.
Une face avant, encore appelée façade avant, est un élément de structure susceptible d'intégrer divers équipements du véhicule, tels que projecteurs, clignotants, avertisseur sonore, échangeurs thermiques, groupe moto-ventilateur ou module de refroidissement complet, etc.
La face avant, ainsi pourvue de ses équipements, constitue un module unitaire préparé et livré par l'équipementier, prêt à être monté sur le véhicule par le constructeur. Le montage de ce module unitaire se fait par raccordement à des éléments de structure latéraux du véhicule, tels que longerons, ailes ou coque, puis mise en place d'un bouclier qui est rapporté sur le module.
Une telle face avant est généralement réalisée sous la forme d'un élément monobloc, en particulier sous la forme d'un élément composite métal/matiêre plastique. Il est connu en effet, notamment d'après la publication EP-A-O 658 470, de réaliser une face avant sous la forme d'une armature métal¬ lique en tôle emboutie, sur laquelle est surmoulée une matière plastique, en particulier du type polyamide. Le bouclier est fixé habituellement sur une poutre, appelée poutre pare-chocs qui est elle-même portée par la face avant, par l'intermédiaire de deux boîtiers amortisseurs de chocs.
Habituellement, la face avant comporte deux montants espacés, sensiblement verticaux, appelés aussi "jambages" ou "quarts". Ils sont réunis entre eux par au moins une traverse horizon¬ tale, généralement par une traverse supérieure intégrant la serrure du capot du moteur. Ces montants sont généralement conformés pour définir des logements pour les projecteurs.
Conformément aux solutions existantes, la face avant est d'abord assemblée sur les longerons du véhicule. Ce n'est qu'ensuite que le bouclier est fixé au véhicule.
La fixation de la face avant sur les longerons du véhicule est réalisée en serrant chaque montant entre une platine du longeron correspondant et une platine du boîtier amortisseur de chocs. Le montant étant réalisé sous la forme d'un élément composite métal/matière plastique ou d'un élément en matière plastique, ce serrage provoque un fluage du montant. Pour remédier à cet inconvénient, il est classique d'inclure dans l'épaisseur du montant des bagues anti-fluage qui permettent de serrer le montant sans l'altérer.
Ces faces avant présentent de nombreux inconvénients. Tout d'abord, l'introduction de bagues anti-fluage dans le montant a pour effet de multiplier le nombre de pièces qui le composent. Ceci représente un désavantage financier important.
D'autre part, l'intégration des bagues anti-fluage au montant augmente le nombre d'opérations d'assemblage et diminue la productivité de la chaîne de production.
L'invention a notamment pour but d'améliorer la situation.
Elle propose à cet effet une face avant de véhicule automobile comportant au moins un élément ayant une surface en matière fluable, apte a être serré, de manière réversible, entre deux pièces sensiblement moins fluables par des moyens de fixation. Au moins une des pièces comporte au moins une partie en saillie propre à passer au travers d'une ouverture de l'élément et ayant une épaisseur sensiblement égale à celle de l'ouverture, de sorte que la partie en saillie est propre à venir en appui contre l'autre pièce, empêchant le fluage de l'élément par les moyens de fixation.
De manière préférée, l'invention vise une face avant de véhicule automobile, comportant au moins un montant ayant une surface en matière fluable, agencé pour être fixé sur un
longeron du véhicule, en serrant le montant entre une platine du longeron et une platine d'un boîtier amortisseur de chocs que comporte la face avant, par des moyens de fixation, la platine du boîtier amortisseur de chocs comportant au moins une partie en saillie propre à passer au travers d'une ouverture du montant, et ayant une épaisseur sensiblement égale à celle de l'ouverture du montant, de sorte que la partie en saillie est propre à venir en appui contre la platine du longeron, empêchant le fluage du montant par les moyens de fixation.
La face avant selon 1 ' invention peut être fixée sur les longerons sans fluage des montants, tout en proposant des montants dont la fabrication est simplifiée. L'invention permet donc de réduire les coûts de production des faces avant en simplifiant leur procédé de fabrication.
En outre, l'intégration d'une partie en saillie formant un moyen anti-fluage à la platine du boîtier amortisseur de chocs permet de simplifier la production de la face avant ainsi que son assemblage, ce qui réduit le nombre de pièces et le cycle de production.
Dans une première forme de réalisation la platine du boîtier amortisseur de chocs comporte une première ouverture de fixation traversant la partie en saillie qui est reçue dans une deuxième ouverture de fixation que comporte le montant, en regard d'une troisième ouverture de fixation que comporte la platine du longeron, les moyens de fixation du montant traversant ces trois ouvertures de fixation. Avantageusement, les première et troisième ouvertures de fixation ont un diamètre sensiblement égal, la deuxième ouverture de fixation du montant ayant un diamètre sensiblement égal au diamètre de ces ouvertures additionné du double de l'épaisseur de la platine du boîtier amortisseur de chocs. On peut envisager que la partie en saillie forme une collerette entourant l'ouverture de fixation de la platine du boîtier amortisseur de chocs .
Une telle forme de réalisation de l'invention permet d'intégrer la partie en saillie formant un moyen anti-fluage à la platine du boîtier amortisseur de chocs en même temps qu'est pratiquée l'ouverture dans la platine du boîtier amortisseur de chocs destinée à recevoir les moyens de fixation.
Dans une deuxième forme de réalisation de 1 ' invention, la partie en saillie est prévue pour pénétrer une ouverture anti- fluage que comporte le montant, laquelle ouverture anti-fluage est indépendante des moyens de fixation.
Une telle réalisation permet de protéger le montant de manière particulièrement efficace, puisque la surface de la partie en saillie peut être augmentée, tout en favorisant une réduction des coûts, puisque l'on peut réaliser un gain de matière composant les montants au niveau de la partie en saillie.
Dans la forme de réalisation préférée de l'invention, la platine du boîtier amortisseur de chocs comporte au moins deux parties en saillie, une première partie en saillie traversée par les moyens de fixation et une deuxième partie en saillie indépendante des moyens de fixation.
Cette forme de réalisation préférée de l'invention permet de combiner tous les avantages des formes précédemment citées.
L'invention vise également une face avant dans laquelle on fixe un élément de serrure ou un crochet en serrant la traverse entre une platine qu'il comporte et une platine de fixation.
On peut ainsi fixer aisément la plupart des éléments se rapportant sur la face avant sans craindre un quelconque fluage.
D'autres avantages apparaîtront à la lecture de la description qui suit, faite seulement à titre d'exemple, en référence aux dessins annexés, sur lesquels :
l'
- la figure 1 représente une vue en perspective d'un montant d'une face avant de véhicule automobile classique ;
- la figure 2 représente une vue en coupe schématique à échelle agrandie d'une partie du montant de la figure 1 lorsque celui-ci est serré entre une platine d'un longeron du véhicule et une platine d'un boîtier amortisseur de chocs de la face avant ;
- la figure 3 représente une vue de côté d'un montant d'une première forme de réalisation d'une face avant selon l'invention serré entre un longeron du véhicule et un boîtier amortisseur de chocs de la face avant ;
- la figure 4 représente une vue en perspective d'un montant que comporte la première forme de réalisation de face avant selon l'invention ;
- la figure 5 représente une vue en coupe schématique à échelle agrandie d'une partie d'un montant selon la figure 3 serré entre une platine d'un longeron du véhicule et une platine d'un boîtier amortisseur de chocs de la face avant ;
- la figure 6 représente une vue en perspective d'un montant que comporte des deuxième et troisième formes de réalisation d'une face avant selon l'invention ;
- la figure 7 représente une vue en coupe schématique à échelle agrandie de la deuxième forme de réalisation d'une face avant selon invention, qui comporte un montant selon la figure 5 serré entre une platine d'un longeron du véhicule et une platine d'un boîtier amortisseur de chocs de la face avant
- la figure 8 représente une vue en coupe à échelle agrandie de la troisième forme de réalisation d'une face avant selon 1 'invention qui comporte un montant selon la figure 5 serré
entre une platine d'un longeron du véhicule et une platine d'un boîtier amortisseur de chocs de la face avant ;
- la figure 9 représente une vue en coupe schématique à échelle agrandie d'une partie d'une traverse d'une face avant selon l'invention serrée entre une platine d'un élément de serrure et une platine de fixation ; et
- la' figure 10 représente une vue en coupe schématique à échelle agrandie d'une partie d'une traverse d'une face avant selon l'invention serrée entre une platine d'un crochet de sécurité et une platine de fixation.
La figure 1 représente une vue en perspective d'un montant M d'une face avant d'un véhicule automobile classique.
Le montant M comporte un corps 12, une platine 14 et un logement 16 destiné à recevoir un projecteur (non représenté) • du véhicule. Le montant M est réalisé dans une matière plastique. De préférence, il s'agit de plastique thermodurcissable et en particulier un polymère de polyamide.
La platine 14 comporte trois ouvertures de serrage 18, chacune traversée par une bague anti-fluage 20.
La figure 2 représente une vue en coupe à échelle agrandie d'une face avant 30 comportant le montant M de la figure 1 serré entre une platine 32 d'un longeron L du véhicule et une platine 34 d'un boîtier amortisseur de chocs B, au niveau de la partie A représentée sur la figure 1.
Comme on peut le voir sur cette figure, des moyens de serrage 36 (par exemple du type vis/écrou) traversent, au niveau de chaque ouverture de serrage 18, une ouverture 38 de la platine 32, l'ouverture de serrage 18 et une ouverture 40 de la platine 34 pour serrer le montant M entre la platine 32 du longeron L et la platine 34 du boîtier amortisseur de chocs B.
Le montant M présente une surface en matière fluable. Afin d'éviter le fluage du montant M lors du serrage, la bague anti-fluage 20 logée dans l'ouverture de serrage 18 reçoit les moyens de serrage 36 et vient en appui sur les deux platines 32 et 34 respectivement.
La bague anti-fluage 20 a un diamètre interne sensiblement égal à celui des ouvertures 38 et 40. Ce diamètre est sensiblement égal à celui des moyens de serrage 36. L'ouverture 18 a un diamètre sensiblement égal au diamètre extérieur de la bague anti-fluage 20, c'est-à-dire le diamètre des ouvertures 38 et 40 additionné de deux fois l'épaisseur de la bague 20.
La figure 3 est une vue de côté d'une première forme de réalisation d'une face avant selon l'invention. La face avant comporte un montant Ml serré entre une platine 72 d'un longeron L du véhicule et une platine 74 du boîtier amortis¬ seur de chocs B de la face avant. Le boîtier amortisseur de chocs B supporte une poutre pare-chocs P classique.
La figure 4 représente une vue en perspective du montant Ml. Le montant Ml comporte, de manière analogue au montant M de la figure 1, un corps 52, une platine 54 et un logement 56 destiné à recevoir un projecteur (non représenté) du véhicule.
Le montant Ml est fabriqué à partir des mêmes matériaux que le montant M. Le corps 52 présente ainsi une surface fluable au niveau de la platine 54 qui comporte trois ouvertures de serrage 58.
La figure 5 représente une vue schématique en coupe à échelle agrandie d'une face avant 70 selon l'invention, comportant un montant Ml selon la figure 3, serré entre une platine 72 du longeron L du véhicule et une platine 74 du boîtier amortis¬ seur de chocs B, au niveau de la partie Al de la figure 3.
Le montant Ml est serré, au niveau de chaque ouverture 58, entre le longeron L et le boîtier amortisseur de chocs B par
des moyens de serrage 76 (par exemple du type vis/écrou) traversant une ouverture 78 de la platine 72, l'ouverture de serrage 58 et une ouverture 80 de la platine 74. La fixation du montant Ml entre le longeron L et le boîtier amortisseur de chocs B est réversible.
L'ouverture 80 est réalisée par emboutissage de la platine 74 du boîtier amortisseur de chocs B dans une partie de celle-ci destinée à être placée au niveau de l'ouverture 58 lors du serrage. Cet emboutissage est réalisé de sorte à créer une collerette 82 qui s'élève de la platine 74 sur une hauteur sensiblement égale à l'épaisseur de l'ouverture de fixa¬ tion 58. Le diamètre interne de la collerette 82 est sensi¬ blement égal au diamètre de l'ouverture 78 et au diamètre des moyens de serrage 76.
La collerette 82 joue ainsi un rôle anti-fluage lors du serrage similaire à celui de la bague 20 de l'art antérieur. Le diamètre de l'ouverture 58 est égal au diamètre externe de la collerette 82 additionné du diamètre d'un espace 84 entre les bords de la collerette 82 et l'extrémité du montant Ml. L'espace 84 est dû à l'emboutissage. Le diamètre externe de la collerette 82 est égal au diamètre de l'ouverture 78 additionné de deux fois l'épaisseur de la platine 74.
Une telle face avant est particulièrement avantageuse car elle propose un système de serrage du montant entre la platine du longeron et la platine du boîtier amortisseur de chocs aux performances similaires à celles de l'art antérieur mais qui est beaucoup plus facile à produire. En effet, il est plus simple et plus économique de prévoir un emboutissage de la platine du boîtier amortisseur de chocs pour créer des moyens anti-fluage qui pénètrent les ouvertures de fixation du montant Ml que d'intégrer des bagues anti-fluage à ce montant.
La figure 6 représente une vue en perspective d'un montant M2 utilisé dans des deuxième et troisième formes de réalisation d'une face avant selon l'invention.
Le montant M2 comporte un corps 92, une platine 94 et un logement 96 destinés à recevoir un projecteur (non représenté) du véhicule. Les montants Ml et M2 sont fabriqués à partir des mêmes matériaux.
La platine 94 comporte trois ouvertures de serrage 98 et une ouverture antTi~fluage IOTT.
La figure 7 représente une vue schématique en coupe d'une face avant 110 comportant le montant M2 de la figure 5 serré entre une platine 112 du longeron L et une platine 114 du boîtier amortisseur de chocs B au niveau de la partie A2 de la figure 6.
Cet agrandissement montre le montant M2 serré entre la platine 112 et la platine 114 par des moyens de serrage 116 (par exemple du type vis/écrou) qui traversent deux- ouvertures 118 de la platine 112, deux des trois ouvertures 98 du montant M2 et deux ouvertures 120 de la platine 114 du boîtier amortisseur de chocs B. Ici, aussi, la fixation du montant M2 entre la platine 112 et la platine 114 par les moyens de serrage 116 est réversible.
Le diamètre des ouvertures 118, 120 et 98-est sensiblement égal à celui des moyens de serrage 116.
Afin d'éviter le fluage du montant M2 lors du serrage, la platine 114 du boîtier amortisseur de chocs B est emboutie au niveau de l'ouverture anti-fluage 100 du montant M2, de sorte à créer une saillie 122 s 'élevant de la platine 114 sur une hauteur sensiblement égale à l'épaisseur de l'ouverture 100 et s 'étendant sur toute la surface de cette dernière.
L'emboutissage créant la saillie 122 n'étant pas parfait, il reste un interstice 124 entre la saillie 122 et les bords du montant M2 dans la région de l'ouverture 100.
Cette forme de réalisation de la face avant 110 offre l'avantage de réduire la quantité de matière nécessaire pour
produire le montant de la face avant tout en assurant une grande protection contre le fluage étant donné la grande surface que recouvre la saillie 122.
La figure 8 représente une vue en coupe schématique d'une variante préférée de la face avant de la figure 6. Seuls les éléments différents seront renumérotés.
Pour cette forme de réalisation, une platine 134 du boîtier amortisseur de chocs B subit un emboutissage de sorte à créer la saillie 122 et des collerettes 142 similaires aux colle¬ rettes 82 de la figure 4. Les moyens de serrage 116 traversent les deux ouvertures 118, deux ouvertures de serrage 148 du montant et deux ouvertures 140 de la platine 134.
Le montant M2 est ici légèrement différent en ce que les ouvertures 148 ont un diamètre supérieur à celui des ouvertu¬ res 98 précédentes. La différence entre ces deux diamètres est sensiblement égale à deux fois l'épaisseur de la collerette 142 additionnée de l'épaisseur de l'interstice 144 qui est dû à l'emboutissage.
Une telle face avant 130 combine les avantages des deux formes de réalisation précédentes. Elle permet une réduction des coûts par une utilisation moindre de matière et par la simplification de la production de cette face avant. En même temps, elle offre une protection maximale contre le fluage du montant qu'elle comporte.
Le boîtier amortisseur de chocs peut être réalisé de toute manière connue de l'homme du métier. Il peut par exemple être réalisé en remplissant un profilé creux d'une matière d'amortissement, telle que de la mousse d'aluminium, cette réalisation étant donnée à titre d'exemple illustratif et non limitatif. De même, le montant peut être réalisé à l'aide de toute matière plastique ou autre connue de l'homme du métier.
La figure 9 représente une vue en coupe schématique à échelle agrandie d'une partie d'une variante d'une face avant de
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l'invention. Dans cette variante, un élément de serrure S est monté sur une traverse supérieure T que comporte la face avant. La traverse T a une âme métallique et une surface en matière plastique. Pour assurer la fixation de l'élément de serrure S sur la traverse T, on vient la serrer par des moyens de serrage 216 (par exemple du type vis/écrous) entre une platine 212 de l'élément de serrage S et une platine de fixation F. L'utilisation des moyens de serrage 216 peut permettre d'obtenir une fixation réversible.
La traverse T est serrée, au niveau d'une ouverture 218 qu'elle comporte par les moyens de serrage 216 qui traversent cette ouverture ainsi qu'une ouverture 220 de la platine 212 et une ouverture 222 de la platine de fixation F.
L'ouverture 222 est réalisée par emboutissage de la platine F dans une partie de celle-ci destinée à être placée au niveau de l'ouverture 218 lors du serrage. Cet emboutissage est réalisé de sorte à créer une collerette 224 qui s'élève de la platine F sur une hauteur sensiblement égale à l'épaisseur de l'ouverture 218. Le diamètre interne de la collerette 224 est sensiblement égale au diamètre de l'ouverture 218 et au diamètre des moyens de serrage 216.
La collerette 224 joue ainsi un rôle anti-fluage lors du serrage. Le diamètre de l'ouverture 218 est égal au diamètre externe de la collerette 224 additionné du diamètre d'un espace 226 entre les bords de la collerette 224 et l'extrémité de la traverse T. Cet espace 226 est dû à l'emboutissage.
Sur la figure 10, on a représenté une variante de la face avant de la figure 9 dans laquelle l'élément de serrure S est remplacé par un crochet de sécurité C.
L'invention ne se limite pas aux modes de réalisation décrits ci-avant, seulement à titre d'exemples, mais elle englobe toutes les variantes que pourra envisager l'homme du métier.