WO2003075766A1 - Machine mixte d'examen medical - Google Patents

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WO2003075766A1
WO2003075766A1 PCT/EP2003/050051 EP0350051W WO03075766A1 WO 2003075766 A1 WO2003075766 A1 WO 2003075766A1 EP 0350051 W EP0350051 W EP 0350051W WO 03075766 A1 WO03075766 A1 WO 03075766A1
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PCT/EP2003/050051
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Bernard Beaumesnil
Quang Trung Nguyen
Stéphane Papillon
Jean-Claude Geay
José COUTO
Christian Pare
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Sopha Medical Vision International
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    • AHUMAN NECESSITIES
    • A61MEDICAL OR VETERINARY SCIENCE; HYGIENE
    • A61BDIAGNOSIS; SURGERY; IDENTIFICATION
    • A61B6/00Apparatus for radiation diagnosis, e.g. combined with radiation therapy equipment
    • A61B6/04Positioning of patients; Tiltable beds or the like
    • A61B6/0487Motor-assisted positioning

Abstract

Pour résoudre un problème de flêche dans une machine (1) mixte d'examen de médecine nucléaire (2) et de tomodensitométrie (3), on prévoit la mise en place d'un appui intermédiaire (20) le long du déplacement d'un plateau (8) porte patient. Pour résoudre néanmoins des problèmes de réalisation, on prévoit qu'un support (7) de plateau soit amené préalablement (9, 10) à une hauteur correspondant à un examen, puis que le support intermédiaire soit lui-même placé en appui avant de déplacer le plateau (7) d'examen sur ce support (8). On montre qu'en agissant ainsi on peut résoudre simultanément des problèmes de fragilité du plateau et de faible encombrement de l'appui intermédiaire.

Description

MACHINE MIXTE D ' EXAMEN MEDICAL
La présente invention a pour objet une machine mixte d'examen médical, c'est-à-dire capable d'acquérir dans un exemple au moins une image de médecine nucléaire en même temps qu'une image de tomodensitométhe. L'utilisation de ces machines tend à se généraliser dans les ensembles dits intermodals pour lesquels des images de différents types sont fusionnées, comparées, afin d'améliorer les diagnostics avancés par les praticiens. Les machines d'acquisition d'image en médecine sont de deux types : d'une part on distingue les machines anatomiques et d'autre part les machines fonctionnelles. Les machines anatomiques ont pour but de montrer la forme des organes, et leur disposition dans le corps humain. Les machines anatomiques les plus connues sont les machines de radiologie conventionnelle, les tomodensitomètres, les échographes et les machines de RMN. Parmi les machines fonctionnelles on connaît essentiellement les gamma caméra de type ANGER ainsi que les machines dites de type PET (Positron émission tomography - tomographie par émission de positons).
Ces machines fonctionnelles, dites aussi dans ce cas machines de médecine nucléaire, nécessitent l'injection dans le corps d'un patient d'un isotope radioactif. L'isotope est associé à un produit biologique amené à se métaboliser à différents endroits choisis du corps humain. Au moment de cette métabolisation les isotopes se fixent dans l'organe choisi et émettent des rayons gamma. Ces rayons gamma sont captés par des détecteurs de rayons gamma, de préférence après avoir subi une coilimation. Parmi ces émissions de rayons gamma certaines émissions sont particulières. Elles concernent les émissions de positons pour lesquels deux photons gamma sont émis dans les directions opposées l'une de l'autre, simultanément. On sait donc fabriquer d'une part des machines classiques détectant les rayons gamma, et d'autre part des machines dites PET mesurant la survenance de ces positons. Dans les deux cas, par le nombre et la répartition de provenance des rayonnements détectés, on mesure l'activité de l'organe choisi.
Les machines de médecine nucléaire présentent donc la particularité de proposer des images d'événements radioélectriques qui prennent naissance à l'intérieur du corps humain. Pour cette raison on les appelle aussi des machines d'émission. Pour des raisons faciles à comprendre, la statistique de détection de telles émissions est naturellement influencée par la densité et l'épaisseur des tissus interposés entre le lieu d'émission et un détecteur qui les mesure. Par exemple, pour un détecteur placé sur le côté gauche d'un patient lors d'un examen cardiaque, il est compréhensible que le nombre de coups détectés par le détecteur sera plus grand que lorsque ce détecteur sera placé sur le côté droit du corps du patient, alors que les rayons gamma auront dû traverser une plus grande épaisseur de tissu pour l'atteindre. Il en résulte, notamment pour l'acquisition d'images de tomographie en médecine nucléaire, que cette altération de la statistique de détection doit être corrigée.
Pour l'acquisition d'images de tomographie, en médecine nucléaire ou en tomodensitométrie, il est connu d'acquérir une suite d'images en projection, selon des incidences décalées les unes des autres d'un faible écart. Plus l'écart est faible plus la résolution de l'image tomographique est bonne. En pratique, pour pouvoir ainsi réaliser des acquisitions selon des incidences variant d'au moins 180° autour du corps du patient, on place un détecteur, ou plusieurs détecteurs, dans un dispositif mobile, tournant autour du corps du patient.
Les détecteurs de rayons gamma, selon une variante, sont portés par des bras décrivant autour du corps du patient un parcours circulaire. Le statif qui tient ces bras est un statif massif. Le corps du patient est amené en regard de ces bras jusqu'à ce que le lit support du patient vienne buter contre ce statif. Ces machines à bras présentent l'avantage, pour le patient, de ne pas se sentir confiné dans une machine. D'autres machines dites machines tunnels comportent dans leur principe une couronne portant des détecteurs. En tournant sur cette couronne, les détecteurs décrivent un tunnel. Pour l'examen, le patient est amené à passer dans le tunnel, en position horizontale généralement. L'examen avec une telle machine tunnel peut plus facilement être un examen tomographique corps entier qu'avec une machine à bras.
Pour tenir compte de la densité des tissus interposés sur le chemin des rayonnements gamma utiles, et qui faussent la statistique de détection, on prévoit d'effectuer une mesure de la densité des tissus interposés. Cette mesure de densité est une mesure par transmission, typiquement une mesure de l'atténuation de rayons transmis au travers du corps du patient. Dans ce cas, deux solutions sont possibles. Soit on dispose en regard des détecteurs, mais de l'autre côté du corps du patient par rapport à ces derniers, une source de rayons gamma soit, dans le cadre de la présente invention, on dispose en aval du tunnel un tomodensitomètre à rayons X (ou autres) susceptible d'acquérir une image de transmission classique. Les deux dispositifs d'acquisition d'image sont correctement alignées l'un avec l'autre, et des circuits de traitement sont prévus pour tenir compte, dans l'élaboration des images de médecine nucléaire, de corrections d'absorption mesurées avec des rayons transmis.
Autrement dit l'image de rayonnement transmis permet d'attribuer à des cheminements de rayonnements de rayons gamma des coefficients tendant à corriger les effets de l'absorption plus ou moins forte à laquelle sont soumis ces rayonnements à cet endroit. En pratique, les rayonnements gamma sont mesurés et conduisent à la production d'un signal électrique qui culmine dans une fenêtre de niveau d'énergie donnée. Si le signal mesuré culmine dans une fenêtre d'énergie inférieure, on en déduira que le signal mesuré ne correspond pas à un rayon gamma à détecter. Donc on ne comptera pas une occurrence pour le lieu concerné par cette détection. La correction d'absorption n'a pas pour but d'augmenter fictivement l'énergie des rayonnements reçus, et dont le point culminant du signal ne correspondrait pas à la fenêtre choisie, mais a pour objet de pondérer le nombre de coups comptés à un endroit alors que le nombre réel de coups comptés serait inférieur.
Dans le cadre de l'invention, une machine mixte se présente extérieurement sous la forme d'une grosse citerne cylindrique, horizontale, percée à l'intérieur par un tunnel. Pour diminuer le sentiment de claustrophobie dont pourraient souffrir les patients introduits dans un tel tunnel, il est prévu de munir la machine d'un capot. C'est ce capot qui lui donne cette allure. Par ailleurs, pour tenir compte de la différence de gabarit des différents patients susceptibles d'être examinés par une telle machine, le diamètre interne du tunnel est plutôt grand, de l'ordre de 70 cm. En pratique, également pour tenir compte de cette différence de corpulence, et pour cependant aligner sensiblement l'axe central du patient avec l'axe central du tunnel (celui de la machine), un support de plateau et un plateau sur lequel repose ce patient dans la machine doivent pouvoir s'élever d'environ 20 cm. Pour les patients les plus corpulents le plateau est mis en position basse, pour les patients les plus frêles, notamment les enfants, le plateau est placé en position élevée. Les positions intermédiaires sont par ailleurs disponibles. L'examen du corps d'un patient se réalise de la manière suivante dans une telle machine mixte. Le patient est d'abord (ou in fine) placé avec une zone à examiner de son corps en regard de la zone de détection de la machine de médecine nucléaire, de préférence une machine PET. Alors que le patient est dans cette position, la machine PET acquiert des images pour différentes incidences autour du corps du patient. Par exemple, l'acquisition des images peut durer 20 secondes pour chacune, et en les prélevant avec des incidences décalées de 5°, on arrive à une durée d'examen de 12 minutes. Pour un examen cardiaque, la durée ainsi considérée correspondrait à un état du cœur. Par des procédés de synchronisation, on pourrait également mesurer d'autres images pour d'autres états du cœur, amenant par exemple à une durée d'examen d'une heure si on veut disposer de cinq états. Le patient passe donc un certain temps dans la machine. A l'issue de cet examen de médecine nucléaire, le plateau qui porte le patient est déplacé dans la machine, sur un support de plateau, et ce patient passe alors en regard du détecteur et du générateur de rayons X du tomodensitomètre.
Un tel tomodensitomètre est de préférence un tomodensitomètre à balayage et à rotation continue. Dans ce cas, au cours de l'examen, le corps du patient se translate continûment dans le tunnel.
L'inconvénient présenté par ce type de machine mixte est lié à leur longueur, du fait de la présence côte à côte des deux machines. Pratiquement le tunnel mesure de l'ordre de 2 mètres de long. Pour des raisons de réduction d'encombrement des salles d'examen, on tend à coller le plus possible les deux machines l'une contre l'autre. Pour construire de telles machines mixtes on a d'abord eu l'idée de placer en regard d'une extrémité du tunnel une table sur laquelle serait placée une couche, ou plateau porte patient, susceptible de se translater depuis la table jusqu'à l'autre extrémité du tunnel. Dans la machine elle-même, pour maintenir un support d'accueil de ce plateau par glissement, on a prévu deux vérins d'extrémité censés soutenir le support de plateau comme une poutre. Les deux vérins d'extrémité sont placés aux extrémités du tunnel. Une telle solution était issue de la réalisation des machines tunnels classiques, de type gamma caméra, ou de type tomodensitomètre. Lors de la réalisation d'une première machine mixte, on s'est aperçu toutefois que, du fait de la longueur, le plateau porte patient subissait une flèche entre ses deux vérins d'extrémités, en particulier lorsqu'il était chargé par un patient particulièrement lourd. Compte tenu de ce que l'espace dans la machine est occupé par un capot d'isolement, et du souhait d'avoir un tunnel le plus court possible, les vérins susceptibles d'être appliqués au support du plateau ne peuvent être que des vérins d'extrémités distants l'un de l'autre d'environ 2 mètres.
Du fait par ailleurs de la détection de rayonnements électromagnétiques, rayons X ou rayons gamma, il est prévu de réaliser le plateau et le support en matériaux transparents à ces rayons. En pratique l'un et l'autre doivent être fabriqués en fibres de carbone. Cependant, pour des raisons de coûts, on préfère réaliser ces plateaux en bois, notamment dans des structures de type contreplaqué ou lamellé-collé, bien moins chères que les structure en fibres de carbone. Ces structures en bois présentent par ailleurs vis à vis du rayonnement X ou gamma à laisser passer les mêmes caractéristiques que les plateaux en fibres de carbone. Toutefois la rigidité de ces structures est bien inférieure à celles des fibres de carbone et conduit à subir des flèches différentielles pour des patients lourds de l'ordre de 4 mm. Ces flèches faussent d'une manière inacceptable la comparaison des images obtenues selon un mode et l'autre. En conséquence, la correction d'une image dans un mode par l'image obtenue par l'autre mode est également faussée, et l'intérêt d'une telle machine mixte en est amoindri.
On est alors rendu à la situation suivante que, ou bien le plateau et son support sont de coût modeste mais de rigidité insuffisante, ou bien ils sont de coût élevé et de rigidité suffisante.
Par ailleurs pour la mise en place du patient dans la machine on procède normalement de la façon suivante. La table ainsi que le support du plateau sont amenés l'un en regard de l'autre à la hauteur désirée pour l'examen du patient concerné (en fonction de sa corpulence). Puis une fois qu'ils sont dans cette position, le plateau coulisse de la table sur le support plateau dans la machine. En pratique, pour la mise à hauteur la table comporte deux vérins, et le support est élevé par les deux vérins d'extrémité également. Les deux vérins du support sont synchronisés avec les deux vérins de la table pour que la correspondance des deux moyens de levage soit assurée, et permette le coulissement facile du plateau. L'horizontalité parfaite de l'alignement de la table et du support est assurée avec cette synchronisation.
Dans l'invention, pour résoudre le problème d'affaissement et pour satisfaire en même temps à une grande simplicité de fabrication, tout en ne compliquant pas par ailleurs l'asservissement d'élévation du support et de la table, on a prévu de placer sous le support, à mi-distance des deux vérins d'extrémité dans la machine un appui intermédiaire qui vient soutenir le support du plateau en position. L'appui intermédiaire est différent d'un vérin au sens où il ne sert pas à l'élévation du support de plateau. Il sert seulement au maintien en altitude, une fois que l'élévation a été menée avec les deux vérins d'extrémités. On verra que l'appui forme ainsi un accosteur irréversible.
La mise en œuvre se pratique de la façon suivante. Alors que le patient est sur son plateau porté par la table, la table et le support plateau de la machine sont élevés à la hauteur désirée pour l'examen. Avant cependant que le plateau ne se déplace depuis la table vers le support plateau dans la machine, l'appui intermédiaire est élevé sous le support plateau de la machine, de manière à venir en appui sous ce dernier et à empêcher son affaissement sous le poids du patient. Avec les supports de plateau en bois et les plateaux en bois ainsi imaginés, on est alors arrivé à limiter la flèche dans les zones utiles des machines concernées à 0,4 mm, au lieu de 4 mm précédemment. Cette réduction du fléchissement permet alors une comparaison utile des images obtenues selon les deux modalités. On montrera par ailleurs que la mise en place de l'appui intermédiaire, avec une réalisation simple, permet de réaliser l'économie, et donc de conserver l'avantage en prix de l'utilisation du support et du plateau en bois, ou du moins en un matériau peu rigide.
L'invention a donc pour objet une machine d'examen mixte pour acquérir au moins une d'image de médecine nucléaire et une image de tomodensitométrie du corps d'un patient, comportant un tunnel le long duquel sont agencés en cascade un dispositif d'acquisition de l'image de médecine nucléaire et un dispositif d'acquisition de l'image de tomodensitométrie, un support de plateau d'examen disposé dans le tunnel entre deux vérins d'extrémité, une table d'examen disposée en dehors du tunnel, et un plateau d'examen capable de circuler en translation de la table au support et réciproquement, caractérisé en ce qu'il comporte un dispositif d'appui intermédiaire interposé sous le support entre les deux vérins d'extrémité.
L'invention sera mieux comprise à la lecture de la description qui suit et à l'examen des figures qui l'accompagnent. Celles-ci ne sont présentées qu'à titre indicatif et nullement limitatif de l'invention. Les figures montrent :
- Figures 1a et 1b : les représentations en coupe d'une machine mixte à perfectionner avec le dispositif de l'invention ;
- Figures 2a et 2b : des vues d'une face et de l'autre du dispositif d'appui à mettre en place en position intermédiaire entre les deux dispositifs d'acquisition d'images de la machine mixte ;
- Figures 3a et 3b : des représentations en perspective, vue de dessus et vue de dessous de la machine de l'invention ;
- Figures 4a et 4b : un accessoire permettant une manipulation aisée du plateau lors du montage de la machine, en particulier lorsque celle-ci n'est pas encore alimentée électriquement.
Les figures 1a et 1b montrent une machine d'examen mixte 1 perfectionnable selon le perfectionnement de l'invention. Cette machine 1 comporte un dispositif 2 d'acquisition d'une image de médecine nucléaire et un dispositif 3 d'acquisition d'une image de tomodensitométrie. Les dispositifs 2 et 3 d'acquisition d'image sont montés en cascade l'un de l'autre au sens où un patient 4 est amené à passer successivement dans des zones utiles de mesure de l'une puis de l'autre machine. Le dispositif d'acquisition 2 est un dispositif d'acquisition d'une image de médecine nucléaire, notamment un dispositif de type PET. Il comporte dans ce but des détecteurs tels que 5 amenés à occuper autour du corps du patient 4 des positions repérées par une incidence angulaire autour d'un axe 6 de rotation. Alors que l'axe 6 est fixe en hauteur par rapport au sol, un plateau porte patient 7, porté dans la machine par un support 8 de plateau peut occuper dans cette machine une altitude différente de manière à ce que l'axe principal du corps du patient coïncide sensiblement avec l'axe 6. Pour aboutir à ce résultat, le support 8 est placé dans la machine en étant porté par deux vérins respectivement 9 et 10 susceptibles de s'élever à la hauteur adéquate. Les deux vérins 9 et 10 sont des vérins d'extrémité parce qu'ils comportent des structures métalliques. Pour des raisons de non-interférence avec les rayonnements X ou gamma à détecter, ces structures métalliques telles que 11 et 12 respectivement, même lorsqu'elles sont en porte à faux, n'empiètent pas dans les zones d'examen 13 et 14 de ces deux machines.
La machine 1 se présente globalement comme une grosse citerne cylindrique, couverte par un capot 15 et munie d'un tunnel cylindrique 16 qui la traverse selon l'axe 6. L'intérieur du tunnel est de préférence également capoté et présente une surface lisse, de préférence de couleur claire de nature à rassurer le patient qui y est introduit. La partie interne 17 du capot 15 dans le tunnel 16 n'est munie que de deux ouvertures pour laisser passer les vérins 9 et 10 qui s'appuient sous le support 8 de plateau. Sur le plan pratique, le capot 15 peut s'ouvrir en deux, chacune des deux parties formant un demi-tunnel de long et pouvant circuler sur des rails 18 placés sur le sol. Des rails parallèles aux rails 18 permettent également de porter un des deux dispositifs d'acquisition d'image, de préférence le dispositif de densitométrie. Les rails 18 portent aussi une table d'examen 19. La table 19 est la table sur laquelle peut coulisser le plateau 7. On peut placer, dans une position basse, figure 1a, le patient sur le plateau 7, à partir d'un lit d'hôpital. Dans sa position d'accueil, la table 19 est en position plus basse que la position la plus basse du support 8 de plateau dans la machine 1.
Selon l'invention, la machine est munie d'un appui intermédiaire 20 placé juste entre les deux dispositifs d'acquisition d'image et susceptible de venir prendre appui sous le support 8 de plateau, à mi-distance des zones d'examen 14 et 13. L'appui 20 présente la particularité d'être mobile en hauteur pour tenir compte de la différence d'altitude nécessaire pour l'examen. L'appui 20 se distingue toutefois d'un vérin en ce sens qu'il n'est pas capable d'élévation du poids du patient. Il est seulement capable d'un maintien en altitude. Sur la figure 1a l'appui 20 est en position rétractée, il n'est pas en appui sous le support 8 de plateau, alors que sur la figure 1b, et alors que le patient est dans la machine pour examen, l'appui 20 a été préalablement porté contre le dessous du support 8. L'appui 20 est surtout peu encombrant Le procédé de mise en place est le suivant. D'abord le patient est installé sur le plateau 7 porté par la table 19 alors que celle-ci est en position basse. Cette position basse permet une intervention facile des infirmiers pour aider à sa mise en place. Lorsque le patient est en place sur le plateau 7, la table 19 s'élève, d'abord seule jusqu'à atteindre une hauteur légèrement supérieure (par exemple 1 cm) à celle du support 8 de plateau qui est en position basse dans la machine 1. Puis le plateau 7 est avancé légèrement de manière à ce qu'il vienne se placer par son extrémité avant 21 au-dessus du support 8 de plateau. Lorsque cette extrémité 21 est suffisamment engagée au-dessus du support 8 de plateau (par exemple avec un recouvrement longitudinal de l'ordre de 10 cm), les vérins 9 et 10 de la machine 1 sont élevés pour que le support 8 de plateau vienne, en rattrapage, au contact inférieur du plateau 7.
Dans cette situation, la concordance des deux supports, la table 19 et le support 8 de plateau, est acquise. Puis l'ensemble est élevé à une position en altitude telle que l'axe principal du corps du patient coïncide avec l'axe 6 de la machine. Plus le patient est frêle plus l'élévation sera importante. Une fois que cette altitude est rejointe, et seulement à ce moment et avant que le plateau 7 ne soit introduit dans la machine, l'appui 20 est appliqué sous le support 8 de plateau. On notera que cet appui 20 est ainsi porté sous le support 8 avec une faible motorisation : cette motorisation n'a besoin que d'élever l'appui lui-même. Le mécanisme de cet appui étant de structure légère et d'un poids léger, le moteur d'élévation n'a pas besoin d'être très puissant. Il n'a donc pas besoin d'être volumineux. Il peut alors facilement tenir dans un endroit où l'espace manque.
En effet pour des raisons d'encombrement des salles d'examen, on a intérêt à accoler le plus possible le dispositif 2 d'acquisition d'images de médecine nucléaire au dispositif 3 d'acquisition d'images de tomodensitométrie. On verra par la suite que l'appui intermédiaire 20 se présente de préférence sous la forme d'une plaque facilement encastrable entre les deux dispositifs d'acquisition d'image.
Une fois qu'il est en position, l'appui 20 cesse son élévation, notamment par la présence d'un contacteur de fin de course qui vient appuyer sous le support 8 de plateau. Du fait de la présence de réducteur de démultiplication, le moteur même léger de déplacement de cet appui intermédiaire 20 suffit ensuite à en éviter l'affaissement sous l'effet du poids du patient. Au besoin, la rotation du moteur peut être bloquée.
Puis, seulement lorsque cet appui intermédiaire 20 est ainsi en position, le plateau 7 est avancé dans la machine, à partir de son léger engagement, pour être engagé entièrement sur le support 8 et pour soumettre alors les parties du patient à examiner d'une part à l'examen par le dispositif 2 d'acquisition d'images de médecine nucléaire puis d'autre part à l'examen par le dispositif 3 d'acquisition d'images de tomodensitométrie (ou vice versa). Les figures 2a et 2b montrent une face et l'autre de l'appui 20 qui a globalement la forme d'une plaque. Cette plaque est vue en coupe sur les figures 4a et 4b. Cet appui 20 comporte un berceau 22 porté par deux vérins 23 et 24. Le berceau 22 possède dans sa partie supérieure une forme incurvée 24 destinée à épouser la partie inférieure du support 8. Compte tenu de la nature lisse du capotage interne 17 du tunnel dans sa partie intermédiaire, ce capotage est muni de deux orifices respectivement 26 et 27 pour recevoir le passage des vérins 23 et 24. Dans ce but, le berceau 22 est amovible et est monté sur les têtes des vérins 23 et 24 par des goupilles axiales 28 et 29. Chacune de ces goupilles 28 et 29 est munie d'un bouton 30 et 31 qui libère, quand on appuie dessus, des billes telles que 32 situées en position basse et qui permettent la désolidarisation du berceau 22 de la tête des vérins 23 et 24. Les vérins 23 et 24 sont par ailleurs maintenus par des corps de vérin 33 et 34. Dans la pratique, les vérins 33 et 34 comportent des tiges de crémaillère qui sont déplacées en hauteur par des pignons. Les pignons sont eux-mêmes entraînés par des moteurs 35 et 36 montés sur les corps 33 et 34. Les corps 33 et 34 sont par ailleurs reliés entre eux par une plaque épaisse 37. La plaque 37 est destinée à venir prendre appui, par des boulonnages tels que 38, voir aussi figures 1a et 1b, contre une couronne statique de maintien d'une des machines, ici de préférence la machine 3 de tomodensitométrie.
Au moment où l'appui intermédiaire 22 est déplacé en direction du support 8 de plateau qui avait préalablement atteint son altitude de mesure, les moteurs 35 et 36 sont commandés en fonction de l'état d'un interrupteur 39 de type fin de course. Cet interrupteur 39 est porté par une patte 40 et est disposé dans une cavité 41 réalisée dans le berceau 22. L'interrupteur de fin de course 39 comporte un contacteur 42 dont une extrémité mobile 43 porte contre une piste 44 d'une came 45. La came 45 possède par ailleurs une partie protubérante 46 destinée à venir au contact en dessous du plateau 8. La came est pour le reste repoussée élastiquement en direction de ce plateau 8 par un ressort non représenté. La patte 40 est par ailleurs munie d'œillets de réglage, de manière à ce que la course de la butée 46, après la mise au contact, corresponde à la mise en place à la hauteur désirée du berceau 22 sous le support 8 de plateau. Il serait par ailleurs possible de se passer de l'interrupteur de fin de course 39 en commandant les moteurs de l'appui 20 en fonction d'une mesure du courant qui les alimente. Lorsque le berceau 22 arrive au contact du support 8 de plateau, ce courant change. On peut utiliser cette modification pour arrêter l'élévation. Ce mécanisme forme un accosteur irréversible au sens où, sans commande complémentaire, l'appui intermédiaire 20 ne peut plus redescendre. La figure 2b reprend les mêmes éléments que la figure 2a, et montre par ailleurs le cheminement d'un câble 47 permettant de transmettre aux moteurs 35 et 36 un signal de commande issu de l'interrupteur de fin de course 39. De manière à ce que ce câble 47 ne se prenne pas dans les mécanismes de rotation d'une machine ou de l'autre quand le berceau est élevé, il est contenu entre la plaque 37 et une feuille de maintien 48 fixée à cette dernière.
La figure 2b montre le berceau 22 dans deux positions, basse et élevée, distantes l'une de l'autre de l'ordre de 200 mm et correspondant à la différence de corpulence des patients à examiner. Le support 8 de plateau porte par ailleurs des roulettes 49 pour recevoir le plateau 7 (non représenté) en coulissement. La table 19 est également munie de roulettes identiques dans le même but.
Lors de la réinitialisation de la machine, les opérations de déplacement du plateau 7 du support 8 et de la table 19 sont menées en sens inverse de celui de la mise en place du patient dans la machine.
Les figures 3a et 3b montrent, respectivement vue de dessus et vue de dessous, la représentation schématique de la machine mixte de l'invention. Le capot 15 possède ainsi une face avant 49 disposée en regard de la table 19. Cette table 19 possède un piétement 50 apte à circuler sur les rails 18 (non visibles) et deux vérins 51 et 52 permettant l'élévation de la table 19. De préférence, la table 19 est munie, provisoirement au moment de l'installation du patient, d'une protection 53 de tête en mousse, permettant d'éviter que la tête du patient ne heurte une extrémité en regard 54 du support 8. Lorsque la table 19 a été élevée au-dessus (légèrement de 1 cm) du support 8, la protection 54 peut être enlevée avant que le plateau 7 ne soit amené à coulisser légèrement à l'intérieur du tunnel 16.
Comme indiqué précédemment, le dessus de la table 19, le plateau 7 ainsi que le support 8 de plateau sont en bois, de préférence en contreplaqué ou en une structure lamellée-collée, de manière à en réduire le prix. Dans un exemple l'épaisseur du plateau 7 est de 7 mm alors que l'épaisseur du support 8 et de la table 19 sont de 14 mm. Ces plateau, support et table sont formés à l'étuve. La figure 3b montre une demi-partie du tunnel 17, munie d'un orifice 26 pour laisser passer une tête d'un vérin de mise à hauteur de l'appui 20. La figure 4a montre la mise en place de l'appui intermédiaire 20 dans un espace très étroit entre les deux dispositifs d'acquisition d'image.
Disposant ainsi d'un appui intermédiaire 20, on le munit par ailleurs de deux patins roulants 55 et 56. Les patins 55 et 56 sont utiles pour la mise en place du support 8 de plateau lors du montage de la machine 1. Lors du montage de cette dernière, le plateau 8, qui est en lui-même assez encombrant, peut alors être manipulé par un homme seul, malgré sa grande longueur. Cette solution favorise également l'intervention d'un agent d'entretien seul. En effet les patins roulants 55 et 56 sont portés par des bras respectivement 57 et 58 eux-mêmes maintenus à la plaque 37 par des ressorts 59 et 60 dans une position facilitant la manœuvre. La raideur des ressorts 59 et 60 est un autre moyen par ailleurs de régler, en combinaison avec la came 45, la hauteur de mise en place du berceau 22.
Les capots tunnels de la machine 1 se présentent sous la forme d'une face avant, ou arrière, réunie à un demi-tunnel. Ils sont de préférence portés par les rails 18, par l'intermédiaire de deux chariots 61 et 62 (voir figures 1a et 1b). Les chariots 61 et 62 portent les demi-tunnels et également les corps de vérin et les moteurs de vérin des vérins 10 et 9 respectivement. Les deux dispositifs 2 et 3 d'acquisition d'images ainsi que les deux demi-capots sont réunis entre eux par des attaches rapide à levier et à crochet, dites grenouillères, qui maintiennent solidaires les deux parties. Les chariots qui portent les vérins 9 et 10 sont aussi réunis par de telles attaches rapides aux dispositifs d'acquisition d'images. La table 19 est reliée pareillement au chariot 61. Et les extrémité du support 8 de plateau sont également reliées par de telles attaches rapides aux têtes en porte à faux des vérins 9 et 10. Une fois monté, l'ensemble de la machine est fixe par rapport au sol par le maintien au dispositif 3 d'acquisition d'images de tomodensitométrie qui repose sur des plaques placées de part et d'autre des rails 18.
De ce fait, la désolidarisation de la machine est très simple lors de l'entretien. On retire d'abord le plateau 7 puis le support de plateau 8, en étant aidé pour ce dernier par les patins 55 et 56. Puis on dégrafe les attaches rapides. Puis on sépare les machines 2 et 3 l'une de l'autre en en faisant coulisser une sur ses rails. L'appui 20, fixé à l'une de ces machines ne gêne plus pour intervenir entre elles. Au remontage, la présence du contacteur de fin de course 39 rend inutile tout nouveau réglage de l'asservissement en position de l'appui intermédiaire pour rejoindre une altitude choisie.

Claims

REVENDICATIONS
1 - Machine (1) d'examen mixte pour acquérir au moins une d'image de médecine nucléaire et une image de tomodensitométrie du corps (4) d'un patient, comportant un tunnel (16) le long duquel sont agencés en cascade un dispositif (21) d'acquisition de l'image de médecine nucléaire et un dispositif (3) d'acquisition de l'image de tomodensitométrie, un support (8) de plateau d'examen disposé dans le tunnel entre deux vérins (9, 10) d'extrémité, une table (19) d'examen disposée en dehors du tunnel, et un plateau (7) d'examen capable de circuler en translation de la table au support de plateau et réciproquement, caractérisé en ce qu'il comporte un dispositif (20) d'appui intermédiaire interposé sous le support de plateau entre les deux vérins d'extrémité.
2 - Machine selon la revendication 1 , caractérisée en ce que le dispositif d'appui intermédiaire est mobile (23, 24) en hauteur.
3 - Machine selon la revendication 2, caractérisée en ce que le dispositif d'appui intermédiaire comporte un interrupteur (39) de fin de course qui vient en appui contre le support et qui commande (47) un mouvement d'élévation de ce dispositif d'appui intermédiaire. 4 - Machine selon la revendication 3, caractérisée en ce que le contacteur de fin de course est porté dans le dispositif d'appui par une patte (40) de réglage qui porte par ailleurs une came (45) qui est repoussée élastiquement vers le support et qui est en appui (44) sur un contact (43) du contacteur (42) de l'interrupteur. 5 - Machine selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisée en ce que la table est munie de premiers (51 , 52) dispositifs d'élévation, le support est muni de deuxièmes (9, 10) dispositifs d'élévation, et un circuit de synchronisation est prévu pour synchroniser l'élévation des premiers et deuxièmes dispositifs d'élévation. 6 - Machine selon la revendication 5, caractérisée en ce que le circuit de synchronisation permet une élévation de la table seule jusqu'à ce qu'elle arrive au dessus du support, et ou une élévation, en rattrapage, du support seul lorsque le plateau s'engage légèrement depuis la table sur ce support, et ou l'élévation simultanée ultérieure de la table et du support, et l'élévation in fine de l'appui intermédiaire après que la table et le support soient arrivés à une position finale, et avant que le plateau ne soit engagé entièrement sur le support.
7 - Machine selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisée en ce que le plateau, et ou le dessus de la table et ou le support sont en bois, de préférence en une structure légère de type contre-plaquée ou lamellée collée.
8 - Machine selon l'une des revendications 1 à 7, caractérisée en ce qu'elle comporte des rails (18) qui supportent en coulissement d'une part le dispositif (2) d'acquisition de l'image de médecine nucléaire, et d'autre part deux capots tunnels, ces deux capots tunnels étant chacun porté par un chariot (61 , 62), un chariot d'un capot tunnel portant un des appuis d'extrémité du support.
9 - Machine selon l'une des revendication 1 à 8, caractérisée en ce qu'elle comporte un capot tunnel pour masquer un dispositif d'acquisition et en ce que le dispositif d'appui intermédiaire comporte deux vérins (23,24) d'élévation et un berceau (22) supérieur, amovible, à monter (28, 29) sur des têtes des vérins, ce capot tunnel étant muni d'orifices (26, 27) pour laisser passer ces têtes de vérin.
10 - Machine selon l'une des revendications 8 à 9, caractérisée en ce que des grenouillères sont utilisées pour fixer la table à un châssis d'un capot tunnel, et ou un ou deux chariots à un bâti d'un dispositif (3) d'acquisition d'image, et ou le support (8) sur les vérins d'extrémité, et ou le dispositif d'acquisition de l'image de médecine nucléaire au dispositif d'acquisition de l'image de tomodensitométrie.
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