Calculateur testeur de la décélération réelle et afficheur de l' interdistance de sécurité et de la distance d'arrêt d'un véhicule.
La présente invention concerne un dispositif pour tester l'état de freinage, et calculer,- en fonction de la décélération réelle, de la vitesse et des données chrono-biologiques et environnementales,- l' interdistance de sécurité entre deux véhicules et la distance d'arrêt tout en les afficheant au tableau de bord d'un véhicule. L'information sur les risques de la vitesse n'est pas fournie actuellement par le tableau de bord qui indique uniquement la vitesse de déplacement. Cette information sur la vitesse n'est pas suffisante pour le conducteur car elle ne lui fournit pas la distance d'arrêt en cas d'urgence ni l' interdistance de sécurité entre deux véhicules.
L'absence de cet affichage occulte une information réelle sur les degrés de risque liés à la vitesse.
En effet, une faible augmentation de la vitesse se traduit par une grande augmentation de la distance de freinage qui est proportionnelle au carré de la vitesse. Par exemple, en augmentant sa vitesse de 50 à 70 km/h, le conducteur a toujours le même sentiment de sécurité mais en réalité la distance de freinage a presque doublé. En supposant une décélération de 7 m/s2 , la distance de freinage du véhicule a donc augmenté de 14 m à 27 m.
En respectant les limitations de vitesse mais sans laisser une interdistance suffisante, le conducteur est soumis à un risque plus grand que celui qui correspond à une interdistance suffisante. A la même vitesse :
Un véhicule chargé ne réagit pas de la même manière au freinage que quand il est vide. Sa distance de freinage est plus grande.
L'adhérence pendant le freinage sur une route sèche ou sur une route mouillée n'est pas la même. Pour éviter le dérapage sur une route mouillée, la décélération doit être inférieure à celle qui correspond à une route sèche. En conséquence, la distance d'arrêt augmente en cas de pluie.
La conduite nocturne et la conduite diurne ne sont pas identiques. L'identification d'un obstacle est moins aisée la nuit, ce qui augmente en conséquence le temps de réaction avant le freinage. - Selon la chronobiologie, l'attention, la vigilance et la prise de décisions diminuent après minuit et pendant la digestion, ce qui augmente le temps de réaction.
La fatigue due à une longue durée de conduite sans arrêt suffisant augmente le temps de réaction devant un obstacle. En conséquence, un long trajet sans repos augmente la distance d'arrêt.
En somme, il en résulte que le respect de la limitation de vitesse ne signifie pas un respect des interdistances de sécurité entre deux véhicules, que la faible variation de la vitesse ne permet pas une prise de conscience de la grande variation du risque et que, à vitesses égales, les risques sont différents et varient en fonction des facteurs environnementaux et chrono-biologiques. En conséquence, pour une conduite plus sécuritaire, le seul affichage de la vitesse n'est pas suffisant. Le dispositif selon l'invention permet de remédier à ces inconvénients. Il permet de tester le comportement du véhicule pendant le freinage, de calculer l' interdistance de sécurité ainsi que la distance d'arrêt tout en prenant compte des facteurs extérieurs et chrono-biologiques, et d'afficher en permanence le résultat de ses calculs. Il se base sur les principes suivants :
A- Principe de recueil d'informations réelles sur le comportement du véhicule en l'étudiant d'une manière cinématique en se basant sur un test de freinage qui détermine la décélération réelle, non théorique ou standard. A la même vitesse deux véhicules identiques peuvent avoir deux comportements de freinage différents. Les causes mécaniques peuvent êtres multiples : fatigue différente du système de freinage ; différences de chargement, états des amortisseurs différents... La détermination des causes est importante pour une intervention mécanique. Notre calculateur se base uniquement sur les conséquences de ces causes en matière de décélération, de temps d'arrêt et de distance d'arrêt. Il étudie le mouvement réel du véhicule pendant le freinage indépendamment des causes mécaniques
et établit ses calculs en fonction de la décélération réelle qu Λil enregistre pendant le test et non seulement en fonction des données théoriques ou standard du constructeur ou de la sécurité routière. Il fournit donc des appréciations réelles des risques dus à la vitesse et à la décélération réelle du véhicule.
B- Principe d'intégrer les risques liés aux conditions extérieures et à la chronobiologie humaine dans les variations des distances d'arrêts et des inter-distances de sécurité.
Les conditions extérieures ou environnementales ont une part importante dans l'augmentation des risques liés à la vitesse et à l'état du véhicule. Ainsi, comme on l'a vu plus haut, une route mouillée nécessite une augmentation de l' interdistance ou de la distance d'arrêt. Une diminution de la valeur de décélération du véhicule, en cas de pluie, permet au calculateur d'afficher les distances nécessaires à respecter afin d'aider le conducteur à anticiper et effectuer, le cas échéant, un freinage urgent en toute sécurité. De même, le calculateur intègre, dans le calcul de l' interdistance et de la distance d'arrêt, les facteurs chrono- biologiques, comme la conduite prolongée au-delà de deux heures ou sans repos suffisant, la conduite pendant la nuit ou après minuit, la fatigue visuelle causée par la conduite prolongée, 1' hypovigilance liée à certaines périodes comme celle entre minuit et 5 heures du matin, la difficulté d'identifier des obstacles la nuit. Il prend donc en considération ces éléments comme facteurs de risque augmentant le temps de réaction du conducteur avant le freinage et les traduit par une augmentation de l' interdistance et de la distance d'arrêt.
Les valeurs de ces variations sont paramétrées à l'initialisation du calculateur et sont celles de la sécurité routière, celles des tests chrono-biologiques ou à défaut des valeurs théoriques plus ou moins importantes selon les risques. A titre d'exemple non limitatif ces valeurs pourraient être : 7 m/S2 pour la valeur de décélération standard 10 m/S2 pour la valeur de décélération d'un véhicule ultraperformant
2 m/S2 pour la diminution de la décélération en cas de pluie
0,75 seconde pour une conduite pendant le jour 1,5 secondes pour une conduite pendant la nuit
3 secondes pour une conduite entre OOhOO et 5h00 du matin Dans cet exemple, une seule période d' hypovigilance est prise en considération
0,75 seconde pour une durée de conduite sans arrêt supérieure à 2 heures.
15 minutes de durée de repos conseillée toutes les 2 heures de conduite continue.
C- Principe d' information continue au conducteur, et éventuellement aux passagers, sur les risques et non seulement d'une manière discontinue en fonction du niveau de danger. Le calculateur intègre et cumule les risques dans le calcul de deux variables affichées en permanence au tableau de bord du véhicule. Le conducteur est donc informé en permanence des variations du risque. Ainsi peut-il réaliser qu'une faible augmentation de la vitesse faite avec un très léger appui sur 1' accélérateur peut se traduire par une augmentation très importante de la distance d'arrêt et de l' interdistance de sécurité. Le dispositif aide à la prise de conscience des degrés de risque par le conducteur. Il offre également une information pour les éventuels passagers qui ont le droit de savoir les degrés de risque et de juger de l'adéquation du comportement du conducteur avec ces situations.
Ce dispositif se limite à l'information permanente et ne contraint pas mécaniquement le conducteur à réduire sa vitesse. A tout moment le conducteur a la possibilité d'évaluer le risques et d'y adapter son comportement.
Le calculateur comporte, en effet, une unité centrale comprenant des procédés prédéfinis et reliée : au compteur de vitesse par un capteur qui fournit les données sur la vitesse, - au système de freinage par un capteur qui indique l'entrée en action et l'arrêt du freinage,
au système d'éclairage par un capteur pour indiquer la baisse de visibilité, au système d' essuie-glaces pour indiquer une route mouillée, - à un chronomètre et une horloge pour calculer la durée du freinage pour le test, la durée de conduite sans arrêt, ainsi que le moment de la conduite, à un système de mémoires pour enregistrer les paramètres, les résultats de calculs et les données nécessaires. au Compte-tours (RPM) pour indiquer que le monteur est en marche, et à un panneau frontal comprenant un écran d'affichage ainsi que des commandes d'initialisation et de sélection.
Pour la première utilisation, le calculateur doit être initialisé. Une commande permet de sélectionner la fonction paramétrage du calculateur afin de choisir le système métrique, d'effectuer le réglage de l'horloge et d'intégrer les paramètres théoriques à savoir :
1. la valeur de la décélération du véhicule standard ou selon le constructeur sur une route sèche ainsi que celle d'un véhicule ultra performant pour le calcul de l' interdistance,
2. la diminution de la décélération sur une route mouillée, 3. le délai de réaction normal ainsi que les valeurs d'augmentation de la durée de réaction en fonction des périodes d' hypovigilance, de moment de la conduite et de la durée de conduite sans arrêt ainsi que celle du repos conseillée.
Ensuite, la sélection du test de contrôle du freinage permet de fournir au calculateur la valeur de la décélération réelle du véhicule. Pour réaliser le test, le conducteur accélère puis freine avec appui jusqu'à l'arrêt complet du véhicule.
Pendant le test, les informations sur la vitesse sont distribuées à un procédé prédéfini qui mémorise la vitesse du véhicule quand le capteur du freinage montre l'entrée en action du frein, calcule la durée du freinage entre l'entrée en action du freinage et le moment où la vitesse devient nulle et la stocke en
mémoire. En fonction de la durée de freinage et de la vitesse mémorisée au début du freinage-test, ce procédé calcule la valeur de la décélération réelle du véhicule et la stocke comme une donnée permanente jusqu'au prochain test. Ensuite il la compare à la décélération théorique et choisit la plus faible valeur des deux pour les calculs de l' interdistance de sécurité et la distance d'arrêt. Il affiche également des messages correspondants. En cas de freinage insuffisant le message peut durer jusqu'à la réalisation d'un nouveau test. Un test périodique permet de bien contrôler le système de freinage. De même, en cas de véhicule chargé, la réalisation systématique du test donne une idée exacte de l'état du freinage.
Une autre fonction peut être également sélectionnée : celle de fournir des données sur le dernier freinage (utiles en cas d'accident ou d'enquête). La vitesse, la date et l'heure du dernier freinage sont sauvegardées automatiquement et peuvent être affichées.
Le mode calcul de l' interdistance et de la distance d'arrêt est le mode normal du calculateur. Un procédé prédéfini calcule la durée d'arrêt du véhicule, la compare avec celle conseillée par la sécurité routière, détermine et enregistre l'heure du départ. Ce procédé traite les informations fournies par le capteur de vitesse et affiche en cas d'arrêt du véhicule la valeur zéro. Il apporte les corrections nécessaires à la décélération et au temps de réaction, en fonction des données extérieures et chrono- biologiques. En effet pendant le déplacement du véhicule, ce procédé: enregistre la vitesse la date et l'heure de chaque mise en action des freins. Ces données seront sauvegardées jusqu'au nouvel ordre d'enregistrement, fournit les corrections nécessaires à la décélération selon les informations du capteur correspondant sur la mise en route des essuie-glaces. Il ordonne d'enregistrer la baisse de décélération paramétrée en cas de pluie, - fournit également les corrections apportées au temps de réaction selon les informations sur la mise en route de l'éclairage. Il ordonne d'enregistrer l'augmentation paramétrée du délai de réaction en cas de baisse de visibilité,
compare les informations de l'horloge avec l'heure du départ, détermine la durée de conduite sans interruption ou sans arrêt suffisant et enregistre l'augmentation paramétrée du délai de réaction en cas de conduite supérieure à la durée conseillée. - Compare l'heure de conduite avec les périodes d' hypovigilance liées à la chronobiologie et enregistre l'augmentation paramétrée du délai de réaction en cas de conduite dans ces périodes.
Après toutes les corrections nécessaires et l'ajout systématique d'un délai de réaction paramétré, le procédé prédéfini calcule la distance d'arrêt en fonction de toutes les données enregistrées .
Pour calculer l' interdistance de sécurité, ce procédé la définit comme la différence entre la distance d'arrêt du véhicule et la distance de freinage du véhicule devançant, en supposant, à titre d'exemple non limitatif, que le véhicule devançant roule à la même vitesse que le véhicule suivant et qu'il est doté, à titre d'exemple non limitatif, d'un système de freinage ultra-performant et invariable quelles que soient les conditions extérieures. A noter que le choix de la même vitesse permet de bien sensibiliser le conducteur aux différents degrés de risque. En effet si le véhicule devançant a une vitesse supérieure, il n'y a pas de risque, s'il a une vitesse inférieure le risque est visible car les deux véhicules se rapprochent. Là où le risque peut être très élevé mais occulté, c'est quand les deux véhicules roulent en étant très rapprochés à la même vitesse.
Avant l'affichage en continue des résultats sur le petit écran du panneau frontal, ce procédé opère leurs conversions si un système métrique différent du mètre a été déjà sélectionné dans paramétrage du calculateur.
Les dessins annexés illustrent l'invention : la figure 1 représente un schéma des parties constitutives du calculateur et la figure 2, en quatre parties, en représente l'organigramme fonctionnel. En référence au dessin 1 le dispositif est un calculateur comprenant une unité centrale (1) reliée, au compteur de vitesse par le capteur (2) qui fournit les données sur la vitesse ; au système de freinage par le capteur (3) qui indique l'entrée en
action et l'arrêt du freinage ; au système d' essuie-glaces par le capteur (4) qui lui indique une route mouillée ; au système d'éclairage par un capteur (5) pour indiquer la baisse de visibilité ; à un chronomètre et une horloge ( date et heure) (6) pour calculer la durée du voyage et la durée du freinage et déterminer l'heure du départ, l'heure et la date du dernier freinage ainsi que le moment de la conduite ; au Compte-tours (RPM) par un capteur (7) qui lui indique si le moteur tourne ou non ; à un système de mémoires (8) où il enregistre les paramètres, les résultats et toutes les données utiles temporairement ou durablement aux calculs et aux différentes fonctions ; et à un panneau frontal (9) comprenant un écran d'affichage pour toutes les données et fonctions utiles avec des zones consacrées à la distance minimale d'arrêt (91) et à l' interdistance ainsi qu'au résultat du test (92) et ayant des boutons de commande (98) et de sélection
(99).
En référence au dessin 2,
Le capteur des données sur la vitesse (2) fournit des informations aux procédés en mode test et en mode normal. Il permet au procédé en mode de test (Fig. 2b) ainsi qu'au procédé en mode normal (Fig. 2c) de mémoriser la valeur de la vitesse qu' il fournit quand la mise en action du freinage lui est signalée par le capteur (3) . Il permet également au procédé en mode normal (Fig. 2d) de calculer l' interdistance ainsi que de la distance d'arrêt.
Le chronomètre (6) fournit la durée du freinage au procédé en mode test (Fig. 2b). Il se déclenche par l'entrée en action des freins signalée par le capteur (3) et s'arrête lorsque les données sur la vitesse fournie par le capteur (2) correspondent à zéro.
Le capteur (3) fournit des données sur la mise en action du freinage. Selon la figure 2a, en mode test il permet au procédé de mémoriser la vitesse reçue par le capteur 2 et déclenche le chronomètre (6). Selon la figure 2c, en mode normal, il permet de mémoriser la vitesse, l'heure et la date du dernier freinage.
Le capteur (4) fournit des données sur la mise en route des essuie-glaces. Selon la figure 2c, en mode normal, ce
capteur permet au procédé d'enregistrer la baisse de décélération paramétrée en cas de pluie.
- Le capteur (5) fournit des données sur la mise en route de l'éclairage. Selon la figure 2c, il permet au procédé de d'augmenter selon la valeur paramétrée le délai de réaction du conducteur.
Selon la figure 2a, l'horloge (6) fournit les données au procédé prédéfini pour déterminer l'heure du départ en fonction de la durée d'arrêt recommandée paramétrée et de l'heure du dernier freinage. Selon les figures 2c et 2d, elle permet au procédé de vérifier si la conduite s'est prolongée au-delà de la durée conseillée et d'augmenter le cas échéant le temps de réaction en fonction de la valeur paramétrée. Selon la figure 2d, l'horloge permet au procédé de déterminer si la conduite se déroule dans une période d' hypovigilance et d'augmenter le cas échéant la valeur du délai de réaction du conducteur selon les valeurs paramétrées.
Selon la figure 2a, le capteur (7) du Compte-tours (RPM) fournit l'information sur la mise en marche du moteur. Il permet d'effectuer, moteur à l'arrêt, les sélections et les paramétrages nécessaires. Moteur en marche, il permet au procédé de mettre à jour l'heure du départ après le test et après chaque démarrage.
Le panneau frontal (9) comprend des zones d'affichage (91) et (92). Le moteur arrêté (RPM=0) , en sélection « dernier freinage » (Fig. 2a), il affiche la vitesse, la date et l'heure du dernier freinage. En sélection paramétrage, il permet d'accéder aux fonctions d'initialisation et de réglage. En mode test (Fig. 2b), le panneau frontal affiche et maintient le résultat jusqu'au prochain test si le freinage est insuffisant. En mode normal, ce panneau affiche zéro quand le véhicule est immobile (Fig. 2c) et, quand le véhicule se déplace (fig. 2d) , il affiche la valeur de la distance d'arrêt ainsi que 1' interdistance de sécurité. - Les boutons de commande (98) et de sélection (99) selon la figure 2a, permettent, le moteur arrêté ( RPM= 0), la sélection de l'affichage « dernier freinage », le paramétrage des mémoires en y fournissant, la valeur de décélération
théorique ou standard, la valeur de décélération maximale des véhicules ultra-performants, la valeur de diminution de la décélération en cas de pluie, la durée normale de délai de réaction, les valeurs d'augmentation du temps de réaction en fonction de l'éclairage, du moment de conduite et de la durée du voyage, le choix du système métrique, le réglage de la date et de l'heure. Véhicule en arrêt (vitesse=0) , ils permettent également de sélectionner le test de freinage.
Selon des modes particuliers de réalisation non-illustrés: L'unité centrale selon l'invention est liée à un dispositif qui pendant les périodes d' hypovigilance (conduite prolongée après minuit ; grande vitesse la nuit ...) , émet des messages ou des signaux sonores et/ou visuels dont la fréquence augmente en fonction de la durée de conduite sans arrêt afin d'avertir le conducteur sur le degré élevé du risque.
Pour les véhicules lourds, catégorie citée à titre d'exemple non limitatif, l'unité centrale est reliée par un capteur à un niveau qui détermine l'inclinaison des pentes. La valeur de l'accélération terrestre est enregistrée dans la mémoire comme paramètre. Le procédé normal de calcul intègre une fonction de calcul trigonométrique qui corrigera les données afin de calculer et afficher la distance d'arrêt et l' interdistance correspondantes.
Les éléments nécessaires à la réalisation du calculateur, éléments cités à titre d'exemple non limitatif, sont des composants et systèmes électroniques assurant les procédés prédéfinies et citées selon la description, montés sur circuits imprimés et assemblés pour en faire un calculateur opérationnel :
Microprocesseur avec fonctions arithmétiques, trigonométriques et logiques ainsi que de gestion des mémoires; mémoires ; horloge et chronomètre ; afficheurs LCD avec fond éclairé; sélecteur et boutons de commande ; capteurs et convertisseurs des signaux analogiques / digitaux ; cartes ; éléments de connexion, d'assemblage et d'alimentation...
Le calculateur selon l'invention est destiné à l'équipement des tableaux de bord des véhicules légers et lourds.