COUSSIN CURATIF A EFFETS MAGNETIQUES CONCESSIFS
L'invention concerne le domaine du traitement de troubles de la santé, par des techniques issues de l'acupuncture. Elle vise plus spécialement un coussin à effets magnétiques curatifs.
L'acupuncture traite de tels troubles, en rétablissant une bonne circulation d'énergie dans des canaux dits «méridiens», qui parcourent la surface du corps. Pour obtenir ce rétablissement, des points précis, situés sur les méridiens, doivent être stimulés. II a été constaté de longue date que les sources magnétiques telles que les aimants, avaient cet effet stimulant, et donc curatif. Plus précisément, un aimants ayant un flux magnétique de 1000 Gauss au minimum, provoque une bonne stimulation des points de méridiens. Trois types d'actions curatives sont ainsi générés : - un effet analgésique par libération d'endorphine ;
- un effet de relâchement des spasmes musculaires ; et
- une amélioration de la circulation sanguine par excitation des terminaisons nerveuses sympathiques.
Ainsi, des expérimentations médicales par magnéto thérapie sur plusieurs milliers de patients souffrant d'affections articulaires, ont prouvé une efficacité supérieure à 60 voire 90%.
Citons ici quelques documents relatifs au domaine de l'exposition magnétique curative.
Le document FR-A-2 683 151 décrit un dispositif permettant d'incorporer dans un support a magnétique, des aimants anisotropes permanents, en les isolant des agressions extérieures et en leur conservant une induction rémanente.
Le document FR-A-2 726 771 décrit un dispositif constitué d'un corps magnétique inclus dans une résine isolante, où le champ magnétique est dirigé vers le sommet de la tête pour réduire les alopécies et lutter contre la chute des cheveux.
Le document FRA 2 513 514, décrit un appareil comprenant un module destiné à être appliqué contre une paroi du corps du porteur. Des conducteurs dont les parties terminales sont immobilisées dans le module. Ces parties font saillie à partir de la surface appliquée contre le corps, en des zones qui correspondent à des points d'acupuncture d'une thérapie déterminée.
Le document FR-A-2 662 076 décrit un appareil portable autonome d'acupuncture.
Sachant par ailleurs qu'un aimants possède deux polarités, différents effets curatifs peuvent être obtenus, selon la polarité de la stimulation appliquée aux points de méridiens.
La polarité sud ou positive, montre par expériences médicales qu'elle possède une action antalgique et tonifiante.
Tandis que la polarité nord ou négative, montre par ces expériences qu'elle possède une action dé contractante et dispersante.
A partir de ce constat, le coussin de l'invention vise à offrir une combinaison inédite d'effets magnétiques localisés, d'une part analgésique à polarité positive, et d'autre part relâchant à polarité négative. Cette combinaison duale d'effets conjoints, respectivement analgésiques et relâchants, et ici appelés «concessifs », visent à donner au coussin une excellente efficacité dans le traitement de certains troubles de la santé.
Notamment, et selon l'endroit de son application sur le corps, le coussin de l'invention à pour objectif d'apporter un soulagement aux dorsalgies, lumbago, sciatique, torticolis, rhumatismes, arthroses, tendinites, périarthrites, entorses, épicondylites, migraines, céphalées, gon algies, cervicalgies.
Une autre visée de l'invention est que le coussin de l'invention permette une diffusion optimale du flux magnétique, selon un schéma physiologique qualifié ici de «centrifuge ». Suivant un tel schéma, la
douleur est maximum au centre et perd peu à peu de son intensité vers la périphérie.
Il est aussi souhaité que ce coussin puisse présenter une grande pérennité d'usage, sans nécessiter d'apport extérieur d'énergie. L'invention devrait aussi permettre que son emploi, même fréquent, ne soit pas délétère, quelle que soit la morphologie des patients en faisant l'usage.
Cela doit être garanti, quel que soit selon l'endroit de son application sur le corps. Par ailleurs, le coussin selon l'invention mériterai d'être léger et pratique à transporter, afin qu'il puisse être utilisé dans divers lieux comme dans les transports (voiture, avion, etc.), au travail, ou encore en vacances.
Tandis qu'il conviendrait que ce coussin soit esthétique et permette une présentation aisée ainsi qu'attrayante sur son lieu de vente.
Par contre, le coussin de l'invention ne vise pas à se substituer aux traitements prescrits par les médecins, que ces traitements soient de nature allopathique, homéopathique, phytothérapique ou autres.
On notera aussi que l'utilisation d'un tel coussin à effets magnétiques curatifs est contre-indiquée dans les cas de grossesse et aux personnes portant un stimulateur cardiaque.
A cet effet, un objet de l'invention est un coussin à effets magnétiques curatifs, comportant :
- un corps en matériau élastiquement deformable, ce corps définissant au moins une face dite d'activation destinée à recevoir une zone à traiter d'un patient ; ainsi
- qu'au moins un aimants, par exemple permanent, pourvu de deux polarités dont l'une et/ou l'autre est disposée à proximité voire sur la face active du corps de coussin. Selon une caractéristique, au moins quatre aimants sont agencés sur la face d'activation du coussin, selon une disposition leur conférant
des effets conjointement concessifs ; avec au moins trois de ces aimants (6)s formant une couronne périphérique d'une première polarité par exemple négative et dispersante, tandis qu'au moins un autre aimant qui présente par exemple une polarité positive antalgique, fait partie d'un noyau dont l'effet magnétique est antagoniste à celui de la couronne périphérique.
Selon une réalisation, le coussin est partiellement ou totalement formé d'un corps de moulage injection en matériau élastiquement deformable, tel qu'un mélange d'élastomère et de ethylène vinylacétate copolymère ou « EVA ».
Selon une autre réalisation, au moins une face d'activation destinée à recevoir une zone à traiter d'un patient , définit trois zones d'ergonomie distinctes, avec telles que vues dans un plan longitudinal et transversal :
- une zone centrale sensiblement en disque, par exemple à accueil doux et confort élevé c'est-à-dire souple
- une zone médiane en auréole, par exemple à accueil soutenu et confort ferme
- et une zone externe d'enveloppe entourant les zones centrale et médiane, par exemple à accueil doux et confort élevé. Selon encore une réalisation, trois zones d'ergonomie, rendues distinctes par des transitions en arc de cercle, sont définies sur au moins une face d'activation, avec telles que vues dans un plan longitudinal et transversal :
- une zone longitudinale traversante centrée, par exemple à accueil doux et confort élevé c'est-à-dire souple
- une zone d'enveloppe bipartite en croissants à concavité tournée vers la zone longitudinale centrée, par exemple à accueil soutenu et confort ferme
- et une zone transversalement d'extrémité elle aussi bipartite, et dont chaque partie, contiguë à une partie ou croissant de zone d'enveloppe, est par exemple à accueil doux et confort élevé.
Selon un mode de réalisation,.
Selon un mode de mise en œuvre, le pourtour du corps du coussin, tel que vue dans un plan longitudinal et transversal, est généralement rectangulaire avec une dimension principale sensiblement longitudinale, par exemple avec des coins arrondis et/ou des bords longitudinaux non rectilignes à profil curviligne à concavité tournée vers l'extérieur du coussin,
Dans une réalisation de la mise en œuvre ci-dessus, le rayon d'arrondi des coins est de l'ordre du cinquième au tiers de la dimension principale, par exemple approximativement du quart, tandis que celui du profil curviligne est de l'ordre de 1 à 2 fois la dimension principale, par exemple approximativement égale à 1 ,5 fois cette dimension.
Selon une réalisation, au moins un aimants, par exemple permanent, présente un flux magnétique de l'ordre de 1500 Gauss au moins. Une caractéristique prévoit de 30 à 60 aimants, par exemple au nombre de 45, agencés sur une face d'activation du coussin selon une disposition leur conférant des effets concessifs.
Dans une réalisation, avec au moins 25 à 50 aimants, par exemple 34, forment une couronne périphérique de première polarité et, au moins 6 à 12 aimants, par exemple 8, présentent la polarité propre au noyau central.
Une réalisation prévoit que le noyau central définit conjointement avec la couronne périphérique, une forme radiante en étoile par exemple de trois à douze branches, notamment à huit branches. Selon une réalisation de l'invention, la distance radiale entre un aimants disposé au pivot de et au moins un autre aimants, lorsque le noyau central possède un tel aimants de pivot, et/ou entre deux aimants voisins, suivant la direction d'une branche de l'étoile, est de l'ordre de 20 mm à 30 mm. Selon une autre réalisation de l'invention, la distance suivant la direction d'une branche de l'étoile est de sensiblement 60 mm à 70 mm
entre l'aimants le plus externe du noyau et celui de la couronne périphérique qui est son voisin sur la même branche, par exemple cette distance est de l'ordre de 60 mm pour de tels aimants lorsqu'ils sont disposés sur une branche sensiblement longitudinale et de l'ordre de 70 mm pour de tels aimants lorsqu'ils sont disposés sur une branche sécante à des branches longitudinale(s) et transversale(s) de la même étoile.
Dans une mise en œuvre, au moins un aimants de la couronne périphérique est écarté d'un autre aimants de cette couronne, sensiblement suivant la direction longitudinale, d'une distance de l'ordre de 150 mm et/ou au moins un autre aimants de cette couronne est écarté d'un autre aimants périphérique, sensiblement suivant la direction transversale, d'une distance de l'ordre de 100 mm.
La description qui suit et se rapporte aux dessins annexés, permet de comprendre l'invention, telle que mise en pratique à titre d'exemple dans les dessins.
Dans ces dessins, la figure 1 est une vue de dessus du coussin selon un mode de réalisation de l'invention, qui illustre un principe de fonctionnement de l'invention, avec sa zone d'action antalgique dite noyau positif et sa couronne périphérique formant une zone d'action décontractante.
La figure 2 est une vue comparative à la Figure 1, qui illustre le schéma de propagation naturelle de la douleur, suivant des zones concentriques dites périphériques de contracture musculaire, de douleur atténuée et de douleur maximale, de l'extérieur vers le centre. La figure 3 est une vue de dessus, qui montre un coussin selon une réalisation de l'invention, possédant un agencement particulier conférant des effets conjointement concessifs entre noyau positif et couronne périphérique.
La figure 4 est vue similaire à la figure 1 , qui présente un mode de réalisation à zones d'ergonomie distinctes.
La figure 5 est une vue similaire à la figure 1 , qui présente un autre mode de réalisation de zones d'ergonomie distinctes. La figure 6 montre un mode de réalisation de coussin selon l'invention, monté sur un support de présentation. L'invention est décrite maintenant, en se reportant à trois directions générales. La direction longitudinale correspond à la dimension principale, qui est horizontale sur la figure 1.
On appelle transversale, une direction perpendiculaire à la direction longitudinale, qui forme avec cette dernière un plan correspondant au plan général confondu avec la feuille sur la figure 1.
Le terme épaisseur est une direction perpendiculaire aux directions longitudinale et transversale.
On voit sur toutes les figures sauf la figure 2, un coussin 1 d'exposition magnétique curative. Sur les figures montrant le coussin 1 , le pourtour de son corps 2, tel que vue dans un plan longitudinal et transversal, est généralement rectangulaire avec une dimension principale 5 sensiblement longitudinale.
Sur les figures 4 à 6, le corps 2 possède des coins arrondis 3.
Alors que le figure 6 montre un corps 2 de coussin dont des bords longitudinaux 4 ne sont pas rectilignes, mais présentent un profil curviligne à concavité tournée vers l'extérieur du coussin 1.
Toujours dans cette réalisation, le rayon d'arrondi des coins 3 est de l'ordre du cinquième au tiers de la dimension principale 5, par exemple approximativement du quart Pour leur part, le rayon du profil curviligne 4 est de l'ordre de 1 à 2 fois la dimension principale, par exemple approximativement égale à 1 ,5 fois cette dimension.
Ici, on obtient une dimension principale 5 de l'ordre de 300 mm, pour des rayons respectivement de coin 3 et de bord curviligne 4, d'approximativement 35 mm et 350 mm.
Notons qu'une telle forme est non seulement esthétique, mais aussi particulièrement pratique à transporter, et telle que le coussin 1 peut être utilisé dans divers lieux comme contre des emplacements variés du corps selon le traitement visé. De manière générale, le coussin 1 de l'invention comporte outre le corps 2, au moins un aimants 6 disposé à proximité en épaisseur voire sur une face dite active 7, du corps du coussin 1.
De manière classique, chaque aimants 6, par exemple permanent, est pourvu de deux polarités respectivement positive ou négative, dont l'une et/ou l'autre est contre une face active 7. Des mises en œuvre de l'invention qui ne sont pas illustrées, prévoient un corps 2 avec deux faces actives 7, une de chaque côté du coussin 1 suivant soin épaisseur.
Dans un cas, l'agencement des aimants 6 est diférent sur les deux faces 7 du coussin 1 , pour fournir des effets curatifs distincts et/ou pour offrir un agencement spécialement dédié au traitement d'un emplacement particulier du corps.
Afin d'être agréable à utiliser, même durant une période prolongée comme une nuit entière, le corps 2 est en matériau élastiquement deformable. Selon la réalisation des figures 4 à 6 , le coussin 1 est partiellement ou totalement formé d'un corps 2 de moulage injection en matériau élastiquement deformable, ici un mélange d'élastomère et de ethylène vinylacétate copolymère ou « EVA ».
Selon une caractéristique de l'invention, au moins quatre aimants (6)s 6 sont agencés sur la face d'activation 7 du coussin 1 , selon une disposition leur conférant des effets conjointement concessifs. Comme on l'a vu, on obtient ainsi une diffusion optimale du flux magnétique, selon un schéma physiologique «centrifuge » illustré sur la figure 1.
Suivant ce schéma, la douleur est maximum dans une zone 8 d'action antalgique au centre, et perd peu à peu de son intensité vers la périphérie, au delà d'une zone d'action décontractante 9.
Du point de vue des effets magnétiques curatifs, la zone externe 10 est considérée comme inactive.
Rapprochons maintenant la figure 2 de la Figure 1. Superposons les de sorte que leurs directions principales propres 5 soient confondues.
On comprend alors comment le schéma centrifuge présente un effet dual vis-à-vis du schéma de propagation naturelle de la douleur. En effet, on voit bien comment sont mises en coïncidence avec celles du schéma centrifuge, des zones concentriques dites périphériques, de contracture musculaire 11 , de douleur atténuée 12 et de douleur maximale 13, de l'extérieur vers le centre.
Sur la figure 1 aussi, est représentée une zone externe 10 considérée comme indolore.
Des exemples d'agencements produisant des effets concessifs sont maintenant précisés.
En règle générale, il convient de disposer :
- au moins trois aimants 6 pour former une couronne périphérique 14 d'une première polarité par exemple négative et dispersante ; et
- au moins un autre aimants 6, qui présente une polarité positive antalgique, pour former un noyau central 15 dont l'effet magnétique est antagoniste à celui de la couronne périphérique 14.
Dans les exemples, sont prévus de trente à soixante aimants 6, et ici plus précisément 45, toutes polarités confondues.
Dans la réalisation de la figure 3, trente quatre aimants 6A forment une couronne périphérique 14 de première polarité, et 8 présentent la polarité opposée à la première, propre au noyau central 15.
Notons qu'ici les aimants 6A et 6B sont permanents, et présentent chacun un flux magnétique de l'ordre de 1500 Gauss au moins.
Ainsi, le coussin 1 comporte quarante cinq aimants 6, qui génèrent un flux magnétique total de l'ordre 30.000 à 60.000 Gauss, et ici proche de 45.000 Gauss.
On remarque sur les figures que le noyau central 15 définit conjointement avec la couronne périphérique 14, une forme radiante en étoile 16.
L'invention rapproche ainsi judicieusement les effets de cette forme 16, avec les schémas centrifuges et de douleur des figures 1 et 2. Dans des exemples de mise en œuvre non représentés, la forme en étoile 16 comporte de trois à douze branches, tandis qu'elle en possède huit sur la figure 3.
La réalisation de cette figure 3 prévoit que la distance radiale 17 entre un aimants 6C disposé au pivot de la forme 16 (lorsque le noyau central 15 possède un tel aimants 6 de pivot) et au moins un autre aimants 6, et/ou entre deux aimants 6 voisins, suivant la direction d'une branche de l'étoile 16, est de l'ordre de 20 mm dans le noyau 15. à 30 mm.
On voit aussi une distance radiale 18 à la périphérie externe du noyau central 15 et sur une branche 19 longitudinale, entre deux aimants (6)s 6 dont un est contre la couronne 14. Cette distance 18 est de l'ordre de 30 mm.
Il en va ici de même de celle entre des aimants 6 similairement disposés mais sur une branche inclinée par rapport aux directions longitudinales et transversales du coussin 1 ,
Toujours dans la réalisation de la figure 3, observons la distance désignée en 20 ou 21 , suivant la direction d'une branche de l'étoile 16, entre l'aimants 6B le plus externe du noyau 15 et celui 6A de la couronne périphérique 14, qui est son voisin sur la même branche. La distance 20 est de l'ordre de 60 mm pour de tels aimants 6A, 6B lorsqu'ils sont disposés sur une branche sensiblement longitudinale. Elle
est notée 21 et de l'ordre de 70 mm pour de tels aimants 6A, 6B lorsqu'ils sont disposés sur une branche sécante à des branches longitudinale(s) et transversale(s) de la même étoile 16.
Dans cette mise en œuvre, les aimants 6A de la couronne périphérique 14 sont deux à deux écartés, sensiblement suivant la direction longitudinale, d'une distance 40 de l'ordre de 150 mm.
Par ailleurs, les aimants 6A de cette couronne 14 sont écartés d'un autre aimants périphérique 6A, sensiblement suivant la direction transversale, d'une distance 41 de l'ordre de 100 mm.
Il ressort de ce qui précède que l'invention offre des moyens et résultats inédits pour viser à traiter des troubles de la santé ou du bien être, en rétablissant une bonne circulation d'énergie dans les canaux méridiens à la surface du corps.
Selon les agencements, divers types d'actions curatives telles qu'analgésique, de relâchement ou d'amélioration de la condition physique ou psychologique, sont ainsi générés.
En parallèle des effets concessifs, l'invention offre aussi des caractéristiques d'ordre ergonomique.
Ces caractéristiques sont maintenant décrites.
Sur la figure 4, on remarque que la face d'activation 7 destinée à recevoir un emplacement à traiter d'un patient , définit trois zones d'ergonomie distinctes. Telles que vues dans un plan longitudinal et transversal , on voit et rapproche des zones du schéma centrifuge de la figure 1 :
- une zone centrale 22 sensiblement en disque, dont le matériau deformable offre un accueil doux et un confort élevé
- une zone médiane 23 en auréole, à accueil soutenu et confort ferme
- et une zone externe d'enveloppe 24 entourant les zones centrale 22 et médiane 23, à accueil doux et confort élevé.
Dans le cas d'un coussin utilisé en têtière par exemple, une telle disposition de zones ergonomiques assure à la fois une pérennité du confort et un maintien de tête naturel.
Sur la figure 5, trois zones d'ergonomie 25 à 27 sont rendues distinctes par des transitions 28, 29 en arc de cercle
Plus particulièrement, sont définies sur une face d'activation 7, telles que vues dans un plan longitudinal et transversal : - une zone longitudinale 25 traversante centrée, à accueil doux et confort élevé
- une zone d'enveloppe 26 bipartite en croissants à concavité tournée vers la zone longitudinale centrée 25, à accueil soutenu et confort ferme - et une zone transversalement d'extrémité 27 elle aussi bipartite, et dont chaque partie, contiguë à une partie ou croissant de zone d'enveloppe 26, est à accueil doux et confort élevé. Le mode de réalisation de la figure 6 montre un coussin 1 assemblé avec un présentoir 30. Le présentoir 30 possède ici une poignée 31 , en forme d'ellipse étendue suivant la direction longitudinale du coussin 1. De la sorte, le présentoir 30 forme aussi un accessoire de transport du coussin 1.
Il ressort aussi de cette figure 6, que tant le coussin 1 que le présentoir peuvent comporter un ou plusieurs marquages 32, ici en forme de logo venu de matière.
Rappelons ici que l'invention permet de nombreuses autres dispositions des aimants 6 ou agencements ergonomiques, d'un coussin 1.
Cela autorise de traitement de divers troubles tels que dorsalgies, lumbago, sciatique, torticolis, rhumatismes, arthroses, tendinites, périarthrites, entorses, épicondylites, migraines, céphalées, gon algies, cervicalgies.