OA17717A - Appareil de protection respiratoire amélioré. - Google Patents

Abstract

La présente invention a pour objet un appareil de protection respiratoire amélioré, individuel, mobile, à ventilation libre, main-libre et bouche-libre contre les particules en suspensions dans l'air. L'invention est un tube (1) creux en matière plastique (PE, PP...etc.) rigide et ultraléger, constituant à la fois la monture de l'appareil et la chambre de stockage du volume d'air purifié par deux filtres (10) à épuration d'air jetables en forme de chaussettes ou socquettes, enfilés sur deux manchons perforés de trous rectangulaires. L'utilisateur respire via les deux conduits d'acheminement d'air purifié aux naines du porteur que sont les deux embouts (7) creux en silicone souple fixés par emboutissage dans les deux orifices sur le flanc dudit tube (1) creux conformément à l'invention. Appareil de protection respiratoire améliorée constitué d'une monture en tube creux, en matière plastique, enveloppé de deux filtres jetables.

Description

La présente invention a pour objet un appareil de protection respiratoire amélioré, individuel, mobile et à ventilation libre, contre les particules en suspensions dans l’air. C’est une monture en matière plastique rigide et ultra-leger, porteur de filtres jetables à épuration d’air qui retiennent les contaminants de l’air ambiant, destiné à révolutionner le port des masques de protections respiratoires classiques actuels qui abondent sur tous les marchés à travers le monde.

Une large variété de masques classiques de protection respiratoire, à savoir les demi-masques, les masques complets ou ceux à usage unique qu’on trouve sur tous les marchés à travers le monde, peuvent certes être efficaces quant à leurs capacités de rétentions des contaminants de l’air ambiant grâce à des accessoires multiples et encombrantes, mais seulement présentent l’inconvénient de l’inconfort voire à la limite de l’asphyxie pour le porteur qui a toujours la bouche et le nez couverts.

Quant aux masques classiques à pièce faciale de protection respiratoire avec barrette nasale gainée à usage unique, ils sont aujourd’hui les plus utilisés ou continuent d’être utilisés par les usagers à travers le monde, mais leurs efficacités laissent à désirer, vu que ces types des masques en plus d’être inconfortables et étouffants, présentent l’inconvénient pour le porteur qui a la bouche toujours couverte à la limite de l’asphyxie, de ne pas offrir une protection respiratoire efficace contre les particules en suspension dans l’air, du fait même que les deux brides élastiques et la barrette nasale nécessitent en permanence une vigilance particulière et des ajustements épousant parfaitement le visage du porteur, pour espérer ainsi éviter les risques d’infiltration des contaminants par les pourtours à l’intérieur de la pièce faciale du masque, ce qui n’est pas évident auprès des communs des utilisateurs.

La présente invention propose un appareil de protection respiratoire amélioré, qui a l’avantage de remédier aux inconvénients cités ci-haut, auxquels sont confrontés chaque jour les populations des pays victimes de pollutions atmosphériques ou des particules en suspensions dans l’air ambiant. En proposant une solution technique simple et plus efficace, prenant avantageusement en compte les contraintes, les difficultés et attentes des usagers des masques à ventilation libre aux prises avec la problématique des pollutions atmosphériques.

Ladite invention de protection respiratoire améliorée est constituée d'une monture en tube creux, en matière plastique (PE, PP...etc.) ou de tout autre mâtereau de haute technicité, rigide et ultra-léger possible (matière imperméable à l’air et pas nuisible à la santé humaine, connue de l’homme de métier). Ledit tube creux constituant à la fois le cadre de l’appareil et la chambre de stockage du volume d’aire purifié, est perforé de trous rectangulaires sur les Deux (2/3) tiers de sa longueur, formant ainsi deux manchons grillagés départ et d’autre (gauche et droit) dudit tube creux, servant de dispositifs sur lesquels seront enfilés des filtres à épuration d’air ambiant en forme de chaussettes (socquettes) expressément conçus et prévus à cet usage. Il est également prévu deux trous ronds jumeaux d’environ 10 mm de diamètre (hauteur), destines à recevoir par emboutissage deux embouts jumeaux en silicone souple creux de faible épaisseur de paroi, d’environ 27 mm de longueur et d’environ 13 mm de diamètre extérieur (hauteur).

Quant à la longueur du tube creux constituant la monture de l’appareil de protection respiratoire amélioré, est d’environ inferieur ou égale à la distance approximative intercanthale externe du visage humain (inferieur ou égale à 12 cm maximum) et le diamètre extérieur (hauteur) dudit tube creux varie de 10 mm minimum à 20 mm maximum, afin d’allier notamment efficacité, ergonomie et esthétique.

Et puisqu’une taille unique et une forme unique de l’appareil ne s’adapteraient pas à tous les usagers, les proportions ou les dimensions de l’appareil peuvent varier d’un utilisateur à l’autre, qu’il s’agisse de l’enfant ou de l’adulte, de la femme ou de l’homme. C’est pourquoi les deux embouts jumeaux creux en silicone souple sont conçus démontables et ré-montables à volonté, une distinction alphanumérique serait alors nécessaire pour faciliter le choix de la taille des embouts, de la taille et longueur dudit tube creux selon la volonté, l’âge et le sexe de l’usager.

L’efficacité de cette invention de protection respiratoire améliorée tient du fait même de sa conception, de son design et de son armature physique formant un cadre intégré et parfaitement compact avec le support filtrant et les conduits d’acheminement ou de transits d’air purifié aux naines du porteur. II aide non seulement à respirer plus librement de l’air ambiant déjà stocké mais transitant instantanément dans et par le creux du volume (Chambre), filtré de toutes particules, permettant avantageusement de se promener la bouche libre, main-libre, contrairement aux autres masques qui couvrent la bouche de l’usager au point de l’asphyxier.

Selon l’invention, du fait du vide créé par le volume (chambre) creux du tube, il se remplit d’air instantanément grâce à la pression normale de l’air ambiant (pression atmosphérique) de façon tout à fait naturelle dans le tube creux, et du fait que l’air ambiant pour remplir ledit volume (chambre) vide du tube devrait d’abord passer à travers les deux filtres étanches aux particules aérosol habillant étanchement les deux manchons perforés de trous rectangulaires dudit tube, l’utilisateur respire alors au fur et à mesure sans résistance respiratoire un flux d’air filtré de toute pollution atmosphérique et qui est déjà disponible dans la chambre (volume) dudit tube au moment d’inspirer, via les deux embouts creux en silicone souple (matière connu par l’homme de métier) prévus à cet effet, sans effort supplémentaire jusqu’à l’intérieur des deux narines du porteur.

Aussi, du fait même de la conception de l’appareil, l’air ne peut pas pénétrer par les côtés, les pourtours, le dessus ou le dessous de l’appareil, car toutes les extrémités sont étanchement bouchées par les matériaux filtrants et les points de contacts avec les deux orifices narinaires du porteur sont également étanchement bouchés par les deux embouts en silicone qui en pénétrant dans les narines du porteur se plaquent aux parois intérieures des narines, en épousant la forme des orifices narinaires.

Le flux d’air déjà purifié par les deux filtres (textiles connus en soi par l’homme de métier) en forme de chaussettes (socquettes) habillant étanchement les deux manchons perforés du tube de l’appareil doit donc traverser cet élément creux pour être acheminé dans les deux narines du porteur sans résistance respiratoire. L’amélioration respiratoire ressentie est immédiate. L’expiration se fait également par les mêmes cheminements, mais en sens inverse cette fois-ci.

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Puisque selon l’invention le contact desdits embouts se limitait à la peau et non au cartilage nasal, le nez reprend parfaitement sa forme après l’avoir retiré. La forme des embouts en silicone souple ultra-leger lui confèrent les propriétés mécaniques adaptées au corps humain en alliant efficacité immédiate, douceur et confort.

Techniquement, une utilisation régulière et à volonté de ladite invention de protection respiratoire améliorée est permise, ce qui correspond donc aux besoins réels et quotidiens des personnes souffrant de la pollution atmosphérique.

Une variante (mode) de l’appareil de protection respiratoire amélioré, équipé de mécanisme interactive Inspiration/Expiration distinctes, par l’intermédiaire d’une soupape intégrée au tube/cadre est également possible, mais seulement ne présente pas l’avantage du coût de production par rapport à la présente variante sans mécanisme interactif.

Conformément à l’invention, l’appareil qui se nettoie et se rince à l’eau, est simple à utiliser, se place et s’enlève autant de fois que nécessaire, avec le maximum de confort, de sécurité et d'efficacité, comme une paire de lunettes. Il repose sur le philtrum (entre la partie de la lèvre supérieure et la base du nez du visage humain), et prend son ancrage ou adhérence par les moyens desdits embouts introduits sans difficulté dans les deux orifices narinaires du porteur.

En plus du nez et le philtrum, il est également possible pour le porteur, s’il le désir en option, d’attacher deux branches comme pour les lunettes, mais ultra-fines et ultraléger possible, ou simplement deux brides élastiques qu’on peut faire passer à l’extrémité de chacun de deux manchons gauche et droit par dessus les filtres déjà installés, légèrement vers l’intérieur de la crête circulaire des extrémités du tube cadre de l’appareil, et puis le tirer pour l’accrocher départ et d’autre sur les deux oreilles du porteur pour résister à la force du vent pendant le déplacement du porteur sur un moyen roulant. Toutefois, la grande partie du poids de l’appareil repose sur le philtrum du visage du porteur.

Conçu pour révolutionner le domaine, cette invention est destinée à faire partie des accessoires de modes comme des lunettes, pouvant mêler ainsi, ergonomie et esthétique, tout en protégeant le porteur des pollutions.

L’invention sera explicitée dans la description suivante, avec référence aux dessins annexés, dans lesquels :

La fig.1 est la schématisation d'une vue en perspective du tube creux en plastique constituant le cadre (1) de l’appareil de protection respiratoire amélioré aux deux sections (2) creuses et ouvertes de part et d’autre,

La fig.2 est la schématisation d’une vue en perspective du tube creux en plastique constituant le cadre (1) de l’appareil de protection respiratoire amélioré, perforé de deux trous circulaires (6) jumeaux, de trous rectangulaires (5) sur les deux manchons (4), de crêtes circulaires (3),

Fig.3a est la schématisation d’une vue en perspective de deux embouts (7) en silicones souples creux(9) sous forme de pièces démontables et ré-montrables (8),

Fig.3b fait alors remarquer la schématisation d’une vue en section desdits embouts en silicones souples,

Fig.4 schématise une vue en perspective du tube creux (1) cadre de l’appareil de protection respiratoire amélioré assemblé aux deux embouts(7) en silicone souple, c

Fig.5 schématise une section d’une vue en coupe (3) du tube creux (2) cadre de l’appareil de protection respiratoire amélioré sur lequel sont fixés par emboutissage autoscellage des patins (8) des embouts en silicone souple,

Fig.6a schématise en perspective la forme de deux filtres à épuration d’air (10) identiques gauches et droites en forme de chaussettes, ouverte (11) d’une extrémité et fermée(12) de l’autre,

Fig.6b schématise en perspective la forme de deux filtres à épuration d’air (10) identiques gauches et droites en forme de chaussettes, fermée (12) d’une extrémité et ouverte (11) de l’autre,

Fig.7 schématise une vue en perspective de l’appareil de protection respiratoire amélioré (1) assemblant les trois composantes essentielles, le tube creux (1) perforé, les deux embouts creux en silicone (7), les deux filtres (10) à épuration d’air,

Fig.8a, schématise une vue de face d’un visage humain pour illustrer le philtrum (13) et les orifices narinaires(14),

Fig.8b schématise une vue de face d’un visage humain portant ledit appareil de protection respiratoire amélioré (1) sur le philtrum(13),

Fig.8c, schématise une vue de profil d’un Visage humain portant ledit appareil de protection respiratoire amélioré sur le philtrum(13),

Fig.9, schématise une vue en perspective de l’appareil de protection respiratoire amélioré(1) muni, de deux brides(15) élastiques prévus pour être accrochés aux oreilles du porteur,

Fig. 10a, schématise une vue de face d’un visage humain illustrant la distance intercanthale externe (17) servant de longueur de base pour le tube cadre de l’appareil de protection respiratoire amélioré,

Fig.10b, schématise une vue de face d’un visage humain portant ledit appareil de protection respiratoire amélioré (1) sur le philtrum(13), le tout attaché(16) par deux brides(15) élastiques accrochés aux deux oreilles du porteur,

Fig.10c, schématise une vue de profil d’un Visage humain portant ledit appareil de protection respiratoire amélioré sur le philtrum(13), le tout attaché(16) par deux brides(15) élastiques accrochés aux oreilles du porteur.

En référence à la figure 1, l’appareil de protection respiratoire amélioré (1) est constitué, conformément à l’invention, d’un tube creux en matière plastique (PE, PP...etc.) ou en tout autre matériau de haute technicité, rigide et super léger possible (matière connue en soit par l’homme du métier). La section (3) du tube creux (1) peut varier de 10 mm à 20 mm selon le cas de l’utilisateur qu’il s’agisse d’enfant ou d’adulte, de la femme ou de l’homme, quant à sa longueur, aussi selon le cas de l’utilisateur, est d’environ égale à la distance approximative intercanthale externe (17) du visage humain.

A la figure 2, conformément à l’invention, on observe que le tube creux est perforé de deux orifices jumeaux (6) sur un coté de son flanc (1) à équidistance des deux extrémités ou manchons (4) dudit tube creux (1). Et puis des perforations en forme de trous rectangulaires (5) sont également opérées sur les deux (2/3) tiers de la surface du tube de part et d’autre, pour ainsi permettre à l’air de pénétrer par les trous rectangulaires (5) le volume (chambre) creux (2) du tube une fois enveloppé de filtres. Il est aussi prévu quatre cercles (3) en reliefs ou crêtes, délimitant les trous rectangulaires (5) de part et d’autre, avec pour fonction de créer un léger espace vide entre la paroi intérieur des filtres et la paroi extérieur des manchons au dessus des trous rectangulaires, et une autre fonction pour servir de socles ou attaches pour les filtres qui seront enfilés comme des chaussettes par la suite par-dessus les manchons (4).

L’invention a conçu sous forme de pièces démontables, en référence à la figure 3a, deux embouts (7) jumeaux en silicone souple pour servir de conduits (9) de transits et d’acheminement d’air purifié jusqu’aux narines du porteur de l’appareil respiratoire amélioré. En se référant à la figure 3b, une autre vue fait observer une section en plan desdits embouts dans laquelle l’on voit clairement les deux embouts en silicone souple (7) qui serviront des conduits (9) d’acheminement d’air sont creux et se fixeront sur le tube creux principal par l’emboutissage auto-scellage des patins (8) dans les deux orifices (6) prévus à cet effet sur le tube creux (1) principal cadre de l’appareil de protection respiratoire amélioré.

A la figure 4, l’on observe conformément à l’invention, l’assemblage de deux composantes majeures du cadre de l’appareil de protection respiratoire amélioré, à savoir le tube creux (1) dont les deux manchons (4) perforés de trous rectangulaires(5) et les deux embouts (7) en silicone souple, fixées au niveau de deux orifices (6) prévus expressément à cet effet, par emboutissage et auto-scellage étanche des patins (8) desdits embouts dans lesdits orifices (6).

Pour mieux comprendre l’assemblage par l’emboutissage et auto-scellage étanche des patins(8) desdits embouts (7) en silicone souple auxdits orifices(6) opérés sur le flanc (1) dudit tube creux en matière plastique, la figure 5, fait observer une section en pian dudit tube creux dans lequel Ton voit clairement l’embout (7) fixé et scellé au tube creux (1) par le patin (8) d’auto-scellage étanche.

En référence à la figure 6a, l’on voit et comprend aisément la forme des deux filtres (10) qui vont être enfilés par la suite sur lesdits manchons gauche et droite (4) de l’appareil respiratoire amélioré. La matière textile de fabrication des filtres (10) étant connue en soi par l’homme de métier, cependant ces filtres sont adaptés et confectionnés en forme de chaussettes ou socquettes auto-serrés élastique à l’extrémité ouverte(11), pour être enfilés comme des chaussettes sur les deux manchons gauche et droite (4) du tube creux (1). Il est également montré en référence à la figure 6b, que l’une des deux extrémités de chaque filtre 10) estfermée(12).

La figure 7, présente la forme définitive de l’invention prête à être utilisée par l’usager. On y observe conformément à l’invention, l’appareil de protection respiratoire améliorée constitué d'une monture en tube creux(1), en matière plastique (PE, PP...etc.) rigide et ultra-léger possible ou de tout autre mâtereau de haute technicité (matière imperméable à l’air et pas nuisible à la santé humaine, connue de l’homme de métier), perforé de trous rectangulaires(5) sur les Deux (2/3) tiers de sa longueur, formant deux manchons(4) grillagés départ et d’autre dudit tube creux, mais enveloppé étanchement par les deux filtres(10) à épuration d’air ambiant en forme de chaussettes qui y sont enfilés, complété par les deux embouts (7)en silicone souple fixés par emboutissage auto-scellage des patins(8) sur le cadre dudit appareil de protection respiratoire amélioré.

À la figure 8a, on observe la schématisation d’une vue de face d’un visage humain pour illustrer le philtrum (13) et les orifices narinaires(14) sur lesquels se repose l’appareil de protection respiratoire amélioré.

La figure 8b, schématise une vue de face d’un visage humain portant ledit appareil de protection respiratoire amélioré (1) muni de deux filtres à épuration d’air (10) gauche et droite déjà enfilés sur les manchons, posé conformément à l'invention, sur le philtrum(13).

La figure 8c, schématise une vue de profil d’un Visage humain portant sur le philtrum (13) ledit appareil de protection respiratoire amélioré muni des filtres(10) à épuration d’air.

La figure 9, schématise une vue en perspective de l’appareil de protection respiratoire amélioré(1) muni de deux brides(15) élastiques prévus pour être accrochés aux oreilles du porteur, au besoin.

La figure 10a, schématise une vue de face d’un visage humain dont la distance approximative intercanthale externe (17) servant de longueur de base pour le tube cadre de l’appareil de protection respiratoire amélioré est délitée par deux lignes paragrêles verticales d’illustrations.

La figurelOb, schématise une vue de face d’un visage humain portant ledit appareil de protection respiratoire amélioré (1) sur le philtrum (13) prêt à être utilisé avec deux filtres à épuration d’air (10) gauche et droite déjà enfilés(12) sur les manchons, le tout attaché (16)par deux brides (15)élastiques accrochés aux deux oreilles du porteur.

La figurai Oc, schématise une vue de profil d’un Visage humain portant ledit appareil de protection respiratoire amélioré sur le philtrum (13) prêt à être utilisé avec les filtres à air déjà enfilés (12), le tout attaché (16) par deux brides élastiques accrochés aux oreilles du porteur.

Le mode de fonctionnement de l'appareil de protection respiratoire amélioré :

1- D’abord, nettoyer à l’eau l’appareil constitué du tube creux (1) en matière plastique et de deux embouts (7) en silicone, le sécher quelques minutes, ensuite enfiler les deux filtres (10) neufs en forme de chaussettes en enveloppant les deux manchons (4) prévus à cet effet, et puis, poser l’appareil (1) sur le philtrum (13) après avoir introduit doucement les deux embouts (7) en silionne dans les deux orifices (14) narinaires de l’utilisateur. Et en fin respirer sans modération.

2- À la fin de la journée ou au besoin, plusieurs fois au courant de la même journée, l’on peut retirer les deux filtres(10) usés pour les changer avec deux autres filtres (10) neufs. Répéter ainsi, aussi longtemps que le port de masque ou la respiration de l’air ambiant épuré des contaminants est indispensable pour le porteur.

Claims (16)

1. 5 REVENDICATIONS

   L Appareil de protection respiratoire amélioré caractérisé en ce qu'il est constitué d'un tube (1) creux en matière plastique rigide et ultra-leger, individuel, mobile, à ventilation libre, main-libre et bouche-libre.
2. 2. Appareil de protection respiratoire amélioré selon la revendication 1, caractérisé îo en ce qu'il est porté sur le Nez (14) et le philtrum(13).
3. 3. Appareil de protection respiratoire amélioré selon les revendications 1 à 2 caractérisé en ce qu'il a prevu deux embouts (7) jumeaux en silicone souple creux (9) de faible épaisseur de paroi, d'environ 27 mm de longueur et d'environ 13 mm de diamètre extérieur (hauteur).

   is
4. 4. Appareil de protection respiratoire amélioré selon les revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il est perforé de deux orifices(6) jumeaux destinés à recevoir les deux embouts (7) en silicone souple.
5. 5. Appareil de protection respiratoire amélioré selon les revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il est constitué de deux manchons (4) gauche

   20 et droit destinés à porter des filtres(10).
6. 6. Appareil de protection respiratoire amélioré selon l'une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que les deux manchons (10) gauche et droit sont perforés de trous (5) rectangulaires destinés à laisser passer l'air filtré.
7. 7. Appareil de protection respiratoire amélioré, caractérisé en ce qu'il a prévu deux 25 filtres(IO) jetables à épuration d'air ambiant destinés à être enfilés comme des chaussettes ou socquettes en enveloppant les deux manchons(4) perforés de trous (5) rectangulaires.
8. 8. Appareil de protection respiratoire amélioré, selon la revendication 1, caractérisé en ce que la longueur du tube (1) creux en matière plastique est d'environ

   30 inferieur ou égale à la distance approximative intercanthale externe (17) du visage humain.
9. 9. Appareil de protection respiratoire amélioré selon l'une quelconque des précédentes revendications, caractérisé en ce que la section (2) de son diamètre est de 10 mm minimum à 20 mm maximum pour un volume de stockage suffisant

   35 d'air filtré instantané.
10. 10. Appareil de protection respiratoire amélioré selon l'une des revendications de précédentes , caractérisé en ce qu'il comporte deux orifices (6) jumeaux à équidistance de 2/3 de la longueur du tube creux servant de monture pour l'appareil, destinés à recevoir les deux embouts (7) en silicone souple de

    40 conduits d'air narinaires démontables.
11. 11. Appareil de protection respiratoire amélioré selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé par le fait que sur ledit tube creux en > t I matière plastique y sont fixés deux embouts par auto-scellage de patins (8) en silicone souple démontables.
12. 12. Appareil de protection respiratoire amélioré selon l'une des revendications précédentes, caractérisé par les deux embouts en silicone souple destinés à s'introduire et s'adhérer à l'orifice narinaires(14) du porteur de manière étanche.
13. 13. Appareil de protection respiratoire amélioré selon la revendication 7, caractérisé par le fait que les deux filtres sont confectionnés en forme de chaussettes ou socquettes auto-serrés élastique à l'une d'extrémité ouverte(11).
14. 14. Appareil de protection respiratoire amélioré selon la revendication 7, caractérisé par le fait que l'une des deux extrémités de chaque filtre (10) est fermée(12).
15. 15. Appareil de protection respiratoire amélioré selon l'une des précédentes revendications, caractérisé en ce que le vide (2) créé par le volume (chambre) creux du tube sert aussi de chambre de stockage d'air filtré.
16. 16. Appareil de protection respiratoire amélioré selon les revendications de 1 à 15, caractérisé en ce qu'il peut accepter au besoin qu'on y attache(16) sur les extrémités de manchons des (15) brides élastiques ou de branches rigides ultraléger.