FR3130064A1 - Bloc autonome d’éclairage de sécurité - Google Patents

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Abstract

L’invention concerne un bloc autonome d'éclairage de sécurité (100) comportant : - un boîtier (110) qui comprend un socle (120) fermé à l’avant par une paroi de fermeture (130),- une source de lumière (3), et - une plaque (150) destinée à supporter une étiquette pictogramme et adaptée à être rapportée à l’avant et à l’extérieur du boîtier de telle sorte que la source de lumière (3) éclaire l’étiquette pictogramme. Selon l’invention, la plaque est formée d’au moins deux parties assemblées entre elles par des moyens d'assemblage (800), chaque partie présentant des dimensions externes inférieures ou égales aux dimensions externes de la face avant du boîtier. Figure pour l’abrégé : Fig. 1

Description

Bloc autonome d’éclairage de sécurité
La présente invention concerne le domaine technique des blocs autonomes d’éclairage de sécurité (aussi appelé « BAES »), et plus particulièrement des blocs autonomes d’éclairage de sécurité qui comportent une étiquette pictogramme.
Elle concerne plus particulièrement un bloc autonome d'éclairage de sécurité comportant :
- un boîtier qui comprend un socle fermé à l’avant par une paroi de fermeture,
- une source de lumière, et
- une plaque destinée à supporter une étiquette pictogramme et adaptée à être rapportée à l’avant et à l’extérieur du boîtier de telle sorte que la source de lumière éclaire l’étiquette pictogramme.
D’une manière générale, les blocs autonomes d’éclairage de sécurité assurent l’éclairage des locaux dans lesquels ils sont installés en cas de coupure d’alimentation du circuit électrique principal des locaux. Les normes d’installation des blocs autonomes d’éclairage de sécurité imposent que le niveau d’éclairement desdits blocs soit suffisant pour éviter tout effet de panique. Par ailleurs, certains des blocs autonomes d’éclairage de sécurité portent et éclairent une étiquette pictogramme de manière à indiquer les issues de secours des locaux en toutes circonstances, de préférence les issues de secours les plus proches du bloc en question.
On connaît du document EP3163714 un bloc autonome d’éclairage de sécurité tel que décrit en introduction. Dans ce bloc, la plaque supportant l’étiquette pictogramme est d’un seul tenant et présente une surface proche de la surface de la face avant du boîtier.
Il s’avère que les dimensions de l’étiquette pictogramme supportée par la plaque ne sont pas normatives, si ce n’est leur rapport longueur sur hauteur. En revanche, lesdites dimensions conditionnent, de manière normative, l’espacement entre deux étiquettes pictogrammes indiquant les issues de secours.
Dans ce contexte, il peut donc être avantageux que les étiquettes pictogrammes présentent des dimensions supérieures à la face avant du bloc autonome d’éclairage de sécurité. En effet, des étiquettes pictogrammes de grandes dimensions permettent d’espacer davantage les blocs les uns des autres. Pour supporter une étiquette pictogramme de grandes dimensions, la plaque doit elle aussi être de dimensions supérieures à la face avant du boîtier.
Or, lorsque la plaque supportant l’étiquette pictogramme présente une surface supérieure à la face avant du boîtier, c’est-à-dire qu’elle déborde du boîtier, l’emballage permettant de transporter le bloc autonome d’éclairage de sécurité doit être dimensionné non seulement en fonction des dimensions du boîtier, mais aussi en fonction des dimensions de la plaque qui est d’un seul tenant. Puisque la plaque est de forme rectangulaire, cette problématique d’emballage volumineux est d’autant plus marquée lorsque le boîtier du bloc est de forme cylindrique.
La présente invention se propose de résoudre cette problématique d’emballage du bloc associée aux dimensions de la plaque supérieures à celles de la face avant du boîtier.
Par rapport à l’état de la technique précité, la présente invention propose un bloc autonome d’éclairage de sécurité dont l’emballage est dimensionné uniquement en fonction des dimensions du boîtier.
Plus précisément, on propose selon l’invention un bloc autonome d’éclairage de sécurité tel que décrit en introduction, dans lequel la plaque est formée d’au moins deux parties assemblées entre elles par des moyens d'assemblage, chaque partie présentant des dimensions externes inférieures ou égales aux dimensions externes de la face avant du boîtier.
Grâce à l’invention, l’encombrement hors-tout de chaque partie de plaque est donc inférieur à l’encombrement hors-tout du boîtier de sorte que le volume hors-tout de chaque partie de plaque peut être logé à l’intérieur du volume hors-tout du boîtier, étant entendu que l’épaisseur de chaque partie de plaque est très mince devant la profondeur du boîtier.
Ainsi, préalablement à son assemblage et à son installation sur le boîtier, la plaque est formée d’au moins deux parties qui ne contraignent pas l’emballage du bloc. Autrement dit, grâce à l’invention, seules les dimensions du boîtier, c’est-à-dire celles du socle et de la paroi de fermeture, sont à prendre en compte pour dimensionner l’emballage du bloc autonome d’éclairage de sécurité.
Lors de l’installation de la plaque sur le boîtier, les parties de plaque sont assemblées les unes aux autres. De préférence, la plaque assemblée présente alors des dimensions supérieures à celles de la face avant du boîtier, de sorte qu’elle est apte à supporter une étiquette pictogramme qui présente elle-même des dimensions supérieures à celles de la face avant du boîtier. Une telle étiquette pictogramme est mieux visible par les usagers, et visible de plus loin, de sorte qu’il est permis d’espacer davantage les uns des autres les blocs autonomes d’éclairage de sécurité équipés de ces étiquettes pictogrammes.
D’autres caractéristiques non limitatives et avantageuses du bloc autonome d’éclairage de sécurité conforme à l’invention, prises individuellement ou selon toutes les combinaisons techniquement possibles, sont les suivantes :
- les moyens d’assemblage de chaque partie de plaque forment avec ladite partie une pièce monobloc ;
- les moyens d’assemblage sont disposés à au moins trois endroits différents le long d’un bord d’assemblage de chaque partie ;
- les parties de plaque sont identiques ;
- les moyens d’assemblage sont démontables ;
- les moyens d’assemblage sont situés dans l’épaisseur de chaque partie de plaque ;
- les moyens d’assemblage sont des moyens par emboîtement ;
- les moyens d’assemblage comportent au moins une languette, portée par une des parties de la plaque et destinée à s’emboîter avec une encoche délimitée dans l’autre partie de la plaque, chaque languette et encoche étant respectivement munie d’un trou ou d’un picot ;
- les moyens d’assemblage sont des charnières et comportent au moins un tourillon porté par une des parties de plaque et un palier porté par l’autre partie de plaque et destiné à recevoir le tourillon ;
- les moyens d’assemblage sont formés par des queues d’aronde ;
- le bloc autonome d’éclairage de sécurité comporte l’étiquette pictogramme collée sur la plaque ;
- le bloc autonome d’éclairage de sécurité comporte l’étiquette pictogramme qui est munie d’au moins deux parties d’étiquette assemblées sur chaque partie de plaque.
Bien entendu, les différentes caractéristiques, variantes et formes de réalisation de l'invention peuvent être associées les unes avec les autres selon diverses combinaisons dans la mesure où elles ne sont pas incompatibles ou exclusives les unes des autres.
La description qui va suivre en regard des dessins annexés, donnés à titre d’exemples non limitatifs, fera bien comprendre en quoi consiste l’invention et comment elle peut être réalisée.
Sur les dessins annexés :
est une vue éclatée d’un premier mode de réalisation d’un bloc autonome d’éclairage de sécurité conforme à l’invention,
est une vue assemblée du bloc de la dans laquelle la plaque qui est destinée à supporter l’étiquette pictogramme est assemblée au socle en un premier lieu du socle,
est une vue assemblée du bloc de la dans laquelle la plaque qui est destinée à supporter l’étiquette pictogramme est assemblée au socle en un second lieu du socle,
est une vue en coupe, selon le plan longitudinal médian P, du bloc représenté sur la ,
est une vue en loupe du détail A de la ,
est une vue en coupe, selon le plan transversal P1, du bloc de la ,
est une vue éclatée d’un deuxième mode de réalisation d’un bloc autonome d’éclairage de sécurité conforme à l’invention,
est une vue assemblée du bloc de la ,
est une vue assemblée d’un troisième mode de réalisation d’un bloc autonome d’éclairage de sécurité conforme à l’invention avec le boîtier positionné horizontalement,
est une vue assemblée du bloc de la avec le boîtier positionné verticalement,
est une vue de face du boîtier du bloc représenté sur les figures 9 et 10,
est une vue éclatée de la plaque du bloc représenté sur les figures 9 et 10, et de la pièce intermédiaire servant à assembler cette plaque sur le boîtier de la ,
est une vue assemblée d’un quatrième mode de réalisation d’un bloc autonome d’éclairage de sécurité conforme à l’invention,
est une vue schématique de face du bloc des figures 9 et 10 tel qu’il se présente à l’utilisateur avant son installation, et,
est une vue schématique de face du bloc de la tel qu’il se présente à l’utilisateur avant son installation.
Sur ces figures, les éléments structurels et/ou fonctionnels communs aux différents modes de réalisation présentent les mêmes références.
Sur les figures 1 à 4, 7 et 8, 9 et 10, et 13, on a respectivement représenté un premier, un deuxième, un troisième et un quatrième mode de réalisation d’un bloc autonome d’éclairage de sécurité 100 ; 200 ; 300 ; 400 conforme à l’invention, ci-après dénommé bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400.
Le bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400 est destiné à éclairer des locaux en cas de coupure d’alimentation du circuit électrique principal alimentant lesdits locaux, et à indiquer aux usagers les issues de secours les plus proches d’eux.
Le bloc est destiné à être monté sur une paroi de réception qui peut être une paroi murale, verticale ou inclinée, ou une paroi de plafond, horizontale ou en sous-pente.
Par convention, dans l’ensemble de la description, les termes « avant » et « arrière » sont définis par rapport au regard de l’utilisateur tourné vers le bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400 installé sur la paroi de réception choisie. Ainsi, le terme « avant » désignera le côté du bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400 tourné vers l’utilisateur, tandis que le terme « arrière » désignera le côté du bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400 tourné à l’opposé de celui-ci.
Le bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400 comporte un boîtier 110 ; 210 ; 310 qui émet de la lumière et une plaque 150 ; 350 rapportée à l’extérieur et à l’avant du boîtier 110 ; 210 ; 310, et destinée à supporter une étiquette pictogramme 700 (voir figures 10 et 13). L’étiquette pictogramme 700 est ainsi éclairée par le boîtier 110 ; 210 ; 310 et indique, en cas de besoin, les issues de secours les plus proches du bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400 aux usagers des locaux.
Les dimensions de l’étiquette pictogramme 700 supportée par la plaque 150 ; 350 ne sont pas normatives, si ce n’est le rapport longueur sur hauteur, mais lesdites dimensions conditionnent, de manière normative, l’espacement entre deux étiquettes pictogrammes 700 indiquant les issues de secours. Pour pouvoir espacer davantage les blocs 100 ; 200 ; 300 ; 400 les uns des autres, il est donc avantageux que chaque étiquette pictogramme 700 présente des dimensions supérieures à la face avant des boîtiers 110 ; 210 ; 310 des blocs 100 ; 200 ; 300 ; 400, raison pour laquelle chaque étiquette pictogramme 700 est supportée par la plaque 150 ; 350 disposée à l’extérieur du boîtier 110 ; 210 ; 310 du bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400.
Dans les exemples représentés sur les figures 10 et 13, l’étiquette pictogramme 700 comporte un pictogramme 701 représentant un individu qui court et une flèche indiquant la direction à emprunter pour atteindre la sortie la plus proche.
Les différents modes de réalisation du bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400 se distinguent essentiellement par leur boîtier 110 ; 210 ; 310 et/ou par leur plaque 150 ; 350 ainsi que par les moyens d’assemblage 160 ; 360 de la plaque 150 ; 350 sur le boîtier 110 ; 210 ; 310. En particulier, les deuxième et quatrième modes de réalisation du bloc 200 ; 400 présentent le même boîtier 210 (voir , 8 et 13), les premier et deuxième modes de réalisation du bloc 100 ; 200 présentent la même plaque 150 et le même moyen d’assemblage 160 (voir figures 1 et 7), et les troisième et quatrième modes de réalisation du bloc 300 ; 400 présentent la même plaque 350 et le même moyen d’assemblage 360 (voir figures 9 et 13).
Le boîtier 110 ; 210 ; 310 comprend, d’une part, un socle 120 ; 220 ; 320 qui loge des éléments électriques et/ou électroniques du bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400, et, d’autre part, une paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330 qui ferme, à l’avant, le socle 120 ; 220 ; 320 et qui supporte des éléments optiques du bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400.
Le socle 120 ; 220 ; 320 délimite plus précisément un logement ouvert à l’avant selon une ouverture frontale 125 ; 225 ; 325, dans lequel sont logés les éléments électriques et/ou électroniques du bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400. Le socle 120 ; 220 ; 320 est réalisé en matière plastique, par exemple par moulage.
C’est par le socle 120 ; 220 ; 320 du boîtier 110 ; 210 ; 310 que le bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400 est monté sur la paroi de réception. Le socle 120 ; 220 ; 320 comporte à cet effet des moyens de montage du bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400 sur ladite paroi de réception. Par souci de simplification, on considère dans cette description que l’expression « apte à être monté sur une paroi de réception » englobe deux installations possibles du socle, en saillie sur la paroi de réception ou encastrée dans ladite paroi de réception.
Les éléments électriques et/ou électroniques du bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400 contenus dans le socle 120 ; 220 ; 320 comprennent par exemple une (ou plusieurs) batteries d’alimentation 1, une carte électronique 2, une source de lumière 3 et un bornier 4 alimenté par le réseau électrique et qui permet de détecter toute éventuelle coupure de courant.
La carte électronique 2 présente une forme sensiblement carrée, aux angles coupés. Elle comporte un circuit imprimé alimenté, d’une part, par le bornier 4, et, d’autre part, par la batterie d’accumulateur 1, et sur lequel sont connectés la source de lumière 3 ainsi que les autres composants électroniques du bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400.
La source de lumière 3 est fixe par rapport au socle 120 ; 220 ; 320 du boîtier 110 ; 210 ; 310. La source de lumière 3 est contenue dans le socle 120 ; 220 ; 320 et émet un flux lumineux en direction de l’ouverture frontale 125 ; 225 ; 325 du socle 120 ; 220 ; 320, et donc en direction de la plaque 150 ; 350 disposée à l’avant du socle 120 ; 220 ; 320.
Comme le montrent les figures 1 et 7, la source de lumière 3 est ici formée par une série de diodes électroluminescentes 31 (DEL). La série de diodes électroluminescentes comprend de préférence entre 3 et 10, par exemple 4, diodes électroluminescentes 31. De préférence encore, les diodes électroluminescentes 31 de la série sont réparties à intervalles réguliers les unes des autres. Les diodes électroluminescentes 31 sont connectées sur une face avant de la carte électronique 2. Elles sont disposées côte à côte, de manière alignée.
La paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330 est rapportée à l’avant du socle 120 ; 220 ; 320 et enferme les éléments électriques et/ou électroniques dans le logement délimité par le socle 120 ; 220 ; 320, à l’exception des diodes électroluminescentes 31. La paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330 est ici distincte de la plaque 150 ; 350. La paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330 est réalisée en matière plastique, par exemple par moulage.
Les éléments optiques du bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400, portés par la paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330 comprennent un réflecteur 16 ; 26 ; 36 intégré à ladite paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330 et un élément diffuseur 15 ; 25 ; 35, placé à l’avant des diodes électroluminescentes 31 pour diffuser la lumière en direction de la plaque 150 ; 350 et de l’étiquette pictogramme 700 qu’elle supporte.
Plus précisément, la paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330 est globalement plane, si ce n’est au niveau du réflecteur 16 ; 26 ; 36 où elle présente une portion incurvée 131 ; 231 ; 331 vers l’arrière. La portion incurvée de la paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330 est percée d’une ouverture centrale 132 ; 232 ; 332, globalement rectangulaire, qui s’étend selon un axe longitudinal médian X de la paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330. Les diodes électroluminescentes 31 de la source de lumière 3 émergent à travers cette ouverture centrale 132 ; 232 ; 332. Les diodes électroluminescentes 31 de la source de lumière 3 émergeant à travers l’ouverture centrale 132 ; 232 ; 332 sont ainsi situées le long de l’axe longitudinal médian X de la paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330. Lorsque la paroi de fermeture 230 est circulaire, on considère par abus de langage que l’axe longitudinal médian X de la paroi de fermeture correspond à un diamètre de la paroi de fermeture 230 (voir ).
Le réflecteur 16 ; 26 ; 36 est porté par la face avant de la paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330, dans la portion incurvée 131 ; 231 ; 331 de la paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330, et entoure l’ouverture centrale 132 ; 232 ; 332 de manière à réfléchir les rayons lumineux émis par les diodes électroluminescentes 31 vers l’avant du boîtier 110 ; 210 ; 310.
L’élément diffuseur 15 ; 25 ; 35 du bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400 est disposé entre les diodes électroluminescentes 31 et la plaque 150 ; 350 de manière à homogénéiser l’éclairage de l’étiquette pictogramme 700 supportée par la plaque 150 ; 350. L’élément diffuseur 15 ; 25 ; 35 peut soit recouvrir uniquement le réflecteur 26 ; 36 (figures 7 et 11), soit recouvrir l’ensemble de la face avant du boîtier 110 ( ).
Avantageusement, la plaque 150 ; 350 est montée libre en rotation par rapport à la paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330 du socle 120 ; 220 ; 320 de sorte qu'en fonction de la position du socle 120 ; 220 ; 320, la plaque 150 ; 350 pivote sous son propre poids pour prendre une orientation comprise entre une première position dans laquelle la plaque 150 ; 350 est parallèle à la paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330 (figures 2 et 10) et une deuxième position dans laquelle la plaque 150 ; 350 est perpendiculaire à la paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330 (figures 3, 8, 9 et 13).
Ainsi, la plaque 150 ; 350 s’oriente naturellement, sous son propre poids, pour être toujours lisible par un usager : lorsque le bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400 est positionné horizontalement, installé sur une paroi de plafond horizontale, la plaque 150 ; 350 s’oriente perpendiculairement à la paroi de fermeture 130 ; 230 ; 320 de manière à s’étendre globalement verticalement et à être lisible par l’usager ; lorsque le bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400 est positionné de manière oblique, installé sur une paroi de plafond en sous-pente, la plaque 150 ; 350 s’oriente pour former un angle aigu avec la paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330 de manière à s’étendre encore verticalement et à être lisible par l’usager ; lorsque le bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400 est positionné verticalement, installé sur une paroi murale verticale, la plaque 150 ; 350 s’oriente parallèlement à la paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330 pour s’étendre globalement verticalement et être toujours lisible par l’usager ; et lorsque le bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400 est positionné de manière oblique, installé sur une paroi murale inclinée, la plaque 150 ; 350 s’oriente parallèlement à la paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330 pour s’étendre globalement verticalement et être toujours lisible par l’usager.
L’installateur du bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400 n’a pas à se soucier de l’orientation de la plaque 150 ; 350, l’orientation étant prise naturellement par la plaque 150 ; 350, sous l’effet de son propre poids. En d’autres termes, grâce à la libre rotation de la plaque 150 ; 350, si le poids de la plaque 150 ; 350, représenté par une force vectorielle F, n’est pas situé dans le prolongement de la tranche longitudinale 154 ; 354 de la plaque 150 ; 350, la plaque 150 ; 350 est forcée de pivoter jusqu’à réaligner la force vectorielle de son poids sur ladite tranche longitudinale 154 ; 354 (voir figures 2, 3).
Pour permettre cette rotation naturelle de la plaque 150 ; 350 par rapport à la paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330, il est plus particulièrement prévu que le bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400 comporte au moins une pièce intermédiaire 160 ; 360, fixe par rapport à la paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330, et adaptée à recevoir au moins une partie 153A, 153B ; 353 de la plaque 150 ; 350 (voir figures1, 7 et 11), située le long d’un bord longitudinal 152 ; 352 de ladite plaque 150 ; 350. Cette partie de la plaque 150 ; 350 reçue dans la pièce intermédiaire 160 ; 360 forme alors un axe de rotation R de la plaque 150 ; 350 (voir figures 6 et 11).
Il n’est prévu aucun moyen de blocage de la position de la plaque 150 ; 350. Ainsi, dans l’éventualité où un usager touche la plaque 150 ; 350, celle-ci se met à osciller jusqu’à retourner à sa position d’équilibre dans laquelle la force vectorielle de son poids s’étend dans le prolongement de la tranche 154 ; 354 de la plaque 150 ; 350.
Dans la suite de la description, nous nous attacherons à décrire plus particulièrement les spécificités des boîtiers 110 ; 210 ; 310 de chaque mode de réalisation du bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400.
Dans les premier et troisième modes de réalisation du bloc 100 ; 300, le boîtier 110 ; 310 présente une forme globalement parallélépipédique, de plan longitudinal médian P. Le plan longitudinal médian P passe par l’axe longitudinal médian X de la paroi de fermeture 130 ; 330 du boîtier 110 ; 310 et coupe la socle 120 ; 320 en deux parties égales. La profondeur du boîtier 110 ; 310 est plus faible que la largeur et la longueur du boitier 110 ; 310.
Le boîtier 310 du troisième mode de réalisation du bloc 300 diffère du boîtier 110 du premier mode de réalisation du bloc 100 essentiellement par les éléments optiques 36 ; 35 supportés par sa paroi de fermeture 330. Les socles 120 ; 320 et les éléments communs des parois de fermeture 130 ; 330 de ces boîtiers 110 ; 310 seront donc décrits ci-après de manière commune, en s’appuyant uniquement sur les figures représentant le premier mode de réalisation du bloc 100.
Le socle 120 du boîtier 110 présente bien entendu une forme parallélépipédique. Il comporte plus précisément une paroi de fond 121 (ou fond) globalement rectangulaire, bordée par une paroi latérale 122 qui s’élève à partir de ladite paroi de fond 121 vers l’avant (voir figures 1 et 4).
Comme le montre la , la paroi latérale 122 du socle 120 comporte plus particulièrement une partie interne 122A qui s’élève à partir de la paroi de fond 121 du socle 120 de manière évasée vers l’avant du socle 120, et une partie externe 122B qui retombe depuis l’avant du socle 120 vers l’arrière et parfait la finition parallélépipédique du socle 120. Le logement interne du bloc est délimité par la paroi de fond 121 et la partie interne 122A de la paroi latérale 122.
Le socle 120 est destiné à être monté en saillie sur la paroi de réception. La paroi de fond 121 du socle 120 repose alors par sa face externe, c’est-à-dire celle tournée vers l’arrière, sur la paroi de réception. La paroi de fond 121 du socle 120 est percée à cet effet d’ouvertures de forme oblongue permettant le passage d’éléments de fixation, par exemple de vis, destinés à maintenir solidairement le socle 120 contre la paroi de réception. La forme oblongue des ouvertures permet à l’installateur d’ajuster la position du socle 120 sur la paroi de réception, pour qu’il soit fixé d’aplomb. La face interne de la paroi de fond 121, c’est à-dire celle tournée vers l’avant, porte quant à elle des murets 123A (voir figures 1 et 4) qui délimitent lesdites ouvertures oblongues et indiquent à l’installateur où insérer l’élément de fixation.
Comme le montre encore la , la paroi de fond 121 du socle 120 comporte également un emplacement 123B pour loger le bornier 4 recevant les fils d’alimentation électriques en provenance du réseau. La paroi de fond 121 est ouverte au niveau de cet emplacement 123B pour permettre la connexion des fils provenant du réseau dans le bornier 4.
Comme le montre la , à la jonction entre la partie interne 122A et la partie externe 122B de la paroi latérale 122, la paroi latérale 122 forme un trottoir 126 contre lequel est destiné à s’appuyer la paroi de fermeture 130. Ce trottoir 126 est surmonté, approximativement en son milieu, d’un muret 127 qui forme un prolongement de la paroi latérale 122 vers l’avant. L’ouverture frontale 125 du socle 120 est délimitée par la face interne du muret 127. La face interne du muret 127 porte, le long des bords longitudinaux du socle, des dents 129 destinées à s’encliqueter dans des encoches 139 correspondantes de la paroi de fermeture 130 pour maintenir solidairement ensemble le socle 120 et ladite paroi de fermeture 130.
Comme le montrent les figures 1 et 11, la paroi de fermeture 130 ; 330 du boîtier 110 ; 310 présente une forme globalement rectangulaire, de dimensions égales, au jeu près, à celles de l’ouverture frontale 125 ; 325 du socle 120 ; 320, et d’axe longitudinal médian X.
Comme le montre la , il est prévu, sur la face arrière de la paroi de fermeture 130, d’une part, des pattes 133 délimitant un logement de retenue de la batterie d’alimentation 1, et, d’autre part, des moyens de retenue de la carte électronique 2 (non visible sur les figures). Ce n’est que lorsque la paroi de fermeture 130 est rapportée sur le socle 120 que les éléments électriques et électroniques du bloc 100 sont logés dans le socle 120. Le fait d’accrocher la carte électronique 2 à l’arrière de la paroi de fermeture 130 garantit le bon centrage des diodes électroluminescentes 31 par rapport à l’ouverture centrale 132. Comme le montre la , pour le bon maintien de la carte électronique 2 dans le socle 120, la paroi de fond 121 du socle 120 comporte par ailleurs un plot 124 contre lequel est destinée à reposer la carte électronique 2 lorsque la paroi de fermeture 130 est rapportée sur le socle 120. La carte électronique 2 est ainsi prise en sandwich entre ce plot 124 et la face arrière de la paroi de fermeture 130 (voir ).
Pour sa fixation au socle 120, la paroi de fermeture 130 comporte (voir ), le long de ces deux bords longitudinaux, d’une part, un rebord 136 qui s’étend vers l’arrière et qui est destiné à venir en appui contre le trottoir 126 formé par la paroi latérale 122 du socle 120, et, d’autre part, les encoches 139 destinées à recevoir les dents 129 correspondantes prévues sur la paroi latérale 122 du socle 120. Une fois rapportée sur le socle 120, la paroi de fermeture 130 est donc logée à l’intérieur du socle 120, entre le muret 127 et le trottoir 126 formés par la paroi latérale 122 du socle 120.
Dans le premier mode de réalisation du bloc 100, le réflecteur 16 occupe la quasi-totalité de la face avant de la paroi de fermeture 130. La portion incurvée 131 de la paroi de fermeture 130 comporte plus précisément, une première zone circulaire 131A entourant l’ouverture centrale 132, fortement incurvée vers l’arrière, et une deuxième zone 131B concentrique avec la première, moins fortement incurvée vers l’arrière (voir ).
L’élément diffuseur 15 du premier mode de réalisation du bloc 100 est formé d’une plaque globalement rectangulaire et qui est destinée à recouvrir toute la face avant du boîtier 110 (voir ). La plaque diffuseur 15 présente un bord tombant 15A vers l’arrière (voir figures 4 et 6) qui est destiné à enserrer le muret 127 formé par la paroi latérale 122 du socle 120, et à venir en butée contre le trottoir 126 formé par la paroi latérale 122 du socle 120. Ce bord tombant 15A porte des dents (non visibles sur les figures) qui sont destinées à s’encliqueter dans des encoches 127A correspondantes (voir ) portées par la face externe du muret 127 du socle 120, le long des bords transversaux du socle 120.
Dans le troisième mode de réalisation du bloc 300, la paroi de fermeture 330 est majoritairement plane, et la portion incurvée 331 vers l’arrière de la paroi de fermeture 330, qui forme le réflecteur 36, présente une forme oblongue qui entoure l’ouverture centrale 332 laissant passer les diodes électroluminescentes 31 (voir ).
L’élément diffuseur 35 du boîtier 310 est formé par une plaque qui présente globalement les mêmes dimensions que le réflecteur 36 (voir ). Cette plaque 35, de forme oblongue, présente un bord tombant vers l’arrière qui est destiné à s’emboîter dans une gorge de la paroi de fermeture, formée à la jonction entre la portion plane et la portion incurvée de ladite paroi de fermeture. Cet emboîtement est ajusté de sorte qu’il sert de moyen de fixation de l’élément diffuseur 35 à la paroi de fermeture 330. Ce moyen d’assemblage de l’élément diffuseur sur la paroi de fermeture sera mieux compris en référence à la , dans le cadre de la description du deuxième mode de réalisation du bloc 200.
Dans les deuxième et quatrième modes de réalisation du bloc 200 ; 400, le boîtier 210 est identique et présente une forme globalement cylindrique, de plan longitudinal médian P. Le plan longitudinal médian P passe par l’axe longitudinal médian X de la paroi de fermeture 230 du boîtier 210 et coupe le socle 220 en deux parties égales. La profondeur du boîtier 210 est inférieure au diamètre du boîtier 210.
Comme le montre la , le socle 220 de ce boîtier 210 présente bien entendu une forme cylindrique et comporte plus précisément une paroi de fond 221 globalement circulaire, tronquée sur deux pôles en vis-à-vis. Cette paroi de fond 221 est bordée par une paroi latérale 222 qui s’élève à partir de ladite paroi de fond 221, vers l’avant.
Le socle 220 est destiné à être encastré dans la paroi de réception. Un tel socle 220 est privilégié pour une fixation dans un plafond, par exemple dans un faux-plafond, même s’il est tout à fait envisageable de les utiliser pour une fixation murale.
Deux oreilles 227 s’étendent vers l’extérieur du socle 220, à partir de la paroi de fond 221 du socle 220. Ces oreilles 227 sont attachées de manière détachable à la paroi de fond 221 du socle 220, elles servent à la retenue du socle 220 dans la paroi de réception.
Comme le montre la , la paroi de fond 221 du socle 220 comporte par ailleurs un emplacement 223 destiné à accueillir la batterie d’accumulateur 1, et un emplacement 228, ouvert à l’arrière, pour loger le bornier 4 recevant les fils d’alimentation électriques en provenance du réseau.
L’ouverture frontale 225 du socle 220 est délimitée par le bord avant de la paroi latérale 222 du socle 220.
La paroi de fermeture 230 du boîtier 210 présente une forme circulaire (voir ), de dimension supérieure à celle de l’ouverture frontale 225 du socle 220. La paroi de fermeture 230 est destinée à recouvrir entièrement l’ouverture frontale 225 du socle 220, et à déborder au-delà de la paroi latérale 222 du socle 220.
Comme le montre la , pour sa fixation au socle 220, la paroi de fermeture 230 comporte deux pattes 236 en vis-à-vis, qui s’étendent vers l’arrière à partir de la face arrière de la paroi de fermeture 230. Ces pattes 236 portent des dents (non visibles sur les figures), destinées à s’accrocher derrière un rebord 226 formé à l’extérieur de la paroi latérale 222 du socle 220. L’extrémité arrière 235 de chacune de ces pattes 236 est par ailleurs conformée pour recevoir un ressort 238 qui est destiné à exercer une pression derrière la paroi de réception.
Plus particulièrement, pour monter le socle 220 dans l’ouverture d’une paroi de réception, il suffit de détacher les deux oreilles 227 et de les lier via leur languette centrale aux deux ressorts 238. Les ressorts munis des oreilles 227 sont placés sous contrainte le long de la paroi latérale 222 du socle 220 de telle façon qu’ils sont introduits au travers de l’ouverture de la paroi de réception avec le socle 220. Après introduction du socle 220, les deux ressorts munis des oreilles 227 se retrouvent derrière la paroi de réception et se rabattent élastiquement contre cette paroi de réception avec lesdites oreilles qui prennent appui sur celle-ci pour retenir le socle 220 dans l’ouverture de la paroi de réception et pour maintenir la face arrière de la paroi de fermeture 230 plaquée contre l’avant de cette paroi de réception. La paroi de réception est ainsi prise en sandwich entre les ressort 238 équipés des oreilles 227 d’une part et la paroi de fermeture 230 d’autre part. Bien entendu, les oreilles 227 ne sont pas indispensables et les ressorts 238 peuvent fonctionner seuls de la même manière que celle qui vient d’être décrite pour retenir l’ensemble dans l’ouverture de la paroi de réception.
La paroi de fermeture 230 est majoritairement plane, et la portion incurvée 231 vers l’arrière de la paroi de fermeture 230, qui forme le réflecteur 26, présente une forme circulaire et entoure l’ouverture centrale 232 rectangulaire à travers laquelle émergent les diodes électroluminescentes 31 (voir ).
L’élément diffuseur 25 du boîtier 210 est formé par une plaque qui présente globalement les mêmes dimensions que celles du réflecteur 26. Cette plaque, de forme globalement circulaire, présente un bord tombant 25B vers l’arrière qui est destiné à s’emboîter dans une gorge 237 de la paroi de fermeture 230, formée à la jonction entre la portion plane et la portion incurvée 231 de ladite paroi de fermeture 230. Cet emboîtement est ajusté de sorte qu’il sert de moyen de fixation de l’élément diffuseur 25 à la paroi de fermeture 230 (voir ).
Quel que soit le mode de réalisation du bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400, la plaque 150 ; 350 destinée à supporter l’étiquette pictogramme 700 est rapportée à l’extérieur du socle 111 ; 211 ; 311, à l’avant du boîtier 110 ; 210 ; 310.
La plaque 150 ; 350 est réalisée en matière plastique. Elle est généralement obtenue par moulage. Son épaisseur est très fine par rapport à sa largeur et sa longueur. Son épaisseur est aussi très fine par rapport à la profondeur du boîtier 110 ; 210 ; 310.
Ici, l’étiquette pictogramme 700 est collée sur la plaque 150 ; 350. L’étiquette pictogramme 700 est ainsi fixée de manière indémontable à la plaque 150 ; 350. Par l’intermédiaire de la plaque 150 ; 350, l’étiquette pictogramme 700 est donc solidairement fixée au boîtier 110 ; 210 ; 310 du bloc, ce qui garantit aux exploitants des bâtiments que les chemins d’évacuation mis en place ne pourront pas être modifiés une fois qu’ils auront été validés par les commissions de sécurité.
L’étiquette pictogramme 700 présente une forme rectangulaire, avec par exemple des dimensions d’environ 100 millimètres par 200 millimètres. Son épaisseur est très fine comparée à sa longueur et sa largeur. Elle est réalisée par exemple en matériau plastique. Ce matériau plastique ainsi que sa fine épaisseur rendent l’étiquette pictogramme 700 translucide.
Comme le montrent les figures 10 et 13, l’étiquette pictogramme 700 occupe la quasi-totalité de la face principale de la plaque 150 ; 350. La plaque 150 ; 350 présente une pluralité de nervures 151 ; 351 (voir figures 2 et 10) qui font saillie de la face principale de la plaque 150 ; 350 et s’étendent parallèlement au bord longitudinal 152 ; 352 de la plaque 150 ; 350, à proximité dudit bord longitudinal 152 ; 352. Ces nervures 151 ; 351 forment la limite supérieure de l’emplacement de la plaque 150 ; 350 destiné à recevoir l’étiquette pictogramme 700.
La plaque 150 ; 350 est plus précisément assemblée au boîtier 110 ; 210 ; 310 via ladite au moins une pièce intermédiaire 160 ; 360.
Dans les premier et deuxième modes de réalisation du bloc 100 ; 200, il est prévu au moins deux pièces intermédiaires 160 qui sont réparties le long d’un des bords longitudinaux 152 de la plaque 150, lequel bord longitudinal 152 est celui par lequel la plaque 150 est accrochée au boîtier 110 ; 210.
Ici, les deux pièces intermédiaires 160 sont identiques. Comme le montrent les figures 1 et 7, chaque pièce intermédiaire 160 se présente sous la forme d’un crochet dont une extrémité 161 est destinée à recevoir un élément de fixation, par exemple une vis de fixation 162, pour maintenir fixement la pièce intermédiaire 160 sur le boîtier 110 ; 210, tandis que l’autre extrémité 163 est recourbée en crochet et est destinée à s’accrocher au niveau d’un tourillon 153A, 153B correspondant de la plaque 150. L’extrémité crochetée 163 de chaque pièce intermédiaire 160 forme ainsi un palier de rotation de la plaque 150 (voir ). Comme le montre bien la , l’axe de fixation Z de la vis de fixation 162 et l’axe de rotation R de la plaque 150 sont perpendiculaires l’un de l’autre et non sécants. Autrement dit, l’extrémité crochetée 163 de la pièce intermédiaire 160 est décalée par rapport à l’axe de fixation Z de la vis de fixation 162. Cet agencement facilite la fixation, d’une part, de la pièce intermédiaire 160 sur le boîtier 110 ; 210, et, d’autre part, de la plaque 150 dans la pièce intermédiaire 160.
Comme le montrent les figures 1 et 7, le bord longitudinal 152 de la plaque 150 est découpé de manière à présenter quatre tourillons 153A, 153B cylindriques, répartis le long dudit bord longitudinal 152, alignés les uns avec les autres.
Les extrémités crochetées 163 des deux pièces intermédiaires 160 sont accrochées dans deux des tourillons 153A, 153B de la plaque 150, de manière à répartir équitablement le poids de la plaque 150 de part et d’autre de l’axe transversal médian Y du boîtier 110 ; 210. Ainsi, la plaque 150 est fixée à la pièce intermédiaire 160, soit par l’intermédiaire de ces deux tourillons d’extrémité 153A (voir figures 2 et 3), soit par l’intermédiaire de ces deux tourillons intérieurs 153B (voir ).
Chaque tourillon 153A, 153B reçu dans l’extrémité crochetée 163 de la pièce intermédiaire 160 correspondante est libre de pivoter dans le palier de rotation formé par cette extrémité crochetée 163. Autrement dit, l’extrémité crochetée 163 de chaque pièce intermédiaire 160 autorise un débattement de la plaque 150 depuis une première position où elle est parallèle à la paroi de fermeture 112 et cache les vis de fixation 162 des pièces intermédiaires 160 (voir par exemple la position de la ), jusqu’à une deuxième position où elle s’étend parallèlement aux vis de fixation 162 (voir par exemple les positions des figures 3 et 4).
Les deux modes de réalisation du bloc 100 ; 200 diffèrent non seulement par leur boîtier 110 ; 210, mais aussi par le lieu où sont fixés les pièces intermédiaires 160 audit boîtier 110 ; 210, et par les tourillons 153A, 153B via lesquels la plaque 150 est maintenue dans les pièces intermédiaires 160.
Plus précisément, dans le premier mode de réalisation du bloc 100, chaque pièce intermédiaire 160 traverse la paroi de fermeture 130 et est fixée au socle 120 du boîtier 110 du bloc 100 (voir ) et la plaque 150 est reçue dans les pièces intermédiaires 160 au niveau des deux tourillons d’extrémité 153A de la plaque 150 (voir figures 2 et 3), tandis que dans le deuxième mode de réalisation du bloc 200, chaque pièce intermédiaire 160 est fixée uniquement à la paroi de fermeture 230 du boîtier 210 (voir ) et la plaque 150 est reçue dans les pièces intermédiaires 160 au niveau des deux tourillons intérieurs 153B de la plaque 150.
En particulier, dans le premier mode de réalisation du bloc 100, chaque pièce intermédiaire 160 est fixée au boîtier 110 de manière symétrique par rapport à l’axe transversal médian Y de la paroi de fermeture 130 du boîtier 110 (voir ). Ainsi, la plaque 150 reçue dans ces pièces intermédiaires 160 s’étend parallèlement aux plans longitudinaux dudit boîtier 110 (c’est-à-dire parallèlement au plan qui passe par le côté longitudinal de la partie externe 122B de la paroi latérale 122 du boîtier 110).
Comme le montre la , la vis de fixation 162 destinée à fixer la pièce intermédiaire 160 sur le socle 111 traverse un premier trou 15C prévu dans l’élément diffuseur 15, traverse une région amincie 138C de la paroi de fermeture 130, et vient ensuite se loger dans un puits 128C prévu à l’intérieur du logement du socle 120.
Dans ce premier mode de réalisation du bloc 100, les pièces intermédiaires 160 peuvent plus précisément être reçues en deux lieux distincts du boîtier 110.
Chacun des lieux comporte une paire de trous 15B, 15C sur l’élément diffuseur 15, une paire de régions amincies 138B, 138C dans la paroi de fermeture 130, et une paire de puits 128B, 128C situés à l’intérieur du logement délimité par le socle 120 du boîtier 110 (voir ). Comme le montre la , le premier lieu 15B, 138B, 128B est prévu globalement à proximité des deux angles du boîtier 110 qui relient les bords transversaux du boîtier 110 au même bord longitudinal dudit boîtier 110. Le deuxième lieu 15C, 138C, 128C est situé à proximité du plan longitudinal médian du boîtier 110 (qui coupe le boîtier en deux parties égales et passe par l’axe longitudinal médian X de la paroi de fermeture 130), mais légèrement décalé dudit plan.
Lorsque les pièces intermédiaires 160 sont reçues dans le premier lieu 15B, 138B, 128B, l’axe de rotation R de la plaque 150 est situé en dehors du plan longitudinal médian P du boîtier 110. C’est le cas dans l’exemple représenté sur la . La plaque 150 et l’étiquette pictogramme 700 qu’elle supporte sont ainsi convenablement éclairées par la source de lumière 3, quelle que soit la position la plaque 150, parallèle à la paroi de fermeture 130 (configuration représentée sur la ) ou perpendiculaire à la paroi de fermeture 130 (configuration non représentée). En particulier, dans le cas où la plaque 150 s’étend perpendiculairement à la paroi de fermeture 130 (configuration non représentée), la source de lumière 3, qui s’étend dans le plan longitudinal médian du boîtier 110, est décalée par rapport à la plaque 150, de sorte que la source de lumière 3 éclaire la plaque 150 en biais. Cet éclairage en biais favorise un éclairage homogénéisé de la plaque 150. Lorsque les pièces intermédiaires 160 sont ainsi reçues sur le boîtier 110, le bloc 100 est destiné aussi bien à une installation au plafond (configuration non représentée) qu’à une installation murale (configuration représentée sur la ).
Lorsque les pièces intermédiaires 160 sont reçues dans le deuxième lieu 15C, 138C, 128C, l’axe de rotation R de la plaque 150 est situé dans le plan longitudinal médian P du boîtier 110, plan qui inclut la source de lumière 3. C’est le cas dans l’exemple représenté sur la . Ce type de fixation, qui place la plaque 150 dans le plan longitudinal médian du boîtier 110, présente l’avantage d’être esthétique dans la mesure où il est symétrique. La plaque 150 est bien visible d’un côté comme de l’autre. Ce type de fixation est cependant réservé à une installation du bloc 100 au plafond ou en sous-pente. En effet, il n’est pas adapté au cas où la plaque 150 doit s’étendre parallèlement à la paroi de fermeture 130, puisque seule la moitié de ladite paroi de fermeture 130 serait alors couverte par la plaque 150.
Dans le deuxième mode de réalisation du bloc 200, chaque pièce intermédiaire 160 est fixée à la seule paroi de fermeture 230 du boîtier 210, par l’intermédiaire d’une vis de fixation 162 reçue directement dans un trou 239 correspondant de la paroi de fermeture 230. Les trous 239 sont situés parallèlement à l’axe longitudinal médian X de la paroi de fermeture 230, légèrement décalé de cet axe, et de manière symétrique par rapport à l’axe transversal médian Y (qui est l’axe orthogonal à l’axe longitudinal médian X et passant par le centre de la paroi de fermeture 230). La plaque 150 reçue dans les pièces intermédiaires 160 ainsi fixées à la paroi de fermeture 230 s’étend alors dans le plan longitudinal médian P du boîtier 210 (voir ).
Dans ce deuxième mode de réalisation du bloc 200, la plaque 150 est alignée sous la source de lumière 3. Ce mode de réalisation du bloc 200 présente l’avantage d’être esthétique dans la mesure où il est symétrique. La plaque 150 est bien visible d’un côté comme de l’autre du boîtier 210. Ce mode de réalisation du bloc 200 est privilégié pour une installation du bloc 200 à une paroi de plafond. En effet, il n’est pas adapté au cas où la plaque 150 doit s’étendre parallèlement à la paroi de fermeture 230, puisque seule la moitié de ladite paroi de fermeture 230 serait alors couverte par la plaque 150.
Dans les troisième et quatrième modes de réalisation du bloc 300 ; 400, il est prévu une unique pièce intermédiaire 360, agencée au centre du bord longitudinal de la plaque 350, pour assembler la plaque 350 au boîtier 210 ; 310.
Comme le montre la , la pièce intermédiaire 360 délimite un manchon 363 destinée à recevoir, dans chacune de ses extrémités, deux tourillons 353 de la plaque 350, autour desquels ladite plaque 350 est apte à pivoter.
Comme le montre la , le manchon 363 de la pièce intermédiaire 360 est surmonté, sur toute sa longueur, d’un plot 364 qui sert à la fixation de la pièce intermédiaire 360 au boîtier 310 ; 410. Le plot 364 comporte, en son centre, une ouverture 365 (voir ) qui permet le passage d’une vis de fixation 362, et, de part et d’autre de cette ouverture 365, des pions de centrage 366 qui font saillie (voir ) dudit plot 364 et sont destinés à s’insérer dans des trous de guidage 316 (voir ) correspondants du boîtier 310 ; 210.
Les deux modes de réalisation du bloc 300 ; 400 diffèrent non seulement par leur boîtier 310 ; 210, mais aussi par le lieu où est fixée la pièce intermédiaire 360 audit boîtier 310 ; 210.
En particulier, dans le troisième mode de réalisation du bloc 300 (voir à 11), la pièce intermédiaire 360 est fixée au socle 320 du boîtier 310 du bloc 300, directement dans l’épaisseur de la paroi latérale 322 du socle 320, sans traverser la paroi de fermeture 330.
Dans le quatrième mode de réalisation du bloc 400 (voir ), la pièce intermédiaire 360 est, comme dans le deuxième mode de réalisation, fixée à la seule paroi de fermeture 230 du boîtier 210 du bloc 400, à proximité du bord de la paroi de fermeture 230 (donc à distance de l’axe longitudinal médian X de ladite paroi de fermeture 230).
Grâce aux tourillons 353 qui sont libres de pivoter dans le manchon 363, la plaque 350 peut adopter n’importe quelle position comprise entre la première position ( ) dans laquelle elle s’étend parallèlement à la paroi de fermeture 330 ; 230 et la deuxième position (figures 9 et 11) dans laquelle elle s’étend perpendiculairement à la paroi de fermeture 330 ; 230.
Quel que soit le troisième ou quatrième mode de réalisation du bloc 300 ; 400, l’axe de rotation R de la plaque 350, situé dans le prolongement des tourillons 353, est situé en dehors du plan longitudinal médian P de la paroi de fermeture 330 ; 230 du boîtier 310 ; 210. Dans le cas où la plaque 350 s’étend perpendiculairement à la paroi de fermeture 330 ; 230 (voir figures 9 et 13), la source de lumière 3, qui s’étend dans le plan longitudinal médian P du socle 320 ; 220, est alors décalée par rapport à la plaque 350, de sorte que la source de lumière 3 éclaire la plaque 350 en biais. Cet éclairage en biais favorise un éclairage homogénéisé de la plaque 350.
Dans ces deux derniers modes de réalisation du bloc 300 ; 400, il n’est possible d’assembler la plaque 350 avec la pièce intermédiaire 360 que parce que la plaque 350 est en deux parties 355 assemblées, chacune des parties étant munie d’un des tourillons 353 à insérer dans le manchon 363.
En effet, de manière avantageuse, quel que soit le mode de réalisation envisagé, la plaque 150 ; 350 est ici formée d’au moins deux parties 155 ; 355 assemblées entre elles par des moyens d'assemblage 800. Les moyens d’assemblage 800 sont prévus le long d’un bord d’assemblage 156 ; 356 de chacune desdites parties 155 ; 355 (voir figures 1, 7 et 12).
Dans les troisième et quatrième modes de réalisation du bloc 300 ; 400, les tourillons 363 sont alors prévus le long du bord longitudinal 152 de chaque partie 355 de plaque, à proximité dudit bord d’assemblage 356 des deux parties 355 de plaque (voir ). Du point de vue de l’installation du bloc 300 ; 400, il convient donc, d’abord d’installer le boîtier 310 ; 210 sur la paroi de réception, puis de fixer la pièce intermédiaire 360 au boîtier 310 ; 210 avec une vis 362, et, enfin, d’assembler les deux parties 355 de plaque le long de leur bord d’assemblage 356 respectif, en insérant simultanément chaque tourillon 353 dans l’extrémité correspondante du manchon 363 de la pièce intermédiaire 360, et en assemblant les parties 355 de plaque le long de leur bord d’assemblage 356 respectif mis en contact.
De manière remarquable, dans le bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400 conforme à l’un quelconque des modes de réalisation de l’invention, chaque partie 155 ; 355 de plaque présente des dimensions externes inférieures ou égales aux dimensions externes de la face avant du boîtier 110 ; 210 ; 310 dudit bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400.
Ainsi, préalablement à son assemblage et à son installation sur le boîtier 110 ; 210 ; 310, la plaque 150 ; 350 qui sert à supporter l’étiquette pictogramme 700 est en plusieurs parties qui ne contraignent pas l’emballage du bloc. Autrement dit, grâce à l’invention, seules les dimensions du boîtier 110 ; 210 ; 310, c’est-à-dire celles du socle 120 ; 220 ; 320 et de la paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330, sont à prendre en compte pour dimensionner l’emballage du bloc 100 ; 200 ; 300 ; 400.
Lors de l’installation de la plaque 150 ; 350 sur le boîtier 110 ; 210 ; 310, les parties 155 ; 355 de plaque sont assemblées les unes aux autres. De préférence, la plaque 150 ; 350 assemblée présente alors des dimensions supérieures à celles de la face avant du boîtier 110 ; 210 ; 310, de sorte qu’elle est apte à supporter l’étiquette pictogramme 700 qui présente elle-même des dimensions supérieures à celles de la face avant du boîtier 110 ; 210 ; 310. Une telle étiquette pictogramme 700 est mieux visible par les usagers, et visible de plus loin, de sorte qu’il est permis d’espacer davantage les uns des autres les blocs 100 ; 200 ; 300 ; 400 équipés de ces étiquettes pictogrammes 700.
Autrement dit, grâce à cette caractéristique selon laquelle la plaque 150 ; 350 comporte plusieurs parties 155 ; 355 de faibles dimensions assemblées entre elles, l’encombrement hors-tout de chaque partie 155 ; 355 de plaque est inférieur à l’encombrement hors-tout boîtier 110 ; 210 ; 310, et en particulier du socle 120 ; 220 ; 320 et de la paroi de fermeture 130 ; 230 ; 330 du boîtier 110 ; 210 ; 310, étant entendu que l’épaisseur de chaque partie 155 ; 355 de plaque est très mince devant la profondeur du boîtier 110 ; 210 ; 310. Cela est bien visible sur les figures 14 et 15 dans lesquelles l’enveloppe extérieure en traits gras schématise l’emballage du bloc 300 ; 400, vu en face avant.
Comme le montrent les figures 1, 7 et 12, la plaque 150 ; 350 est ici plus précisément en deux parties.
Sur ces figures, on voit bien que chaque partie 155 ; 355 de plaque présente une forme globalement carrée, dont un bord forme le bord d’assemblage 156 ; 356 des deux parties 155 ; 355 entre elles, et un autre bord 157 ; 357 est destiné à former le bord longitudinal 152 ; 352 de la plaque 150 ; 350 et est équipé des tourillons 153A, 153B ; 353. C’est le long du bord d’assemblage 156 ; 356 de chaque partie 155 ; 355 de plaque que sont prévus les moyens d’assemblage 800 de la plaque 150 ; 350. Le bord d’assemblage 156 ; 356 d’une des parties 155 ; 355 de plaque peut présenter une forme quelconque, tant que sa forme est complémentaire de la forme du bord d’assemblage 156 ; 356 de l’autre partie 155 ; 355 de plaque.
Ici, les deux parties 155 ; 355 de la plaque 150 ; 350 sont identiques. La production de la plaque 150 ; 350 est ainsi facilitée, avec une seule référence de demi-plaque à produire. Dans les figures 14 et 15 qui représentent schématiquement l’emballage des blocs 300 et 400, il est d’ailleurs tout à fait envisageable de superposer à l’identique les deux parties 155 ; 355 de la plaque 150 ; 350, pour gagner davantage de place dans l’emballage, le cas échéant.
Comme le montrent les figures 1, 7 et 12, les moyens d’assemblage 800 de chaque partie 155 ; 355 forment avec ladite partie 155 ; 355 une pièce monobloc. Ainsi, les moyens d’assemblage 800 appartiennent respectivement à chaque partie 155 ; 355 de la plaque 150 ; 350 de sorte que l’assemblage peut être réalisé de manière autonome, sans avoir besoin de recourir à des pièces supplémentaires. L’assemblage de la plaque 150 ; 350 en est donc simplifié et facilité. Les moyens d’assemblage 800 sont par exemple obtenus par moulage d’une seule pièce avec la partie 155 ; 355 de plaque correspondante. En variante, ils pourraient être soudés à chaque partie de plaque.
De manière avantageuse, les moyens d’assemblage 800 sont disposés à au moins trois endroits différents le long du bord d’assemblage 156 ; 356 de chaque partie 155 ; 355. Ainsi, en cas de rupture de l’assemblage en une région, les deux parties 155 ; 355 de plaque restent assemblées entre elles grâce auxdites au moins deux autres régions encore assemblées. Ici, on compte plus particulièrement quatre moyens d’assemblage le long du bord d’assemblage 156 de chaque partie 155 de la plaque 150 dans les premier et deuxième modes de réalisation du bloc 100 ; 200 (voir figures 1 et 7) et trois moyens d’assemblage le long du bord d’assemblage 356 de chaque partie 355 de la plaque 350 dans les troisième et quatrième modes de réalisation du bloc 300 ; 400 (voir ).
En outre, les moyens d’assemblage 800 sont ici démontables. Cette caractéristique présente l’avantage de faciliter le remplacement d’une seule des parties 155 ; 355 de plaque si elle se casse ou se détériore.
Les moyens d’assemblage 800 sont avantageusement situés dans l’épaisseur de chaque partie 155 ; 355 de plaque (voir figures 1, 7 et 12). Ainsi, lorsque les parties 155 ; 355 sont assemblées, la plaque 150 ; 350 reste plane, sans surépaisseur au niveau de l’assemblage.
Ici, les moyens d’assemblage 800 sont plus précisément des moyens par emboîtement. Autrement dit, un moyen d’assemblage 800 prévu sur une des parties 155 ; 355 de plaque est destiné à s’emboîter dans un moyen d’assemblage 800 complémentaire prévu sur l’autre partie 155 ; 355 de plaque.
Comme le montrent les figures 1 et 7, dans les premier et deuxième modes de réalisation du bloc 100 ; 200, les moyens d’assemblage 800 comportent plus précisément au moins une languette 158 munie d’un trou 158A, portée par une des parties 155 de la plaque 150 et destinée à s’emboîter avec une encoche 159 munie d’un picot 159A et délimitée dans l’autre partie 155 de la plaque 150.
A l’inverse, comme le montre la , dans les troisième et quatrième modes de réalisation du bloc 300 ; 400, les moyens d’assemblage 800 comportent au moins une languette 358 munie d’un picot 358A, portée par une des parties 355 de la plaque 350 et destinée à s’emboîter avec une encoche 359 munie d’un trou 359A et délimitée dans l’autre partie 355 de la plaque 350.
Bien entendu, diverses autres modifications peuvent être apportées à l’invention dans le cadre des revendications annexées.
Notamment, bien que cela ne soit pas représenté, il est tout à fait envisageable que les moyens d’assemblage des parties de plaque soient des charnières et comportent au moins un tourillon porté par une des parties de la plaque et un palier porté par l’autre partie de la plaque et destiné à recevoir le tourillon en question.
Il est aussi envisageable que les moyens d’assemblage des parties de plaque soient formés par des queues d’aronde s’étendant le long du bord d’assemblage de chaque partie de plaque.
Il est aussi tout à fait envisageable que l’étiquette pictogramme soit en deux parties au moins. Par exemple, l’étiquette pictogramme comporte une première partie représentant le pictogramme de l’individu qui court et une deuxième partie représentant le pictogramme de la flèche indiquant la direction à emprunter. Chaque partie d’étiquette est alors assemblée sur une partie respective de plaque. Prévoir l’étiquette pictogramme en plusieurs parties permet de moduler plus facilement les indications à faire figurer sur chaque bloc, en particulier en modifiant seulement le pictogramme de la flèche directionnelle. A partir de seulement deux références de pictogramme, l’une représentant la flèche, l’autre représentant l’individu qui courtil est alors possible d’indiquer de nombreuses issues de secours en modifiant seulement l’orientation de la flèche sur la plaque de chaque bloc.
S’il est nécessaire de réduire davantage l’encombrement de la plaque préalablement à son assemblage, il est envisageable de prévoir que la plaque soit en plus de deux parties, par exemple en trois parties. Il faut cependant garder à l’esprit qu’augmenter le nombre de parties de plaque fragilise la plaque une fois assemblée puisque cette dernière présente alors plusieurs lignes d’assemblage. Il faut donc ajuster le nombre de parties de plaque afin, d’une part, de garantir la rigidité de la plaque une fois assemblée, et, d’autre part, de réduire les dimensions de la plaque avant son assemblage pour diminuer son encombrement lors de son emballage. Autrement dit, il s’agit d’un compromis à trouver entre rigidité finale et encombrement initial.
Les modes de réalisations décrits peuvent tout à fait être combinés entre eux dans la mesure où ils ne sont pas incompatibles les uns des autres.

Claims (12)

  1. Bloc autonome d'éclairage de sécurité (100 ; 200 ; 300 ; 400) comportant :
    - un boîtier (110 ; 210 ; 310) qui comprend un socle (120 ; 220 ; 320) fermé à l’avant par une paroi de fermeture (130 ; 230 ; 330),
    - une source de lumière (3), et
    - une plaque (150 ; 350) destinée à supporter une étiquette pictogramme (700) et adaptée à être rapportée à l’avant et à l’extérieur du boîtier (110 ; 210 ; 310) de telle sorte que la source de lumière (3) éclaire l’étiquette pictogramme (700),
    caractérisé en ce que la plaque (150 ; 350) est formée d’au moins deux parties (155 ; 355) assemblées entre elles par des moyens d'assemblage (800), chaque partie (155 ; 355) présentant des dimensions externes inférieures ou égales aux dimensions externes de la face avant du boîtier (110 ; 210 ; 310).
  2. Bloc autonome d’éclairage de sécurité (100 ; 200 ; 300 ; 400) selon la revendication 1, dans lequel les moyens d’assemblage (800) de chaque partie (155 ; 355) de plaque forment avec ladite partie (155 ; 355) une pièce monobloc.
  3. Bloc autonome d’éclairage de sécurité (100 ; 200 ; 300 ; 400) selon l’une des revendications 1 et 2, dans lequel les moyens d’assemblage (800) sont disposés à au moins trois endroits différents le long d’un bord d’assemblage (156 ; 356) de chaque partie (155 ; 355) de plaque.
  4. Bloc autonome d’éclairage de sécurité (100 ; 200 ; 300 ; 400) selon l’une des revendications 1 à 3, dans lequel les parties (155 ; 355) de plaque sont identiques.
  5. Bloc autonome d’éclairage de sécurité (100 ; 200 ; 300 ; 400) selon l’une des revendications 1 à 4, dans lequel les moyens d’assemblage (800) sont démontables.
  6. Bloc autonome d’éclairage de sécurité (100 ; 200 ; 300 ; 400) selon l’une des revendications 1 à 5, dans lequel les moyens d’assemblage (800) sont situés dans l’épaisseur de chaque partie (155 ; 355) de plaque.
  7. Bloc autonome d’éclairage de sécurité (100 ; 200 ; 300 ; 400) selon l’une des revendications 1 à 6, dans lequel les moyens d’assemblage (800) sont des moyens par emboîtement.
  8. Bloc autonome d’éclairage de sécurité (100 ; 200 ; 300 ; 400) selon l’une des revendications 1 à 7, dans lequel les moyens d’assemblage (800) comportent au moins une languette (158 ; 358), portée par une des parties (155 ; 355) de plaque et destinée à s’emboîter avec une encoche (159 ; 359) délimitée dans l’autre partie (155 ; 355) de plaque, chaque languette (158 ; 358) et encoche (159 ;) étant respectivement munie d’un trou (158A ; 359A) ou d’un picot (159A ; 358A).
  9. Bloc autonome d’éclairage de sécurité selon l’une des revendications 1 à 7, dans lequel les moyens d’assemblage sont des charnières et comportent au moins un tourillon porté par une des parties de plaque et un palier porté par l’autre partie de plaque et destiné à recevoir le tourillon.
  10. Bloc autonome d’éclairage de sécurité selon l’une des revendications 1 à 7, dans lequel les moyens d’assemblage sont formés par des queues d’aronde.
  11. Bloc autonome d’éclairage de sécurité selon l’une des revendications 1 à 10, qui comporte l’étiquette pictogramme (700) collée sur la plaque (150 ; 350).
  12. Bloc autonome d’éclairage de sécurité (100 ; 200 ; 300 ; 400) selon l’une des revendications 1 à 11, qui comporte l’étiquette pictogramme (700) qui est munie d’au moins deux parties d’étiquette assemblées sur chaque partie (155 ; 355) de plaque.
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