FR3106954A1 - Dispositif pour tenir et orienter des tuteurs. - Google Patents

Abstract

Dispositif pour tenir et orienter les tuteurs. Dispositif pour fixer et orienter les tuteurs comprenant un socle en une seule pièce et un ou des tuteur(s) caractérisé en ce que le ou (les) tuteur(s) soi(en)t solidaires au socle par des trous cylindriques. La disposition des trous cylindriques organisés sur le socle, permet de proposer un choix varié en formes rectilignes, courbes, coniques, circulaires, carrés, zig zag. La disposition des tuteurs permet de canaliser la plante en ces différentes formes. Une plante liane est plus prédisposée. L’orientation des trous cylindriques est verticale et/ou obtus et /ou aigues. L’orientation des tuteurs permet de proposer un support pour des plantes très variées (lianes, plantes à port large ou à canaliser). La personne fixe les tuteurs dans les trous cylindriques du socle selon ce qu’elle désire faire de sa plante. La personne a des choix multiples sur la disposition et l’orientation des tuteurs, elle peut canaliser sa plante. Elle a aussi le choix de mettre l’invention soit en pleine terre ou dans un pot en choisissant sa profondeur.

Description

Dispositif pour tenir et orienter des tuteurs.

La présente invention concerne un dispositif pour tenir, orienter et disposer les tuteurs de plantes vertes dans un pot ou en pleine terre.

Les tuteurs proposés en commerce ne tiennent pas, tombent par le poids de la plante, se détachent de la terre.

La hauteur et la largeur des tuteurs sont limitées à cause du poids de la plante.

Le placement des tuteurs dans le pot ou dans la terre est aléatoire et les tuteurs bougent, c’est donc inesthétique et pas structuré pour organiser l’évolution de la plante.

Les conditions climatiques (vent, pluie, sécheresse) altèrent l’efficacité de la tenue des tuteurs.

Dans le commerce (Jardinerie, commerce de grandes distributions, catalogue spécialisé, foire aux plantes) rien est apporté pour solutionner l’ensemble des problèmes cités.

Il faut donc un socle disposé dans la terre pour tenir le ou les tuteurs ainsi, la plante pourra s’épanouir et s’orienter de façon convenue.

La tenue du tuteur, son orientation et sa disposition, se réalisent à la base du tuteur par un socle amovible au pot. Le ou les tuteurs sont solidaires à celui-ci. Le socle avec les tuteurs fixés à celui-ci peut être posé dans le pot à différentes hauteurs.

Le principe du socle : c’est la masse (de la plante et de la terre), l’enracinement de la plante dans le socle aéré, la profondeur du socle dans le pot qui permettent la stabilité de la plante. Le socle solidaire au tuteur à un rôle primordiale, c’est lui qui conditionne la réussite.

Pour remédier aux inconvénients présentés ci-dessus, la présente invention vise à pallier ces inconvénients et propose un procédé qui concerne un dispositif permettant de tenir efficacement une plante sans que le(s) tuteur(s) rompe(nt) à cause du poids de la plante, du climat (vent, assèchement de la terre). Le dispositif est constitué de deux parties indissociables : Un socle et le(s) tuteur(s). Si le socle existe, alors, la personne peut choisir la disposition et l’orientation du (des) tuteur(s) dans les trous cylindriques incrustés au socle. Ce dispositif est à déposer dans un pot de fleurs ou en pleine terre. Dans la présentation de ce document, le socle est rond, les tuteurs ont le même diamètre et les trous cylindriques sont disposés perpendiculairement au socle. A la périphérie du socle, les trous creusés dans les cylindres forment des angles obtus et aigues.

Selon une variante de l'invention, le socle pourra être de formes et de diamètres variables, il pourra s’adapter alors à la terre mais surtout aux différentes formes et diamètres de pots (ronds, ovales ou rectangulaires).

Selon une deuxième variante de l’invention, le socle pourra être adapté aux différents diamètres de tuteurs. Aussi, sur un même socle, on pourra avoir des trous cylindriques de diamètres différents.

Selon une troisième variante, les trous cylindriques pourront être disposés sur les cercles et axes, et orientés en angle droit, aigues ou obtus de façons différentes par rapport au socle.

Dans les dessins et photos qui illustrent l’invention.

représente une photo vue en perspective du dispositif selon la présente invention.

représente une vue en perspective de dessus du socle 1.

représente une vue prise de dessous du socle 1.

représente une vue en perspective vue du dessous du socle 1.

représente une vue de profil du socle 1.

Le dispositif fig 1 est constitué de deux parties : Un socle 1 en une seule pièce et un (des) tuteur(s) 6 qui seront solidaires. La disposition, l’orientation du ou des tuteur(s) sur le socle se font en fonction du choix de la personne. Le socle 1 sera solidaire avec le tuteur par un trou cylindrique 2 ou 3. La personne devra enfoncer le tuteur jusqu’au bout du trou cylindrique 2 ou 3.

Le socle 1 est plat et ajouré fig 2. Le socle 1 a des intervalles 5 afin que les racines de la plante puissent se solidariser à celui-ci mais aussi afin que la terre puisse passer librement. Le socle a des cercles 7 concentriques de diamètres différents à intervalles réguliers. Les cercles 7 sont rattachés par des axes 8 rayonnants. Ces axes au nombre de douze, ont tous un angle 9 de trente degrés figure 3. A l’intersection des cercles 7 et axes 8 se situe les trous cylindriques 2 ou 3 disposés de façon organisée et en alternance par rapport aux axes 8 mais aussi aux cercles 7 afin qu’ils utilisent un maximum d’espace sur toute la surface du socle 1. Le nombre de trous cylindriques est équilibré pour la disposition des tuteurs mais aussi pour économiser la quantité de matière plastique.

Le socle 1 possède des pointes 4 fig 4. Les pointes sont orientées à la verticale par rapport au socle 1. Les pointes 4 devront alors être plus hautes que les trous cylindriques 2 et 3 fig 5. Le socle 1 pourra avoir plus d’adhérence à sa base, il se stabilisera mieux dans les cailloux au fond du pots ou en pleine terre. Les pointes 4.1 et 4.2 fig 3 sont disposées à l’intersection des cercles 7 et des axes 8 de façon organisée et en alternance afin qu’elles utilisent un maximum d’espace sur toute la surface du socle 1. Les pointes sont positionnées sur un cercle sur deux et en alternance avec les cercles pour économiser la quantité de matière plastique.

Selon une variante de l’invention, les pointes 4 peuvent être placées sur n’importe quels cercles du socle et aux endroits souhaités.

La disposition des trous cylindriques 2 et 3 fig 4 est à l’intersection des cercles 7 et axes 8. De cette façon les trous cylindriques sont plus solides. Les cercles 7 et axes 8 ont une même épaisseur alors que les trous cylindriques sont plus profonds. La disposition des trous cylindriques 2 ou 3, figure 3 organisé sur le socle 1, permet de proposer un choix varié en formes rectilignes, courbes, coniques, circulaires, carrés et en zig-zag. La personne pourra alors faire des choix pour maintenir et orienter la plante comme une plante en forme de liane. L’orientation des trous cylindriques 2 et 3 fig 4 par rapport au socle est verticale 2 ou oblique 3. Ces trous cylindriques 2 et 3 ont des orientations angulaires différentes. Seul à la périphérie du dernier cercle se situe les trous cylindriques 3 soit obtus ou aigus disposés en alternance, les autres trous cylindriques 2 sont orientés à la verticale du socle. De cette façon, la plante pourra être canalisée et orientée grâce aux tuteurs 6 qui auront pris les orientations du cylindre fig 1. L’orientation des tuteurs permettra de proposer un support pour des plantes très variées (lianes, plantes à port large ou à canaliser). On peut envisager sur un même socle des trous cylindriques avec des angles d’orientations différents, droits, aigus et/ ou obtus.

La matière du socle 1 sera en plastique plus ou moins rigide et non biodégradable afin que l’ensemble résiste aux forces extérieures, plantes, terre, vent, etc. Il pourra être fabriqué avec des matières recyclables.

Les tuteurs 6 fig 1 sont fixés dans les trous cylindriques par la force de la personne. La fixation du tuteur au socle doit être solide. La personne l’enfoncera par la force avec une profondeur de au moins quinze millimètres selon le socle 1 présenté fig 4. Pour que cela fonctionne, il faut un diamètre légèrement inférieur aux trous cylindriques. La profondeur du trou cylindrique permettra une meilleure fixation. Les tuteurs sont disposés et orientés selon le choix de la personne. Dans la fig 1, un tuteur est fixé au centre dans un trou cylindrique avec une orientation verticale 2, alors que les autres tuteurs sont fixes aux extrémités du socle 1 dans les trous cylindriques 3 ayant des angles obtus. C’est un choix de disposition de la personne car elle désire canaliser une plante qui a un port large. Le tuteur n’est pas l’invention mais il doit répondre à des critères pour que l’invention soit revendiquée. Sa matière doit être inoxydable, en métal enrobé de plastique ou en plastique.

Le dispositif selon l’invention est utilisé pour le mettre dans un pot ou en pleine terre. La personne fixera les tuteurs dans les trous cylindriques côté socle plat en fonction de ses objectifs. Elle disposera le dispositif fig 1 dans la terre à la profondeur de son choix. Il faudra alors installer la plante en ajoutant la terre délicatement de part et d’autre de celle-ci. La personne fixera ensuite les parties de la plante sur les tuteurs par des liens.

Le dispositif selon l’invention est particulièrement destiné à des particuliers, horticulteurs, maraichers ou pépiniéristes. Le dispositif peut être aussi utilisé pour tenir autre chose que les plantes (guirlandes, liens).

Claims (9)

1. Dispositif pour fixer et orienter les tuteurs comprenant un socle en une seule pièce et un (ou des) tuteur(s) caractérisé en ce que le ou (les) tuteur(s) soit(ent) solidaire(s) au socle.
2. Dispositif selon la revendication 1 caractérisé en ce que le socle (1) soit constitué de cercles (7) plats et épais en largeur et hauteur, de diamètres différents à intervalles (5) réguliers. Les cercles sont maintenus par des axes (8) rayonnant au nombre de douze. La surface plane et l’épaisseur des axes sont identiques aux cercles.
3. Dispositif selon la revendication 1 et 2 caractérisé en ce que les intersections des axes (8) et des cercles (7) possèdent des trous cylindriques (2 ,3). Ces trous cylindriques (2) ou (3) sont disposés de façons organisées et en alternance par rapport aux axes (8) et aux cercles (7). Ces trous cylindriques (2) ou (3) ont tous une même profondeur de au moins quinze millimètres. Ces trous cylindriques (2) et (3) ont des orientations angulaires différentes. Seuls à la périphérie du dernier cercle se situe les trous cylindriques obtus ou aigus (3), les autres trous cylindriques (2) sont orientés perpendiculairement au socle (1).
4. Dispositif selon la revendication 1, 2 et 3 caractérisé en ce que les intersections des axes (8) et des cercles (7) possèdent des pointes (4.1) et (4.2) situées en dessous du socle (1) à la perpendiculaire de celui-ci. Les pointes (4.1) et (4.2) sont disposées de façons organisées et en alternance par rapport aux axes (8) et aux cercles (7). Les pointes sont positionnées sur un cercle sur deux et en alternance avec les cercles. Les pointes (4.1) et (4.2) ont toutes la même taille mais sont plus hautes que les trous cylindriques (2) et (3).
5. Dispositif selon la revendication 1, 2 et 3 caractérisé en ce que le (ou les) tuteur(s) (6) soit(ent) fixé(s) au socle par l’action d’une personne. Le (les) tuteur(s) a (ont) un diamètre légèrement inférieur aux trous cylindriques (2) et (3).
6. Dispositif selon la revendication 1 caractérisé en ce que le socle (1) peut être de formes rondes, ovales ou rectangulaires et de diamètres variables.
7. Dispositif selon la revendication 3 caractérisé en ce que les trous cylindriques (2) ou (3) peuvent avoir des diamètres différents. Soit sur un même socle pour accueillir des tuteurs de diamètres différents, soit un autre diamètre pour un socle (1).
8. Dispositif selon la revendication 3 caractérisé en ce que les trous cylindriques (2) ou (3) peuvent être disposés sur les cercles (7) et axes (8) et, orientés par rapport au socle à la verticale, en angles aigus et/ou obtus de façons différentes.
9. Dispositif selon la revendication 4 caractérisé en ce que les pointes (4) peuvent être placées sur n’importe quels cercles du socle et aux endroits souhaités.