FR3099447A1 - Bras d’entraînement d’un système d’essuyage d’une surface à essuyer - Google Patents

Abstract

Bras d’entraînement d’un système d’essuyage d’une surface à essuyer L’invention concerne un bras d’entraînement (3) d’un système d’essuyage (1) d’une surface à essuyer (2) comportant : - une première partie (100) configurée pour être couplée à des moyens de mise en mouvement (4) du bras d’entraînement (3), et - une deuxième partie (200) couplée à la première partie (100) et configurée pour couvrir l’intégralité d’une lame d’essuyage (8) destinée à venir en appui contre la surface à essuyer (2). La deuxième partie (200) comprend au moins une paroi supérieure (203) qui joint deux parois latérales (201, 202). La paroi supérieure (203) et les parois latérales (201, 202) délimitent une zone de réception (205) de la lame d’essuyage (8). Le bras d’entraînement (3) comporte des moyens de projection (9) d’un liquide (10) solidaires d’au moins une des parois latérales (201, 202) de la deuxième partie (200). Figure pour l’abrégé : Figure 1

Description

Bras d’entraînement d’un système d’essuyage d’une surface à essuyer

La présente invention se situe dans le domaine des bras d’entraînement d’un système d’essuyage d’une surface à essuyer. Elle a pour objet un tel bras d’entraînement. Elle a aussi pour objet un système d’essuyage comprenant un tel bras d’entraînement.

Un véhicule automobile est susceptible d’être équipé d’un système de détection apte à émettre et/ou recevoir des signaux à travers une surface. La qualité de réception et/ou d’émission des signaux dépend notamment d’un état de propreté de cette surface. On comprend en effet que si la surface est constellée de salissures, telles que des projections, des taches ou analogues, la qualité de transmission des signaux est affectée jusqu’à rendre le système de détection inopérant.

On connait des systèmes d’essuyage comprenant une lame d’essuyage destinée à balayer une surface à essuyer, telle qu’une lunette arrière. Le système d’essuyage comprend un bras d’entraînement comportant une première partie couplée à des moyens de mise en mouvement du bras d’entraînement, et une deuxième partie couplée à la première partie. La deuxième partie est configurée pour couvrir la lame d’essuyage.

Un telle système d’essuyage d’une lunette arrière n’est pas transposable pour l’essuyage d’un système de détection. En effet, les surfaces en jeu sont multiples et orientées dans différents plans, et leurs aires est significativement plus petites que l’aire d’une lunette arrière.

La présente invention propose un bras d’entraînement d’un système d’essuyage d’une surface à essuyer, notamment d’un système de détection, comportant une première partie, configurée pour être couplée à des moyens de mise en mouvement du bras d’entraînement, et une deuxième partie couplée à la première partie. La deuxième partie est configurée pour couvrir l’intégralité d’une lame d’essuyage destinée à venir en appui contre la surface à essuyer. La deuxième partie comprend au moins une paroi supérieure qui joint deux parois latérales, la paroi supérieure et les parois latérales délimitant une zone de réception de la lame d’essuyage.

Selon la présente invention, le bras d’entraînement comporte des moyens de projection d’un liquide solidaires d’au moins une des parois latérales de la deuxième partie.

Le bras d’entraînement comprend avantageusement l’une quelconque au moins des caractéristiques techniques suivantes, prises seules ou en combinaison :

- la première partie du bras d’entraînement est rapportée sur les moyens de mise en mouvement du bras d’entraînement. Plus particulièrement, la première partie du bras d’entraînement est fixée sur les moyens de mise en mouvement du bras d’entraînement. Plus particulièrement, la première partie du bras d’entraînement est fixée sur un organe de mise en mouvement que comprennent les moyens de mise en mouvement. Autrement dit, la première partie du bras d’entraînement est solidaire des moyens de mise en mouvement du bras d’entraînement,

- la deuxième partie du bras d’entraînement est portée par la première partie du bras d’entraînement. Lorsque les moyens de mise en mouvement déplacent la première partie du bras d’entraînement, les moyens de mise en mouvement déplacent simultanément la deuxième partie du bras d’entraînement,

- la deuxième partie du bras d’entraînement est montée mobile en basculement par rapport à la première partie du bras d’entraînement,

- la deuxième partie du bras d’entraînement est configurée pour couvrir l’intégralité de la lame d’essuyage dans le sens où la deuxième partie du bras d’entraînement surplombe la lame d’essuyage selon toute une longueur de ladite lame d’essuyage. Autrement dit, la deuxième partie du bras d’entraînement forme un capot qui recouvre au moins la lame d’essuyage selon toute la longueur de la lame d’essuyage. On comprend ainsi que la deuxième partie du bras d’entraînement chapeaute au moins la lame d’essuyage selon toute la longueur de la lame d’essuyage. Plus particulièrement, la deuxième partie du bras d’entraînement comprend une paroi supérieure qui couvre la lame d’essuyage selon toute la longueur de la lame d’essuyage. Aussi, la paroi supérieure de la deuxième partie du bras d’entraînement masque au moins la lame d’essuyage à un observateur qui regarde le bras d’entraînement au-dessus de la paroi supérieure de la deuxième partie du bras d’entraînement. Ainsi, en regardant la paroi supérieure de la deuxième partie du bras d’entraînement et en se plaçant perpendiculairement au-dessus de la paroi supérieure, il n’est pas possible à l’observateur de voir la lame d’essuyage qui est cachée par la paroi supérieure de la deuxième partie du bras d’entraînement,

- la paroi supérieure est bordée par deux parois latérales, les deux parois latérales étant disposées en vis-à-vis l’une de l’autre. La deuxième partie du bras d’entraînement comporte une section transversale qui est conformée en « U », la paroi supérieure formant la base du « U » et les parois latérales formant les branches du « U ». Ainsi, la paroi supérieure et les parois latérales délimitent un volume qui forme une zone de réception d’au moins la lame d’essuyage,

- la section transversale est prise orthogonalement à un premier axe principal d’allongement de la deuxième partie du bras d’entraînement,

- les parois latérales sont sensiblement parallèles entre elles et sensiblement orthogonales à la paroi supérieure,

- la paroi supérieure est indifféremment plane ou bombée,

- les parois latérales sont indifféremment planes ou bombées,

- les parois latérales sont de longueur identique à la paroi supérieure. Alternativement, les parois latérales sont de longueur inférieure ou supérieure à la longueur de la paroi supérieure,

- la deuxième partie du bras d’entraînement comporte une première ouverture ménagée en-vis-à-vis de la paroi supérieure,

- la paroi supérieure et les parois latérales sont jointes par au moins une paroi transversale qui est ménagée à l’une de leurs extrémités,

- la deuxième partie du bras d’entraînement comporte une deuxième ouverture ménagée en vis-à-vis de la paroi transversale,

- au moins une des parois latérales de la deuxième partie du bras d’entraînement est pourvue des moyens de projection de liquide sur la surface à essuyer. Plus particulièrement, une seule des deux parois latérales est pourvue des moyens de projection de liquide sur la surface à essuyer. Alternativement, chaque paroi latérale est pourvue d’un moyen de projection de liquide,

- les moyens de projection comprennent une enceinte de réception du liquide formée le long de ladite au moins une des parois latérales,

- l’enceinte est équipée d’un embout d’admission du liquide à l’intérieur de l’enceinte,

- l’enceinte est issue de moulage avec la paroi latérale. Dit autrement, la paroi latérale et les moyens de projection sont monolithiques,

- les moyens de projection comprennent au moins un orifice de projection du liquide configuré pour projeter le liquide sur la surface à essuyer,

- les moyens de projection comprennent une pluralité d’orifice de projection,

- les orifices de projection sont répartis sur une longueur de l’enceinte en étant équidistants deux à deux les uns des autres,

- les orifices de projection sont alignés selon une direction sensiblement parallèle au premier axe principal d’allongement de la deuxième partie du bras d’entraînement,

- au moins un orifice de projection est configuré pour projeter le liquide selon une direction de projection de liquide qui est contenue dans un plan par lequel la longueur de la deuxième partie du bras d’entraînement passe. Par exemple, la direction de projection de liquide est perpendiculaire au premier axe principal d’allongement de la deuxième partie du bras d’entraînement, et encore plus particulièrement perpendiculaire à la paroi supérieure de la deuxième partie du bras d’entraînement,

- au moins un orifice de projection est ménagé sur un côté de l’enceinte qui s’étend dans un premier plan latéral qui est parallèle à un deuxième plan latéral dans lequel s’étend une première ouverture de la deuxième partie du bras d’entraînement,

- le premier plan latéral est confondu avec le deuxième plan latéral,

- la première partie du bras d’entraînement comprend au moins une bague apte à enserrer un organe de mise en mouvement constitutif des moyens de mise en mouvement,

- la première partie du bras d’entraînement comprend ou forme au moins un bras de liaison qui est solidaire de la bague et qui est relié à la deuxième partie du bras d’entraînement par l’intermédiaire de moyens d’articulation de la deuxième partie du bras d’entraînement sur la première partie du bras d’entraînement,

- le bras de liaison s’étend selon un axe de bras qui est orthogonal à un axe de révolution de la bague,

- le bras de liaison s’étend radialement à la blague,

- les moyens d’articulation comprennent un arbre d’articulation logé à l’intérieur d’un premier orifice de liaison ménagé à travers le bras de liaison et logé à l’intérieur d’au moins un deuxième orifice de liaison ménagé à travers la deuxième partie du bras d’entraînement,

- l’arbre d’articulation est équipé de moyen de renvoi de la deuxième partie du bras d’entraînement en une position d’utilisation dans laquelle la lame d’essuyage est en contact avec la surface à essuyer,

- la première partie du bras d’entraînement comprend deux bras de liaison parallèles, chaque bras de liaison comprenant une première extrémité reliée à la bague et une deuxième extrémité logée à l’intérieur de la zone de réception de la lame d’essuyage, la deuxième extrémité de chaque bras de liaison étant pourvue d’un premier orifice de liaison, les premiers orifices de liaison étant ménagés en vis-à-vis l’un de l’autre selon une direction parallèle à l’axe de révolution de la bague,

- la deuxième partie du bras d’entraînement est équipée d’un couple de deuxièmes orifices ménagés en vis-à-vis l’un de l’autre selon une direction parallèle à l’axe de révolution de la bague, chaque paroi latérale de la deuxième partie du bras d’entraînement étant pourvue d’un deuxième orifice.

La présente invention a aussi pour objet un système d’essuyage d’une surface à essuyer comprenant au moins un tel bras d’entraînement, une lame d’essuyage et un connecteur interposé entre la lame d’essuyage et la deuxième partie du bras d’entraînement, le connecteur étant relié au bras d’entraînement par l’intermédiaire de moyens de basculement du connecteur disposés à l’intérieur de la zone de réception.

Le système d’essuyage comprend avantageusement l’une quelconque au moins des caractéristiques techniques suivantes, prises seules ou en combinaison :

- les moyens de basculement comprennent un palier qui équipe le connecteur et un arbre de basculement qui s’étend à l’intérieur de la zone de réception de la lame d’essuyage, le palier étant apte à recevoir l’arbre de basculement,

- au moins une paroi latérale de la deuxième partie de l’arbre d’entraînement comporte une face interne latérale qui borde la zone de réception et qui est équipée d’au moins une butée contre laquelle une rampe du connecteur peut venir en contact,

- chaque face interne latérale est pourvue de deux butées réparties de part et d’autre de l’arbre de basculement,

- le connecteur comporte une rainure longitudinale qui loge un talon de la lame d’essuyage,

- la rainure longitudinale s’étend selon une direction parallèle à un deuxième axe principal d’allongement du connecteur.

D’autres caractéristiques et avantages de l’invention apparaîtront encore au travers de la description qui suit d’une part, et de plusieurs exemples de réalisation donnés à titre indicatif et non limitatif en référence aux dessins schématiques annexés d’autre part, sur lesquels :

illustre une vue en perspective d’un système d’essuyage de la présente invention.

illustre une vue de côté d’un bras d’entrainement de la présente invention constitutif du système d’essuyage illustré sur la figure 1.

illustre une vue de dessus du bras d’entrainement illustré sur la figure 2.

illustre une vue de dessous du bras d’entrainement illustré sur les figures 2 et 3.

illustre une coupe transversale d’une partie du bras d’entrainement illustré sur les figures 2 à 4.

illustre une coupe transversale du système d’essuyage illustré sur la figure 1.

illustre une coupe transversale d’un connecteur et d’une lame d’essuyage constitutifs du système d’essuyage illustré sur les figures 1 et 6.

illustre vue de côté du connecteur et de la lame d’essuyage illustrés sur la figure 7.

illustre une vue de dessous de la partie du bras d’entrainement illustré sur la figure 5.

illustre une vue en perspective d’une autre partie du bras d’entrainement illustré sur les figures 2 à 4.

illustre une vue en perspective du système d’essuyage illustré sur les figures 1 et 6.

illustre une vue en perspective partielle du système d’essuyage illustré sur les figures 1, 6 et 11.

illustre une vue en perspective du système d’essuyage avec une surface à essuyer.

Les caractéristiques, les variantes et les différentes formes de réalisation de l'invention peuvent être associées les unes avec les autres, selon diverses combinaisons, dans la mesure où elles ne sont pas incompatibles ou exclusives les unes des autres. On pourra notamment imaginer des variantes de l’invention ne comprenant qu’une sélection de caractéristiques décrites par la suite de manière isolées des autres caractéristiques décrites, si cette sélection de caractéristiques est suffisante pour conférer un avantage technique ou pour différencier la présente invention par rapport à l’état de la technique antérieure.

En particulier toutes les variantes et tous les modes de réalisation décrits sont combinables entre eux si rien ne s’oppose à cette combinaison sur le plan technique.

Sur les figures, les éléments communs à plusieurs figures conservent la même référence.

Sur la figure 1, est représenté un système d’essuyage 1 de la présente invention qui est prévu pour balayer et nettoyer une surface à essuyer 2, telle qu’une fenêtre d’un système de détection équipant un véhicule automobile. On note que la surface à essuyer 2 est représentée partiellement pour rendre visibles les éléments décrits ci-après.

Le système d’essuyage 1 comprend un bras d’entraînement 3 qui est couplé à des moyens de mise en mouvement 4 du bras d’entraînement 3. Les moyens de mise en mouvement 4 du bras d’entraînement 3 comprennent un organe de mise en mouvement 5 sur lequel le bras d’entraînement 3 est rapporté, et un dispositif d’entraînement 6, tel qu’un moteur électrique ou analogue, qui est apte à mouvoir l’organe de mise en mouvement 5. Les moyens de mise en mouvement 4 sont aptes à déplacer le bras d’entraînement 3 selon un mouvement de va-et-vient le long de la surface à essuyer 2, de telle sorte que le système d’essuyage 1 balaye des salissures présentes sur la surface à essuyer 2.

Le bras d’entraînement 3 comprend une première partie 100 qui est couplée à l’organe de mise en mouvement 5. La première partie 100 du bras d’entraînement 3 est montée fixe et solidaire sur l’organe de mise en mouvement 5. Autrement dit, la première partie 100 du bras d’entraînement 3 est en prise sur l’organe de mise en mouvement 5.

Le bras d’entraînement 3 comprend une deuxième partie 200 qui est couplée à la première partie 100. La deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 est portée par la première partie 100 du bras d’entraînement 3. Autrement dit, la première partie 100 du bras d’entraînement 3 constitue une pièce de liaison entre la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 et l’organe de mise en mouvement 5. Aussi, la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 est mise en mouvement à partir d’un déplacement de la première partie 100 du bras d’entraînement 3 provoqué par les moyens de mise en mouvement 4. Autrement dit, lorsque les moyens de mise en mouvement 4 déplacent la première partie 100 du bras d’entraînement 3, alors les moyens de mise en mouvement 4 déplacent simultanément la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3.

La deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 est montée mobile en basculement sur la première partie 100 du bras d’entraînement 3 à l’intérieur d’un plan de basculement P qui est sensiblement orthogonal à un plan de surface P6 à l’intérieur duquel s’étend la surface à essuyer 2.

Le système d’essuyage 1 comprend un connecteur 7 porté par la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 et une lame d’essuyage 8 portée par le connecteur 7, la lame d’essuyage 8 étant destinée à venir en contact contre la surface à essuyer 2 pour nettoyer cette dernière d’éventuelles salissures. Le connecteur 7 constitue une pièce de liaison entre la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 et la lame d’essuyage 8. Le connecteur 7 est monté mobile en basculement sur la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 à l’intérieur du plan de basculement P. La longueur du connecteur 7 est avantageusement égale ou supérieure à la longueur de la lame d’essuyage 8.

La deuxième partie 200 du bras d’entraînement 2 est agencée en un capot qui est prévu pour chapeauter le connecteur 7 et la lame d’essuyage 8. A cet effet, la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 2 comprend une paroi supérieure 203 qui joint deux parois latérales 201, 202, la paroi supérieure 203 et les parois latérales 201, 202 délimitant au moins partiellement une zone de réception 205 du connecteur 7 et de la lame d’essuyage 8. Préférentiellement, la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 2 comprend également une paroi transversale 204 qui joint les parois latérales 201, 202 et la paroi supérieure 203 à l’une de leurs extrémités. Ainsi, la paroi supérieure 203, la paroi transversale 204 et les parois latérales 201, 202 bordent la zone de réception 205 qui loge au moins partiellement la lame d’essuyage 8, et avantageusement la totalité du connecteur 7.

Parmi les parois latérales 201, 202, on distingue une première paroi latérale 201 qui est équipée de moyens de projection 9 d’un liquide 10 sur la surface à essuyer 2. Les moyens de projection 9 comprennent une enceinte 11 qui est destinée à contenir le liquide 10 et qui est issue de moulage de la première paroi latérale 201. Autrement dit, la première paroi latérale 201 et l’enceinte 11 forment une pièce monobloc et ne sont séparables qu’à partir d’une destruction de l’une et/ou de l’autre de la première paroi latérale 201 et de l’enceinte 11.

Il convient de noter que la deuxième paroi latérale 202 peut également être équipée des moyens de projection 9 du liquide.

L’enceinte 11 est équipée d’un embout d’admission 12 du liquide 10 à l’intérieur de l’enceinte 11. L’embout d’admission 12 est relié à un canal d’alimentation 13 en liquide 10. Le canal d’alimentation 13 est relié à une pompe 14 destinée à faire circuler le liquide 10 depuis une réserve 15 de liquide 10 jusqu’à l’enceinte 11.

L’enceinte 11 est pourvue d’une pluralité d’orifices de projection 16 du liquide 10 sur la surface à essuyer 2. Les orifices de projection 16 sont équidistants deux à deux les uns des autres et sont répartis sur toute la longueur de l’enceinte 11. Le liquide 10 comprend par exemple de l’eau éventuellement complétée d’un additif, solvant ou analogue. On comprend que la projection de liquide 10 sur la surface à essuyer 2 facilite un nettoyage de cette dernière lorsque le système d’essuyage 1 effectue un mouvement de va-et-vient le long de la surface à essuyer 2.

Sur les figures 2 à 4, la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 est agencée pour couvrir l’intégralité du connecteur 7 et de la lame d’essuyage 8. La deuxième partie 200 du bras d’entraînement 1 recouvre l’intégralité du connecteur 7 et de la lame d’essuyage 8 dans le sens où la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 surplombe le connecteur 7 et la lame d’essuyage 8 selon toute une longueur du connecteur 7 et de la lame d’essuyage 8. Autrement dit, la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 1 forme un capot qui chapeaute le connecteur 7 et la lame d’essuyage 8 selon toute une longueur de ces éléments.

En se reportant plus particulièrement sur la figure 2, la paroi supérieure 203 de la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 masque le connecteur 7 et la lame d’essuyage 8 à un observateur O qui regarde le bras d’entraînement 3 au-dessus de la paroi supérieure 203 de la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3. Ainsi, en regardant la paroi supérieure 203 de la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 et en se plaçant perpendiculairement au-dessus de la paroi supérieure 203, il n’est pas possible à l’observateur O de voir le connecteur 7 et la lame d’essuyage 8 qui sont cachés par la paroi supérieure 203 de la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3, comme cela est notable sur la figure 3.

Ces dispositions sont atteintes notamment à partir de caractéristiques dimensionnelles particulières de la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3, notamment sa paroi supérieure 203, du connecteur 7 et de la lame d’essuyage 8.

En se reportant plus particulièrement sur la figure 4, la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 s’étend selon un premier axe principal d’allongement A1 entre une première extrémité longitudinale de la deuxième partie 211 et une deuxième extrémité longitudinale de la deuxième partie 212. La deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 est d’une première longueur L1 prise selon le premier axe principal d’allongement A1 entre la première extrémité longitudinale de la deuxième partie 211 et la deuxième extrémité longitudinale de la deuxième partie 212.

Le connecteur 7 s’étend selon un deuxième axe principal d’allongement A2 entre une première extrémité longitudinale de connecteur 71 et une deuxième extrémité longitudinale de connecteur 72. Le connecteur 7 est d’une deuxième longueur L2 prise selon le deuxième axe principal d’allongement A2 entre la première extrémité longitudinale de connecteur 71 et la deuxième extrémité longitudinale de connecteur 72.

La lame d’essuyage 8 s’étend selon un troisième axe principal d’allongement A3 entre une première extrémité longitudinale de lame d’essuyage 81 et une deuxième extrémité longitudinale de lame d’essuyage 82. La lame d’essuyage 8 est d’une troisième longueur L3 prise selon le troisième axe principal d’allongement A3 entre la première extrémité longitudinale de lame d’essuyage 81 et la deuxième extrémité longitudinale de lame d’essuyage 82. Le troisième axe principal d’allongement A3 est préférentiellement confondu avec le deuxième axe principal d’allongement A2.

On note que la deuxième longueur L2 et la troisième longueur L3 peuvent être égales, ou la deuxième longueur L2 peut être supérieure à la troisième longueur L3. On note aussi que la première extrémité longitudinale de connecteur 71 et la première extrémité longitudinale de lame d’essuyage 81 sont situées dans un même premier plan transversal P1 orthogonal au deuxième axe principal d’allongement A2 et au troisième axe principal d’allongement A3. On note aussi que la deuxième extrémité longitudinale de connecteur 72 et la deuxième extrémité longitudinale de lame d’essuyage 82 sont situées dans un même deuxième plan transversal P2 orthogonal au deuxième axe principal d’allongement A2 et au troisième axe principal d’allongement A3.

On note aussi que la première longueur L1 est strictement supérieure à la deuxième longueur L2 et la troisième longueur L3 et que la première extrémité longitudinale de connecteur 71 et la première extrémité longitudinale de lame d’essuyage 81 d’une part, et la deuxième extrémité longitudinale de connecteur 72 et la deuxième extrémité longitudinale de lame d’essuyage 82 d’autre part sont longitudinalement disposées entre la première extrémité longitudinale de la deuxième partie 211 et la deuxième extrémité longitudinale de la deuxième partie 212. Autrement dit, la première extrémité longitudinale de connecteur 71 et la première extrémité longitudinale de lame d’essuyage 81 d’une part et la deuxième extrémité longitudinale de connecteur 72 et la deuxième extrémité longitudinale de lame d’essuyage 82 d’autre part sont longitudinalement disposées à l’intérieur de la zone de réception 205 du connecteur 7 et de la lame d’essuyage 8. Ces dispositions sont telles que le connecteur 7 et la lame d’essuyage 8 sont conjointement montés en basculement à l’intérieur de la zone de réception 205.

Les orifices de projection 16 sont répartis sur toute une longueur d’enceinte L prise entre une première extrémité longitudinale d’enceinte 111 et une deuxième extrémité longitudinale d’enceinte 112 parallèlement à un axe d’allongement A4 de l’enceinte 11. On note que l’axe d’allongement A4 de l’enceinte 11 est parallèle au premier axe principal d’allongement A1 de la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3, mais il pourrait en être autrement.

On note que les orifices de projection 16 sont compris entre le premier plan P1 et le deuxième plan P2 de manière à être longitudinalement répartis entre la première extrémité longitudinale de lame d’essuyage 81 et la deuxième extrémité longitudinale de lame d’essuyage 82 en vue d’optimiser un raclage de la surface à essuyer 2, à partir de deux actions simultanées, à savoir la projection du liquide 10 sur la surface à essuyer 2 et le raclage de la surface à essuyer 2 par la lame d’essuyage 8.

Sur la figure 5, la paroi supérieure 203 est bordée par les deux parois latérales 201, 202, les deux parois latérales 201, 202 étant disposées en vis-à-vis l’une de l’autre en étant sensiblement parallèles l’une à l’autre. La deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 comporte une section transversale, prise orthogonalement au premier axe principal d’allongement A1, qui est conformée en « U », la paroi supérieure 203 formant la base du « U » et les parois latérales 201, 202 formant les branches du « U ». Ainsi, la paroi supérieure 203, la paroi transversale 204 et les parois latérales 201, 202 délimitent un volume qui forme la zone de réception 205 du connecteur 7 et de la lame d’essuyage 8. On note aussi que la paroi supérieure 203 est indifféremment plane ou sensiblement bombée, et que les parois latérales 201, 202 sont aussi indifféremment planes ou sensiblement bombées. Enfin, la longueur des parois latérales 201, 202 est avantageusement égale à la longueur de la paroi supérieure 203, mais celle-ci peut également être inférieure à la longueur de la paroi supérieure 203.

La deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 comporte une première ouverture 206 qui est ménagée en-vis-à-vis de la paroi supérieure 203 et à travers laquelle émerge la lame d’essuyage 8, non visible sur la figure 5.

On note aussi, en se reportant à la figure 4, que la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 comporte une deuxième ouverture 207 ménagée en vis-à-vis de la paroi transversale 204 et à travers laquelle la première partie 100 du bras d’entraînement 3 s’étend. On note aussi que l’embout 12 équipe l’enceinte 11 en une zone de cette dernière située au plus proche de la deuxième ouverture 207.

L’enceinte 11 est délimitée par un cylindre 17 qui s’étend selon l’axe d’allongement A4 de l’enceinte 11 qui est parallèle au premier axe principal d’allongement A1 de la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3. Le cylindre 17 est relié à la première paroi latérale 201 par l’intermédiaire d’une portion de liaison 18 qui est interposée entre la première paroi latérale 201 et le cylindre 17. Le cylindre 17 et la portion de liaison 18 comportent un côté 19 qui s’étend dans un premier plan latéral P3 qui est confondu avec un deuxième plan latéral P4 à l’intérieur duquel s’étend la première ouverture 206 de la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3. Le côté 19 est pourvu des orifices de projection 16 à travers lesquels le liquide 10 est projeté sur la surface à essuyer 2, de telle sorte que ces orifices de projection 16 sont ménagés au plus près de la surface à essuyer 2 de manière à ce qu’une distance entre les orifices de projection 16 et la surface à essuyer 2 soit la plus petite possible, tel qu’illustré sur la figure 6. Ces dispositions améliorent un nettoyage de la surface à essuyer 2 tout en réduisant la quantité de liquide 10 projetée sur la surface à essuyer 2.

Les orifices de projection 16 sont aptes à projeter le liquide 10 selon une direction D qui est orthogonale à l’axe d’allongement A4 de l’enceinte 11 et au plan de surface P6 à l’intérieur duquel s’étend la surface à essuyer 2.

Sur la figure 6, le connecteur 7 est rapporté sur la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 par l’intermédiaire de moyens de basculement 20 qui permette une bascule du connecteur 7 par rapport à la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 dans le plan de basculement P à l’intérieur duquel la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 est apte à basculer par rapport à la première partie 100 du bras d’entraînement 3. Les moyens de basculement 20 comprennent un arbre de basculement 21 qui est ménagé entre la première paroi latérale 201 et la deuxième paroi latérale 202 à l’intérieur de la zone de réception 205. L’arbre de basculement 21 s’étend selon un axe de basculement A5 qui est orthogonal au premier axe principal d’allongement A1 et parallèle au premier plan latéral P3 et au deuxième plan latéral P4.

Les moyens de basculement 20 comprennent également deux paliers 22 ménagés dans deux montants 73 que comprend le connecteur 7. Les paliers 22 sont configurés pour recevoir l’arbre de basculement 21 et permettre ainsi une bascule du connecteur 7 par rapport à la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 à l’intérieur de la zone de réception 205 et dans le plan de basculement P. Les montants 73 sont ménagés dans des plans parallèles l’un à l’autre et orthogonaux à l’axe de basculement A5.

Sur la figure 7, les montants 73 sont portés par un corps 74 que comprend le connecteur 7. Le corps 74 est pourvu d’une rainure longitudinale 75 qui s’étend parallèlement au deuxième axe principal d’allongement A2 entre la première extrémité longitudinale de connecteur 71 et la deuxième extrémité longitudinale de connecteur 72. La rainure longitudinale 75 est agencée en « T » et comprend un pied de rainure 75a et deux bras de rainure 75b orthogonaux au pied de rainure 75a. Le pied de rainure 75a s’étend dans un plan de symétrie P5 du connecteur 7 qui est confondu avec le plan de basculement P. Le pied de rainure 75a est débouchant à travers une face de connecteur 76 s’étendant dans un plan qui est perpendiculaire au plan de symétrie P5 et parallèle à un plan dans lequel s’étendent les bras de rainure 75b. La rainure longitudinale 75 reçoit un talon 83 de la lame d’essuyage 8. Plus particulièrement, la rainure longitudinale 75 est délimitée par une surface interne de rainure 77 qui est directement en contact avec une surface externe de talon 84. Autrement dit, aucun élément n’est interposé entre la surface interne de rainure 77 et la surface externe de talon 84. On comprend en cela qu’aucun renfort, tel qu’une lame métallique ou analogue, n’est disposé entre la surface interne de rainure 77 et la surface externe de talon 84. Autrement dit, la surface interne de rainure 77 jouxte la surface externe de talon 84 sur toute la longueur du connecteur 7 et de la lame d’essuyage 8. Cette caractéristique est permise, bien que la lame d’essuyage 8 soit réalisée en une matière souple, caoutchouc notamment ou analogue, en raison du fait que la deuxième longueur L2 et la troisième longueur L3 sont de l’ordre de quelques centimètres et que ces petites dimensions évitent que le talon 83 de la lame d’essuyage 8 ne se vrille le long de la rainure longitudinale 75 et évitent ainsi une échappée du talon 83 hors de la rainure longitudinale 75.

La lame d’essuyage 8 comprend un renfort 85 qui est en contact avec la face de connecteur 76, le renfort 85 présentant par exemple un profil transversal en « H » pour conforter un maintien du talon 83 à l’intérieur de la rainure longitudinale 75.

La lame d’essuyage 8 comprend une charnière 86 qui est interposée entre le renfort 85 et un élément de frottement 87. La charnière 86 forme un axe de bascule de l’élément de frottement 87 qui est la partie de la lame d’essuyage 8 destinée à venir en contact de la surface à essuyer 2. A cet effet, l’élément de frottement 87 est effilé et comprend une pointe 88 agencée en biseau pour minimiser un effort de traînée de l’élément de frottement 87 contre la surface à essuyer 2.

Sur la figure 8, les paliers 22 sont ménagés à mi-distance entre la première extrémité longitudinale de connecteur 71 et la deuxième extrémité longitudinale de connecteur 72. Chaque montant 73 comprend un couple de fentes transversales 78 réparti de part et d’autre du palier pour permettre une déformation du montant 73 lors de l’introduction à l’intérieur des paliers 22 et/ou lors du retrait de l’arbre de basculement 21 hors des paliers 22.

Sur la figure 9, chaque paroi latérale 201, 202 de la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 comporte une face interne latérale 209 qui borde la zone de réception 205 et qui est équipée d’un couple de butée 210 contre laquelle une rampe 79 du connecteur 7, visible sur la figure 8, peut venir en contact, lors d’un basculement du connecteur 7 à l’intérieur de la zone de réception 205. De préférence, les butées 210 d’un même couple de butée 210 sont réparties de part et d’autre de l’arbre de basculement 21.

Sur la figure 10, la première partie 100 du bras d’entraînement 3 comprend une bague 101 qui est destinée à enserrer l’organe de mise en mouvement 5, comme cela est visible sur la figure 1. La bague 101 délimite un logement 102 qui reçoit l’organe de mise en mouvement 5. Le logement 102 est par exemple conformé en un cylindre d’axe de révolution A6 afin de loger l’organe de mise en mouvement 5 qui est agencé en un tore, comme décrit ci-après.

La première partie 100 du bras d’entraînement 3 comprend deux bras de liaison 103 qui sont solidaires de la bague 101. Les bras de liaison 103 sont parallèles entre eux et s’étendent selon un axe de bras A7 qui est orthogonal à l’axe de révolution A6 de la bague 101. Autrement dit, les bras de liaison 103 sont des bras radiaux par rapport à la bague 101. Chaque bras de liaison 103 s’étend entre une première extrémité de bras 104 reliée à la bague 101 et une deuxième extrémité de bras 105 qui est une extrémité libre du bras de liaison 103. Les deux bras de liaison 103 sont reliés l’un à l’autre par un élément de renfort 106 dont les extrémités sont disposées entre la première extrémité de bras 104 et la deuxième extrémité de bras 105.

Chaque deuxième extrémité de bras 105 est pourvue d’un premier orifice de liaison 31 ménagé à travers le bras de liaison 103. Les premiers orifices de liaison 31 sont ménagés en vis-à-vis l’un de l’autre et sont conformés en un cylindre d’axe de symétrie A8 qui est orthogonal à l’axe de bras A7 et parallèle à l’axe de révolution A6 du logement 102 de la bague 101.

Sur la figure 11, la première partie 100 du bras d’entraînement 3 est relié à la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 par l’intermédiaire de moyens d’articulation 30 de la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 sur les bras de maintien 103.

Les moyens d’articulation 30 comprennent un arbre d’articulation 33 qui est logé à l’intérieur des premiers orifices de liaison 31, visibles sur la figure 9, et qui est logé à l’intérieur de deuxièmes orifices de liaison 32 ménagés à travers la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3, également visibles sur la figure 2. Plus particulièrement, les deuxièmes orifices de liaison 32 sont ménagés à travers la première paroi latérale 201 et la deuxième paroi latérale 202 à proximité de la deuxième ouverture 207 à travers laquelle les deuxièmes extrémités de bras 105 sont logées.

Les deuxièmes orifices de liaison 32 sont par exemple de conformation similaire à celle des premiers orifices de liaison 31 pour recevoir l’arbre d’articulation 33. Ainsi, les deuxièmes orifices de liaison 32 sont également préférentiellement cylindriques et d’axe de symétrie A8. On comprend que l’axe de symétrie A8 constitue un axe d’articulation de la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 sur la première partie 100 du bras d’entraînement 3, cet axe d’articulation A8 permettant un basculement de la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 par rapport à la première partie 100 du bras d’entraînement 3 à l’intérieur du plan de basculement P. On note que l’axe d’articulation A8 est orthogonal au premier axe principal d’allongement A1 de la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3.

Sur la figure 12, l’arbre d’articulation 33 est équipé de moyen de renvoi 34 de la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 en une position d’utilisation dans laquelle la pointe 88 de la lame d’essuyage 8 est en contact avec la surface à essuyer 2. Le moyen de renvoi 34 est un ressort de torsion enroulé autour de l’arbre d’articulation 33 dont une première extrémité de ressort 341 est en appui contre une face interne supérieure 208 de la paroi supérieure 203 de la deuxième partie 200 du bras d’entraînement 3 et dont une deuxième extrémité de ressort 342 est en appui contre l’élément de renfort 106. On note que la face interne supérieure 208 de la paroi supérieure 203 est celle qui borde la zone de réception 205.

Les moyens de mise en mouvement 4 sont aptes à déplacer le bras d’entraînement 3 selon un mouvement de va-et-vient 47 le long de la surface à essuyer 2. Sur la figure 13, le mouvement de va-et-vient 47 est dimensionné de manière à ce que la lame d’essuyage du système d’essuyage 1 balaye la totalité de la surface à essuyer 2 qui est porté par un support 49. De préférence, les moyens de projection 9 de liquide 10 sont mis en œuvre lorsque le système d’essuyage 1 circule selon le sens horaire la première paroi latérale 201 (visible sur la figure 12) pourvue des moyens de projection 9 étant une paroi située à gauche du système d’essuyage selon la variante illustrée sur cette figure.

Telle qu'elle vient d'être décrite, l’invention atteint bien les buts qu'elle s'était fixés, en permettant un nettoyage efficace et fiable d’une surface vitrée d’un système de détection.

L’invention ne saurait toutefois se limiter aux moyens et configurations exclusivement décrits et illustrés, et s’applique également à tous moyens ou configurations, équivalents et à toute combinaison de tels moyens ou configurations.

Claims (10)

1. Bras d’entraînement (3) d’un système d’essuyage (1) d’une surface à essuyer (2) comportant :
   - une première partie (100) configurée pour être couplée à des moyens de mise en mouvement (4) du bras d’entraînement (3), et
   - une deuxième partie (200) couplée à la première partie (100) et configurée pour couvrir l’intégralité d’une lame d’essuyage (8) destinée à venir en appui contre la surface à essuyer (2), la deuxième partie (200) comprenant au moins une paroi supérieure (203) qui joint deux parois latérales (201, 202), la paroi supérieure (203) et les parois latérales (201, 202) délimitant une zone de réception (205) de la lame d’essuyage (8),
   caractérisé en ce que le bras d’entraînement (3) comporte des moyens de projection (9) d’un liquide (10) solidaires d’au moins une des parois latérales (201, 202) de la deuxième partie (200).
2. Bras d’entraînement (3) selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens de projection (9) comprennent une enceinte (11) de réception du liquide (10) formée le long de ladite au moins une des parois latérales (201, 202).
3. Bras d’entraînement (3) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que les moyens de projection (9) comprennent au moins un orifice de projection (16) du liquide (10) configuré pour projeter le liquide (10) sur la surface à essuyer (2).
4. Bras d’entraînement (3) selon les revendications 2 et 3, caractérisé en ce qu’au moins un orifice de projection (16) est ménagé sur un côté (19) de l’enceinte (11) qui s’étend dans un premier plan latéral (P3) qui est parallèle à un deuxième plan latéral (P4) dans lequel s’étend une première ouverture (206) de la deuxième partie (200) du bras d’entraînement (3).
5. Bras d’entraînement (3) selon la revendication 4, caractérisé en ce que le premier plan latéral (P3) est confondu avec le deuxième plan latéral (P4).
6. Bras d’entraînement (3) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la première partie (100) du bras d’entraînement (3) comprend au moins une bague (101) apte à enserrer un organe de mise en mouvement (5) constitutif des moyens de mise en mouvement (4).
7. Bras d’entraînement (3) selon la revendication 6, caractérisé en ce que la première partie (100) du bras d’entraînement (3) comprend au moins un bras de liaison (103) qui est solidaire de la bague (101) et qui est relié à la deuxième partie (200) du bras d’entraînement (3) par l’intermédiaire de moyens d’articulation (30) de la deuxième partie (200) du bras d’entraînement (3) sur la première partie (100) du bras d’entraînement (3).
8. Bras d’entraînement (3) selon la revendication 7, caractérisé en ce que le bras de liaison (103) s’étend selon un axe de bras (A7) qui est orthogonal à un axe de révolution (A6) de la bague (101).
9. Système d’essuyage (1) d’une surface à essuyer (2) comprenant au moins un bras d’entraînement (3) selon l’une quelconque des revendications précédentes, une lame d’essuyage (8) et un connecteur (7) interposé entre la lame d’essuyage (8) et la deuxième partie (200) du bras d’entraînement (3), le connecteur (7) étant relié au bras d’entraînement (3) par l’intermédiaire de moyens de basculement (20) du connecteur (7) disposés à l’intérieur de la zone de réception (205).
10. Système d’essuyage (1) selon la revendication 9, caractérisé en ce que le connecteur (7) comporte une rainure longitudinale (75) qui loge un talon (83) de la lame d’essuyage (8).