FR3091885A1 - Ensemble pour toilettes comprenant un joint annulaire d’étanchéité intercalé entre le réservoir et la cuvette - Google Patents
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Abstract
Ensemble pour toilettes comprenant un joint annulaire d’étanchéité intercalé entre le réservoir et la cuvette L’invention concerne un ensemble pour toilettes comprenant :- une cuvette (1) ;- un réservoir (2) d’eau de toilettes ;- un mécanisme de chasse d’eau (3) comprenant un bâti (30) destiné à être inséré à l’intérieur du réservoir, le bâti présentant une partie tubulaire (300) ;- un joint annulaire (4) d’étanchéité entre la cuvette et le réservoir. Figure pour l’abrégé : Fig. 1
Description
Le domaine de l’invention est celui de la conception et de la fabrication des équipements sanitaires.
Plus précisément, l’invention concerne un ensemble pour toilettes comprenant un réservoir, une cuvette, un mécanisme de chasse d’eau destiné à être monté dans le réservoir d’eau de toilettes, ainsi qu’un joint d’étanchéité entre le réservoir et la cuvette.
Dans le domaine de l’invention, il est classique de proposer des mécanismes de chasse d’eau comprenant un bâti à monter dans le réservoir d’eau des toilettes. Le bâti comprend des moyens d’obturation d’un orifice d’évacuation d’eau ménagé dans un fond du réservoir d’eau, et au travers duquel l’eau du réservoir peut être évacuée en vue d’être déversée dans la cuvette.
Lors du montage du réservoir d’eau sur la cuvette, l’orifice d’évacuation d’eau est destiné à être positionné en regard d’un passage d’admission d’eau de la cuvette.
Lors de l’actionnement du mécanisme de chasse d’eau, les moyens d’obturation libèrent l’orifice d’évacuation d’eau du réservoir. A cet instant, l’eau s’écoule dans le passage d’admission d’eau de la cuvette.
Le bâti du mécanisme de chasse d’eau doit ainsi être couplé à l’intérieur du réservoir d’eau de toilettes de manière fixe.
Selon une conception classique, le bâti présente :
- une base destinée à reposer sur le fond du réservoir d’eau ;
- une partie tubulaire s’étendant vers le bas depuis la base.
- une base destinée à reposer sur le fond du réservoir d’eau ;
- une partie tubulaire s’étendant vers le bas depuis la base.
Lors du montage du bâti dans le réservoir, la partie tubulaire est destinée à être insérée au travers de l’orifice d’évacuation d’eau.
La partie tubulaire du bâti présente un filetage sur sa face externe. Ce filetage est destiné à permettre le vissage d’un écrou, depuis l’extérieur du réservoir, de manière à enserrer le fond du réservoir entre la base du bâti et l’écrou. Ce système de maintien permet de fixer le bâti à l’intérieur du réservoir.
Suite au montage du réservoir d’eau de toilettes sur la cuvette, la partie tubulaire est alors en regard du passage d’admission d’eau de la cuvette.
Le réservoir est solidarisé à la cuvette généralement par une paire de vis/écrous.
De cette façon, suite au déclenchement du mécanisme de chasse d’eau, l’eau s’écoule au travers de la partie tubulaire jusque dans le passage d’admission d’eau de la cuvette.
La conception de ce type d’ensemble pour toilettes nécessite l’utilisation de différents joints d’étanchéité.
Un premier joint d’étanchéité doit ainsi être positionné entre la base du bâti et le fond du réservoir d’eau de manière à assurer une étanchéité entre le bâti et le fond du réservoir d’eau. Il est ainsi évité que de l’eau s’écoule entre la base du bâti et l’orifice d’évacuation d’eau du réservoir d’eau, autour de la partie tubulaire.
Un deuxième joint d’étanchéité doit également être positionné entre la cuvette et le réservoir.
Ce deuxième joint d’étanchéité présente une taille suffisante pour laisser passer la partie tubulaire ainsi que l’écrou, et :
- une surface supérieure destinée à établir une liaison étanche avec le réservoir ;
- une surface inférieure destinée à établir une liaison étanche avec le passage d’admission d’eau de la cuvette.
- une surface supérieure destinée à établir une liaison étanche avec le réservoir ;
- une surface inférieure destinée à établir une liaison étanche avec le passage d’admission d’eau de la cuvette.
Un tel exemple d’ensemble pour toilettes présente différents inconvénients.
Il peut en premier lieu être noté que cet ensemble nécessite l’utilisation de différentes pièces impliquant un montage pouvant être considéré comme fastidieux. Il peut ainsi être également considéré que le montage de l’ensemble pour toilettes peut être simplifié.
Un deuxième inconvénient relatif au nombre de pièces réside dans le coût résultant de la production et des besoins logistiques (transport, stockage, …) de l’ensemble.
L’invention a notamment pour objectif de pallier les inconvénients de l’art antérieur.
Plus précisément, l’invention a pour objectif de proposer un ensemble pour toilettes permettant un montage plus rapide et plus simple que ce qui est permis par les ensembles sanitaires selon l’art antérieur.
L’invention a également pour objectif de fournir un tel ensemble qui présente un coût de fabrication moins élevé que celui des ensembles selon l’art antérieur.
Ces objectifs, ainsi que d’autres qui apparaitront par la suite, sont atteints par l’invention qui a pour objet un ensemble pour toilettes comprenant :
- une cuvette présentant un passage d’admission d’eau ;
- un réservoir d’eau de toilettes présentant un orifice d’évacuation d’eau, le réservoir étant destiné à être assemblé sur la cuvette, l’orifice d’évacuation d’eau du réservoir en regard du passage d’admission d’eau de la cuvette ;
- un mécanisme de chasse d’eau comprenant un bâti destiné à être inséré à l’intérieur du réservoir, le bâti présentant une partie tubulaire destinée à être insérée au travers de l’orifice d’évacuation ;
- un joint annulaire d’étanchéité entre la cuvette et le réservoir,
le joint annulaire présentant :
- un évidement central délimité par une paroi centrale et formant logement pour la partie tubulaire du bâti ;
- une surface supérieure destinée à établir une liaison étanche avec le réservoir ;
- une surface inférieure destinée à établir une liaison étanche avec le passage d’admission d’eau de la cuvette ;
caractérisé en ce que le joint annulaire est élastiquement déformable entre :
- un état non comprimé dans lequel l’évidement central autorise l’engagement de la partie tubulaire dans l’évidement central ;
- un état comprimé dans lequel l’évidement central est comprimé de manière centripète contre la partie tubulaire et exerce une action en retenue de la partie tubulaire dans le joint annulaire,
le joint annulaire passant de l’état non comprimé à l’état comprimé par le rapprochement du réservoir et de la cuvette.
- une cuvette présentant un passage d’admission d’eau ;
- un réservoir d’eau de toilettes présentant un orifice d’évacuation d’eau, le réservoir étant destiné à être assemblé sur la cuvette, l’orifice d’évacuation d’eau du réservoir en regard du passage d’admission d’eau de la cuvette ;
- un mécanisme de chasse d’eau comprenant un bâti destiné à être inséré à l’intérieur du réservoir, le bâti présentant une partie tubulaire destinée à être insérée au travers de l’orifice d’évacuation ;
- un joint annulaire d’étanchéité entre la cuvette et le réservoir,
le joint annulaire présentant :
- un évidement central délimité par une paroi centrale et formant logement pour la partie tubulaire du bâti ;
- une surface supérieure destinée à établir une liaison étanche avec le réservoir ;
- une surface inférieure destinée à établir une liaison étanche avec le passage d’admission d’eau de la cuvette ;
caractérisé en ce que le joint annulaire est élastiquement déformable entre :
- un état non comprimé dans lequel l’évidement central autorise l’engagement de la partie tubulaire dans l’évidement central ;
- un état comprimé dans lequel l’évidement central est comprimé de manière centripète contre la partie tubulaire et exerce une action en retenue de la partie tubulaire dans le joint annulaire,
le joint annulaire passant de l’état non comprimé à l’état comprimé par le rapprochement du réservoir et de la cuvette.
Grâce à l’ensemble pour toilettes selon l’invention, la fixation du bâti à l’intérieur du réservoir est obtenu par l’opération de montage du réservoir d’eau de toilettes sur la cuvette, simplement par la présence du joint annulaire placé entre le réservoir et la cuvette.
En effet, l’installation du réservoir d’eau de toilettes sur la cuvette permet de comprimer le joint annulaire le faisant passer de son état non comprimé à son état comprimé. Ainsi, selon le principe de l’invention, le joint annulaire comprimé contre la partie tubulaire exerce une action en retenue de la partie tubulaire dans le joint. Le bâti est alors couplé de manière fixe à l’intérieur du réservoir d’eau de toilettes.
Tout en maintenant le bâti, ce joint unique crée également une étanchéité globale entre la cuvette et le réservoir d’une part, ainsi que, d’autre part, entre la partie tubulaire du mécanisme de chasse d’eau et le réservoir.
Un tel ensemble pour toilettes se révèle ainsi simple et rapide à mettre en œuvre.
De plus, cet ensemble pour toilettes présente une conception impliquant un nombre limité de pièces par rapport aux ensembles pour toilettes selon l’art antérieur. La fabrication de l’ensemble pour toilettes selon l’invention est ainsi moins coûteuse.
Selon une caractéristique préférentielle, le joint annulaire comprend un volume annulaire creux entourant la paroi centrale et s’étendant entre la paroi centrale, la surface inférieure et la surface supérieure.
En d’autres termes, le joint annulaire est alors creux.
Ce joint annulaire présente alors une conception nécessitant moins de matière par rapport à une conception pleine en matière.
Le joint annulaire est ainsi moins coûteux à produire.
De plus, le joint annulaire présente alors une capacité en déformation plus importante.
Dans ce cas, avantageusement, le joint annulaire présente une ouverture périphérique sur une face radialement externe, l’ouverture périphérique communiquant avec le volume annulaire creux, et étant délimitée par une extrémité libre de la surface supérieure et une extrémité libre de la surface inférieure.
Le joint annulaire est alors plus facile à produire. En effet, il peut alors être aisément « démoulé », suite à une fabrication par moulage.
Selon une solution préférentielle, dans l’état non comprimé du joint annulaire, la surface supérieure et la surface inférieure présentent une symétrie axiale de révolution autour d’un axe central du joint annulaire, la surface supérieure et la surface inférieure présentant chacune une section comprenant :
- une portion plane s’étendant à partir de la paroi centrale, perpendiculairement à l’axe central du joint annulaire ;
- une portion courbe s’étendant à partir de la portion plane, la portion courbe de l’une de la surface supérieure et de la surface inférieure s’étendant depuis la portion plane en s’incurvant en direction de l’autre de la surface supérieure et de la surface inférieure.
- une portion plane s’étendant à partir de la paroi centrale, perpendiculairement à l’axe central du joint annulaire ;
- une portion courbe s’étendant à partir de la portion plane, la portion courbe de l’une de la surface supérieure et de la surface inférieure s’étendant depuis la portion plane en s’incurvant en direction de l’autre de la surface supérieure et de la surface inférieure.
Cette conception du joint annulaire permet d’assurer une étanchéité entre la cuvette et le réservoir pour des orifices d’évacuation d’eau et des passages d’admission d’eau de taille et de forme variable.
En effet, si par exemple un passage d’admission d’eau présente une forme avec un diamètre pouvant varier entre deux types de modèles de cuvettes, alors le joint d’étanchéité peut quand même se positionner correctement et assurer le maintien du bâti et l’étanchéité.
Selon un mode de réalisation préférentielle, la surface supérieure et la surface inférieure présentent chacune un épaulement à leur extrémité libre, les épaulements s’étendant perpendiculairement à l’axe central du joint annulaire.
Ces épaulements permettent au joint d’étanchéité de présenter une surface plane d’appui pour la cuvette et pour le réservoir d’eau, ces surfaces planes d’appui pouvant venir en contact avec l’un ou l’autre de ces éléments de l’ensemble pour toilettes lors de la compression du joint.
Préférentiellement, dans l’état non comprimé du joint annulaire, la surface supérieure et la surface inférieure sont symétriques l’une par rapport à l’autre selon un plan de symétrie perpendiculaire à l’axe central du joint annulaire.
Selon cette conception, le joint annulaire peut être utilisé indifféremment dans un sens ou dans l’autre sens.
L’installateur de l’ensemble pour toilettes n’a ainsi pas à se soucier de positionner le joint d’étanchéité selon un sens prédéterminé.
L’installation est ainsi plus facile et plus rapide à réaliser.
Selon une conception préférée, la partie tubulaire présente un biseau périphérique sur sa face radialement externe et à son extrémité inférieure.
De cette manière, l’insertion de la partie tubulaire au travers de l’évidement central du joint annulaire est plus aisée.
Selon une autre conception préférée, la partie tubulaire présente un bourrelet sur sa face radialement externe et à son extrémité inférieure.
Un tel bourrelet permet d’améliorer la capacité du joint annulaire à retenir la partie tubulaire dans le joint quand le joint annulaire est dans son état comprimé.
En effet, dans ce cas, le bourrelet forme une butée allant à l’encontre d’une extraction de la partie tubulaire logé dans le joint annulaire.
Dans ce cas, selon une caractéristique préférée, le bourrelet présente un diamètre extérieur supérieur à un diamètre intérieur de l’évidement central dans l’état non déformé du joint annulaire.
Selon cette conception, la partie tubulaire du bâti doit être insérée en force à l’intérieur du joint annulaire. Par la suite, dans l’état non comprimé du joint annulaire, il existe d’ores et déjà une action en retenue de la partie tubulaire dans le joint.
Cette conception permet par exemple l’insertion de la partie tubulaire au travers de l’orifice d’évacuation d’eau du réservoir d’eau, puis la mise en place du joint annulaire d’étanchéité sur la partie tubulaire qui dépasse du réservoir d’eau. Dès lors, le réservoir d’eau, le bâti et le joint d’étanchéité forment un tout se maintenant ensemble. Un installateur peut alors se saisir du réservoir d’eau et le mettre en position sur la cuvette pour réaliser le montage. Le joint d’étanchéité, lors de cette manœuvre, reste en position, et n’a alors pas tendance à se séparer de la partie tubulaire.
Avantageusement, la partie tubulaire présente sur sa face radialement externe au moins une portion annulaire lisse destinée à coopérer avec le joint annulaire pour établir une liaison étanche.
Une telle portion annulaire lisse optimise la réalisation d’une liaison étanche avec le joint annulaire, qui bien entendu, présente une surface radialement interne complémentaire de la face radialement externe de la partie tubulaire.
D’autres caractéristiques et avantages de l’invention apparaîtront plus clairement à la lecture de la description suivante de deux modes de réalisation préférentiels de l’invention, donnés à titre d’exemples illustratifs et non limitatifs, et des dessins annexés parmi lesquels :
En référence à la figure 1, un ensemble pour toilettes selon l’invention comprend :
- une cuvette 1 (représentée de manière simplifiée) ;
- un réservoir 2 d’eau de toilettes (également représenté de manière simplifiée) ;
- un mécanisme de chasse d’eau 3 ;
- un joint annulaire 4 d’étanchéité entre la cuvette 1 et le réservoir 2.
- une cuvette 1 (représentée de manière simplifiée) ;
- un réservoir 2 d’eau de toilettes (également représenté de manière simplifiée) ;
- un mécanisme de chasse d’eau 3 ;
- un joint annulaire 4 d’étanchéité entre la cuvette 1 et le réservoir 2.
La cuvette 1 comprend une partie support 10 destinée à supporter le réservoir 2.
La partie support 10 présente un passage d’admission d’eau 100 au travers duquel de l’eau en provenance du réservoir 2 d’eau de toilettes est susceptible de s’évacuer en direction d’un bol (non représenté) de la cuvette 1.
Selon le présent mode de réalisation, l’extrémité supérieure du passage d’admission d’eau 100 présente un évasement 101 destiné à coopérer avec le joint annulaire 4, comme détaillé ci-après.
Le réservoir 2 d’eau de toilettes est destiné à être assemblé sur la cuvette 1, et plus précisément sur le support 10.
A cet effet, l’ensemble pour toilettes comprend également des moyens de fixation 5 du réservoir 2 d’eau de toilettes sur la cuvette 1.
Ces moyens de fixation 5 comprennent notamment deux vis 50 permettant le rapprochement du réservoir 2 sur la cuvette 1, et leur fixation l’un à l’autre.
Le réservoir 2 d’eau de toilettes comprend un fond 20 ainsi qu’une paroi périphérique 21 s’étendant à partir du fond.
Le fond 20 présente un orifice d’évacuation d’eau 200.
Pendant et suite à l’assemblage du réservoir 2 sur la cuvette 1, l’orifice d’évacuation d’eau 200 du réservoir 2 est en regard du passage d’admission d’eau 100 de la cuvette 1.
Le mécanisme de chasse d’eau 3 comprend un bâti 30.
Ce bâti 30 est destiné à être inséré à l’intérieur du réservoir 2 et à présenter, notamment, des moyens d’obturation de l’orifice d’évacuation d’eau 200. Ces moyens d’obturation assument une position d’obturation de l’orifice d’évacuation d’eau 200 et au moins une position de libération de cet orifice d’évacuation d’eau 200 pour réaliser une chasse d’eau.
Le bâti 30 est destiné à être inséré à l’intérieur du réservoir et à y être fixé.
A cet effet, le bâti 30 présente une partie tubulaire 300.La partie tubulaire 300 est située à l’extrémité inférieure du bâti 30.
Cette partie tubulaire 300 vient prendre place au travers de l’orifice d’évacuation 200 du réservoir 2 d’eau de toilettes.
Tel qu’évoqué précédemment, et en référence aux figures 1 à 5b, l’ensemble pour toilettes comprend un joint annulaire 4 d’étanchéité positionné entre la cuvette 1 et le réservoir 2.
Ce joint annulaire 4 comprend :
- une paroi centrale 400 délimitant un évidement central 40 ;
- une lèvre supérieure 41 ;
- une lèvre inférieure 42.
- une paroi centrale 400 délimitant un évidement central 40 ;
- une lèvre supérieure 41 ;
- une lèvre inférieure 42.
L’évidement central 40 forme un logement pour la partie tubulaire 300 du bâti 30. L’évidement central 40 est notamment de forme essentiellement cylindrique selon le présent mode de réalisation.
La lèvre supérieure 41 s’étend radialement autour de la paroi centrale 400, à partir d’une extrémité supérieure de la paroi centrale 400.
La lèvre inférieure 42 s’étend radialement à partir d’une extrémité inférieure de la paroi centrale 400.
Plus précisément, le joint annulaire 4 présente une surface supérieure 410 portée par la lèvre supérieure 41, ainsi qu’une surface inférieure 420 portée par la lèvre inférieure 42.
La surface supérieure 410 est destinée à être orientée en direction du réservoir 2, et est destinée à établir une liaison étanche avec ce réservoir 2.
La surface inférieure 420 est quant à elle destinée à être orientée vers la cuvette 1, et est destinée à établir une liaison étanche avec le passage d’admission d’eau 100 de la cuvette 1.
Selon le principe de l’invention, le joint annulaire 4 est élastiquement déformable entre :
- un état non comprimé ;
- au moins un état comprimé.
- un état non comprimé ;
- au moins un état comprimé.
Dans son état non comprimé, l’évidement central 40 autorise l’engagement de la partie tubulaire 300 du bâti 30 à l’intérieur de l’évidement central 40.
Dans un état comprimé du joint annulaire 4, l’évidement central 40 est alors déformé de manière centripète.
En effet, tel qu’évoqué précédemment l’évidement central 40 est de forme essentiellement cylindrique.
Plus précisément, l’évidement central 40 et la paroi centrale 400 présentent une forme conçue pour provoquer une déformation centripète de l’évidement central 40 lors d’une compression du joint annulaire entre le réservoir 2 et la cuvette 1.
Selon le présent mode de réalisation, cet effet est obtenu par un galbe peu prononcé de la paroi centrale 400 (c’est-à-dire un galbe qui présente une section avec un rayon de courbure très important), entraînant :
- une diminution du diamètre interne de l’évidement central 40 à mi-hauteur de cet évidement central 40, dans la situation où il n’y a pas d’élément dans l’évidement central 40 ;
- un serrage de l’évidement central 40 contre la partie tubulaire 300 dans la situation où cette partie tubulaire 300 est insérée dans l’évidement central 40.
- une diminution du diamètre interne de l’évidement central 40 à mi-hauteur de cet évidement central 40, dans la situation où il n’y a pas d’élément dans l’évidement central 40 ;
- un serrage de l’évidement central 40 contre la partie tubulaire 300 dans la situation où cette partie tubulaire 300 est insérée dans l’évidement central 40.
La face interne de la paroi centrale 400 qui définit l’évidement central 40 n’est ainsi pas parfaitement cylindrique et présente ainsi, à l’état non comprimé du joint annulaire 4, un diamètre interne à sa mi-hauteur qui est plus petit que ses diamètres internes à ses extrémités supérieure et inférieur.
En référence à la figure 3b, cet effet (de compression/serrage) est également renforcé par la présence d’arrondis 4000 aux extrémités supérieure et inférieure de la paroi centrale 400. L’écrasement du joint annulaire 4 (ou en d’autres termes le pincement du joint annulaire 4) vient comprimer la paroi centrale 400 et exercer une force qui tend à déployer les arrondis 4000 ainsi qu’à diminuer le rayon de courbure du galbe, ce qui correspond à une déformation centripète prédéterminée de cette paroi centrale 400.
De plus, selon une projection du joint annulaire 4 dans un plan perpendiculaire à un axe central C du joint annulaire (représenté sur les figures 3a et 3b), la projection des surfaces du joint annulaire 4 destinées à être en contact avec la cuvette 1 et le réservoir 2, est située en dehors de la projection de la paroi centrale 400. En complément du galbe de la paroi centrale 400, la disposition précédemment décrite contribue à la prédétermination de la déformation centripète lors du passage du joint de son état non comprimé à son état comprimé.
L’axe central C correspond essentiellement à un axe de révolution de la forme cylindrique dans laquelle s’inscrit le joint annulaire 4, ou qui est définie par le joint annulaire 4.
Ainsi, de manière plus générale, le joint annulaire 4 et la paroi centrale 400 présentent une conception permettant une déformation prédéterminée de la paroi centrale 400 vers l’intérieur de l’évidement central 40 lors d’une compression du joint annulaire 4.
Dans le cas où la partie tubulaire 300 est insérée à l’intérieur de l’évidement central 40, alors dans son état comprimé, le joint annulaire est également comprimé de manière centripète contre la partie tubulaire 300 et l’évidement central 40 exerce alors une action en retenue de la partie tubulaire 300 dans le joint annulaire 4.
Le changement d’état du joint annulaire 4, de son état non comprimé à son état comprimé, est réalisé lors du rapprochement du réservoir 2 et de la cuvette 1.
Plus précisément, le joint annulaire 4 est comprimé lors de l’assemblage du réservoir 2 sur la cuvette 1. Le joint annulaire 4 est ainsi comprimé selon l’axe central C du joint annulaire (représenté sur les figures 3a et 3b).
En d’autres termes, la face interne de la paroi centrale 400, qui définit l’évidement central 40, forme une surface de coopération avec la face externe de la partie tubulaire 300. Quand la partie tubulaire 300 est insérée dans l’évidement central et que le joint est dans son état comprimé, la surface de coopération exerce directement sur la partie tubulaire 300, sans élément intermédiaire et de manière circonférentielle, une compression et une liaison hermétique.
En référence aux modes de réalisation illustrés par les figures 2, 3a, 3b, 4a, et 5b, le joint annulaire 4 comprend également :
- un volume annulaire creux 43 qui entoure la paroi centrale 400 ;
- une ouverture périphérique 44 située sur une face radialement externe du joint annulaire 4, cette ouverture périphérique 44 communiquant avec le volume annulaire creux 43.
- un volume annulaire creux 43 qui entoure la paroi centrale 400 ;
- une ouverture périphérique 44 située sur une face radialement externe du joint annulaire 4, cette ouverture périphérique 44 communiquant avec le volume annulaire creux 43.
Le volume annulaire creux 43 entoure la paroi centrale 400 en s’étendant entre :
- la paroi centrale 400 ;
- la lèvre inférieure 42 ;
- la lèvre supérieure 41.
- la paroi centrale 400 ;
- la lèvre inférieure 42 ;
- la lèvre supérieure 41.
Le volume annulaire creux 43 s’étend ainsi entre la paroi centrale 400, la surface inférieure 420 et la surface supérieure 410.
L’ouverture périphérique 44 permet d’ouvrir le volume annulaire creux 43. Cette ouverture périphérique 44 est notamment délimitée par une extrémité libre de la surface supérieure 410 ainsi qu’une extrémité libre de la surface inférieure 420.
En référence aux figures 3a et 3b, chacune de la surface supérieure 410 et de la surface inférieure 420 présente une section ayant successivement depuis la paroi centrale 400 vers son extrémité libre (soit vers l’extérieur) :
- une portion plane 450 ;
- une portion courbe 451 ;
- un épaulement 452.
- une portion plane 450 ;
- une portion courbe 451 ;
- un épaulement 452.
Les portions planes 450 s’étendent à partir de la paroi centrale 400, et plus précisément à partir des arrondis 4000. Ces portions planes 450 s’étendent perpendiculairement par rapport à l’axe central C du joint annulaire 4.
Les portions courbes 451 s’étendent à partir des portions planes 450. Ces portions courbes 451 s’incurvent de manière à ce que le joint annulaire 4 présente une forme essentiellement arrondie sur sa périphérie.
En d’autres termes, l’une de la portion courbe 451 de la face supérieure 410 et de la portion courbe 451 de la surface inférieure 420 est incurvée en direction de l’autre de la face supérieure 410 et de la surface inférieure 420.
Quant à eux, les épaulements 452 sont situés aux extrémités libres de la surface supérieure 410 et de la surface inférieure 420. Ces épaulements 452 s’étendent depuis les portions courbes 451, perpendiculairement par rapport à l’axe central C du joint annulaire 4.
En référence aux figures 1, 4a, 4b et 4c, la portion courbe 451 ainsi que l’épaulement 452 optimisent le positionnement et le maintien du joint annulaire 4 sur l’évasement 101 du passage d’admission d’eau 100 de la cuvette 1.
Selon le présent mode de réalisation et en référence aux figures 2 à 5b, dans un état non comprimé du joint annulaire 4, la surface supérieure 410 et la surface inférieure 420 présentent une symétrie axiale de révolution autour de l’axe central C du joint annulaire 4.
De plus, la surface supérieure 410 et la surface inférieure 420 sont symétriques l’une par rapport à l’autre selon un plan de symétrie P (illustré sur la figure 4a) perpendiculaire à l’axe central C du joint annulaire 4.
Plus globalement et en référence à la figure 4a, le joint annulaire 4 présente une symétrie centrale selon un plan de symétrie perpendiculaire à l’axe central C du joint annulaire 4.
Le joint annulaire 4 peut ainsi être positionné aisément lors de l’installation de l’ensemble pour toilettes selon l’invention.
En effet, il n’y a ainsi pas de position ou de sens particulier à respecter pour mettre en place le joint annulaire 4.
Tel qu’illustré par les figures 2 et 3b, le joint annulaire 4 présente également des renforts 440 situés régulièrement le long de l’ouverture périphérique 44. Ces renforts 440 relient les extrémités libres de la surface supérieure 410 et de la surface inférieure 420.
Ces renforts 440 évitent un désaxement de la lèvre supérieure 41 par rapport à la lèvre inférieure 42 lors de la compression du joint annulaire 4.
Plus précisément, et en d’autres termes, ces renforts 440 permettent de s’assurer que la surface supérieure 410 conserve son alignement par rapport à la surface inférieure 420 lors de la compression du joint annulaire 4 selon l’axe central C.
Selon le mode de réalisation illustré par les figures 4a, 4b, 4c et 5b, la partie tubulaire 300 du bâti 30 présente un bourrelet 301 sur une face radialement externe de la partie tubulaire 300, à l’extrémité inférieure de la partie tubulaire 300.
Quand la partie tubulaire 300 est complètement engagée à l’intérieur de l’évidement central 40, et dans l’état comprimé du joint annulaire 4, ce bourrelet 301 forme une butée augmentant l’action en retenue exercée par le joint annulaire 4 de la partie tubulaire 300 dans le joint annulaire 4.
Selon le présent mode de réalisation illustré par la figure 5b, le bourrelet 301 présente un diamètre extérieur D1 qui est supérieur à un diamètre intérieur D2 de l’évidement central 40 dans l’état non déformé du joint annulaire 4.
De cette manière, la partie tubulaire 300 doit être enfoncée en force au travers de l’évidement central 40 du joint annulaire 4. Dès qu’elle est complètement enfoncée à l’intérieur de l’évidement central 40, la partie tubulaire 300, et ainsi le bâti 30, sont alors d’ores et déjà maintenus en position par le joint annulaire 4.
Le joint annulaire 4 exerce dès lors une première action en retenue de la partie tubulaire 300 dans le joint annulaire 4. Cet effort de retenue de la partie tubulaire 300 est renforcé lors du passage du joint annulaire de son état non comprimé à son état comprimé tel qu’expliqué précédemment.
Selon un autre mode de réalisation illustré par la figure 5a, la partie tubulaire 300 présente un biseau périphérique 302 sur sa face radialement externe et à son extrémité inférieure.
Selon les deux modes de réalisation illustrés par les figures 5a et 5b, la partie tubulaire 300 présente une portion annulaire lisse sur sa face radialement externe au-dessus du bourrelet 301 ou du biseau périphérique 302.
Ce biseau périphérique 302 simplifie l’enfoncement de la partie tubulaire 300 à l’intérieur du joint annulaire 4.
L’insertion du joint annulaire 4 sur la partie tubulaire 300 ne nécessite alors pas d’effort.
En référence à la figure 1 et à la figure 5b, l’ensemble pour toilettes peut être assemblé de la manière suivante.
Dans un premier temps, la cuvette 1 est raccordée à une évacuation et fixée au sol.
Indépendamment de l’installation de la cuvette, le bâti 30 est introduit à l’intérieur du réservoir 2 et la partie tubulaire 300 est introduite au travers de l’orifice d’évacuation d’eau 200 jusqu’à ce que le bâti arrive en butée.
En maintenant le bâti 30 dans cette position, la personne réalisant l’installation peut emboiter le joint annulaire 4 sur la partie tubulaire 300 qui émerge du réservoir 2. Cet emboitement est permis grâce au bourrelet 301.
L’installateur peut alors manipuler le réservoir 2 dans lequel est fixé le bâti 30 par le biais du joint annulaire 4. Le réservoir 2 est ensuite positionné sur la cuvette 1, l’orifice d’évacuation d’eau 200 du réservoir en regard du passage d’admission d’eau de la cuvette.
Les deux vis 50 des moyens de fixation 5 sont alors resserrées pour permettre le rapprochement du réservoir 2 sur la cuvette 1, et leur fixation l’un à l’autre.
Lors du rapprochement du réservoir 2 sur la cuvette 1, le joint annulaire 4 est comprimé, et son évidement central 40 est comprimé de manière centripète contre la partie tubulaire 300 du bâti 30.
La partie tubulaire 300 est alors retenue dans le joint annulaire 4, et le bâti 30 est assemblé dans réservoir 2.
Ce montage permet également d’assurer l’étanchéité entre le réservoir 2, le bâti 30, et la cuvette 1.
Selon un autre ordre de montage préférentiel, le joint annulaire 4 est d’abord posé sur la cuvette 1. Le réservoir 2 est ensuite positionné sur la cuvette 1 et les moyens de fixation 5 sont actionnés partiellement pour éviter que le réservoir 2 bascule de la cuvette.
Le bâti 30 est alors inséré dans le réservoir 2 et, plus précisément, la partie tubulaire 300 du bâti 30 est insérée au travers de l’orifice d’évacuation 200 et du joint annulaire 4.
Les moyens de fixation 5 sont enfin complétement actionnés pour fixer le réservoir 2 sur la cuvette 1. Il se produit alors une compression du joint annulaire 4 entre le réservoir 2 et la cuvette 1, le joint annulaire 4 se déformant et venant comprimer la partie tubulaire 300 du bâti 30.
Claims (9)
- Ensemble pour toilettes comprenant :
- une cuvette (1) présentant un passage d’admission d’eau (100),
- un réservoir (2) d’eau de toilettes présentant un orifice d’évacuation d’eau (200), le réservoir étant destiné à être assemblé sur la cuvette, l’orifice d’évacuation d’eau du réservoir en regard du passage d’admission d’eau de la cuvette ;
- un mécanisme de chasse d’eau (3) comprenant un bâti (30) destiné à être inséré à l’intérieur du réservoir, le bâti présentant une partie tubulaire (300) destinée à être insérée au travers de l’orifice d’évacuation ;
- un joint annulaire (4) d’étanchéité entre la cuvette et le réservoir,
le joint annulaire présentant :
- un évidement central (40) délimité par une paroi centrale (400) et formant logement pour la partie tubulaire du bâti ;
- une surface supérieure (410) destinée à établir une liaison étanche avec le réservoir ;
- une surface inférieure (420) destinée à établir une liaison étanche avec le passage d’admission d’eau de la cuvette ;
caractérisé en ce que le joint annulaire est élastiquement déformable entre :
- un état non comprimé dans lequel l’évidement central autorise l’engagement de la partie tubulaire dans l’évidement central ;
- un état comprimé dans lequel l’évidement central est comprimé de manière centripète contre la partie tubulaire et exerce une action en retenue de la partie tubulaire dans le joint annulaire,
le joint annulaire passant de l’état non comprimé à l’état comprimé par le rapprochement du réservoir et de la cuvette,
et en ce que le joint annulaire (4) comprend un volume annulaire creux (43) entourant la paroi centrale (400) et s’étendant entre la paroi centrale, la surface inférieure (420) et la surface supérieure (410). - Ensemble pour toilettes selon la revendication précédente, caractérisé en ce que le joint annulaire (4) présente une ouverture périphérique (44) sur une face radialement externe, l’ouverture périphérique communiquant avec le volume annulaire creux (43), et étant délimitée par une extrémité libre de la surface supérieure (410) et une extrémité libre de la surface inférieure (420).
- Ensemble pour toilettes selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que, dans l’état non comprimé du joint annulaire (4), la surface supérieure (410) et la surface inférieure (420) présentent une symétrie axiale de révolution autour d’un axe central (C) du joint annulaire, la surface supérieure et la surface inférieure présentant chacune une section comprenant :
- une portion plane (450) s’étendant à partir de la paroi centrale (400), perpendiculairement à l’axe central (C) du joint annulaire ;
- une portion courbe (451) s’étendant à partir de la portion plane, la portion courbe de l’une de la surface supérieure et de la surface inférieure s’étendant depuis la portion plane en s’incurvant en direction de l’autre de la surface supérieure et de la surface inférieure. - Ensemble pour toilettes selon les revendications 2 et 3, caractérisé en ce que la surface supérieure (410) et la surface inférieure (420) présentent chacune un épaulement (452) à leur extrémité libre, les épaulements s’étendant perpendiculairement à l’axe central (C) du joint annulaire (4).
- Ensemble pour toilettes selon l’une quelconque des revendications 3 et 4, caractérisé en ce que, dans l’état non comprimé du joint annulaire (4), la surface supérieure (410) et la surface inférieure (420) sont symétriques l’une par rapport à l’autre selon un plan de symétrie (P) perpendiculaire à l’axe central (C) du joint annulaire.
- Ensemble pour toilettes selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la partie tubulaire (300) présente un biseau périphérique (302) sur sa face radialement externe et à son extrémité inférieure.
- Ensemble pour toilettes selon l’une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que la partie tubulaire (300) présente un bourrelet (301) sur sa face radialement externe et à son extrémité inférieure.
- Ensemble pour toilettes selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le bourrelet (301) présente un diamètre extérieur (D1) supérieur à un diamètre intérieur (D2) de l’évidement central (40) dans l’état non déformé du joint annulaire (4).
- Ensemble pour toilettes selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la partie tubulaire (300) présente sur sa face radialement externe au moins une portion annulaire lisse destinée à coopérer avec le joint annulaire (4) pour établir une liaison étanche.
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|---|---|---|---|
| FR1900475A FR3091885B1 (fr) | 2019-01-18 | 2019-01-18 | Ensemble pour toilettes comprenant un joint annulaire d’étanchéité intercalé entre le réservoir et la cuvette |
Applications Claiming Priority (2)
| Application Number | Priority Date | Filing Date | Title |
|---|---|---|---|
| FR1900475 | 2019-01-18 | ||
| FR1900475A FR3091885B1 (fr) | 2019-01-18 | 2019-01-18 | Ensemble pour toilettes comprenant un joint annulaire d’étanchéité intercalé entre le réservoir et la cuvette |
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| Publication Number | Publication Date |
|---|---|
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| FR3091885B1 FR3091885B1 (fr) | 2021-05-21 |
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ID=67001956
Family Applications (1)
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|---|---|---|---|
| FR1900475A Active FR3091885B1 (fr) | 2019-01-18 | 2019-01-18 | Ensemble pour toilettes comprenant un joint annulaire d’étanchéité intercalé entre le réservoir et la cuvette |
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|---|---|
| FR (1) | FR3091885B1 (fr) |
Citations (4)
| Publication number | Priority date | Publication date | Assignee | Title |
|---|---|---|---|---|
| US2520575A (en) * | 1948-11-04 | 1950-08-29 | Mansfield Sanitary Pottery Inc | Flush tank and bowl combination |
| US2838764A (en) * | 1956-03-01 | 1958-06-17 | Mansfield Sanitary Pottery Inc | Water closet tank and bowl combination |
| EP0187657A2 (fr) * | 1985-01-08 | 1986-07-16 | Kohler Co. | Joint pour un réservoir de chasse d'eau |
| FR2700194A1 (fr) * | 1993-01-07 | 1994-07-08 | Begard Michel | Joint d'étanchéité plat. |
-
2019
- 2019-01-18 FR FR1900475A patent/FR3091885B1/fr active Active
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