FR3072063B1 - Structure de partie arriere de vehicule automobile - Google Patents
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Abstract
Structure de partie arrière de véhicule automobile comprenant une traverse choc (2) reliée par ses extrémités à une jupe (4) et une pièce de support de bouclier arrière (1) interposée entre ladite traverse choc et ladite jupe. Selon l'invention, ladite pièce de support comprend une première paroi (11) solidarisée à la jupe et une deuxième paroi (12) reliée à la première par une liaison pivot (13), pouvant adopter une configuration initiale, où lesdites parois sont écartées l'une de l'autre et définissent un plan d'appui suivant une direction verticale et une configuration rétractée où lesdites parois sont rapprochées l'une de l'autre sous l'action d'une pression exercée par ladite traverse choc, ladite pièce de support comportant des premiers moyens de liaison reliant des faces internes respectives (111,121) en regard l'une de l'autre desdites parois, adaptés à exercer une force de rappel de ladite configuration rétractée vers ladite configuration initiale.
Description
Structure de partie arrière de véhicule automobile
La présente invention se rapporte à une structure de partie arrière de véhicule automobile, comprenant une traverse choc s’étendant suivant la direction transversale du véhicule et reliée, à chacune de ses extrémités, à une paroi transversale verticale de ladite structure de partie arrière, et une pièce de support de bouclier arrière interposée entre ladite traverse choc et ladite paroi transversale verticale, destinée à supporter un bouclier arrière adapté à couvrir ladite traverse choc et ladite pièce de support de bouclier arrière.
La préservation de l’intégrité de la structure de la caisse des véhicules automobiles est un objectif constamment recherché par les constructeurs automobiles. Une tendance actuelle vise à répondre à cet objectif vis-à-vis des chocs à faible vitesse, de l’ordre de moins de 10 km/h, qui peuvent intervenir notamment lors des phases de manœuvres de stationnement du véhicule. On parle alors de « petits chocs ».
Aussi, on trouve généralement à l’arrière du véhicule une traverse, dite traverse choc, qui s’étend suivant la direction transversale du véhicule et qui est reliée à une paroi transversale verticale, désignée « jupe » par l’homme de l’art. Des absorbeurs de chocs (« crash box » en anglais) peuvent être positionnés entre chaque extrémité de la traverse choc et la jupe, dans l’alignement longitudinal d’autres éléments structurels du véhicule, notamment des longerons, de façon à recevoir et à dissiper efficacement les efforts appliqués sur la traverse choc en cas de petits chocs.
Par ailleurs, une pièce de support de bouclier arrière de véhicule automobile est destinée à être intégrée dans cet environnement très confiné délimité par la traverse choc et la jupe. Cette pièce de support, destinée à être fixée à la structure du véhicule, vient s’interposer entre la jupe et la traverse choc pour servir d’appui en Z (soit selon la direction verticale du véhicule) à une face interne du bouclier arrière du véhicule prévu pour couvrir la traverse choc. En cas de collision à l’arrière du véhicule, la traverse choc va absorber le choc et se déplacer vers l’intérieur du véhicule en direction de la jupe. Malheureusement, en raison du manque de place, lors de sa course d'intrusion, la traverse choc vient impacter la pièce de support de bouclier arrière, ce qui a pour conséquence d’engendrer une déformation de la pièce de support de bouclier arrière. Cette dernière n’est alors plus en mesure d’assurer correctement sa fonction d’appui en Z pour le bouclier arrière. Or, la pièce de support de bouclier arrière et le bouclier arrière doivent être positionnés de façon précise par rapport à la caisse, notamment pour respecter des exigences de jeux et d’affleurements, par exemple avec un ouvrant arrière du véhicule.
Aussi, un objectif de l’invention est de pallier ces inconvénients, en proposant une structure de partie arrière de véhicule automobile accueillant une pièce de support de bouclier arrière permettant de s’intégrer aisément dans l’environnement très confiné de cette structure de partie arrière, tout en répondant aux exigences en termes de conservation de l’appui en Z du bouclier arrière, en particulier après un petit choc. A cette fin, la structure de partie arrière de véhicule automobile, par ailleurs conforme à la définition générique qu’en donne le préambule ci-dessus, est essentiellement caractérisée en ce que ladite pièce de support comprend une première paroi adaptée à être solidarisée à ladite paroi transversale verticale et une deuxième paroi reliée à ladite première paroi par une liaison pivot et s’étendant en direction de ladite traverse choc, ladite pièce de support étant apte à adopter une configuration initiale, dans laquelle lesdites première et deuxième parois sont écartées l’une de l’autre de sorte que des bords libres supérieurs respectifs desdites première et deuxième parois situés à l’opposé de ladite liaison pivot définissent un plan d’appui suivant une direction verticale dudit bouclier arrière et une configuration rétractée dans laquelle lesdites première et deuxième parois sont rapprochées l’une de l’autre sous l’action d’une pression exercée par ladite traverse choc, ladite pièce de support comportant des premiers moyens de liaison reliant des faces internes respectives en regard l’une de l’autre desdites première et deuxième parois, adaptés à exercer une force de rappel de ladite configuration rétractée vers ladite configuration initiale.
Avantageusement, ladite pièce de support comporte des deuxièmes moyens de liaison reliant lesdites faces internes respectives en regard l’une de l’autre desdites première et deuxième parois, adaptés à fixer une position relative entre elles desdites première et deuxième parois dans ladite configuration initiale.
Avantageusement, lesdits premiers moyens de liaison comprennent au moins une zone de liaison élastique s’étendant entre lesdites deux faces internes jouant le rôle de ressort de rappel vers ladite configuration initiale.
De préférence, ladite zone de liaison élastique comprend une nervure constituée d’un segment ondulé s’étendant entre lesdites deux faces internes.
Avantageusement, lesdits deuxièmes moyens de liaison comprennent au moins une zone de liaison rigide déformable sous l’action d’une pression exercée par ladite traverse choc, ladite zone de liaison rigide déformable permettant de maintenir lesdites première et deuxième parois à une distance nominale l’une de l’autre en l’absence de pression exercée par ladite traverse choc.
De préférence, ladite zone de liaison rigide déformable comprend une nervure constituée d’un segment rectiligne s’étendant entre lesdites deux faces internes.
Avantageusement, lesdites première et deuxième parois sont reliées entre elles par une charnière-film pour former ladite liaison pivot. L’invention concerne également un véhicule automobile, caractérisé en ce qu’il comprend une structure de partie arrière telle que décrite ci-dessus. D’autres particularités et avantages de l’invention ressortiront à la lecture de la description faite ci-après d’un mode de réalisation particulier de l’invention, donné à titre indicatif mais non limitatif, en référence aux dessins annexés sur lesquels : - la Figure 1 est une vue schématique en perspective d’ensemble illustrant une structure de partie arrière de véhicule automobile conforme à la présente invention ; - la Figure 2 est une section schématique de côté illustrant les deux configurations, respectivement initiale et rétractée, susceptibles d’être adoptées par la pièce de support de bouclier arrière en fonction des efforts subis par la traverse choc; - la Figure 3 est une section schématique de dessus de la pièce de support dans sa configuration initiale, selon un mode de réalisation préféré de l’invention.
La description qui va suivre est effectuée à partir d’un repère orthogonal XYZ lié au véhicule, dans lequel l’axe X est un axe longitudinal du véhicule orienté d’avant en arrière, l’axe Y est un axe transversal du véhicule orienté vers la droite et l’axe Z est un axe vertical du véhicule orienté vers le haut.
En référence à la figure 1, une structure de partie arrière de véhicule automobile conforme à l’invention comprend une traverse choc 2 s’étendant suivant la direction transversale Y du véhicule. Cette traverse choc 2, qui peut être métallique ou en plastique, est placée entre la caisse et un bouclier arrière 3 du véhicule qui vient la recouvrir. La forme de la traverse choc 2 peut être adaptée au galbe particulier du bouclier arrière 3, de façon à limiter la distance entre la traverse choc 2 et le bouclier arrière 3.
La traverse choc 2 est reliée par ses extrémités respectives (non représentées) à une paroi verticale transversale, ou jupe 4, de la caisse, préférentiellement par l’intermédiaire de deux crash box positionnés entre chaque extrémité de la traverse choc 2 et la jupe 4, dans l’alignement longitudinal des longerons du véhicule. La jupe 4, qui comprend une doublure de jupe 5, s’étend dans un plan vertical transversal sous la zone 6 d’accueil d’un ouvrant arrière du véhicule. Entre ses deux extrémités respectives, la traverse choc 2 s’étend sensiblement à distance de la jupe 4 libérant ainsi un espace relativement confiné entre la jupe 4 et la traverse choc 2, permettant d’y accueillir une pièce de support de bouclier arrière 1, destinée à assurer la fonction d’appui en Z du bouclier arrière 3. La pièce de support de bouclier arrière 1 est donc disposée en avant de la traverse choc 2 selon l’orientation générale du véhicule et s’étend transversalement dans l’espace existant entre la jupe 4 et la traverse choc 2 sur sensiblement toute la longueur de la traverse choc 2 entre les deux crash box disposées aux extrémités respectives de la traverse choc 2. Le bouclier arrière 3 comporte une face interne 31 orientée vers la caisse du véhicule et une face externe opposée qui reçoit les chocs. La pièce de support de bouclier arrière 1 est disposée de façon à être placée sous la face interne 31 du bouclier arrière 3. La pièce de support de bouclier arrière 1 est préférentiellement réalisée en matière plastique.
Comme on le voit mieux sur la vue en coupe selon le plan XZ de la figure 2, la pièce de support de bouclier arrière 1 présente une forme en V avec deux parois 11,12 reliées l’une à l’autre par une articulation 13 formant une liaison pivot entre les deux parois 11 et 12, selon l’axe transversal du véhicule. L’articulation 13 entre les deux parois 11 et 12 est par exemple du type « charnière-film », c’est-à-dire que les deux parois 11 et 12 sont reliées entre elles par une épaisseur réduite ou film de matière plastique constitutive de la pièce de support de bouclier arrière 1. Dans d’autres modes de réalisation non représentés de l’invention, l’articulation peut également être réalisée par tout moyen équivalent.
La première paroi 11 est destinée à être solidarisée à la jupe 4 et la deuxième paroi 12, reliée à la première paroi 11 par l’articulation 13 ménageant l’axe de pivotement entre les deux parois, s’étend depuis la première paroi en direction de la traverse choc 2. Autrement dit, la première paroi 11 s’étend dans un plan sensiblement vertical et la deuxième paroi 12 s’étend dans un plan incliné vers la traverse choc 2.
La configuration illustrée en trait plein à la figure 2 représente la configuration initiale de la pièce de support de bouclier arrière 1, c’est-à-dire la configuration qui correspond à une position non impactée de la pièce de support de bouclier arrière 1 par la traverse choc 2. Dans cette configuration initiale, les première et deuxième parois 11 et 12 sont écartées l’une de l’autre en faisant un certain angle. La deuxième paroi 12 s’étend par exemple dans un plan incliné à plus ou moins 45 ° vers la traverse choc 2. Dans la configuration initiale, les bords libres supérieurs respectifs 110 et 120 des première et deuxième parois 11 et 12, c’est-à-dire les bords des parois 11 et 12 situés à l’opposé de l’articulation 13 formant la liaison pivot, sont disposés de façon à définir le plan d’appui en Z du bouclier arrière 3 prévu pour venir couvrir la traverse choc 2 et la pièce de support de bouclier arrière 1.
La configuration illustrée en traits pointillés à la figure 2 correspond quant à elle à une configuration dite rétractée de la pièce de support de bouclier arrière 1, c’est-à-dire la configuration qui correspond à une position impactée de la pièce de support de bouclier arrière 1 par la traverse choc 2. Autrement dit, dans cette configuration rétractée de la pièce de support de bouclier arrière 1, les première et deuxième parois 11 et 12 sont rapprochées l’une de l’autre sous l’action d’une pression exercée par la traverse choc 2. En effet, lors d’un petit choc, la traverse choc 2 se déforme en direction de la caisse du véhicule et cette déformation momentanée de la traverse choc 2 vers l’intérieur du véhicule exerce une pression sur la deuxième paroi 12 de la pièce de support de bouclier arrière 2 susceptible de provoquer, selon le niveau de pression exercé, le pivotement de la deuxième paroi 12 vers la première paroi 11 grâce à la liaison pivot 13 et partant, la rétractation de la pièce de support 1 suivant la direction longitudinale du véhicule. Autrement dit, la pièce de support de bouclier arrière 1, interposée entre la jupe 4 et la traverse choc 2, est rétractable horizontalement, ce qui est particulièrement favorable à son intégration dans l’environnement très confiné où il est implanté.
Par ailleurs, les deux parois 11 et 12 de la pièce de support de bouclier arrière 1 présentent des faces internes respectives 111 et 121, en regard l’une de l’autre, qui sont reliées entre elles d’une part, par des premiers moyens de liaison adaptés à exercer une force de rappel de la configuration rétractée de la pièce de support de bouclier arrière 1 vers sa configuration initiale et, d’autre part, par des deuxième moyens de liaison adaptés à fixer une position relative entre elles des première et deuxième parois dans la configuration initiale de la pièce de support de bouclier arrière 1.
Ces deuxièmes moyens de liaison reliant intérieurement entre elles les deux parois 11 et 12, comprennent au moins une zone de liaison rigide déformable sous l’action de la pression exercée par la traverse choc 2, qui permet de maintenir les première et deuxième parois 11 et 12 à une distance nominale l’une de l’autre en l’absence de pression exercée par la traverse choc 2. Comme on le voit mieux sur la vue de dessus selon l’axe Z de la figure 3, illustrant un mode de réalisation préféré de l’invention, chaque zone de liaison rigide déformable reliant intérieurement les deux parois 11 et 12 comprend une nervure 8, préférentiellement en matériau plastique, constituée d’un segment rectiligne s’étendant entre les faces internes respectives 111 et 121 des deux parois 11 et 12. Le segment rectiligne 8 s’étendant entre les deux faces internes 111 et 121 limite le déplacement maximal de la paroi 12 selon la direction longitudinale X. Les deux parois 11 et 12 sont préférentiellement reliées entre elles intérieurement par une pluralité de telles nervures 8 constituées chacune d’un segment rectiligne, formant un réseau de nervures rectilignes parallèles entre elles réparties le long de la pièce de support de bouclier arrière 1. Ces nervures 8 sont dimensionnées de façon à permettre de maintenir les deux parois 11 et 12 à leur distance nominale, correspondant à la configuration initiale de la pièce de support de bouclier arrière 1 dans laquelle elle est prévue pour permettre d’assurer l’appui vertical en Z du bouclier arrière 3, et pour pouvoir se détendre en s’ondulant lors de l’impact par la traverse choc 2, sous l’action de la pression exercée contre la pièce de support de bouclier arrière par la traverse choc 2, à partir d’un certain niveau de pression prédéterminé.
Les premiers moyens de liaison reliant intérieurement entre elles les deux parois 11 et 12 pour exercer une force de rappel de la configuration rétractée de la pièce de support de bouclier arrière 1 vers sa configuration initiale, comprennent au moins une zone de liaison élastique s’étendant entre les faces internes respectives 111 et 121 des deux parois 11 et 12, jouant le rôle de ressort de rappel vers la configuration initiale. Comme on le voit mieux sur la vue de dessus selon l’axe Z de la figure 3, illustrant un mode de réalisation préféré de l’invention, chaque zone de liaison élastique reliant intérieurement les deux parois 11 et 12 comprend une nervure 7, préférentiellement en matériau plastique, constituée d’un segment ondulé s’étendant entre les faces internes respectives 111 et 121 des deux parois 11 et 12. Par segment ondulé, on entend une forme faite de courbes alternativement concaves et convexes. Les deux parois 11 et 12 sont préférentiellement reliées entre elles intérieurement par une pluralité de telles nervures 7 constituées chacune d’un segment ondulé. Chaque nervure 7, qui a la propriété de reprendre sa forme primitive après avoir été soumis à une compression, joue donc le rôle de ressort de remise en configuration initiale de la pièce de support de bouclier arrière 1 après son passage en position rétractée lors de l’impact avec la traverse choc 2.
Ainsi, lors de l’impact de la traverse choc 2, les nervures 8 se détendent en s’ondulant, tandis que les nervures 7 sont comprimées sous l’action du rapprochement de la deuxième paroi 12 de la première paroi 11 permis par la liaison pivot 13. Une fois la traverse choc 2 revenue en position initiale après le choc, les nervures 7 joue le rôle de ressort pour ramener la deuxième paroi 12 à la distance nominale, tandis que les nervures 8 se tendent à nouveau pour maintenir la deuxième paroi 12 dans cette position, dans laquelle l’appui en Z du bouclier arrière est de nouveau assuré. Ainsi, la pièce de support de bouclier arrière 1, en plus d’assurer une fonction de rétraction suivant l’axe X en cas de petit choc sous l’effet de l’impact de la traverse choc 2, permet de retrouver l’appui vertical en Z du bouclier arrière 3 après le petit choc.
Préférentiellement, les deux parois 11 et 12, l’articulation 13 et les deux ensembles de nervures respectivement 7 et 8, sont d’une seule pièce venue de moulage. Autrement dit, dans l’exemple représenté, la pièce de support de bouclier arrière 1 constitue une pièce monolithique.
Claims (8)
- REVENDICATIONS1. Structure de partie arrière de véhicule automobile comprenant une traverse choc (2) s’étendant suivant la direction transversale (Y) du véhicule et reliée à chacune de ses extrémités à une paroi transversale verticale (4) de la structure de partie arrière du véhicule et une pièce de support de bouclier arrière (1) interposée entre ladite traverse choc (2) et ladite paroi transversale verticale (4), destinée à supporter un bouclier arrière (3) adapté à couvrir ladite traverse choc (2) et ladite pièce de support de bouclier arrière (1), caractérisée en ce que ladite pièce de support (1) comprend une première paroi (11) adaptée à être solidarisée à ladite paroi transversale verticale (4) et une deuxième paroi (12) reliée à ladite première paroi (11) par une liaison pivot (13) et s’étendant en direction de ladite traverse choc (2), ladite pièce de support étant apte à adopter une configuration initiale, dans laquelle lesdites première et deuxième parois (11, 12) sont écartées l’une de l’autre de sorte que des bords libres supérieurs respectifs (110, 120) desdites première et deuxième parois (11, 12) situés à l’opposé de ladite liaison pivot (13) définissent un plan d’appui suivant une direction verticale (Z) dudit bouclier arrière (3) et une configuration rétractée dans laquelle lesdites première et deuxième parois (11, 12) sont rapprochées l’une de l’autre sous l’action d’une pression exercée par ladite traverse choc (2), ladite pièce de support (1) comportant des premiers moyens de liaison (7) reliant des faces internes respectives (111, 121) en regard l’une de l’autre desdites première et deuxième parois, adaptés à exercer une force de rappel de ladite configuration rétractée vers ladite configuration initiale.
- 2. Structure selon la revendication 1, caractérisée en ce que ladite pièce de support (1) comporte des deuxièmes moyens de liaison (8) reliant lesdites faces internes respectives (111, 121) en regard l’une de l’autre desdites première et deuxième parois (11, 12), adaptés à fixer une position relative entre elles desdites première et deuxième parois (11, 12) dans ladite configuration initiale.
- 3. Structure selon la revendication 1 ou 2, caractérisée en ce que lesdits premiers moyens de liaison comprennent au moins une zone de liaison élastique (7) s’étendant entre lesdites deux faces internes (111, 121) jouant le rôle de ressort de rappel vers ladite configuration initiale.
- 4. Structure selon la revendication 3, caractérisée en ce que ladite zone de liaison élastique (7) comprend une nervure constituée d’un segment ondulé s’étendant entre lesdites deux faces internes (111, 121).
- 5. Structure selon l’une quelconque des revendications 2 à 4, caractérisée en ce que lesdits deuxièmes moyens de liaison comprennent au moins une zone de liaison rigide (8) déformable sous l’action d’une pression exercée par ladite traverse choc (2), ladite zone de liaison rigide déformable (8) permettant de maintenir lesdites première et deuxième parois à une distance nominale l’une de l’autre en l’absence de pression exercée par ladite traverse choc (2).
- 6. Structure selon la revendication 5, caractérisée en ce que ladite zone de liaison rigide déformable (8) comprend une nervure constituée d’un segment rectiligne s’étendant entre lesdites deux faces internes (111, 112).
- 7. Structure selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que lesdites première et deuxième parois (11, 12) sont reliées entre elles par une charnière-film pour former ladite liaison pivot (13).
- 8. Véhicule automobile, caractérisé en ce qu’il comprend une structure de partie arrière selon l’une quelconque des revendications précédentes.
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