FR3048709A1 - Dispositif de fixation pour ossature de plafond - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un dispositif de fixation (30) pour suspendre une ossature à une poutrelle (10), ladite poutrelle présentant un talon (12), ledit dispositif de fixation (30) comprenant, d'une part un élément en C (32) présentant une aile d'ancrage (34) et une aile de retenue (36) opposée, et d'autre part une vis de serrage (40) montée à travers ladite aile de retenue (36) en regard de ladite aile d'ancrage (34), ledit élément en C (32) présentant d'une part une face intérieure (71) et une face extérieure (73) opposée, et d'autre part deux bords latéraux opposés, ledit élément en C (32) comportant en outre des languettes d'appui (42, 44) s'étendant en saillie de ladite face intérieure (71) pour pouvoir maintenir ladite face intérieur (71) écartée dudit talon (12) de ladite poutrelle (10). Lesdites languettes d'appui (42, 44) prolongent respectivement lesdits deux bords latéraux dudit élément en C (32).

Description

Dispositif de fixation pour ossature de plafond

La présente invention se rapporte à un dispositif de fixation pour suspendre une ossature de plafond à une poutrelle.

Les parois de plancher en béton sont usuellement réalisées grâce à la mise en œuvre de poutrelles en béton et d’entrevous pour réaliser un fond de coffrage sur lequel est déversé du béton qui formera alors le hourdis.

Ces poutrelles en béton présentent un talon formant deux épaulements opposés. Aussi, les poutrelles agencées parallèlement les unes aux autres de proche en proche, permettent d’appuyer les entrevous sur les épaulements pour former le fond de coffrage. Les entrevous sont des éléments préfabriqués réalisés par exemple en polystyrène permettant de soutenir durant la prise, le béton déversé. Leurs bordures latérales viennent s’appliquer respectivement sur les épaulements des poutrelles en laissant libre une partie du talon. Cette partie libre du talon va permettre d’ancrer un dispositif de fixation pour pouvoir suspendre une ossature de plafond sous le plancher. L’objet du document EP 2 581 500 16 B1 est un dispositif de fixation destiné précisément à venir en prise sur la partie libre des talons de poutrelle en béton, pour pouvoir y suspendre une ossature métallique.

Il comprend un élément métallique en C présentant une aile d’ancrage destinée à venir prendre appui sur l’épaulement des poutrelles et une aile de retenue opposée venant s’étendre en retour sous la poutrelle. L’élément en C présente en outre, une face intérieure venant s’étendre en regard du talon de la poutrelle et une face extérieure opposée. L’aile de retenue est munie d’une vis de serrage destinée à être vissée contre le dessous de la poutrelle de manière à ce que l’élément en C vienne prendre en étau, entre l’aile d’ancrage et la vis de serrage, la partie libre du talon. Partant, l’élément en C est solidaire de la poutrelle.

De surcroît, l’élément en C présente des languettes découpées dans l’élément et rabattues en saillie de la face intérieure pour former des appuis et maintenir la face intérieure écartée du talon de ladite poutrelle. De la sorte, il est ensuite aisé de venir rapporter une suspente contre la face extérieure de l’élément en C pour venir l’y visser au moyen d’une vis autotaraudeuse traversant alors la suspente et l’élément en G. Cette dernière peut alors venir s’étendre en saillie de la face intérieure dans l’espace laissé libre grâce aux languettes d’appui.

Le montage d’un tel dispositif est relativement aisé. Toutefois, les lumières résultants du découpage des languettes tendent à diminuer la résistance mécanique de l’élément en G et il est alors nécessaire de prévoir des quantités de métal importantes pour assurer la suspension de l’ossature de plafond, et en particulier des épaisseurs de métal supérieures ou égales à 1,5 mm.

Aussi, un problème qui se pose et que vise à résoudre la présente invention est de fournir un dispositif de fixation qui soit à la fois rigide et relativement économique.

Dans ce but, il est proposé un dispositif de fixation pour suspendre une ossature de plafond à une poutrelle, ladite poutrelle présentant un talon, ledit dispositif comprenant d’une part un élément en G présentant une aile d’ancrage et une aile de retenue opposée, et d’autre part une vis de serrage montée à travers ladite aile de retenue en regard de ladite aile d’ancrage, ledit élément en G présentant d’une part une face intérieure et une face extérieure opposée, et d’autre part deux bords latéraux opposés, ledit élément en G comportant en outre des languettes d’appui s’étendant en saillie de ladite face intérieure pour pouvoir maintenir ladite face intérieur écartée dudit talon de ladite poutrelle. Lesdites languettes d’appui prolongent respectivement lesdits deux bords latéraux dudit élément en G.

Ainsi, une caractéristique de l’invention réside dans la mise en œuvre de languettes qui viennent prolonger les bords latéraux de l’élément en G, et qui ne résultent pas d’un découpage de cet élément. L’élément en G est alors dépourvu d’évidement, qui tend à amoindrir sa résistance mécanique. Ges languettes sont ainsi rabattues pour venir s’étendre en saillie de la face intérieure sensiblement perpendiculairement. Elles présentent alors chacune deux bords libres opposés et un bord frontal qui les rejoint et qui est adapté à venir s’appliquer contre le talon de la poutrelle.

Ainsi, la face intérieure de l’élément en C, est suffisamment écartée du talon pour pouvoir ménager un espace libre dans lequel la tige des vis autotaraudeuses peut venir s’étendre.

Selon un mode de réalisation de l’invention particulièrement avantageux, mais nullement limitatif, ladite aile de retenue présente un taraudage pour recevoir une tige filetée pour pouvoir relier ladite ossature de plafond et ledit élément en C. De la sorte, la tige filetée peut être visée à travers le taraudage, pour y être réglée selon une composante verticale. Ainsi, grâce au taraudage, l’ossature de plafond peut être également suspendue par un autre moyen que la suspente méplate usuellement vissée sur l’élément en C.

En outre, selon un mode de mise en œuvre particulièrement avantageux, ladite aile d’ancrage présente deux pattes écartées l’une de l’autre. De la sorte, l’aile d’ancrage est divisée en deux points d’appui, ce qui permet d’augmenter l’effort d’appui sur l’épaulement du talon de la poutrelle et partant, d’améliorer l’ancrage de l’élément en C sur la partie libre du talon. En effet, la surface d’appui est réduite, tandis que l’effort total demeure sensiblement constant. En outre, afin d’accroître plus encore cet ancrage, autrement dit d’augmenter la résistance à l’arrachement de l’élément en C, chacune desdites pattes d’ancrage présente une extrémité libre en pointe recourbée vers ladite face intérieure. De la sorte, l’extrémité libre est apte à venir en prise dans le matériau de la poutrelle.

De surcroît, chacune desdites pattes d’ancrage présente, préférentiellement, deux ergots d’arrêt latéraux recourbés respectivement vers ladite face intérieure. Autrement dit, les ergots d’arrêts latéraux sont recourbés vers l’aile de retenue. Ces ergots permettent d’améliorer plus encore l’ancrage des pattes dans la poutrelle.

Aussi, ledit élément en C présente, de façon avantageuse, des nervures de renfort. Ces nervures de renfort sont réalisées par soyage, c’est-à-dire en déformant localement le matériau de l’élément en C comme on l’expliquera ci-après. De préférence, lesdites nervures de renfort s’étendent dans ledit élément en C, de ladite aile d’ancrage à ladite aile de retenue. Aussi, les nervures s’étendent dans les pattes d’ancrage pour les rigidifier. De la sorte, la rigidité de l’élément en C dans son ensemble est accrue.

Selon un mode préféré de mise en oeuvre, ledit élément en G présente une portion sensiblement plane entre lesdites ailes d’ancrage et de retenue. Partant, les ailes d’ancrage et de retenue s’étendent sensiblement perpendiculairement à la portion plane.

Aussi, ladite portion plane présente une fente de vissage orientée de ladite aile d’ancrage vers ladite aile de retenue. Une telle fente présente une largeur faible au regard du diamètre d’une vis et permet de faciliter le vissage d’une suspente plate rapportée contre la portion plane de l’élément en G.

Avantageusement, ledit élément en G est formé d’une seule pièce métallique emboutie. Il est par exemple réalisé en acier galvanisé. D’autres particularités et avantages de l’invention ressortiront à la lecture de la description faite ci-après d’un mode de réalisation particulier de l’invention, donné à titre indicatif mais non limitatif, en référence aux dessins annexés sur lesquels : - la Figure 1 est une vue schématique en perspective de trois quarts avant de la mise en oeuvre du dispositif de fixation conformément à l’invention ; - la Figure 2 est une vue schématique en perspective de côté de la mise en œuvre du dispositif de fixation ; - la Figure 3 est une vue schématique en perspective de dessus de la mise en œuvre du dispositif de fixation ; - la Figure 4 est une vue schématique en perspective de trois quarts avant du dispositif de fixation selon l’invention ; et, - la Figure 5 est une vue schématique en perspective de trois quarts arrière du dispositif de fixation selon l’invention.

La Figure 1 illustre en perspective et partiellement une poutrelle en béton 10 présentant une âme 11 et un talon 12, lequel talon 12 présente lui-même deux épaulements 14, 16 opposés l'un de l'autre. Est également représenté sur cette figure 1, partiellement, un entrevous 18 présentant une bordure 20 en appui sur l'un des épaulements 16 du talon 12. L'entrevous 18 est en appui à la jonction de l'âme 11 et du talon 12 et il s'étend tangentiellement, depuis le talon 12, selon une direction voisine de 45° par rapport à l'épaulement 16 en laissant libre une partie 22 du talon 12. De plus, l'entrevous 18 présente des nervures transversales de renfort 23. La partie libre 22 du talon 12 présente, d'une part une bordure libre d'épaulement 24 et une bordure libre de talon opposée 26, et d'autre par un bord libre 28 de talon 12.

Aussi, un dispositif de fixation 30 conforme à l'invention est installé sur la partie libre 22 de talon 12. On décrira en détail ce dispositif de fixation 30 en référence aux figures 4 et 5. Le dispositif de fixation 30 tel qu'illustré sur la figure 4 comporte, d'une part un élément en C 32 présentant une aile d'ancrage 34 opposée à une aile de retenue 36, les deux ailes 34, 36 étant reliées entre elles par une portion plane 38. Il comprend d'autre part une vis de serrage 40 traversant l'aile de retenue 36. L'élément en C 32 est réalisé d'une seule pièce par découpage, emboutissage et pliage d'une plaque en acier galvanisé. La plaque d'acier présente avantageusement une épaisseur de 1,25 mm. S'agissant tout d'abord du découpage, on observera que la partie de pièce correspondant à la portion plane 38 a été découpée de manière à ménager deux languettes latérales 42, 44, et une fente longitudinale 46. Les deux languettes latérales 42, 44 s'étendent alors latéralement à l'opposé l'une de l'autre des deux bords latéraux opposés, 43, 45. Elles présentent en outre chacune un bord frontal 47. S'agissant de l'aile de retenue 36, deux orifices médians ont été ménagés, l'un distal 48, l'autre proximal 50, et un orifice latéral 52 a été ménagé au droit de l'orifice médian proximal 50. Quant à l'aile d'ancrage 34, une échancrure médiane 54 a été ménagée à l'opposé des orifices médians 48, 50 de manière à former deux pattes 56, 58 écartées l'une de l'autre. De surcroît, chacune des pattes 56, 58 a été découpée, de manière à ménager une extrémité libre en pointe 60 et deux ergots latéraux 62, 64. On observera en outre que les ergots latéraux 62, 64 ont été découpés pour former des dents d'arrêt 65

Ensuite, les étapes d'emboutissage et de pliage, séquentielles ou simultanées permettent d'obtenir le dispositif de fixation 30 tel qu'illustré sur les figures 4 et 5.

Ainsi, l'emboutissage permet de former un collet distal 66 autour de l'orifice distal 48 et un collet proximal 68 autour de l'orifice proximal 50. De surcroît, il permet par soyage longitudinale de former deux nervures latérales parallèles 70, 72 qui s'étendent de l'aile de retenue 36 en se prolongeant dans la portion plane 38, jusque dans les pattes 56, 58 où elles forment respectivement un aller et retour pour se rejoindre ensuite dans l'aile d'ancrage 34.

Quant aux pliages, tout d'abord ils permettent de porter les ailes d'ancrage 34 et de retenue 36 en regard l'une de l'autre et sensiblement perpendiculairement à la portion plane 38 de l'élément en C 32. L'élément en C 32 définit alors une face intérieure 71 opposée à une face extérieure 73 représentée sur la figure 5. Aussi, ils permettent de porter les deux languettes latérales 42, 44 en regard l'une de l'autre également et sensiblement perpendiculairement à la portion plane 38. En outre, les deux bordures latérales 74, 76 de la plaque en acier sont recourbées l'une vers l'autre de manière à former deux rebords de rigidification. Aussi, l'extrémité libre en pointe 60 de chacune des pattes 56, 58 est pliée d'environ 45° par rapport à l'aile d'ancrage 34 vers la face intérieure 71, tandis que les deux ergots latéraux 62, 64 sont pliées l'un vers l'autre et vers l’aile de retenue 36, sensiblement à 90° par rapport à chacune des pattes 56, 58.

On observera en détail sur la figure 5, que des zones excentrées embouties 78 sont ménagées au niveau du pliage entre les ailes d'ancrage 34 et de retenue 36 dans chaque coin de la portion plane 38. Au surplus, la portion plane présente une zone centrale longitudinale emboutie 80 s’étendant de l’aile de retenue 36 jusqu’à l’aile d’ancrage 34 et entre les deux nervure latérale parallèle 70, 72. La fente longitudinale 46 s’étend ainsi longitudinalement, par exemple sur les deux tiers de la longueur de la zone centrale 80 à partir de l’aile de retenue 36.

Ainsi, tant les nervures latérales parallèles 70, 72 qui s'étendent longitudinalement jusque dans les pattes 56, 58, que les zones embouties 78, 80, ou encore que les bordures latérales 74, 76 recourbées, contribuent à rigidifier substantiellement l'élément en C 32 dans son ensemble et à accroître conséquemment sa résistance mécanique à la déformation. En particulier, on observera que l’aile d’ancrage 34 et sensiblement le tiers de la portion plane 38 qui la prolongent sont dépourvus de lumière ou d’évidement. De telles caractéristiques concourent à la résistance mécanique à la déformation de l’aile d’ancrage 34 par rapport à la portion plane 38 comme on l'expliquera ci-après.

De surcroît, la mise en œuvre d'une plaque en acier de 1,25 mm est suffisante pour offrir cette résistance.

Aussi, les collets distal 66 et proximal 68 représentés sur la figure 4 sont taraudés de manière à pouvoir recevoir une tige filetée. La mise en œuvre d'un collet permet d'obtenir une profondeur d'orifice supérieur à celle de l'épaisseur de la plaque en acier, et partant, une plus grande longueur de filet de taraudage. De la sorte, les tiges filetées sont parfaitement solidaires de l'aile de retenue 34.

Le collet distal 66 reçoit la vis de serrage 40, laquelle présente à l'une de ses extrémités située entre l'aile de retenue 36 et l'aile d'ancrage 34, un embout d'appui à collerette 82 libre en rotation par rapport à la vis de serrage 40. À l'autre de ses extrémités, la vis de serrage 40 présente une tête de vis 84 pour pouvoir l'entraîner en rotation. La vis de serrage 40 présente par exemple un diamètre de 6 mm et une longueur de 40 mm.

On se reportera à présent sur la figure 2 montrant le dispositif de fixation 30 de côté en prise sur la partie libre 22 du talon 12. Ainsi, l'extrémité libre en pointe 60 et les dents d'arrêt 65 des ergots latéraux 62, 64 des deux pattes 56, 58 respectivement, sont en prise sur la bordure libre d'épaulement 24, tandis qu'à l'opposé, l'embout d'appui à collerette 82 est en appui à force contre la bordure libre de talon opposé 26. De surcroît, le bord frontal 47 des deux languettes latérales 42, 44 est en appui contre le bord libre 28 du talon 12. De la sorte, la portion plane 38 de l'élément en G 32, et plus précisément la face intérieure 71, est maintenue à distance de la portion libre 28.

Dans cette position, la vis de serrage 40 est entraînée en rotation à force par l'intermédiaire de sa tête 84 de manière à venir prendre en étau la partie libre 22 du talon 12. Les pointes 60 et les dents d'arrêt 65 s'incrustent dans le béton et l'élément en C 32 est alors parfaitement solidaire du talon 12. De surcroît, malgré l’effort de serrage, l’élément en C 32 ne se déforme pas, de part sa construction et ses zones embouties. Autrement dit, l’élément en C 32 ne tend pas à s’ouvrir.

En se reportant à la figure 3, on observera que le dispositif de fixation 30, ici vu de dessus, peut être installé au niveau d'une nervure transversale de renfort 23 de l'entrevous 18. En effet, l'échancrure médiane 54 de l'aile d'ancrage 34 autorise précisément la mise en œuvre de l'aile d'ancrage 34 à cheval sur la nervure transversale de renfort 23. De la sorte, et précisément grâce à l'échancrure médiane 54, le dispositif de fixation 30 peut être ajusté sur la partie libre 22 du talon 12 selon un plus grand nombre de positions.

Ainsi, une suspente plate 86 peut être ajustée contre la face extérieure 73 de l'élément en G 32 et vissée au moyen de vis autotaraudeuses 88 à travers la fente longitudinale 46 de la portion plane 38. On retrouve sur la figure 2 la suspente plate 86 ainsi solidarisée à l'élément en C 32 par les deux vis autotaraudeuses 88. On observera que ces vis autotaraudeuses 88 peuvent traverser la portion plane 38 pour venir s'étendre entre celles-ci et le bord libre 28 du talon 12. On obtient de la sorte une parfaite solidarisation de la suspente plate 86 et de l'élément en C 32.

La suspente plate 86 permet de venir fixer l'ossature d'un plafond par exemple. En outre, grâce à l'orifice proximal 50 une tige filetée peut être reliée à l'aile de retenue 36 et ainsi permettre de suspendre une ossature selon un autre mode de mise en œuvre. Au surplus, et selon une autre variante, l'orifice 52 ménagé dans l'aile de retenue 36 permet d'accrocher une tige pour suspendre une ossature.

Claims (10)

1. REVENDICATIONS

   1. Dispositif de fixation (30) pour suspendre une ossature de plafond à une poutrelle (10), ladite poutrelle présentant un talon (12), ledit dispositif de fixation (30) comprenant, d’une part un élément en G (32) présentant une aile d’ancrage (34) et une aile de retenue (36) opposée, et d’autre part une vis de serrage (40) montée à travers ladite aile de retenue (36) en regard de ladite aile d’ancrage (34), ledit élément en C (32) présentant d’une part une face intérieure (71) et une face extérieure (73) opposée, et d’autre part deux bords latéraux opposés (43, 45), ledit élément en C (32) comportant en outre des languettes d’appui (42, 44) s’étendant en saillie de ladite face intérieure (71) pour pouvoir maintenir ladite face intérieur (71) écartée dudit talon (12) de ladite poutrelle (10) ; caractérisé en ce que lesdites languettes d’appui (42, 44) prolongent respectivement lesdits deux bords latéraux (43, 45) dudit élément en C (32).
2. 2. Dispositif de fixation selon la revendication 1, caractérisé en ce que ladite aile de retenue (36) présente un taraudage (50) pour recevoir une tige filetée pour pouvoir relier ladite ossature de plafond et ledit élément en C (32).
3. 3. Dispositif de fixation selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que ladite aile d’ancrage (34) présente deux pattes (56, 58) écartées l’une de l’autre.
4. 4. Dispositif de fixation selon la revendication 3, caractérisé en ce que chacune desdites pattes d’ancrage (56, 58) présente une extrémité libre en pointe (60) recourbée vers ladite face intérieure (71).
5. 5. Dispositif de fixation selon la revendication 3 ou 4, caractérisé en ce que chacune desdites pattes d’ancrage (56, 58) présente deux ergots d’arrêt latéraux (62, 64) recourbés respectivement vers ladite face intérieure (71).
6. 6. Dispositif de fixation selon l’une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que ledit élément en C (32) présente des nervures de renfort (70, 72).
7. 7. Dispositif de fixation selon la revendication 6, caractérisé en ce que lesdites nervures de renfort (70, 72) s’étendent dans ledit élément en C (32), de ladite aile d’ancrage (34) à ladite aile de retenue (36).
8. 8. Dispositif de fixation selon l’une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisé en ce que ledit élément en C (32) présente une portion sensiblement plane (38) entre lesdites ailes d’ancrage (34) et de retenue (36).
9. 9. Dispositif de fixation selon la revendication 8, caractérisé en ce que ladite portion plane (38) présente une fente de vissage (46) orientée de ladite aile d’ancrage (34) vers ladite aile de retenue (36).
10. 10. Dispositif de fixation selon l’une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que ledit élément en C (32) est formé d’une seule pièce métallique emboutie.