FR3007773A1 - Barrage et protection ecologique, antisismique, antitsunami et a double entree - Google Patents

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Abstract

C'est un barrage d'un type nouveau pour protéger une région aussi bien contre une montée des eaux de l'amont (crue soudaine) que de l'aval (tsunami ou tempête) pour permettre la reconstitution des nappes phréatiques des régions déficitaires et sauvegarder la ressource en eau. Il se différencie d'un barrage classique car sa partie centrale, ouverte, permet l'écoulement naturel des eaux. Ce barrage peut aussi PROTEGER un site type Seveso contre une crue ou une rupture de barrage amont.

Description

Un barrage est un ouvrage artificiel coupant le lit d'un cours d'eau et servant généralement à en assurer la régulation, à pourvoir les villes en eau ou à l'irrigation des cultures ou à produire de l'énergie ou à protéger une population en cas de crues. Il y a plusieurs sortes de barrages-réservoirs et notamment les barrages en maçonnerie ou en béton (barrages-poids, barrages-voûtes, barrages à contrefort), les barrages en remblai, les barrages en enrochement, les barrages en terre homogène ou les barrages en terre hétérogène. Tous les barrages existant ont un inconvénient majeur qui est, écologiquement, de noyer, sous leurs retenues d'une façon permanente, des terres agricoles ou des forêts et ts parfois des villages, avec des conséquences notamment sur la flore et sur la faune préexistantes, et parfois sur le climat de la région. Aucun n'est conçu pour protéger les terres amont contre l'élévation éventuelle du niveau des eaux maritimes, tout en contribuant à reconstituer les nappes phréatiques. Aucun, en principe, n'est envisagé avec une fonction de barrage à caractère temporaire, par exemple pour protéger une ville située en aval pendant le temps que l'écoulement naturel la mette à l'abri d'une montée soudaine des eaux en amont, et donc sans conséquence sur l'environnement écologique. Aucun n'est envisagé pour protéger d'une crue soudaine un équipement majeur comme un site « Seveso » ou une centrale nucléaire proche d'un fleuve, avec des u caractéristiques lui permettant de résister à un tremblement de terre . La Mairie de Paris et les Autorités portuaires, craignant une réédition d'une crue centeniale comme en 1910, ont multiplié les barrages réservoirs en amont de manière à absorber dans des réservoirs artificiels ce qui pourrait concourir à recréer une crue similaire. En outre, aux portes mêmes de Paris, a été construit sous le Stade de France un très gros collecteur destiné à aspirer les excèdents de crue venant de l'amont pour les libérer en aval. Tout est donc préparé pour faire face à une crue centeniale venant de l'amont. En aval, il n'y a rien, aucun obstacle, car tous les spécialistes des crues sont persuadés que la crue viendra de l'amont. Et, si elle vient de l'aval, contre toute attente ? Paris peut être inondé, car la place de la Concorde n'est qu'à trente-quatre mètres 1 au-dessus de la Manche, mer dont la profondeur n'a que 47 m au maximum et dont la formation n'est pas très ancienne. Si elle remonte - de 47 m, et si on ne fait rien pour se protéger contre la mer en aval, il y aura de l'eau salée d'une façon durable et peut-être définitive sur 13 m au-dessus de la place de la Concorde; les infrastructures souterraines (métro -sauf sur les hauteurs - gares, RER, conduites, câbles, téléphone, transmissions, etc.) seront définitivement hors service, ce qui représentera des dégâts inchiffrables, les parkings publics et privés avec les voitures qui s'y trouveront garées deviendront 31 inutilisables, et un patrimoine immobilier public et privé considérable sera voué à la destruction, sinon se trouvera gravement endommagé. Il en sera de même pour de nombreux musées comme celui du Louvre qui est en bord de Seine. Maintenant, nul ne sait de combien de mètres s'élévera réellement le niveau de la mer, ni à quelle échéance se produira cet événement qui est une véritable « épée de S Damoclès » sur la tête de l'Humanité. À Copenhague, cette éventualité a été plutôt « évacuée » bien que plusieurs pays insulaires soient directement menacés dans leur existence même. Le G I E C en est réduit à des hypothèses et, suivant les experts, l'élévation du niveau des mers et océans pourrait varier de un à soixante-dix mètres, compte tenu qu'une vague de tsunamt peut atteindre 16 jusqu'à 45 mètres comme à Aceh (Sumatra) et peut-être plus ! L'invention concerne un barrage d'un type nouveau, écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée destiné à protéger une région aussi bien face à une montée des eaux venant de l'amont du fait de conditions atmosphériques provoquées par une crue soudaine et/ou à une élévation imprévue du niveau des océans se traduisant sous forme de dt,s tsunami vertical , ou de mascaret anormalement fort, ou de tempête venue de l'aval. Il a aussi pour but, par transfert, la reconstitution des nappes phréatiques des régions manquant d'eau d'une manière temporaire ou définitive, et donc de sauvegarder la ressource en eau. Il peut aussi, en inversant ses pompages, limiter les dégâts en cas d'accident 4 industriel comme celui qui survint dans une usine d'aluminium en octobre 2010 en Hongrie. Les dessins annexés illustrent l'invention : La figure 1 représente en vue aérienne le dispositif dé l'invention à sec, avant sa mise en service. La figure 2 représente en vue aérienne le dispositif de l'invention rempli d'eau. Ir La figure 3 représente le système servant de blocage de la porte type « écluse » en position « ouverture du chenal ». La figure 4 représente le système servant de blocage de la porte type « écluse » en position « fermeture du chenal ». La figure 5 est relative à l'évacuation et à la sauvegarde de la ressource prélevée dans la traversée du barrage écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée La figure 6 décrit une hypothèse de doublage du barrage écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée permettant d'alléger la pression d'une crue amont surtout dans l'hypothèse d'une crue simultanément avec une hausse du niveau de la mer venant de l'aval. Ce bassin parallèle peut servir de réservoir d'eau douce de secours par exemple pour un site type « Seveso » La figure 7 concerne l'invention dans la configuration de protection d'un site type « Seveso » 1? en cours de construction, d'exploitation ou de déconstruction en bordure d'un fleuve.
Industriellement parlant, tout dépend de la nature du sous-sol dans lequel il est creusé et sur lequel il est édifié. Un sous-sol rocheux est préférable tant durant la période de creusement et de construction, de dé-construction, que pour sa résistance en période de fonctionnement. Les figures 1 et 2 décrivent un barrage de type « classique »'mais écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée, comprenant : - en amont un premier ouvrage à deux portes'séparées par environ 200 mètres ou plus en fonction de la longueur des convois fluviaux du pays et, après un sas d'environ trois mille mètres ou plus, en aval, un deuxième barrage avec une porte orientée vers l'amont, ces trois portes ayant pour objectif de faire face à une montée anormale en amont des eaux résultant de fortes pluies ou des conséquences de la rupture d'un barrage. Cette zone de trots mille mètres ou plus constitue une zone intermédiaire de sécurité en cas de problème de porte soit vers l'amont, soit vers l'aval. Par contre, accolé au premier barrage, - un autre barrage est creusé puis érigé à 200 mètres ou plus en fonction de la longueur des convois fluviaux du pays, mais orienté vers l'aval de manière à construire, en cas de besoin, un barrage « à double entrée » et d'un seul tenant, mais à caractère défensif. Ce barrage vers l'aval protége la partie amont du fleuve ou d'un canal à l'aide de deux portes, dont l'une est actionnée depuis la rive gauche, et l'autre, parallèle à la première, est actionnée depuis la rive droite avec pour objectif de renforcer le dispositif contre toute montée des eaux d'origine maritime venant de l'aval. En dehors de toute anomalie dans les écoulements aquatiques, le centre de ces barrages laisse couler le fleuve librement dans un chenal écologique permettant aussi bien le passage des poissons que celui des convois fluviaux. Le fond de la partie ouverte du fleuve entre les deux derniers barrages et sa partie amont sont construits d'une manière antisismique en béton, avec un sandwich en kevlar ou en une matière ayant une résistance supérieure à l'usure due à l'écoulement de l'eau. Les trois portes amont sont du type « porte d'écluse » en acier inoxydable recouvert de silicone, ou équivalent plus résistant. Les deux portes aval sont dans une matière pouvant résister à l'eau de mer et avec une capacité de résistance suffisante pour faire face à la force des vagues. Ces deux dernières sont surmontées d'une plaque de polycarbonate de 20 cm d'épaisseur et d'une hauteur de deux à quatre mètres incrustée pour moitié dans la partie supérieure de chaque porte. Elles sont orientées et inclinées vers l'aval face à une montée maritime le long du fleuve ou d'un canal. Au fond de chaque chenal, des rainures ou rails métalliques encastrés dans le sol facilitent la rotation des portes.
Chaque ouvrage est composé de poutres verticales métalliques ancrées et enfoncées dans le rocher et réalisées en béton armé ou équivalent avec un enrobage en béton armé. Le cas échéant, un deuxième demi-Barrage écologique, antisismique, antitsunami et S à double entrée est envisagé en aval d'une ville pour protéger ses infrastructures contre une montée soudaine des eaux maritimes liée à un changement de niveau des océans. Cela est particulièrement utile dans des fleuves où se produit le phénomène dit du « mascaret » qui est une vague déferlante provoquée par le choc brutal entre le flux naturel descendant du fleuve et le phénomène de la marée montante. L'intérêt de ce demi-barrage, avec une porte unique, mais orientée et avec une forme concave vers la mer, est de protéger contre celle-ci en cas de montée anormale du niveau des eaux de la mer, les infrastructures d'une ville dont la partie fluviale est à une faible altitude au-dessus du niveau de la mer et de refouler les vagues en direction de la mer. Pour élaborer un barrage écologique, antisismique et antitsunami à double entrée, il If s'agit au préalable de fortifier les rives aval et amont jusqu'à au moins 70 m de haut, y compris celles des affluents depuis leur source afin d'éviter que le barrage écologique, antisismique, antitsunami à double entrée, ne perde de son efficacité par contournement ou par capillarité souterraine. Les rives situées en aval du barrage et, le cas échéant, celles des affluents en aval ledoivent être fortifiées et surmontées en continu de la même plaque métallique ou autre de deux métres de haut orientée vers l'aval que celle de la superstructure encastrée dans la partie supérieure de chaque porte du barrage aval . Une variante consiste à construire un barrage du même type au confluent du fleuve et de chacun de ses affluents ou de ses canaux latéraux et de les fortifier vers l'aval. ir Le site de construction doit de préférence être rocheux pour donner une meilleure assise à la structure. La forme du premier barrage construit en antisismique dirigée vers l'amont ressemble à un barrage classique, ancré sur des forages avec poutres métalliques ou en béton armé, mais dont le fond est en béton ou dans une matière équivalente, avec un sandwich en kevlar et des prises d'eau métalliques (G) et des filtres pour éviter que des 3* corps morts ne puissent les obstruer. Ces prises d'eau avec pompes aspirantes et refoulantes et ouvertures télécommandées sont reliées en souterrain à des conduites métalliques ou aqueducs (F). De la même manière, au moins quatre (ou six suivant le débit du fleuve) prises d'eau (H) avec filtres sont construites dans les parois latérales et reliées à des aqueducs. Au centre de chaque barrage, est laissé libre un chenal (6) au fond bétonné avec un sandwich en kevlar ou en une autre matière ayant une résistance plus forte, de 15 mètres de large, et d'au moins 200 m de long avec, pour chaque porte de fermeture, une rainure au sol ou un rail métallique encastré facilitant sa rotation. La navigation dans le chenal est en alternance avec feu vert et feu rouge. Le fond de la partie ouverte du fleuve entre les deux derniers barrages et sa partie amont est construit en béton, avec un sandwich en kevlar, ou en une matière ayant une résistance supérieure à l'usure due au passage de l'eau. Les deux portes (68 m de haut au maximum, 15 m de large et 1 m d'épaisseur) du barrage amont, une au début du barrage à l'entrée du chenal et l'autre à 200 m en aval ou plus, à la fin du chenal sont montées sur des roues encastrées dans le bas de la porte et circulant sur deux rails encastrés dans le sol; elles sont actionnées soit d'une manière mécanique, soit d'une manière électromécanique, ou avec un coussin d'air permettant leur ouverture ou leur fermeture, comme pour une écluse classique. Toutes les portes ont les mêmes caractéristiques de mobilité. La fonction de chaque porte, en cas de crue, est de protéger temporairement la partie aval du fleuve et de transférer l'eau par aqueducs avec des pompes aspirantes et refoulantes et à ouvertures télécommandées vers les régions où le besoin d'alimenter des It nappes phréatiques est nécessaire. Un deuxième barrage est construit au début du chenal à trois kilomètres en aval ou plus, avec une seule porte de dimensions similaires et un système de rotation analogue. Symétriquement, il lui est accolé un autre barrage, mais orienté vers l'aval. Sauf option, il ne prévoit pas de prises d'eau métalliques, à moins que ce moyen ne soit utilisé pour alimenter une installation de désalinisation d'eau de mer. Par contre, il est obturé par deux portes se recouvrant l'une et l'autre afin d'accroître sa résistance face à un éventuel tsunami. La première porte a les mêmes caractéristiques que la porte du deuxième barrage « amont », et son fond comprend des rainures (1) d'un mètre de large et de 50 cm de profondeur. Il en est de même pour la seconde porte qui a les mêmes dimensions, chacune d'elles étant surmontée d'une plaque métallique de 4 mètres de hauteur et 20 centimètres d'épaisseur dont la moitié est verticale comme dans chaque porte et l'autre recourbée vers l'aval pour résister à une tempête ou à un tsunami. Leur rotation est analogue à celle des portes amont. Entre les portes, des prises d'eau avec pompes aspirantes et refoulantes et à ouvertures télécommandées à gros débit (H) diminuent la pression de l'eau et alimentent les aqueducs (F) tout en accélérant la baisse du niveau de l'eau dans le chenal, en cas de besoin. En cas de montée du niveau de là mer, ces portes restent définitivement fermées et le Barrage écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée fonctionne alors comme un barrage classique, sauf en cas de baisse ultérieure du niveau maritime.
Les portes peuvent être acheminées par voie fluviale, compte tenu de leurs dimensions hors gabarit (68 m x 15 m x 1 m) et de leur poids ou bien par hélicoptère. Pour assurer une communication entre les deux rives, un pont-levant métallique (2) de 5,50 m de large et 22 m de long ou plus est construit avec un mécanisme, actionné S depuis la rive droite lui permettant de se dresser hydrauliquement jusqu'à la verticale pour permettre le cas échéant à un bateau ayant un tirant d'air important de franchir le chenal central. Une barrière oblige tout véhicule de la rive opposée à s'arrêter en attendant que le pont soit à nouveau utilisable. Pour prévenir de l'urgence de la nécessité de fermeture des portes, des bouées ou If) des balises flottantes (4) (alimentées chacune par une minihydrolienne construite au fond du fleuve), et avec un mât avec un repérage lumineux à 75 m de haut pour éviter toute collision), sont immergées à 5, 10 km et plus en amont et en aval, pour mesurer électroniquement d'une bouée ou balise à l'autre, la vitesse du courant depuis l'amont ou depuis l'aval. Si les balises détectent une crue amont ou une augmentation anormale du niveau maritime, la ou les portes correspondante (s) sont fermées par sécurité, un signal sonore et un feu rouge incitent le trafic fluvial à s'amarrer en urgence à des faisceaux de pieux enfoncés dans le fleuve ou ducs d'Albe (E) d'au moins 75 m de haut à prévoir en amont et en aval pour assurer l'amarrage des navires. Ces ducs d'Albe sont surmontés d'une miniéolienne fonctionnant à l'horizontale (à un étage ou plus).Des plaques photovoltaïques sont ajoutées sur les parois latérales en option si des besoins d'énergie additionnelle s'avèrent nécessaires, mais ce n'est pas obligatoire. En superstructure, est construit sur la rive droite un mirador de veille (A) à côté du pont levant : il permet de centraliser le fonctionnement des portes et de toutes les installations mobiles à partir des informations issues des bouées et balises immergées en amont et en aval, et en liaison avec les organismes de prévision des crues comme, par exemple, le S.C.H.A.P.I. en France. Après la fin de la crue amont, la butée est retirée en la faisant coulisser vers son logement, la porte du barrage amont est réouverte et le trafic fluvial est averti par VHS (vidéo home system). Si les portes aval ont été fermées en même temps que la porte amont, elles sont aussi ouvertes à moins d'une augmentation du niveau des eaux venant de l'aval. Ceci permet d'assurer un trafic fluvial alterné en fonction du gabarit des bateaux, mais en tenant compte de l'accroissement du courant (sauf en cas de basses eaux) dans le chenal. Si le trafic montant est particulièrement important, on peut procéder par éclusages successifs comme dans une écluse classique. En cas de fermeture définitive de la porte aval, il est prévu sur la rive droite en amont un appareil élévateur de containers pouvant (B) transférer les containers sur des wagons porte-containers circulant sur une voie ferrée nouvelle (C) construite sur une hauteur soit naturelle, soit à partir des remblais issus de la construction du barrage. Cette voie les amènera à une aire de stockage située en aval . Là, un autre appareil élévateur de containers (D) les transfère dans des bateaux fluvio-maritimes ; inversement cet élévateur joue le même rôle pour les produits importés. La figure 3 décrit le système de blocage de chaque porte à l'aide d'une butée permanente (5) (d'environ 70 m de hauteur), mais cette butée est renforcée par une deuxième butée amovible (3) en acier de même hauteur et d'un mètre de long prolongée par un compartiment moteur encastré dans la paroi du chenal; le tout est surmonté d'un abri de protection contre les intempéries. Le fonctionnement de cette butée, qui reste encastrée en temps normal dans la paroi du chenal, est assuré par un moteur électrique situé derrière la butée ou par électronique. La figure 4 décrit son principe de fermeture avec une partie mobile, montée sur quatre roues escamotables circulant sur deux rails d'au moins 50 cm de profondeur avec éventuellement un mini coussin d'air et, entourée d'un joint de caoutchouc ou de kevlar ou autre matière avec une résistance équivalente ; elle fait saillie de 50 cm (ou 1 m selon les versions) dans la paroi du chenal et est bloquée dans sa course par un taquet (T) encastré au fond du chenal. Elle vient se positionner le long de la porte d'écluse pour la bloquer et renforcer sa t ("résistance après sa fermeture. Ce dispositif est commun à toutes les portes de sorte qu'elles restent bloquées dans les deux sens pendant leur fermeture. Pour en assurer la maintenance, il suffit de fermer la porte d'écluse du barrage le plus en amont. Par gravité, les autres parties du barrage se vident et laissent à découvert le reste du barrage. Ceci permet de nettoyer les cailloux, la terre et les arbres pouvant se trouver dans le fond du barrage. En rouvrant le barrage amont, cela provoque un effet de chasse décapant la terre pouvant se trouver sur les parois ou près des buses de pompage. La figure 5 décrit le système d'aqueducs issus des prises d'eau du barrage puis regroupés dans des aqueducs de plus gros diamètre. Entre les portes, des prises d'eau avec pompes aspirantes et refoulantes et à gros mie débit (H) diminuent la pression de l'eau et alimentent des aqueducs (F) de plus gros diamètres, permettant d'acheminer l'eau en vue d'approvisionner les régions Manquant d' eau (période de sécheresse) ou des installations industrielles nécessitant beaucoup d'eau ou encore des centrales nucléaires ou d'exporter de l'eau par aqueducs édifiés temporairement - et non par bateaux-citernes, comme ce fut le cas entre Marseille et Barcelone en 2008. Ces aqueducs ont un profil pouvant créer de mini chutes d'eau, génératrices de mini1 centrales électriques ou des bassins de décantation pour éliminer les impuretés en suspension. Des panneaux photovoltaïques solaires ne sont installés que si des besoins de production d'électricité intermédiaires sont nécessaires, mais ce n'est pas obligatoire. En fonction des besoins, il est prévu en amont un point de stockage d'eau souterraine en vue, en période d'étiage, de réinjecter de l'eau dans le fleuve pour en $ permettre la navigation. À certains endroits, les gros aqueducs sont dédoublés en deux aqueducs: l'un (M), après traitement our rendre l'éau potable, est-destiné exclusivement à la consommation humaine ; l'autre (N) ne subissant aucun traitement, sauf par décantation naturelle, est destiné à l'agriculture, à l'arrosage et à l'industrie surtout en période de sécheresse des régions déficitaires en eau, ou au maintien du niveau des fleuves en cas d'étiage.En option, des embranchements par aqueducs permettent de dériver des flux, temporairement ou non, vers d'autres régions ou d'autres pays, moyennant une redevance.. Pour des raisons d'économie, on peut ne construire qu'un Barrage écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée au lieu de deux, mais l'inconvénient est, en cas t de forte crue en amont, d'avoir moins de prises d'eau pour aspirer l'eau et l'évacuer rapidement dans les aqueducs et de courir un risque de débordement en aval par-dessus les portes de protection côté maritime. La zone intermédiaire et le deuxième barrage ont t'avantage de multiplier les prises d'eau et de limiter la pression sur le Barrage écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée situé en aval. La figure 6 décrit une structure, destinée à empêcher qu'une crue massive et soudaine ne puisse submerger le Barrage écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée:à qui elle sert de complément sur une plus grande profondeur ; Elle a la forme d'un barrage de type classique surmonté d'une voie de circulation dans l'axe du pont levant du barrage à double entrée, mais bordée vers l'aval d'une plaque en polycarbonatê de deux à quatre mètres (dont la moitié incrustée dans la paroi avale du parapet) incurvée et orientée vers l'aval pour mieux résister à la pression d'une tempête, d'un mascaret ou d'un tsunami. Sa profondeur sera la plus grande possible en fonction de la nature du sous-sol. Il est antisismique avec des caractéristisques analogues à celles du barrage écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée. Situé en contrebas d'environ cinq mètres, il est relié au reste de l'ouvrage soit par un canal, soit par un déversoir latéral à ouverture télécommandée (7) ; en fonction du débit du fleuve, il peut fonctionner en permanence ou de temps à autre par exemple pour approvisionner en eau une centrale hydraulique de basse chute ou un site sensible ayant besoin d'eau pour pouvoir fonctionner. Cette structure peut accueillir une ferme aquacole eavec des espèces adaptèes à la température de l'eau et en fonction de l'élévation future de la température, sous la forme d'une structure fixe ou d'un caisson mobile à dimension variable et dont le positionnement peut être guidé de la même manière qu'un ascenseur. En période d'étiage, une pompe située au fond permet d'injecter en cas de besoin un flux aquatique permettant un tirant d'eau minimum pour assurer la navigation. Si le fleuve a une très grande largeur, on a le choix entre la structure ci-dessus et la création d'un deuxième Barrage écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée symétrique et avec des caractéristiques semblables. Par contre, ce deuxième barrage devra se trouver du côté opposé à celui où sont situés les appareils élévateurs de containers (B), permettant de décharger des barges des containers et de les transférer sur des wagons to porte-containers circulant sur une voie ferrée nouvelle (C) construite sur une hauteur soit naturelle, soit à partir des remblais issus de la construction du barrage. Cette voie les amènera à une aire de stockage située en aval . Là, un autre appareil élévateur de containers (D) les transfère dans des bateaux fluvio-maritimes ; inversement cet élévateur joue le même rôle pour les produits importés. Entre les deux barrages écologiques, antisismiques, antitsunami et à double entrée, est construit un unique barrage avec les mêmes caractéristiques que ci-dessus situé dans le prolongement du pont levant de chaque barrage écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée avec en superstructure une route de liaison protégée vers l'aval par une plaque de polycarbonate de 4 mètres de haut et de vingt centimètres d'épaisseur encastrée dans le béton. Ce réservoir est relié à chacun des barrages soit par un canal amont, soit par un déversoir (7A) A. ouverture télécommandée et situé en contrebas ; elle peut fonctionner en permanence ou d'une manière temporaire, et permettre d'approvisionner en eau une centrale hydraulique de basse chute ou être reliée à un site sensible ayant besoin d'eau té; pour pouvoir fonctionner. Pour faciliter la navigation, on peut faire le choix que tout le trafic avalisant (descente) utilise un même chenal et que le trafic montant utilise l'autre chenal. La figure 7 est relative à la protection d'un site type Seveso situé en bordure d'un fleuve. Certains sites type Seveso ont besoin pour fonctionner de beaucoup d'eau qu'ils rejettent 11,4 ensuite en aval après traitement. D'un autre côté, l'envahissement par suite d'une crue soudaine ou de la rupture d'un barrage amont,d'un site type Seveso provoque l'arrêt de son activité et peut entrainert. files dégâts collatéraux considérables. Quelque soit l'état d'avancement de la protection d'un site type Seveso, il est impératif de le protéger d'abord contre son environnement aquatique. Si on se trouve dans 1,e la phase initiale, avant même la construction du site, il faut commencer par construire sa protection. Si le site a été construit sans protection, il est urgent d'en construire une.
Si le site est en fin de vie, avant de procéder à sa dé-construction, il faut construire une protection, car c'est la phase la plus périlleuse en termes de pollution. Comme la fin de vie d'un site intervient souvent de nombreuses années après le début de la construction et que les coûts de main d'oeuvre et de matériaux ont augmenté avec le temps, le plus rentable S est de construire la protection du site et de ses environs d'abord et ensuite sa construction. La plupart des sites Seveso sont construits en bord de fleuves. Pour les protéger des crues tout en leur assurant un approvisionnement en eau, il y a lieu de construire un barrage écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée englobant la structure du site type Seveso, dans une configuration où la zone intermédiaire n'a plus trois mille mètres, mais 11,, une longueur analogue au nombre de kilomètres du site en bordure de fleuve. La structure de barrage complémentaire construite en prolongement du pont levant sera analogue, car ce barrage est à la fois un lieu de pompage en cas d'étiage et de déversoir des eaux traitées par le site. Le réservoir amont sert aussi à l'alimentation en eau en cas de défaillance en période de sécheresse. iy Une PROTECTION de site Seveso en bordure fluviale doit être édifiée en antisismique et antitsunami sur une hauteur de 60 à 80 mètres au-dessus du niveau du fleuve avec une configuration destinée en cas de vague type tsunami à protéger le site.Sa partie supérieure est renforcée avec une lame de polycarbonate. L'appareil élévateur de containers (B) est conçu pour pouvoir transborder un In container par-dessus la Protection vers l'amont, et le déposer sur un wagon sur une voie ferrée existante ou à construire dans le site Seveso pour l'évacuation des déchets. Pour le protéger d'une crue plus importante provoquée par exemple par une rupture de barrage en amont, une PROTECTION de 60 à 80 mètres doit être construite autour du site Seveso pour le confiner. En fonction de l'altitude, il est préférable de construireun '- A1ÿ double rempart (Ibis-8-9-10-11-12Yoyienté vers l'aval et de le surmonter d'une plaque de polycarbonate de même caractéristique que celle surmontant les écluses en aval pour la protéger en cas de tsunami. Son alimentation en eau est assurée par pompage dans la zone intermédiaire et restituée ensuite par gravité. En coupe, cette Protection comprend successivement depuis le bord du fleuve ou de la surface aquatique deux structures contigües : la première (Ibis-8) a une forme plutôt arrondie pour refouler l'eau vers l'arrière. En 8, un renfort en polycarbonate renforce sa structure. La forme 89 avec en option un barbelé incrusté le long du 9 a pour but de renforcer la défense du rempart contre un assaillant éventuel. La structure 9-10 inclinée vers l'arrière complète la forme de la Protection. La deuxième Protection (10-11-12-13) a une structure de profil analogue à la première mais avec une dimension homothétique équivalant à une fois et demi celle de la première

Claims (10)

  1. REVENDICATIONS1. Barrage et Protection écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée caractérisé en ce qu'il comprend : . trois ouvrages, du type « barrage », solidaires les uns des autres, à au moins une porte . ces ouvrages ont chacun une hauteur maximale de 70 mètres ; . deux ouvrages se trouvant en aval sont construits en opposition (l'un est orienté vers l'amont et l'autre vers l'aval) ; et un ouvrage en amont ; . dans la partie centrale (6) l'eau s'écoule d'une manière naturelle .des rives amont et aval fortifiées comme les barrages à double entrée et 10 construites à partir de béton armé ou autre composant ayant une résistance supérieure, pour éviter que l'eau ne puisse pas contourner le barrage et le rendre inefficace ; des chenaux bétonnés de 15 m de large et 200 m de long ou plus en fonction de la longueur des convois fluviaux du pays, permettent une navigation d'une manière 15 alternée (vert pour passer et rouge pour attendre), vers l'aval, les rives et, le cas échéant, la partie supérieure des rives en aval et du barrage lui-même sont surmontées d'une plaque en polycarbonate de deux à quatre mètres (dont la moitié incrustée dans la porte) ; (es plaques sont incurvées et orientées vers l'aval pour mieux résister à la pression 20 d'une tempête ou d'un mascaret ou d'un tsunami ; des prises d'eau (E) (H) permettent l'alimentation d'aqueducs (F) pour préserver la ressource en eau (R) (S) en cas de sécheresse.
  2. 2) Barrage et Protection écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée selon la revendication n°1 caractérisé en ce qu'il comprend deux barrages en série 25 et séparés par au moins trois mille mètres ou plus, que le barrage situé en amont comprend en sa partie centrale un chenal (6) pour l'écoulement libre des eaux et le passage des poissons, des portes métalliques (3) recouvertes de silicone du type 3 0 0 7 7 7 3 12 « porte d'écluse », de quinze mètres de large ou plus, d'une hauteur dépendant de la localisation du barrage, mais d'un maximum de sokante-huit mètres et d'au moins un mètre d'épaisseur et, peut-être plus, en fonction de la pente du fleuve, que le barrage aval comporte trois portes (une contre les eaux venant de ramant et 5 deux contre le fleuve en aval), ces deux dernières se trouvent en aval rune de Faute pour mieux amortir le choc d'une tempête ou d'un tsunami et que toutes les portes sont montées chacune sur quatre roues pleines circulant sur deux rails parallèles encastrés dans le sol, avec un coussin d'air de sorte que, lorsqu'une porte a atteint sa butée extrême matérialisée par une butée en béton ou en métal (5), le 10 Chenal sera barré, mais que par sécurité, une butée amovible (3) l'empêche de 'revenir en amère.
  3. 3) Barrage et Protection écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée selon les revendications n°1 et 2 caractérisé en ce que des butées métalliques (5) amovibles latéralement (3) de 70 m de haut, 0,50 à 1 m de bng et 50 cm de 15 profondeur, prolongées par un compartiment moteur sont encastrées dans la paroi du chenal en face de chaque porte, que chacune de ces butées et de son compartiment moteur est en temps normal recouverte d'un abri en béton pour le mettre à l'abri des intempéries, que la partie mobile de ces butées, montée sur quatre roues escamotables, se déplace sur 50 cm ou 1 mètre sur deux rails 20 parallèles encastrés dans le sol jusqu'à un taquet (T) incrusté dans le fond du chenal et que chaque butée (5) vient bloquer la porte qui lui fait face en position de fermeture hermétique, alors qu'un bourrelet en caoutchouc ou Kevlar ou matière équivalente empêche l'eau de pénétrer dans le compartiment moteur et en ce que le sol du chenal est antisismique, et bétonné avec une semelle en Kevlar ou en une 25 matière ayant une résistance supérieure à l'usure, et qu'il comporte en amont du chenal libre, quatre ou cinq prises d'eau métalliques (G) filtrantes et refoulantes et à ouvertures télécommandées pour empêcher que des troncs d'arbres et divers objets ne puissent y pénétrer, ainsi que des prises d'eau métalliques (H) avec pompes aspirantes et refoulantes et à ouvertures télécommandées insérées dans 30 les parois latérales.
  4. 4) Barrage et Protection écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée selon les revendications n° 1 à 3 caractérisé en ce que des bouées ou des balises 3 00 7 7 7 3 13 électroniques (4) à moitié immergées en amont (à 5 et 10 km) et en aval (à au moins 5 et 10 km) détectent toute anomalie amont et aval dans les flux fluviaux et maritimes (montée des eaux, vitesse anormale du courant, etc) et qu'en cas d'anomalie, elles provoquent l'obturation et le blocage obligatoire des portes du 5 premier barrage (cas des crues amont) ou du deuxième barrage (cas de tempête ou de tsunami), et que ces balises, signalées par un mât de repérage lumineux de 75 m de haut pour éviter toute collision, sont alimentées par des minihydroliennes.
  5. 5) Barrage et Protection écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée selon les revendications n°1 et 4 caractérisé en ce que des Ducs d'Abe (E) d'au 14 moins 75 m de haut surmontés d'une éolienne horizontale sont érigés en amont et en aval du barrage, dont le franchissement se fait en circulation alternée et qu'une sirène d'alarme retentit, obligeant les navires en cours de navigation à s'amarrer au Duc d'Albe le plus proche si le niveau de l'eau est en augmentation et un dispositif du .type « matériels élévateurs de containers » (B) (D) reliés par une voie ferrée 15 *avec wagons porte-containers permet une navigation ralentie sur le fleuve vers l'aval et inversement vers l'amont et que la remise en service du franchissement du Barrage écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée se fait par VHS,. entre les deux portes orientées vers l'aval et la porte orientée vers l'amont du Barrage écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée avai, un pont-2 0 levant routier (2) relevable hydrauliquement à la verticale en cas de franchissement par des bateaux ayant un tirant d'air important permet le passage entre les deux rives du fleuve.
  6. 6) Barrage et Protection écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée selon la revendication n°3 caractérisé en ce que les prises d'eau métalliques (G) (H) 25 des parois latérales et du fond prélèvent de l'eau en permanence avec des pompes aspirantes et refoulantes et à ouverture télécommandée, que cette eau est déversée de chaque côté du barrage à double-entrée dans des aqueducs (F) de regroupement non submersibles, dont le parcours est ponctué de bassins de décantation pour éliminer une partie des impuretés, puis que d'éventuelles chutes 30 d'eau permettant de créer de mini-centrales électriques pour acheminer l'eau vers les nappes phréatiques des régions ( R) (S) dont, notamment en été, le niveau est nettement déficitaire et en situation de sécheresse, qu'optionnellement, despanneaux photovoltaïques solaires peuvent faciliter l'acheminement de cette eau et que si le fleuve a une très grande largeur, on a le choix entre la structure selon les revendications précédentes ou la création dune deuxième structure selon les mêmes revendications, mais celle-ci étant parallèle et située en contrebas et sur la partie opposée à la voie ferrée de transbordement et pouvant constituer un moyen d'alimenter en eau un site sensible.
  7. 7) Barrage et Protection écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée selon les revendications n°1 et 6 caractérisé en ce que chaque aqueduc, à partir d'un certain point, est dédoublé : un aqueduc (F) est dirigé vers une station 10 comprenant un système de filtration membranaire (0) (P) pour éliminer les virus et autres nanoparticules selon un procédé la rendant potable, et un autre sans traitement (N) (Q) (S); le deuxième aqueduc (N) ne sera l'objet d'aucun traitement a priori. (Q) (S)
  8. 8) Barrage et Protection écologique antisismique, antitsunami et à double entrée 15 selon les revendications 1, 6 et 7 caractérisé en ce que dans chaque région (ou entité à définir) au moins deux réservoirs : un alimenté par l'aqueduc de la station (R) selon un procédé la rendant potable (O ) (P ) est destinée exclusivement à alimenter en eau la population et que, par contre, rautre (N ) alimentée par l'aqueduc sans traitement est destinée aux autres activités ou au maintien du 20 niveau des fleuves en cas d'étiage ( Q) (S ).
  9. 9) Barrage et Protection écologique, antisismique, antitsunami et à double entrée selon la revendication n°1 caractérisé en ce que, pour empêcher une crue massive et soudaine de submerger le Barrage, un réservoir de grande dimension est créé en contrebas d'environ 5 mètres et sur la rive opposée à celle de la voie ferrée, que 25 ce réservoir à la forme d'un barrage de type classique surmonté dune voie de circulation (2)mais bordée vers raval dune plaque en polycarbonate de deux à quatre mètres (dont la moitié incrustée dans la paroi avale) incurvée et orientée vers l'aval pour mieux résister à la pression dune tempête ou d'un mascaret ou d'un fi tsunami,. 30 _,10) Barrage et Protection écologique antisismique, antitsunami et à double entrée selon la revendication n°1 caractérisé en ce qu'une cer ale nucléaire ou un site Seveso besoin pour fonctionner de beaucoup d'eau, pompée dans le fleuve ou unréservoir mais que cette eau, quand elle est trop abondante d'une manière accidentelle , constitue un danger pour le site et son environnement, et qu'il y a lieu, avant la construction du site Seveso ou en cours d'exploitation ou au plus tard avant sa dé-construction, de le Protéger par une double Protection antisismique et antitsunami sur 60 à 80 mètres de haut orientée vers l'aval sur toute la longueur de sa partie commune en bordure de fleuve, et que r appareil élévateur de containers a une hauteur permettant de faire passer un container au-dessus de la Protection. (7bis-8-9-10-11-12-13).du site Seveso pour le confiner. En fonction de l'attitude, il est préférable de construire un double rempart (7bis-8-9-10 et
  10. 10-11-12-13) orienté vers l'aval et de le renforcer avec une plaque de polycarbonate de même caractéristique que celle surmontant les écluses en aval pour la protéger en cas de tsunami. Son alimentation en eau est assurée par pompage dans la zone intermédiaire et restituée ensuite par gravité. En coupe, cette Protection comprend successivement depuis le bord du fleuve ou 15 _ de la surface aquatique deux structures contes :ou non : la première (Ibis-8) a une forme plutôt arrondie pour refouler l'eau vers Panière. En 8, un renfort en polycarbonate renforce sa structure. La forme 8-9 avec en option un barbelé incrusté le long du 9 a pour but de renforcer la défense du rempart contre un assaillant éventuel. La structure 9-10 inclinée vers l'arrière complète la forme de 20 la Protection. La deuxième Protection (10-11-12-13) a une structure de profil analogue à la première mais avec une dimension équivalant à une fois et demi celle de la première.
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