FR3005396A1 - Ensemble destine a la literie, pour obtenir un boutonnage entre la couette et la housse - Google Patents

Abstract

Le système a pour objet un dispositif d'attache entre la couette et la housse, permettant le choix entre un boutonnage, un enlacement ou l'enfermement du tissu. Le dispositif comporte un support d'attache et les éléments qui permettent de la réaliser : un bouton, une tête malléable avec sa rondelle de rétention et sa chambre d'air, et un boitier conditionné pour emprisonner le tissu. Le support d'attache est un élément bipartite (1,2) doublé en caoutchouc (5) dont les deux pièces se joignent entre elles (3) à une une distance réglable (4). L'attache se réalise avec un bouton (8) antidérapant (10), ou grâce à une tête malléable d'enlacement (11), sa rondelle de rétention (13) et sa chambre d'air (15) et son joint (16), ou se fait à l'aide d'un boitier (17,19) conditionné pour enfermer le tissu sans l'abîmer (18,20) Le dispositif garantit une bonne tenue de la couette, protège le tissu et évite les déchirures ; de facile installation, il est stable, esthétique et ne risque pas de s'égarer lors du changement des draps.

Description

Ensemble destiné à la literie, pour obtenir un boutonnage entre la couette et la housse. Secteur technique : Ce dispositif concerne literie : les couettes et les housses Etat antérieur : 15 n'existe pas sur le marché un moyen de faire une attache entre la couette et la house de couette. Il n'y a pas de moyen pour empêcher que la couette glisse dans sa housse. Problème technique posé : Aussi bien l'installation de la couette entre sa housse, comme son maintient, présentent une grande difficulté. Une fois la couette installée et posée sur le matelas, elle a tendance à glisser entre la housse, Ititée par son propre poids et par les mouvements de la personne endormie ; la réinstallation demande des efforts en essayant de rattraper les pointes, de sorte qu'on continue de tapoter la couette en essayant de la réinstaller et qu'on s'habitue à dormir avec une accumulation de tissu sous le menton. Très utiles lors de l'enfilage de la couette, les épingles à nourrice ne peuvent pas être prises comme moyen permanent d'attache, car elles peuvent s'ouvrir, ou leur tête peut se briser à n'importe quel lrfioment en laissant le visage très exposé durant la nuit. Aussi, les épingles employées pour l'enfilage de la housse, finissent par percer le tissu. On peut coudre un bouton sur la couette, puis défaire deux des coutures de la housse et broder des boutonnières, qui doivent être renforcées pour éviter des déchirements du tissu ; mais ce travail est trop long et surtout trop minutieux. Le dispositif présenté a continuation résout les difficultés Winstallation et les et désagréments d'une manière simple et définitive. Il consiste en un boutonnage antidérapant qui nécessite la perforation des housses et l'installation des rustines en guise de boutonnières. La pose des rustines se fera à l'aide du fer à repasser, puis l'obturation de la housse se fera ensuite, avec un petit outil facile à utiliser. Les rustines se retrouveront intégrées au tissu, bordant le contour de l'obturation de manière définitive ; étant faites en Ifaoutchouc, elles aideront à garantir l'immobilité du tissu sur le lieu de son attache à la couette._ Résumé de l'invention : Il s'agit d'un système qui permet l'union et le maintient entre la couette el sa housse. Il peut se faire de trois manières, par boutonnage ou par attache à travers des oeillets, par emboîtement du tissu de la housse, ou par aimantation. Le système par emprisonnement du tissu se trouve décrit à continuation : 5 Attache par bouton (figure 1) Une partie destinée à être fixée sur la couette de bouton destiné à la_couette, et d'un bouton dont la leession -ou la vis- traverserait l'orifice du tissu de la housse et viendra se fixer sur le récepteur. Ce système, qui nécessite donc une obturation du tissu de la housse, inclue des oeillets thermo adhésifs. Le récepteur de bouton constitue un élément inamovible et se conforme à partir de deux rondelles (figure 1 a, b) qui s'articulent et se bloquent en traversant la couette. Il peut servir à attacher la housse uniquement en sa face extérieure, ou peut aussi l'attacher en la face qui reste en contact avec le corps Ida dormeur. Les deux rondelles qui conforment le récepteur de bouton sur ont des moyens d'articulation et de fixation suivant un système de vis -tel qu'il a été choisi pour réaliser le prototype- (figure 1 c , d) ou peuvent s'articuler avec des accros, des saillies ou d'autres modes d'emboîtement et de blocage. Ces rondelles seront faites en caoutchouc, ou seront doublées en caoutchouc, afin d'éviter le frottement, 20usure ou la déchirure du morceau du tissu de la housse qui s'y trouvera en son contact. Ce récepteur de bouton peut se prolonger en sa superficie extérieure avec une vis - comme le montre le prototype- (figure 1 e) qui traverserait la housse préalablement perforée et apprêtée, et sur laquelle viendrait se viser le bouton posé sur la couette. L'attache entre la couette et la housse peut se faire aussi par pression : si on choisi ce mode de boutonnage, le récepteur fixé sur la couette aurait en son 2flilieu l'orifice où viendra se loger l'accroc du bouton de la housse, étant le plus simple que l'élément mâle de la pression provienne du bouton.

Le boutonnage peut être simple ou double c'est à dire se faire sur les deux faces de la couette et sa housse. Si on choisit le boutonnage simple, les rondelles (1 a, 1 b) qui conforment le bouton de la couette seront différentes, la rondelle 1 a sera le récepteur proprement dit, comportant la vis ou l'orifice pour recevoir un accroc de boutonnage, tandis que la rondelle 1 b sera un simple élément de lixation du bouton récepteur posé en la couette, n'aura pas d'orifice ou de croc d'attache, et peut être plus petite que la rondelle 1 a Le récepteur de bouton, fixé sur la couette, peut mesurer environ 3 cm de diamètre ; sa taille peut être différente de celle su bouton de la housse, afin de donner davantage de prise lors du boutonnage et du déboutonnage et les rendre plus faciles. 110 doit être fait en caoutchouc ou être revêtu en caoutchouc, au moins en sa partie externe ; s'il est seulement revêtu de caoutchouc, il peut être fait en n'importe quel matériel naturel ou industriel. Le bouton de la housse (figure lf, g) est un bouton qui sera posé sur le tissu préalablement perforée, et qui viendra se fermer sur le récepteur conformé sur la couette. Ce bouton de housse peut avoir environ 3 cm. de diamètre et peut avoir une taille différente du Irficepteur de bouton, afin de faciliter le boutonnage et le déboutonnage. Il sera en caoutchouc, ou sera recouvert de caoutchouc (figurel h) en sa face interne, affin de stopper les mouvements du tissu de la housse et éviter l'usure du tissu due au frottement. Le bouton de la housse peut avoir d'autres fonctions. Il peut servir par exemple de dispositif pour la commande 1 d'appareils : Il peut servir de moyen d'appel pour les personnes qui utilisent un système lit téléalarme et leur éviterait de dormir avec un bracelet o ou de laisser celui-ci sur la table de nuit où il peut tomber. L'invention couvre également tous les modes et tous les modèles de réalisation qui seront directement accessibles aux personnes de métier à la lecture de cette description, et de leurs propres connaissances.

Claims (5)

1. REVENDICATIONS1. Dispositif d'attache entre les couettes et les housses (figure 1) caractérisé en ce comporte un récepteur de bouton qui se conforme lors de l'union et fixation de ses deux parties a l'intérieur de la couette (figure 1 a , b). Cette union peut se faire selon un mode un mode de vis (figure 1 e, d) ou avec des accrocs qui permettent un accrochage. L'élément récepteur de bouton (s) se prolonge sur sa face extérieure avec une vis (figure 1 e) destinée à recevoir le bouton de la housse. Au lieu de vis, il peut présenter l'orifice où viendrait se fermer le bouton à pression de la housse ; ou il peut présenter fa partie mâle de ce type de boutonnage. Tant pour le récepteur de bouton, comme pour le bouton de la housse, la superficie qui reste en contact avec le tissu devra être en caoutchouc, ou devra être doublée en caoutchouc ou comporter un dispositif en caoutchouc. (figure 1 h) afin d'éviter le glissement du tissu et prévenir l'usure ou les déchirures. Le bouton récepteur peut avoir une dimension légèrement supérieure à celle du bouton de la housse, afin de donner un peu de prise et de lfendre plus facile le boutonnage. Le boutonnage peut se faire sur une seule face de la couette et sa housse, ou sur les deux faces ; il peut servir de base aux décors de literie, ou servir de support à d'autres dispositifs, tels ceux de téléalarme. Cet ensemble de boutonnage, qui nécessite une obturation de la housse et la protection du tissu aux lieux de perforation, inclue des oeillets ou rondelles de caoutchouc qui s'intégreront au tissu grâce à la chaleur d'un fer à repasser, puis un petit outil ld'obturation, laquelle se ferait après la l'encollage des oeillets. Le système inclus aussi une rondelle de protection pour le tissu de la couette lors de l'installation de l'élément récepteur du bouton.
2. 2. Selon la revendication 1 et 2, le dispositif de boutonnage comporte deux éléments, dont la jonction à l'intérieur de la couette conforme le récepteur de bouton ; cette union et fixation peut se faire par vis, ou selon un emboîtement par accrochage. Ces deux éléments constitutifs du bouton récepteur peuvent lare d'égale mesure si le boutonnage se fait sur les deux faces de la housse ; sinon, l'un d'entre eux servira uniquement à fixer l'autre sur la couette.
3. 3. Selon les revendications 1 et 2, récepteur de bouton et ses éléments d'union à l'intérieur de la couette peuvent être faits en métal, en bois ou en n'importe quelle matière naturelle, ou en n'importe quel matériel industriel.
4. 4. Selon les revendications 1 et 2, la face extérieure du récepteur du bouton peut se prolonger avec une vis destinée à recevoir le bouton de la housse ; sinon, elle peut présenter l'orifice ou l'accroc qui permettrait un boutonnage à pression.
5. 5. Selon la revendication 1, la face extérieure du récepteur du bouton ira revêtue de caoutchouc, ou serait conditionnée en caoutchouc afin d'empêcher le jeu entre le tissu et l'autre bouton. 331 Selon la revendication 1, un bouton fait en en métal, bois ou n'importe quelle matière naturelle ou industrielle, sera destiné à la housse et viendra se fermer sur le récepteur de bouton fixé à la couette. 7. Selon les revendications 1 et 6, le bouton de la housse sera fait en caoutchouc, sera revêtu de caoutchouc ou aura une rondelle ou une incrustation en caoutchouc, afin de empêcher le mouvement du tissu et prévenir son usure ou les déchirures. 8. Selon les revendications 1, 6 et 7, il peut avoir deux boutons si le boutonnage se fait sur les deux ffices de la housse ; en ce cas, celui de la face interne de la housse (celle qui reste en contact avec le corps du dormeur) peut avoir une dimension plus petite afin d'alléger le poids du dispositif 9. Selon la revendication 1, 6 7 et 8, la fermeture entre le récepteur fixé à la couette et le bouton de la housse, peut se faire par vis. 10. Selon les revendications 1, 6, 7 et 8, la fermeture entre le récepteur du bouton et bouton de la llfbusse peut se faire par pression. 11. Selon la revendication 1, le système de boutonnage inclue des rondelles en caoutchouc ou en un matériel thermo adhésif destinées a border et à protéger le tissu des housses. Ces rondelles se fixeront avec le fer à repasser. 12. Selon la revendication 1, le bouton de la housse peut servir de support pour les décors ou d'autre kfiapositifs, tel ceux de téléalarme. La figure 1 montre tous es éléments de la petite Wchine d'obturation de montage de rustines. La figure 2 mo e les boutons de tuette, avant et p eur conformatioi le bouton de la housse. La figure 3 m tre la couette et ousse une fois boutonnage fI