FR3001827A1 - Procede d'encodage d'une partition musicale, programme d'ordinateur, systeme pour la mise en œuvre du procede et support d'informations correspondant - Google Patents

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Abstract

La présente invention concerne un procédé d'encodage d'une partition musicale (1) pour un instrument, notamment pour un instrument à cordes, incluant: - une étape d'écriture d'au moins un ensemble (2) d'une pluralité de lignes (3) représentatives chacune de corde(s) ou de touche(s) de l'instrument, - une étape d'apposition d'une succession de repères visuels (4) sur un ensemble (2) d'une pluralité de lignes (3), procédé caractérisé en ce qu'il inclut en outre une étape d'insertion d'au moins une information (5) représentative d'une note de musique à laquelle correspond la position dudit repère visuel (4), ladite information (5) représentative d'une note de musique étant insérée à proximité d'un repère visuel (4) sur le même ensemble (2) de pluralité de lignes (3) ou de manière dissociée, notamment à une place correspondant audit repère visuel (4) mais dans un autre ensemble (2) de pluralité de lignes (3) correspondant, l'ensemble d'un repère visuel (4) et d'une information (5) représentative d'une note de musique correspondante formant un couple de notation (6).

Description

Procédé d'encodage d'une partition musicale, programme d'ordinateur, système pour la mise en oeuvre du procédé et support d'informations correspondant. 1. Le domaine de l'invention Le domaine de l'invention est celui de la musique, et plus particulièrement celui de la transcription d'une mélodie sur une partition musicale. La musique, pour être composée, lue et jouée a besoin d'être transcrite. Les partitions musicales permettent de transcrire les notes, les rythmes, ainsi que la ligne musicale. Des codes très particuliers d'écriture de la musique se sont mis en place au fil de l'histoire de manière à ce qu'une première personne, le compositeur, puisse écrire une partition qu'une deuxième personne, l'interprète, est capable de lire pour la jouer ou la chanter.
La partition est ainsi composée d'un ensemble de lignes formant une portée. La portée loge notamment des notes, sous forme de ronds disposés entre deux lignes, sur les lignes ou encore au-dessus ou en dessous des lignes, de rythmes, de nuances. Une clé de lecture, telle que la clé de sol, la clé de fa ou encore la clé d'ut (1, 2, 3 ou 4), se trouve en début de portée et permet à l'interprète de lire les notes (do, ré, mi, fa, sol, la, si) réellement écrites par le compositeur aux fins par exemple de les jouer sur son instrument ou de les chanter. 2. Solutions de l'art antérieur L'apprentissage de la lecture d'une partition n'est pas évident et nécessite ainsi le suivi de nombreuses séances de formation musicale encore appelée solfège. Cet apprentissage est nécessaire pour pouvoir lire une partition, puisque la lecture d'une partition n'est pas innée et demande un apprentissage du code utilisé.
Un inconvénient d'une telle partition dite « traditionnelle » est donc de ne pas être accessible à une personne autodidacte, qui n'a pas appris ou ne souhaite pas apprendre le solfège. Pour tenter de rendre accessible la lecture d'une partition à un autodidacte, il existe, pour certains instruments, tels que la guitare, le luth, le violon, le piano, l'accordéon diatonique, entre autres, une écriture de partition spécifique appelée tablature qui permet de faciliter la lecture de la musique pour les instruments à cordes entre autres. La tablature figure une partie de l'instrument, par exemple les lignes (cordes) et les cases (numéros). Elle illustre une sorte de manche virtuel pour la guitare. Le compositeur (ou ensuite l'éditeur) inscrit, sur une ligne représentative d'une corde (la ligne du bas représentant la grosse corde : le bourdon et la ligne du haut la plus fine : la chanterelle) (ou d'une touche s'il s'agit d'un piano). Ensuite, il inscrit un numéro représentatif de la case ou touche pour le piano (0 pour la corde à vide) qui permet de produire la note attendue sans en connaitre le nom. Les numéros de cases vont généralement de 0 à 36 pour la guitare ou autre en fonction de l'instrument concerné, par exemple à cordes frettées. Les numéros permettent de savoir dans quelle case, ou sur quelle touche, l'instrumentiste doit exactement poser le doigt sur le manche pour faire la note demandée par la partition. Ainsi, un autodidacte n'a pas besoin de savoir lire une partition traditionnelle, et peut jouer une partition entière formant une tablature dont l'apprentissage est plus rapide et plus simple sans connaissance particulière du solfège. Un inconvénient de la tablature est qu'elle ne permet pas à l'interprète qui n'a pas fait de solfège de connaître le nom des notes qu'il joue, ni les intervalles entre deux notes. Or, ce sont des points clés pour la compréhension du solfège et la construction des accords. Certains ont, pour remédier à ce défaut, imaginé de coloriser les chiffres des doigtés, ce qui complique la lecture. Par ailleurs, si l'interprète pratique beaucoup son instrument, il peut ressentir un besoin de recevoir davantage d'informations pour mieux comprendre la mélodie qu'il joue (nom des notes, organisation des notes pour produire la mélodie, harmonisation...), informations que ne peut lui apporter la tablature de par son codage spécifique, numérique, qui ne laisse filtrer aucune information théorique. La tablature est souvent associée à une partition traditionnelle pour inclure les notes (par l'illustration de leur positionnement sur la portée), les intervalles, la hauteur du son, les nuances, entre autres. On a représenté sur la figure 1 une telle partition musicale comportant un ensemble d'une pluralité de lignes horizontales formant une portée associé verticalement à un ensemble de pluralité de lignes horizontales formant une tablature. La portée est notée sur cette figure P et la tablature est notée T. Un inconvénient d'une telle partition est qu'elle ne permet pas davantage à un autodidacte de connaître le nom des notes qu'il joue, sauf à apprendre la lecture des notes sur la portée. Par ailleurs, sur cette partition, la ligne des accords qui est plaquée au-dessus de la tablature n'est harmoniquement pas explicitée. 3. Objectifs de l'invention L'invention a ainsi pour objectif de pallier tout ou partie des inconvénients de l'art antérieur. Plus précisément, l'invention a pour objectif de fournir un procédé d'encodage d'une partition de musique qui permette à une personne autodidacte dans le domaine de la musique de pouvoir lire et interpréter techniquement la partition avec un nombre de connaissances nécessaires très réduit. L'invention a encore pour objectif de fournir un procédé d'encodage d'une partition de musique qui permette de véhiculer sur un support de données de taille relativement réduite un grand nombre d'informations relatives à la mélodie à jouer. L'invention a encore pour objectif de fournir un procédé d'encodage d'une partition de musique qui permette à un lecteur et/ou interprète de comprendre aisément la ligne musicale du morceau reproduit sur cette partition. Un autre objectif de l'invention est de fournir un programme d'ordinateur pour la mise en oeuvre du procédé d'encodage, un système pour mettre en oeuvre le procédé d'encodage et un support d'informations comportant la représentation de données encodées par le procédé d'encodage. 4. Résumé de l'invention L'invention répond à tout ou partie des objectifs précités grâce à un procédé d'encodage d'une partition musicale pour un instrument, notamment mais non exclusivement pour un instrument à cordes, incluant : - une étape d'écriture d'au moins un ensemble d'une pluralité de lignes, notamment horizontales, représentatives chacune de corde(s) ou de touche(s) de l'instrument, - une étape d'apposition d'une succession de repères visuels sur un ensemble d'une pluralité de lignes, procédé caractérisé en ce qu'il inclut en outre une étape d'insertion d'au moins une information représentative d'une note de musique à laquelle correspond la position dudit repère visuel, ladite information représentative d'une note de musique étant insérée à proximité d'un repère visuel sur le même ensemble de pluralité de lignes ou de manière dissociée, notamment à une place correspondant à ce repère visuel mais dans un autre ensemble de pluralité de lignes correspondant, l'ensemble d'un repère visuel et d'une information représentative d'une note de musique correspondante formant un couple de notation. L'information représentative d'une note de musique est différente d'une note de musique, dite « classique », installée à une place choisie sur une portée. Grâce à l'invention, un autodidacte dans le domaine de la musique peut jouer aisément, sans connaissances particulières, la partition musicale encodée par le procédé selon l'invention. De plus, l'information représentative d'une note de musique lui permet de connaître la note qu'il est en train de jouer sur son instrument. Par ailleurs, l'ensemble des informations représentatives chacune d'une note de musique permet de mieux comprendre la ligne des accords, qui met en évidence le processus de construction par intervalles. Ainsi apparaît, comme pour une langue, une véritable grammaire musicale, encore appelée « théorie des accords », qui permet de comprendre le passage de l'information représentative d'une note de musique, qui peut être une lettre, à un mot, représentant un accord, et à une phrase qui représente une suite d'accords ou un phrasé. Grâce à l'invention, on résout ainsi un problème de la tablature traditionnelle où figurent les accords (au dessus-de la tablature, généralement) mais de façon incohérente, ne donnant pas de lien évident entre la notation numérique et l'accord. L'invention permet ainsi de mettre en évidence cette théorie des accords et de la construire par le processus alphabétique. Un tel procédé permet ainsi à un interprète qui n'a pas de connaissance préalable de lecture d'une partition traditionnelle, de pouvoir lire, jouer et comprendre la structure harmonique d'une partition musicale. Un tel procédé peut également permettre de faciliter l'apprentissage de la musique à des élèves et de mettre en évidence la structure des accords. On distingue ainsi notamment deux modes de réalisation possibles : un mode de réalisation dit « en association », dans lequel l'information représentative d'une note de musique est insérée à proximité, par exemple immédiate, d'un repère visuel correspondant, sur le même ensemble.
Dans ce cas, le procédé d'encodage peut comprendre l'écriture d'un seul ensemble de pluralité de lignes, qui se décline au fil de la partition. Cet ensemble de pluralité de lignes peut, selon une alternative, former une tablature seule, ou former à la fois une tablature (avec le nombre de lignes correspondant au nombre de cordes, par exemple, c'est-à-dire 6 pour une guitare ou 4 pour un violon, par exemple) et une portée classique de partition (avec 5 lignes), dont un nombre de lignes communes sont fusionnées entre tablature et portée. Dans ce dernier cas, le repère visuel peut se trouver positionné sur la tablature, et l'information représentative d'une note de musique peut se trouver positionnée sur la portée, à proximité du repère visuel auquel elle est associée. Dans le cas de l'association, l'ensemble de pluralité de lignes peut être associé, étant par exemple disposé au- dessus ou en dessous d'une portée musicale avec la partition dite traditionnelle. Dans ce dernier cas, à une note donnée de la portée correspond un couple de notation disposé sur l'ensemble de pluralité de lignes. - un mode de réalisation dit « en dissociation », dans lequel l'information représentative d'une note de musique est insérée sur un autre ensemble de pluralité de lignes correspondant. Dans ce cas, le procédé d'encodage peut comprendre l'écriture de deux ensembles de pluralités de lignes, disposés par exemple l'un au dessous de l'autre, dans lesquels on a dissocié l'information représentative de la note de musique et le repère visuel tout en établissant une correspondance (par exemple par lecture verticale) entre eux visible pour le lecteur. Ainsi, selon ce mode de réalisation, dans un ensemble de pluralité de lignes est inséré le repère visuel et dans un ensemble de pluralité de lignes correspondant est inséré, à une place correspondante, une information représentative d'une note de musique.
Les repères visuels correspondent avantageusement aux numéros des cases (présentes par exemple sur le manche de la guitare), ou touches (présentes par exemple sur le clavier d'un piano), compris entre 0 et 50, notamment, entre 0 et 36 pour la guitare. Le nombre 0 désigne de façon usuelle la corde qui est jouée à vide. Dans ce cas, on ne pose aucun doigt sur le manche ; c'est le « degré zéro » du principe de la case pour la tablature. L'information représentative d'une note de musique peut être par exemple une lettre de l'alphabet, choisie dans le groupe constitué par : A, B, C, D, E, F, G (notation anglo-saxonne) ou dans le groupe constitué par A, H, C, D, E, F, G (notation allemande, qui utilise le B pour désigner la note Si bémol). Ces lettres constituent le nom de notes de musique en écriture anglo-saxonne. Ainsi, la lettre A correspond à la note La, la lettre B (ou H) correspond à la note Si, la lettre C à la note Do, la lettre D à la note Ré, la lettre E à la note Mi, la lettre F à la note Fa, et la lettre G à la note Sol. Selon ce mode de réalisation, la lecture de la lettre indiquée (A, B ou H, C, D, E, F ou G) permet directement à son lecteur de connaître la note qu'il joue sur son instrument en mettant le doigt sur la case indiquée par le numéro figurant sur la tablature et correspondant à la note sur la partition. La lecture des lettres permet de mieux appréhender la théorie des accords car elle obéit au même procédé qu'une langue alphabétique constituée de lettres, de mots formés de lettres, et de phrases formées de mots. Le procédé d'encodage peut comporter une étape d'insertion d'un symbole rythmique en association avec un couple de notation et/ou d'un ou plusieurs silence(s). Le symbole rythmique peut par exemple indiquer la durée de la note, par exemple à l'aide de lettres creusées par exemple pour les blanches, de lettres « pleines » pour les noires, de lettres pleines avec hampe de croche pour les croches, de silences. Grâce à cet aspect de l'invention, la partition musicale selon l'invention est enrichie des aspects rythmiques de la mélodie. Le procédé d'encodage peut en outre inclure une étape d'insertion, au- dessus ou en dessous dudit au moins un ensemble de pluralité de lignes, d'une information représentative d'un accord correspondant à un ou à plusieurs couples de notation. Selon ce mode de réalisation, le lecteur ou interprète de la partition peut connaître, outre la mélodie et éventuellement ses rythmes, la ligne musicale et/ou les phrases musicales de la mélodie, encore appelée harmonie, avec la succession des accords. Pour un instrument comme la guitare, cet aspect de l'invention peut être particulièrement bénéfique pour la compréhension de la partition et son interprétation. Il faut en effet rappeler que la guitare est avant tout un instrument d'accompagnement avec des accords. En effet, cette ligne musicale peut ne pas apparaître clairement à la simple lecture du couple de notation. Cette approche globale de la lecture musicale met en évidence l'architecture harmonique du morceau interprété. Le procédé d'encodage peut encore inclure une étape d'insertion, au moins au début de ladite pluralité de lignes, d'au moins l'une des informations choisies dans le groupe constitué par : une clé, une barre de reprise, une tonalité d'un morceau de musique écrit sur la partition musicale, une ou plusieurs altération(s) correspondantes (armure), un indicateur de mesure pour la signature du morceau de musique, un indicateur de mouvement avec un terme d'indication de mouvement : largo, lento, adagio, andante, etc, et de tout signe musical inhérent à une partition qui peut être transposé sur la tablature. Ce type d'informations peut permettre d'améliorer encore la compréhension de la mélodie, et dispenser d'avoir recours à une partition traditionnelle pour ces aspects. Grâce à l'ajout d'une ou plusieurs informations complémentaires sur la partition, le procédé d'encodage selon l'invention peut ne pas comprendre d'étape d'insertion d'une portée musicale de partition traditionnelle associée, comme c'est le cas des tablatures de l'art antérieur, qui sont la plupart du temps associées à une portée musicale correspondante de partition traditionnelle, notamment par nécessité, la tablature ne permettant pas de comprendre à elle-seule la théorie de la partition, notamment sa ligne musicale. Ainsi, la partition musicale créée selon le procédé d'encodage de l'invention est plus compacte, ce qui permet de mettre davantage de lignes sur une page et constitue un gain de pages d'impression, lors de l'impression de la partition et également un gain de temps pour la compréhension du morceau de musique car il n'est plus nécessaire de faire des allers et retours fastidieux sur la partition pour comprendre la tablature. De plus, grâce à cet aspect de l'invention, la partition musicale créée selon le procédé d'encodage de l'invention est plus simple à lire, tout en étant complète. Le procédé d'encodage selon l'invention peut encore inclure une étape d'insertion d'informations musicales complémentaires telles qu'une ou plusieurs nuances (pianissimo, piano, etc), les changements de nuances (crescendo, decrescendo), l'accentuation (mélodique ou rythmique), les termes d'accentuation, les notes d'agrément ou ornements, entre autres. Dans un mode de réalisation particulier, le procédé comprend une étape d'insertion d'une information relative à la hauteur du son, en intégrant les lignes de la partition dans la tablature, permettant ainsi de faire figurer la hauteur des notes. L'instrument de musique peut être choisi dans le groupe constitué par les instruments à cordes, par exemple à cordes frettées, et tout instrument pouvant donner lieu à une représentation musicale sur une tablature, en particulier: la guitare, le luth, le piano, le banjo, le ukulélé, la mandoline, la pedal steel guitar (pas de traduction connue en langue française), le violon, l'alto, le violoncelle, la contrebasse, la viole de gambe, l'accordéon diatonique, et tout autre instrument à cordes frettées.
Dans un mode de réalisation particulier, lorsque l'information représentative d'une note de musique est une lettre, le procédé d'encodage comprend l'étape de différenciation entre le mode mineur, dans lequel les lettres sont par exemple représentées en minuscules, et le mode majeur, dans lequel les lettres sont représentées par exemple en majuscules.
Dans un autre mode de réalisation particulier, lorsque l'information représentative d'une note de musique est une lettre, le procédé d'encodage peut comprendre l'étape de colorisation des lettres pour mettre en évidence les intervalles musicaux (tierce, seconde, etc). L'invention a encore pour objet, en combinaison avec ce qui précède, un programme d'ordinateur caractérisé en ce qu'il comprend des instructions de code de programme pour la mise en oeuvre d'un procédé tel que décrit plus haut lorsque ce programme est exécuté par un processeur. L'invention a encore pour objet, en combinaison avec ce qui précède, un système disposant : - des moyens d'acquisition d'une partition musicale, - des moyens d'encodage de ladite partition selon le procédé d'encodage tel que défini plus haut, - des moyens de reproduction de la partition ainsi encodée.
L'invention a encore pour objet, en combinaison avec ce qui précède, un support d'informations comportant la représentation de données encodées selon le procédé tel que défini plus haut. Outre les différents instruments concernés par l'invention, celle-ci trouve notamment son application dans les domaines suivants : l'édition de partitions de musique selon le procédé de l'invention, l'enseignement de la musique à l'aide de partitions réalisées selon le procédé de l'invention, la réalisation de méthodes d'apprentissage de la musique en utilisant des partitions réalisées selon le procédé de l'invention, la réalisation de matériel de publication permettant la réalisation de partitions réalisées selon le procédé de l'invention, la création de logiciels d'édition musicale, en particulier les logiciels éditeurs de tablature dans tout le domaine de la musique assistée par ordinateur, encore appelée MAO. 5. Liste des figures D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront plus clairement à la lecture de la description suivante de modes de réalisation de l'invention, donnés à titre d'exemples illustratifs et non limitatifs et du dessin annexé dans lequel : la figure 1 illustre de manière schématique un extrait de partition musicale sous forme d'une portée associée à une tablature conforme à l'état de la technique, la figure 2 illustre de manière schématique et partielle une partition musicale de la mélodie de la figure 1 créée à partir du procédé d'encodage conforme à un premier mode de réalisation de l'invention, la figure 3 illustre de manière schématique et partielle créée à partir du procédé d'encodage conforme à un deuxième mode de réalisation, et la figure 4 illustre une partition musicale de la mélodie de la figure 1 créée à partir d'une variante de mise en oeuvre du procédé d'encodage de la figure 3, la figure 5 illustre de manière schématique et partielle une partition musicale d'une autre mélodie créée à partir du procédé d'encodage conforme à un troisième mode de réalisation de l'invention, et la figure 6 illustre de manière schématique un exemple d'architecture d'un système dans lequel le procédé d'encodage selon l'invention est mis en oeuvre. 6. Description détaillée des modes de réalisation de l'invention Face au type de partition traditionnelle associée à une tablature illustrée sur la figure 1, la présente invention vise à fournir un procédé d'encodage d'une partition de musique qui permette à une personne autodidacte dans le domaine de la musique de pouvoir lire et comprendre la partition avec un nombre de connaissances nécessaires très réduit.
Dans le premier mode de réalisation de l'invention illustré sur la figure 2, le procédé d'encodage selon l'invention a permis de créer la partition musicale 1, dont le contenu musical reprend le début de la mélodie de la partition de la figure 1. La partition musicale 1 comporte un ensemble 2 d'une pluralité de lignes 3, horizontales, au nombre de six dans cet exemple correspondant au nombre de cordes de l'instrument pour lequel cette partition musicale 1 est écrite, à savoir la guitare à six cordes. Selon le procédé de l'invention, la position d'une succession de repères visuels 4 sur les lignes 3 a été réalisée. Dans cet exemple, les repères visuels 4 représentent des numéros de cases segmentant le manche de la guitare. Ces repères visuels 4 permettent à l'interprète de positionner précisément les doigts sur le manche selon le principe de base de la tablature. Les repères visuels 4 sont constitués de chiffres entre 0 et 36 de façon non limitative, dans cet exemple. Le 0 positionné sur une ligne indique qu'il faut jouer la corde correspondant à cette ligne sans appuyer avec aucun doigt. Le nombre 1 représente la case numérotée 1 dans laquelle il faut appuyer le doigt et le positionnement du repère visuel 4 sur une ligne particulière indique la corde (ou la touche) sur laquelle il faut appuyer ce doigt pour produire le son attendu. Conformément à l'invention, le procédé mis en oeuvre pour obtenir la partition musicale de la figure 2 a inclus une étape d'insertion d'au moins une information 5 représentative d'une note de musique. À cette note de musique correspond la position du repère visuel 4. L'information 5 représentative d'une note de musique est insérée dans cet exemple à proximité, ici immédiate, du repère visuel 4 sur le même ensemble 2 de pluralité de lignes 3. Dans cet exemple, l'information 5 représentative d'une note de musique est une lettre de l'alphabet choisie dans le groupe constitué par A, B, C, D, E, F et G de la notation anglo-saxonne correspondant respectivement aux notes la, si, do, ré, mi, fa et sol dans la notation française.
Ainsi, comme illustré, à une note donnée correspond à la fois un repère visuel 4, correspondant dans cet exemple à une case du manche positionné à l'endroit où le doigt doit appuyer sur ce manche virtuel et une information 5 représentative de la note de musique correspondante. L'ensemble d'un repère visuel 4 et d'une information 5 représentative de la note de musique correspondante est appelé couple de notation 6. Par ailleurs, dans cet exemple, le procédé d'encodage a comporté une étape d'insertion au-dessus de l'ensemble 2 de pluralité de lignes 3 d'une information 7 représentative d'un accord correspondant à un ou plusieurs couples de notation 6.
Dans cet exemple également, on a indiqué en début d'ensemble 2 de pluralité de lignes, le nom 10 abrégé de la partition musicale, ce nom 10 consistant dans cet exemple en les lettres A, T et B correspondant à l'abréviation du mot "alpha tablature". Le procédé mis en oeuvre pour obtenir la partition musicale 1 de la figure 2 a également compris l'étape d'insertion d'un indicateur de mesure 11, ici 4/4 et de symboles rythmiques 12 permettant d'indiquer la durée des notes correspondantes, par exemple noire (un temps) ou croche (un demi-temps) dans cet exemple. Dans le mode de réalisation illustré sur la figure 3, on a fusionné autant que faire se peut les lignes 3 communes entre tablature et portée. L'ensemble 2 de pluralité de lignes 3 comporte ainsi dans cet exemple un sous-ensemble 2a formant une portée et un sous-ensemble 2b formant une tablature. Cinq des six lignes de l'ensemble 2 sont communes entre les ensembles 2a et 2b, le sous-ensemble 2b comportant une ligne 3 supplémentaire, située au-dessus des autres lignes, comme illustré. La deuxième ligne en partant du haut a été épaissie de manière à bien permettre de visualiser les sous-ensembles 2a et 2b. Dans ce mode de réalisation, les repères visuels 4 sont positionnés sur les lignes correspondant à la position et au doigté à effectuer sur la corde correspondante pour obtenir la note désirée. À chaque repère visuel 4 est associée une information 5 représentative d'une note de musique qui est positionnée dans cet exemple sur sa place dans la portée dont la clé 15, clé de sol dans cet exemple, a été apposée en début d'ensemble 2 de pluralité de lignes 3. Un tel mode de réalisation permet de visualiser la hauteur de notes et le positionnement sur une partition musicale traditionnelle de la note correspondante. La figure 4 est une variante de la figure 3. Une différence entre les partitions musicales résultant des procédés d'encodage illustrés sur les figures 3 et 4 est que l'information 5 représentative d'une note de musique consiste sur la figure 3 en une lettre entourée d'un rond à la manière d'une note de musique, ce rond 16 n'étant pas présent sur la partition musicale de la figure 4. Enfin, dans le mode de réalisation illustré sur la figure 5 dit « en dissociation », la partition musicale 1 comporte deux ensembles 2 de pluralité de lignes 3 disposés l'un au-dessus de l'autre. L'ensemble 2 disposé au-dessus comporte l'information 5 représentative d'une note de musique tandis que l'ensemble 2 inférieur comporte le repère visuel 4 correspondant. Les deux ensembles 2 comportent le nombre de lignes 3 correspondant au nombre de cordes de l'instrument considéré, à savoir six dans cet exemple, pour la guitare à six cordes.
Dans cet exemple également, le procédé d'encodage a comporté l'étape d'insertion de la tonalité 17 du morceau, des nuances 18, des changements de nuances 19, des numéros de mesures 20 et des altérations 21, en l'occurrence fa dièse. A titre d'information, la mélodie illustrée sur les figures 1 à 4 est une partie de l'Andantino en do majeur de Mattéo Carcassi et la partition musicale illustrée sur la figure 5 est un extrait de la valse en sol majeur de Fernando Carulli. La figure 6 présente un schéma d'un système permettant la mise en oeuvre du procédé d'encodage d'une partition musicale selon l'invention et sa reproduction sur n'importe quel support. Selon un exemple de réalisation, le système est constitué d'un ordinateur personnel ou tout terminal informatique comprenant une unité centrale, un programme d'exécution et des entrées sorties permettant l'interaction avec un utilisateur. Le terminal peut être un ordinateur, une tablette sans fil, ou un appareil dédié à la reproduction de partition musicale. La figure 6 présente un exemple de réalisation d'un terminal 30. Un tel terminal 30 comporte au moins une unité centrale 31 reliée à un module de programme 32 et une mémoire de données 33, qui peut être matérialisée par un disque dur. Le module de programme 32 contient entre autres le module logiciel pour réaliser l'acquisition d'une partition musicale, son encodage et la reproduction des partitions encodées. Le module logiciel comporte notamment des sous-ensembles constituant, en combinaison avec l'unité centrale 31, des moyens d'encodage et des moyens d'insertion de données, ainsi que tout autre moyen mis en oeuvre dans le procédé revendiqué. Les documents à encoder peuvent être téléchargés d'un réseau de communication. Dans ce cas, le système dispose d'une interface 34 permettant la communication avec un réseau de communication câblé ou sans fil. L'interface 34 peut également télécharger dudit réseau le module logiciel d'encodage et de reproduction de la partition encodée. Cette interface est gérée par un module de programme stocké dans la mémoire de données 33. Selon une variante de réalisation, les partitions musicales sont encodées par un serveur distant et téléchargées à la demande dans les terminaux des utilisateurs. Dans ce cas, l'unité centrale d'un serveur exécute le module logiciel d'encodage. Le terminal 30 possède une interface Homme/Machine UI 35 reliée à un clavier 36. Le clavier 36 comporte des touches permettant d'introduire des commandes ou du texte, ou toute forme de données. Le clavier 36 peut être déporté ou intégré dans le terminal, c'est le cas par exemple si le terminal est un téléphone portable, de même le clavier peut être tactile offrant ainsi la possibilité d'afficher des icones que l'utilisateur peut sélectionner avec l'aide d'une souris.
Selon une variante de réalisation, la saisie de caractère et de mot peut être également effectuée à l'aide d'un système de reconnaissance vocale ou de reconnaissance de mouvement. Cette variante est particulièrement utile lorsque l'utilisateur a besoin de ses mains pour un autre usage, comme celui d'utiliser une guitare.
Dans la présente demande, les termes « moyens de reproduction » représentent tout dispositif permettant à un utilisateur de voir la représentation d'une donnée. De tels moyens sont typiquement un écran 37 ou une imprimante 38. L'interface utilisateur 36 émet des signaux vidéo vers l'écran 37 et des paquets de données vers l'imprimante 38. L'écran 37 peut être déporté (cas d'un ordinateur non portable) ou intégré dans le terminal (cas d'un ordinateur portable, une tablette, un smartphone...). En plus de la reproduction de partitions musicales, l'écran 37 peut aussi afficher des menus de navigation et d'initialisation du terminal.
Dans toute la description, les expressions « comprenant un » et « comportant un » doivent être comprises comme étant synonymes respectivement des expressions « comprenant au moins un » et « comportant au moins un » sauf si le contraire est spécifié.
Les plages de valeurs doivent être comprises comme incluant les bornes d'extrémités, sauf si le contraire est spécifié.

Claims (3)

  1. REVENDICATIONS1. Système de production d'une partition musicale pour un instrument, incluant : - des moyens d'acquisition (31, 32) d'une partition musicale, - des moyens d'encodage (31, 32) de ladite partition configurés pour permettre d'écrire au moins un ensemble (2) d'une pluralité de lignes (3) représentatives chacune de corde(s) ou de touche(s) de l'instrument, d'apposer une succession de repères visuels (4) sur un ensemble (2) d'une pluralité de lignes (3), et d'insérer au moins une information (5) représentative d'une note de musique à laquelle correspond la position dudit repère visuel (4), à proximité d'un repère visuel (4) sur le même ensemble (2) de pluralité de lignes (3) ou de manière dissociée, notamment à une place correspondant audit repère visuel (4) mais dans un autre ensemble (2) de pluralité de lignes (3) correspondant, et - des moyens de reproduction (37 ; 38) de la partition ainsi encodée.
  2. 2. Système selon la revendication 1, dans lequel les moyens d'encodage sont configurés de telle sorte que les repères visuels (4) correspondent à des cases, ou touches, notées sous forme de chiffres, notamment de chiffres entiers compris entre 0 et 50, notamment entre 0 et 36 pour la guitare.
  3. 3. Système selon l'une des revendications 1 et 2, dans lequel les moyens d'encodage sont configurés de telle sorte que l'information (5) représentative d'une note de musique soit formée par une lettre de l'alphabet, notamment choisie dans le groupe constitué par : A, B, C, D, E, F, G ou dans le groupe constitué par A, H, C, D, E, F, G.4. 5. 10 15 6. 20 7. 25 18 Système selon l'une quelconque des revendications précédentes, l'ensemble d'un repère visuel (4) et d'une information (5) représentative d'une note de musique correspondante formant un couple de notation (6), caractérisé en ce que les moyens d'encodage sont configurés pour permettre l'insertion d'un symbole rythmique (12) en association avec un couple de notation (6) et/ou d'un ou plusieurs silence(s). Système selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans lequel les moyens d'encodage sont configurés pour permettre l'insertion, au-dessus ou en dessous dudit au moins un ensemble (2) de pluralité de lignes (3), d'une information (7) représentative d'un accord correspondant à un ou à plusieurs couples de notation (6). Système selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans lequel les moyens d'encodage sont configurés pour permettre l'insertion, au moins au début d'au moins un ensemble (2) de pluralité de lignes (3), d'au moins l'une des informations choisies dans le groupe constitué par : une clé (15), une barre de reprise, une tonalité (17) d'un morceau de musique écrit sur la partition musicale, une ou plusieurs altération(s) (21) correspondantes, un indicateur de mesure (11) du morceau de musique, et de tout signe musical inhérent à une partition qui peut être transposé sur une tablature. Système selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans lequel les moyens d'encodage sont configurés pour permettre l'insertion d'informations musicales complémentaires telles qu'une ou plusieurs nuances (18), les changements de nuances, l'accentuation, les termes d'accentuation, les agréments, entre autres.8. Système selon l'une quelconque des revendications précédentes, destiné à la production de partition musicale d'un instrument de musique choisi dans le groupe constitué par : les instruments à cordes, notamment à cordes frettées, et tout instrument pouvant donner lieu à une représentation musicale sur une tablature, en particulier: la guitare, le luth, le piano, le banjo, le ukulélé, la mandoline, la pedal steel guitar, le violon, l'alto, le violoncelle, la contrebasse, la viole de gambe, l'accordéon diatonique, entre autres. 9. Système selon l'une quelconque des revendications 1 à 8, comprenant un terminal (30) comportant au moins une unité centrale (31) reliée à un module de programme (32) et une mémoire de données (33), le module de programme (32) contenant au moins un module logiciel pour réaliser l'acquisition d'une partition musicale, son encodage et la reproduction des partitions encodées. 10. Procédé d'encodage d'une partition musicale (1) pour un instrument, notamment pour un instrument à cordes, mis en oeuvre par un système selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, incluant : - une étape d'écriture d'au moins un ensemble (2) d'une pluralité de lignes (3) représentatives chacune de corde(s) ou de touche(s) de l'instrument, - une étape d'apposition d'une succession de repères visuels (4) sur un ensemble (2) d'une pluralité de lignes (3), - une étape d'insertion d'au moins une information (5) représentative d'une note de musique à laquelle correspond la position dudit repère visuel (4), ladite information (5) représentative d'une note de musique étant insérée à proximité d'un repère visuel (4) sur le même ensemble (2) de pluralité de lignes (3) ou de manière dissociée, notamment à une placecorrespondant audit repère visuel (4) mais dans un autre ensemble (2) de pluralité de lignes (3) correspondant. 11. Programme d'ordinateur caractérisé en ce qu'il comprend des instructions de code de programme mise en oeuvre d'un procédé selon la revendication lorsque ce programme est exécuté par un processeur. 12. Support d'informations comportant la représentation de données encodées 10 selon le procédé tel que défini dans la revendication 10.
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