FR2994070A1

FR2994070A1 - Table de travail, en particulier table de jardinage surelevee

Info

Publication number: FR2994070A1
Application number: FR1257580A
Authority: FR
Inventors: Philippe Jussiaume
Original assignee: Individual
Current assignee: Individual
Priority date: 2012-08-03
Filing date: 2012-08-03
Publication date: 2014-02-07

Abstract

La présente invention a pour objet une table de travail comprenant un piètement (1) supportant une surface de travail, caractérisée par le fait que le piètement (1) est constitué d'au moins quatre montants verticaux (2, 3, 4, 5), les montants verticaux étant disposées sur les noeuds d'un quadrillage carré ou rectangulaire ayant autant de noeuds qu'il y a de montants, et de deux ensembles de traverses horizontales, les traverses (6, 7) du premier ensemble étant disposés suivant les lignes du quadrillage carré ou rectangulaire et fixées aux extrémités supérieures des montants, et les traverses (8, 9) du second ensemble étant disposées suivant les colonnes du quadrillage carré ou rectangulaire, orthogonales aux traverses (6, 7) du premier ensemble, et fixées aux extrémités supérieures des montants au-dessus des traverses (6, 7) du premier ensemble, les deux extrémités de chaque traverse faisant saillie horizontalement de part et d'autre des montants en périphérie du quadrillage carré ou rectangulaire, la surface de travail étant constituée par des plateaux fixés sur les parties en saillie des traverses.

Description

TABLE DE TRAVAIL, EN PARTICULIER TABLE DE JARDINAGE SURELEVEE La présente invention porte sur une table de 5 travail, et en particulier sur une table de jardinage surélevée. Les tables de travail sont bien connues : elles comprennent un ou plusieurs éléments de piètement supportant un plateau dont la surface supérieure constitue 10 la surface de travail de la table de travail, laquelle surface de travail doit être apte à supporter un poids parfois important. Pour supporter ce poids important, il est en outre nécessaire d'avoir un plateau robuste supporté par le 15 ou les éléments de piètement au moins en son centre et, lorsque le plateau a une surface importante, à sa périphérie pour supporter le poids appliqué sur la surface de travail en périphérie du plateau et ainsi éviter un basculement de la table de travail ou une rupture du 20 plateau due au poids trop important appliqué. Les tables de travail connues, avec une surface de travail importante, ne permettent donc pas à des personnes à mobilité réduite, notamment en fauteuil roulant, et souhaitant travailler sur la surface de travail 25 des tables de travail, de circuler facilement autour de la table de travail, en raison des éléments du piètement disposés à la périphérie du plateau. Les éléments du piètement nécessitent en effet pour les personnes en fauteuil roulant plusieurs manoeuvres d'évitement des 30 éléments de piètement qui rendent difficile une circulation autour du plateau. Dans les hôpitaux ou les établissements pour personnes âgées, des tables de jardinage surélevées sont utilisées pour permettre à des groupes d'utilisateurs de pouvoir jardiner sans avoir à se baisser au sol. A l'heure actuelle, il existe deux types de tables de jardinage surélevées.

Un premier type de table de jardinage surélevée est constitué par les tables de jardinage surélevées de petites dimensions, permettant une circulation des utilisateurs aisée autour de la table de jardinage surélevée. Un exemple d'une telle table de jardinage surélevée est décrit dans la demande de brevet japonais JP2010252762. Ce premier type de table de jardinage surélevée présente l'inconvénient selon lequel il est très difficile de faire travailler plusieurs utilisateurs simultanément autour de la même table de jardinage surélevée. Un deuxième type de table de jardinage surélevée est constitué par une table de jardinage surélevée présentant un plateau de taille importante, souvent supporté à sa périphérie par des éléments de piètement. Ce deuxième type de table de jardinage surélevée permet, contrairement au premier type indiqué ci-dessus, à plusieurs personnes de travailler simultanément autour de la même table de jardinage surélevée pour réaliser, par exemple, un cours de jardinage.

Cependant, ce deuxième type de table de jardinage surélevée, en raison des éléments de piètement en périphérie du plateau, ne permet pas une circulation aisée des utilisateurs autour du plateau. De plus, il est courant que le plateau, pour 30 supporter le poids appliqué sur la surface de travail, soit épais, ce qui contribue à rendre le poids global à vide de la table de jardinage surélevée important.

Il existe donc un besoin pour une table de travail, en particulier une table de jardinage surélevée, apte à supporter un poids important sur son plateau, ayant une surface suffisamment importante pour permettre plusieurs personnes de travailler simultanément sur la même table de travail et dont les éléments de piètement ne gênent pas une circulation autour de la table de travail. La présente invention répond à ce besoin et porte sur une table de travail ayant une surface de travail importante, dont le piètement permet de supporter un plateau de grande dimension sur lequel est appliqué un poids important, sans élément de piètement nécessaire en périphérie du plateau. De plus, la structure de la table selon la présente invention présente une structure de faible poids à vide. La table de travail selon la présente invention est donc de structure légère, et apte à supporter un poids important sur une grande surface, tout en ne gênant pas la circulation des utilisateurs autour de la table de travail.

La présente invention a donc pour objet une table de travail comprenant un piètement supportant une surface de travail, caractérisée par le fait que le piètement est constitué d'au moins quatre montants verticaux, les montants verticaux étant disposés sur les noeuds d'un quadrillage carré ou rectangulaire ayant autant de noeuds qu'il y a de montants, et de deux ensembles de traverses horizontales, les traverses du premier ensemble étant disposées suivant les lignes du quadrillage carré ou rectangulaire et fixées aux extrémités supérieures des montants, et les traverses du second ensemble étant disposées suivant les colonnes du quadrillage carré ou rectangulaire, orthogonales aux traverses du premier ensemble, et fixées aux extrémités supérieures des montants au-dessus des traverses du premier ensemble, les deux extrémités de chaque traverse faisant saillie horizontalement de part et d'autre des montants en périphérie du quadrillage carré ou rectangulaire, la surface de travail étant constituée par des plateaux fixés sur les parties en saillie des traverses. Avec la structure de table de travail selon l'invention, les plateaux de travail sont fixés sur les extrémités en porte-à-faux des traverses, ce qui permet de pouvoir circuler facilement autour de la table de travail du fait de l'absence d'éléments de piètement en périphérie de la table de travail, le piètement étant central et éloigné de la périphérie de la surface de travail de la table de travail.

La combinaison du piètement central et de l'enchevêtrement de traverses permet d'avoir à la fois une structure solide, pour supporter un poids important sur la surface de travail, et une possibilité de libre circulation autour de la structure de table de travail.

Le piètement peut notamment, selon une caractéristique avantageuse, être en bois. De même, les plateaux peuvent avantageusement être en bois, par exemple en contreplaqué. La structure à vide de la table de travail est ainsi plus légère.

Du fait de l'enchevêtrement de traverses dans la structure de table de travail selon l'invention, avec le premier ensemble de traverses parallèles disposé sur le deuxième ensemble de traverses parallèles, les traverses du premier ensemble étant orthogonales aux traverses du deuxième ensemble, on obtient deux hauteurs de travail différentes sur la table de travail.

Le fait d'avoir deux hauteurs permet de faciliter encore davantage la circulation autour de la table de travail. Elle permet également d'adapter les efforts sur la table de travail. Ainsi, lorsque celle-ci est utilisée avec des personnes ayant un problème moteur, par exemple dans des ateliers de jardinage, elle permet de varier les efforts avec les hauteurs de travail durant l'atelier. Selon une caractéristique particulière, des encoches de même hauteur que la hauteur des traverses du premier ensemble peuvent être formées au voisinage de l'extrémité supérieure des montants pour recevoir les traverses du premier ensemble de traverses. Selon une caractéristique particulière, des encoches de même hauteur que la hauteur des traverses du second ensemble peuvent être formées au voisinage de l'extrémité supérieure des montants pour recevoir les traverses du second ensemble de traverses. On obtient ainsi un emboîtement des traverses 20 dans les montants qui contribue à la solidité de l'assemblage. Selon une caractéristique particulière, les traverses des premier et second ensembles peuvent être vissées sur les montants. On renforce ainsi l'assemblage 25 par emboîtement des montants et des traverses. Selon une autre caractéristique particulière, des traverses inférieures peuvent être fixées, de préférence par vissage, sur les montants du piètement au voisinage de l'extrémité inférieure des montants. 30 Selon un premier mode de réalisation, la table de travail peut comprendre un piètement comprenant quatre montants disposés suivant les sommets d'un carré, deux traverses du premier ensemble de traverses et deux traverses du second ensemble de traverses, des premier et second plateaux rectangulaires identiques de même longueur que les traverses du second ensemble et de même largeur que la longueur en saillie des traverses du premier ensemble, les premier et second plateaux rectangulaires étant fixés centrés sur les parties en saillie des traverses du premier ensemble de telle sorte que la direction longitudinale des premier et second plateaux rectangulaires est parallèle aux traverses du second ensemble de traverses et qu'un bord longitudinal de chacun des premier et second plateaux rectangulaires est en contact avec les montants correspondants du piètement, et un troisième plateau rectangulaire de même longueur que les traverses du second ensemble et de largeur correspondant à la longueur des traverses du premier ensemble de traverses entre les montants, fixé centré sur les traverses du second ensemble de traverses, des trous étant ménagés dans le troisième plateau rectangulaire pour le passage des parties supérieures des montants.

Le troisième plateau peut également être en trois parties : deux parties d'extrémité, fixées chacune sur le dessus de la partie en saillie des traverses du second ensemble, et une partie centrale qui peut avoir trois positions : une position de niveau avec les deux parties d'extrémité, auquel cas elle repose sur les traverses du second ensemble, une position légèrement plus basse, auquel cas elle repose sur les traverses du premier ensemble, et une position encore plus basse, auquel cas elle repose sur des traverses supplémentaires prévues sur le piètement, sous les traverses du premier ensemble. Le troisième plateau peut également être en cinq parties : deux parties d'extrémité, fixées chacune sur le dessus de l'extrémité en saillie des traverses du second ensemble, deux parties intermédiaires, fixées chacune sous les traverses du second ensemble, entre les montants et les parties d'extrémité, et une partie centrale qui peut avoir trois positions : une position de niveau avec les deux 5 parties d'extrémité, auquel cas elle repose sur les traverses du second ensemble, une position légèrement plus basse, auquel cas elle repose sur les traverses du premier ensemble, et une position encore plus basse, auquel cas elle repose sur des traverses supplémentaires prévues sur 10 le piètement, sous les traverses du premier ensemble. Selon un deuxième mode de réalisation, la table de travail peut comprendre un piètement comprenant quatre montants disposés suivant les sommets d'un carré, deux traverses du premier ensemble de traverses et deux 15 traverses du second ensemble de traverses, deux plateaux trapézoïdaux isocèles identiques de grand côté de même longueur que les traverses du second ensemble et de hauteur correspondant à la longueur en saillie des traverses du premier ensemble, les deux plateaux trapézoïdaux isocèles 20 étant fixés centrés sur les parties en saillie des traverses du premier ensemble de telle sorte que la direction de grand côté des plateaux trapézoïdaux isocèles est parallèle aux traverses du second ensemble de traverses et que le grand côté de chacun des plateaux trapézoïdaux 25 isocèles est en contact avec les montants correspondants du piètement, et un plateau rectangulaire de même longueur que les traverses du second ensemble et de largeur correspondant à la longueur des traverses du premier ensemble de traverses entre les montants, fixé centré sur 30 les traverses du second ensemble de traverses, des trous étant ménagés dans le plateau rectangulaire pour le passage des parties supérieures des montants.

Comme précédemment, le plateau rectangulaire peut être également en trois parties voire en cinq parties. Selon un troisième mode de réalisation, la table de travail peut comprendre un piètement comprenant huit montants disposés suivant quatre rangées parallèles de deux montants chacune, deux traverses du premier ensemble de traverses et quatre traverses du second ensemble de traverses, des premier et second plateaux rectangulaires identiques de même longueur que les traverses du second ensemble et de même largeur que la longueur en saillie des traverses du premier ensemble, les premier et second plateaux rectangulaires étant fixés centrés sur les parties en saillie des traverses du premier ensemble de telle sorte que la direction longitudinale des premier et second plateaux rectangulaires est parallèle aux traverses du second ensemble de traverses et qu'un bord de chacun des premier et second plateaux rectangulaires est en contact avec les montants correspondants du piètement, et un troisième plateau rectangulaire de même largeur que les traverses du second ensemble et de longueur correspondant la longueur des traverses du premier ensemble de traverses entre les montants, fixé centré sur les traverses du second ensemble de traverses, des trous étant ménagés dans le troisième plateau rectangulaire pour le passage des parties supérieures des montants. Comme précédemment, le troisième plateau peut être également en trois parties voire en cinq parties. Selon une autre caractéristique particulière, les plateaux peuvent être fixés par vissage sur les traverses 30 correspondantes. Les plateaux peuvent également être chacun en plusieurs parties. Selon une autre caractéristique avantageuse de l'invention, les plateaux fixés sur les traverses du premier ensemble de traverses peuvent avoir une épaisseur correspondant à l'espacement entre la surface supérieure des traverses du premier ensemble et la surface inférieure des traverses du second ensemble, le bord desdits plateaux en contact avec les montants venant alors se coincer entre les traverses du premier ensemble et les traverses du second ensemble pour renforcer la fixation desdits plateaux sur le piètement. Selon une autre caractéristique particulière, des 10 rebords peuvent être formés sur la périphérie des plateaux constituant la surface de travail de la table de travail. On forme ainsi des bacs sur la surface de travail. Du fait de la disposition des premier et second ensembles de traverses, la surface de travail a deux 15 niveaux : un premier niveau de plateau (inférieur) reposant sur les traverses du premier ensemble et un second niveau de plateau (supérieur) reposent sur les traverses du second ensemble. D'autres trous peuvent être prévus dans les 20 plateaux, par exemple pour le passage d'un pied de parasol. Dans ce cas, il est également possible de prévoir une structure de maintien de la partie inférieure du pied de parasol dans la partie inférieure du piètement. Les plateaux disposés sur les extrémités des 25 traverses sont solidaires de la structure en étant fixés par vis sur les traverses et, en ayant une épaisseur correspondant à l'espace entre les traverses du premier ensemble et du deuxième ensemble, en s'emboîtant entre les deux ensembles de traverses. 30 Les plateaux peuvent avoir, de préférence, un fond en contreplaqué. La table de travail selon l'invention peut en particulier être une table de jardinage surélevée. Lorsque ses plateaux sont munis de rebord, on forme ainsi plusieurs bacs aptes à recevoir un milieu de culture. Les plateaux en contreplaqué peuvent avantageusement avoir une surface plastifiée, pour 5 renforcer leur résistance aux agents extérieurs type eau. Lorsque la table de travail est utilisée comme table de jardinage, les plateaux peuvent être recouverts d'un revêtement de type liner ou géotextile, en fonction du besoin d'étanchéité souhaité, pour avoir un effet drainant. 10 Lorsque la table de travail est utilisée comme table de jardinage, les plateaux peuvent avantageusement être inclinés vers le centre de la table, pour une récupération de l'eau. La table de travail peut également comporter des 15 moyens de fixation au sol de celle-ci, de type plot en béton, dans lequel est disposé un étrier en fer dans lequel on visse le pied. Pour mieux illustrer l'objet de la présente invention, on va en décrire ci-après un mode de réalisation 20 particulier avec référence au dessin annexé. Sur ce dessin : la Figure 1 est une vue en perspective éclatée d'un piètement d'une table de travail selon un premier mode 25 de réalisation de l'invention ; - la Figure 2 est une vue en perspective à l'état assemblé du piètement de la Figure 1 ; 30 la Figure 3 est une vue similaire à la Figure 2 d'un piètement d'une table de travail selon un deuxième mode de réalisation de l'invention ; la Figure 4 est une vue similaire à la Figure 2 d'un piètement d'une table de travail selon un troisième mode de réalisation de l'invention ; - la Figure 5 est une vue en perspective d'une table de travail selon le premier mode de réalisation ; la Figure 6 est une vue similaire à la Figure 5 d'une table de travail selon le deuxième mode de réalisation de l'invention ; la Figure 7 est une vue en perspective éclatée de la table de travail de la Figure 6, montrant l'assemblage des différents plateaux sur le piètement ; et la Figure 8 est une vue similaire à la Figure 5 d'une table de travail selon le troisième mode de réalisation de l'invention.

Si l'on se réfère aux Figures 1 et 2, on peut voir que l'on y a représenté un piètement 1 d'une table de travail, en particulier une table de jardinage surélevée, selon un premier mode de réalisation. Le piètement 1 comprend quatre montants verticaux 2, 3, 4 et 5, disposés en carré, une première paire de traverses horizontales supérieures 6, 7, une seconde paire de traverses horizontales supérieures 8, 9, une première paire de traverses horizontales inférieures 10, 11 et une seconde paire de traverses horizontales inférieures 12, 13.

Les traverses horizontales supérieures 6, 7 sont orthogonales aux traverses horizontales supérieures 8, 9. Chacun des montants verticaux 2, 3, 4 et 5 présente deux encoches supérieures, respectivement 14 et 15, situées l'une au dessus de l'autre dans la partie supérieure de chaque montant vertical 2, 3, 4 et 5. Les encoches 14 ont la même hauteur que la hauteur des traverses horizontales supérieures 8 et 9 et sont formées sur les montants verticaux 2, 3, 4 et 5 dans des directions parallèles aux plans contenant les traverses horizontales supérieures 8 et 9 une fois le piètement 1 assemblé. Les encoches 14 permettent de recevoir par emboîtement les traverses horizontales supérieures 8 et 9 sur les montants verticaux respectivement 2, 5 et 3, 4. De la même manière, les encoches 15 ont la même hauteur que la hauteur des traverses horizontales supérieures 6 et 7 et sont formées sur les montants verticaux 2, 3, 4 et 5 dans des directions parallèles aux plans contenant les traverses horizontales supérieures 6 et 7 une fois le piètement 1 assemblé. Les encoches 15 permettent de recevoir par emboîtement les traverses horizontales supérieures 6 et 7 sur les montants verticaux respectivement 2, 3 et 4, 5.

Les encoches 14 et 15 sont donc formées sur chaque montant vertical 2, 3, 4 et 5 dans deux directions perpendiculaires, l'une au-dessus de l'autre. Une fois les traverses horizontales supérieures 6, 7, 8 et 9 assemblées par emboîtement sur les montants verticaux 2, 3, 4 et 5, celles-ci sont vissées par des vis 16 sur les montants verticaux 2, 3, 4 et 5 pour renforcer leur assemblage sur les montants verticaux 2, 3, 4 et 5. Chacun des montants verticaux 2, 3, 4 et 5 présente également deux encoches inférieures, respectivement 18 et 19, situées l'une au dessus de l'autre dans la partie inférieure de chaque montant vertical 2, 3, 4 et 5.

Les encoches 18 ont la même hauteur que la hauteur des traverses horizontales inférieures 10 et 11 et sont formées sur les montants verticaux 2, 3, 4 et 5 dans des directions parallèles aux plans contenant les traverses horizontales inférieures 10 et 11 une fois le piètement 1 assemblé. Les encoches 18 permettent de recevoir par emboîtement les traverses horizontales inférieures 10 et 11 sur les montants verticaux respectivement 2, 5 et 3, 4. De la même manière, les encoches 19 ont la même 10 hauteur que la hauteur des traverses horizontales inférieures 12 et 13 et sont formées sur les montants verticaux 2, 3, 4 et 5 dans des directions parallèles aux plans contenant les traverses horizontales inférieures 12 et 13 une fois le piètement 1 assemblé. Les encoches 19 15 permettent de recevoir par emboîtement les traverses horizontales inférieures 12 et 13 sur les montants verticaux respectivement 2, 3 et 4, 5. Les encoches 18 et 19 sont donc formées sur chaque montant vertical 2, 3, 4 et 5 dans deux plans 20 perpendiculaires, l'une au-dessus de l'autre, au voisinage des pieds des montants verticaux 2, 3, 4 et 5 et permettent de renforcer la structure du piètement 1. Une fois les traverses horizontales inférieures 10, 11, 12 et 13 assemblées par emboîtement sur les 25 montants verticaux 2, 3, 4 et 5, celles-ci sont vissées par des vis 20 sur les montants verticaux 2, 3, 4 et 5 pour renforcer leur assemblage sur les montants verticaux 2, 3, 4 et 5. Si l'on se réfère maintenant à la Figure 3, on 30 peut voir que l'on y a représenté un piètement 100 selon un deuxième mode de réalisation de l'invention. Comme pour le piètement 1 des Figures 1 et 2, le piètement 100 comprend quatre montants verticaux 102, 103, 104 et 105, disposés en carré, une première paire de traverses horizontales supérieures 106, 107 une seconde paire de traverses horizontales supérieures 108, 109, une première paire de traverses horizontales inférieures 110, 111 et une seconde paire de traverses horizontales inférieures 112, 113. Les traverses horizontales supérieures 106, 107 sont orthogonales aux traverses horizontales supérieures 108, 109 et les traverses horizontales inférieures 110, 111 sont orthogonales aux traverses horizontales inférieures 112, 113. Les éléments constitutifs du piètement 100 sont assemblés de la même manière que les éléments constitutifs du piètement 1 (emboîtement et vissage, vis non représentées pour ne pas surcharger la Figure), aussi l'assemblage des montants 102, 103, 104 et 105 et des traverses 106, 107, 108, 109, 110, 111, 112 et 113 ne sera pas répété ici. Les encoches, 114, 115 et 118, 119 du piètement 20 100 sont identiques aux encoches 14, 15 et 18, 19 respectivement du piètement 1, et ne seront donc pas décrites plus en détail ici. La différence entre le piètement 1 et le piètement 100 est principalement l'espacement entre les 25 montants 102, 103, 104 et 105, permettant d'avoir des traverses 106, 107, 108, 109 plus longues et donc plus de longueur de celles-ci en porte-à-faux. De plus, ce piètement 100 étant destiné supporter une surface de travail plus importante que le 30 piètement 1, une traverse 121 de renfort supplémentaire est ajoutée entre les montants 104 et 105, au niveau de leur parties intermédiaires, de manière analogue à la traverse 111 en partie basse entre ces deux mêmes montants.

Si l'on se réfère à la Figure 4, on peut voir que l'on y a représenté un piètement 200 selon un troisième mode de réalisation de l'invention. Le piètement 200 comprend huit montants verticaux 5 202, 203, 204, 205, 202', 203', 204' et 205', disposés par paires suivant deux lignes. Les montants 202, 203, 202' et 203' sont reliés par une traverse longitudinale supérieure 206, emboîtée dans des encoches 215 formées dans les montants 202, 203, 10 202' et 203' de manière analogue aux encoches 15 formées dans les montants 2 et 3 du piètement 1, et par une traverse longitudinale inférieure 210, emboîtée dans des encoches 219 formées dans les montants 202, 203, 202' et 203' de manière analogue aux encoches 19 formées dans les 15 montants 2 et 3 du piètement 1. Les montants 204, 205, 204' et 205' sont reliés par une traverse longitudinale supérieure 207, emboîtée dans des encoches 215 formées dans les montants 204, 205, 204' et 205' de manière analogue aux encoches 15 formées 20 dans les montants 2 et 3 du piètement 1, et par une traverse longitudinale inférieure 211, emboîtée dans des encoches 219 formées dans les montants 204, 205, 204' et 205' de manière analogue aux encoches 19 formées dans les montants 2 et 3 du piètement 1. 25 Les paires de montants 202 et 205, 203 et 204, 202' et 205', 203' et 204' sont reliées par des traverses transversales supérieures, respectivement 208, 209, 208' et 209', emboîtées dans les encoches 214 formées dans les montants 202, 203, 204, 205, 202', 203', 204' et 205' de 30 manière analogue aux encoches 14 formées dans les montants 2, 3, 4 et 5 du piètement 1. Les paires de montants 202 et 205, 203 et 204, 202' et 205', 203' et 204' sont également reliées par des traverses transversales inférieures, respectivement 213, 212, 213' et 212', emboîtées dans les encoches 218 formées dans les montants 202, 203, 204, 205, 202', 203', 204' et 205' de manière analogue aux encoches 18 formées dans les montants 2, 3, 4 et 5 du piètement 1. Bien que cela ne soit pas représenté sur la Figure 4, des vis sont également utilisées pour renforcer l'assemblage des montants et traverses. Le piètement 200 permet d'avoir une surface de travail plus allongée que les piètements 1 et 100 des Figures 1 à 3. Les piètements 1, 100 et 200 sont, de préférence, réalisés à partir de montants et de traverses en bois. Si l'on se réfère maintenant aux Figures 5 à 8, on peut voir que l'on y a représenté les tables de travail 15 selon les trois modes de réalisation de l'invention. Pour une meilleure lisibilité des Figures, les différents éléments constituant chaque piètement ne seront pas référencés, les piètements étant simplement référencés par leur chiffre de référence général des Figures 1 à 4. 20 La Figure 5 représente une table de travail surface de travail carrée, supportée par le piètement 1. Les Figures 6 et 7 représentent une table de travail à surface de travail hexagonale, supportée par le piètement 100. 25 La Figure 8 représente une table de travail surface de travail rectangulaire, supportée par le piètement 200. Si l'on se réfère tout d'abord à la Figure 6, qui représente une table de jardinage selon le deuxième mode de 30 réalisation avec les surfaces de travail en vue éclatée par rapport au piètement 100, on peut voir que la table de travail selon le deuxième mode de réalisation comprend deux plateaux trapézoïdaux isocèles 122A et 122B, fixés sur les extrémités en saillie des traverses 106 et 107, et un plateau supérieur 123, constitué de deux parties d'extrémité 123A et 123C, reposant sur les extrémités en saillie des traverses 108 et 109, et d'une partie centrale 123B reposant sur les parties centrales des traverses 106 et 107. Il serait aussi toutefois envisageable d'avoir un unique plateau supérieur, portant des trous pour le passage des extrémités supérieures des montants du piètement 100. Dans le mode de réalisation représenté, la table 10 de travail est destinée à servir de table de jardinage surélevée, aussi chacun des plateaux est destiné à servir de bac de culture, c'est pourquoi les plateaux, respectivement 122A, 122B et 123 sont munis d'un rebord, respectivement 124, 125 et 126 sur leur périphérie. 15 Comme on peut le voir sur la Figure 7, le piètement 100 est suffisamment éloigné de la périphérie des plateaux 122A, 122B et 123 pour pouvoir permettre une circulation aisée autour de la table de travail, par exemple pour des personnes en fauteuil roulant. 20 De manière analogue à ce qui a été décrit pour la table de travail des Figures 6 et 7, la table de jardinage selon le premier mode de réalisation représentée sur la Figure 5 comprend deux plateaux latéraux rectangulaires, respectivement 22A et 22B, munis chacun d'un rebord 25 périphérique, respectivement 24 et 25, et un plateau supérieur/central 23 en trois parties, une partie centrale 23B et deux parties d'extrémité 23A et 23C, disposées comme indiqué en référence au deuxième mode de réalisation. Le plateau central 23 comprend un rebord périphérique 26. 30 Le plateau supérieur/central 23 pourrait également être d'un seul tenant, avec des trous pour le passage des extrémités supérieures des montants, sans s'écarter du cadre de la présente invention.

La table de travail selon le troisième mode de réalisation, représentée sur la Figure 8, comprend deux plateaux latéraux 222A et 222B, chacun muni d'un rebord périphérique, respectivement 224 et 225, et un plateau supérieur/central 223, rectangulaire, muni d'un rebord périphérique 226. Pour chacun des modes de réalisation, les plateaux sont d'abord posés sur les traverses correspondantes puis vissés sur celles-ci (vis non 10 représentées sur les Figures). Les plateaux utilisés peuvent être des plateaux en contreplaqués, ou des plateaux métalliques. Dans le cas d'une utilisation en table de jardinage, les plateaux seront recouverts d'un revêtement 15 étanche pour éviter leur détérioration. Pour une utilisation en extérieur, on peut prévoir, dans chaque mode de réalisation, un trou pour le passage d'un pied de parasol au centre du plateau central/supérieur de chaque table de travail.

20 On peut aussi prévoir des glissières sur le piètement ou sous les plateaux pour l'aménagement de tiroirs sur la table de travail de l'invention, sans s'écarter du cadre de la présente invention. 25

Claims

REVENDICATIONS1 - Table de travail comprenant un piètement (1 ; 100 ; 200) supportant une surface de travail, caractérisée 5 par le fait que le piètement (1 ; 100 ; 200) est constitué d'au moins quatre montants verticaux (2, 3, 4, 5 ; 102, 103, 104, 105 ; 202, 203, 204, 205, 202', 203', 204', 205'), les montants verticaux (2, 3, 4, 5 ; 102, 103, 104, 105 ; 202, 203, 204, 205, 202', 203', 204', 205') étant 10 disposés sur les noeuds d'un quadrillage carré ou rectangulaire ayant autant de noeuds qu'il y a de montants, et de deux ensembles de traverses horizontales, les traverses (6, 7 ; 106, 107 ; 206, 207) du premier ensemble étant disposées suivant les lignes du quadrillage carré ou 15 rectangulaire et fixées aux extrémités supérieures des montants (2, 3, 4, 5 ; 102, 103, 104, 105 ; 202, 203, 204, 205, 202', 203', 204', 205'), et les traverses (8, 9 ; 108, 109 ; 208, 209, 208', 209') du second ensemble étant disposées suivant les colonnes du quadrillage carré ou 20 rectangulaire, orthogonales aux traverses (6, 7 ; 106, 107 ; 206, 207) du premier ensemble, et fixées aux extrémités supérieures des montants (2, 3, 4, 5 ; 102, 103, 104, 105 ; 202, 203, 204, 205, 202', 203', 204', 205') au- dessus des traverses (6, 7 ; 106, 107 ; 206, 207) du 25 premier ensemble, les deux extrémités de chaque traverse faisant saillie horizontalement de part et d'autre des montants en périphérie du quadrillage carré ou rectangulaire, la surface de travail étant constituée par des plateaux (22A, 22B, 23 ; 122A, 122B, 123 ; 222A, 222B, 30 223) fixés sur les parties en saillie des traverses.
2 - Table de travail selon la revendication 1, caractérisée par le fait que des encoches (14 ; 114, 214) de même hauteur que la hauteur des traverses (6, 7 ; 106,107 ; 206, 207) du premier ensemble sont formées au voisinage de l'extrémité supérieure des montants (2, 3, 4, 5 ; 102, 103, 104, 105 ; 202, 203, 204, 205, 202', 203', 204', 205') pour recevoir les traverses (6, 7 ; 106, 107 ; 206, 207) du premier ensemble de traverses.
3 - Table de travail selon la revendication 1 ou la revendication 2, caractérisée par le fait que des encoches (15 ; 115 ; 215) de même hauteur que la hauteur des traverses (8, 9 ; 108, 109 ; 208, 209, 208', 209') du second ensemble sont formées au voisinage de l'extrémité supérieure des montants (2, 3, 4, 5 ; 102, 103, 104, 105 ; 202, 203, 204, 205, 202', 203', 204', 205') pour recevoir les traverses (8, 9 ; 108, 109 ; 208, 209, 208', 209') du second ensemble de traverses.
4 Table de travail selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisée par le fait que les traverses des premier (6, 7 ; 106, 107 ; 206, 207) et second (8, 9 ; 108, 109 ; 208, 209, 208', 209') ensembles sont vissées sur les montants (2, 3, 4, 5 ; 102, 103, 104, 105 ; 202, 203, 204, 205, 202', 203', 204', 205').
5 Table de travail selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisée par le fait que des traverses inférieures (10, 11, 12, 13 ; 110, 111, 112, 113 ; 210, 211, 212, 213, 212', 213') sont fixées, de préférence par vissage, sur les montants (2, 3, 4, 5 ; 102, 103, 104, 105 ; 202, 203, 204, 205, 202', 203', 204', 205') du piètement (1 ; 100 ; 200) au voisinage de l'extrémité inférieure des montants (2, 3, 4, 5 ; 102, 103, 104, 105 ; 202, 203, 204, 205, 202', 203', 204', 205').
6 Table de travail selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisée par le fait qu'elle comprend un piètement (1) comprenant quatre montants (2, 3, 4, 5) disposés suivant les sommets d'un carré, deuxtraverses (6, 7) du premier ensemble de traverses et deux traverses (8, 9) du second ensemble de traverses, des premier (22A) et second (22B) plateaux rectangulaires identiques de même longueur que les traverses (8, 9) du second ensemble et de même largeur que la longueur en saillie des traverses (6, 7) du premier ensemble, les premier et second plateaux rectangulaires (22A, 22B) étant fixés centrés sur les parties en saillie des traverses (6, 7) du premier ensemble de telle sorte que la direction longitudinale des premier et second plateaux rectangulaires (22A, 22B) est parallèle aux traverses (8, 9) du second ensemble de traverses et qu'un bord longitudinal de chacun des premier et second plateaux rectangulaires (22A, 22B) est en contact avec les montants correspondants (2, 3, 4, 5) du piètement (1), et un troisième plateau rectangulaire (23) de même longueur que les traverses (8, 9) du second ensemble et de largeur correspondant à la longueur des traverses (6, 7) du premier ensemble de traverses entre les montants (2, 3, 4, 5), fixé centré sur les traverses (8, 9) du second ensemble de traverses, des trous étant ménagés dans le troisième plateau rectangulaire (23) pour le passage des parties supérieures des montants (2, 3, 4, 5).
7 - Table de travail selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisée par le fait qu'elle comprend un piètement (100) comprenant quatre montants (102, 103, 104, 105) disposés suivant les sommets d'un carré, deux traverses (106, 107) du premier ensemble de traverses et deux traverses (108, 109) du second ensemble de traverses, deux plateaux trapézoïdaux isocèles (122A, 122B) identiques de grand côté de même longueur que les traverses (108, 109) du second ensemble et de hauteur correspondant à la longueur en saillie des traverses (106, 107) du premier ensemble, les deux plateaux trapézoïdauxisocèles (122A, 122B) étant fixés centrés sur les parties en saillie des traverses (106, 107) du premier ensemble de telle sorte que la direction de grand côté des plateaux trapézoïdaux isocèles (122A, 122B) est parallèle aux traverses (108, 109) du second ensemble de traverses et que le grand côté de chacun des plateaux trapézoïdaux isocèles (122A, 122B) est en contact avec les montants correspondants (102, 103, 104, 105) du piètement (100), et un plateau rectangulaire (123) de même longueur que les traverses (108, 109) du second ensemble et de largeur correspondant à la longueur des traverses (106, 107) du premier ensemble de traverses entre les montants (102, 103, 104, 105), fixé centré sur les traverses (108, 109) du second ensemble de traverses, des trous étant ménagés dans le plateau rectangulaire (123) pour le passage des parties supérieures des montants (102, 103, 104, 105).
8 - Table de travail selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisée par le fait qu'elle comprend un piètement (200) comprenant huit montants (202, 203, 204, 205, 202', 203', 204', 205') disposés suivant quatre rangées parallèles de deux montants chacune, deux traverses (206, 207) du premier ensemble de traverses et quatre traverses (208, 209, 208', 209') du second ensemble de traverses, des premier et second plateaux rectangulaires identiques (222A, 222B) de même longueur que les traverses (208, 209, 208', 209') du second ensemble et de même largeur que la longueur en saillie des traverses (206, 207) du premier ensemble, les premier et second plateaux rectangulaires (222A, 222B) étant fixés centrés sur les parties en saillie des traverses (206, 207) du premier ensemble de telle sorte que la direction longitudinale des premier et second plateaux rectangulaires (222A, 222B) est parallèle aux traverses (208, 209, 208', 209') du secondensemble de traverses et qu'un bord de chacun des premier et second plateaux rectangulaires (222A, 222B) est en contact avec les montants correspondants (202, 203, 204, 205, 202', 203', 204', 205') du piètement (200), et un troisième plateau rectangulaire (223) de même largeur que les traverses (208, 209, 208', 209') du second ensemble et de longueur correspondant à la longueur des traverses (206, 207) du premier ensemble de traverses entre les montants (202, 203, 204, 205, 202', 203', 204', 205'), fixé centré sur les traverses (208, 209, 208', 209') du second ensemble de traverses, des trous étant ménagés dans le troisième plateau rectangulaire (223) pour le passage des parties supérieures des montants (202, 203, 204, 205, 202', 203', 204', 205').
9 - Table de travail selon l'une des revendications 1 à 8, caractérisée par le fait que les plateaux (22A, 22B, 23 ; 122A, 122B, 123 ; 222A, 222B, 223) sont fixés par vissage sur les traverses correspondantes.
10 - Table de travail selon l'une des 20 revendications 1 à 9, caractérisée par le fait que des rebords (24, 25, 26 ; 124, 125, 126 ; 224, 225, 226) sont formés sur la périphérie des plateaux (22A, 22B, 23 ; 122A, 122B, 123 ; 222A, 222B, 223) constituant la surface de travail de la table de travail. 25