FR2960769A1

FR2960769A1 - Pilulier semainier a usage sedentaire et/ou ambulatoire

Info

Publication number: FR2960769A1
Application number: FR1002382A
Authority: FR
Inventors: Michel Brun
Original assignee: Individual
Current assignee: Individual
Priority date: 2010-06-04
Filing date: 2010-06-04
Publication date: 2011-12-09
Anticipated expiration: 2030-06-04
Also published as: FR2960769B1

Abstract

L'invention à pour objet d'améliorer la sécurité des prises tout en donnant au pilulier un caractère polyvalent pour un usage sédentaire ou ambulatoire utilisable sans assistance par toute personne présentant un handicap léger. Selon l'invention, les cases 3a à 3d de chacune des cassettes 2a à 2g sont délimitées par des parois intermédiaires 16 s'étendant vers le haut jusqu'à proximité de deux glissières longitudinales 17 pour un couvercle coulissant 4a à 4g, commun à toutes les cases, ce couvercle étant muni d'un doigt 18 constituant, d'une part, butée de limitation de course en coopérant avec l'une ou l'autre des deux parois extrêmes 14a, 14b de la cassette et, d'autre part, indicateur sensitif de position d'ouverture en frottant contre les parois 16 entre cases, tandis que chacune des cassettes est munie de moyens de positionnement et de maintien 10 ou 8 coopérant avec des moyens complémentaires 8 ou 10 du boîtier 1, pour que les cassettes ne puissent être rangées que dans l'ordre des jours de la semaine, tout en étant maintenues solidaires du boîtier avec possibilité d'extraction manuelle.

Description

L'invention concerne un pilulier semainier à usage sédentaire et/ou ambulatoire. Un pilulier semainier est en général composé d'un boîtier dans lequel sont organisées des cases aptes à recevoir des médicaments sous forme de cachet ou gélule, ces cases étant réparties en colonnes et rangées correspondant aux sept jours de la semaine et à trois ou quatre périodes de prises, par exemple matin, midi, soir et nuit. Les cases d'une rangée journalière sont obturées par un couvercle qui peut être déplacé ou actionné pour accéder chronologiquement à chacune des cases successives pour en prélever le contenu. Actuellement on distingue : - les grands piluliers à usage sédentaire qui, utilisables en milieu hospitalier et à domicile, comprennent des cases de grandes dimensions pouvant aisément être alimentées manuellement chaque début de semaine en prévision d'un nouveau cycle de consommation. Dans ces piluliers l'accés à une case s'effectue en dégageant son ouverture par tirage d'une languette d'obturation. Leur inconvénient est qu'ils sont encombrants et difficilement transportables dans un sac ou une pochette. - les piluliers à usage ambulatoire qui, pour pouvoir être transportés aisément dans un sac, sont moins volumineux et présentent des cases de plus petites dimensions, donc plus difficiles à regarnir. En effet, ces cases offrent des ouvertures qui, de petites dimensions et très rapprochées, favorisent lors du regarnissage manuel la dispersion des cachets et gélules dans d'autres cases que celle(s) prévue(s) par la posologie, en nécessitant des vérifications et des manipulations supplémentaires pour éviter tous accidents de surdosage. Cette petitesse des cases est particulièrement pénalisante pour les personnes manquant de dextérité, au point que lorsque ces dernières souhaitent utiliser un modèle ambulatoire pour leur confort de vie, elles font appel à du personnel d'assistance pour assurer le remplissage de leur pilulier.

A cet inconvénient s'ajoute parfois celui inhérent aux persones sujettent à tremblements dont les mouvements incontrolés favorisent le glissement des pilules et cachets entre les cases, leur déclassement par moment de prise et leur mélange, en obligeant l'utilisateur ou son personnel d'accompagnement à procéder à une vérification. A ces inconvénients s'ajoutent celui inhérent à la difficulté rencontrée par les malvoyants pour identifier les cases et leurs positions.

L'invention a pour objet de remédier à cela en fournissant un pilulier mixte à usage sédentaire et/ou ambulatoire cumulant les avantages des deux fonctions sans en présenter les inconvénients, c'est-à-dire présentant des cases aisément repérables et remplissables, assurant une retenue permanente des pilules et cachets, même en présence de mouvements incontrolés et dont l'ouverture ne peut être réalisée qu'en respectant la chronologie de la posologie journalière. L'invention concerne plus particulièrement les piluliers semainiers composés, comme décrit dans le document CN201329012, d'un boîtier rectangulaire ouvert vers le haut et dans lequel sont disposées sept cassettes indépendantes divisées en plusieurs cases correspondant aux périodes de prise des médicaments de la journée, ces cases étant fermées par un couvercle. Selon l'invention, les cases de chacune des cassettes sont délimitées par des parois transversales intermédiaires s'étendant vers le haut jusqu'à proximité de deux glissières longitudinales pour un couvercle coulissant, commun aux cases, ce couvercle étant muni d'un doigt constituant, d'une part, butée de limitation de course en coopérant avec l'une ou l'autre des deux parois transversales extrêmes de la cassette et, d'autre part, indicateur sensitif de position d'ouverture en frottant contre les parois transversales intermédiaires entre cases, tandis que chacune des cassettes est munie de moyens de positionnement et de maintien coopérant avec des moyens complémentaires du boîtier ou des cassettes voisines, pour que les cassettes ne puissent être rangées que dans l'ordre des jours de la semaine, tout en étant maintenues solidaires du boîtier avec possibilité d'extraction manuelle.

Grâce à la hauteur des parois intermédiaires de séparations entre cases, parois venant sous le couvercle, les pilules et cachets restent dans les cases qui leurs sont assignées, quels que soient les mouvements communiqués à la cassette et au boîtier, et ne peuvent pas modifier la posologie du traitement. Lorsqu'il s'agit d'accéder à l'une des cases d'une cassette, que cette dernière soit encore dans le boîtier ou extraite de ce dernier, il faut faire coulisser le couvercle jusqu'à ce qu'apparaisse la case dédiée au moment de prise, par exemple « soir ». Durant ce déplacement, le doigt solidaire du couvercle passe successivement sur les parois transversales intermédiaires des cases du « matin » et de « midi » avant de venir s'appuyer contre la paroi de la case du « soir », en procurant ainsi un positionnement sensitif du couvercle, garantissant l'ouverture de la bonne case. Dans une forme d'exécution de l'invention, chacune des parois de délimitation des cases d'une cassette comporte sur son bord supérieur une encoche laissant passer le doigt du couvercle mais freinant son passage pour générer une réaction sensitive.

Dans une forme d'exécution de l'invention, les moyens de positionnement et de maintien des cassettes sont constitués par l'emboîtement d'au moins un pion saillant du fond du boîtier, ou de la cassette, dans un puits de section complémentaire formé dans le fond de la cassette, ou du boîtier, le nombre de pion ou puits par cassette étant compris entre 1 et 7 et dépendant de la position de cette cassette dans la chronologie normale des jours de la semaine. Avec cet aménagement, lors de leurs remises en place dans le boîtier, les cassettes revenant d'un usage ambulatoire sont rangées dans l'ordre des jours d'une semaine et le pilulier semainier sédentaire ainsi constitué ne peut en aucun cas interférer sur l'ordre de prise des médicaments. Avantageusement, dans toutes les cassettes au moins l'un des emboîtements pion-puits s'effectue avec serrage. Il en résulte que quand le boîtier semainier est manipulé sans précautions et même s'il est retourné, ses diverses cassettes forment avec lui un ensemble monolithique garantissant la cohésion de l'ensemble et le classement des médicaments.

D'autres caractéristiques et avantages ressortiront de la description qui suit, en référence au dessin schématique annexé, représentant un pilulier équipé de cassettes indépendantes et dans lequel : Figure 1 est une vue en plan par-dessus et en élévation du boîtier de 5 réception des cassettes ; Figure 2 est une vue par-dessous d'une cassette ; Figure 3 est une vue en coupe suivant III-III de figure 1, d'une cassette avec son couvercle en position d'obturation de toutes ses cases ; Figure 4 est une vue en perspective par-dessus d'une cassette ; 10 Figures 5 et 6 sont des vues en perspective d'une forme d'exécution du couvercle, respectivement par-dessus et par-dessous ; Figure 7 est une vue en coupe transversale d'une cassette avec son couvercle ; Figure 8 est une vue en perspective avec coupe partielle du boîtier ; 15 Figure 9 est une vue de côté en coupe d'une cassette quand son couvercle est en butée d'ouverture maximale. Dans la forme d'exécution représentée au dessin, la référence 1 désigne le boîtier, 2a à 2g chacune des sept cassettes journalières qui sont différenciées en rapport avec les jours de la semaine et divisées en quatre 20 cases 3a du « matin », 3b de « midi », 3c du « soir » et 3d de la « nuit ». Les couvercles, également différenciés en rapport avec les jours de la semaine, sont référencés 4a à 4g en allant du Lundi au Dimanche. Tous ces éléments sont réalisés par moulage en matière plastique, par exemple opaque pour le boîtier 1 et les cassettes 2a à 2g, et translucide ou transparente pour les 25 couvercles 4a à 4g. Comme le montrent en détail les figures 1 et 8, le boîtier 1 a la forme générale d'une boîte parallélépipédique ouverte vers le haut et délimitée longitudinalement par deux parois 5 et, transversalement, par deux parois 6. Dans la forme représentée, les parois 5 sont juxtaposées à des glissières 7 30 pour des moyens de remplissage des cases des cassettes, moyens ne faisant pas partie de la présente invention.

Dans la forme d'exécution représentée, les moyens de positionnement et de maintien des cassettes dans le boîtier sont constitués par des rangées RI à R7 de pions 8 saillant vers le haut du fond 9 du boîtier. Dans les rangées le nombre de pions varie de 1 à 7. Ces derniers ont des sections transversales cylindriques et sont répartis dans les rangées avec un pas régulier. Les pions sont destinés à coopérer avec des puits 10 débouchant vers le bas du fond 12 de chaque cassette 2a à 2g. En fait, chaque cassette comporte un nombre de puits 10 qui correspond à la position qu'elle doit avoir dans le boîtier. Ainsi, la cassette 2c, représentée aux figures 2 et 3 et destinée à recevoir les médicaments du mercredi choisit comme troisième jour de la semaine comporte trois puits 10 aptes à s'enficher sur la rangée R3 de trois pions 8 du boîtier, comme montré à la figure 3. Avantageusement, le premier pion 8a de chacune des rangées RI à R7 s'emboîte avec serrage dans le puits 10a qui lui correspond, afin d'assurer une liaison de la cassette et du boîtier ne pouvant être rompue que par une action manuelle volontaire. Les autres pions s'emboîtent avec jeu pour ne pas gêner le maintien assuré par l'emboîtement serré 8a-10a. Chaque cassette a la forme générale d'une barquette rectangulaire et est délimitée par deux parois longitudinales 13 et deux parois transversales et extrêmes 14a et 14b. La figure 3 montre que ces parois sont plus hautes que celles 6 du boîtier afin qu'un bec 15, prolongeant chaque cassette au-delà de la paroi 14b, puisse déborder d'un côté de ce boîtier pour former organe d'extraction manuelle. Les cases 3a à 3d de chaque cassette sont délimitées entre les parois transversales 14a et 14b par des parois intermédiaires 16 qui s'étendent vers le haut jusqu'à proximité de glissières longitudinales 17, (visibles figures 4 et 9), servant au coulissement du couvercle 4a à 4g correspondant. Chaque couvercle 4a à 4g présente, de manière indifférenciée : - en section transversale, une forme en queue d'aronde apte à 30 coulisser dans le profil complémentaire délimité par les glissières 17, comme montré figure 7, tout en restant retenu par ces glissières, - en saillie vers le bas à partir de sa face inférieure, un doigt 18 constituant, d'une part, butée de limitation de course en coopérant avec l'une ou l'autre des deux parois transversales et extrêmes 14a et 14b de la cassette et, d'autre part, indicateur de position d'ouverture en coopérant avec les parois intermédiaires 16 des cases, - en saillie vers le bas à partir de sa face inférieure et à l'opposé du doigt 18, un picot 19 coopérant avec la paroi 14b précédant le bec 15, pour marquer sensitivement la course d'ouverture de ce couvercle, - à son extrémité libre, une patte de tirage 20 saillant vers le bas 10 devant l'extrémité du bec 15, - et près de l'autre extrémité, et en saillie de sa face supérieure au moins une nervure transversale 22, permettant le poussage de ce couvercle. Chaque couvercle 4a à 4g est différencié de ses voisins : - par l'inscription du jour auquel il correspond, tel que « lundi », 15 « mardi », référencée 30 à la figure 8, - par l'inscription de l'affectation de chacune des cases qu'il va recouvrir, tel que « matin », « midi », « soir » et « nuit », référencée 31 aux figures 5 et 8, - par des moyens d'identifications tactiles du jour de la semaine, 20 consistant par exemple en des nervures transversales 32 saillant vers le haut à partir de la face supérieure de ce couvercle, le nombre de nervures allant en croissant depuis une jusqu'à sept, en allant par exemple du lundi au dimanche, - et par des moyens d'identifications tactiles de la période de prise du médicament composés par exemple de plots 33 saillant vers le haut à partir 25 de la face supérieure de ce couvercle, le nombre de plots allant en croissant par exemple de un à quatre en s'avançant dans la journée, du matin à la nuit. La figure 8 montre que quand les cassettes 2 sont mises en place dans le boîtier 1 elles sont parfaitement ordonnées, positionnées et maintenues et forment avec ce boîtier un ensemble monolithique satisfaisant à un usage 30 sédentaire, tout en éliminant tous les risques de confusion des jours et des cases journalières.

Pour un usage ambulatoire, il suffit de saisir la cassette du jour par son bec 15 pour l'extraire manuellement du boîtier. Durant son transport, le couvercle est maintenu en position de fermeture par le picot 19 coopérant avec la paroi 14b. Ce maintien est suffisant pour résister aux efforts de frottement exercés sur le couvercle, mais insuffisant pour s'opposer à une action manuelle d'ouverture par tirage sur la patte 20 ou par poussage sur la nervure 22. Au fur et à mesure de l'ouverture, le doigt 18 du couvercle rencontre les parois intermédiaires 16 et informe sensitivement l'opérateur du passage sur ces parois, donc du degré d'ouverture et de la case accessible. Ainsi, même si l'opérateur ne dispose pas d'une vision parfaite, il ressent le niveau d'ouverture et peut arrêter le déplacement de ce couvercle dès qu'est ouverte la case contenant les médicaments devant être pris à cette période de la journée. Dans la forme d'exécution représentée, chacune des parois transversales intermédiaires 16 comporte sur son bord supérieur une encoche 23 laissant passer le doigt 18 du couvercle mais en freinant son passage pour générer la réaction sensitive. Au retour au point de départ, foyer ou hôpital, la remise en place de la cassette s'effectue sans problème si elle est remise à la place qui lui est attribuée et qui est vérifiée par la concordance des puits 10 de son fond avec les pions 8 du boîtier. L'absence de concordance indique que la cassette n'a pas été engagée à la place qui lui est attribuée et qu'il faut donc rechercher celle ci. Il ressort de ce qui précède que le pilulier selon l'invention permet aux personnes présentant un handicap de malvoyance, de perte de dextérité ou de tremblements de se passer de toute assistance extérieure pour la prise de médicaments dans le pilulier. En effet : - le malvoyant peut, en déplaçant ses doigts sur les couvercles du pilulier semainier, repérer celui du jour et, sur le couvercle de ce dernier, repérer les indications des moments de prise, - le malvoyant peut aussi, lors du rangement consécutif de plusieurs cassettes et en déplaçant ses doigts à l'intérieur du boîtier et sous le fond des cassettes, repérer les pions et puits indiquant les jours de la semaine sur les cassettes à ranger, - un manque de dextérité peut faire coulisser chaque couvercle dans un sens ou dans l'autre, soit en le tirant ou le poussant par la patte 20 ou par la nervure 22, - et le patient sujet à des tremblements peut accéder à chacune des cases, sans désolidariser les éléments du pilulier et sans que la prise du contenu d'une case, par retournement de la cassette ou de l'ensemble du boîtier, puisse entraîner le vidage des cases suivantes, puisque celles ci restent occultées par le couvercle de la cassette. La forme d'exécution qui a été décrite ci-dessus peut bien entendu se décliner dans de nombreuses variantes, selon la nature et la répartition des moyens mis en oeuvre pour assurer le positionnement et le maintien des cassettes dans le boîtier, les moyens de limitation de course du couvercle et les moyens d'identification sensitive de sa position par rapport aux cases. Par exemple dans une variante de réalisation non représentée, la liaison des cassettes avec le boîtier est assurée par des pions horizontaux saillants latéralement des parois longitudinales des cassettes et coopérant avec des gorges en V débouchant latéralement et vers le haut et ménagées dans les autres parois longitudinales de ces cassettes. La liaison avec les parois du boîtier est aussi assurée par coopération de pions et de gorges de réception ménagés dans les parois des cassettes et dans celles du boîtier .

Claims

REVENDICATIONS1.) Pilulier semainier à usage sédentaire et/ou ambulatoire comprenant un boîtier rectangulaire (1) ouvert vers le haut et dans lequel sont juxtaposées des cassettes indépendantes (2a à 2g) divisées en plusieurs cases (3a à 3d) correspondant aux périodes de la journée de prise des médicaments, ces cases étant fermées par un couvercle, caractérisé en ce que les cases (3a à 3d) de chacune des cassettes (2a à 2g) sont délimitées par des parois transversales intermédiaires (16) s'étendant vers le haut jusqu'à proximité de deux glissières longitudinales (17) pour un couvercle coulissant (4a à 4g), commun aux cases (3a à 3d) de la cassette, ce couvercle étant muni d'un doigt (18) constituant, d'une part, butée de limitation de course en coopérant avec l'une ou l'autre des deux parois transversales extrêmes (14a, 14b) de la cassette et, d'autre part, indicateur sensitif de position d'ouverture en frottant contre les parois transversales intermédiaires (16), tandis que chacune des cassettes (2a à 2g) est munie de moyens de positionnement et de maintien (10 ou 8) coopérant avec des moyens complémentaires (8 ou 10) du boîtier (1) ou des cassettes voisines, pour que les cassettes (2a à 2g) ne puissent être rangées que dans l'ordre des jours de la semaine, tout en étant maintenues solidaires du boîtier avec possibilité d'extraction manuelle.
2.) Pilulier semainier à usage sédentaire et/ou ambulatoire selon la revendication 1 caractérisé en ce que les moyens de positionnement et de maintien des cassettes (2a à 2g) sont constitués par l'emboîtement d'au moins un pion (8) saillant du fond (9) du boîtier (1), ou de la cassette (2a à 2g), dans un puits (10) de section complémentaire formé dans le fond de la cassette (2a à 2g), ou du boîtier (1), le nombre de pion (8) ou puits (10) par cassette étant compris entre 1 et 7 et dépendant de la position de cette cassette dans la chronologie normale des jours de la semaine.
3.) Pilulier semainier à usage sédentaire et/ou ambulatoire selon les revendications 1 et 2 prises ensemble caractérisé en ce que dans toutes les cassettes (2a à 2g) au moins l'un des emboîtements pion (8)-puits (10) s'effectue avec serrage.
4.) Pilulier semainier à usage sédentaire et/ou ambulatoire selon selon les revendications 1 et 2 prises ensemble, caractérisé en ce que les pions (8) font saillie vers le haut à partir du fond (9) du boîtier (1), tandis que les puits (10) sont ménagés dans le fond (12) des cassettes (2a à 2g) et de manière à en déboucher vers le bas.
5.) Pilulier semainier à usage sédentaire et/ou ambulatoire selon la revendication 1 caractérisé en ce que chaque cassette (2a à 2g) présente un bec (15), saillant horizontalement du boîtier et au delà de l'un (14b) de ses bords, et formant organe d'extraction de celui ci hors du boîtier.
6.) Pilulier semainier à usage sédentaire et/ou ambulatoire selon la revendication 1 caractérisé en ce que l'extrémité libre de chaque couvercle (4a à 4g) est munie d'une patte de tirage (20) saillant vers le bas, tandis que son autre extrémité comporte une nervure tranversale (22) saillant vers le haut.
7.) Pilulier semainier à usage sédentaire et/ou ambulatoire selon la revendication 1 caractérisé en ce que chaque couvercle (4a à 4g) comporte, en saillie vers le haut, d'une part, des nervures transversales (32) d'identification du jour de la semaine, et dont le nombre va en croissant du lundi au dimanche, et d'autre part, des plots (33) d'identification des cases (3a à 3d) sous jacentes, plots dont le nombre va en croissant en rapport avec l'horaire du moment de prise.
8.) Pilulier semainier à usage sédentaire et/ou ambulatoire selon la revendication 1 caractérisé en ce que chacune des parois intermédiaires (16) de délimitation des cases d'une cassette comporte sur son bord supérieur une encoche (23) laissant passer le doigt (18) du couvercle (4a à 4g) mais freinant son passage pour générer une réaction sensitive.