FR2876938A1 - Dispositif de retenue pour faciliter le serrage d'une vis - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un siège pour véhicule automobile comportant un support d'assise (1) et deux glissières (3, 4) reliées au support d'assise aptes à permettre le déplacement du siège par rapport à la direction longitudinale (X) du véhicule, caractérisé en ce qu'une première glissière (3) destinée à être fixée au plancher du véhicule est située sous le support d'assise (1), la deuxième glissière (4) étant située à proximité d'un bord latéral longitudinal (6) du support d'assise dans un plan situé au dessus du plan contenant la première glissière.

Description

Dispositif de retenue pour faciliter le serrage d'une vis

La présente invention concerne un dispositif de retenue destiné à faciliter le serrage d'une vis dans un écrou par une personne seule.

Pour effectuer ce serrage, un opérateur maintient une contre-clé sur la tête de la vis à l'aide de sa première main puis serre l'écrou à l'aide d'une clé, par exemple dynamométrique, en utilisant sa deuxième main.

A contrario, il est bien évidemment concevable de disposer la contre-clé sur l'écrou et la clé sur la tête de la vis.

Cette technique n'est réalisable que si les couples de serrage ne sont pas trop importants, et si l'encombrement disponible autour de la vis et de l'écrou permet d'accueillir la contre-clé.

Lorsqu'un couple de serrage important est nécessaire au vissage, l'opérateur ne peut pas d'une part maintenir la contre-clé et d'autre part appliquer le couple requis à l'aide de la clé. Naturellement, il essaie donc de coincer la contre-clé contre un point d'appui extérieur à la vis. Néanmoins, cette autre technique n'est pas satisfaisante pour plusieurs raisons.

Tout d'abord, coincer la contre-clé peut s'avérer délicat si l'espace disponible autour de la vis est exigu.

En outre, à l'issue du serrage, un autre problème se pose. En effet sous l'effet du couple appliqué, la contre-clé se trouve finalement bloquée entre la vis et le point d'appui extérieur contre lequel elle était en appui ce qui implique que l'opérateur n'est plus en mesure de l'enlever.

On connaît, par le document FR 2 329 412, un dispositif de retenu, à savoir une contre-clé, facilitant le serrage d'une vis destinée à solidariser deux pièces mécaniques inférieure et supérieure.

II comporte un premier bras muni à l'une de ces extrémités d'une tête de retenue destinée à accueillir un écrou. A sa deuxième extrémité, le premier bras est pourvu d'une goupille autour de laquelle la tête excentrique d'un deuxième bras peut pivoter.

De plus, le deuxième bras dispose d'une lame ressort. Ainsi, le dispositif est maintenu d'une part sur la pièce inférieure par l'écrou inséré dans la tête de retenue et, d'autre part, par la lame ressort qui repose sur la pièce supérieure.

Au moment du serrage, la tête excentrique est en appui contre les tranches des pièces supérieure et inférieure de manière à ce que l'axe de rotation de la tête excentrique soit le plus près possible de ces tranches. A l'issue de ce serrage, le deuxième bras est pivoté, ce qui éloigne l'axe de rotation du point d'appui, puis ramené vers la position de départ. Le dispositif de retenue peut alors être enlevé.

Cette manipulation conduit donc à un léger desserrage de l'écrou ce qui est contraire au but souhaité. De plus, l'encombrement de ce dispositif étant important, son utilisation s'avère restreinte à des cas particuliers.

La présente invention a pour objet de proposer un dispositif de retenue, permettant à un opérateur seul de serrer une vis avec un couple de serrage important sans risques d'endommagement et de blocage et ce quelque soit l'espace disponible.

Selon l'invention, un dispositif de retenue, pour faciliter le serrage d'une vis dans un écrou, est pourvu d'une contre-clé muni d'un bras primaire et d'une tête de retenue comportant un orifice pour enserrer la tête de ladite vis ou ledit écrou. Ce dispositif est remarquable en ce qu'il comporte un moyen de décrochage, indépendant de la contre-clé tout en lui étant coplanaire, muni d'une deuxième surface en appui contre une première surface dudit bras primaire.

De façon avantageuse, ce moyen de décrochage comporte un 10 moyen d'extraction.

En outre, l'orifice est usiné de manière à ce que la contre-clé soit solidaire en rotation de la tête de la vis ou de l'écrou.

Par ailleurs, comme on le verra par la suite, le moyen de décrochage comporte une troisième surface, opposée à la deuxième surface, en contact avec un point d'appui extérieur ou une cale en fonction du mode de réalisation.

Selon un premier mode de réalisation, le moyen de décrochage comporte un bras secondaire muni de la deuxième et de la troisième surfaces, ce bras secondaire et le bras primaire formant un parallélépipède rectangle lorsque les première et deuxième surfaces sont en contact. De plus, ces dernières sont séparées de l'extrémité interne du bras primaire, à savoir l'extrémité se trouvant du côté de la tête de retenue, par un angle aigu.

L'opérateur dispose alors la contre-clé, sur la tête de la vis par exemple, puis il cale le moyen de décrochage entre un point d'appui extérieur et le bras primaire de la contre-clé. Dans cette configuration, les deuxième et troisième surfaces sont respectivement en contact avec la première surface du bras primaire et le point d'appui extérieur.

A l'issue du serrage de l'écrou, réalisé à l'aide d'une clé dynamométrique, l'ensemble moyen de décrochage/contre-clé est bloqué entre la tête de la vis et le point d'appui extérieur.

Ainsi, à l'aide du moyen d'extraction, une corde par exemple, l'opérateur peut faire coulisser le moyen de décrochage le long de la première surface du bras primaire. De part l'angle aigu, un espace libre est créé entre le moyen de décrochage et le point d'appui extérieur. Par suite, l'opérateur peut dégager le dispositif de retenue sans effort et sans avoir à desserrer, même légèrement, la vis.

Selon un deuxième mode de réalisation, le moyen de décrochage comporte de plus une extension, dirigée suivant le côté opposé au point d'appui extérieur et accolée au bras secondaire, qui saille du bras primaire de la contre-clé. Ainsi, la partie saillante constitue le moyen d'extraction puisque l'opérateur peut l'attraper pour faire coulisser le moyen de décrochage le long du bras primaire. Le bras secondaire et l'extension sont préférentiellement usinés à partir d'un unique bloc de matière de façon à ne constituer qu'une unique entité.

Dans une variante de ces premier et deuxième modes de réalisation, le dispositif de retenue comporte une cale, dénommé cale martyre , en contact avec la troisième surface du bras secondaire. Cette cale martyre a notamment pour but de protéger l'intégralité physique du moyen de décrochage.

En effet, la cale martyre est le seul élément en contact avec un point d'appui extérieur et par conséquent le seul élément du dispositif susceptible de s'abîmer lors du serrage.

Avantageusement, la cale martyre est une plaque pourvue d'un rebord sur sa face supérieure. De plus, le bras secondaire et le bras primaire sont agencés sur cette face supérieure, le bras secondaire étant alors disposé entre le rebord et le bras primaire de manière à ce que les deuxième et troisième surfaces soient respectivement en regard de la première surface et du rebord.

De préférence, la cale martyre est fixée par au moins un moyen de connexion à la contre-clé et possède un moyen d'arrêt.

Ainsi, l'opérateur manipule avantageusement l'ensemble cale 10 martyre/moyen de décrochage/contre-clé comme s'il s'agissait d'un seul et unique outil.

Selon un troisième mode de réalisation, le moyen de décrochage est un premier anneau excentrique. Les deuxième et troisième surfaces sont alors respectivement représentées par les circonférences externe et interne du premier anneau, les centres de ces circonférences circulaires étant décalés l'un par rapport à l'autre. Ainsi, le moyen de décrochage à une largeur variable.

Ce troisième mode de réalisation permet donc de profiter d'un point d'appui extérieur non pas représenté par une surface sensiblement plane mais par un pion, l'écrou ou la tête d'une vis adjacente à la vis que l'opérateur désire serrer par exemple.

Dans l'hypothèse où le point d'appui extérieur est un écrou hexagonal, l'opérateur dispose avantageusement un deuxième anneau, faisant office de cale martyre et de forme interne hexagonale, sur l'écrou puis enserre ce deuxième anneau à l'aide du moyen de décrochage.

La deuxième surface du moyen de décrochage, sa circonférence externe, est par suite en contact avec la première surface du bras primaire de la contre-clé.

Le moyen d'extraction est constitué d'un levier agencé sur la deuxième surface. A l'issue du serrage, l'opérateur utilise ce levier pour faire effectuer un mouvement rotatif, autour du deuxième anneau, au moyen de décrochage. La largeur du moyen de décrochage étant variable, un jeu est créé entre ce dernier et le bras primaire ce qui permet à l'opérateur d'enlever le dispositif de retenue.

Enfin, le dispositif de retenue selon l'invention doit pouvoir être utilisé quelque soit la forme de la tête de vis ou de l'écrou.

De ce fait, l'orifice de la tête de retenue de la contre-clé est circulaire dans le but d'accueillir une douille d'un type connu, le choix de douille utilisée dépendant bien sûr de la nature de la vis.

En outre, la contre-clé comporte un moyen de fixation, un bras articulé par exemple, pour solidariser la douille à la contre-15 clé.

L'invention et ses avantages apparaîtront avec plus de détails dans le cadre de la description suivante, qui illustre des exemples de réalisation préférés donnés sans aucun caractère limitatif, en référence aux figures annexées qui représentent: - la figure 1, une vue isométrique d'une vis destinée à serrer deux pièces mécaniques, - les figures 2 et 3, un dispositif de retenue selon un premier mode de réalisation, - la figure 4, un dispositif de retenue selon un deuxième 25 mode de réalisation, - la figure 5, une variante du premier mode de réalisation, - la figure 6, une variante du deuxième mode de réalisation, - les figures 7 et 8, un dispositif de retenue selon un troisième mode de réalisation, - la figure 9, une vue de côté du moyen de fixation, et - la figure 10, une vue de dessus du moyen de fixation.

Les éléments présents dans plusieurs figures distinctes sont affectés d'une seule et même référence.

La figure 1 présente deux pièces P1, P2 serrées l'une contre l'autre par au moins deux vis VI, V2, comportant une tête de vis TV1, TV2 et un écrou El, E2. La présente invention a pour objet un dispositif de retenue permettant à un opérateur de visser, seul, la vis TV1 sans blocage du dispositif à l'issue du serrage et sans risque d'endommagement pour les éléments adjacents, à savoir la vis TV2 ou les pièces P1, P2.

La figure 2 présente une vue de dessus de ce dispositif de retenue selon un premier mode de réalisation.

II est muni d'une contre-clé 1 et d'un moyen de décrochage 2 pourvu d'un moyen d'extraction, une corde 3 par exemple.

La contre-clé 1 est composée d'une tête de retenue Ti et d'un bras primaire B1. La tête de retenue T1 comporte un orifice O qui accueille par exemple l'écrou El. Par suite, l'orifice O et l'écrou El ont une forme similaire, en l'occurrence hexagonale.

L'opérateur dispose le moyen de décrochage 2 entre un point d'appui extérieur, l'écrou E2 par exemple, et le bras primaire B1. II suffit de serrer très légèrement la vis V1 pour bloquer l'ensemble contre-clé 1/moyen de décrochage 2 entre les écrous E1, E2. Cette opération ne nécessite pas l'utilisation d'un outillage particulier, cette mise en place pouvant être réalisée à la main.

Ainsi, le moyen de décrochage 2, composé d'un bras secondaire B2 trapézoïdal rectangle, est en contact avec l'écrou 2 et une première surface S1 du bras primaire BI respectivement par une troisième S3 et une deuxième S2 surfaces.

De plus, une fois accolés par les première SI et deuxième S2 surfaces, le bras primaire BI et le bras secondaire B2 forment un parallélépipède rectangle. En outre, les première SI et deuxième S2 surfaces présentent un angle A aigu avec l'extrémité interne EX1 du bras primaire B1.

Lorsque l'opérateur a serré la vis VI au couple souhaité, en mettant en rotation la tête TV1 de la vis V1 à l'aide d'une clé dynamométrique, le moyen de décrochage 2 et la contre-clé 1 sont bloqués. Pour pouvoir les enlever, il est donc nécessaire de créer un jeu entre le dispositif de retenue et le point d'appui extérieur.

Par suite, en référence à la figure 3, en tirant sur la corde 3, l'opérateur déplace vers la gauche le moyen de décrochage 2 dont la deuxième surface S2 glisse le long de la première surface SI. Etant donné l'angle aigu A évoqué précédemment, un jeu J est effectivement créé ce qui permet à l'opérateur de décrocher le dispositif de retenue sans difficulté.

Par ailleurs, le moyen de décrochage 2 et la contre-clé 1 sont coplanaires et d'épaisseur relativement faible. L'encombrement du dispositif de retenue est donc minimisé ce qui autorise son utilisation dans un espace restreint.

La figure 4 présente un deuxième mode de réalisation. Le moyen de décrochage 2 est muni d'une extension 3' destinée à venir en butée contre l'extrémité externe EX2 du bras primaire B1.

De plus, une partie 3" de l'extension est en saillie du bras primaire BI. Cette partie saillante 3" représente alors le moyen d'extraction. Il suffit de s'en saisir ou de la frapper, avec un marteau par exemple, pour déplacer latéralement le moyen de décrochage 2.

Les figures 5 et 6 présentent une variante des premier et 5 second modes de réalisation.

Outre la contre-clé et le moyen de décrochage, pourvu (figure 6) ou non (figure 5) d'une extension 3', le dispositif de retenue comporte une cale martyre 6 munie d'un rebord 7 sur sa face supérieure F. Dans cette variante, ce n'est plus le moyen de décrochage qui est en contact avec le point d'appui extérieur E2 mais la cale martyre 6. Cette dernière a notamment pour fonction de protéger le moyen de décrochage 2 afin qu'il ne soit pas détérioré lors du serrage.

Avantageusement, la cale martyre 6 est fixée à la contre-clé 1 par au moins un moyen de connexion 11, une goupille, un rivet, ou tout autre moyen équivalent.

De même un moyen d'arrêt 8, un pion par exemple, limite le déplacement latéral autorisable du moyen de décrochage 2.

En outre, le bras secondaire B2 du moyen de décrochage 2 est agencé entre le rebord 7 et le bras primaire BI de manière à ce que les deuxième S2 et troisième S3 surfaces soient respectivement en regard de la première surface S1 et du rebord 7.

En référence à la figure 5, au moins une partie du bras 25 primaire BI et le bras secondaire B2 reposent sur la face supérieure F de la cale martyre 6.

En référence à la figure 6, la partie non saillante de l'extension 3' repose aussi sur la face supérieure F. La figure 7 présente un troisième mode de réalisation selon lequel la cale martyre ou le moyen de décrochage ne sont pas simplement en contact avec le point d'appui extérieur mais l'englobent.

Le moyen de décrochage est un premier anneau excentrique 9 dont la circonférence interne représente la troisième surface S3 en contact avec le point d'appui E2 ou la cale martyre, la circonférence externe représentant la deuxième surface S2 en contact avec le bras primaire B1.

Par ailleurs, le premier anneau 9 est dénommé excentrique dans la mesure où les deuxième S2 et troisième S3 surfaces sont de forme circulaire, les centres Cl, C2 de ces cercles étant décalés l'un par rapport à l'autre. Par conséquent, la largeur L' du moyen de décrochage est variable.

En outre, ce dernier est disposé autour d'une cale martyre comportant un deuxième anneau 10 dont la géométrie interne est adaptée à la forme du point d'appui E2, à savoir hexagonale sur cette figure 7.

Avantageusement, le moyen de décrochage 2 comporte un 20 moyen d'extraction composé d'un levier 13 agencé dans la zone de plus forte largeur.

A l'issue du serrage, en référence à la figure 8, il suffit de faire tourner le premier anneau 9 excentrique à l'aide du levier 13 afin de créer le jeu J nécessaire pour enlever le dispositif.

Les figures 9 et 10 présentent un moyen de fixation respectivement selon une vue de côté et une vue de dessus.

L'orifice O de la tête de retenue a une forme circulaire pour pouvoir accueillir une douille 15 de type connu permettant le serrage d'une vis. Pour passer du serrage d'une vis à tête hexagonale de diamètre 24 à une vis de diamètre 22 par exemple, il suffit simplement de remplacer la douille d'origine par une douille adaptée à la nouvelle vis.

En outre, la douille 15 est solidaire de la contre-clé 1 en lui étant rattachée par un moyen de fixation 16, un bras articulé par exemple.

Les orifices de fixation 17 des douilles 15 de type connu étant carrés, l'extrémité libre 18 du bras de fixation est aussi de 10 forme carré.

Naturellement, la présente invention est sujette à de nombreuses variations quant à sa mise en oeuvre. Bien que plusieurs modes de réalisations aient été décrits, on comprend bien qu'il n'est pas concevable d'identifier de manière exhaustive tous les modes possibles. II est bien sûr envisageable de remplacer un moyen décrit par un moyen équivalent sans sortir du cadre de la présente invention.

Claims (19)

REVENDICATIONS

1. Dispositif de retenue, pour faciliter le serrage d'une vis (V1) dans un écrou (El), pourvu d'une contre-clé (1) muni d'un bras primaire (B1) et d'une tête de retenue (Ti) comportant un orifice (0) pour enserrer la tête (TV1) de ladite vis (V1) ou ledit écrou (El), caractérisé en ce qu'il comporte un moyen de décrochage (2, 9) muni d'une deuxième surface (S2) en appui contre une première surface (Si) dudit bras primaire (B1).

2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que ledit moyen de décrochage (2, 9) est indépendant de ladite contre-clé (1).

3. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que ledit moyen de décrochage (2, 9) et ladite contreclé (1) sont coplanaires.

4. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que ledit moyen de décrochage (2, 9) comporte un moyen d'extraction (3, 3", 13).

5. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que ledit moyen d'extraction (3) est une corde.

6. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que ledit moyen de décrochage (2) comporte un bras secondaire (B2) muni de ladite deuxième surface qui, lorsque les première (Si) et deuxième (S2) surfaces sont en contact, forme avec ledit bras primaire (B1) un parallélépipède rectangle, les première (Si) et deuxième (S2) surfaces étant séparées de l'extrémité interne (EX1) du bras primaire (B1) par un angle aigu (A).

7. Dispositif selon la revendication 6, caractérisé en ce que ledit moyen de décrochage (2) comporte une 10 extension (3') qui saille dudit bras primaire (BI).

8. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 6 à 7, caractérisé en ce qu'il comporte une cale martyre (6) en contact avec une troisième surface (S3) dudit moyen de décrochage (2), opposée à ladite deuxième surface (S2).

9. Dispositif selon la revendication 8, caractérisé en ce que ladite cale martyre (6) est fixée par au moins un moyen de connexion (Il) à ladite contre-clé (1).

10. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 8 à 9, caractérisé en ce que ladite cale martyre (6) est une plaque pourvue d'un rebord (7) sur sa face supérieure (F).

11. Dispositif selon la revendication 10, caractérisé en ce que ledit bras secondaire (B2) et ledit bras primaire (BI) sont agencés sur ladite face supérieure (F), ledit bras secondaire (B2) étant disposé entre ledit rebord (7) et ledit bras primaire (B1) de manière à ce que lesdites deuxième (S2) et troisième (S3) surfaces soient respectivement en regard de ladite première surface (SI) et dudit rebord (7).

12. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 8 à caractérisé en ce que ladite cale martyre (6) comporte un moyen d'arrêt (8).

13. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que ledit moyen de décrochage (9) est un 10 premier anneau excentrique dont la circonférence extérieure représente ladite deuxième surface.

14. Dispositif selon la revendication 13, caractérisé en ce que ledit moyen de décrochage (9) comporte un levier qui fait office de moyen d'extraction.

15. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 13 à 14, caractérisé en ce que qu'il comporte une cale martyre, à savoir un deuxième anneau (10) en contact avec la circonférence interne dudit moyen de décrochage (9).

16. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que ledit orifice (0) est usiné de manière à ce que ladite contre-clé soit solidaire en rotation de ladite tête (TV1) de vis ou dudit écrou (El).

17. Dispositif selon la revendication 16, caractérisé en ce que ledit orifice (0) est circulaire pour pouvoir loger une douille (15).

18. Dispositif selon la revendication 17, caractérisé en ce que ladite contre-clé (1) comporte un moyen de 5 fixation (16) destiné à solidariser ladite douille (15) à ladite contre-clé (1).

19. Dispositif selon la revendication 18, caractérisé en ce que ledit moyen de fixation (16) est un bras articulé.