FR2874722A1 - Procede de correction de photographies numeriques - Google Patents
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Abstract
La présente invention se rapporte à un procédé de correction, sur une photo numérique, du phénomène des yeux rouges. Dans le procédé selon l'invention, l'image est analysée en utilisant des opérations de traitement d'images comparables à celles effectuées dans des solutions mettant en oeuvre des systèmes entièrement automatiques. On détermine (104) ainsi un ensemble de zones candidates ; mais dans le procédé selon l'invention, on ne procède pas à une correction systématique de ces zones candidates : chaque zone candidate est soumise (107, 108) à l'utilisateur qui décide si une correction doit être appliquée ou non. L'utilisateur n'a ainsi plus à effectuer les étapes laborieuses de sélection des yeux rouges. L'interface homme-machine s'en trouve considérablement simplifiée. Par ailleurs, aucune erreur de correction ne peut être attribuée aux algorithmes de traitement d'images, la décision ultime de correction appartenant à l'utilisateur.
Description
Procédé de correction de photographies numériques
DOMAINE TECHNIQUE DE L'INVENTION
La présente invention a pour objet un procédé de correction de photographies numériques, et plus particulièrement de correction du phénomène des yeux rouges visibles sur certaines photos qui ont été réalisées en utilisant une source lumineuse artificielle de type flash. L'invention a essentiellement pour but de proposer un procédé de correction qui permet à un utilisateur d'obtenir de façon simple des photos dans lesquelles le phénomène des yeux rouges a été corrigé, ladite correction - sauf volonté contraire de l'utilisateur - ayant été réalisée de façon certaine et n'ayant pas donné lieu à la modification inappropriée d'autres zones de la photo que celles contenant des yeux rouges.
Le domaine de l'invention est, d'une façon générale, celui de la photographie numérique. Dans ce domaine, en très forte expansion, les utilisateurs disposent de fonctionnalités nouvelles par rapport au domaine de la photographie classique : ils peuvent notamment visualiser instantanément sur un écran de contrôle les photos qu'ils viennent de prendre, décider ou non de les conserver dans un module de mémoire... En outre, des périphériques de type imprimantes dédiées à l'impression leur permettent d'obtenir directement sur papier les photos qu'ils sélectionnent parmi un ensemble de photos mémorisées, les déplacements dans les boutiques spécialisées n'étant ainsi plus indispensables.
La présente invention a pour objet un procédé de correction de photographies numériques, et plus particulièrement de correction du phénomène des yeux rouges visibles sur certaines photos qui ont été réalisées en utilisant une source lumineuse artificielle de type flash. L'invention a essentiellement pour but de proposer un procédé de correction qui permet à un utilisateur d'obtenir de façon simple des photos dans lesquelles le phénomène des yeux rouges a été corrigé, ladite correction - sauf volonté contraire de l'utilisateur - ayant été réalisée de façon certaine et n'ayant pas donné lieu à la modification inappropriée d'autres zones de la photo que celles contenant des yeux rouges.
Le domaine de l'invention est, d'une façon générale, celui de la photographie numérique. Dans ce domaine, en très forte expansion, les utilisateurs disposent de fonctionnalités nouvelles par rapport au domaine de la photographie classique : ils peuvent notamment visualiser instantanément sur un écran de contrôle les photos qu'ils viennent de prendre, décider ou non de les conserver dans un module de mémoire... En outre, des périphériques de type imprimantes dédiées à l'impression leur permettent d'obtenir directement sur papier les photos qu'ils sélectionnent parmi un ensemble de photos mémorisées, les déplacements dans les boutiques spécialisées n'étant ainsi plus indispensables.
ARRIERE-PLAN TECHNOLOGIQUE DE L'INVENTION
Comme dans le domaine de la photographie classique, il existe un problème, appelé phénomène des yeux rouges. Ce phénomène apparaît fréquemment lors de prise de vue dans des conditions de faible luminosité ambiante avec l'utilisation d'un flash. Dans de telles conditions, la pupille des personnes photographiées est très dilatée, et la réflexion du flash sur la cornée des yeux fait alors apparaître rouges les yeux des personnes sur la photographie.
Dans l'état de la technique, deux familles de solutions existent pour tenter d'apporter des réponses à ce problème.
La première famille de solutions consiste à faire en sorte que les sujets photographiés ne présentent pas d'yeux rouges sans même qu'un traitement de l'image soit nécessaire.
Une première solution consiste à excentrer le flash par rapport à la prise de vue. Mais une telle solution apporte un encombrement à l'appareil photographique, ce qui va dans le sens contraire de l'attente d'une majorité d'utilisateurs. Par ailleurs, l'efficacité de cette solution n'est pas totale, et on obtient encore, avec cette solution, plusieurs photos où le phénomène des yeux rouges apparaît.
Une deuxième solution consiste à émettre un ensemble de pré-flash qui ont pour objet de réduire la dilatation de la pupille, et de réduire ainsi le phénomène. Malgré cette solution, une correction après la prise de la photo demeure très souvent nécessaire, l'efficacité de cette solution n'étant pas non plus optimale.
La deuxième famille de solutions consiste à traiter les photos numériques après la mémorisation des données qui leur sont associées.
Un premier type de solutions réside dans la mise en oeuvre de systèmes entièrement automatiques : chaque photo est analysée pour détecter une éventuelle présence d'yeux rouges sur la photo considérée. Il s'agit de systèmes complexes qui font appel à différentes techniques de traitement d'images : détection des visages par segmentation des zones de peau, détection des zones rouges corrélée avec une probabilité qu'elles soient des yeux, couplage avec des critères géométriques sur la position des yeux dans le visage...La fiabilité de ces systèmes n'est pas non plus optimale, car il faut trouver un bon paramétrage des applications de traitement d'image intervenant pour être certain que les zones détectées contiennent effectivement des yeux rouges, et, dans le même temps, disposer de critères suffisamment sélectifs pour ne pas assimiler par erreur certaines zones à des zones contenant des yeux rouges, et provoquer alors des modifications inappropriées.
Par ailleurs, ce type de solutions pose également un problème au niveau de la correction qui est automatiquement appliquée : En effet, il est souvent impossible de déterminer automatiquement la couleur des yeux à corriger ; les techniques habituelles achromatisent donc les yeux, et se contentent de maintenir un niveau de gris observé pour les supposés yeux rouges. La correction appliquée a donc un rendu médiocre, la teinte initiale des yeux de la personne photographiée n'étant pas restituée.
Un second type de solutions consiste à proposer des systèmes dits manuels : dans de tels systèmes, l'utilisateur définit lui-même les zones présentant des yeux rouges, par exemple au moyen d'une souris, en cliquant sur les yeux à corriger, ou en les sélectionnant dans un cadre, ou par tout autre moyen. Il peut ensuite sélectionner la couleur à appliquer à la place du rouge. Le système applique alors la correction. On s'affranchit ainsi des erreurs de détection des systèmes automatiques, et du problème d'achromatisation précédemment décrits.Mais ce type de solutions implique des manipulations particulièrement contraignantes du fait de la multiplicité des actions à effectuer par l'utilisateur ; elles sont peu conviviales, et nécessitent une interface hommemachine élaborée, notamment pour la gestion du curseur sur l'écran de visualisation, les opérations de sélection de cadre... ; une telle interface n'est pas envisageable sur différents dispositifs électroniques présentant des fonctionnalités d'appareil photographique, notamment les téléphones mobiles et/ou les imprimantes dédiées à l'impression des photos numériques.
Comme dans le domaine de la photographie classique, il existe un problème, appelé phénomène des yeux rouges. Ce phénomène apparaît fréquemment lors de prise de vue dans des conditions de faible luminosité ambiante avec l'utilisation d'un flash. Dans de telles conditions, la pupille des personnes photographiées est très dilatée, et la réflexion du flash sur la cornée des yeux fait alors apparaître rouges les yeux des personnes sur la photographie.
Dans l'état de la technique, deux familles de solutions existent pour tenter d'apporter des réponses à ce problème.
La première famille de solutions consiste à faire en sorte que les sujets photographiés ne présentent pas d'yeux rouges sans même qu'un traitement de l'image soit nécessaire.
Une première solution consiste à excentrer le flash par rapport à la prise de vue. Mais une telle solution apporte un encombrement à l'appareil photographique, ce qui va dans le sens contraire de l'attente d'une majorité d'utilisateurs. Par ailleurs, l'efficacité de cette solution n'est pas totale, et on obtient encore, avec cette solution, plusieurs photos où le phénomène des yeux rouges apparaît.
Une deuxième solution consiste à émettre un ensemble de pré-flash qui ont pour objet de réduire la dilatation de la pupille, et de réduire ainsi le phénomène. Malgré cette solution, une correction après la prise de la photo demeure très souvent nécessaire, l'efficacité de cette solution n'étant pas non plus optimale.
La deuxième famille de solutions consiste à traiter les photos numériques après la mémorisation des données qui leur sont associées.
Un premier type de solutions réside dans la mise en oeuvre de systèmes entièrement automatiques : chaque photo est analysée pour détecter une éventuelle présence d'yeux rouges sur la photo considérée. Il s'agit de systèmes complexes qui font appel à différentes techniques de traitement d'images : détection des visages par segmentation des zones de peau, détection des zones rouges corrélée avec une probabilité qu'elles soient des yeux, couplage avec des critères géométriques sur la position des yeux dans le visage...La fiabilité de ces systèmes n'est pas non plus optimale, car il faut trouver un bon paramétrage des applications de traitement d'image intervenant pour être certain que les zones détectées contiennent effectivement des yeux rouges, et, dans le même temps, disposer de critères suffisamment sélectifs pour ne pas assimiler par erreur certaines zones à des zones contenant des yeux rouges, et provoquer alors des modifications inappropriées.
Par ailleurs, ce type de solutions pose également un problème au niveau de la correction qui est automatiquement appliquée : En effet, il est souvent impossible de déterminer automatiquement la couleur des yeux à corriger ; les techniques habituelles achromatisent donc les yeux, et se contentent de maintenir un niveau de gris observé pour les supposés yeux rouges. La correction appliquée a donc un rendu médiocre, la teinte initiale des yeux de la personne photographiée n'étant pas restituée.
Un second type de solutions consiste à proposer des systèmes dits manuels : dans de tels systèmes, l'utilisateur définit lui-même les zones présentant des yeux rouges, par exemple au moyen d'une souris, en cliquant sur les yeux à corriger, ou en les sélectionnant dans un cadre, ou par tout autre moyen. Il peut ensuite sélectionner la couleur à appliquer à la place du rouge. Le système applique alors la correction. On s'affranchit ainsi des erreurs de détection des systèmes automatiques, et du problème d'achromatisation précédemment décrits.Mais ce type de solutions implique des manipulations particulièrement contraignantes du fait de la multiplicité des actions à effectuer par l'utilisateur ; elles sont peu conviviales, et nécessitent une interface hommemachine élaborée, notamment pour la gestion du curseur sur l'écran de visualisation, les opérations de sélection de cadre... ; une telle interface n'est pas envisageable sur différents dispositifs électroniques présentant des fonctionnalités d'appareil photographique, notamment les téléphones mobiles et/ou les imprimantes dédiées à l'impression des photos numériques.
DESCRIPTION GENERALE DE L'INVENTION
L'objet de l'invention propose une solution aux problèmes et inconvénients qui viennent d'être exposés. D'une façon générale, l'invention propose un procédé de correction, sur une photo numérique, du phénomène des yeux rouges, solution qui peut être qualifiée de semi-automatique. Dans le procédé selon l'invention, l'image est analysée en utilisant des applications de traitement d'images comparables à celles intervenant dans le type de solutions mettant en oeuvre des systèmes entièrement automatiques. On détermine ainsi un ensemble de zones candidates ; mais dans le procédé selon l'invention, on ne procède pas à une correction systématique de ces zones candidates : chaque zone candidate est soumise à l'utilisateur qui décide si une correction doit être appliquée ou non.L'utilisateur n'a ainsi plus à effectuer les étapes laborieuses de sélection des yeux rouges. L'interface homme-machine s'en trouve considérablement simplifiée. Par ailleurs, aucune erreur de correction inappropriée ne peut être attribuée aux algorithmes de traitement d'images, la décision ultime de correction appartenant à l'utilisateur.
L'invention concerne donc essentiellement un procédé de correction du phénomène des yeux rouges sur une photographie comprenant les différentes étapes consistant à : - prendre la photographie au moyen d'un appareil numérique ; - mémoriser des données numériques relatives à la photographie dans un module de mémoire ; - effectuer un ensemble d'opérations sur les données numériques pour détecter des zones de la photographie susceptibles de contenir des yeux rouges ; caractérisé en ce qu'il comporte les différentes étapes supplémentaires consistant à : - restituer la photographie sous la forme d'une image visible sur un support de type écran ; - indiquer, sur l'image restituée, les zones de la photographie susceptibles de contenir des yeux rouges ; - pour au moins une zone susceptible de contenir des yeux rouges, proposer à un utilisateur de modifier ladite zone.
Le procédé selon l'invention peut comporter, en plus des caractéristiques principales qui viennent d'être mentionnées dans le paragraphe précédent, une ou plusieurs caractéristiques supplémentaires parmi les suivantes: - le procédé comporte l'étape supplémentaire consistant à, pour chaque zone susceptible de contenir des yeux rouges, proposer à l'utilisateur de modifier ladite zone ; - le procédé comporte l'étape supplémentaire consistant à, pour chaque zone de l'image restituée, indiquée comme susceptible de contenir des yeux rouges et/ou pour chaque zone de l'image restituée, indiquée comme susceptible de contenir des yeux rouges, et pour laquelle l'utilisateur a indiquer vouloir modifier ladite zone, proposer une palette de couleurs de substitution destinée à remplacer la couleur rouge des yeux ;- le procédé comporte l'étape supplémentaire consistant à préalablement à l'étape consistant à effectuer un ensemble d'opérations sur les données numériques, inviter l'utilisateur à indiquer un nombre correspondant au nombre de zones susceptibles de contenir des yeux rouges qui seront détectées ; - le procédé comporte l'étape supplémentaire consistant à, préalablement à l'étape consistant à effectuer un ensemble d'opérations sur les données numériques, déterminer si la photographie a été réalisée en utilisant un flash, et n'effectuer l'ensemble d'opérations sur les données numériques que si ladite photographie a été réalisée en utilisant un flash.
La présente invention se rapporte également à un dispositif apte à mettre en u̇vre le procédé dont les caractéristiques principales viennent d'être mentionnées, éventuellement complétée par une ou plusieurs des caractéristiques supplémentaires citées. Notamment, le dispositif selon l'invention est un appareil photographique numérique, ou un téléphone mobile équipé d'une fonctionnalité de prise de photos, ou encore une imprimante, équipée d'un écran de contrôle, susceptible d'être utilisée pour imprimer des photos, notamment une imprimante à sublimation thermique ;le dispositif selon l'invention comporte alors, dans un mode de réalisation préféré, une application logicielle mémorisée dans une mémoire de programmes pour réaliser l'ensemble des opérations de détection des yeux rouges, et/ou de proposition de modifications à l'utilisateur, et/ou de détermination de l'utilisation d'un flash pour la prise d'une photo considérée, et/ou de modification des zones sélectionnées par l'utilisateur comme zones à modifier, et/ou toute autre opération susceptible d'intervenir dans le procédé selon l'invention.
L'invention et ses différentes applications seront mieux comprises à la lecture de la description qui suit et à l'examen de la figure qui l'accompagne.
L'objet de l'invention propose une solution aux problèmes et inconvénients qui viennent d'être exposés. D'une façon générale, l'invention propose un procédé de correction, sur une photo numérique, du phénomène des yeux rouges, solution qui peut être qualifiée de semi-automatique. Dans le procédé selon l'invention, l'image est analysée en utilisant des applications de traitement d'images comparables à celles intervenant dans le type de solutions mettant en oeuvre des systèmes entièrement automatiques. On détermine ainsi un ensemble de zones candidates ; mais dans le procédé selon l'invention, on ne procède pas à une correction systématique de ces zones candidates : chaque zone candidate est soumise à l'utilisateur qui décide si une correction doit être appliquée ou non.L'utilisateur n'a ainsi plus à effectuer les étapes laborieuses de sélection des yeux rouges. L'interface homme-machine s'en trouve considérablement simplifiée. Par ailleurs, aucune erreur de correction inappropriée ne peut être attribuée aux algorithmes de traitement d'images, la décision ultime de correction appartenant à l'utilisateur.
L'invention concerne donc essentiellement un procédé de correction du phénomène des yeux rouges sur une photographie comprenant les différentes étapes consistant à : - prendre la photographie au moyen d'un appareil numérique ; - mémoriser des données numériques relatives à la photographie dans un module de mémoire ; - effectuer un ensemble d'opérations sur les données numériques pour détecter des zones de la photographie susceptibles de contenir des yeux rouges ; caractérisé en ce qu'il comporte les différentes étapes supplémentaires consistant à : - restituer la photographie sous la forme d'une image visible sur un support de type écran ; - indiquer, sur l'image restituée, les zones de la photographie susceptibles de contenir des yeux rouges ; - pour au moins une zone susceptible de contenir des yeux rouges, proposer à un utilisateur de modifier ladite zone.
Le procédé selon l'invention peut comporter, en plus des caractéristiques principales qui viennent d'être mentionnées dans le paragraphe précédent, une ou plusieurs caractéristiques supplémentaires parmi les suivantes: - le procédé comporte l'étape supplémentaire consistant à, pour chaque zone susceptible de contenir des yeux rouges, proposer à l'utilisateur de modifier ladite zone ; - le procédé comporte l'étape supplémentaire consistant à, pour chaque zone de l'image restituée, indiquée comme susceptible de contenir des yeux rouges et/ou pour chaque zone de l'image restituée, indiquée comme susceptible de contenir des yeux rouges, et pour laquelle l'utilisateur a indiquer vouloir modifier ladite zone, proposer une palette de couleurs de substitution destinée à remplacer la couleur rouge des yeux ;- le procédé comporte l'étape supplémentaire consistant à préalablement à l'étape consistant à effectuer un ensemble d'opérations sur les données numériques, inviter l'utilisateur à indiquer un nombre correspondant au nombre de zones susceptibles de contenir des yeux rouges qui seront détectées ; - le procédé comporte l'étape supplémentaire consistant à, préalablement à l'étape consistant à effectuer un ensemble d'opérations sur les données numériques, déterminer si la photographie a été réalisée en utilisant un flash, et n'effectuer l'ensemble d'opérations sur les données numériques que si ladite photographie a été réalisée en utilisant un flash.
La présente invention se rapporte également à un dispositif apte à mettre en u̇vre le procédé dont les caractéristiques principales viennent d'être mentionnées, éventuellement complétée par une ou plusieurs des caractéristiques supplémentaires citées. Notamment, le dispositif selon l'invention est un appareil photographique numérique, ou un téléphone mobile équipé d'une fonctionnalité de prise de photos, ou encore une imprimante, équipée d'un écran de contrôle, susceptible d'être utilisée pour imprimer des photos, notamment une imprimante à sublimation thermique ;le dispositif selon l'invention comporte alors, dans un mode de réalisation préféré, une application logicielle mémorisée dans une mémoire de programmes pour réaliser l'ensemble des opérations de détection des yeux rouges, et/ou de proposition de modifications à l'utilisateur, et/ou de détermination de l'utilisation d'un flash pour la prise d'une photo considérée, et/ou de modification des zones sélectionnées par l'utilisateur comme zones à modifier, et/ou toute autre opération susceptible d'intervenir dans le procédé selon l'invention.
L'invention et ses différentes applications seront mieux comprises à la lecture de la description qui suit et à l'examen de la figure qui l'accompagne.
BREVE DESCRIPTION DE LA FIGURE
Celle-ci n'est présentée qu'à titre indicatif et nullement limitatif de l'invention. La figure 1 unique illustre, au moyen d'un algorithme, un exemple de mise en u̇vre du procédé selon l'invention.
Celle-ci n'est présentée qu'à titre indicatif et nullement limitatif de l'invention. La figure 1 unique illustre, au moyen d'un algorithme, un exemple de mise en u̇vre du procédé selon l'invention.
DESCRIPTION DES FORMES DE REALISATION PREFEREES DEL'INVENTION
A la figure unique, on a représenté un algorithme décrivant les principales étapes d'un exemple de mise en u̇vre du procédé selon l'invention.
Dans une première étape 100, un utilisateur procède à la visualisation d'une photo i, i étant un nombre entier naturel. La visualisation est effectuée sur un écran de contrôle du dispositif selon l'invention, ou sur tout autre moyen de visualisation permettant de visionner la photo i.
Dans une étape suivante 101, qui est une étape de décision, on détermine si la photo est une photo à traiter. Plusieurs modes de mise en u̇vre du procédé selon l'invention sont ici possible : soit l'utilisateur, par exemple par une pression sur une première touche du dispositif selon l'invention, manifeste sa volonté de voir une correction effectuée sur la photo considérée, éventuellement en réponse à un message sur l'écran de contrôle lui demandant une telle information; soit le traitement des images est systématique ; soit encore, le traitement est conditionné à une information, par exemple indiquant si la photo considérée a été prise au moyen d'un flash : si c'est le cas, on peut alors appliquer un des deux modes de mise en u̇vre précédent.
Si, à l'issue de l'étape de décision 101, il est décidé que la photo n'est pas à traiter, on passe à une étape 102 consistant à incrémenter la valeur i, afin de considérer une photo suivante, mémorisée dans un module de mémoire du dispositif selon l'invention, en reprenant le processus à l'étape 100. Si, à l'issue de l'étape de décision 101, il est décidé que la photo i est à traiter, on passe à une étape suivante 103, dans laquelle l'utilisateur est invité à indiquer un nombre N, entier naturel, correspondant au nombre de zones candidates qu'il souhaite voir sélectionner par le procédé selon l'invention.Le nombre N peut par exemple être saisi par l'utilisateur au moyen de pressions successives sur une deuxième touche du dispositif selon l'invention, par exemple N pressions, ou éventuellement sur la première touche précédemment utilisée afin de simplifier l'interface homme-machine. L'étape d'indication du nombre N apparaît dans un exemple très particulier de mise en oeuvre du procédé selon l'invention ; dans d'autres exemples de mise en oeuvre, cette étape 103 peut ne pas apparaître.
On passe ensuite à une étape suivante 104 dans laquelle une application de traitement d'images, comparable à celles utilisées dans l'état de la technique dans les solutions entièrement automatiques, est utilisée pour sélectionner un ensemble de zones candidates, c'est à dire de zones susceptibles de contenir des yeux rouges, pour la photo considérée. Dans un premier temps, l'application sélectionne S zones, S étant un nombre entier naturel.
Dans une étape suivante 105, de décision on détermine si la valeur N a été renseignée.
Selon différents modes de mise en u̇vre du procédé de l'invention, la valeur N est considérée comme renseignée si, pour la photo considérée, ou éventuellement pour une photo précédente, l'utilisateur a indiqué dans l'étape 103, associée à la photo en question, le nombre N. On passe alors à une étape de décision suivante 106 dans laquelle on compare le nombre S de zones candidates avec le nombre N entré par l'utilisateur.
S'il y a égalité entre les deux nombres, on passe alors à une étape suivante 107 d'affichage d'une zone candidate j, j étant un entier naturel prenant la valeur 1 par défaut.
S'il n'y a pas égalité entre les deux nombres, on passe alors à une étape suivante 108 dans laquelle on modifie des paramètres de l'application de traitement d'images utilisée. Ainsi, si le nombre de zones candidates S est supérieur au nombre N souhaité, les critères de sélection des zones candidates seront durcis pour rejeter les zones candidates les moins susceptibles de contenir des yeux rouges. Par contre, si le nombre de zones candidates S est inférieur au nombre N souhaité, les critères de sélection des zones candidates seront allégés pour ajouter des zones candidates supplémentaires. On reprend alors le procédé au niveau de l'étape 104, le nombre S de zones candidates pouvant alors avoir évolué.
A l'inverse, selon différents modes de mise en u̇vre du procédé de l'invention, la valeur N est considérée comme non renseignée si, pour ladite photo, et éventuellement pour aucune photo précédente, l'utilisateur n'a pas indiqué dans l'étape 103 associée à la photo considérée, le nombre N, ou tout simplement si l'exemple de mise en u̇vre considéré ne propose pas à l'utilisateur de déterminer un nombre N. Dans un tel cas, on passe directement à l'étape 107.
L'étape 107 d'affichage d'une zone candidate j consiste à mettre en évidence, par exemple en l'encadrant sur l'écran de contrôle, une zone candidate pour la soumettre à l'utilisateur.
On passe alors à une étape de décision suivante 108 dans laquelle l'utilisateur choisit s'il faut apporter des modifications à la zone candidate présentée. Si l'utilisateur décide qu'il faut apporter des modifications à cette zone candidate pour y remplacer des yeux rouges qui s'y trouvent, il valide, par exemple par l'appui sur une troisième touche du dispositif, ou éventuellement sur la première ou la deuxième touche précédemment mentionnée, sa décision d'apporter une correction.On passe alors à une étape suivante 109 dans laquelle le procédé selon l'invention présente à l'utilisateur, sur l'écran de contrôle, une palette de couleurs ; par exemple, une succession de couleurs peut défiler sur l'écran de contrôle, l'utilisateur sélectionnant la couleur souhaitée, dans une étape suivante 110, par un appui sur une touche appropriée du dispositif, typiquement une touche déjà précédemment utilisée, lorsque la couleur souhaitée est présentée sur l'écran de contrôle. La modification ad hoc est alors, dans une étape suivante 111, apportée aux yeux rouges présents dans la zone candidate j.
On passe ensuite à une étape suivante 112 d'incrémentation (augmentation d'une unité) de la valeur de la variable j, qui est initialisée à la valeur 1 pour chaque nouvelle image traitée. Cette étape 112 est également exécutée directement après l'étape de décision 108 lorsque l'utilisateur a estimé que la zone candidate j n'était pas à modifier, c'est à dire qu'elle ne contenait pas d'yeux rouges. Dans une variante du procédé selon l'invention, les zones candidates j sont mises en évidence successivement, avec une durée d'apparition sur l'écran de contrôle laissant le temps à l'utilisateur de manifester sa volonté d'apporter une correction, par exemple par l'appui sur une touche du dispositif.Si pendant l'affichage d'une zone donnée, l'utilisateur ne presse aucune touche du dispositif, on considère, dans cette variante, que l'utilisateur ne souhaite pas apporter de correction, et on propose automatiquement la zone candidate suivante.
L'étape qui suit l'étape 112 est une étape de décision 113 dans laquelle on compare la valeur de la variable j au nombre de zones candidates sélectionnées. Si la valeur de j est inférieure ou égale à S, on poursuit le processus en le reprenant à l'étape 107. Dans le cas contraire, le processus est repris à l'étape 102, puis à l'étape 100 avec une nouvelle photo.
Les avantages de la solution proposée par l'invention sont multiples : elle apporte une grande convivialité de l'utilisation par rapport à un système manuel, avec, comme on l'a vu, une interface homme-machine pouvant se limiter à une touche unique. Ensuite, elle apporte une grande fiabilité dans la détection des zones candidates, une étape de validation de l'utilisateur étant prévue. On peut ainsi se permettre, dans le procédé selon l'invention, d'adopter par défaut des paramètres, intervenant dans l'application de traitement d'images, relativement souples, qui permettent de sélectionner un nombre de zones candidates supérieur à celui des systèmes automatiques : on est ainsi sur de ne pas oublier de sélectionner certaines zones contenant des yeux rouges, les zones candidates sélectionnées à tort étant de toute façon rejetées par l'utilisateur.Enfin, la correction apportée est nettement améliorée par rapport à celle des systèmes automatiques, l'utilisateur ayant la possibilité de définir lui-même la couleur de remplacement.
A la figure unique, on a représenté un algorithme décrivant les principales étapes d'un exemple de mise en u̇vre du procédé selon l'invention.
Dans une première étape 100, un utilisateur procède à la visualisation d'une photo i, i étant un nombre entier naturel. La visualisation est effectuée sur un écran de contrôle du dispositif selon l'invention, ou sur tout autre moyen de visualisation permettant de visionner la photo i.
Dans une étape suivante 101, qui est une étape de décision, on détermine si la photo est une photo à traiter. Plusieurs modes de mise en u̇vre du procédé selon l'invention sont ici possible : soit l'utilisateur, par exemple par une pression sur une première touche du dispositif selon l'invention, manifeste sa volonté de voir une correction effectuée sur la photo considérée, éventuellement en réponse à un message sur l'écran de contrôle lui demandant une telle information; soit le traitement des images est systématique ; soit encore, le traitement est conditionné à une information, par exemple indiquant si la photo considérée a été prise au moyen d'un flash : si c'est le cas, on peut alors appliquer un des deux modes de mise en u̇vre précédent.
Si, à l'issue de l'étape de décision 101, il est décidé que la photo n'est pas à traiter, on passe à une étape 102 consistant à incrémenter la valeur i, afin de considérer une photo suivante, mémorisée dans un module de mémoire du dispositif selon l'invention, en reprenant le processus à l'étape 100. Si, à l'issue de l'étape de décision 101, il est décidé que la photo i est à traiter, on passe à une étape suivante 103, dans laquelle l'utilisateur est invité à indiquer un nombre N, entier naturel, correspondant au nombre de zones candidates qu'il souhaite voir sélectionner par le procédé selon l'invention.Le nombre N peut par exemple être saisi par l'utilisateur au moyen de pressions successives sur une deuxième touche du dispositif selon l'invention, par exemple N pressions, ou éventuellement sur la première touche précédemment utilisée afin de simplifier l'interface homme-machine. L'étape d'indication du nombre N apparaît dans un exemple très particulier de mise en oeuvre du procédé selon l'invention ; dans d'autres exemples de mise en oeuvre, cette étape 103 peut ne pas apparaître.
On passe ensuite à une étape suivante 104 dans laquelle une application de traitement d'images, comparable à celles utilisées dans l'état de la technique dans les solutions entièrement automatiques, est utilisée pour sélectionner un ensemble de zones candidates, c'est à dire de zones susceptibles de contenir des yeux rouges, pour la photo considérée. Dans un premier temps, l'application sélectionne S zones, S étant un nombre entier naturel.
Dans une étape suivante 105, de décision on détermine si la valeur N a été renseignée.
Selon différents modes de mise en u̇vre du procédé de l'invention, la valeur N est considérée comme renseignée si, pour la photo considérée, ou éventuellement pour une photo précédente, l'utilisateur a indiqué dans l'étape 103, associée à la photo en question, le nombre N. On passe alors à une étape de décision suivante 106 dans laquelle on compare le nombre S de zones candidates avec le nombre N entré par l'utilisateur.
S'il y a égalité entre les deux nombres, on passe alors à une étape suivante 107 d'affichage d'une zone candidate j, j étant un entier naturel prenant la valeur 1 par défaut.
S'il n'y a pas égalité entre les deux nombres, on passe alors à une étape suivante 108 dans laquelle on modifie des paramètres de l'application de traitement d'images utilisée. Ainsi, si le nombre de zones candidates S est supérieur au nombre N souhaité, les critères de sélection des zones candidates seront durcis pour rejeter les zones candidates les moins susceptibles de contenir des yeux rouges. Par contre, si le nombre de zones candidates S est inférieur au nombre N souhaité, les critères de sélection des zones candidates seront allégés pour ajouter des zones candidates supplémentaires. On reprend alors le procédé au niveau de l'étape 104, le nombre S de zones candidates pouvant alors avoir évolué.
A l'inverse, selon différents modes de mise en u̇vre du procédé de l'invention, la valeur N est considérée comme non renseignée si, pour ladite photo, et éventuellement pour aucune photo précédente, l'utilisateur n'a pas indiqué dans l'étape 103 associée à la photo considérée, le nombre N, ou tout simplement si l'exemple de mise en u̇vre considéré ne propose pas à l'utilisateur de déterminer un nombre N. Dans un tel cas, on passe directement à l'étape 107.
L'étape 107 d'affichage d'une zone candidate j consiste à mettre en évidence, par exemple en l'encadrant sur l'écran de contrôle, une zone candidate pour la soumettre à l'utilisateur.
On passe alors à une étape de décision suivante 108 dans laquelle l'utilisateur choisit s'il faut apporter des modifications à la zone candidate présentée. Si l'utilisateur décide qu'il faut apporter des modifications à cette zone candidate pour y remplacer des yeux rouges qui s'y trouvent, il valide, par exemple par l'appui sur une troisième touche du dispositif, ou éventuellement sur la première ou la deuxième touche précédemment mentionnée, sa décision d'apporter une correction.On passe alors à une étape suivante 109 dans laquelle le procédé selon l'invention présente à l'utilisateur, sur l'écran de contrôle, une palette de couleurs ; par exemple, une succession de couleurs peut défiler sur l'écran de contrôle, l'utilisateur sélectionnant la couleur souhaitée, dans une étape suivante 110, par un appui sur une touche appropriée du dispositif, typiquement une touche déjà précédemment utilisée, lorsque la couleur souhaitée est présentée sur l'écran de contrôle. La modification ad hoc est alors, dans une étape suivante 111, apportée aux yeux rouges présents dans la zone candidate j.
On passe ensuite à une étape suivante 112 d'incrémentation (augmentation d'une unité) de la valeur de la variable j, qui est initialisée à la valeur 1 pour chaque nouvelle image traitée. Cette étape 112 est également exécutée directement après l'étape de décision 108 lorsque l'utilisateur a estimé que la zone candidate j n'était pas à modifier, c'est à dire qu'elle ne contenait pas d'yeux rouges. Dans une variante du procédé selon l'invention, les zones candidates j sont mises en évidence successivement, avec une durée d'apparition sur l'écran de contrôle laissant le temps à l'utilisateur de manifester sa volonté d'apporter une correction, par exemple par l'appui sur une touche du dispositif.Si pendant l'affichage d'une zone donnée, l'utilisateur ne presse aucune touche du dispositif, on considère, dans cette variante, que l'utilisateur ne souhaite pas apporter de correction, et on propose automatiquement la zone candidate suivante.
L'étape qui suit l'étape 112 est une étape de décision 113 dans laquelle on compare la valeur de la variable j au nombre de zones candidates sélectionnées. Si la valeur de j est inférieure ou égale à S, on poursuit le processus en le reprenant à l'étape 107. Dans le cas contraire, le processus est repris à l'étape 102, puis à l'étape 100 avec une nouvelle photo.
Les avantages de la solution proposée par l'invention sont multiples : elle apporte une grande convivialité de l'utilisation par rapport à un système manuel, avec, comme on l'a vu, une interface homme-machine pouvant se limiter à une touche unique. Ensuite, elle apporte une grande fiabilité dans la détection des zones candidates, une étape de validation de l'utilisateur étant prévue. On peut ainsi se permettre, dans le procédé selon l'invention, d'adopter par défaut des paramètres, intervenant dans l'application de traitement d'images, relativement souples, qui permettent de sélectionner un nombre de zones candidates supérieur à celui des systèmes automatiques : on est ainsi sur de ne pas oublier de sélectionner certaines zones contenant des yeux rouges, les zones candidates sélectionnées à tort étant de toute façon rejetées par l'utilisateur.Enfin, la correction apportée est nettement améliorée par rapport à celle des systèmes automatiques, l'utilisateur ayant la possibilité de définir lui-même la couleur de remplacement.
REVENDICATIONS
1- Procédé de correction du phénomène des yeux rouges sur une photographie comprenant les différentes étapes consistant à : - prendre la photographie au moyen d'un appareil numérique ; - mémoriser des données numériques relatives à la photographie dans un module de mémoire ; - effectuer (104) un ensemble d'opérations sur les données numériques pour détecter des zones de la photographie susceptibles de contenir des yeux rouges ; caractérisé en ce qu'il comporte les différentes étapes supplémentaires consistant à : - restituer (100) la photographie sous la forme d'une image visible sur un support de type écran ; - indiquer (107), sur l'image restituée, les zones de la photographie susceptibles de contenir des yeux rouges ; - pour au moins une zone susceptible de contenir des yeux rouges, proposer (108) à un utilisateur de modifier ladite zone.
1- Procédé de correction du phénomène des yeux rouges sur une photographie comprenant les différentes étapes consistant à : - prendre la photographie au moyen d'un appareil numérique ; - mémoriser des données numériques relatives à la photographie dans un module de mémoire ; - effectuer (104) un ensemble d'opérations sur les données numériques pour détecter des zones de la photographie susceptibles de contenir des yeux rouges ; caractérisé en ce qu'il comporte les différentes étapes supplémentaires consistant à : - restituer (100) la photographie sous la forme d'une image visible sur un support de type écran ; - indiquer (107), sur l'image restituée, les zones de la photographie susceptibles de contenir des yeux rouges ; - pour au moins une zone susceptible de contenir des yeux rouges, proposer (108) à un utilisateur de modifier ladite zone.
Claims (1)
- 2- Procédé selon la revendication précédente caractérisé en ce qu'il comporte l'étape supplémentaire consistant à, pour chaque zone susceptible de contenir des yeux rouges, proposer à l'utilisateur de modifier ladite zone. 3- Procédé selon l'une au moins des revendications précédentes caractérisé en ce qu'il comporte l'étape supplémentaire consistant à, pour la zone de l'image restituée, indiquée comme susceptible de contenir des yeux rouges et/ou pour chaque zone de l'image restituée, indiquée comme susceptible de contenir des yeux rouges, et pour laquelle l'utilisateur a indiqué vouloir modifier ladite zone, proposer (109) une palette de couleurs de substitution destinée à remplacer la couleur rouge des yeux. 4- Procédé selon l'une au moins des revendications précédentes caractérisé en ce qu'il comporte l'étape supplémentaire consistant à, préalablement à l'étape consistant à effectuer un ensemble d'opérations sur les données numériques, inviter l'utilisateur à indiquer (103) un nombre correspondant au nombre de zones susceptibles de contenir des yeux rouges qui seront détectées. 5- Procédé selon l'une au moins des revendications précédentes caractérisé en ce qu'il comporte l'étape supplémentaire consistant à, préalablement à l'étape consistant à effectuer un ensemble d'opérations sur les données numériques, déterminer (101) si la photographie a été réalisée en utilisant un flash, et n'effectuer l'ensemble d'opérations sur les données numériques que si ladite photographie a été réalisée en utilisant un flash. 6- Dispositif apte à mettre en u̇vre le procédé selon l'une au moins des revendications précédentes.
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-
2004
- 2004-08-25 FR FR0451905A patent/FR2874722B1/fr not_active Expired - Fee Related
Patent Citations (2)
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| US20020030831A1 (en) * | 2000-05-10 | 2002-03-14 | Fuji Photo Film Co., Ltd. | Image correction method |
Non-Patent Citations (1)
| Title |
|---|
| PATTI A ET AL: "Automatic digital redeye reduction", IMAGE PROCESSING, 1998. ICIP 98. PROCEEDINGS. 1998 INTERNATIONAL CONFERENCE ON CHICAGO, IL, USA 4-7 OCT. 1998, LOS ALAMITOS, CA, USA,IEEE COMPUT. SOC, US, 4 October 1998 (1998-10-04), pages 55 - 59, XP010586863, ISBN: 0-8186-8821-1 * |
Also Published As
| Publication number | Publication date |
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| FR2874722B1 (fr) | 2007-02-09 |
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