FR2866727A1 - Procede pour la saisie d'informations se rapportant a un itineraire devant etre emprunte par un vehicule routier. - Google Patents

Procede pour la saisie d'informations se rapportant a un itineraire devant etre emprunte par un vehicule routier. Download PDF

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Abstract

Le procédé selon l'invention s'adresse à des véhicules routiers équipés de systèmes embarqués pouvant communiquer avec le système informatique d'un centre de surveillance. Il consiste à effectuer le tracé à l'écran d'au moins une courbe ouverte ou fermée qui effectue une séparation entre au moins deux zones géographiques (Z1 à Z6) et à associer à cette courbe et/ou à ces zones des paramètres utilisables par le système embarqué pour effectuer le calcul et la sélection d'itinéraires et/ou pour effectuer un contrôle par le centre de surveillance.

Description

La présente invention a pour objet un procédé pour la saisie d'informations se rapportant à un itinéraire devant être emprunté par un véhicule routier.
D'une manière générale, on sait que dans un secteur tel que le Transport Routier, le Marché propose des systèmes de traitement et de stockage, embarqués dans des camions, reliés à des systèmes dit de "géo-positionnement", permettant à l'Entreprise de connaître en permanence la position géographique à 20/30 m près du véhicule, en ville, ou en rase campagne. La position du véhicule peut être disponible également pour le chauffeur du véhicule, sur un moyen d'affichage à bord du camion.
La disponibilité de ces données permet de nombreuses améliorations de l'organisation générale du centre de surveillance. Par exemple : - Visualisation sur une carte géographique, sur un moyen d'affichage, de la position d'une flotte de camions. Permet de sélectionner le camion le mieux placé pour réaliser sans délais un enlèvement urgent et imprévu, - Des points de livraison étant identifiés par leur position géographique, sur le trajet d'un camion, alertes automatiques en cas de retard à un Rendez Vous.
Une heure de Rendez Vous est mémorisée pour chaque point de livraison.
Chaque fois qu'un heure de Rendez Vous arrive, le système compare la position réelle du camion, et la position mémorisée du point de livraison correspondant. Si un écart géographique supérieur à une valeur prédéterminée apparaît, le Responsable concerné dans l'Entreprise est alerté.
- Un trajet prévisionnel d'un camion étant calculé avant son départ (optimisation d'itinéraire), et mémorisé, le suivi permanent de la position du camion permet d'identifier sans délais un écart du véhicule par rapport à son trajet prévu. Ceci est utilisé pour le transport de marchandises ciblées par le banditisme routier.
La connaissance de la position instantanée du véhicule, avec l'utilisation du GPS, apporte d'autres fonctions dérivées, grâce à la présence de systèmes embarqués dans le véhicule : - calcul du kilométrage parcouru, à partir des différentes longitudes et latitudes, et altitudes, - calcul des vitesses instantanées, à partir du kilométrage et de l'horloge du système.
La vitesse du véhicule peut également être mesurée à l'aide d'un capteur spécialisé, telle que celle s'affichant au tableau de bord d'une automobile.
Le contrôle par les Entreprises du respect des vitesses par ses véhicules, avec les contraintes réglementaires lourdes qui s'appliquent notamment à des véhicules industriels tels que des camions, est une préoccupation des Responsables d'Entreprises.
La vitesse n'est pas le seul paramètre de fonctionnement d'un véhicule que les Entreprises souhaitent contrôler avec précision. D'autres paramètres, tels que la consommation en carburant, entrent en ligne de compte.
A l'heure actuelle, le positionnement d'un véhicule se fait à l'aide de 3 systèmes essentiellement : - En zone urbaine : - par triangulation, sur la base d'antennes Radio Fréquence (MOBILOC), et d'équipements ad hoc à bord du camion (possibilité offerte pour certaines villes seulement), - par triangulation, sur la base d'antennes GSM (opérateurs GSM), et du téléphone GSM mobile du chauffeur (ou fixe), - par l'utilisation du réseau spécialisé de satellites GPS, à l'aide d'un calculateur spécialisé à bord du camion. - A l'extérieur d'une ville : - par triangulation, sur la base d'antennes GSM (opérateurs GSM), et du téléphone GSM mobile du chauffeur (ou fixe), - par l'utilisation du réseau spécialisé de satellites GPS, à l'aide d'un calculateur spécialisé à bord du camion.
Les contraintes propres à une Entreprise de Transport de Marchandises imposent un positionnement avec une précision de 20 à 30 m. Les antennes GSM n'autorisent qu'une précision variant de 100 m à quelques kilomètres. Seul le système à base de satellites GPS est utilisable dans ce cas.
La transmission des positions d'un camion vers son Entreprise peut se faire de deux manières : - par une voie "montante" satellite, mettant en oeuvre un boîtier de transmission spécialisé, à bord du véhicule, et des satellites également spécialisés, - par des moyens GSM -Data (messages SMS, ou connexions data).
L'organisation générale du réseau GSM en FRANCE (et en EUROPE), rend l'option GSM / SMS préférable. C'est de loin la plus utilisée.
Sur cette base, les Entreprises mettent en oeuvre 2 types de gestion : - Les positions sont systématiquement envoyées, à un rythme élevé (toutes les 2 minutes par ex.), - Les positions sont stockées dans les moyens de stockage du véhicule, avec envoi toutes les 24 h par ex., ou sur ordre de l'Entreprise (ordre envoyé depuis l'Entreprise, par SMS, au camion, par ex.). Autre option : transfert de toutes les informations lors du retour en Entreprise, par ex. à l'aide d'une carte à puce.
Il apparaît donc que les systèmes embarqués des camions savent réagir à des commandes temporaires expédiées par l'Entreprise, via des messages SMS particuliers.
En ce qui concerne les données autres que celles liées au positionnement du véhicule, les Entreprises disposent de moyens de traitement et de stockage embarqués à bord des véhicules, aptes à transférer des données vers l'Entreprise gérant ce véhicule.
Ces moyens sont reliés à des périphériques divers, tels que des tachygraphes, des sondes thermiques, des lecteurs de carte à puce, etc. et communiquent par exemple par des messages SMS, à partir de modems GSM embarqués.
Ainsi, la vitesse instantanée du véhicule peut-elle être échantillonnée toutes les 5 secondes, à bord du véhicule, stockée dans les moyens de stockage celui ci, et transférée au retour à l'Entreprise aux moyens de traitement de celle ci, pour établissement de diagrammes de vitesses, ou pour mise en évidence des dépassements d'une vitesse réglementaire limite.
D'autre part, le système de référence pour la comparaison avec les vitesses réelles utilise peu de données en général. La seule référence utilisée dans la plupart des cas est la vitesse maximum autorisée pour le véhicule, telle que 90 km/h pour un véhicule de plus de 12 Tonnes de Poids Total en Charge.
Dans des utilisations industrielles telles que le transport de marchandises ou de voyageurs, les systèmes embarqués actuellement à bord de véhicules présentent de nombreuses faiblesses, illustrées par le faible taux d'équipement de ces véhicules à cette date (2001/2002) : en FRANCE, moins de 5 % du parc potentiel est équipé, alors que de nombreux produits existent depuis 5 ans, et sont connus.
Parmi les raisons de cette situation, on peut noter que :
a/ L'envoi à rythme élevé des positions et autres données, qui évite leur mémorisation dans l'ordinateur du camion, provoque un coût GSM élevé. Ce coût se justifie dans certains cas (transport de fonds, etc.). Il est par contre trop élevé dans la majorité des situations rencontrées en transport de marchandises.
b/ L'autre option, la mémorisation, avec transfert en masse par exemple au retour du véhicule à l'Entreprise, minimise le coût GSM, mais pose le problème de la capacité des moyens de stockage embarqués dans les véhicules, d'une part, et d'autre part, celui du suivi en temps réel des événements susceptibles d'être critiques.
Ces deux points posent le problème principal des systèmes actuels : ils sont très coûteux, soit au niveau des transferts de données, soit au niveau des l'investissement en capacités telles que de stockage, soit au niveau de l'inefficacité de l'action, qui peut ne survenir que longtemps après un évènement critique.
Ainsi, une surconsommation de carburant, due à un mauvais réglage du moteur, peut durer de nombreuses semaines, jusqu'au passage du véhicule à une intervention d'entretien. Si tant est que ce point soit effectivement vérifié.
D'autre part, le suivi mensuel des consommations de carburant, véhicule par véhicule, que réalise en général les Entreprises de Transport par exemple, est faiblement utilisable pour suivre opérationnellement ce poste de dépenses. En effet, la consommation d'un camion par exemple dépend de nombreux facteurs, tels que la charge transportée, le profil de la route, la température extérieure, la pression des pneus, le mode de conduite du chauffeur.
Les conséquences sont que : - Souvent, la consommation moyenne mensuelle aux 100 km peut varier d'une manière importante pour un véhicule, sans qu'il soit possible de mettre en évidence une éventuelle cause sur laquelle l'Entreprise peut apporter un correctif. Par exemple le mauvais réglage du moteur, ci-dessus. - Même s'il était possible d'identifier une telle cause, cette identification interviendrait souvent tard après l'évènement ou le début de celui ci. En effet, dans le cas de camions par exemple, la consommation est constituée souvent en partie d'approvisionnements réalisés à l'extérieur de l'Entreprise, dont les caractéristiques sont communiquées ultérieurement par les Compagnies Pétrolières, sur supports magnétiques, aux Entreprises, pour intégration automatique à leurs systèmes de traitement.Les données qui concernent des approvisionnements réalisés vers la fin d'un mois parviennent à l'Entreprise au cours du mois suivant, à des. dates plus ou moins aléatoires, or les calculs ne peuvent commencer que lorsque ces données sont arrivées. Ou alors, le coût administratif devient élevé.
Concernant un autre poste comme le suivi des vitesses, les systèmes actuellement connus présentent comme faiblesses notamment : - le suivi périodique en Entreprise, sur la base des données transférées par le véhicule, nécessite souvent un travail administratif lourd. D'autre part, la détection d'excès de vitesse survient parfois tard après l'évènement, ce qui limite l'efficacité de cette gestion, - le suivi d'une seule limite de vitesse, par exemple 90 km/h, qui correspond à la limite courante de circulation sur route, est très insuffisant.
En effet, on connaît d'une part la gamme des vitesses réglementaires, telles que 130 km/h sur autoroute, 110 km/h sur voie rapide, 50 km/h en ville. Un contrôle efficace doit descendre à ce niveau de détails.
Il existe d'autre part d'autres limitations, fonction de la catégorie d'un camion par exemple. Ainsi, en FRANCE, un camion de 3.5 tonnes à 12 tonnes est limité à 80 km/h sur des voies normales, à 100 km/h sur des voies rapides et à 110 km/h sur autoroutes. Un contrôle utile, lorsque ce cas se présente, doit prévoir ces éléments.
On comprend donc qu'un système qui n'admet qu'un seul référentiel, tel que 90 km/h ci-dessus, est en réalité très insuffisant pour permettre à l'Entreprise un contrôle efficace de la vitesse de ses véhicules.
- la nécessité de disposer de nombreuses références pose le problème de leur saisie. Les systèmes actuels permettent difficilement de prendre en compte des notions telles que des zones géographiques, ou des évènements survenant au cours d'un trajet, tel qu'un ralentissement important sur une portion donnée du trajet.
L'invention a donc plus particulièrement pour but de résoudre ces problèmes.
A cet effet, elle propose un procédé pour la saisie d'informations se rapportant à un itinéraire pouvant être emprunté par un véhicule routier équipé d'un système embarqué pouvant communiquer avec le système informatique d'un centre de surveillance doté d'une base de données cartographiques vectorielles, de moyens de calcul permettant de précalculer une pluralité d'itinéraires passant par au moins deux points prédéterminés, des moyens d'affichage permettant de représenter à l'écran ces itinéraires dans leurs environnements cartographiques, et des moyens permettant de sélectionner automatiquement, parmi ces itinéraires, un itinéraire répondant à un ou plusieurs critères prédéterminés.
Selon l'invention, ce procédé est caractérisé en ce qu'il consiste à effectuer, grâce à des moyens de saisie usuels équipant ledit système embarqué ou ledit système informatique, tel que par exemple une souris, le tracé à l'écran d'au moins une courbe ouverte ou fermée qui effectue une séparation entre au moins deux zones géographiques présentant des caractéristiques différentes notamment mais non exclusivement en ce qui concerne des conditions de circulation, et à associer à cette courbe et/ou à au moins l'une des zones délimitées par ce tracé, des paramètres relatifs à ces caractéristiques, utilisables par le système embarqué et/ou par le centre de surveillance, notamment pour effectuer le calcul et la sélection des susdits itinéraires, et/ou pour effectuer un contrôle par le centre de surveillance.
Avantageusement, ce procédé pourra comprendre : - le tracé de deux courbes ouvertes disposées de manière à réaliser un couloir auquel on affecte des valeurs limites de vitesse, - la modification du couloir grâce aux susdits moyens de saisie de manière à ajouter ou retrancher une surface supplémentaire à laquelle sont affectées des valeurs limites de vitesse, - dans le cas d'une courbe ouverte unique, le tracé automatique par le système embarqué ou le système informatique du centre de surveillance, d'au moins une prolongation de la courbe de manière à mieux définir les zones délimitées par la courbe et éviter éventuellement le contournement de cette courbe, - l'identification des zones délimitées par la ou les susdites courbes grâce aux susdits moyens de saisie, - le suivi à l'écran d'un itinéraire grâce aux susdits moyens de saisie,le calcul de cet itinéraire par les susdits moyens de calcul et le stockage en mémoire des coordonnées des segments consécutifs constituant le trajet obtenu ; ce suivi à l'écran de l'itinéraire pourra s'effectuer en déplaçant un pointeur le long de tronçons de route successifs, les moyens de calcul calculant pour chaque position du pointeur quel est le segment le plus proche du pointeur, et stockant en mémoire les éléments caractéristiques de ce segment.
Le système d'informations entre les véhicules et le centre de surveillance, selon l'invention, apporte une forte augmentation de la fiabilité et de la productivité des moyens de traitement et de stockage.
Pour une meilleure compréhension du descriptif, l'on se référera avantageusement aux définitions suivantes :
Le Géo-positionnement est un dispositif permettant de connaître à tout instant la position géographique d'un mobile, ici un camion. Position géographique veut dire longitude, latitude et altitude.
Le GPS (Global Positioning System.) est une constellation de satellites dépendant du Département de la Défense Américain, qui permettent de connaître la position d'un mobile équipé du calculateur ad hoc à tout instant, avec une précision autorisée pour les civils de 20 à 30 m.
Le GSM est une transmission sans fil connue sous ce nom.
Les SMS sont des transmissions de données par GSM, sous forme de messages courts (160 caractères).
La HF est un type de transmission sans fil, autre que GSM. Il utilise également les ondes radio, mais dans d'autres gammes de fréquences (HF = Hautes Fréquences).
Un Transfert de type matériel est un transfert de données n'utilisant pas les moyens sans fil ci-dessus. Utilisent par exemple des cartes à puce, avec lecteur/ enregistreurs associés, ou un socle de synchronisation pour PDA.
Un Calculateur de bord est un moyen de traitement et de mémorisation embarqué à bord d'un véhicule, un camion ici. Encore appelé système embarqué.
Un Système Temps Réel est un moyen de traitement et de stockage sans moyens de saisie ni d'affichage, sauf exception. Ces systèmes sont construits pour être très rapides, et très fiables. Ils sont fréquents en Industrie (pilotage de machines outils, etc.), et en fabrication militaires (fusées, missiles, avions, etc.). Ils ne possèdent pas de réorganisation automatique de leurs moyens de stockage. Ces actions doivent être pilotées par des moyens spécifiques, complexes à élaborer et à mettre au point.
L'Entreprise est le lieu où sont rattachés les véhicules considérés dans le cadre de l'organisation de leur activité. Dans le cas de camions, c'est le lieu où, le plus fréquemment, s'organisent les transports qu'ils effectuent. C'est l'endroit où ils stationnent en général durant les périodes d'inactivité (week end par ex.), où leur entretien est réalisé, etc. C'est le lieu où, fréquemment, se trouve l'informatique de gestion (gestion des commandes clients, facturation, etc.).
C'est le lieu où, le plus souvent, le suivi de la position des véhicules se fait, et où les transferts décrits ci-dessous se réalisent.
Un Centre de surveillance est l'entité fixe ou mobile, ayant tout ou partie des fonctions de l'Entreprise, mais où les véhicules ne se rendent pas forcément.
Rôle de régulation, d'organisation, de dispatching, etc.
Dans tout ce qui suit, l'on considère que Entreprise et Centre de Surveillance sont confondus.
Les Systèmes de traitement et de mémorisation centraux sont les moyens de traitement et de mémorisation du centre de surveillance. Ils sont en général soit l'origine soit la destination des transferts de données concernant les véhicules.
Un mode d'exécution de l'invention sera décrit ci après, à titre d'exemple non limitatif, avec référence aux dessins annexés dans lesquels : La Figure 1 est un schéma synoptique montrant le centre de surveillance 2, son centre 3 de traitement, d'affichage, de saisie et de stockage des données, une zone 1 à l'intérieur de laquelle des transferts sans fil à courte distance sont possibles (tels que radio HF), des véhicules CI à C7 présents dans la zone 1, des bornes B5 à B8, tels que des bornes radio HF pour des transferts avec les véhicules. La Figure 2 est un schéma synoptique des transferts entre un véhicule et le centre de surveillance. Le véhicule dispose de moyens de mesure de position, tels que GPS, à partir d'un satellite 10. La Figure 3 est un schéma synoptique des transferts entre un véhicule et le centre de surveillance.La Figure 4 est un schéma synoptique des moyens 5 de traitement, de mémorisation et de transfert, embarqué à bord d'un véhicule CI. La Figure 5 est un schéma synoptique des moyens 6 de traitement, de mémorisation et de transfert du centre de surveillance. Plus organisation des moyens de stockage 35 du véhicule. La Figure 6 est un schéma synoptique du trajet PI à PARR d'un véhicule V. La Figure 7 montre des données caractéristiques du trajet Pl-PARR, stockées dans les moyens de stockage 35 du véhicule. La Figure 8 montre une gestion des référentiels pour une donnée telle que la vitesse. La Figure 9 est un schéma synoptique du fonctionnement des moyens de stockage : étapes de discrimination. La Figure 10 montre une structure des zones, au niveau d'un moyen cartographique.La Figure 11 est une représentation d'une structure des zones, au niveau des moyens de stockage. La Figure 12 est un schéma synoptique du fonctionnement des moyens de stockage : extraction et transfert de listes. La Figure 13 montre les étapes de la constitution d'une alerte sur vitesse. La Figure 14 montre une représentation géographique d'un trajet prévisionnel et des zones et trajets supportant les référentiels de vitesses. La Figure 15 expose un couloir de disponibilité de l'information, pour les référentiels. La Figure 16 montre la mise en oeuvre caractéristique de l'invention par tracé à l'écran.
Les Figures 17, 18 montrent la modification d'une zone existante par tracé à l'écran.
La Figure 19 expose un tracé d'une zone ouverte. La Figure 20 montre un complément au tracé d'une zone ouverte. La Figure 21 expose un tracé à l'écran d'un trajet. La Figure 22 montre un positionnement à l'écran d'un point d'arrêt durable, sur un trajet routier. La Figure 23 expose l'intervention des segments de cartographie vectorielle pour le calcul d'un itinéraire de déroutement optimum. La Figure 24 montre le positionnement à l'écran d'un tronçon de ralentissement durable, sur un trajet routier. La Figure 25 expose l'intervention des segments de cartographie vectorielle pour le calcul d'un itinéraire de déroutement optimum.
Le système comprend au moins un centre de surveillance 2, doté de moyens 3 de traitement, d'affichage, de saisie et de stockage, une zone périphérique 1, et des éléments tels que B5 à B8, pour certaines formes de transfert avec au moins un véhicule. Le moyens 4 figures 2 et 5 de traitement du centre de surveillance regroupent des moyens de transfert de type GSM 23, des moyens de transfert autres que GSM 17, et à l'intérieur d'au moins un calculateur 16, des moyens de mesure 56, de calcul 57, de notification 58, d'alerte 59, de pilotage de transfert 60, de stockage 61, d'affichage et de saisie 6 figures 2 et 4, sous la forme d'un panneau de contrôle.Le véhicule CI comprend des moyens 5 de traitement et de stockage, regroupant des moyens 11 de localisation géographiques tels que GPS associés à des satellite 10, de transfert de type GSM 22, des moyens de transfert autres que GSM 13, et à l'intérieur d'au moins un calculateur 12, des moyens de mesure 30, de calcul 31, de notification 32, d'alerte 33, de pilotage de transfert 34, de stockage 35.
Les moyens de stockage 35 du véhicule peuvent présenter une caractéristique industrielle importante à préciser. Dans le problème posé, qui est le fonctionnement de moyens embarqués à bord d'un véhicule, il peut être fait appel à des systèmes de type "temps réel", suivant la définition du lexique ci-dessus. Ils procurent en effet la rapidité et la fiabilité de traitement requises dans le cadre du système d'information objet de l'invention. La conséquence est que les moyens de stockage sont souvent organisés par blocs. L'effacement des cases contenant des données ne se fait pas case par case ; elle se fait par bloc entier, tels que 75 en figure 5.
Un tel moyen est présenté en 35, Figure 5. Les moyens 35 de stockage du véhicule stockent des données d'origine et de nature différentes. Par exemple, le bloc Ll stocke les données issues des capteurs embarqués sur le véhicule, tels que les moyens GPS 11, une sonde gas-oil 38. A chaque donnée 77 est associé par exemple l'horaire du stockage, tel que 78, et d'autres données, comme la position au moment du stockage.
L2, L3 quant à elles peuvent stocker par exemple des données transmises par les moyens de transfert 60 du centre de surveillance.
L2 peut stocker par exemple la liste des segments du trajet en cours, les cases 85, 86, 87, 88 étant alors relatives à un segment ; 85 peut être la position de début d'un arc, 86 celle de la fin, 87 sa longueur, 88 son profil de vitesse.
Les transferts 24, figure 2, de type GSM peuvent être utilisés pour des transferts lorsque le véhicule est à l'extérieur de la zone 1.
Les transferts 20, figure 2, de type autres, tels que des transferts par ondes radio HF, ou par cartes à puce, peuvent être utilisés à l'intérieur de la zone 1. Les éléments BRN5 à BRN8 sont des émetteurs / récepteurs HF lorsque les transferts 20 sont des transferts radio HF ; ils sont des lecteurs / enregistreurs de cartes lorsque les transferts 20 sont réalisés par carte à puce.
Les moyens de mesure 30 du véhicule notifient aux moyens de suivi de transfert 34, 60, que le véhicule pénètre dans la zone 1 ou en sort. Cette mesure est rendue possible par le stockage dans les moyens 35 de stockage du véhicule de l'emplacement 36 de la zone 1. Cet emplacement peut être la position des deux extrémités d'une diagonale de la zone 1, rectangulaire pour cette description.
Les moyens 6 de saisie et d'affichage du centre de surveillance comportent au moins un panneau de contrôle sur lequel sont représentés des zones de saisie de données et de commandes, caractéristique du suivi des vitesses. Ces commandes, après transmission par les moyens de transfert 23 ou 17 aux moyens de stockage 35 du véhicule, asservissent les moyens 5 du véhicule, pour les actions désirées.
Le suivi des vitesses utilise un référentiel tel que SG selon la figure 8, est utilisé pour la mesure de l'écart entre une donnée calculée ou mesurée par les moyens de calcul ou de mesure du véhicule, et une donnée transmise depuis le panneau de contrôle 6 du centre de surveillance aux moyens embarqués à bord du véhicule, caractérisée en ce que, lorsqu'un écart positif, ou éventuellement négatif, apparaît, les moyens de notification 32 peuvent notifier aux moyens de suivi de transfert 34 une alerte. Par exemple, lorsque SG vaut 90 km/h les moyens de notification du système notifient une alerte sur vitesse aux moyens de suivi 34, chaque fois que la vitesse est supérieure à 90 km/h.
On comprendra mieux l'invention en notant que le centre de surveillance peut vouloir suivre d'une manière plus précise d'éventuels dépassements de vitesse.
Le suivi des vitesses implique l'appel non plus à une seule valeur SG, mais à un tableau P42 de valeurs, associées aux éléments du trajet et à leurs caractéristiques stockées par les moyens de stockage du véhicule.
Un premier type P42a de valeurs peut être tel que qu'une liste VP42a des standards détaillés SD de vitesses, par exemple 130 km/h sur autoroute, 110 km/h sur voies rapides, 90 km/h sur voie normale, ces standards étant saisis par les moyens de saisie centraux.
Un deuxième type P42b de valeurs peut être tel qu'une liste VP42b des profils des vitesses du trajet emprunté par le véhicule, provenant de moyens tels que la cartographie vectorielle employée.
Un troisième type P42c de valeurs peut être qu'une liste VP42c de valeurs saisies par l'opérateur, à un niveau beaucoup plus détaillé que P42a.
Les moyens de mesure du véhicule mesurent, suivant un rythme d'échantillonnage défini par le centre de surveillance, l'écart entre la vitesse réelle du véhicule sur son trajet, et une des valeurs du référentiel P42.
On comprendra mieux ce qu'est un trajet, ou itinéraire, en notant qu'un trajet est un objet caractérisé par un index tel que ROTER1 selon la figure 8, et par une succession de segments jointifs tels que les segments de droite du tracé Pl-PARR, selon la figure 6. Suivant l'utilisation usuelle des procédés de cartographie vectorielle, ces segments représentent un objet cartographique telle qu'une route ouverte à la circulation, digitalisée en autant de points qu'il est nécessaire pour définir les segments représentés. Les moyens de stockage tels que ceux du centre de surveillance ou du véhicule stockent chaque point suivant ses coordonnées, en général la latitude et la longitude du point, soit 200 et 201 pour P1 selon les figures 6 et 7, la figure 7 étant une représentation des moyens de stockage 35 du véhicule.
Les coordonnées de tous les points d'un trajet tel que Pl-PARR peuvent provenir d'une extraction simple réalisée par les moyens de stockage, à partir de la saisie des deux extrémités Pl-PARR, lorsque ces points sont sur une même route, telle que la départementale D105, ou provenir d'un calcul d'itinéraire, consistant, à partir d'un point de départ Pl, et d'un point d'arrivée PARR, à calculer le meilleur trajet entre ces points, empruntant de multiples voies de circulation, et optimisant certains critères, tels que le trajet le plus court en distance.Un trajet peut-être également tel qu'une saisie par les moyens de saisie centraux d'une succession de points de passage placés sur des voies ouvertes à la circulation, le trajet étant alors tracé au travers des segments de voie reliant deux points de passage, en notant avantageusement que ces points sont suffisamment rapprochés pour ne pas avoir à faire appel à un calcul d'optimisation. Les coordonnées de chaque extrémité d'arc, telles 202, 203 pour P2, 204, 205 pour P3 sont stockées dans les moyens de stockage centraux ou 35 du véhicule, ainsi que les profils de vitesse tels que 300, 301.
La liste des segments obtenus, leurs caractéristiques, plus la saisie par les moyens de saisie centraux de points caractéristiques du trajet, tel que P2 selon la figure 6, pouvant être un point de passage imposé, peuvent alors être stockés par les moyens de stockage centraux.
D'une base cartographique vectorielle, les moyens de traitement peuvent extraire des caractéristiques particulières de chaque segment, telles que la nature de la voie, son sens de circulation s'il s'agit d'un sens unique, son profil de vitesse.
On notera, pour une meilleure compréhension du suivi des vitesses, que le profil de vitesse d'un segment de voie, au sens du suivi des vitesses, est la vitesse limite autorisée au véhicule sur ce segment, et peut être tel qu'une donnée issue de la cartographie vectorielle utilisée par les moyens de traitement, ou une donnée telle que saisie par les moyens de saisie du centre de surveillance.
De même, on notera qu'un segment peut comporter plusieurs profils de vitesse, pour des raisons telles que la nature du véhicule qui l'emprunte.
Les moyens de stockage du centre de surveillance stockent l'ensemble des profils de vitesses, pour l'ensemble des voies susceptibles d'être empruntées, quels que soient les véhicules. Ces données peuvent provenir de moyens tels que des extractions à partir de bases cartographiques vectorielles, des extractions à partir de bases réglementaires publiques du type de celles constituées par les Directions Départementales de l'Equipement (DDE), en FRANCE.
On comprendra mieux cette caractéristique du suivi des vitesses en notant que les moyens de stockage stockent, en même temps que les coordonnées d'un segment de voie, certains paramètres, tels que la nature d'une voie, par exemple autoroute, tels que la liste des profils de vitesses courants des voies pouvant être utilisées par un véhicule, par exemple 130 km/h pour une autoroute, ou tels qu'un profil de vitesse non courant pour un type de voie, par exemple 110 km/h pour certains tronçons d'autoroute.
Avantageusement, les moyens de stockage centraux peuvent également stocker des profils de vitesses saisis par les moyens centraux de saisie On comprendra mieux cette caractéristique du suivi des vitesses en se rappelant que certaines limitations de vitesses peuvent être imposées par le centre de surveillance lui même, telles que la vitesse maximum autorisée sur le parking de l'Entreprise, ou sur un trajet particulier où cette dernière souhaite le respect de procédure de sécurité particulières.
Une caractéristique principale du suivi des vitesses selon la figure 8 est que les moyens de stockage du centre de surveillance stockent les profils de vitesse selon un procédé de discrimination de zones Al, de dates A2 et de trajets A3.
Ainsi, selon la même figure, liste MCP42c, la vitesse maximum pour : - le véhicule 7825UV75, - le critère de discrimination de zone AMST1, tel que le parking de la gare routière principale Nord de la ville d'AMSTERDAM, s'il existe, - les critères de discrimination de dates 15/02/02 à 15/06/02, 15/09/02 à 30/11/02, et après le 01/01/03, qui signifient pendant la période du 15/02/02 au 15/06/02, ou pendant la période du 15/09/02 au 30/11/02, ou au delà du 01/01/03, - tous trajets, est fixé à 35 km/h.
On remarquera utilement que la vitesse 35 km/h ne correspond pas à un profil de vitesses tel que défini dans le suivi des vitesses, car cette donnée de 35 km/h est relative à des éléments combinés tells que des zones, des dates, voire des tronçons de trajets, alors qu'un profil de vitesse est défini comme la vitesse de référence sur un segment d'un trajet, un trajet étant un objet tel que défini précédemment.
On notera avantageusement qu'une zone saisie par les moyens de saisie peut être telle que :
une zone géographique telle que définie par des moyens externes au centre de surveillance, tels qu'un département, une division administrative, une zone saisie par les moyens de saisie centraux. Dans ce cas, On comprendra mieux la définition d'une zone en notant qu'une zone est un objet caractérisé par un index tel que PARK1 selon la figure 8, et par des caractéristiques telles que 400, 401, 402 selon le figure 10, stockées par les moyens de stockage 35 selon la figure 11, où 400 et 401 peuvent être telles que les coordonnées d'un centre, 402 un rayon, lorsque la zone est définie comme une zone circulaire. Selon la figure 10 on notera qu'une zone peut avoir diverses formes, dont les caractéristiques sont stockées par les moyens de stockage.
Ainsi, les moyens de stockage centraux stockent les données nécessaires pour que les moyens d'affichage puissent afficher une zone sous forme d'une surface délimitée par une ligne continue, telle que, disposant de la position d'un véhicule et d'une cartographie visible sur un moyen tel qu'un écran, ces moyens puissent afficher un symbole figurant ce véhicule dans sa position relative par rapport à cette zone.
On comprendra plus facilement les caractéristiques du procédé de discrimination de zones, dates, trajets en se reportant à la liste des étapes du procédé de discrimination, selon la figure 9.
- L'étape E50 est caractérisée en ce que les moyens de traitement du centre peuvent identifier en premier lieu les zones géographiques concernées par les limites de vitesses d'un groupe, d'un sous groupe ou d'un véhicule particulier. Ainsi, une étape E53 pourra signifier que toutes les zones sont concernées. Une autre étape E56 pourra signifier qu'au contraire, aucune zone n'est retenue. Si ni E53, ni E56, ne sont retenues par les moyens de saisie du centre de surveillance, alors les étapes E54 et E55 peuvent être mises en oeuvre. Dans ce cas :
En supposant que ZONE1, ZONE2, ZONEN représentent des zones dont la structure est telle qu'indiquée aux figures 10 et 11, les moyens de saisie peuvent saisir des ensembles tels que :
ZONEI, plus ZONE2, plus ZONE3 moins ZONE4 et ZONE5, ou encore :
toutes zones moins ZONE1, moins ZONE2, moins ZONE 3 dont sont retirées les ZONE4 et ZONE5.
- L'étape E57 est caractérisée en ce que, lorsqu'une liste des zones a été saisie par les moyens de saisie du centre de surveillance, ces moyens permettent de mettre en évidence les trajets concernés pour les limites de vitesses d'un groupe, d'un sous groupe ou d'un véhicule particulier. On comprendra mieux cette étape en notant que, dans les zones retenues en E50, s'il y en a, certains trajets peuvent être ajoutés ou au contraire exclus.
Ainsi, si la zone ZONE2 a été retenue pour un traitement tel que des alertes, il est possible que certains trajets dans cette zone ne nécessitent pas de surveillance particulière. La mise en oeuvre des moyens de saisie est alors plus simple en retenant toute la zone, sauf certains trajets.
On comprendra que, de même, les moyens de saisie peuvent exclure complètement la ZONE 1, sauf certains trajets.
En complément aux saisies ci-dessus, les moyens de saisie peuvent saisir des ensembles tels que :
TRAJET1, plus TRAJET2, plus TRAJET3 moins TRAJET4 et TRAJET5, ou encore :
tous trajets moins TRAJET1, moins TRAJET2, moins TRAJET 3 dont sont retirés les TRAJET4 et TRAJET5.
- L'étape E58 est caractérisée en ce que, lorsqu'une liste des zones et de trajets a été saisie par les moyens de saisie du centre de surveillance, ces moyens permettent de mettre en évidence les dates concernées pour les limites de vitesses d'un groupe, d'un sous groupe ou d'un véhicule particulier. On comprendra mieux cette étape en notant que, dans les zones retenues en E50 et les trajets retenus en E57, s'il y en a, certaines dates et périodes peuvent avoir un caractère discriminant supplémentaire.
En complément aux saisies ci-dessus, les moyens de saisie peuvent saisir des ensembles tels que :
PERIODE 1, plus DATE2, plus PERIODE3 moins DATE4 à DATE5, ou encore :
toutes dates moins DATE 1, moins DATE2, moins PERIODE3 dont est retirée la PERIODE4 Bien entendu, la mise en oeuvre du suivi des vitesses ne se limite pas à cet exemple.
Selon la figure 8, les moyens de stockage peuvent stocker des listes telles que VP42c, soit :
ZONE1, telle que PARK1, où la limite de vitesse est de 35 km/h, quelle que soit la date, et quel que soit le trajet, plus ZONE2, telle que AMST1, si la date est à l'intérieur de la période allant de la DATE1 à la DATE2, telles que 15/02/02 à 15/06/02, où la limite de vitesse est de 35 km/h, quel que soit le trajet, plus TRAJET 1, tel que ROTER 1, si la date est postérieure à la DATE3, telle que 15/02/02, où la limite de vitesse est de 60 km/h, quelles que soient les zones traversées par le véhicule.
Selon la figure 9, la combinaison des critère zones - trajets - dates par les moyens de saisie peut être différente. Ainsi, E51 serait une liste construite en sélectionnant d'abord les trajets, puis les zones puis les dates. E52 serait une liste construite en sélectionnant d'abord les dates, puis les zones puis les trajets.
Selon l'exemple de la figure 8, les moyens de saisie peuvent également panacher les trois critères de discrimination.
Une caractéristique du suivi des vitesses consiste à transférer aux moyens de stockage du véhicule les listes composant le tableau P42 selon la figure 8, de telle manière que les moyens de traitement du véhicule puissent mesurer les écarts entre sa vitesse réelle et la vitesse limite de référence au point où il se trouve.
On remarquera utilement que les listes VP42a, VP42b, VP42c selon la figure 8 comportent des commandes du type OUI / NON, qui permettent aux moyens de calcul d'utiliser tout ou partie des données contenues dans le tableau P42.
Pour mieux comprendre le suivi des vitesses, on notera également que les moyens de calcul peuvent établir une hiérarchie dans ces données.
Ainsi, selon la figure 8, pour tout traitement concerné par les zones/ dates/ trajets de la liste P42, les moyens de mesure peuvent utiliser pour leurs mesures d'écarts de vitesses en priorité les données de la liste VP42c, car elle a peut avoi.r été saisie par l'opérateur pour compenser des manques ou des insuffisances dans les données des listes VP42b et VP42a, telles que la connaissance de la vitesse limite fixée par l'Entreprise pour les déplacements sur son parking.
Lorsque toutes les données de la liste VP42c ont été prises en compte, si les moyens de traitement n'ont pas trouvé une vitesse limite de référence pour la position où se trouve le véhicule, ils peuvent utiliser les données de la liste VP42b, lorsqu'elles existent pour le trajet concerné. Ces données présentent un fort degré de précision et de pertinence, de par leur origine, puisqu'elles proviennent d'organismes officiels, et ont pu être ajoutées par les fabricants de cartographies vectorielles.
Mais, comme elles ne sont mises à jour que périodiquement, ou qu'elles peuvent ne recouvrir en réalité qu'une partie du réseau routier, le centre de surveillance peut être amené à les compléter par une liste telle que la liste VP42c.
On observera utilement que la liste VP42b permet aux moyens de stockage de procurer la vitesse limite exceptionnelle de 110 km/h sur certains tronçons d'autoroute, si VP42c n'a pas été utilisée par les moyens de saisie pour saisir cette donnée, mais cette dernière solution est moins efficace car, par nature, VP42b stocke en priorité les données réglementaires associées au réseau routier, alors que VP42c est plutôt utilisé par les moyens de saisie pour des saisies spécifiques, non prévues par les outils de cartographie vectoriels.
De même, la liste VP42b est la mieux adaptée pour permettre aux moyens de stockage du véhicule d'extraire la vitesse limite de passage dans des lieux tels que des agglomérations, par exemple 50 km/h, car, parmi les caractéristiques de chaque segment stockées par les bases cartographiques vectorielles, il en est une qui indique si ce segment se trouve situé dans un environnement tel qu'un, environnement urbain.
On observera également que la liste VP42b est destinée à stocker d'autres contraintes réglementaires, telles que les différentes vitesses limites sur un segment de voie routière, en fonction de critères tels que la nature du véhicule. Ainsi, en FRANCE, un camion de 3.5 tonnes à 12 tonnes est limité à 80 km/h sur des voies normales, à 100 km/h sur des voies rapides et à 110 km/h sur autoroutes. Un camion de plus de 12 tonnes, lui, ne doit pas rouler à plus de 90 km/h sur autoroute. De plus, si ce camion est de type semi remorque, sa vitesse sur une route départementale, ne doit pas dépasser 60 km/h. D'autres couches de réglementation, pour le transport de matières dangereuses par exemple, se superposent encore à ces dispositions.
Une caractéristique du suivi des vitesses consiste en ce que cette précision dans le référentiel utilisé est effectivement prise en compte par les moyens de mesure du véhicule, pour la mesure de l'écart entre la vitesse réelle et la vitesse limite.
Ainsi, les moyens de stockage centraux stockent pour tout véhicule ses caractéristiques réglementaires nécessaires. De telles caractéristiques peuvent être telles que PlOa, son groupe, par exemple Poids Total en Charge compris entre 3.5 tonnes et 12 tonnes, et son sous groupe, par exemple Longue Distances. On comprendra utilement que, lorsque les moyens centraux de stockage extraient ici les listes VP42a , VP42b, VP42c, selon la figure 8, concernant un véhicule, ils n'extraient que les données concernant les vitesses limites du groupe réglementaire tel que Poids Total en Charge compris entre 3.5 T et 12 T.Avantageusement, lorsque les moyens de mesure d'un tel véhicule mesurent un écart avec la vitesse réelle, la vitesse référentielle prise en compte, pour un segment tel qu'un segment d'autoroute est 110 km/h, vitesse réglementaire pour ce type de véhicule, est non 130 km/h, vitesse réglementaire pour d'autres types de véhicules.
Enfin, si les moyens de traitement n'ont trouvé ni en VP42c ni en VP42b un référentiel, ils peuvent utiliser les données de la liste VP42a.
On observera utilement que si les listes VP42 c ou VP42b ne permettent pas aux moyens de stockage de se procurer une vitesse limite telle que 110 km/h sur certains tronçons d'autoroute, selon le descriptif déjà réalisé, alors les moyens de traitement du véhicule ne disposeront pas de cette donnée. En effet, VP42a ne contient que quelques données générales, telles que 130 km/h comme référentiel pour les autoroutes. Ainsi, lorsque le véhicule est sur une voie telle qu'une autoroute, les moyens de mesure ne peuvent mesurer dans certains cas que des écarts approximatifs par rapport aux vitesses limites. Ainsi, ils ne disposent pas d'information au travers de la liste VP42a pour déterminer que la vitesse limite peut être de 110 km/h, et utilisent alors 130 km/h comme référence.A fortiori, la liste VP42a ne permet pas de prendre en compte le type du véhicule, lorsque celui ci a une influence sur les référentiels de vitesse.
Le suivi des vitesses est caractérisé en ce que, lorsque les moyens de stockage centraux détectent que, dans les listes telles que VP42a, VP42b, VP42c, une position donnée du véhicule possède des vitesses limites contradictoires non explicables par une raison telle qu'une différentiation en fonction du Poids Total en Charge du véhicule, les moyens d'alertes centraux peuvent alerter l'opérateur pour qu'il choisisse la valeur pertinente à stocker, ou, suivant les cas, les moyens de stockage peuvent effectuer eux mêmes ce choix, en utilisant une règle telle que la priorité hiérarchique, c'est à dire en retenant en priorité les données de type P42c, puis P42b, puis P42a.
Les moyens centraux peuvent ultérieurement recalculer certains trajets et certaines portions de trajet, extraire les listes correspondantes des limites de vitesses et les transférer à nouveau aux moyens de stockage du véhicule.
On aura une compréhension plus complète du suivi des vitesses en se reportant aux figures de synthèse 12 et 13.
Selon la figure 12, les moyens centraux MC stockent une liste MCCOM de vitesses limites concernant tous les groupes et sous groupes de véhicules, plus certaines limitations propres à certains véhicules isolés. La liste MCCOM est établie suivant des critères de discrimination de zones, dates et trajets.
Les moyens centraux extraient de la liste MCCOM les listes MCP42a, MCP42b, MCP42c de vitesses limites concernant un véhicule particulier V, en utilisant comme critère d'extraction des critères tels que le groupe de ce véhicule, son sous groupe, ou son matricule. Les critères de discrimination de zones, dates et trajets présents dans la liste MCCOM sont transférés aux listes MCP42a, MCP42b, MCP42c Les moyens de stockage centraux peuvent stocker ces listes pour des utilisations ultérieures.
Les moyens centraux extraient des listes MCP42a, MCP42b, MCP42c les listes de vitesses limites VP42a, VP42b, VP42c concernant uniquement le trajet prévu PlPARR, selon la figure 6, de ce véhicule. Cette extraction se fait au travers des critères de discrimination de zones, dates et trajets auxquels répond le trajet prévu. On notera avantageusement qu'un critère de discrimination de trajet peut être tel qu'un morceau de trajet retenu dans une des listes MCP42a, MCP42b, MCP42a, et emprunté par le véhicule, sur son trajet prévu Pl-PARR. Les critères de discrimination de zones, dates et trajets présents dans les listes MCP42a, MCP42b, MCP42c sont transférés aux listes VP42a, VP42b, VP42c. Les moyens de stockage centraux peuvent stocker ces listes pour des utilisations ultérieures.
Les moyens centraux de transfert transfèrent les listes de vitesses limites VP42a, VP42b, VP42c aux moyens de stockage du véhicule V.
Selon la figure 13, le déclenchement d'une alerte par les moyens d'alerte du véhicule, avec l'utilisation d'un tableau tel que P42 selon la figure 8, peut se dérouler selon les étapes suivantes :
Dans une étape 1 du procédé selon la figure 13, les moyens de stockage du centre de surveillance stockent suivant des critères discriminants tels que des zones, des dates ou des périodes, et des trajets particuliers, des vitesses limites pour tous types de véhicules.
Dans une étape 2 du procédé, les moyens de stockage centraux extraient de leurs moyens une liste MCP42c des vitesses limites de type P42c, concernant le véhicule, et contenant des saisies spécifiques au centre de surveillance.
Dans une étape 3 du procédé, les moyens de stockage centraux extraient de leurs moyens une liste MCP42b des vitesses limites de type P42b, concernant le véhicule et son trajet, et contenant des vitesses limites détaillées fournies par les organismes réglementaires, pour le réseau routier.
Dans une étape 4 du procédé, les moyens de stockage centraux extraient de leurs moyens une liste MCP42a des vitesses limites de type P42a, concernant le véhicule et son trajet, et contenant des vitesses limites générales pour le réseau routier, saisies par les moyens de saisie du centre de surveillance.
Dans une étape 5 du procédé, les moyens de calcul du centre de surveillance calculent l'itinéraire prévisionnel Pl-PARR selon la figure 6 du véhicule, ou les moyens de saisie centraux saisissent un tel itinéraire.
Dans une étape 6 du procédé, les moyens de stockage centraux extraient de la liste MCP42c une liste des vitesses limites VP42c du type P42c, ne concernant que le trajet prévisionnel du véhicule.
Dans une étape 7 du procédé, les moyens de stockage centraux extraient de la liste MCP42b une liste des vitesses limites VP42b du type P42b, ne concernant que le trajet prévisionnel du véhicule.
Dans une étape 8 du procédé, les moyens de stockage centraux extraient de la liste MCP42a une liste des vitesses limites VP42a du type P42a, ne concernant que le trajet prévisionnel du véhicule.
Dans une étape 9 du procédé, les moyens de transfert du centre de surveillance transfèrent les listes VP42a, VP42b, VP42c aux moyens de stockage du véhicule.
Dans une étape 10 du procédé, les moyens de mesure du véhicule mesurent les écarts entre la vitesse réelle du véhicule, et la vitesse limite extraite des listes VP42c, VP42b, VP42a.
Dans une étape 11 du procédé, les moyens d'alerte du véhicule alertent le centre de surveillance lorsque la vitesse réelle dépasse la vitesse limite du point où se trouve le véhicule.
On notera avantageusement qu'à toute modification du trajet prévisionnel du véhicule, les moyens centraux peuvent piloter une nouvelle activation des étapes 6 à 9.
On aura une vue plus complète du suivi des vitesses en observant, selon la figure 14, des enchaînements caractéristiques de zones et trajets, des critères de discrimination de dates intervenant en parallèle.
Selon cette figure, un trajet prévisionnel d'un véhicule V peut être tel que P1, P8, les segments de ce trajet calculés initialement par les moyens de calcul du centre de surveillance étant tels que P1P2, P2P3, P7P8. V peut être tel qu'un véhicule soumis aux conditions générales des vitesses, telles que 130 km/h sur autoroute, et non à un critère particulier tel le Poids Total en Charge.
De la liste MCCOM, puis des listes MCP42a, MCP42b, MCP42c, selon la figure 12, les moyens de stockage extraient des listes VP42a, VP42b, VP42c des zones telles que Zl à Z5 selon la figure 14. Ces extractions sont les étapes El à E8 selon la figure 13.
Les zones Zl et Z5 peuvent être telles qu'appartenant à une liste VP42c, saisie par les moyens de saisie centraux, et correspondant au parking du point de départ P1, et à celui du point d'arrivée P5, les limitations de vitesse étant de 35 km/h sur Zl et de 40 km/h sur Z5.
Les zones Z2, Z3, Z4 et Z6 peuvent être telles qu'appartenant à une liste VP42b, provenant de bases de données publiques recensant toutes les vitesses réglementaires ou indicatives, et telles qu'en Z2 la vitesse limite soit 60 km/h, pour cause de chutes de neige, en Z3 et Z6 elle soit de 30 km/h pour cause de verglas, sauf en Z4 , zone incluse dans Z3, où les conditions de vitesses sont les conditions normales de circulation, correspondant sauf mention contraire à l'espace hors des zones citées. Ces conditions normales de circulation peuvent être telles qu'une liste VP42a, par exemple 90 km/h sur routes normales, 110 km/h sur voies rapides, 130 km/h sur autoroutes.
Les limitations de vitesse sur Z2, Z3 et Z6 sont complétées par des critères de dates. Ainsi, sur Z2, la limite de 60 km/h est fixée du 15/02/02 23 h 00 au 16/02/02 06 h 00 pour des voies telles que les autoroutes, heure à laquelle les services de voirie ont planifié le déneigement complet de celles ci ; pour les voies rapides et les voies telles que des nationales, la date limite est fixée au 16/02/02 18 h 00 ; pour toutes les autres voies, la limite reste en vigueur jusqu'à nouvelle instruction. Pour les zones Z3 et Z6, un radoucissement de température prévu pour le 16/02/12 h 00 doit permettre de lever la limite de 30 km/h à cette heure.
La voie Tl peut être telle qu'appartenant à une liste VP42b avec des tronçons où la vitesse limite peut être telle que 90 km/h avant Q9, 70 km/h entre Q9 et Q10, 110 km/h entre Q10 et Q11, 90 km/h après Q11.
L'ensemble T2 est tel que constitué d'un ensemble de segments appartenant à différentes voies, ces segments étant tous caractérisés par une vitesse limitée à 45 km/h jusqu'au 31/03/02. La cause de cette limitation peut être telle qu'une dégradation générale de la chassée provenant d'une mauvaise qualité du revêtement, les routes étant en cours de travaux jusqu'à la date indiquée.
Les moyens de stockage peuvent stocker, de plus, des critères de dates, tels que, entre Q9 et Q10, la vitesse n'est limitée à 70 km/h que du 15/02/2002 au 15/03/2002, puis du 01/06/2002 au 30/06/2002, de tels critères de discrimination de dates pouvant de même se superposer à toutes les autres limitations de vitesses.
On prendra avantageusement connaissance du fait que la dénomination de trajet peut s'appliquer à des ensembles de natures différentes. Ainsi, selon la figure 14, un trajet est tel que P 1 P8, ensemble de segments résultant du calcul par les moyens de calcul d'un itinéraire optimum entre P1 et P8. Mais Tl et T2 sont des objets stockés également par les moyens de stockage sous la forme de trajets, car composés de la même manière de segments jointifs de voies de circulation. On notera que P1P8, Tl et T2 diffèrent cependant, en ce sens que Tl et T2 sont des listes de type tel que P42a, P42b ou P42c figures 8, 12,13, stockant des trajets réglementaires ou saisis par des moyens tels que les moyens de saisie centraux, un tel trajet pouvant être ROTER1 ou ROM1 selon la figure 8.On notera plus précisément que P1P8 figure 14 est par nature un trajet temporaire, stocké par les moyens centraux uniquement le temps de route du véhicule V, alors que Tl ou T2 sont stockés d'une manière durable, et utilisés par les moyens centraux pour tous le contrôle des trajets tels que P1P8 du véhicule V, ou pour tous les véhicules.
L'étape 9 selon la figure 13 est caractérisée par le transfert au véhicule par les moyens de transfert centraux de toutes les limitations de vitesses concernant le véhicule V sur son trajet prévu P1P8, sous forme de listes VP42a, VP42b, VP42c, constituées des zones et trajets selon la figure 14, et comprenant en plus des critères de discrimination de dates non figurés sur cette figure.
Lorsque V suit son trajet prévu P1P8, les moyens de calcul du véhicule calculent sa position sur le trajet, les moyens de mesure mesurant cette position par rapport aux zones et trajets selon la figure 14. Ainsi, lorsque V est sur P3P4, la vitesse limite est extraite par les moyens de stockage de V de la liste correspondant à la zone Z2. On notera avantageusement que, avant tout transfert par les moyens centraux, ceux ci peuvent avoir à arbitrer des conflits tels que survenant sur le segment Q9Q10 de la voie Tl. On aura une meilleure connaissance de cette situation en observant que, sur Q9Q10, les moyens de traitement disposent de 3 vitesses limites en concurrence : la première définie pour la voie Tl, la deuxième pour la zone Z2, la troisième pour la zone Z3.Les moyens de traitement peuvent décider que la vitesse limite sera telle que la vitesse la plus faible, 30 km/h, vitesse limite suivant la zone Z3.
Suivant une telle mise en oeuvre du suivi des vitesses, lorsque le véhicule V s'écarte de son itinéraire prévu P1P8, les moyens de traitement embarqués à bord du véhicule peuvent continuer les traitements de mesure des écarts de vitesse, tant que le véhicule reste dans une zone géographique couverte par les listes stockées par les moyens de stockage, figurées selon la figure 14. Avantageusement, les moyens de calcul centraux ont pu définir une zone telle que CL1, CL2 selon la figure 15, couloir dans lequel toutes les données nécessaires au suivi des vitesses qui concernent V ont été extraites et transférées aux moyens du véhicule.
Lorsque la position du véhicule se situe en dehors d'une zone telle que ce couloir, les moyens d'alerte du véhicule peuvent alerter le centre de surveillance dont les moyens peuvent alors calculer un autre couloir tel que CL1, CL2, extraire de nouvelles listes VP42a, VP42b, VP42c correspondantes, et transférer ces listes au véhicule.
On notera avantageusement que, dans une situation telle que lorsque les moyens de traitement centraux veulent minimiser les quantités de données transférées, ils peuvent optionnellement ne transférer que les vitesses limites correspondant au trajet P1P8.
Dans cette mise en oeuvre particulière du suivi des vitesses, les moyens de calcul du centre de surveillance peuvent calculer les intersections entre le trajet P1P8 et les limites des zones telles que Z2, ou les parties communes entre P1P8 et une voie telle que Tl. Ainsi, en Q1, le véhicule V sort de la zone Zl, et entre dans une zone dont les limites de vitesses sont des limites telles que générales, en Q2 il entre en zone Z2, de P5 à P6, il emprunte la voie Tl.
Selon cette option, les moyens de stockage centraux stockent un trajet prévisionnel dont les segments sont tels que P1Q1, P2Q2, Q8P8, chaque segment étant caractérisé par la vitesse limite qui le concerne, telle que la vitesse limite à l'intérieur de la zone Z2 pour le segment Q2P3, ou la vitesse limite sur la voie Tl, entre Q10 et Q11, pour les segment P5P6.
Les moyens de transfert centraux transfèrent ensuite aux moyens de stockage du véhicule la liste des segments tels que P1Q1 du trajet P1P8, plus la liste de vitesses limites sur chacun de ces segments. Les moyens de calcul du véhicule calculent sur quel segment se trouve le véhicule, et les moyens de stockage extraient la vitesse limite correspondant au calcul de l'écart avec la vitesse réelle.
On comprendra mieux le suivi des vitesses en notant que, dans cette variante, lorsque le véhicule s'écarte de l'itinéraire P1P8, les moyens centraux sont alertés par le véhicule, et effectuent les traitements nécessaires pour transférer à celui ci le nouveau trajet prévisionnel et la liste des vitesses limites qui lui est associée.
Selon la figure 8, une commande CLZ permet aux moyens de traitement du centre de surveillance d'extraire de ses moyens de stockage les listes telles que MCP42a, MCP42b, MCP42c, puis telles que VP42a, VP42b, VP42c, pour un véhicule et un trajet donnés, les moyens de transfert transférant ensuite ces données, ainsi que les données concernant le trajet prévisionnel, aux moyens de stockage du véhicule.
Les moyens de traitement du véhicule, disposant de ces données, peuvent réaliser des traitements beaucoup plus économiques que s'ils étaient réalisés directement au niveau des moyens centraux.
On comprendra mieux cette caractéristique du suivi des vitesses en notant que les traitements décrits, telles les diverses alertes, demandent la connaissance de la position et de la vitesse du véhicule. Si les moyens de traitement centraux réalisent ces traitements, ils exigent des moyens de transfert du véhicule le transfert fréquent de cette position, plus d'autres données telles que la liste des vitesses réelles. Ces transferts, qui sont le plus souvent des transferts à distance, sont d'un coût en général prohibitif. C'est pourquoi une caractéristique principale du suivi des vitesses est de réaliser les traitements au niveau du véhicule.Les moyens de stockage de celui ci stockent l'essentiel des données nécessaires, provenant de ses moyens de mesure tels que la mesure de la vitesse, plus d'autres données transférées par les moyens du centre de surveillance, tels les trajets ou les zones.
On remarquera avantageusement que le suivi des vitesses ne se limite pas au suivi de la vitesse d'un véhicule, par rapport à un référentiel tel que la vitesse limite du véhicule, en fonction de sa position sur un des segments de son trajet prévisionnel.
Les moyens de stockage peuvent également stocker d'autres référentiels dépendant de cette position, tels que la consommation au 100 km de carburant du véhicule. On comprendra mieux cette caractéristique du suivi des vitesses en notant que la consommation moyenne prévisionnelle sur un type de voie telle qu'une autoroute, pour un véhicule d'un type donné, peut être connue, de même que pour d'autres types de voie. On remarquera également que les moyens de mesure qui mesurent la position du véhicule, mesurent également son altitude, et, qu'en conséquence, la consommation réelle ou prévisionnelle peut être rapprochée du taux de montée ou de descente de la route, pour une plus grande précision dans le contrôle de cette consommation.
On comprendra avantageusement l'invention en notant que la saisie par les moyens de saisie du centre des zones et autres critères de discrimination liés aux référentiels de vitesses peut nécessiter un important et coûteux volume de travail. D'autre part, on notera que, selon la figure 14, des événements tels qu'un bouchon entre P3 et P4 sur le trajet prévisionnel P 1 P8, provoquant des conditions de circulation imprévues, surviennent régulièrement, et doivent être intégrés par les moyens de calcul pour calculer l'éventualité d'un nouvel itinéraire entre P1 et P8 permettant d'éviter ou de limiter le retard induit par ce bouchon. On remarquera, pour bien comprendre l'invention, que de telles saisies par les moyens de saisie peuvent également être très coûteuses en temps de travail.
Selon la figure 16, les moyens de saisie disposent d'outils autres que ceux déjà définis aux figures 10 et 11 pour saisir des zones. Ainsi, les moyens de saisie utilisant un moyen tel que le pointeur de la souris peuvent dessiner sur une cartographie affichée sur un écran des courbes fermées telles que 100. Les moyens de saisie peuvent ensuite saisir un index tel que Z3 permettant aux moyens de stockage de stocker puis d'extraire cette courbe. Les moyens de saisie peuvent également saisir des données caractéristique de cette zone Z3, telle qu'un événement 101 à l'origine de la définition de la zone, la vitesse limite 102 dans celle ci, et des dates de validité 103.Les moyens de stockage peuvent stocker la courbe Z3 sous la forme des coordonnées de tous le points qui la constituent, ou, pour économiser de l'espace de stockage, sous une forme telle qu'un ensemble 104 de segments de droite reliant seulement certains de ces points. On comprendra mieux l'invention en notant que Z3 peut être la zone Z3 figure 14. Les moyens de saisie peuvent ajouter à Z3 tout élément facilitant sa lecture à l'affichage ensuite, tels qu'un fond coloré, des étiquettes affichant son nom ou ses caractéristiques, un processus de clignotement. Les moyens de saisie peuvent également utiliser des outils de génération de formes, telles un rectangle, ou un triangle, selon Z2 en figure 14, ou tout autre procédé graphique.
Un avantage de l'invention consiste en ce qu'elle permet aux moyens de saisie du centre de surveillance de définir mieux et plus simplement le couloir de validité CL1CL2 selon la figure 15. Selon la figure 17, à l'aide d'un moyen tel que le pointeur de la souris, les moyens de saisie peuvent dessiner la courbe 105, qui modifie un couloir tel que CLl -CL2 calculé par les moyens de traitement du centre, de manière à ajouter une surface supplémentaire dans laquelle les moyens de calcul du centre doivent calculer également les vitesses limites. On comprendra mieux l'invention en notant que les moyens de traitement centraux effectuent automatiquement les corrections nécessaires pour que la limite CL2 soit ensuite stockée telle que 106 selon la figure 18.
Avantageusement, on notera que l'invention apporte une grande efficacité dans le traitement par les moyens de calcul des zones dites ouvertes. Une zone ouverte est telle que ZOUV selon la figure 19, avec pour limite 106. Elle correspond à une sorte de frontière au delà de laquelle une condition telle qu'une vitesse limite égale 0 km/h peut être imposée. On comprendra mieux l'invention en observant qu'une telle condition peut consister pour les moyens de calcul à exclure tout segment de route situé à l'intérieure de ZOUV dans le calcul d'un itinéraire prévisionnel tel que P1P8, c'est à dire à interdire à P1P8 de pénétrer dans la zone ZOUV. Les moyens de calcul peuvent également donner une valeur autre que zéro à la vitesse limite dans ZOUV.
Lorsque les moyens de saisie saisissent une zone telle que ZOUV figures 19 ou 20, les moyens de calcul centraux peuvent compléter automatiquement la courbe 106 par des courbes telles que 107 et 108 selon la figure 20. Pour tracer 107 et 108 en figure 20, les moyens de calcul peuvent utiliser un procédé tel que le tracé de droites passant par des points tels que XI, X2, X3, X4, X5, X6, selon les formules mathématiques couramment employées. On comprendra l'invention en notant que les longueurs de 107 et 108 sont telles que les moyens de calcul centraux peuvent disposer de toutes les informations nécessaires pour calculer un trajet prévisionnel tel que P1P8.107 et 108 peuvent ainsi se limiter à Y1 et Y2, selon la figure 20.Les moyens de traitement centraux peuvent avoir besoin d'une indication apportée par les moyens de saisie pour situer mieux de quel coté de la courbe 106 se trouve la zone ZOUV, aussi les moyens de saisie peuvent dans ce cas utiliser un procédé tel qu'un clic de souris en 109, désignant l'intérieur de la zone.
Des trajets tels que Tl ou T2 figure 14 peuvent être construits par les moyens de saisie à l'écran, avec l'utilisation du pointeur de la souris, et le tracé de courbes. On comprendra mieux cet avantage de l'invention en se rappelant que le procédé habituellement utilisé est tel que la saisie par les moyens de saisie d'un certain nombre de points d'un trajet tel que T2, en nombre suffisant pour qu'il n'y ait pas d'ambiguïté, puis le calcul de l'itinéraire qui passe par tous ces points, et le stockage ensuite par les moyens de stockage des coordonnées des segments consécutifs constituant le trajet obtenu. On observera utilement que, dans un cas tel que T2 selon la figure 14, avec un certain nombre d'embranchements, le travail est nécessairement long et fastidieux.
Sur la figure 21 où est repris le trajet T2, les moyens de saisie déplacent le pointeur de la souris à l'écran le long des tronçons de route désignés pour constituer le trajet T2. Les moyens de saisie n'ont pas l'obligation de suivre exactement les routes en question, les moyens de calcul calculant pour chaque position du pointeur quel est le segment le plus proche du pointeur. Lorsque le pointeur a parcouru les tronçons tels que 110 à 114, les moyens de stockage peuvent stocker l'ensemble des segments de trajet correspondant, avec leurs caractéristiques telles que leur vitesse limite, les moyens de saisie pouvant avoir saisi en plus ces dernières, pour l'ensemble d'un route telle que 110, ou pour les tronçons de cette route.On comprendra cette caractéristique de l'invention en notant que les moyens de saisie peuvent employer un procédé tel qu'un clic de souris en P3, le déplacement du pointeur de la souris le long de P3P4, bouton enfoncé, jusqu'en P4, bouton de la souris relevé en P4, bouton de la souris à nouveau enfoncé en P4, déplacement du pointeur, bouton enfoncé, jusqu'en P5, le long de P4P5, bouton de la souris relevé en P5. On notera que les moyens de stockage peuvent alors identifier sans confusion possible les tronçons P3P4 et P4P5, et les stocker ainsi que leurs caractéristiques, telles que la vitesse limite sur le tronçon P4P5, saisies par les moyens de saisie centraux.On notera avantageusement qu'un tel procédé est souvent beaucoup plus simple et plus précis que des clics de souris en P3, P4, P5, P6, P7, P8, P9, P10, P11, accompagnés de calculs d'itinéraires intermédiaires. Les moyens de stockage peuvent affecter à chaque segment tel que P3P4 ou à des groupes de segments tels que 110 des caractéristiques graphiques d'affichage particulières, telles que des couleurs différentes, les moyens d'affichage pouvant alors afficher des segments qui se distinguent facilement à l'écran, et faciliter ainsi si nécessaire le travail de l'opérateur central.
Bien entendu, les moyens de saisie peuvent utiliser l'ensemble des techniques graphiques connues par l'homme de l'art compétent dans ce domaine, telles que la sélection avec mise en surbrillance d'un élément d'un tracé, suppression de cet élément par un procédé tel qu'un appui sur une touche SUPPR du clavier, déformation de courbes, ajouts et fusion.
On se rappellera d'autre part avantageusement qu'un tronçon tel que P3P4 du trajet T2 figure 21 et un segment P1P2 du trajet P1P8 selon la figure 14 peuvent être d'une nature diffërente. P1P2 figure 14 représente un segment élémentaire de la base de données servant à l'affichage à l'écran par les moyens d'affichage centraux de la cartographie vectorielle utilisée par le système. Un tel segment est l'élément de base d'un trajet tel que P1P8 dans une cartographie vectorielle, et ne possède jamais d'intersection avec d'autres segments entre PI et P2, une telle intersection étant nécessairement au niveau des extrémités telles que P2, P3, P5, ou P1.A l'inverse P3P4 selon la figure 21 est une route, comportant en général de nombreux segments élémentaires tels que ci-dessus, et pouvant comporter des intersections qui ne sont pas figurées en figure 21 car non utiles aux moyens de calcul. On comprendra mieux cette aspect de l'invention en notant que, après que les moyens de saisie ont défini un tronçon tel que P3P4, les moyens de stockage peuvent extraire de la base de données cartographique vectorielle tous les segments élémentaires composant P3P4 accompagnés de leurs caractéristiques, puis peuvent les stocker sous un index tel que P3P4. Certains segments élémentaires de P3P4 peuvent appartenir à une route telle qu'une départementale, d'autres à une route telle qu'une autoroute.Lorsque les moyens de saisie saisissent une vitesse limite telle que 45 km/h pour le tronçon P3P4, les moyens de stockage peuvent stocker cette vitesse limite et l'affecter à tous les tronçons élémentaires de P3P4, en remplacement provisoire de leur vitesse telle que réglementaire, soit 130 km/h pour un segment d'autoroute.
On notera avantageusement que l'emploi par les moyens de saisie d'un facteur de zoom adapté permet de tracer rapidement à l'écran des trajets tels que Tl ou T2, même lorsque ces trajets sont longs, les moyens de stockage ayant dans la plupart des cas l'information nécessaire pour extraire les segments élémentaires correspondants. Lorsque des imprécisions se produisent, les moyens de saisie peuvent employer tous les procédés graphiques habituels, tels que sélection/suppression, déformation, ajouts, pour corriger localement le tracé obtenu.
Lorsqu'un trajet tel que Tl apparaît plus simple à définir par quelques clics de souris que par un tracé tel que ci-dessus, les moyens de saisie peuvent employer un procédé tel que des clics en Q9, Q5, Qll selon la figure 14, les moyens de calcul pouvant alors calculer le trajet Q9Q11, et les moyens de stockage extraire et stocker les segments élémentaires correspondants. Ce procédé peut-être pertinent lorsque les moyens de calcul n'ont pas besoin de beaucoup de points intermédiaires tels que Q9, Q5, pour calculer sans erreurs possibles le trajet voulu.
Une caractéristique principale de l'invention consiste en ce que, lorsqu'un trajet prévisionnel tel que P1P8 figure 14 a été calculé, les moyens de saisie peuvent apporter des modifications temporaires aux conditions de circulation sur ce trajet, et les moyens de calcul recalculer d'éventuels autres trajets optimisés.
Selon la figure 22, le trajet P1P8 est tel qu'affiché par les moyens d'affichage cartographique. Les moyens de saisie, par un procédé tel qu'un clic de souris en CLK, puis une saisie SAI1, peuvent indiquer qu'en CLK, sur le trajet prévu du véhicule V, un bouchon est survenu, et qu'aucune circulation n'est possible du 15/02/02 15 h 00 au 15/02/02 16 h 30.
Les moyens de stockage peuvent alors identifier que CLK est situé sur un segment élémentaire tel que P5P6 figure 23, qu'en un point tel que P4 une intersection existe, et les moyens de calcul peuvent calculer si un nouvel itinéraire de déroutement en P4 permet au véhicule de ne pas avoir 1 h 30 de retard en P8. Selon la figure 23, un tel itinéraire optimum peut être tel que P4-P9-P10-P8.
Selon la figure 24, à l'aide de clics de souris en CLK1 et CLK2 sur un trajet prévu tel que P1P8, puis les saisies associées SAI2, les moyens de saisie peuvent indiquer aux moyens de calcul que, entre CLK1 et CLK2, un évènement tel qu'un fort ralentissement limite la vitesse à 35 km/h, du 18/02/02 05 h 00 au 18/02/02 10 h 30. Selon un procédé identique à CLK figure 23, les moyens de stockage peuvent situer CLK1 sur le segment élémentaire P2P3, CLK2 sur P5P6, identifier une intersection en P3, et les moyens de stockage peuvent calculer un éventuel itinéraire de déroutement optimum, tel que P3-P9-P10-P11-P8.
Bien entendu, un procédé tel que la saisie par les moyens de saisie de zones telles que Z2, Z3 selon la figure 14, plus les données correspondantes pour les vitesse limites et les dates, peut également être utilisée par les moyens de stockage et de calculs centraux pour calculer des itinéraires tels que des itinéraires de déroutement.
On notera que le système selon l'invention n'est pas limité au mode de réalisation décrit.
En variante, des traitements réalisés par les moyens de traitement et de stockage centraux sont embarqués à bord d'un véhicule et réalisés par les moyens de traitement et de mémorisation du véhicule, tels que le tracé d'une zone ZOUV selon la figure 19, les moyens de transfert du véhicule transférant dans ce cas au moyens du centre de surveillance les données voulues telles que le positionnement du véhicule ou sa vitesse réelle, et les moyens centraux transférant au véhicule les éléments nécessaires, tels les listes VP42a, VP42b, VP42c.
En variante, les moyens de saisie utilisent d'autres procédés de saisie, tels que la reconnaissance vocale, ou tels que l'intégration de saisies réalisées par des moyens extérieurs, telle qu'une banque de données, et transférées au centre de surveillance.
En variante, la donnée traitée par les moyens de traitements est une donnée autre que la vitesse limite, telle que la consommation moyenne de carburant, aux 100 km.
Revendications 1. Procédé pour la saisie d'informations se rapportant à un itinéraire pouvant être emprunté par un véhicule routier (CI à C7) équipé d'un système embarqué pouvant communiquer avec le système informatique (2) d'un centre de surveillance (3) doté d'une base de données cartographiques vectorielles, de moyens de calcul permettant de précalculer une pluralité d'itinéraires passant par au moins deux points prédéterminés, des moyens d'affichage permettant de représenter à l'écran ces itinéraires dans leurs environnements cartographiques, et des moyens permettant de sélectionner automatiquement, parmi ces itinéraires, un itinéraire (P1P8) répondant à un ou plusieurs critères prédéterminés, caractérisé en ce qu'il consiste à effectuer, grâce à des moyens de saisie usuels équipant ledit système embarqué ou ledit système informatique,tel que par exemple une souris, le tracé à l'écran d'au moins une courbe ouverte ou fermée qui effectue une séparation entre au moins deux zones géographiques (Zl à Z6) présentant des caractéristiques différentes notamment en ce qui concerne des conditions de circulation, et à associer à cette courbe et/ou à au moins l'une des zones (Zl à Z6) délimitées par ce tracé, des paramètres relatifs à ces caractéristiques, utilisables par le système embarqué et/ou par le centre de surveillance (3) , notamment pour effectuer le calcul et la sélection des susdits itinéraires, et/ou pour effectuer un contrôle par le centre de surveillance.

Claims (6)

  1. 2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend le tracé de deux courbes ouvertes disposées de manière à réaliser un couloir (CL1, CL2) et en ce que l'on affecte à ce couloir des valeurs limites de vitesse.
  2. 3. Procédé selon la revendication 2, caractérisé en ce qu'il comprend la modification du couloir (CL1, CL2) grâce aux susdits moyens de saisie de manière à ajouter ou retrancher une surface supplémentaire (105) à laquelle sont affectées des valeurs limites de vitesse.
    4. Procédé selon l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce que, dans le cas d'une courbe ouverte (106), il comprend le tracé automatique par le système embarqué ou le système informatique du centre de surveillance, d'au moins une prolongation (107, 108) de la courbe (106) de manière à mieux définir les zones délimitées par la courbe (106) et éviter éventuellement le contournement de cette courbe (106).
  3. 5. Procédé selon l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il comprend l'identification des zones délimitées par la ou les susdites courbes (105,
    106) grâce aux susdits moyens de saisie.
    6. Procédé selon l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il comprend le suivi à l'écran d'un itinéraire grâce aux susdits moyens de saisie, le calcul de cet itinéraire par les susdits moyens de calcul et le stockage en mémoire des coordonnées des segments consécutifs constituant le trajet obtenu.
  4. 7. Procédé selon la revendication 6, caractérisé en ce que le suivi à l'écran de l'itinéraire comprend le déplacement d'un pointeur le long de tronçons de route successifs, les moyens de calcul calculant pour chaque position du pointeur quel est le segment le plus proche du pointeur.
  5. 8. Procédé selon la revendication 7, caractérisé en ce que les données relatives à chaque segment du trajet sont stockées avec des données associées à ce segment telles que des valeurs limites.
    9. Procédé selon l'une des revendications 7 et 8, caractérisé en ce qu'à chaque segment est associée une couleur caractéristique.
  6. 10. Procédé selon l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il comprend la modification temporaire par les susdits moyens de saisie des conditions de circulation sur les itinéraires précalculés.
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