FR2800785A1 - Dispositif de fermeture et de verrouillage de fenetre coulissante - Google Patents

Abstract

La présente invention concerne un dispositif de fermeture de fenêtre à au moins un vantail coulissant caractérisé en ce que pour chaque vantail coulissant, le dispositif comprend un corps (2) monté à l'intérieur du montant vertical du vantail en vis-à-vis du montant vertical du chambranle de la fenêtre, des moyens de blocage en position fermée du vantail coulissant dans le montant du vantail, ces moyens de blocage étant solidaires de moyens (6, 65) mobiles dans le corps (2), ces moyens (6, 65) mobiles étant rendus solidaires de moyens (4a, 4b) de manoeuvre actionnables entre deux positions, une première position dans laquelle les moyens de blocage condamnent l'ouverture du vantail et une deuxième position dans laquelle les moyens de blocage libèrent l'ouverture du vantail.

Description

<U>Dispositif de fermeture et de verrouillage de fenêtre coulissante</U> La présente invention concerne un dispositif de fermeture de fenêtre coulissante.

II est connu dans l'art antérieur des dispositifs de fermeture qui sont montés en applique sur une seule face montant vertical de chaque vantail coulissant. Cette mise en place nécessite usinage important et souvent peu esthétique du profil. Ces dispositifs assurent en règle générale un point de fermeture. Une serrure, constituée demi-cylindre formant le barillet, peut être installée sur le profil. Cependant, le dispositif de fermeture et éventuellement la serrure ne sont manoeuvrables que d'un seul côté du vantail. Ainsi, la condamnation de la fermeture est réalisée soit de l'extérieur, soit de l'intérieur. De plus, le seul point fermeture n'assure pas une protection efficace contre l'effraction.

D'autres dispositifs de fermeture combinent la fonction de condamnation de l'ouverture et le verrouillage de la condamnation en utilisant une serrure comprenant un barillet traverse le profil du vantail et actionne une tige crémone. Pour ouvrir le vantail il faut donc manoeuvrer la clé dans le barillet de la serrure. Ainsi, la force nécessaire pour actionner la tige crémone est entièrement supportée par la clé, ce qui peut provoquer son usure prématurée et éventuellement sa rupture dans le barillet.

La présente invention a donc pour objet de pallier les inconvénients de l'art antérieur en proposant un dispositif de fermeture assurant une protection contre l'effraction efficace, une commande d'ouverture ou de fermeture et un verrouillage de la fermeture actionnable de l'intérieur et/ou de l'extérieur.

D'autres particularités et avantages de la présente invention apparaîtront plus clairement à la lecture de la description ci-après faite en référence aux dessins annexés dans lesquels - la figure 1 représente une vue éclatée et en coupe de côté dispositif d'ouverture selon l'invention, - la figure 2 représente une vue éclatée de dessus du profil du vantail comprenant le dispositif d'ouverture selon l'invention, - la figure 3 représente une vue de face du dispositif d'ouverture selon l'invention - la figure 4 représente une vue de côté d'un pêne de fermeture, - la figure 5 représente une vue de face du dispositif de verrouillage moyens de blocage, - figures 6A et 6B représentent respectivement une vue en coupe côté et vue de dessus du profil du vantail du dispositif d'ouverture selon l'invention fois montée, -la figure 7A représente une vue de dessus du dispositif de fermeture permettant l'ouverture et le verrouillage de l'intérieur et de l'extérieur.

- figure 7B représente une vue de dessus du dispositif de fermeture permettant uniquement l'ouverture de l'intérieur.

L'invention s'applique essentiellement à la fermeture de fenêtres a vantaux coulissants réalisée à partir d'une menuiserie de type aluminium. Selon les figures 2, 6, 7A et 7B, la menuiserie aluminium est utilisée pour réaliser le chambranle (3) de la fenêtre, notamment les montants verticaux, ainsi que les montants (11, 12) verticaux de chaque vantail (1).

vantail (1) est formé d'un vitrage (100) soutenu par une traverse supérieure conformée pour coulisser sur un rail supérieur du chambranle, une traverse inférieure conformée pour coulisser sur un rail inférieur du chambranle, et deux montants verticaux (11, 12) de chaque extrémité des traverses inférieure supérieure. Sur les figures, seul le montant vertical (11) comportant le dispositif de fermeture est représenté. Ce montant (11, 12) vertical, appelé ouvrant, est en contact avec le montant (3) vertical du chambranle respectif de la fenêtre lorsque le vantail (1) est en position fermée.

Dans l'exemple de réalisation représenté aux figures 2, 6A, 7A, et 7B, les montants verticaux du vantail et du chambranle comprennent deux profils d'aluminium, un profil (12), ou montant extérieur, en contact avec le milieu extérieur, et un profil, ou montant extérieur, en contact avec le milieu intérieur. Ces deux profils sont reliés par deux entretoises ou barrettes formant rupture de pont thermique. Toutefois, le dispositif de fermeture, selon l'invention, peut s'adapter sans difficulté à d'autres types de montants notamment des montants formés d'un seul profil d'aluminium ou de matériau plastique.

Le dispositif de fermeture va à présent être décrit en référence aux figures 1, 2 et 3. Le dispositif de fermeture, selon l'invention, comprend un corps (2), de forme allongée, destiné à être inséré à l'intérieur du montant vertical extérieur (12) du vantail, en vis-à-vis du montant vertical (3, fig. 7A) du chambranle. Le corps (2) comprend sur chacune de ses extrémités une patte (21) de fixation comportant par exemple un perçage permettant la fixation du corps à l'intérieur du montant (12), par exemple par vissage, rivetage ou tout autre procédé de fixation équivalent. Le dispositif de fermeture comprend également des moyens (6) mobiles coulissant sur le corps (2) et permettant le mouvement translation de moyens (91) de blocage en position fermée du vantail. Les moyens (6) mobiles sont actionnés par des moyens de manceuvre (4.a, 4b) montés sur au moins une face du montant (11) du vantail.

Les moyens (6) mobiles comprennent un coulisseau (6) sur lequel monté un (65) qui se déplace dans une lumière (26) du corps (2) pour transmettre le mouvement de translation du coulisseau (6) à travers la crémone (9) aux moyens (91) de blocage. Le coulissement du coulisseau (6) dans corps (2) est assuré le long du corps par une gorge (25) sur laquelle est montée une rainure (62) du coulisseau (6). Le coulisseau (6) comprend également un collier (61) permettant de loger l'axe (65) selon une direction perpendiculaire à l'axe longitudinal du coulisseau (6). L'axe traverse le corps (2) de part en part, au travers d'une lumière (26) longitudinale qui forme un guidage du déplacement de l'axe (65). Ainsi, l'axe (65) étant perpendiculaire au corps (2), la longueur de cette lumière (26) définit alors la longueur du déplacement du coulisseau (6). Selon un mode de réalisation de l'invention la longueur de la lumière (26) est comprise entre 15 et 25 mm. Le coulisseau (6) est mobile entre une première et une deuxième positions. Dans la première position, l'axe (65) amène les moyens (91) de blocage dans une,position interdisant l'ouverture du vantail. Dans la deuxième position, l'axe (65) amène les moyens (91) de blocage dans une position permettant l'ouverture du vantail en vis-à-vis d'une échancrure (33) formée dans chacune des lèvres (31, 32) du montant vertical du chambranle.

Les moyens (91) de blocage comprennent une tige (9) crémone coulissant dans une gorge 22) du montant vertical extérieur (12) du vantail. Le mouvement de la tige peut, par exemple, être guidé par l'intermédiaire d'un rail (121) formé dans gorge (122) coopérant avec une rainure (90) pratiquée dans la tige (9). tige (9) comprend un perçage (94) dans lequel vient se loger une extrémité l'axe (65). Ainsi, l'axe (65) est rendu solidaire de la tige (9) crémone de sorte le mouvement de coulissement du coulisseau (6) est transmis à la tige (9), par l'intermédiaire de l'axe (65) solidaire, d'une part de la tige (9) crémone par le perçage (94), et d'autre part du coulisseau par le collier (61). Sur chaque extrémité libre de la tige (9) crémone, un pêne (91) (décrit ultérieurement) est monté. Ces pênes (91) ont pour fonction d'assurer, lors de la condamnation de l'ouverture du vantail, la solidarisation du montant vertical (11, 12) du vantail avec le montant vertical (3, fig. 7A) du chambranle.

Comme expliqué précédemment, le coulisseau (6) est mobile entre deux positions. Ce mouvement est obtenu par l'intermédiaire de moyens (4a, 4b) de manceuvre actionnables de l'extérieur ou de l'intérieur par un utilisateur. La variante de réalisation, représentée à figure 1, comprend un organe (4a, 4b) de manoeuvre pour chaque face du montant (11, 12) vertical du vantail. Cependant, comme décrit ultérieurement, un seul organe de manceuvre (4a ou 4b) peut être monté sur une des deux faces du montant (11, 12) vertical du vantail. Chaque organe (4a, 4b) de manoeuvre comprend une plaque (40a, 40b) dont la face en vis-à-vis du montant (11, 12) vertical comprend au moins un doigt (42.a, 42b) en saillie permettant de solidariser l'organe (4a, 4b) de manoeuvre au coulisseau La face opposée à la face en vis-à-vis du montant (1), c'est-à-dire la face orientée vers l'extérieur de la fermeture comprend, par exemple, un bouton (41a, b) de préhension, permettant à un utilisateur de faire translater l'organe (4a, 4b) de manoeuvre. Ce bouton (41 a, b) est fixé sur la plaque (40a, 40b), par exemple par une vis (410a, 410b) tout autre moyen équivalent.

Dans la variante de réalisation représentée à la figure 1 2 et 3, le dispositif de fermeture comprend un organe (4a, 4b) de manoeuvre sur chacune des faces du montant (11, 12) du vantail. Le ou les doigts (42a) saillie de l'organe (4a) de manoeuvre monté sur la face du montant (11, 12) dans lequel corps (2) du dispositif est fixé, viennent s'insérer dans des logements (66) formés sur la tranche du coulisseau (6). Ces logements (66) une forme complémentaire des doigts (42a). Le ou les doigts (42b) en saillie l'organe (4b) de manoeuvre monté sur la face du montant (12) extérieur opposée à la face dans laquelle le corps (2) du dispositif est fixé, viennent s'insérer dans des logements (51) formés sur une première extrémité d'une entretoise (5). La deuxième extrémité (52) de l'entretoise (5) est destinée à venir l'insérer dans un logement (64) du coulisseau (6) situé sur la face opposée aux logements (66) destinés à recevoir le ou les doigts (42a) de l'organe (4a) extérieur de manoeuvre opposé à l'organe intérieur (4b). L'entretoise traverse transversalement le corps (2) par une gorge (24) dont la longueur permet un mouvement de translation selon l'axe longitudinal de l'entretoise (5) entre la première et la deuxième positions décrites précédemment.

Ainsi, lorsqu'un utilisateur actionne l'un des organes (4a, 4b) de manoeuvre, le mouvement de translation de l'organe (4a, 4b) de manceuvre est transmis au coulisseau (6) grâce aux doigts (42a, 42b) et à l'entretoise (5). L'axe (65) étant solidaire du coulisseau (6) et de la tige (9) crémone, le mouvement de translation est transmis à la tige (9) crémone pour amener les moyens (91) de blocage soit dans la première position, soit dans la deuxième position. Afin d'éviter le coulissement intempestif du coulisseau (6) sur le corps des moyens (7) de freinage permettent de maintenir le coulisseau (6) dans la première ou la deuxième positions lorsque les organes (4a, 4b) de manoeuvre ne sont plus actionnés. Ces moyens de freinage comprennent, par exemple, une lame ressort (7) fixe par rapport au corps (2) et insérée entre le coulisseau et le corps (2). Cette lame (7) ressort comprend un renflement (71). Ce renflement (71) est destiné à venir s'engager dans deux encoches (63) pratiquées dans la tranche du coulisseau (6). Une première des encoches (63) permet de bloquer le coulisseau (6) dans la première position, et une deuxième des encoches (63) permet de bloquer le coulisseau dans la deuxième position. Ainsi, la force exercée par la lame (7) ressort sur chaque encoche (63) du coulisseau (6) évite tout déplacement de ce dernier entraîné, par exemple, par les vibrations du vantail lors de son coulissement. La figure 4 représente une vue de côté d'un pêne de fermeture. Comme expliqué précédemment, les moyens de blocage de l'ouverture comprennent au moins deux pênes (91) montés sur chaque extrémité de la tige (9, fige Chaque pêne (91) forme alors avec l'échancrure (33), un point de fermeture vantail. Chaque pêne (91) comprend une plaque (95). Une extrémité de plaque (95) est prolongée par une languette (96) comprenant un téton (93) constituant moyens de montage du pêne (91) sur un perçage (non représenté) de tige (9 fig. 2) crémone. La plaque (95) comprend sur une de ses faces (950) un crochet (92) en saillie. Ce crochet (92) a une section transversale de forme genérale en T. Selon une variante de réalisation (non représentée), la tige (9) crémone est tronçonnée en plusieurs portions. Les portions de la tige (9) sont alors assemblées par l'intermédiaire d'un pêne dont chaque extrémité de la plaque est prolongée par une languette munie d'un téton de montage tel que decrit précédemment. Le fonctionnement du blocage du vantail va à présente être décrit en référence à la figure 7A. Comme expliqué précédemment, les pênes (91) sont destinés à solidariser ou désolidariser le montant vertical (11, 12) du vantail au montant vertical (3) du chambranle. Pour ce faire, le montant (3) vertical du chambranle comprend une gorge (30) partiellement fermée par deux lèvres (31, et destinée â recevoir le crochet (92) du pêne (91 ). La distance entre les lèvres (31, 32) est supérieure à l'épaisseur de la barre (921) verticale du T formant la section transversale du crochet et inférieure à la longueur de la barre (920) verticale du T formant la section transversale du crochet (92). L'insertion de chaque crochet (92) dans la gorge (30) du montant vertical (3) du chambranle est réalisée en effectuant un usinage pour former une échancrure (33) destinée ' augmenter la distance entre deux lèvres (31, 32) jusqu ce que cette distance soit supérieure à la longueur de la barre (920) verticale du T formant la section transversale du crochet (92). Cet usinage est effectué sur une hauteur correspondant sensiblement à la hauteur du crochet (92).

Ainsi, après introduction de tous les crochets (92) dans la gorge (30) du montant vertical (3) du chambranle, la première position correspondant au blocage de l'ouverture du vantail est obtenue en amenant le crochet (92) au- dessus ou dessous de l'usinage (33) de sorte que la distance entre les lèvres (31, soit inférieure à la longueur de la barre (920) verticale du T formant la section transversale du crochet (92), et interdise ainsi le déplacement du vantail. La deuxième position correspondant au déblocage de l'ouverture du vantail est obtenue en amenant le crochet (92) exactement en vis-à-vis de l'usinage de sorte que la distance entre les lèvres (31, soit supérieure à la longueur de la barre (920) verticale du T formant la section transversale du crochet (92).

Dans une variante de réalisation représentée également aux figures 1 à 3, le dispositif de fermeture, selon l'invention, comprend des moyens de verrouillage en position fermée du vantail. Ces moyens de verrouillage comprennent essentiellement un barillet (non représenté) de serrure commandant des moyens (8) de blocage en translation de la tige (9) crémone. Le barillet est monté dans le corps (2) par l'intermédiaire d'un perçage (27) traversant transversalement le corps (2) et de forme complémentaire au barillet. Le barillet est ainsi actionnable par les deux faces du montant (11) du vantail. Le pêne (non représenté) du barillet est destiné à actionner les moyens (8) de blocage en translation. Ces moyens (8) de blocage en translation comprennent un doigt (81) monté coulissant dans le corps (2). Le montage du doigt ) est réalisé par l'intermédiaire d'une gorge (22) transversale comprenant des moyens de guidage en translation du doigt (81). Ces moyens comprennent, par exemple, une rainure (220) en saillie et une gorge (221) coopérant respectivement avec une gorge (83) et une rainure en saillie réalisée le doigt (81). Le doigt (81) comprend également deux tétons radiaux (82) servant de points d'appui au pêne du barillet. Ainsi, lors de l'actionnement de la serrure le pêne du barillet appuie sur l'un des tétons, selon l'actionnement en ouverture ou en fermeture de la serrure, ce qui provoque le coulissement dans un sens ou dans l'autre du doigt (81). L'extrémité libre du doigt située en vis-à-vis de la tige crémone est conformée pour s'introduire dans un perçage de la tige lorsque tige (9) crémone est en position de fermeture, et lorsque le barillet est actionné dans le sens de verrouillage de la fermeture. Ainsi, une fois introduit dans ce perçage, le mouvement de translation de la tige (9) crémone est impossible sans le retrait du doigt (81).

Afin de maintenir le doigt (81) de blocage en position de verrouillage ou position de déverrouillage, des moyens (85) de freinage sont mis en place dans le corps (2). Ces moyens comprennent une lame (85) ressort fixe par rapport au corps (2) et prenant appui sur des encoches (84) réalisées sur le doigt (81) de blocage, lorsque le doigt (81) est en position de verrouillage ou en position de déverrouillage. Ainsi, le déplacement du doigt (81) de blocage est possible qu'avec l'actionnement du barillet de la serrure. La figure 7A représente la variante de réalisation dans laquelle la condamnation et le verrouillage de la condamnation sont possibles des deux cotés du vantail (1). Dans cette variante, les deux côtés du vantail comprennent poignée (400, 401) permettant de manoeuvrer le vantail. La figure 7B représente la variante de réalisation dans laquelle la condamnation n'est possible que d'un seul côté du vantail (1). Dans cette variante seul un côté du vantail comprend une poignée (400) permettant de manoeuvrer le vantail. Ainsi, le dispositif de fermeture, selon l'invention, se caractérise le fait que pour chaque vantail (1) coulissant, le dispositif comprend un corps monté à l'intérieur du montant (12) vertical du vantail (1) en vis-à-vis du montant vertical du chambranle de la fenêtre, des moyens (91) de blocage position fermée du vantail (1) coulissant dans le montant (12) du vantail (1), ces moyens (91) de blocage étant solidaires de moyens (6, 65) mobiles dans le corps (2), ces moyens (6, 65) mobiles étant rendus solidaires de moyens (4a, de manoeuvre actionnables entre deux positions, une premiere position dans laquelle les moyens (91) de blocage condamnent l'ouverture vantail (1) une deuxième position dans laquelle les moyens (9, 91) de blocage libèrent l'ouverture du vantail. Dans un autre mode de réalisation, le dispositif comprend moyens (8) de verrouillage destinés à bloquer en position les moyens (91) blocage lorsque les moyens (4a, 4b) de manoeuvre sont actionnés dans première position, les moyens (8) de verrouillage étant actionnables de chacune des faces du vantail (1). Dans un autre mode de réalisation, les moyens mobiles comprennent un coulisseau (6) monté coulissant sur le corps (2) et monté solidaire des moyens (4a, 4b) de manceuvre, le coulisseau (6) étant également rendu solidaire d'un axe (65) guidé transversalement par deux lumières (26) du corps et solidarisé à une tige (9) crémone montée coulissante sur le profil vertical vantail, cette tige (9) crémone étant rendue solidaire d'au moins deux pennes (91) de blocage assurant la condamnation de l'ouverture, coulissant dans une gorge (30) du montant (3) vertical du chambranle en @ -à-vis du montant (11) vertical du vantail (1).

Dans un autre mode de réalisation, les moyens de manoeuvre comprennent un organe (4a) de manoeuvre intérieur solidarisé par au moins un doigt (42a) avec les moyens (6) mobiles pour coulisser entre deux positions sur la face du montant (12) vertical du vantail (1) située vers l'intérieur Dans un autre mode de réalisation, les moyens de manoeuvre comprennent un organe (4a) de manoeuvre extérieur relié par une entretoise (5) traversant le montant (11) extérieur et le corps (2) pour s'insérer dans les moyens (6) mobiles, pour coulisser entre deux positions sur la face du montant (11) vertical du vantail (1) situé vers l'extérieur.

Dans un autre mode de réalisation, les moyens de verrouillage comprennent un barillet de serrure traversant le montant (11, vertical du vantail (1) et le corps (2) du dispositif, le pêne du barillet actionnant en translation des moyens de verrouillage en translation de la tige crémone des moyens de blocage du vantail.

Dans un autre mode de réalisation, les moyens de blocage en translation comprennent un doigt de blocage entre deux positions, première position dans laquelle le doigt est inséré dans un perçage de tige (9) crémone bloquant en translation les moyens (91) de blocage de l'ouverture du vantail, et deuxième position dans laquelle le doigt libère la tige (9) crémone.

II clair que d'autres modifications à la portée de l'homme du métier entrent dans le cadre de l'invention

Claims (7)

<B><U>REVENDICATIONS</U></B>

1. Dispositif de fermeture de fenêtre à au moins un vantail (1) coulissant caractérisé en ce que pour chaque vantail (1) coulissant, dispositif comprend un corps (2) monté à l'intérieur du montant (12) vertical vantail (1) en vis-à-vis du montant (3) vertical du chambranle de la fenêtre, moyens (91) de blocage en position fermée du vantail (1) coulissant dans montant (12) du vantail (1), ces moyens (91) de blocage étant solidaires de moyens (6, 65) mobiles dans le corps (2), ces moyens (6, 65) mobiles étant rendus solidaires de moyens (4a, 4b) de manoeuvre actionnables entre deux positions, une première position dans laquelle les moyens (91) de blocage condamnent l'ouverture du vantail (1) et une deuxième position dans laquelle les moyens (9, 91) de blocage libèrent l'ouverture du vantail.

2. Dispositif de fermeture selon la revendication 1, caractérisé en ce que le dispositif comprend des moyens (8) de verrouillage destinés à bloquer en position les moyens (91) de blocage lorsque les moyens 4b) de manoeuvre sont actionnés dans la première position, les moyens (8) de verrouillage étant actionnables de chacune des faces du vantail (1).

3. Dispositif de fermeture selon la revendication 1, caracterisé en ce que les moyens mobiles comprennent un coulisseau (6) monté coulissant sur le corps (2) et monté solidaire des moyens (4a, 4b) de manoeuvre, le coulisseau (6) étant également rendu solidaire d'un axe (65) guidé transversalement par deux lumières (26) du corps (2) et solidarisé à une tige (9) crémone montée coulissante sur le profil vertical du vantail, cette tige (9) crémone étant rendue solidaire moins deux pênes (91) de blocage assurant la condamnation de l'ouverture, coulissant dans une gorge (30) du montant (3) vertical du chambranle vis-à-vis du montant (11) vertical du vantail (1).

4. Dispositif de fermeture selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé ce que les moyens de manoeuvre comprennent un organe (4a) de manoeuvre intérieur solidarisé par au moins un doigt (42a) avec moyens (6) mobile pour coulisser entre deux positions sur la face du montant (12) vertical du vantail (1) située vers l'intérieur

5. Dispositif de fermeture selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que les moyens de manoeuvre comprennent un organe (4a) de manceuvre extérieur relié par une entretoise (5) traversant le montant (11) extérieur et le corps (2) pour s'insérer dans les moyens (6) mobiles, pour coulisser entre deux positions sur la face du montant (11) vertical du vantail (1) situé vers l'extérieur.

6. Dispositif de fermeture selon la revendication 3, caractérisé en ce que les moyens de verrouillage comprennent un barillet de serrure traversant montant (11, 12) vertical du vantail (1) et le corps (2) du dispositif, le pêne barillet actionnant en translation des moyens de verrouillage en translation de tige crémone des moyens de blocage du vantail.

7. Dispositif de fermeture selon la revendication 3 ou 6, caractérisé en ce les moyens de blocage en translation comprennent un doigt de blocage entre deux positions, une première position dans laquelle le doigt est inséré dans perçage de la tige (9) crémone bloquant en translation les moyens ) de blocage de l'ouverture du vantail, et une deuxième position dans laquelle doigt libère la tige (9) crémone.