FR2790174A1 - Procede de controle du fonctionnement d'un recepteur de radiomessagerie, et recepteur de radiomessagerie correspondant - Google Patents

Procede de controle du fonctionnement d'un recepteur de radiomessagerie, et recepteur de radiomessagerie correspondant Download PDF

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    • H04W88/023Selective call receivers with message or information receiving capability

Abstract

Le procédé de contrôle du fonctionnement d'un récepteur de radiomessagerie comprend l'insertion dans le flot d'informations destinées au récepteur d'au moins une information de contrôle (IFC) associée à chaque message (MMS) destiné au récepteur, l'analyse au sein du récepteur du contenu de chaque information de contrôle et l'adaptation au sein du récepteur du traitement associé au message correspondant en fonction du contenu de ladite information de contrôle.

Description

Procédé de contrôle du fonctionnement d'un récepteur de
radiomessagerie, et récepteur de radiomessagerie correspondant.
L'invention concerne la radiomessagerie, et plus particulièrement le contrôle du fonctionnement de récepteurs de
radiomessagerie lors de la réception des messages qui leur sont destinés.
Selon une caractéristique générale de l'invention, le procédé de contrôle du fonctionnement d'un récepteur de radiomessagerie comprend l'insertion dans le flot d'informations destinées au récepteur d'au moins une information de contrôle associée à chaque message destiné au récepteur, l'analyse au sein du récepteur du contenu de chaque information de contrôle, et l'adaptation au sein du récepteur du traitement associé au message correspondant, en fonction du contenu de ladite
information de contrôle.
En d'autres termes, l'invention propose de modifier éventuellement le fonctionnement habituel du récepteur lors de la réception d'un message, non pas par une action de l'utilisateur du récepteur par exemple, mais à distance, depuis la station émettrice des
messages, et à l'insu de l'utilisateur du récepteur.
L'invention s'applique tout particulièrement à la signalisation
des messages reçus sur le récepteur.
Un récepteur peut être équipé de plusieurs moyens de signalisation permettant de signaler à l'utilisateur la réception d'un message. Il peut s'agir d'un vibreur, d'une sonnerie, d'un indicateur lumineux clignotant, voire également de la diffusion sonore du message proprement dit lorsque le récepteur est capable de recevoir des messages vocaux. Or, certains messages peuvent être des messages système destinés par exemple à la reprogrammation à distance d'un paramètre mémorisé dans le récepteur. Dans ce cas, il est inutile de signaler la réception de ce
message à l'utilisateur.
Dans d'autres applications, il peut être nécessaire de vouloir être certain d'attirer l'attention de l'utilisateur du récepteur sur l'arrivée d'un message. L'information de contrôle aura alors pour effet de forcer l'activation d'un moyen de signalisation particulier, par exemple une sonnerie, et ce, même si l'utilisateur du récepteur avait préprogrammé son
récepteur de façon à activer le mode vibreur.
En d'autres termes, selon un mode de mise en oeuvre du procédé selon l'invention, l'adaptation du traitement associée au message comporte la détermination du type de signal de signalisation de la réception dudit message parmi un ensemble prédéfini de signaux de signalisation mémorisés dans le récepteur, en fonction du contenu de
ladite information de contrôle.
Une autre application particulièrement avantageuse de l'invention réside en ce que l'adaptation du traitement associée au message comporte le stockage du message dans l'une ou l'autre de deux types de mémoire différents, en fonction du contenu de l'information de contrôle. Ce mode de mise en oeuvre particulier de l'invention trouve ses pleins avantages notamment lorsque le récepteur est équipé d'une mémoire dite "mémoire flash". Ce type de mémoire non volatile et électriquement effaçable est bien connu de l'homme du métier. Elle présente notamment l'avantage d'un moindre coût mais nécessite des durées d'effacement des données, qui doivent être prises en compte pour le fonctionnement du microcontrôleur du récepteur. Généralement, de telles mémoires flash sont utilisées pour stocker les messages reçus. Or, dans certaines applications, ces messages reçus peuvent être de types différents. Il peut s'agir de messages personnels destinés à l'utilisateur ou bien de messages dits "de service", comme par exemple des messages de
trafic ou d'actualité qui sont émis régulièrement par la station émettrice.
Si tous les messages, qu'ils soient personnels ou de service, sont stockés dans la mémoire flash, et si le nombre de ces messages est important et leur cadence élevée, par exemple toutes les cinq minutes, la durée d'effacement de certains messages destinés à être remplacés par des messages actualisés, peut s'avérer gênante pour le bon traitement des nouveaux messages reçus. Aussi, il est particulièrement avantageux dans ce cas, par exemple, de forcer l'aiguillage des messages soit dans la mémoire flash, soit dans la mémoire vive du récepteur qui est toujours associée au microcontrôleur de ce récepteur. Par exemple, seuls les messages personnels pourront être aiguillés vers la mémoire flash, tandis que les messages de service, qui pourront être successivement effacés par d'autres messages actualisés, pourront être mémorisés dans la mémoire vive. L'invention s'applique à toutes normes de transmission, comme par exemple la norme ERMES. Ceci étant, l'invention s'applique également de façon avantageuse, lorsque la transmission des informations
numériques entre la station émettrice et les récepteurs, utilise des sous-
porteuses de canaux radiofréquence ainsi qu'un protocole de transmission asynchrone par paquets contenant chacun un nombre prédéterminé de
blocs élémentaires de données.
Un tel protocole de transmission est déjà connu par l'homme du métier, notamment par le document pr ETS 300 751 (version de mai 1997), intitulé "Radio broadcast systems; System for Wireless Infotainment Forwarding and Teledistribution (SWIFT)", disponible auprès du Secrétariat de l'ETSI à Sophia Antipolis (France), et dénommé ci-après
"document SWIFT".
Actuellement, ce type de protocole de transmission asynchrone est utilisé pour le transfert de fichiers destinés à un groupe d'utilisateurs,
et notamment pour la diffusion radiofréquence de journaux écrits.
Par opposition à un protocole de transmission synchrone, comme par exemple celui prévu par la norme de transmission RDS (Radio Data System), et dans lequel les différentes trames de transmission sont synchronisées sur une horloge temporelle parfaitement définie, un protocole de transmission asynchrone n'est, par définition, pas synchronisé sur une base de temps prédéterminée. En conséquence, les récepteurs d'informations fonctionnant sur ce type de protocole asynchrone doivent rester en permanence allumés de façon à pouvoir acquérir, à n'importe quel instant, qui par définition n'est pas connu à
l'avance, des informations numériques qui leur sont destinées.
Ceci pose un problème important d'autonomie pour des récepteurs fonctionnant avec leur alimentation propre, par exemple des
micro-ordinateurs portables fonctionnant sur piles ou sur accumulateur.
Aussi, pour remédier à cet inconvénient, on sélectionne parmi les canaux radiofréquence au moins un canal spécifique de façon à matérialiser au moins un réseau spécifique de transmission identifiable. On définit au sein du protocole de transmission véhiculé par ce réseau, une trame de
transmission comportant un nombre prédéterminé de paquets successifs.
On insère dans chaque paquet de la trame, à un endroit prédéterminé, un bloc élémentaire spécifique d'identification de paquet, contenant un identifiant du rang du paquet dans la trame. On insère par ailleurs, dans les trames successives, des blocs élémentaires de signalisation de réseau contenant au moins un identifiant de réseau, et mutuellement séparés d'un nombre variable de blocs élémentaires inférieur au nombre de blocs d'un paquet. En d'autres termes, si le nombre de blocs d'un paquet conduit à une durée de transmission dudit paquet de 5 secondes environ, on choisira d'espacer les blocs de signalisation de réseau d'un nombre de blocs correspondant à une durée maximum de 0,5 seconde par exemple. Ceci étant, au sens de la présente invention, le caractère "variable" du nombre de blocs élémentaires séparant deux blocs de signalisation de réseau successifs signifie que ce nombre n'est pas nécessairement fixe et prédéterminé à l'avance (bien qu'il puisse l'être) mais qu'il peut éventuellement varier au cours de la transmission, pour autant, bien entendu, que la durée correspondante d'espacement reste inférieure à une durée maximale fixée à l'avance qui doit être en tout état de cause
inférieure à la durée de transmission d'un paquet.
Par ailleurs, on stocke dans chaque récepteur une indication de réseau et une indication de groupe correspondant à un rang de paquet dans ladite trame. Au cours d'une première étape, dite d'acquisition, chaque récepteur détecte le canal spécifique de transmission en testant la présence d'un bloc de signalisation de réseau contenant un identifiant de réseau concordant avec ladite indication de réseau stockée dans le récepteur. Puis, le récepteur étant calé sur ledit canal de transmission spécifique, il analyse l'identifiant de rang contenu dans le prochain bloc d'identification de paquet. Par ailleurs, au cours d'une étape de synchronisation, le récepteur étant calé sur ledit canal de transmission spécifique, et possédant par ailleurs un état de repos et un état actif, on synchronise temporellement la mise dans l'état actif de chaque récepteur sur les occurrences successives des blocs d'identification de paquet dont les identifiants de rang correspondent à l'indication de groupe stockée
dans le récepteur.
Ceci s'applique donc d'une manière particulièrement avantageuse, à la radiomessagerie et permet, à partir d'un protocole de transmission asynchrone, de synchroniser les réveils des récepteurs de radiomessagerie à des instants successifs temporellement espacés d'un même intervalle temporel. En outre, en combinaison, le fait d'insérer dans les trames successives, des blocs de signalisation de réseau séparés d'une durée d'espacement inférieure ou égale à une durée maximale prédéterminée (par exemple 0,5 seconde), elle-même inférieure à la durée de transmission d'un paquet (typiquement 5 secondes) permet d'accélérer l'acquisition du réseau de transmission par les récepteurs, et par conséquent la synchronisation de leurs cycles d'endormissement et de
réveil, ce qui augmente considérablement l'autonomie de ces récepteurs.
Bien qu'il soit possible en théorie d'insérer chaque bloc d'identification de paquet à un endroit quelconque prédéterminé du paquet, notamment si l'on utilise les paquets de type C décrits dans le document SWIFT, il est particulièrement avantageux, afin notamment de minimiser le risque de perte de messages destinés à certains récepteurs, d'insérer chaque bloc d'identification de paquet au début de chaque
paquet.
On insère également dans un paquet de transmission, après le bloc d'identification de paquet, un bloc élémentaire de signalisation de message contenant notamment l'adresse d'un récepteur destiné à recevoir un message, ainsi qu'une indication temporelle relative à l'instant de début de message. L'information de contrôle est alors incorporée dans le
bloc de signalisation de message.
L'invention a également pour objet un récepteur de radiomessagerie comprenant des moyens de réception aptes à recevoir, dans le flot d'informations destinées au récepteur, au moins une information de contrôle associée à chaque message destiné au récepteur, et des moyens de traitement aptes à analyser le contenu de chaque information de contrôle et à adapter le traitement associé au message correspondant reçu, en fonction du contenu de ladite information de contrôle. Selon un mode de réalisation de l'invention, le récepteur comprend plusieurs moyens différents de signalisation d'un message reçu et les moyens de traitement sont aptes à sélectionner l'un de ces moyens en
fonction du contenu de ladite information de contrôle.
Lorsque le récepteur comporte au moins deux types de mémoires différents, par exemple une mémoire flash et une mémoire vive (mémoire RAM), les moyens de traitement sont avantageusement aptes à stocker le message dans l'une ou l'autre des mémoires en fonction du contenu de
l'information de contrôle.
D'autres avantages et caractéristiques de l'invention
apparaîtront à l'examen de la description détaillée d'un mode de
réalisation et de mise en oeuvre, nullement limitatifs, et des dessins annexés sur lesquels: - les figures 1 à 4 représentent très schématiquement une structure de blocs élémentaires utilisables selon l'invention conformément à un protocole de transmission SWIFT, - la figure 5 illustre très schématiquement l'architecture interne d'un récepteur selon l'invention, - la figure 6 illustre très schématiquement l'architecture interne d'une station permettant la mise en oeuvre du procédé selon l'invention; et - la figure 7 est un organigramme schématique d'un mode de
fonctionnement d'un récepteur selon l'invention.
Bien que l'invention n'y soit pas limitée, on s'appuiera maintenant dans l'exemple qui va être décrit, sur un protocole de
transmission asynchrone du type de celui décrit dans le document SWIFT.
En effet, un tel protocole de transmission autorise un débit net élevé de transmission d'informations, typiquement compris entre 6 kilobits/s et 10 kilobits/s, ce qui est particulièrement utile pour la transmission de
messages vocaux.
L'homme du métier connaît les caractéristiques d'un tel protocole de transmission asynchrone par paquets contenant chacun un nombre prédéterminé de blocs élémentaires. On en rappelle ici les caractéristiques essentielles relatives notamment à la structure de ces blocs élémentaires. L'homme du métier pourra éventuellement, pour plus de détails, se rapporter au document SWIFT précité dont le contenu est à
toutes fins utiles incorporé à la présente description.
Selon ce protocole de transmission, chaque bloc élémentaire BLC comporte (figure 1) un identifiant BIC suivi d'un en-tête ET indiquant le type du bloc. L'en-tête est suivi d'une partie utile DU contenant les données proprement dites du bloc BLC. Cette partie utile DU
est suivie de bits de correction d'erreurs CRC et de bits de parité PRY.
Chacun de ces blocs comprend en tout 288 bits. Ces blocs sont réunis par paquets de 272 blocs et ces paquets sont transmis les uns à la suite des autres de façon asynchrone, c'est-à-dire sans que l'on puisse déterminer
temporellement et à l'avance les instants d'émission de ces paquets.
La durée de transmission d'un paquet est typiquement de l'ordre
de 5 secondes.
Ce protocole de transmission asynchrone est véhiculé par une sousporteuse (centrée autour de 76 kHz) de canaux radiofréquence,
situés typiquement dans la bande FM.
Pour véhiculer ce protocole de transmission asynchrone selon un mode de mise en oeuvre de l'invention, on matérialise au moins un réseau spécifique de transmission identifiable en sélectionnant parmi lesdits canaux radiofréquence au moins un canal spécifique. Bien entendu, un réseau de transmission peut utiliser plusieurs canaux radiofréquence. De
même, on peut définir plusieurs réseaux de transmission identifiables.
On définit alors, pour ce protocole de transmission, une trame de transmission comportant un nombre prédéterminé de paquets successifs, par exemple seize paquets. On insère alors dans chaque paquet de la trame, de préférence au début de chaque paquet, un bloc spécifique d'identification de paquet BLTS (figure 3) identifié par un mot numérique spécifique ET2 (par exemple sur cinq bits) de l'en-tête ET. Ce bloc d'identification BLTS contient, dans la partie DU, un identifiant IR permettant d'identifier le rang de ce paquet, autrement dit sa position, dans la trame. Ainsi, cet identifiant de rang IR va permettre de désigner un
groupe de récepteurs.
On insère également dans les trames successives des blocs de signalisation de réseau BLNS (figure 2), dont le type est repéré par un mot spécifique ET1 dans l'en-tête ET. Ce bloc BLNS contient au moins un identifiant de réseau NWD définissant les caractéristiques du réseau de transmission, et notamment la fréquence du canal de transmission. Comme on le verra en détail ci-après, ces blocs BLNS sont insérés par la station émettrice dans les trames successives de transmission de telle façon qu'ils soient espacés mutuellement d'un nombre maximum de blocs élémentaires de type quelconque, que ce soient des blocs de type BLC, des blocs BLTS ou d'autres types de blocs. Ce nombre maximum correspondant à une durée maximale d'espacement prédéterminée, typiquement 0,5 seconde, inférieure à la durée de transmission d'un paquet. La durée d'espacement entre deux blocs BLNS consécutifs peut varier à condition toutefois qu'elle reste inférieure à la durée maximale. C'est en effet les moyens d'insertion de la station qui décident de l'insertion de ces blocs BLTS dans les trames successives. Il convient donc de remarquer ici que l'insertion des blocs BLNS s'effectue
de façon totalement asynchrone par rapport à l'insertion des blocs BLTS.
L'invention prévoit également d'utiliser un autre bloc élémentaire spécifique BLMS qui est en fait un bloc de signalisation de message (figure 4) et dont le type ET3 figure dans l'en-tête ET. Ce bloc BLMS contient dans la partie utile DU l'adresse ADR du récepteur auquel un message est destiné, ainsi qu'une indication temporelle DFS relative à l'instant de début de message. Si le message est transmis dans le même paquet que celui contenant le bloc BLMS, cette indication DFS définit par exemple le rang du premier bloc du message proprement dit, destiné au récepteur, par rapport au début du paquet. Cette indication temporelle DFS peut également indiquer que le message proprement dit destiné au récepteur sera transmis non pas dans le paquet contenant ce bloc BLMS,
mais dans un paquet ultérieur.
Le bloc BLMS incorpore également dans sa partie utile, une information de contrôle IFC, par exemple composée d'un ou de plusieurs
bits, et dont on reviendra plus en détail ci-après sur la fonction.
Le message proprement dit est formé d'un ou de plusieurs blocs
de type BLC.
Si l'on se réfère maintenant plus particulièrement à la figure 5 qui représente l'architecture interne d'un récepteur RC selon l'invention, on voit que ce récepteur, par exemple un récepteur portable autonome de radiomessagerie, est équipé d'une antenne de réception recevant le signal de radiofréquence SRF. Cette antenne est connectée à des moyens de réception 1 comportant, en tête, un étage haute fréquence 10, suivi d'un circuit spécifique de filtrage 11 permettant d'extraire la sous-porteuse SWIFT. Cet étage de filtrage est lui-même relié à un décodeur, par exemple celui commercialisé par la Société japonaise OKI sous la référence MSM 9553 et capable de délivrer en sortie, après correction d'erreurs et vérification de parité, les blocs élémentaires débarrassés
notamment des bits CRC et PRY.
Les moyens de réception comprennent en outre un circuit spécifique, non représenté ici à des fins de simplification, de recherche et de contrôle automatique de la fréquence du signal porteur, de façon à
pouvoir se caler sur l'un des canaux de transmission.
La sortie des moyens de réception est reliée à des moyens de traitement 2 incorporant un microprocesseur 20, par exemple 8 bits, associés, par l'intermédiaire d'un bus de communication, à une mémoire
vive 21, à une mémoire morte 22 et à une mémoire "flash" 23.
Des moyens de commande 3 sont aptes à activer momentanément les moyens de réception et les moyens de traitement en délivrant respectivement à ces deux moyens des impulsions de commande correspondantes. Ces moyens de commande peuvent être incorporés de façon classique au sein même du microprocesseur 20, ou bien peuvent être réalisés par un circuit externe spécifique classique. Ces moyens de commande sont en conséquence aptes à mettre le récepteur, soit dans un état actif dans lequel il est capable de recevoir et de traiter les données
contenues dans le signal porteur, soit dans un état de repos.
Le récepteur comporte également des moyens 5 de signalisation d'un message reçu, commandés par le microprocesseur 20. Ces moyens peuvent être de plusieurs types diffusant des types différents de signaux
de signalisation.
L'ensemble du récepteur est alimenté par des moyens d'alimentation 4 comportant un élément de pile associé à un convertisseur continu-continu utilisé pour élever la tension de cet élément de pile à celle
nécessaire au fonctionnement du micro-processeur.
Dans la mémoire morte du récepteur sont stockées notamment une indication de réseau IDRR, une indication de groupe IDG correspondant à un rang de paquet dans ladite trame, ainsi que l'adresse
ADD proprement dite du récepteur.
La mémoire flash 23 est destinée à stocker certains au moins des
messages reçus par le récepteur comme on le verra plus en détails ciaprès.
Si l'on se réfère maintenant plus particulièrement à la figure 6, on voit que la station d'émission ST comporte essentiellement des moyens d'insertion MIS, réalisés par exemple de façon logicielle au sein d'un micro-ordinateur de type PC et recevant par exemple pour un récepteur désigné d'une part, son adresse ADD, son indication de groupe IDG, de réseau IDRR, ainsi que l'information de contrôle IFC, et d'autre part, les données relatives au message proprement dit MMS qui lui est destiné. Ces moyens d'insertion MIS génèrent alors les entêtes et les parties utiles DU des différents blocs élémentaires qui vont constituer les paquets, et notamment ceux relatifs aux blocs d'identification de paquets, de signalisation de réseau, et de signalisation de message. Tous ces éléments sont ensuite transmis à un codeur COD, par exemple celui commercialisé par la Société suédoise SECTRA sous la référence TSE 760 qui achève la mise en forme de ces blocs, en y adjoignant notamment les blocs de correction d'erreurs CRC et de parité PRY. Puis, l'ensemble de ces blocs
BL, réunis en paquets, sont transmis au sein du signal SRF.
D'une façon générale, le fonctionnement du système de
transmission est sommairement illustré sur l'organigramme de la figure 7.
Après mise en marche du récepteur, celui-ci va se placer dans une phase d'acquisition 70 précédant une phase de synchronisation temporelle 71. Dans la phase 70, les moyens de réception du récepteur RC vont tout d'abord se caler sur l'un des canaux de transmission et les moyens de traitement vont tester d'une part la présence sur ce canal de transmission d'une sous-porteuse véhiculant le protocole de transmission spécifique, c'est-à-dire en l'espèce le protocole SWIFT, et, d'autre part, la présence dans ce protocole d'un bloc de signalisation de réseau contenant un identifiant de réseau NWD concordant avec l'indication de réseau !l
IDRR stockée dans la mémoire du récepteur (étape 700 et 701).
Si ce test est négatif au bout d'une durée de test Tm égale à la durée maximale prédéterminée de séparation de deux blocs de signalisation de réseau consécutifs, en l'espèce 0,5 seconde (étape 702), les moyens de réception du récepteur vont alors rechercher un autre canal de transmission (étape 703) pour effectuer un nouveau test jusqu'à obtenir
un résultat positif pour celui-ci.
On peut à cet égard prévoir que, si au bout d'une durée prédéterminée, par exemple une minute, le récepteur ne trouve toujours pas de canaux de transmission appropriés, il se met automatiquement en
état de repos.
En cas de test positif, les moyens de traitement du récepteur vont alors analyser l'identifiant de rang IR contenu dans le prochain bloc d'identification de paquet BLTS. A cet égard, les moyens de commande du récepteur peuvent maintenir ce dernier dans son état actif après l'analyse du contenu du bloc de signalisation de réseau BLNS acquis et ce, jusqu'à la
réception de ce prochain bloc d'identification de paquet BLTS.
En variante, il est possible d'insérer dans chaque bloc de signalisation de réseau BLNS une indication BN du rang de ce bloc dans le paquet qui le contient (figure 2). Aussi, afin d'augmenter encore l'autonomie du récepteur, les moyens de commande de ce dernier peuvent mettre le récepteur dans son état de repos après analyse du contenu de ce bloc de signalisation de réseau BLNS, jusqu'à la réception du prochain
bloc d'identification de paquet BLTS.
Lorsque ce bloc BLTS est acquis (étape 704), les moyens de traitement analysent le contenu de ce bloc BLTS, et notamment analysent
l'identifiant de rang IR qu'il contient.
Si cet identifiant de rang IR correspond à l'indication de groupe IDG stockée dans le récepteur, les moyens de commande du récepteur vont alors automatiquement synchroniser temporellement les passages du récepteur dans son état actif à des instants successifs séparés de l'instant initial d'acquisition du bloc BLTS d'un multiple entier de la durée de trame. Si l'identifiant de rang IR ne correspond pas à l'indication de groupe IDG, les moyens de commande du récepteur vont alors mettre celui-ci dans son état de repos puis déterminer l'occurrence du bloc d'identification BLTS dont le rang correspond au groupe du récepteur et synchroniser ensuite automatiquement les réveils du récepteur à partir de
cet instant, compte tenu de la durée des trames.
La synchronisation temporelle des réveils successifs du
récepteur est alors effectuée (étape 71).
En d'autres termes, tous les récepteurs d'un même groupe vont donc se réveiller, c'est-à-dire passer dans leur état actif, à chaque instant de réception du paquet comportant en tête le bloc d'identification de
paquet BLTS dont l'indication de rang IR correspond à leur groupe.
Dans cette phase de synchronisation, lors de la réception d'un message destiné à un récepteur, le microprocesseur 20 de ce dernier va
analyser l'information de contrôle IFC.
Si cette dernière est constituée par exemple de 2 bits, la valeur binaire 00 peut être interprétée par le microprocesseur comme signifiant que cette information de contrôle ne doit avoir aucune incidence sur la programmation effectuée par l'utilisateur quant à l'usage de ces moyens de signalisation. En d'autres termes, en présence d'une telle information de contrôle, le récepteur réagit de la façon souhaitée par l'utilisateur, à
chaque réception de message.
Par contre, si l'information de contrôle est différente de la valeur binaire 00, les différentes valeurs binaires peuvent être affectées respectivement à l'émission de types de signaux de signalisation
prédéterminés.
A titre indicatif, la valeur 01 peut forcer le microprocesseur à activer le vibreur, tandis que la valeur 10 force le microprocesseur à activer la sonnerie. La valeur 11 peut forcer le microprocesseur à n'activer aucun moyen de signalisation, ce qui est particulièrement intéressant pour les messages système, notamment lorsque le récepteur est un récepteur vocal. Dans une autre variante de l'invention, l'information de contrôle peut être par exemple uniquement constituée d'un seul bit et être utilisée, non pas pour choisir l'activation de signaux de signalisation, mais pour
choisir celle des mémoires dans laquelle va être stocké le message reçu.
Ainsi, si par exemple le bit de l'information IFC est à 0, le message reçu sera stocké dans la mémoire vive (RAM). Si par contre le bit est à 1, ce message sera stocké dans la mémoire flash. Ceci permet d'effectuer une sélection des messages reçus. Les messages de service, qui sont actualisés périodiquement et qui doivent donc être périodiquement effacés, sont ainside préférence stockés dans la mémoire vive 21, ce qui ne pénalise pas le fonctionnement du microprocesseur. Seuls les messages personnels
seront alors stockés dans la mémoire flash 23.
Bien entendu, ces deux variantes peuvent être utilisées en combinaison. On peut à cet effet prévoir que l'information de contrôle comporte deux champs de bits, l'un destiné au choix de la mémoire pour le stockage des messages, et l'autre destiné à l'activation des signaux de signalisation. Bien entendu, tout ce qui a été décrit pour le protocole de transmission SWIFT s'applique à toute autre norme de transmission. En particulier, lorsque la norme ERMES est utilisée, l'information de
contrôle IFC est insérée dans l'entête de chaque message.

Claims (7)

REVENDICATIONS
1. Procédé de contrôle du fonctionnement d'un récepteur de radiomessagerie, caractérisé par le fait qu'il comprend l'insertion dans le flot d'informations destinées au récepteur d'au moins une information de contrôle (IFC) associée à chaque message (MMS) destiné au récepteur, l'analyse au sein du récepteur du contenu de chaque information de contrôle et l'adaptation au sein du récepteur du traitement associé au message correspondant en fonction du contenu de ladite information de contrôle.
2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé par le fait que l'adaptation du traitement associé au message comporte la détermination du type de signal de signalisation de la réception dudit message parmi un ensemble prédéfini de signaux de signalisation mémorisés dans le
récepteur, en fonction du contenu de ladite information de contrôle (IFC).
3. Procédé selon la revendication 1 ou 2, pour le contrôle d'un récepteur comportant au moins deux types de mémoire différents, caractérisé par le fait que l'adaptation du traitement associé au message comporte le stockage du message dans l'une ou l'autre des mémoires (21,
23) en fonction du contenu de l'information de contrôle.
4. Procédé selon l'une des revendications précédentes,
caractérisé par le fait que les informations sont transmises depuis au moins une station fixe (ST) par des sous-porteuses de canaux radiofréquence en utilisant un protocole de transmission asynchrone par paquets contenant chacun un nombre prédéterminé de blocs élémentaires de données et véhiculé par au moins un réseau spécifique de transmission identifiable matérialisé par au moins un canal spécifique radiofréquence, protocole au sein duquel on définit une trame de transmission comportant un nombre prédéterminé de paquets successifs dans chacun desquels est inséré, à un endroit prédéterminé, un bloc spécifique d'identification du rang du paquet (BLTS) dans la trame, des blocs de signalisation (BLNS) contenant au moins un identifiant de réseau, et mutuellement séparés d'un nombre variable de blocs élémentaires de données inférieur au nombre de blocs d'un paquet, étant en outre insérés dans les trames successives, par le fait qu'on stocke dans chaque récepteur une indication de réseau (IDRR) et une indication de groupe (IDG) correspondant à un rang de paquet dans ladite trame, de façon, une fois que chaque récepteur s'est calé sur le canal spécifique de transmission véhiculant des blocs de signalisation contenant un identifiant de réseau concordant avec ladite indication de réseau du récepteur, à synchroniser temporellement les réveils du récepteur sur les occurrences successives des blocs d'identification (BLTS) identifiant des paquets dont les rangs correspondent à l'indication de groupe stockée dans le récepteur, par le fait qu'on insère dans un paquet de transmission, après le bloc d'identification de rang, un bloc de signalisation de message (BLMS) contenant l'adresse (ADD) d'un récepteur du groupe correspondant destiné à recevoir un message (MMS), et par le fait qu'on insère ladite information de contrôle (IFC) dans le bloc
de signalisation de message (BLMS).
5. Récepteur de radiomessagerie, caractérisé par le fait qu'il comprend des moyens de réception (1) aptes à recevoir, dans le flot d'informations destinées au récepteur, au moins une information de contrôle (IFC) associée à chaque message destiné au récepteur, et des moyens de traitement (20) aptes à analyser le contenu de chaque information de contrôle et à adapter le traitement associé au message correspondant reçu en fonction du contenu de ladite information de contrôle.
6. Récepteur selon la revendication 5, caractérisé par le fait qu'il comprend plusieurs moyens différents de signalisation d'un message reçu (5), et par le fait que les moyens de traitement (20) sont aptes à sélectionner l'un de ces moyens (5) en fonction du contenu de ladite
information de contrôle.
7. Récepteur selon la revendication 5 ou 6, caractérisé par le fait que le récepteur comporte au moins deux types de mémoire différents (21, 23), et par le fait que les moyens de traitement sont aptes à stocker le message dans l'une ou l'autre des mémoires en fonction du contenu de
l'information de contrôle (IFC).
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