WO2000049744A1 - Procede pour augmenter l'autonomie de recepteurs d'informations numeriques et systeme correspondant de transmission d'informations - Google Patents

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WO2000049744A1
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    • H04W88/00Devices specially adapted for wireless communication networks, e.g. terminals, base stations or access point devices
    • H04W88/18Service support devices; Network management devices
    • H04W88/185Selective call encoders for paging networks, e.g. paging centre devices
    • H04W88/187Selective call encoders for paging networks, e.g. paging centre devices using digital or pulse address codes

Abstract

On matérialise des trames successives en regroupant des paquets et on insère au début de chaque paquet un bloc d'identification de rang du paquet dans la trame. On insère dans les trames successives des blocs de signalisation de réseau temporellement espacés d'une durée maximale courte, inférieure à celle de transmission d'un paquet. Chaque récepteur teste (700, 701) la présence ou non d'un bloc de signalisation de réseau correspondant à son propre réseau, puis se synchronise (71) sur les occurrences successives des blocs d'identification de paquets correspondant à son groupe.

Description

Procédé pour augmenter l'autonomie de récepteurs d'informations numériques et système correspondant de transmission d'informations
L'invention concerne la transmission d'informations numériques entre au moins une station émettrice et une pluralité de récepteurs, utilisant des sous-porteuses de canaux radiofréquence ainsi qu'un protocole de transmission asynchrone par paquets contenant chacun un nombre prédéterminé de blocs élémentaires de données.
L'homme du métier connaît déjà un tel protocole de transmission, notamment par le document pr ETS 300 751 (version de mai 1997), intitulé "Radio broadcast Systems; System for Wireless Infotainment Forwarding and Télédistribution (SWIFT)", disponible auprès du Secrétariat de l'ETSI à Sophia Antipolis (France), et dénommé ci-après "document SWIFT".
Actuellement, ce type de protocole de transmission asynchrone est utilisé pour le transfert de fichiers destinés à un groupe d'utilisateurs, et notamment pour la diffusion radiofréquence de journaux écrits.
Par opposition à un protocole de transmission synchrone, comme par exemple celui prévu par la norme de transmission RDS (Radio Data System), et dans lequel les différentes trames de transmission sont synchronisées sur une horloge temporelle parfaitement définie, un protocole de transmission asynchrone n'est, par définition, pas synchronisé sur une base de temps prédéterminée. En conséquence, les récepteurs d'informations fonctionnant sur ce type de protocole asynchrone doivent rester en permanence allumés de façon à pouvoir acquérir, à n'importe quel instant, qui par définition n'est pas connu à l'avance, des informations numériques qui leur sont destinées.
Ceci pose un problème important d'autonomie pour des récepteurs fonctionnant avec leur alimentation propre, par exemple des micro-ordinateurs portables fonctionnant sur piles ou sur accumulateur.
L'invention vise à apporter une solution à ce problème et à accélérer la transmission des données, notamment la transmission de fichiers de grande longueur.
L'invention propose donc un procédé pour augmenter l'autonomie de récepteurs d'informations numériques, dans lesquels les informations sont transmises depuis au moins une station fixe par des sous-porteuses de canaux radiofréquence en utilisant un protocole de transmission asynchrone par paquets contenant chacun un nombre prédéterminé de blocs élémentaires. Selon une caractéristique générale de l'invention, on sélectionne parmi les canaux radiofréquence au moins un canal spécifique de façon à matérialiser au moins un réseau spécifique de transmission identifiable. On définit au sein du protocole de transmission véhiculé par ce réseau, une trame de transmission comportant un nombre prédéterminé de paquets successifs. On insère dans chaque paquet de la trame, à un endroit prédéterminé, un bloc élémentaire spécifique d'identification de paquet, contenant un identifiant du rang du paquet dans la trame. On insère par ailleurs, dans les trames successives, des blocs élémentaires de signalisation de réseau contenant au moins un identifiant de réseau, et mutuellement séparés d'un nombre maximal prédéterminé de blocs élémentaires inférieur au nombre de blocs d'un paquet. En d'autres termes, si le nombre de blocs d'un paquet conduit à une durée de transmission dudit paquet de 5 secondes environ, on choisira d'espacer les blocs de signalisation de réseau d'un nombre de blocs correspondant à une durée maximum de 0,5 seconde par exemple. Ceci étant, au sens de la présente invention, le caractère "variable" du nombre de blocs élémentaires séparant deux blocs de signalisation de réseau successifs signifie que ce nombre n'est pas nécessairement fixe et prédéterminé à l'avance (bien qu'il puisse l'être) mais qu'il peut éventuellement varier au cours de la transmission, pour autant, bien entendu, que la durée correspondante d'espacement reste inférieure à une durée maximale fixée à l'avance qui doit être en tout état de cause inférieure à la durée de transmission d'un paquet. Par ailleurs, selon l'invention, on stocke dans chaque récepteur une indication de réseau et une indication de groupe correspondant à un rang de paquet dans ladite trame. Le procédé selon l'invention comporte une première étape, dite d'acquisition, dans laquelle chaque récepteur détecte le canal spécifique de transmission en testant la présence d'un bloc de signalisation de réseau contenant un identifiant de réseau concordant avec ladite indication de réseau stockée dans le récepteur. Puis, le récepteur étant calé sur ledit canal de transmission spécifique, il analyse l'identifiant de rang contenu dans le prochain bloc d'identification de paquet. Le procédé comporte par ailleurs une étape de synchronisation dans laquelle, le récepteur étant calé sur ledit canal de transmission spécifique, et possédant par ailleurs un état de repos et un état actif, on synchronise temporellement la mise dans l'état actif de chaque récepteur sur les occurrences successives des blocs d'identification de paquet dont les identifiants de rang correspondent à l'indication de groupe stockée dans le récepteur.
Selon l'invention, on insère dans un paquet de transmission, après le bloc d'identification de paquet, un bloc élémentaire de signalisation de message contenant l'adresse d'un récepteur destiné à recevoir un message, ainsi qu'une indication temporelle relative à l'instant de début de message. Après analyse du contenu du bloc de signalisation de message, on peut éventuellement placer le récepteur dans un état de repos jusqu'à la réception du message.
A titre indicatif, l'indication temporelle peut spécifier que le message proprement dit va se situer ultérieurement dans le même paquet, ou bien dans un paquet suivant. En fait, dans une application de radiomessagerie, en raison de la distribution aléatoire des adresses des récepteurs destinés à recevoir un message, un nombre plus important de messages que ne peut en contenir un paquet, peuvent devoir être envoyés. Cette difficulté est résolue par l'utilisation du mécanisme indirect constitué par l'insertion des blocs de signalisation de message. En d'autres termes, au lieu d'insérer directement le message dans le paquet désigné, le bloc de signalisation de message est envoyé pour désigner les données utiles du message et comporte en outre un bit particulier (drapeau) indiquant si le message désigné est retardé ou non. Ainsi, dans le cas d'un message retardé, c'est-à-dire transmis dans un paquet ultérieur, le récepteur peut passer dans son état de repos après analyse du contenu du bloc de signalisation de message puis se réveiller à chaque réception d'un bloc d'identification de paquet, même si ce bloc d'identification de paquet ne correspond pas à son groupe, pour vérifier si ce bloc d'identification de paquet contient un identifiant de sous-groupe correspondant à son sous- groupe. Si tel est le cas, le récepteur va alors analyser le nouveau bloc de signalisation de message indiquant la place de ce message proprement dit dans ce paquet courant.
Selon l'invention, on insère dans un bloc élémentaire de signalisation de message une indication relative à la présence d'un agglomérat associé et un identifiant d'agglomérat, un agglomérat regroupant au moins un bloc élémentaire consistant en un identifiant d'agglomérat et en une partie utile. Un agglomérat est destiné à transmettre un message de grande longueur tout en économisant la ressource disponible, c'est à dire le débit de transmission.
Dans un mode de réalisation de l'invention, un agglomérat comprend au moins un bloc élémentaire consistant en un en-tête de bloc et une partie utile. Tous les bits du dit bloc élémentaire servent alors à la transmission de l'information qui doit atteindre le récepteur concerné. On accroit la vitesse de transmission des données.
Un agglomérat peut comprendre au moins un paquet de blocs élémentaires, le premier bloc élémentaire d'un paquet étant pourvu d'un en-tête de paquet consistant en un identifiant d'agglomérat et en un compteur de paquets. Les blocs élémentaires suivants pourront consister seulement en un en-tête de bloc et une partie utile, leur nombre étant limité par la capacité du compteur. On optimise la transmission de messages longs. On peut intercaler temporellement des groupes de paquets appartenant à des agglomérats différents.
Dans un mode de réalisation de l'invention, on insère dans un paquet de transmission, après un bloc élémentaire de signalisation de message, plusieurs paquets ayant le même identifiant d'agglomérat. Avantageusement, un bloc élémentaire de signalisation de message comprend une indication d'agglomérat retardé et l'identifiant dudit agglomérat retardé, et un bloc élémentaire de signalisation de message ultérieur comprend l'identifiant dudit agglomérat retardé de façon à transmettre l'agglomérat retardé dans un paquet différent de celui du bloc élémentaire de signalisation de message antérieur.
L'invention s'applique donc d'une manière particulièrement avantageuse, à la radiomessagerie et permet, à partir d'un protocole de transmission asynchrone, de synchroniser les réveils des récepteurs de radiomessagerie à des instants successifs temporellement espacés d'un même intervalle temporel. En outre, en combinaison, le fait d'insérer dans les trames successives, des blocs de signalisation de réseau séparés d'une durée d'espacement inférieure ou égale à une durée maximale prédéterminée (par exemple 0,5 seconde), elle-même inférieure à la durée de transmission d'un paquet (typiquement 5 secondes) permet d'accélérer l'acquisition du réseau de transmission par les récepteurs, et par conséquent la synchronisation de leurs cycles d'endormissement et de réveil, ce qui augmente considérablement l'autonomie de ces récepteurs.
Bien qu'il soit possible en théorie d'insérer chaque bloc d'identification de paquet à un endroit quelconque prédéterminé du paquet, notamment si l'on utilise les paquets de type C décrits dans le document SWIFT, il est particulièrement avantageux, afin notamment de minimiser le risque de perte de messages destinés à certains récepteurs, d'insérer chaque bloc d'identification de paquet au début de chaque paquet.
Selon un mode de mise en oeuvre du procédé, dans l'étape d'acquisition, on cale le récepteur sur l'un des réseaux de transmission et on teste, au plus pendant une durée de test égale à ladite durée maximale prédéterminée (0,5 seconde par exemple), la présence, sur ce canal, d'un bloc de signalisation de réseau contenant un identifiant de réseau concordant avec ladite indication de réseau et, si le résultat du test est négatif à l'expiration de ladite durée de test, le récepteur recherche un autre canal de transmission pour effectuer un nouveau test. II est en outre particulièrement avantageux d'insérer dans le bloc de signalisation de réseau une indication du rang de ce bloc dans ledit paquet. Ainsi, dans l'étape d'acquisition, après que le récepteur a analysé le contenu du bloc de signalisation de réseau, on met le récepteur dans son état de repos jusqu'à la réception du prochain bloc d'identification de paquet. Ceci permet d'augmenter encore l'autonomie des récepteurs.
Ceci étant, en variante, on peut maintenir le récepteur dans son état actif après analyse du contenu du bloc de signalisation de réseau et ce jusqu'à la réception du prochain bloc d'identification de paquet.
Il est particulièrement avantageux de subdiviser chaque groupe de récepteurs en plusieurs sous-groupes. On stocke alors en outre, dans chaque récepteur, une indication du sous-groupe auquel appartient le récepteur. On insère dans chaque bloc d'identification de paquet au moins un identifiant d'un sous-groupe désigné appartenant au groupe correspondant à ce bloc d'identification de paquet. Et, dans l'étape de synchronisation, on place dans leur état de repos, après analyse du contenu du bloc d'identification de paquet, tous les récepteurs dont les indications de sous-groupes ne concordent pas avec le ou les identifiants de sous-groupes désignés. La subdivision d'un groupe de récepteurs en plusieurs sous-groupes permet de mettre les récepteurs dont les sous-groupes ne sont pas désignés au début de chaque paquet, notamment parce qu'aucun message ne leur est destiné dans leur état de repos ce qui permet encore d'augmenter l'autonomie de ces récepteurs.
On peut matérialiser plusieurs réseaux spécifiques de transmission identifiables. Les réseaux de transmission peuvent être modifiés au cours de la transmission proprement dite. Aussi, en cas de modification de réseau au cours de la transmission, on insère dans les blocs de signalisation de réseau le nouvel identifiant de réseau et on insère avantageusement dans les blocs d'identification de paquet une information spécifique de modification de réseau. On met par exemple un bit spécifique à 1. Ainsi, dans l'étape de synchronisation, on force tous les récepteurs du groupe associé au bloc d'identification de paquet correspondant à demeurer dans leur état actif après analyse du contenu du bloc d'identification au moins jusqu'à la réception et l'analyse du contenu du prochain bloc de signalisation de réseau, et ce afin que ceux-ci puissent déterminer le nouveau réseau de transmission et s'y caler. L'invention a également pour objet un système de transmission d'informations numériques, comprenant au moins une station fixe émettant des informations par des sous-porteuses de canaux radiofréquence en utilisant un protocole de transmission asynchrone par paquets contenant chacun un nombre prédéterminé de blocs élémentaires, et plusieurs récepteurs comportant des moyens de réception radiofréquence et des moyens de traitement des données reçues. Selon une caractéristique générale de l'invention, la station comporte des moyens de génération apte à générer, au sein du protocole de transmission véhiculé par au moins un réseau spécifique de transmission identifiable, matérialisé par au moins un canal spécifique de .transmission sélectionné parmi lesdits canaux radiofréquence, des trames successives de transmission comportant chacune un nombre prédéterminé de paquets successifs. La station comporte par ailleurs des moyens d'insertion pour insérer dans chaque paquet de la trame, à un endroit prédéterminé, un bloc élémentaire spécifique d'identification de paquet contenant un identifiant du rang du paquet dans la trame, et pour insérer dans les trames successives des blocs élémentaires de signalisation de réseau contenant au moins un identifiant de réseau, ces blocs de signalisation de réseau étant mutuellement séparés d'un nombre maximal prédéterminé de blocs élémentaires inférieur au nombre de blocs d'un paquet. Chaque récepteur comporte une mémoire contenant une indication de réseau et une indication de groupe correspondant à un rang de paquet dans ladite trame. Les moyens de traitement du récepteur possèdent un état actif et un état de repos et comportent des moyens de test aptes à tester, pour chaque canal de transmission reçu par les moyens de réception, la présence d'un bloc de signalisation de réseau contenant un identifiant de réseau concordant avec ladite indication de réseau puis à analyser l'identifiant de rang contenu dans le prochain bloc d'identification de paquet. Les moyens de traitement du récepteur comportent par ailleurs des moyens de commande aptes à synchroniser temporellement la mise dans l'état actif de chaque récepteur calé sur ledit canal de transmission spécifique, sur les occurrences successives des blocs d'identification de paquet contenant des identifiants de rang correspondant à une indication de groupe stockée dans le récepteur.
Les moyens d'insertion sont aptes à insérer dans un paquet de transmission, après le bloc d'identification de paquet, au moins un bloc élémentaire de signalisation de message contenant l'adresse d'un récepteur destiné à recevoir un message, ainsi qu'une indication temporelle relative à l'instant de début de message. Les moyens de test du récepteur sont aptes à tester l'adresse contenue dans le bloc élémentaire de signalisation de message, les moyens de commande étant aptes à placer le récepteur dans un état de repos jusqu'à la réception du message, si l'adresse contenue dans le bloc élémentaire de signalisation de message correspond à l'adresse du récepteur. Un bloc élémentaire de signalisation de message comprend une indication relative à la présence d'un agglomérat associé et un identifiant d'agglomérat, un agglomérat regroupant au moins un bloc élémentaire consistant en un identifiant d'agglomérat et en une partie utile, la mémoire du récepteur étant apte à stocker l'identifiant d'agglomérat pour permettre aux moyens de test d'analyser l'identifiant des agglomérats reçus ultérieurement.
On transmet un message numérique de longueur importante sous la forme d'un agglomérat comprenant, en général, une pluralité de blocs élémentaires dont l'identifiant est codé sur un faible nombre de bits. Le rapport entre le nombre de bits "utiles", c'est à dire portant une information relative au message à transmettre et le nombre total de bits transmis est accru.
Pour augmenter encore la vitesse de transmission, un agglomérat peut comprendre au moins un bloc élémentaire consistant en un en-tête de bloc et en une partie utile. Le bloc élémentaire est dépourvu d'identifiant.
Avantageusement, au moins un bloc élémentaire consistant en un identifiant d'agglomérat et en une partie utile, comprend un compteur de paquets. Un agglomérat peut comprendre au moins un paquet de blocs élémentaires, le premier bloc élémentaire de chaque paquet étant pourvu d'un en-tête de paquet consistant en un identifiant d'agglomérat et en un compteur de paquets.
Après un bloc élémentaire de signalisation de message, plusieurs paquets de transmission peuvent comprendre le même identifiant d'agglomérat.
Selon un mode de réalisation de l'invention, dans lequel chaque groupe de récepteurs est subdivisé en plusieurs sous-groupes, la mémoire de chaque récepteur contient en outre une indication du sous-groupe auquel appartient le récepteur. Les moyens d'insertion de la station insèrent alors dans chaque bloc d'identification de paquet au moins un identifiant du sous-groupe désigné du groupe correspondant à ce bloc d'identification. Les moyens de commande de tous les récepteurs dont les indications de sous-groupe ne concordent pas avec le ou les identifiants de sous-groupe désignés placent lesdits récepteurs dans leur état de repos.
Selon un mode de réalisation de l'invention, les moyens de traitement de récepteur sont aptes à analyser le contenu des blocs d'identification de paquet correspondant à leur groupe et, en présence dans lesdits blocs d'identification d'une information spécifique de modification de réseau, les moyens de commande de tous les récepteurs du groupe, associés au bloc d'identification de paquet correspondant, forcent ces récepteurs à demeurer dans leur état actif au moins jusqu'à la réception et l'analyse du prochain bloc de signalisation de réseau.
D'autres avantages et caractéristiques de l'invention apparaîtront à l'examen de la description détaillée d'un mode de réalisation et de mise en oeuvre, nullement limitatifs, et des dessins annexés sur lesquels : - les figures 1 à 4 représentent très schématiquement une structure de blocs élémentaires utilisables selon l'invention conformément à un protocole de transmission SWIFT,
- la figure 5 illustre très schématiquement l'architecture interne d'un récepteur selon l'invention, - la figure 6 illustre très schématiquement l'architecture interne d'une station selon l'invention,
- la figure 7 est un organigramme schématique d'un mode de mise en oeuvre d'un procédé selon l'invention et,
- les figures 8 et 9 illustrent des chronogrammes temporels relatifs au fonctionnement d'un récepteur dans deux cas particuliers de transmission.
Bien que l'invention n'y soit pas limitée, on s'appuiera maintenant dans l'exemple qui va être décrit, sur un protocole de transmission asynchrone du type de celui décrit dans le document SWIFT. On effet, un tel protocole de transmission autorise un débit net élevé de transmission d'informations, typiquement compris entre 6 kilobits/s et 10 kilobits/s, ce qui est particulièrement utile pour la transmission de messages vocaux.
L'homme du métier connaît les caractéristiques d'un tel protocole de transmission asynchrone par paquets contenant chacun un nombre prédéterminé de blocs élémentaires. On en rappelle ici les caractéristiques essentielles relatives notamment à la structure de ces blocs élémentaires. L'homme du métier pourra éventuellement, pour plus de détails, se rapporter au document SWIFT précité dont le contenu est à toutes fins utiles incorporé à la présente description.
Selon ce protocole de transmission, chaque bloc élémentaire BLC comporte (figure 1) un identifiant BIC suivi d'un en-tête ET indiquant le type du bloc. L'en-tête est suivi d'une partie utile DU contenant les données proprement dites du bloc BLC. Cette partie utile DU est suivie de bits de correction d'erreurs CRC et de bits de parité
PRY. Chacun de ces blocs comprend en tout 288 bits. Ces blocs sont réunis par paquets de 272 blocs et ces paquets sont transmis les uns à la suite des autres de façon asynchrone, c'est-à-dire sans que l'on puisse déterminer temporellement et à l'avance les instants d'émission de ces paquets. La durée de transmission d'un paquet est typiquement de l'ordre de 5 secondes.
Ce protocole de transmission asynchrone est véhiculé par une sous-porteuse (centrée autour de 76 kHz) de canaux radiofréquence, situés typiquement dans la bande FM.
Pour véhiculer le protocole de transmission asynchrone selon l'invention, on matérialise au moins un réseau spécifique de transmission identifiable en sélectionnant parmi lesdits canaux radiofréquence au moins un canal spécifique. Bien entendu, un réseau de transmission peut utiliser plusieurs canaux radiofréquence. De même, on peut définir plusieurs réseaux de transmission identifiables.
On définit alors, pour ce protocole de transmission selon l'invention, une trame de transmission comportant un nombre prédéterminé de paquets successifs, par exemple seize paquets. On insère alors dans chaque paquet de la trame, de préférence au début de chaque paquet, un bloc spécifique d'identification de paquet BLTS (figure 3) identifié par un mot numérique spécifique ET2 (par exemple sur cinq bits) de l'en-tête ET. Ce bloc d'identification BLTS contient, dans la partie DU, un identifiant IR permettant d'identifier le rang de ce paquet, autrement dit sa position, dans la trame. Ainsi, cet identifiant de rang IR va permettre de désigner un groupe de récepteurs. De même, on prévoit avantageusement que la partie utile DU comporte un mot binaire MSF permettant de désigner, à l'intérieur du groupe de récepteurs, des sous-groupes de récepteurs. En pratique, on choisira un mot de 128 bits respectivement affectés à 128 sous- groupes de récepteurs. La valeur logique de chaque bit de ce mot MSF indique si les récepteurs du sous-groupe correspondant sont susceptibles de recevoir un message.
On insère également dans les trames successives des blocs de signalisation de réseau BLNS (figure 2), dont le type est repéré par un mot spécifique ET1 dans l'en-tête ET. Ce bloc BLNS contient au moins un identifiant de réseau NWD définissant les caractéristiques du réseau de transmission, et notamment la fréquence du canal de transmission. Comme on le verra en détail ci-après, ces blocs BLNS sont insérés par la station émettrice dans les trames successives de transmission de telle façon qu'ils soient espacés mutuellement d'un nombre maximum de blocs élémentaires de type quelconque, que ce soient des blocs de type BLC, des blocs BLTS ou d'autres types de blocs. Ce nombre maximum correspondant à une durée maximale d'espacement prédéterminée, typiquement 0,5 seconde, inférieure à la durée de transmission d'un paquet. La durée d'espacement entre deux blocs BLNS consécutifs peut varier à condition toutefois qu'elle reste inférieure à la durée maximale. C'est en effet les moyens d'insertion de la station qui décident de l'insertion de ces blocs BLTS dans les trames successives. Il convient donc de remarquer ici que l'insertion des blocs BLNS s'effectue de façon totalement asynchrone par rapport à l'insertion des blocs BLTS.
L'invention prévoit d'utiliser un bloc élémentaire spécifique BLMS qui est en fait un bloc de signalisation de message (figure 4) et dont le type ET3 figure dans l'en-tête ET. Ce bloc BLMS contient dans la partie utile DU l'adresse ADR du récepteur auquel un message est destiné, ainsi qu'une indication temporelle DFS relative à l'instant de début de message. Si le message est transmis dans le même paquet que celui contenant le bloc BLMS, cette indication DFS définit par exemple le rang du premier bloc du message proprement dit, destiné au récepteur, par rapport au début du paquet. Cette indication temporelle DFS peut également indiquer que le message proprement dit destiné au récepteur sera transmis non pas dans le paquet contenant ce bloc BLMS, mais dans un paquet ultérieur.
La partie utile DU d'un bloc BLMS contient également une indication relative à un agglomérat MF associé ou non et un identifiant HDL de l'agglomérat associé, le cas échéant. Un agglomérat MF est destiné à la transmission de messages de longueur importante, par exemple supérieure à 200 octets et regroupe un ou plusieurs paquets comprenant chacun une pluralité de blocs élémentaires de 22 octets qui se suivent, par exemple 13 blocs élémentaires. Tous les paquets d'un agglomérat sont complets sauf le dernier qui peut n'être que partiellement utilisé. Tous les blocs d'un agglomérat sont complets sauf le dernier qui peut n'être que partiellement utilisé. Les paquets d'un agglomérat sont transmis en groupes de, par exemple, 16 paquets. Le groupe de paquets constitue l'unité de base lors de la transmission. En d'autres termes, on pourra, si nécessaire, intercaler des groupes appartenant à des agglomérats différents. Mais les paquets d'un groupe seront transmis les uns à la suite des autres, conformément au tableau ci dessous :
groupe N agglomérat X groupe P agglomérat Y groupe N+l agglomérat X paquet 1 ...à... paquet 16 paquet 1 ...à.... paquet 16 paquet 1 ...à ... paquet 16 13 blocs 13 blocs 13 blocs 13 blocs 13 blocs 13 blocs
Un bloc élémentaire de 22 octets comprend un en-tête sur deux octets et un contenu sur 20 octets. L'en-tête comprend un identifiant de canal codé sur 4 bits, un identifiant de bloc codé sur 4 bits indiquant que le bloc fait partie d'un agglomérat, un compteur de blocs codé sur 7 bits, et un indicateur d'en-tête de nouveau paquet sur 1 bit. Le compteur de blocs est un compteur libre sans remise à zéro qui est incrémenté à chaque transmission d'un bloc faisant partie d'un agglomérat ce qui permet de vérifier la bonne transmission de chaque bloc au récepteur. Les moyens de traitement du récepteur comparent, à cet effet, le numéro du bloc courant avec le numéro de l'antépénultième bloc augmenté de 1. Si le résultat de la comparaison est différent de zéro, au moins un bloc a été mal transmis. L'indicateur d'en-tête de nouveau paquet prend la valeur "0" lorsqu'il s'agit d'un bloc intermédiaire ou final d'un paquet et la valeur "1 " lorsqu'il s'agit du premier bloc d'un paquet. La structure d'un bloc est illustrée ci- dessous :
1er bloc .... .... bloc intermédiaire , .... dernier bloc .... en-tête contenu en-tête contenu en-tête contenu
2 octets 20 octets 2 octets 20 octets 2 octets 20 octets
La structure d'un en-tête de bloc est illustrée ci dessous identifiant identifiant compteur indicateur en-tête canal agglomérat de blocs nouveau paquet
3 bits 5 bits 7 bits 1 bit
Le premier des blocs d'un paquet voit ses deux premiers octets de contenu occupés par un en-tête de paquet, et ne comprend que 18 octets de contenu. L'en-tête de paquet comprend un identifiant HDL de l'agglomérat et un compteur de paquets pour indiquer le nombre de paquets faisant partie de l'agglomérat identifié.
L'identifiant HDL est codé sur huit bits seulement et forme une sorte d'adresse abrégée dont la présence en tête de chaque paquet est moins pénalisante que celle d'une adresse complète occupant 32 bits. Le récepteur stocke l'identifiant HDL présent dans le bloc BLMS qui lui est destiné et repère un agglomérat MF par comparaison de l'identifiant stocké et de l'identifiant du dit agglomérat. A chaque transmission d'un nouvel agglomérat, l'identifiant HDL est incrémenté. On ne peut transmettre simultanément que 256 agglomérats. Sur un canal donné, on peut transmettre jusqu'à 32 agglomérats différents dans le même paquet grâce au codage de l'identifiant d'agglomérat sur
5 bits. Ceci évite que deux agglomérats aient le même identifiant d'agglomérat dans le même paquet en cas de transmission d'agglomérats courts en grand nombre.
La partie utile DU d'un bloc BLMS contient une indication codée sur 16 bits de la longueur de l'agglomérat associé, la longueur maximale de l'agglomérat étant ainsi limitée à 65535 octets.
En cas de perte du premier bloc d'un paquet lors de la transmission, le fait que chaque groupe de paquets fait partie d'un unique agglomérat et est complet, sauf le dernier, et le compteur de blocs présent dans l'en-tête de chaque bloc permettent de repérer le bloc dont la transmission a été défectueuse et son appartenance à tel ou tel paquet dans le but de réparer les erreurs de transmission. De même, le fait que tous les blocs soient complets, sauf le dernier bloc d'un agglomérat, c'est-à-dire que tous les octets de contenu sont utilisés, en association avec le compteur de blocs de l'entête de bloc, permet au récepteur RC de repérer un éventuel bloc non transmis ou mal transmis. Si l'on transmet plusieurs fois le même agglomérat, on peut ainsi remplacer des blocs mal transmis par des blocs de contenu identique reçus lors d'une transmission subséquente. Si le dernier bloc d'un agglomérat n'est pas reçu par le récepteur, la fin de l'agglomérat qui est normalement repérée grâce au bit indicateur d'entêté de nouveau paquet, ne l'est pas. Toutefois, l'identifiant HDL est pourvu de 5 bits d'identifiant d'agglomérat. Lors de la transmission de l'agglomérat suivant, l'identifiant d'agglomérat sera incrémenté. Le récepteur RC vérifiera si l'identifiant d'agglomérat est le même que pour le bloc transmis précédemment. Si ce n'est pas le cas, le récepteur saura que l'agglomérat est terminé et que la fin de la transmission a été défectueuse.
Dans certains cas, il est utile de différer la transmission d'un agglomérat, notamment pour gérer au mieux la capacité d'un canal. Un bloc élémentaire de signalisation de message BLMS comporte alors un indicateur d'agglomérat retardé pourvu d'une information relative soit à la durée minimale du retard pour que le récepteur se remette à l'état inactif pendant ladite durée minimale, soit à la durée maximale du retard pour que le récepteur se remette à l'état inactif après écoulement de la durée maximale si l'agglomérat n'a pas été reçu.
Par exemple, un récepteur RC reçoit un bloc BLMSj lui indiquant qu'un agglomérat retardé de deux paquets lui est destiné. Le récepteur RC se met dans l'état inactif pendant la durée des deux paquets et se réveille pour recevoir le bloc BLMS2 qui va lui indiquer l'emplacement de l'agglomérat qui lui est destiné. Pour sécuriser la transmission et éviter que la réception d'un agglomérat retardé exige la réception sans erreur du bloc BLMS, et du bloc BLMS2, on insère dans le bloc BLMSj l'identifiant HDL de l'agglomérat retardé. De plus, l'intervalle entre les blocs BLMSj et BLMS2 correspondra au cycle ou à un multiple du cycle de réveil du récepteur de façon qu'on évite un réveil supplémentaire et qu'on profite d'un cycle de réveil normal pour transmettre au récepteur l'identifiant HDL. Il suffit alors que le récepteur reçoive l'un des deux blocs BLMSj ou BLMS2 pour connaître l'identifiant HDL. Si l'on se réfère maintenant plus particulièrement à la figure 5 qui représente l'architecture interne d'un récepteur RC selon l'invention, on voit que ce récepteur, par exemple un récepteur portable autonome de radiomessagerie, est équipé d'une antenne de réception recevant le signal de radiofréquence SRF. Cette antenne est connectée à des moyens de réception 1 comportant, en tête, un étage haute fréquence 10, suivi d'un circuit spécifique de filtrage 11 permettant d'extraire la sous-porteuse SWIFT. Cet étage de filtrage est lui-même relié à un décodeur, par exemple celui commercialisé par la Société japonaise OKI sous la référence MSM 9553 et capable de délivrer en sortie, après correction d'erreurs et vérification de parité, les blocs élémentaires débarrassés notamment des bits CRC et PRY.
Les moyens de réception comprennent en outre un circuit spécifique, non représenté ici à des fins de simplification, de recherche et de contrôle automatique de la fréquence du signal porteur, de façon à pouvoir se caler sur l'un des canaux de transmission.
La sortie des moyens de réception est reliée à des moyens de traitement 2 incorporant un microprocesseur 20, par exemple 8 bits, associés, par l'intermédiaire d'un bus de communication, à une mémoire vive 21 et une mémoire morte 22.
Des moyens de commande 3 sont aptes à activer momentanément les moyens de réception et les moyens de traitement en délivrant respectivement à ces deux moyens des impulsions de commande correspondantes. Ces moyens de commande peuvent être incorporés de façon classique au sein même du microprocesseur 20, ou bien peuvent être réalisés par un circuit externe spécifique classique. Ces moyens de commande sont en conséquence aptes à mettre le récepteur, soit dans un état actif dans lequel il est capable de recevoir et de traiter les données contenues dans le signal porteur, soit dans un état de repos.
L'ensemble du récepteur est alimenté par des moyens d'alimentation 4 comportant un élément de pile associé à un convertisseur continu-continu utilisé pour élever la tension de cet élément de pile à celle nécessaire au fonctionnement du micro- processeur.
Dans la mémoire morte du récepteur est stockée une indication de réseau IDRR, une indication de groupe IDG correspondant à un rang de paquet dans ladite trame, une indication de sous-groupe IDSG correspondant au sous-groupe auquel appartient le récepteur, ainsi que l'adresse ADD proprement dite du récepteur.
Si l'on se réfère maintenant plus particulièrement à la figure 6, on voit que la station d'émission ST comporte essentiellement des moyens d'insertion MIS, réalisés par exemple de façon logicielle au sein d'un micro-ordinateur de type PC et recevant par exemple pour un récepteur désigné d'une part, son adresse ADD, son indication de groupe IDG, de sous-groupe IDSG et de réseau IDRR, et d'autre part, les données relatives au message proprement dit MMS qui lui est destiné. Ces moyens d'insertion MIS génèrent alors les en-têtes et les parties utiles DU des différents blocs élémentaires qui vont constituer les paquets, et notamment ceux relatifs aux blocs d'identification de paquets, de signalisation de réseau, et de signalisation de message. Tous ces éléments sont ensuite transmis à un codeur COD, par exemple celui commercialisé par la Société suédoise SECTRA sous la référence TSE 760 qui achève la mise en forme de ces blocs, en y adjoignant notamment les blocs de correction d'erreurs CRC et de parité PRY. Puis, l'ensemble de ces blocs BL, réunis en paquets, sont transmis au sein du signal SRF.
D'une façon générale, le fonctionnement du système de transmission selon l'invention est sommairement illustré sur l'organigramme de la figure 7.
Après mise en marche du récepteur, celui-ci va se placer dans une phase d'acquisition 70 précédant une phase de synchronisation temporelle 71. Dans la phase 70, les moyens de réception du récepteur RC vont tout d'abord se caler sur l'un des canaux de transmission et les moyens de traitement vont tester d'une part la présence sur ce canal de transmission d'une sous-porteuse véhiculant le protocole de transmission spécifique, c'est-à-dire en l'espèce le protocole SWIFT, et, d'autre part, la présence dans ce protocole d'un bloc de signalisation de réseau contenant un identifiant de réseau NWD concordant avec l'indication de réseau IDRR stockée dans la mémoire du récepteur (étape 700 et 701).
Si ce test est négatif au bout d'une durée de test Tm égale à la durée maximale prédéterminée de séparation de deux blocs de signalisation de réseau consécutifs, en l'espèce 0,5 seconde (étape
702), les moyens de réception du récepteur vont alors rechercher un autre canal de transmission (étape 703) pour effectuer un nouveau test jusqu'à obtenir un résultat positif pour celui-ci.
On peut à cet égard prévoir que, si au bout d'une durée prédéterminée, par exemple une minute, le récepteur ne trouve toujours pas de canaux de transmission appropriés, il se met automatiquement en état de repos.
En cas de test positif, les moyens de traitement du récepteur vont alors analyser l'identifiant de rang IR contenu dans le prochain bloc d'identification de paquet BLTS. A cet égard, les moyens de commande du récepteur peuvent maintenir ce dernier dans son état actif après l'analyse du contenu du bloc de signalisation de réseau BLNS acquis et ce, jusqu'à la réception de ce prochain bloc d'identification de paquet BLTS. En variante, il est possible d'insérer dans chaque bloc de signalisation de réseau BLNS une indication BN du rang de ce bloc dans le paquet qui le contient (figure 2). Aussi, afin d'augmenter encore l'autonomie du récepteur, les moyens de commande de ce dernier peuvent mettre le récepteur dans son état de repos après analyse du contenu de ce bloc de signalisation de réseau BLNS, jusqu'à la réception du prochain bloc d'identification de paquet BLTS.
Lorsque ce bloc BLTS est acquis (étape 704), les moyens de traitement analysent le contenu de ce bloc BLTS, et notamment analysent l'identifiant de rang IR qu'il contient. Si cet identifiant de rang IR correspond à l'indication de groupe IDG stockée dans le récepteur, les moyens de commande du récepteur vont alors automatiquement synchroniser temporellement les passages du récepteur dans son état actif à des instants successifs séparés de l'instant initial d'acquisition du bloc BLTS d'un multiple entier de la durée de trame. Si l'identifiant de rang IR ne correspond pas à l'indication de groupe IDG, les moyens de commande du récepteur vont alors mettre celui-ci dans son état de repos puis déterminer l'occurrence du bloc d'identification BLTS dont le rang correspond au groupe du récepteur et synchroniser ensuite automatiquement les réveils du récepteur à partir de cet instant, compte tenu de la durée des trames.
La synchronisation temporelle des réveils successifs du récepteur est alors effectuée (étape 71).
En d'autres termes, tous les récepteurs d'un même groupe vont donc se réveiller, c'est-à-dire passer dans leur état actif, à chaque instant de réception du paquet comportant en tête le bloc d'identification de paquet BLTS dont l'indication de rang IR correspond à leur groupe.
Ceci étant, lorsque les récepteurs sont divisés en sous- groupes, tous les récepteurs du groupe vont analyser également le contenu du mot MSF contenu dans le bloc d'identification de paquets BLTS, pour connaître quels sont les sous-groupes susceptibles de recevoir un message. Après analyse du contenu de ce mot MSF, les moyens de commande placent dans leur état de repos, tous les récepteurs dont les indications de sous-groupe IDSG ne concordent pas avec les sous-groupes désignés dans le mot MSF.
En général, tous les récepteurs d'un sous-groupe, qui se sont réveillés au début du paquet correspondant, peuvent passer dans leur état de repos avant la fin de la transmission dudit paquet si tous les messages ont été acquis. Ceci étant, il est possible que certains au moins des récepteurs restent actifs même après la fin de transmission de leur paquet.
Dans la phase de synchronisation, lorsque le bloc BLTS comporte une indication de modification de réseau IM (figure 3) les moyens de commande de tous les récepteurs du groupe forcent ceux-ci à rester éveillés jusqu'à la réception du prochain bloc de signalisation de réseau BLTS, y compris ceux qui n'étaient pas désignés dans le mot de sous-groupe MSF. Après analyse du bloc de signalisation de réseau BLNS comportant les nouvelles caractéristiques du réseau de transmission, les moyens de réception peuvent par exemple se caler sur un autre canal.
On va maintenant décrire en se référant plus particulièrement à la figure 8 et à la figure 9 un exemple particulier d'adressage d'un récepteur. On suppose sur ces figures que chaque trame, ayant une durée
TT, se compose de trois paquets ayant chacun la durée TP. Les paquets sont numérotés de 0 à 2. Il y a donc trois groupes de récepteurs. Chaque groupe de récepteurs est supposé être subdivisé en deux sous- groupes numérotés 0 et 1. On suppose enfin que le récepteur RC11 a été programmé en usine de façon à appartenir au sous-groupe 1 du groupe n° 1.
Sur les figures 8 et 9, la référence BLTSO désigne le bloc d'identification des paquets de rang 0. La référence BLTS2 désigne les blocs d'identification de paquets de rang 2. La référence BLTS 10 désigne un bloc d'identification de paquets de rang 1 désignant par exemple en outre uniquement le sous-groupe 0 tandis que la référence BLTS 1 1 désigne un bloc d'identification de paquets de rang 1 désignant en outre le sous-groupe 1.
On voit donc sur la figure 8 que le récepteur RC11 passe dans son état actif lors de l'occurrence du bloc BLTS 10, qui désigne le groupe 1 auquel appartient le récepteur mais que celui-ci repasse dans son état de repos après analyse du contenu de ce bloc car la sous- famille 1 n'est pas désignée dans celui-ci.
Le récepteur RC11 repasse dans son état actif lors de la réception du bloc BLTS 11 et reste éveillé après analyse de ce bloc puisque le sous-groupe 1 est désigné. Le récepteur reste éveillé jusqu'à la réception du bloc BLMS de signalisation de message dont, dans le cas présent, l'indication temporelle DFS indique qu'un message BLDD est destiné au récepteur RC11 et que ce message intervient dans le paquet courant, à un instant bien défini. Dans ce cas, le récepteur
RC11 se remet en état de repos jusqu'à l'occurrence du premier bloc élémentaire de données, du type BLC, du message BLDD.
Sur la figure 9, la référence BLTS20 désigne le bloc d'identification de paquet de rang 2 désignant en outre le sous-groupe 0. La référence BLTSO 1 désigne le bloc d'identification de paquets correspondant au groupe 0 et au sous-groupe 1.
Sur cette figure 9, on suppose que l'indication temporelle DFS du bloc BLMS indique que le message destiné au récepteur RCl l n'est pas transmis dans le même paquet que ce bloc BLMS mais est transmis dans un paquet ultérieur. Dans ces conditions, le récepteur
RCl l repasse dans son état de repos après l'analyse du bloc BLMS et va alors se réveiller à chaque occurrence suivante d'un bloc d'identification de paquet même si celui-ci ne correspond pas à son groupe. Le récepteur, après analyse de ce bloc d'identification de paquets, va rester éveillé si ce bloc contient en outre une indication dans le mot MSF désignant son sous-groupe. Par contre, le récepteur va se rendormir si ce bloc d'identification ne comporte pas de désignation de son sous-groupe comme c'est le cas pour le bloc BLTS20 (groupe 2 mais sous-groupe 0). Aussi, dans le cas présent, le récepteur RCl l se réveille et analyse le bloc d'identification BLTSO 1 (groupe 0 sous-groupe 1) et reste éveillé jusqu'à l'analyse du bloc de signalisation de message BLMS qui lui indique que son message proprement dit BLDD va être transmis dans ce paquet. Le récepteur RCl l se rendort donc jusqu'à la réception du message BLDD. Après réception de ce message, les cycles d'endormissement et de réveil reprennent leur rythme habituel.

Claims

REVENDICATIONS
1. Procédé pour augmenter l'autonomie de récepteurs d'informations numériques, dans lequel les informations sont transmises depuis au moins une station fixe (ST) par des sous- porteuses de canaux radiofréquence en utilisant un protocole de transmission asynchrone par paquets contenant chacun un nombre prédéterminé de blocs élémentaires, caractérisé par le fait qu'on sélectionne parmi lesdits canaux radiofréquence au moins un canal spécifique de façon à matérialiser au moins un réseau spécifique de transmission identifiable, on définit au sein du protocole de transmission véhiculé par ce réseau une trame de transmission comportant un nombre prédéterminé de paquets successifs, on insère dans chaque paquet de la trame, à un endroit prédéterminé, un bloc élémentaire spécifique d'identification de paquet (BLTS) contenant un identifiant (TR) du rang du paquet dans la trame, on insère dans les trames successives des blocs élémentaires de signalisation de réseau
(BLNS) contenant au moins un identifiant de réseau (NWD), et mutuellement séparés d'un nombre maximal prédéterminé de blocs élémentaires inférieur au nombre de blocs d'un paquet, on stocke dans chaque récepteur (RC) une indication de réseau (IDRR) et une indication de groupe (IDG) correspondant à un rang de paquet dans ladite trame, et par le fait que le procédé comporte une étape d'acquisition (70) dans laquelle chaque récepteur détecte le canal spécifique de transmission en testant la présence d'un bloc de signalisation de réseau contenant un identifiant de réseau (NWD) concordant avec ladite indication de réseau (IDRR), puis, le récepteur étant calé sur ledit canal de transmission spécifique, il analyse l'identifiant de rang (TR) contenu dans le prochain bloc d'identification de paquet, et une étape de synchronisation (71) dans laquelle, le récepteur étant calé sur ledit canal de transmission spécifique et possédant un état de repos et un état actif, on synchronise temporellement la mise dans l'état actif de chaque récepteur sur les occurrences successives des blocs d'identification de paquets (BLTS) dont les identifiants de rang (IR) correspondent à l'indication de groupe (IDG) stockée dans le récepteur (RC), on insère dans un paquet de transmission, après le bloc d'identification de paquet (BLTS), au moins un bloc élémentaire de signalisation de message (BLMS) contenant l'adresse d'un récepteur destiné à recevoir un message, ainsi qu'une indication temporelle relative à l'instant de début de message, et après analyse du contenu du bloc de signalisation de message, on place le récepteur dans un état de repos jusqu'à la réception du message, on insère dans un bloc élémentaire de signalisation de message (BLMS) une indication (MF) relative à la présence d'un agglomérat associé et un identifiant d'agglomérat (HDL), un agglomérat regroupant au moins un bloc élémentaire (BLC) consistant en un identifiant d'agglomérat (HDL) et en une partie utile (DU).
2. Procédé selon la revendication 1 , caractérisé par le fait qu'un agglomérat comprend au moins un bloc élémentaire consistant en un en-tête de bloc et une partie utile (DU).
3. Procédé selon la revendication 2, caractérisé par le fait qu'un agglomérat comprend au moins un paquet de blocs élémentaires, le premier bloc élémentaire étant pourvu d'un en-tête de paquet consistant en un identifiant d'agglomérat (HDL) et en un compteur de paquets.
4. Procédé selon la revendication 3, caractérisé par le fait qu'on intercale temporellement des groupes de paquets appartenant à des agglomérats différents.
5. Procédé selon l'une des revendications précédentes, caractérisé par le fait qu'on insère dans un paquet de transmission, après un bloc élémentaire de signalisation de message (BLMS), plusieurs paquets ayant le même identifiant d'agglomérat (HDL).
6. Procédé selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé par le fait qu'un bloc élémentaire de signalisation de message comprend une indication d'agglomérat retardé et l'identifiant dudit agglomérat retardé et qu'un bloc élémentaire de signalisation de message ultérieur comprend l'identifiant dudit agglomérat retardé de façon à transmettre l'agglomérat retardé dans un paquet différent de celui du bloc élémentaire de signalisation de message antérieur.
7. Système de transmission d'informations numériques, comprenant au moins une station fixe (ST) émettant les informations par des sous-porteuses de canaux radiofréquence en utilisant un protocole de transmission asynchrone par paquets contenant chacun un nombre prédéterminé de blocs élémentaires, et plusieurs récepteurs (RC) comportant des moyens de réception radiofréquence (1) et des moyens de traitement (2) des données reçues, caractérisé par le fait que la station comporte des moyens de génération (MIS) aptes à générer, au sein du protocole de transmission véhiculé par au moins un réseau spécifique de transmission identifiable matérialisé par au moins un canal spécifique de transmission sélectionné parmi lesdits canaux radiofréquence, des trames successives de transmission comportant chacune un nombre prédéterminé de paquets successifs, des moyens d'insertion (MIS) pour insérer dans chaque paquet de la trame, à un endroit prédéterminé, un bloc spécifique d'identification de paquet (BLTS) contenant un identifiant (IR) du rang du paquet dans la trame, et pour insérer dans les trames successives des blocs de signalisation de réseau (BLNS) contenant au moins un identifiant de réseau, et mutuellement séparés d'un nombre maximal prédéterminé de blocs élémentaires inférieur au nombre de blocs d'un paquet, par le fait que chaque récepteur (RC) comporte une mémoire contenant une indication de réseau (IDRR) et une indication de groupe (IDG) correspondant à un rang de paquet dans ladite trame, et par le fait que les moyens de traitement (2) du récepteur possèdent un état actif et un état de repos et comportent des moyens de test aptes à tester, pour chaque canal de transmission reçu par les moyens de réception, la présence d'un bloc de signalisation de réseau contenant un identifiant de réseau concordant avec ladite indication de réseau puis à analyser l'identifiant de rang contenu dans le prochain bloc d'identification de paquet, et des moyens de commande (3) aptes à synchroniser temporellement la mise dans l'état actif de chaque récepteur calé sur ledit canal de transmission spécifique, sur les occurrences successives des blocs d'identification de paquet (BLTS) identifiant des paquets dont les rangs correspondent à l'indication de groupe stockée dans le récepteur, les moyens d'insertion (MIS) étant aptes à insérer dans un paquet de transmission, après le bloc d'identification de paquet (BLTS), au moins un bloc élémentaire de signalisation de message (BLMS) contenant l'adresse d'un récepteur destiné à recevoir un message, ainsi qu'une indication temporelle relative à l'instant de début de message, les moyens de test du récepteur étant aptes à tester l'adresse contenue dans le bloc élémentaire de signalisation de message (BLMS), les moyens de commande (3) étant aptes à placer le récepteur dans un état de repos jusqu'à la réception du message, si l'adresse contenue dans le bloc élémentaire de signalisation de message (BLMS) correspond à l'adresse du récepteur, un bloc élémentaire de signalisation de message (BLMS) comprenant une indication (MF) relative à la présence d'un agglomérat associé et un identifiant d'agglomérat (HDL), un agglomérat regroupant au moins un bloc élémentaire (BLC) consistant en un identifiant d'agglomérat
(HDL) et en une partie utile (DU), la mémoire du récepteur étant apte à stocker l'identifiant d'agglomérat (HDL) pour permettre aux moyens de test d'analyser l'identifiant des agglomérats reçus ultérieurement.
8. Système selon la revendication 7, caractérisé par le fait qu'un agglomérat comprend au moins un bloc élémentaire consistant en un en-tête de bloc et une partie utile (DU).
9. Système selon l'une des revendications 7 ou 8, caractérisé par le fait qu'un agglomérat comprend au moins un paquet de blocs élémentaires, le premier bloc élémentaire étant pourvu d'un en-tête de paquet consistant en un identifiant d'agglomérat (HDL) et en un compteur de paquets.
10. Système selon l'une des revendications 7 à 9, caractérisé par le fait qu'après un bloc élémentaire de signalisation de message (BLMS), plusieurs paquets de transmission comprennent le même identifiant d'agglomérat (HDL).
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US5101510A (en) * 1988-06-18 1992-03-31 Robert Bosch Gmbh Energy conserving stand-by function in radio traffic report receiver
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