FR2754089A1 - Barriere de securite a rayons infrarouges - Google Patents

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FR2754089A1 FR9712030A FR9712030A FR2754089A1 FR 2754089 A1 FR2754089 A1 FR 2754089A1 FR 9712030 A FR9712030 A FR 9712030A FR 9712030 A FR9712030 A FR 9712030A FR 2754089 A1 FR2754089 A1 FR 2754089A1
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Abstract

L'invention concerne une barrière immatérielle de sécurité qui comprend une première colonne contenant des émetteurs, lesquels peuvent émettre des rayons infrarouges avec une ouverture préétablie à travers une fente dans cette colonne, au moins une seconde colonne contenant des éléments récepteurs comprenant des détecteurs opto-électriques pouvant recevoir les rayons émis par les éléments émetteurs à travers une fente dans la seconde colonne de façon à créer un écran de rayons pouvant révéler la traversée d'une partie d'un corps solide. Selon l'invention, chacun des émetteurs (8) comprend une lentille (7) qui concentre en sens transversal à la fente (3) le faisceau émis par chaque émetteur (8) et chaque récepteur reçoit les rayons émis par deux éléments émetteurs (8) ou plus. L'invention s'applique notamment aux barrières de sécurité contre les accidents à placer, entre autres, devant des machines.

Description

La présente invention concerne une barrière de sécurité du type immatériel, en particulier contre les accidents, comprenant au moins un émetteur de rayons infrarouges prévu dans une unité émettrice TX et au moins un capteur détecteur de ces rayons dans une unité réceptrice RX
Les barrières (immatérielles) de sécurité de ce type sont également définies comme "Composants de protection opto-électroniques actifs (Active
Optoelectronic Protection Devices)", et avec une telle dénomination, elles ont été prises en considération pour rédiger les "standards" internationaux européens.
On connaît des barrières consistant en deux colonnes d'éléments actifs, opposées et parallèles, contenant des nombres égaux d'éléments irradiants et détecteurs : la superficie plane comprise entre les deux colonnes est parcourue d'autant de faisceaux de rayons, qui sont parallèles entre eux, qu'il y a de paires d'éléments actifs et cela afin de créer une grille de faisceaux équidistants. Si l'on n'interrompt même qu'un seul des faisceaux, cela produit la variation de l'état logique d'un ou plusieurs interrupteurs présents à la sortie, et cela représente "le signal de commande" pour tout événement, et d'autant plus l'arrêt du mouvement d'une machine dangereuse.
Il est d'usage courant d'utiliser une irradiation dans la gamme des fréquences de l'infrarouge correspondant à des longueurs d'onde aux environ de 820950 nanomètres.
On connaît en outre la technique d'allumer en séquence un seul émetteur à la fois au moyen d'impulsions périodiques de courant d'une durée de quelques microsecondes, tandis que tous les autres restent éteints. Les impulsions du courant sont ordinairement du niveau maximum supportable par les émetteurs. Les diodes présentes dans les récepteurs sont activées pendant les mêmes cours instants et en conséquence sont synchronisées avec l'allumage des émetteurs correspondants en utilisant un raccordement placé entre les deux sections TX et RX.
Les inconvénients de ce système connu sont nombreux : difficulté d'alignement optique de précision de chaque paire, ce qui demande des groupes optiques complexes orientables dans toutes les directions ; la nécessité d'un raccordement entre les deux sections pour les synchroniser ; l'impossibilité d'inverser le sens du montage d'une section par rapport à l'autre ; le risque d'influencer, par une section émettrice, les autres sections réceptrices montées à proximité d'autres machines ; la nécessité de contenir les angles d'ouverture du faisceau irradiant à des valeurs très étroites (de 20 à 40) pour éviter des réflexions dangereuses, pouvant provoquer de fréquents "arrêts de la machine" dus à des mauvais alignements occasionnels provoqués par les très fortes vibrations (par exemple d'une presse) ; les alimentations avec des tensions dangereuses (220-110 V).
La barrière formant actuellement l'objet de la présente invention fournit une efficacité très supérieure avec économie remarquable des composants. On utilise en outre de nombreux faisceaux de rayons disposés en éventail, un pour chaque émetteur, et la réception en mode grand angle de tous les éventails de rayons émis par chaque récepteur.
Cette barrière offre de nombreux avantages particuliers que nous exposerons dans ce qui suit, outre le principal de la formation d'une grille de faisceaux croisés ainsi que parallèles, dont le nombre n'équivaut plus au nombre n des paires d'éléments actifs, comme dans les barrières standards, mais est égal au nombre nTx des émetteurs multiplié par le nombre nRx des récepteurs.
Par exemple, si avec un système à rayons parallèles ayant 6 paires d'éléments, on obtient 6 faisceaux de rayons parallèles, avec le système en éventail, on obtient 36 faisceaux et de plus avec une résolution doublée, ou bien, pour des valeurs égales de résolution, il faut une quantité moindre d'éléments actifs.
La présente invention a pour but, entre autres, de rendre plus simple, plus facile et plus rapide, l'opération d'installation des barrières sur les machines à protéger, leurs essais et leur orientation optique.
L'invention concerne enfin des systèmes optiques de conception originale contenus aussi bien les éléments émetteurs que les éléments détecteurs, qui sont tels qu'ils augmentent la portée optique sans augmentation d'énergie consommée, permettant ainsi d'obtenir une économie remarquable aussi bien de celle-ci que du le nombre des composants électroniques actifs et passifs.
Ces buts sont résolus au moyen d'une barrière de sécurité à infrarouges dans laquelle chacun des émetteurs comprend une lentille qui concentre, dans le sens transversal à une fente, le faisceau émis par chaque émetteur et chacun des récepteurs reçoit les rayons émis par deux ou plus de ces éléments émetteurs. Selon l'invention cette lentille est une lentille à plan convexe façonnée comme une tranche longitudinale de coupe cylindrique en sens axial. La lentille peut ultérieurement être façonnée longitudinalement selon un arc de cercle ou d'ellipse.
Selon l'invention de plus, chacun des émetteurs avec lentille est monté sur une broche pour permettre de régler l'orientation du faisceau émetteur.
Selon l'invention de plus chacun des éléments récepteurs est réalisé comme un composant monolithique intégré et doté d'un système de lentilles convergentes comprenant une lentille externe de forme cylindriqueplane-convexe à section sensiblement sphérique dans le plan vertical. Le système de lentilles comprend en outre une lentille interne de forme sensiblement hémisphérique.
Selon l'invention de plus, chacun des émetteurs est alimenté par des signaux impulsionnels sensiblement rectangulaires, générés par divers oscillateurs, mélangés afin d'obtenir une séquence codée qui peut être décodée par des détecteurs correspondants par identité de la fréquence ainsi que par accrochage des phases.
Un circuit de régulation est de plus prévu pour la puissance irradiée de chacun des émetteurs, comprenant un potentiomètre, le circuit et le potentiomètre étant englobés dans un bloc monolithique en un matériau isolant d'où ne ressort que la broche du potentiomètre.
Chaque récepteur comprend en outre un amplificateur opérationnel, un circuit d'accrochage des phases avec oscillateur relatif, une bascule de Schmidt et une série de diodes de protection, le tout étant englobé dans un bloc monolithique en un matériau isolant.
Selon l'invention, tous les groupes récepteurs convergent leur sortie sur un premier circuit intégré monolithique apte à relever un manque éventuel ou une occlusion d'un ou plusieurs faisceaux de rayons de l'écran immatériel, suivi d'un second circuit intégré contenant le générateur des niveaux des tensions nécessaires au comparateur et les transistors avec sortie collecteur ouvert ou drain ouvert pouvant piloter les deux interrupteurs finals et les signalisations lumineuses de l'état logique des sorties elles-mêmes, les deux circuits intégrés étant pourvus de quelques douilles d'entrée-sortie disposées afin de satisfaire aux examens de dérangement.
Selon l'invention, de plus, la section réceptrice est construite avec la technique du double canal jusqu'à deux interrupteurs séparés de sortie, à l'état solide (sans pièce en mouvement), à travers lesquels peuvent être pilotées des charges indépendantes, en phase, ou bien une charge seule si reliés en série, mais avec sécurité double, de manière à atteindre un degré de sécurité du niveau 2 et respectivement du niveau 3 (étant reliés en série), degré pouvant être élevé au niveau 4 au moyen d'une centrale externe de traitement, grâce au fait qu'elle est construite en utilisant des composants et circuits répondant au plus haut niveau de sécurité sauf le circuit, manquant, de contrôle de la parité de l'état logique des deux sorties.
La barrière selon l'invention peut être utilisée dans de nombreux cas et singulièrement jusqu'à des niveaux de danger de classe 3 et elle peut être suivie, dans sa section réceptrice, d'une petite centrale placée de façon à pouvoir être montée comme faisant partie mais à pouvoir être considérée comme partie intégrante de toute la barrière, et ce composant de sécurité étant préposé au contrôle de l'état logique des deux sorties de cette section, en plus de contrôler l'état d'efficacité des deux interrupteurs finals eux-mêmes de commande de la machine, signalant les opérations et les dysfonctionnements éventuels au moyen d'avertisseurs lumineux et inhibant l'autorisation dans le cas d'une quelconque anomalie de fonctionnement.
Les interrupteurs de sortie de la section réceptrice et ceux du contrôleur de parité de l'état logique sont exécutés selon le type solide auto-contrôlé avec un circuit ou redondance de façon à permettre de piloter directement des contrôleurs programmables éventuels, sans nécessiter d'adaptateurs antirebond et ils sont pourvus de limiteurs du niveau maximum du courant absorbé par la charge, lesquels excluent la possibilité qu'ils soient endommagés par des courtscircuits ou par des surcharges.
Selon l'invention de plus, le contrôleur appliqué à la sortie de la section réceptrice dans son mode de réalisation facultatif a également la fonction de "fonctionnement bistable" utilisable également au moyen d'un poussoir à distance à relier aux broches prévues à cet effet à la place d'une barrette de court-circuit, cette fonction étant vouée à l'un des quatre circuits intégrés monolithiques constituant la fiche, lequel avertit, au moyen d'un signalisation lumineuse pulsatoire, de l'état éventuel de danger de court-circuit des conducteurs de liaison du poussoir à distance.
Les chevilles de sortie des câbles de liaison sont à contacts multiples glissants avec la partie femelle pouvant être extraite et bloquée, une fois appliquée, et les contacts de celle-ci peuvent être reliés aux conducteurs partant vers les utilisateurs au moyen de bornes commodes et accessibles à vis encastrables au moyen d'une coiffe pourvue d'un serre-câble ou d'un serre-tube, pouvant s'appliquer dans l'une quelconque des quatre directions croisées, tandis que les chevilles mâles ont la partie postérieure de leur tige de contact soudée directement sur le circuit imprimé des fiches, pouvant être extraits de conteneurs des deux sections de la barrière.
Enfin, selon l'invention, entre chaque douille de sortie d'un premier circuit 1,logique" intégré utilisé comme distributeur d'allumage des émetteurs et les pistes respectives de liaison externe à celle-ci, est insérée une diode Schottky pour éviter qu'un court-circuit fortuit entre deux de ceux-ci qui puisse produire l'état de danger par allumage simultané de deux émetteurs, diminuant ainsi la valeur de la résolution.
Dans la barrière faisant l'objet de la présente invention, comme celle-ci est prévue pour obtenir un niveau élevé de sécurité, on utilise la technologie du double canal de commande. On utilise en outre un montage électronique par lequel chaque dysfonctionnement d'un seul composant provoque le passage des sorties de commande de la condition de non danger ou bien à l'état de "arrêt machine". Cela se produira à cause de tout dérangement possible provoqué (court-circuit à interruption) sur un seul composant à la fois de tout l'ensemble.
Selon l'invention, le circuit électronique de la présente barrière est subdivisé en un certain nombre "d'ensembles" intégrés monolithiques, chacun contenant une fiche ou plaque sur laquelle sont montés des composants discrets, rendus inaccessibles aux agents externes. De telles fiches, montées de préférence avec le système S.M.D. (Dispositifs de Montage en Surface) sont englobées dans une pièce monolithique au moyen d'une pièce coulée d'un composé se polymérisant, d'où ne sortent que les douilles ou bornes d'entrée et de sortie, d'alimentation et de masse. Le matériau de la pièce coulée est de préférence un composé de polymères ou de matière plastique de façon à produire ainsi un bloc isolant, imperméable, insoluble, inattaquable par les solvants ou par tout autre agent externe. Les fiches sont projetées en disposant, si nécessaire, les douilles intercalées et répétées afin de pouvoir faire subir à l'ensemble l'examen des dérangements provoqués.
D'une telle manière, on réalise également l'un des circuits qui caractérisent la présente invention, ou bien celui prévu pour la régulation linéaire (de zéro au maximum) de la puissance irradiée par les émetteurs, de façon à pouvoir les tarer au niveau minimum nécessaire en fonction de la sensibilité et de la distance des détecteurs opposés.
C'est une caractéristique nouvelle par rapport aux barrières standards trouvées jusqu'à maintenant dans le commerce, et qui permet d'éviter facilement - au moyen d'une simple régulation - l'éventualité d'erreurs dues à un faisceau réfléchi par des surfaces brillantes environnantes.
De ce point de vue, la figure 16 illustre le résultat d'essais effectués. Un rayon dispersé 102, émis par l'un des émetteurs 8 et faisant partie de l'inévitable halo périphérique du cône d'irradiation 101 présente, par rapport au faisceau central direct 105, une intensité déjà réduite d'au moins 5 %, à cause de son excentricité.
On suppose que ce rayon secondaire 102 peut rencontrer, à l'intérieur de la zone dangereuse, une superficie brillante 103 en faisant incidence sur elle à un angle a et étant réfléchi par elle, comme le rayon 104, avec un angle a égal vers le détecteur 14 de la section RX. Ce faisceau réfléchi 104 entrera dans l'optique du détecteur 14 avec une direction encore plus excentrique en angle, d'un angle ss qui subira, pour des motifs optiques, une plus ample atténuation de 10 W. Ces pertes d'intensité sont en outre ajoutées à la perte par réflexion qui, dans le meilleur des cas (miroir en verre argenté), ne sera pas inférieure à 15 W. Le résultat sera que le faisceau réfléchi 104 sera devenu si faible qu'il ne pourra plus être confondu avec le faisceau direct 105 parce que l'intensité de ce dernier a déjà été réduite à la limite d'activité de la barrière grâce au régulateur 24 et une partie ne peut remplacer tout le faisceau 105 qui alors viendra à manquer par l'intrusion d'un corps opaque.
L'introduction d'un régulateur de la puissance irradiée par la section émettrice TX de la barrière infrarouge est également une innovation. En fait, dans les barrières construites jusqu'à maintenant, l'obtention de cette émission était recherchée par d'autres moyens, par exemple en restreignant les angles d'émission et de réception, ce qui était moins efficace et provoquait d'autres inconvénients.
L'invention sera mieux comprise et d'autres buts, caractéristiques, détails et avantages de celle-ci apparaîtront plus clairement dans la description explicative qui va suivre faite en référence aux dessins schématiques annexés donnés uniquement à titre d'exemple illustrant un mode de réalisation de l'invention et dans lesquels
- la figure 1 montre une vue en perspective, schématique et partiellement en coupe de la partie émettrice de la barrière que l'on appellera dans ce qui suit TX, ou bien de la colonne contenant plus particulièrement les émetteurs des rayonnements infrarouges
- la figure 2 montre d'une façon analogue à la figure 1, la colonne contenant les éléments récepteurs ainsi que les circuits annexes
- la figure 3 représente par des traits en pointillés, les trajets des rayons qui composent l'écran de faisceaux croisés actifs
- la figure 4 représente une console de support orientable
- les figures 5 et 6 représentent une solution préférée du système optique pour les émetteurs
- les figures 7, 7A indiquent une solution préférée des groupes optiques contenus dans la section réceptrice
RX
- les figures 8, 9 et 10 montrent la comparaison entre les trajets des faisceaux des rayons d'une barrière connue et ceux du système faisant l'objet de la présente invention
- la figure 11 représente le schéma bloc illustrant le circuit de la colonne émettrice TX
- la figure 12 représente un circuit électrique pour la régulation en sécurité de la puissance des émissions
- la figure 13 représente le schéma bloc du circuit contenu dans la section réceptrice RX
- la figure 14 illustre la création des halos d'un "spot" provoqué par une source non ponctuelle
- la figure 15 démontre la présence d'une "bouche noire" dans une diode génératrice des rayons infrarouges
- la figure 16 représente la réception des rayons réfléchis
- la figure 17 reproduit une solution de connecteurs avec des attaches à serre-câble à vis
- la figure 18 reproduit un schéma bloc du contrôleur de la parité des états logiques ; et
- la figure 19 est un schéma électrique du contrôleur de la parité des états logiques.
Sur les figures 1 et 2 sont représentés, respectivement, un conteneur 1 pour la section émettrice (TX) de la barrière et un conteneur 2 pour la section réceptrice (RX). Pour la brièveté, les deux sections, étant deux entités bien séparées, seront indiquées, au cours de la description, par TX et RX.
Les conteneurs 1 et 2 ont des constructions similaires et sont de préférence réalisés au moyen d'un profilé rigide, extrudé en une matière opaque aux infrarouges. Ils ont de préférence une section en forme de U avec deux retours sur le côté mineur qui est ouvert, de façon à former une fente étroite 3, qui permet la sortie des faisceaux des rayons du conteneur 1 et leur entrée dans le conteneur 2. De telles fentes sont fermées par une bande amovible en une matière filtrante 4, qui empêche le passage de la lumière visible qui constituerait une perturbation, et permet le passage uniquement des rayons infrarouges émis par les émetteurs 8 disposés dans le conteneur 1 et reçus par des groupes intégrés de récepteurs 9 disposés dans le conteneur 2.
Tous les composants électroniques sont montés sur des plaques ou fiches 5, 39 de circuit imprimé qui sont facilement démontables du conteneur grâce à des guidages internes dont ceux-ci sont avantageusement pourvus.
Dans les fiches 5, 39, les pistes métalliques qui constituent les conducteurs de masse, sur les deux faces, sont selon le cas opportunément reliés à la masse des conteneurs 1 et 2 s'ils sont métalliques au moyen d'écrous ou vis métalliques 6 prévus dans ce but, de préférence auto-filetées, pouvant être appliqués à l'intérieur de ceux-ci à travers la fente 3.
Chacun des émetteurs 8 de la section TX est monté sur un support 10, de préférence orientable dans le sens parallèle à la fente 3. Ce support est opaque aux infrarouges et fermé, sur sa partie tournée vers la fente, par une lentille 7. Sur les figures 5 et 6 sont montrés deux types de lentilles, une de préférence de forme semi-toroïdale 7 et une à section en tranche de cylindre plan-convexe 7A, selon que la distance à parcourir entre TX et RX est petite ou grande. Sur la figure 6 est illustrée la forme de lentille la plus commode pour la première solution.
La fonction de la lentille 7 ou 7A est de restreindre latéralement le cône d'émission de façon telle que le faisceau ne soit pas incident inutilement sur les parois latérales internes du conteneur 1, de façon qu'ainsi toute l'énergie irradiée se recueille uniquement vers la fente de sortie 3, et soit distribuée verticalement en éventail selon un angle très ample puis avec distribution de l'intensité le plus possible uniforme sur tout l'éventail. A cette uniformité contribuent également les deux parois internes réfléchissantes 11 et 12 du support 10 qui transmettent les émissions dispersées latérales et- postérieures de l'émetteur 8 vers les extrémités supérieure et inférieure de l'éventail des rayons.
Les supports ou projecteurs 10 sont commodément orientables, par exemple autour d'une broche 13, dans le sens vertical du conteneur 1, ou bien dans le sens longitudinal de la fente 3, afin de rendre possible une "illumination" uniforme de toute la section RX opposée, à partir de chacun de ceux-ci orienté pour le mieux selon la position qui est prise dans la file.
Du côté opposé, ou bien à l'intérieur du conteneur 2, chaque récepteur 9 comprend un élément détecteur 14 disposé dans un bloc intégré monolithique 17 avec d'autres composants, comme cela sera mieux illustré ciaprès. Le bloc 9 est pourvu d'une première lentille hémisphérique 15, surmontée d'une seconde lentille 16 à grand angle (cylindrique-plan-convexe à section quasi sphérique dans le sens vertical du cylindre) apte à recevoir les rayonnements provenant de tous les émetteurs de la section TX opposée de la barrière et à les focaliser sur l'élément sensible 14, noyé sous la première lentille 15 formée en résine thermodurcissable et filtrant l'infrarouge. La figure 7 représente le dispositif en coupe longitudinale et la figure 7A est une coupe transversale.
La figure 3 représente schématiquement une partie des trajets actifs des faisceaux des rayons contenus dans tout l'éventail irradié par les deux premiers émetteurs 8 de l'extrémité supérieure de la section TX et reçus par les détecteurs 9 de la section RX opposée. Les éléments actifs 8 de TX sont de préférence orientables tandis que les détecteurs de la section RX, étant munis de la lentille grand angle 16, ont un angle de visée suffisamment ample pour rassembler les rayons provenant de chaque direction, dans le sens vertical, sur l'élément sensible 14.
Selon une caractéristique importante de la présente invention, le circuit intégré contenu en 17, ainsi que la lentille interne 15, sont imprimés dans un monobloc, de préférence en méthacrylate noir, transparent aux infrarouges et opaque à la lumière visible. Avec le même matériau est formé le boîtier contenant le récepteur 9 réuni à la lentille 16. De cette façon, les deux lentilles 15 et 16, avec le filtre 4 de fermeture de la fente 3 sur le conteneur 2, constituent trois filtres en succession afin de protéger au maximum des lumières perturbatrices provenant de l'extérieur, les rendant inactives jusqu'à une intensité lumineuse de 50 000 lux.
Pour la commodité technique de l'impression, 9 et 16 peuvent être séparés.
Au contraire, les lentilles 7 des émetteurs n'ont aucune nécessité d'être opaques à la lumière visible mais uniquement transparentes aux infrarouges.
La figure 4 représente un moyen de fixation pour les conteneurs 1 et 2, en particulier une console, de préférence estampée en matière thermoplastique et utilisable avec deux sens différents de montage, enfilable sur une broche qui offre la possibilité de blocage et de rotation.
Les vis à tête évasée sont enfilées dans une rainure en queue d'aronde 3A dont sont munis postérieurement les profilés des conteneurs rigides 1 et 2. Elles peuvent être en tout nombre, selon la nécessité de fixation, en fonction de la hauteur des barres ellesmêmes. Les supports de la figure 4, réversibles en plus de rotatifs, sont appliqués uniquement aux deux extrémités de chaque section TX et RX de la barrière.
Pour mieux comprendre le but des figures 8, 9, 10, il faut se reporter ici à la définition du terme "résolution" de l'écran des faisceaux des rayons formés d'une barrière immatérielle. "La résolution correspond au diamètre minimum, exprimé en millimètres, du cylindre qui, introduit dans l'écran, sera intercepté par ses rayons dans les tous les points de sa superficie". Sur les figures 8 à 10 sont comparés les deux systèmes, le standard avec des rayons parallèles selon la figure 8 et celui des figures 9 et 10 représentant le trajet des faisceaux de rayons en éventail que l'on adopte dans la présente invention. I1 est graphiquement évident sur la figure 9 que, en adoptant le système en éventail des rayons, la résolution devient égale à celle de la figure 8 (à rayons parallèles du type standard) mais cependant avec un espacement en ligne droite double des éléments actifs.
La figure 10 montre la façon dont, pour un même nombre de paires actives, la résolution maximale acquise par le système en éventail donne une valeur double de celle du système standard de la figure 8 (diamètre du cylindre intercepté diminué de moitié). Il est en outre clairement démontré géométriquement par la figure 10 que, avec le système en éventail, la valeur nominale de la résolution est obtenue seulement dans certains points défavorisés du réseau des faisceaux tandis que dans tous les autres la valeur est bien supérieure à la nominale.
La figure 11 illustre de façon simplifiée et, uniquement à titre démonstratif mais non limitatif, le fonctionnement théorique de la section TX (émettrice) de la barrière faisant l'objet de la présente invention.
Deux générateurs 116 et 117 d'impulsions rectangulaires sont prévus. L'oscillateur 116 génère des impulsions à une fréquence ultrasonore (de préférence aux environ de 55 kHz), tandis que l'oscillateur 117 produit des impulsions presque rectangulaires à une fréquence bien inférieure (de préférence aux environ de 400 Hz).
Les fréquences choisies comme exemple sont celles commodes pour la réalisation d'une barrière en se référant à l'état actuel de la technique des composants électroniques disponibles, toutefois cela n'est pas limité.
Les impulsions rectangulaires de l'oscillateur 116 ont ainsi, dans l'exemple cité à la fréquence de 55 kHz, un cycle d'une durée (période) de 1/55 000 égal à environ 18 microsecondes, et leur durée est réglable (dans le cas présent on a choisi une durée utile de 50 W) selon la capacité de la part de l'élément émetteur de suivre les variations du zéro au maximum des rayonnements et de redescendre du maximum à zéro en des temps inférieurs à 18 ys.
Les impulsions générées par l'oscillateur 117 ont une période (l/f) bien plus importante, ou bien 1/400 = 2500 microsecondes et leur durée (118 sur la figure) est à titre d'exemple fixée égale à 300 microsecondes en intercalant entre elles un temps inactif (119) égal à 2500 - 300 = 2200 sss. Les impulsions des deux générateurs sont mélangées dans un circuit logique prévu à cet effet (non représenté) et puis injectées au moyen de l'unité pilote ou d'entraînement 22 dans les émetteurs 23 de rayonnement infrarouge invisible à l'oeil humain. Un distributeur 20 habilite séquentiellement les émetteurs, un seul à la fois, pendant la durée 118 de 300 jts de façon à obtenir un nombre de 300 /18 = environ 16 impulsions brèves (celles-ci d'une durée = 18 js) . Le nombre de 16 correspond à un code nécessaire pour que les
PLL calibrées de chaque récepteur individuel (que l'on décrira ci-après) puissent être activées, tandis que le temps inactif 119 est nécessaire pour laisser refroidir les éléments irradiants 23 dans l'intervalle entre un allumage et le suivant.
Des diodes Schottky 21 disposées sur chaque sortie du distributeur ou contacteur cyclique 20 sont contenues, avec ce dernier, dans un circuit intégré monolithique de façon que, même dans le cas d'un court-circuit accidentel des deux sorties, le système passe en condition d'arrêt, évitant une situation en état de danger, ce qui n'arriverait pas si les sorties étaient directement celles du distributeur 20. Ce système sauvegarde le fonctionnement en toute sécurité de la présente barrière.
Un régulateur à courant constant montré à la figure 12 est un autre groupe intégré monolithique 24 qui permet de régler, au moyen d'un potentiomètre qui y est englobé et avec la seule broche accessible et graduée, l'intensité des impulsions qui sont envoyées aux émetteurs 23. Leur énergie est prélevée du condensateur 28 qui sert de réservoir et on fait passer le courant à travers les interrupteurs à transistor 22, pilotés par le distributeur 20. Un transistor 27 est prévu pour stabiliser le niveau d'énergie accumulée dans le condensateur 28 et donc l'ampleur des impulsions d'allumage des diodes émettrices 23. Le groupe intégré possède, outre la sortie 29 vers le condensateur 28 (externe étant donné ses dimensions importantes), une borne ou douille 25 de masse et une troisième douille 26 reliée à une alimentation générale stabilisée. Toutes ces bornes étant avantageusement intercalées et commodément multiplan afin de satisfaire la condition de sécurité répondant positivement aux examens des dérangements.
D'autres composants 30 complètent le circuit.
En se référant à la figure 13, celle-ci représente de façon simplifiée et uniquement à titre d'illustration mais sans limitation, le schéma bloc des principaux composants électroniques, actifs et passifs, de la section réceptrice RX de la barrière immatérielle faisant l'objet de la présente invention.
Au moyen de l'utilisation des composants intégrés et des autres composants miniaturisés, et grâce à un montage superficiel dans chacun des circuits monolithiques 9, on a regroupé toutes les fonctions accomplies par les éléments suivants
- la photodiode 14 qui constitue le détecteur d'infrarouges, munie de la lentille 15, opaque à la lumière visible et transparente aux infrarouges
- la lentille 16 cylindrique plan convexe ou bien cylindrique plan-convexe-semi-toroïdale, composée du même matériau noir, commodément reçue par impression dans un corps unique avec le conteneur 9, ou bien superposée su
- le groupe de diodes 35 (double série en double parallèle) qui garantit la sûreté du fonctionnement dans le cas où l'une d'entre elles est endommagée ce qui ne serait pas le cas si la sortie était exécutée au moyen d'une simple diode. La sortie est dédoublée sur deux douilles différentes, écartées l'une de l'autre, avec interposition d'une douille de masse, toujours pour obtenir l'habilitation alors que tout l'ensemble intégré 9 est soumis aux examens des dérangements provoqués.
- au dessus du circuit intégré est présent un cinquième contact T (TEST), utile pour le contrôle instrumental en phase d'essai.
Le circuit intégré monolithique est répété autant de fois qu'il y a de points sensibles nécessaires dans la section RX, et les circuits intégrés sont disposés équidistants ou au moins, selon la nécessité, sur une fiche de circuit imprimé 39 (figure 2) enfilée dans le conteneur 2 de RX de façon que les lentilles soient à la distance maximale de la fente d'entrée des faisceaux des rayons. Sur cette fiche sont montés d'autres composants qui, à cause des dimensions irréductibles, ne résident pas commodément à l'intérieur des monoblocs intégrés, comme les condensateurs électrolytiques, les diodes luminescentes de signalisation (LED), le régulateur de tension, les varistors (Résistances Dépendant de la
Tension VDR), les serre-câbles pour les conducteurs de l'alimentation et des deux interrupteurs de sortie 38, les deux fusibles de protection etc...
Deux autres groupes intégrés monolithiques 36-37 sont montés sur la fiche 39, dans les espaces entre les blocs 9 qui, pour une résolution par exemple de 40 mm, se trouve écartés de 80 mm. Ceux-ci contiennent, en regroupements intégrés très commodes, un comparateur calibré de façon que le manque d'une seule impulsion de la séquence envoyée par tous les récepteurs, empêche le maintien du niveau de subsistance pour lequel n'est pas provoqué le passage à l'alarme, ou bien le déclenchement de l'ordre d'ouverture des interrupteurs finals.
Sont par ailleurs contenus dans les circuits monolithiques 36, 37 : un générateur des niveaux stabilisateurs des tensions nécessaires au comparateur, et l'intégrateur de toute la séquence des impulsions qui stabilisent le niveau moyen de travail, déterminé par la plus petite de toute la séquence.
Toujours dans les circuits monolithiques 36, 37, sont intégrés les interrupteurs constitués de transistor à collecteur ouvert ou bien à drain ouvert , lesquels commandent les LED contenues dans les deux interrupteurs finals de commande 38 à l'état solide.
Il n'est pas nécessaire d'illustrer en détail les circuits des groupes individuels 36-37-38 par le fait que leur particularité ne réside pas dans le type des composants contenus ni dans le schéma de leurs connexions mais dans le fait qu'ils ont été exécutés sous la forme de circuits intégrés monolithiques et que leurs composants respectifs sont subdivisés de façon à avoir le nombre minimum d'entrées et de sorties et ces dernières sont disposées de façon à satisfaire pleinement l'examen de sécurité des dérangements provoqués.
Cette condition est en fait essentielle pour une protection électrosensible de sécurité qui est obtenue, selon l'invention, au moyen de la division particulière en blocs des composants nécessaires et de leur intégration dans des ensembles monolithiques.
Sur la figure 14 est illustré le motif pour lequel un élément émetteur d'utilisation générale, tel qu'une diode à cristal d'Arséniure de Gallium, ne peut fournir un faisceau de rayons nettement défini sur les bords de la section du cône ainsi produit, à cause de la source qui n'est pas ponctuelle mais a une certaine superficie.
La masse transparente 40 se termine par une superficie lenticulaire 41 et contient, à la distance calculée f, le cristal 42 d'aire normalement carrée. On peut géométriquement démontrer la façon dont le cône des rayons à la sortie du centre exact a une ouverture angulaire aA, en section, correspondant à celle due à sa distance du point focal de la lentille 41.
Tous les autres points de la surface irradiante auront, comme par exemple ceux situés sur les angles du carré, un cône non plus dans l'axe de la lentille 41, formant ainsi des halos de aB à aC, plus ou moins convergents par rapport au central aA.
La présence d'une seconde lentille 7 ne fait qu'empirer la divergence de ces rayons dispersés.
Sur la figure 15, en maintenant la numérotion équivalente à celle de la figure 14, est représenté l'ensemble de l'élément rayonnant 8, et plus précisément la présence sur le cristal 42 d'un dépôt métallique 43 non irradié (inerte) par les infrarouges et de forme ordinairement en étoile.
Cette métallisation est nécessaire pour pouvoir conduire, à la superficie supérieure du cristal, le courant d'"allumage" au moyen d'un "poil" mince 44 soudé sur la douille 45 sortant de la masse isolante. Une douille 46 sert de second conducteur et la superficie inférieure du cristal lui est soudée, de polarité opposée à celle de la douille 45.
La présence de cette "tache" sur le cristal produit le défaut de la "bouche noire" exactement au centre du "spot" ou faisceau irradié ou bien, alors que l'on tente d'obtenir avec une lentille convergente le "spot" de dimensions minimes, il se forme quand le point focal de la lentille entre en contact avec le plan du cristal. Le faisceau des rayons irradié aura ainsi le diamètre minimum mais avec irradiation nulle en son centre exact.
Pour éliminer le défaut il faut "rendre floue" la lentille, provoquant en compensation un cône d'un diamètre majeur et entouré de halos.
Les inconvénients illustrés sur les figures 14 et 15, tandis qu'ils créent de fortes difficultés dans les barrières du type standard, pour obtenir des faisceaux très resserrés, n'ont aucune influence sur la barrière formant l'objet de la présente invention par le fait que celle-ci est calibrée avec le système au niveau minimum d'irradiation.
Sur la figure 16 est illustré le motif pour lequel en utilisant le système de la puissance minimale irradiée adopté dans la présente invention, on obtient la condition requise de la non influence nocive des surfaces réfléchissantes dans les alentours de la zone dangereuse, ZP.
L'élément rayonnant 8, avec ses lentilles, envoie un faisceau de rayons vers l'appareil optique du détecteur 14 opposé et aligné au mieux.
Le faisceau principal de rayons 101 part avec un diamètre correspondant à l'ouverture maximale de la dernière lentille et il est entouré d'une myriade de rayons dispersés, comme cela est représenté à la figure 14, ayant des trajectoires pour le plus divergentes.
Le faisceau principal 101, au moyen du régulateur 26 de la figure 12, est régulé, en fonction de la distance entre l'émetteur 8 et le récepteur 14, à la valeur d'intensité minimale indispensable pour tenir accroché le détecteur 14, par exemple 100 lux mesurés au centre du détecteur 14. La régulation est exécutée d'une manière si précise qu'il suffit d'une diminution de l'éclairement de 5 %, ou bien à 95 lux, pour perdre l'accrochage du récepteur RX et faire démarrer la machine arrêtée.
En examinant le rayon 102 faisant partie des faisceaux dispersés et donc naissant déjà avec une atténuation de 10 W à cause de sa divergence ss (que l'on peut déduire du diagramme des rayonnements), il peut être incident sur une éventuelle surface réfléchissante 103 avec un angle a et être réfléchi avec un angle égal a dans la direction du récepteur 14 avec la trajectoire 104. Ce rayon, qui est le prolongement réfléchi du rayon 102, déjà atténué aux environs de 90 lux par sa divergence ss déjà examinée, subit une autre réduction à cause de la perte par réflexion qui, selon les diverses surfaces brillantes, peut varier de 50 W à 15 W (miroir en verre argenté). L'intensité de 90 lux du rayon 102, en devenant le rayon 104, envoie 90 x 0,85 = 76,5 lux (on considère 15 % de perte). I1 faut également tenir compte de la perte ultérieure due au désaxage à l'entrée dans l'optique du récepteur 14, laquelle, dans le sens horizontal, a une ouverture de champ très réduite. Après, mesure effectuée, cette perte est au minimum de 20 , donc le rayon réfléchi 104 entre dans le récepteur 14 avec une intensité de 76,5 x 0,8 = 61,2 lux.
Le circuit électronique commandé par le récepteur 14 est calibré grâce au régulateur 24 pour perdre l'accrochage avec l'émetteur a une intensité réduite en dessous de 95 lux, c'est pourquoi il ne pourra s'accrocher à un faisceau d'une intensité de 61,2 lux reçu par réflexion, quand viendra à manquer le faisceau direct 105 à cause de la présence d'une personne ou d'un objet. Cette sauvegarde ne serait pas possible si l'intensité de l'émetteur avait été fixée en phase de construction à une valeur maximale fixe immuable, ou bien à la valeur nécessaire pour obtenir la portée maximale, comme cela se produit couramment dans toutes les barrières connues.
En continuant la description des deux sections, celle qui transmet TX et celle qui reçoit RX, de la barrière selon l'invention, sur la figure 17 sont illustrés les organes exclusifs d'accrochage des câbles de connexion vers l'extérieur, qui présentent l'avantage de pouvoir être retirés du système sans accroc, étant donné le blocage sans nécessiter de soudure, ou bien au moyen de pinces à vis.
La particularité du couvercle 50 (vue supérieure) et 51 (vue latérale) de fermeture de la partie détachable 53 est qu'il possède, sur un côté, un serre-tube 52 rotatif et de pouvoir venir s'appliquer indifféremment à quatre orientations diverses, en croix, des câbles de sortie.
La partie "détachable" 53 du connecteur (vu sans couvercle sur la figure 17) est pourvue d'un nombre suffisant de bornes 54 dans lesquelles on introduit les conducteurs 55 serrés au moyen des vis 56 qui entraînent un écrou de pression interne. Chaque borne se termine, à sa partie inférieure, par une douille en contact glissant, de préférence femelle. Dans chacune de celleci, sont enfilés les contacts glissants mâles 54 en un nombre égal et dans des positions homologues aux contacts femelles, contenus dans une cuve de support 58. Les parties saillantes 59 des douilles mâles entrent dans les orifices prévus sur les fiches 5, 39 et sont soudées dans les pistes des circuits imprimés. Alors que la fiche est introduite complètement dans les conteneurs 1, 2, la partie complète du connecteur mâle, devenant solidaire de la fiche, se trouve bloquée dans un renfoncement du profilé au moyen de vis prévues à cet effet et de pièces d'écartement qu'il n'est pas nécessaire de décrire. La partie finale du conteneur est fermée par un bouchon solide 60, profilé et pourvu de perçages autofiletés opportuns.
Sur la figure 18 est reporté le schéma bloc de la centrale de contrôle et de sécurité pour les sorties de commande de la partie détecteurs RX de la présente invention. Dans la majorité des solutions des cellules photo-électriques traditionnelles pour des barrières immatérielles du type indiqué, cette partie du circuit est englobée dans la colonne RX, la rendant encombrante, peu versatile, très compliquée par la présence de nombreuses signalisations et éventuellement de poussoirs ou leviers d'interrupteur.
La présente invention se distingue de la technique antérieure parce qu'elle simplifie sensiblement la partie finale du circuit des détecteurs et qu'elle permet d'aménager la centrale finale qui peut être définie comme un contrôleur de parité de l'état logique des sorties en d'autres endroits de la machine qui sont plus commodes, moins exposés aux dangers et de façon plus logique, les barres TX et RX étant par contre montées normalement en position avancée entre la machine et l'opérateur humain, devant celui-ci.
Le contrôleur de parité, auquel se rapporte le schéma bloc (figure 18) est d'une configuration commode (figure 19), constituant la continuation du circuit de la section réceptrice RX et ainsi faisant partie intégrante de l'invention. On peut se passer de celui-ci en renonçant simplement à la sécurité pour le niveau maximum de risque, que l'on appelle communément niveau 4 (Type 4).
La partie de base TX et RX étant donc construite en respectant toutes les conditions de sécurité maximale comprenant la technique du double canal et l'examen des dérangements provoqués, quand la section RX est utilisée sans être suivie de son contrôleur de la parité des deux sorties, et avec celles-ci reliées en série entre elles, l'ensemble peut rejoindre le niveau 3 de sécurité. De cette manière, la protection est moins coûteuse dans tous les cas dans lesquels il n'est pas requis d'atteindre le niveau 4 de sécurité et cela présente l'avantage que l'on peut atteindre ce niveau, en l'occurrence, et également le suivant, simplement en ajoutant le contrôleur et sans aucune autre modification. Ce sont d'autres avantages pouvant être obtenus avec la présente invention.
La fonction à laquelle est préposé le contrôleur et que nous décrirons et celle de vérifier que l'état logique des deux commandes entrant en 61 et 62 est égal et simultanément que le sont également les interrupteurs de sortie en 70 et 71.
Cela veut dire, les deux commandes étant uniquement constituées d'interrupteurs, que les deux sont fermées (en circuit) ou bien les deux sont ouvertes (hors circuit) simultanément. Les états logiques, paritaires au moins, sont relevés par le comparateur 63, lequel signalera avec l'allumage de la signalisation lumineuse 76 en ROUGE, la situation d'ARRET, ou bien l'ouverture simultanée des deux interrupteurs de sortie faisant face aux bornes 70-71 (condition "d'arrêt" de la machine) uniquement quand les deux commandes de 61 et 62 sont elles aussi à l'état ouvert (hors circuit). Si une seule de ces dernières était ouverte et l'autre fermée, le comparateur 63 ferait ouvrir en mode irréversible les deux interrupteurs 70 et 71, signalant l'événement avec l'allumage de la signalisation 77 JAUNE appelée BLOCAGE.
Cette situation est considérée comme étant la cause d'un dérangement et reste jusqu'à la réparation de celui-ci.
La même situation se répète, grâce au second comparateur 64, dans le cas où il y aurait une disparité d'état entre les interrupteurs contenus dans le contrôleur de sortie 65, faisant face aux bornes 70-71, cause d'un contact isolé ou soudé, accidentellement.
Si la disparité de sortie ne persiste pas (et pas même à l'entrée), le contrôleur 65 fait éclairer une signalisation VERTE 78 appelée ALERTE (ou bien deux signalisations VERTES 78-79, une pour chaque sortie), qui indiquent l'état de fermeture des deux interrupteurs et donc la permission du fonctionnement de la machine surveillée par le groupe détecteurs-contrôleur.
Le contrôleur 65 contient deux interrupteurs statiques électroniques, comprenant commodément des transistors à effet de champ (FET), auto-contrôlés en redondance. En outre, il contient un système limiteur du courant combiné de façon qu'un court-circuit ou une surcharge, ou bien une mise à la masse casuelle des bornes de sortie 70 et 71 ne produise pas la destruction des interrupteurs qui leur sont reliés mais l'état de "BLOCAGE" signalant un dérangement ou dysfonctionnement.
Une autre particularité est que l'état de BLOCAGE, après un quelconque événement anormal, s'élimine automatiquement après avoir supprimé la cause au moyen d'une opération d'intrusion et d'extraction d'un obstacle dans l'écran des rayons de protection de la barrière immatérielle, évitant ainsi la nécessité d'actionnement d'un poussoir adjacent.
Les blocs de circuit indiqués sur le schéma de la figure 18 et le dessin de la figure 19, ou bien ceux pourvus des repères 63, 64, 65, 72, sont commodément réalisés avec le système de l'intégration des circuits imprimés immergés dans des résines thermodurcissables dans des conteneurs munis de douilles ou bornes (broches) d'entrée et de sortie et formant des monoblocs intégrés monolithiques.
Une autre condition possédée par le contrôleur objet de l'invention est celle de la possibilité facultative de l'équiper du composant prévu pour l'introduction du fonctionnement bistable de toute la protection : ou bien, une fois provoqué l'évènement d'arrêt (ARRET), provoqué par l'introduction d'un obstacle dans l'écran des rayons, la machine ne réactive pas le mouvement de ses organes dangereux après l'extraction de l'obstacle, mais reste arrêtée jusqu'au moment de reprise volontaire de la possibilité de réactionnement de la part de l'opérateur, au moyen d'un poussoir prévu à cet effet (indiqué par la MISE EN
MARCHE) qui est ordinairement placé sur le tableau de commande de la machine. A tout ceci pourvoit le bloc intégré 72 muni des bornes 73 pour relier les deux conducteurs du poussoir à distance (lorsque celui-ci manque, on applique le cavalier de court-circuit 74) et muni d'une signalisation double, de préférence de lumière
ROUGE PULSANTE, 75 qui entre en fonction dans le cas où les conducteurs reliés en 73 entreraient par hasard en court-circuit. Elles s'allume également pendant le temps d'actionnement du poussoir.
Cette condition du contrôleur élimine la nécessité d'appliquer la fonction de bistabilité et de "remise en marche" dans la centrale électrique des commandes générales de la machine avec une simplification remarquable et une économie de prix.
Il est évident que tous les éléments peuvent être remplacés par d'autres techniques mieux équivalents.
Dans la pratique, les matériaux employés, bien que compatibles avec l'usage spécifique, ainsi que les dimensions et les formes peuvent être quelconques, selon les exigences.

Claims (16)

REVENDICATIONS
1. Barrière immatérielle de sécurité du type comprenant
au moins une première colonne contenant un certain nombre d'émetteurs, chacun pouvant émettre des rayons d'un rayonnement infrarouge avec une ouverture pré-établie à travers une fente dans ladite première colonne
au moins une seconde colonne contenant un certain nombre d'éléments récepteurs comprenant des détecteurs opto-électriques pouvant recevoir les rayons émis par lesdits éléments émetteurs, à travers une fente dans ladite seconde colonne, afin de créer un écran de rayons pouvant révéler la traversée d'une partie d'un corps solide
caractérisée en ce que chacun desdits émetteurs (8) comprend une lentille (7, 7a) qui concentre, en sens transversal à la fente (3), le faisceau émis par chaque émetteur (8) et en ce que chacun des récepteurs (9) reçoit les rayons émis par deux desdits éléments émetteurs (8) ou plus.
2. Barrière selon la revendication 1, caractérisée en ce que la lentille précitée est une lentille plan convexe (7A) façonnée comme une tranche longitudinale de coupe cylindrique en sens axial.
3. Barrière selon la revendication 2, caractérisée en ce que la lentille précitée (7A) est une lentille plan-convexe et ultérieurement façonnée longitudinalement selon un arc de cercle ou d'ellipse.
4. Barrière selon les revendications 1 à 3, caractérisée en ce que chacun des émetteurs (8) avec les lentilles (7, 7A) est monté sur une broche (13) pour permettre de régler l'orientation du faisceau émis.
5. Barrière selon les revendications précédentes, caractérisée en ce que chacun des éléments récepteurs précités (9) est réalisé comme un composant monolithique intégré (14, 17) doté d'un système de lentilles convergentes comprenant une lentille externe (16) de forme cylindrique plane convexe à section sensiblement sphérique dans le plan vertical.
6. Barrière selon la revendication 5, caractérisée en ce que le système précité des lentilles comprend en outre une lentille interne (15) de forme sensiblement hémisphérique.
7. Barrière selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que chacun des émetteurs (8) précité est alimenté par des signaux impulsionnels sensiblement rectangulaires, générés par des oscillateurs (116, 117) divers, mélangés de façon à obtenir une séquence en code qui peut être décodée par des détecteurs correspondants (14) pour l'identité de fréquence ainsi que pour l'accrochage des phases.
8. Barrière selon la revendication 1, caractérisée en ce qu'un circuit de régulation de la puissance irradiée par chacun des émetteurs (8) est prévu, comprenant un potentiomètre, lesdits circuit et potentiomètre étant englobés dans un bloc monolithique en matière isolante dont ne ressort que la broche du potentiomètre.
9. Barrière selon la revendication 1, caractérisée en ce que chaque récepteur (9) comprend en outre un amplificateur opérationnel (32), un circuit pour l'accrochage des phases (33) avec l'oscillateur relatif, une bascule de Schmidt et une série de diodes de protection, le tout étant englobé dans un bloc monolithique en matière isolante.
10. Barrière selon la revendication 1, caractérisée en ce que tous les groupes récepteurs (9) convergent leur sortie sur un premier circuit monolithique intégré adapté à relever un éventuel manque ou une occlusion d'un ou plusieurs faisceaux des rayons de l'écran immatériel, suivi d'un second circuit intégré contenant le générateur des niveaux des tensions nécessaires au comparateur et les transistors avec sortie collecteur ouvert ou non ouvert aptes à piloter les deux interrupteurs finals et les signalisations lumineuses de l'état logique des sorties elles-mêmes, les deux circuits intégrés étant pourvus de quelques douilles d'entrée-sortie disposées afin de satisfaire à l'examen des dérangements.
11. Barrière selon la revendication 1, caractérisée en ce que la section réceptrice (RX) est construite avec la technique du double canal jusqu'à deux interrupteurs séparés de sortie, à l'état solide (sans pièce en mouvement), à travers lesquels sont pilotables deux charges indépendantes, en phase, ou bien une charge seule s'ils sont reliés en série, mais avec sécurité doublée, afin d'atteindre un degré de sécurité de niveau 2 et respectivement de niveau 3 (s'ils sont reliés en série) degré pouvant être élevé au niveau 4 au moyen d'une centrale externe de traitement, grâce au fait que l'on construit en utilisant des composants et circuits répondant au plus haut niveau de sécurité, sauf le circuit manquant de contrôle de la parité de l'état logique des deux sorties.
12. Barrière selon la revendication 1, caractérisée en ce qu'elle peut être utilisée dans de nombreux cas et singulièrement jusqu'à un niveau de danger de classe 3 et en ce que sa section réceptrice (RX) peut être suivie par une centrale prévue pour être montée comme faisant partie mais pouvant être considérée comme partie intégrante de toute la barrière, les composants de sécurité préposés au contrôle de l'état logique des deux sorties de ladite section, outre de servir de contrôleur de 11 état d'efficacité des deux interrupteurs finals eux-mêmes de commande de la machine, signalant les opérations et les dysfonctionnements éventuels au moyen d'indications lumineuses et inhibant la permission dans le cas d'une quelconque anomalie de fonctionnement.
13. Barrière selon la revendication 1, caractérisée en ce que les interrupteurs de sortie de la section réceptrice (RX) et ceux du contrôleur de parité de l'état logique sont exécutés du type solide auto-contrôlé avec un circuit en redondance, de façon à pouvoir piloter directement d'éventuels contrôleurs programmables (PLL) sans nécessité d'adaptateurs antirebond, en ce qu'ils sont pourvus de limiteurs du niveau maximum du courant absorbé par la charge ce qui exclut la possibilité qu'ils soient endommagés par des courts-circuits ou par des surcharges.
14. Barrière selon la revendication 1, caractérisée en ce que le contrôleur appliqué aux sorties de la section réceptrice (RX), dans sa réalisation facultative, contient également la fonction de "fonctionnement bistable" utilisable également au moyen d'un poussoir à distance à relier aux bornes prévues à cet effet à la place d'une barrette de court-circuit, ladite fonction étant vouée à l'un des quatre circuits intégrés monolithiques constituant la fiche, lequel avertira, au moyen d'une signalisation lumineuse pulsatoire, l'état éventuel de danger de court-circuit des conducteurs de liaison du poussoir à distance.
15. Barrière selon la revendication 1, caractérisée en ce que les chevilles de sortie des câbles de liaison sont à contacts multiples glissants avec la partie femelle pouvant être extraite et bloquée, une fois appliquée et en ce que les contacts de celle-ci peuvent être reliées à des conducteurs partant vers les utilisateurs au moyen de bornes commodes et accessibles à vis encastrables au moyen d'une coiffe pourvue d'un serre-câble ou d'un serre-tube, pouvant s'appliquer dans l'une quelconque des quatre directions croisées tandis que les chevilles mâles ont la partie postérieure de leur tige de contact soudée directement sur le circuit imprimé des fiches, que l'on peut extraire des conteneurs des deux sections de la barrière.
16. Barrière selon la revendication 1, caractérisée en ce qu'entre chaque douille de sortie d'un premier circuit "logique" intégré utilisé comme distributeur d'allumage des émetteurs et les pistes respectives de liaison externe à celui-ci est insérée une diode Schottky prévue à cet effet, pour éviter qu'un court-circuit fortuit entre deux de ceux-ci puisse produire l'état de danger par allumage simultané de deux émetteurs, diminuant ainsi la valeur de la résolution.
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