FR2750295A1 - Box de contention pour anesthesier les animaux de boucherie - Google Patents

Abstract

La présente invention concerne un box de contention permettant d'anesthésier les animaux de boucherie, notamment les porcs avant leur abattage par égorgement. Ledit box est constitué d'un cadre-châssis (1) fermé à l'arrière par une porte guillotine (2) ouvert à l'avant, sur lequel s'articulent des panneaux latéraux (3-4), un plancher (5) mobile, des branches (6) support électrodes (7) formant pince, destinés à délivrer sur la nuque de l'animal un courant électrique anesthésiant. Le box selon l'invention se caractérise en ce que les branches (6) sont articulées sur des volets d'arrêt (8) disposés sur l'ouverture avant du box. Ces branches (6), volets (8), porte (2) et panneaux sont électriquement isolés et mis en oeuvre par le positionnement de l'animal dans le box.

Description

BOX DE CONTENTION POUR ANESTHESIER LES ANIMAUX DE BOUCHERIE
La présente invention concerne les perfectionnements apportés aux box de contention permettant d'anesthésier les animaux de boucherie, notamment les porcs, avant leur abattage par égorgement.

Lesdits perfectionnements portent essentiellement sur la constitution du box,
I'automatisation de certaines opérations et la maîtrise des paramètres liés à l'anesthésie.

Généralement l'animal destiné à l'abattage est amené à l'abattage est amené du lieu de parcage, ,par des moyens mécaniques tels que rampe d'accès, à un dispositif maintenant l'animal de façon qu'il puisse être facilement anesthésié. Ejecté du dispositif il est ensuite égorgé et dépecé.

L'animal a quelque répugnante à s'introduire dans le dispositif c'est la raison pour laquelle pour des abattages en grande série et pour éviter des pertes de temps, des transporteurs mécaniques le plus souvent automatisés sont utilisés.

L'automatisation des divers dispositifs utilisés pour anesthésier les animaux porte essentiellement sur leur acheminement jusqu'au box de contention. Ce box de contention présente généralement une porte guillotine isolant l'animal à traiter des autres en attente, des parois disposés en V ou en U destinées à maintenir immobile l'animal au moment de l'anesthésie quel que soit le mode de transport ou d'acheminement de l'animal, la conception et la réalisation du box de contention sont conditionnées par la catégorie d'animal à traiter et par la quantité. II est rarement prévu dans ces abattages en chaîne plusieurs postes de contention qui auraient permis d'augmenter les cadences compatibles avec des systèmes d'acheminement performants. De sorte que pour traiter de grandes quantités d'animaux rapidement il est indispensable de recourir à des automatismes évolués permettant d'anesthésier l'animal sans perte de temps pour les manipulations.

II est évident que le recours à l'automatisation du box n'est pas indispensable pour des petites séries d'animaux à traiter.

C'est généralement le cas d'abattoirs municipaux de petites villes, pour lesquels notamment l'anesthésie est effectuée manuellement..

Cette opération d'anesthésie est très souvent traumatisante.

Elle consiste à faire passer un courant entre deux électrodes appliquées derrière la nuque de l'animal. Cette opération manuelle pour de petites installations peut être automatisée pour des abattages de moyenne ou grande série.

La décharge électrique appliquée provoque quelquefois des rétractations brutales des muscles de l'animal pouvant aboutir à la rupture de certains os tels que l'épaule ou la cuisse. Ces ruptures s'accompagnent d'hémorragies internes qui ne sont pas décelées au cours du dépeçage de l'animal. Les pertes qui s'ensuivent notamment pour les jambons des porcs ainsi rendus inconsommables sont évaluées de 5 à 7 %.

Par ailleurs certains porcs présentent de micro-hémorragies, consécutives à l'anesthésie. Ces hémorragies influent sur la qualité de ia viande.

Pour éviter ces traumatismes et ces dégâts certains postes d'anesthésie mettent en oeuvre des dispositifs d'augmentation graduelle de la tension appliquée (Brevet
EP.60.527).

Certaines installations combinent un convoyeur à bande sans fin ou tapis roulant à un système d'application automatique de la tension anesthésiante (Brevets européens NIJHUIS B.V. EP. 67481 et précédents).

Outre les perfectionnements apportés aux systèmes d'acheminement des animaux (Brevet EP. 225.148) et aux dispositifs d'anesthésie, les box ont fait l'objet de réalisations nombreuses et variées soit adaptées à une ou deux catégories d'animaux telles que porcs et moutons soit plus universelles.

Ainsi pour des animaux de grande taille tels que les bovins la contention dans le box est assurée par des moyens pneumatiques gonflables (Brevet FR A.2.614.762).

Un box universel pour animaux notamment pour bovins comporte un tonneau pivotant dans lequel est introduit l'animal. Quel que soit le type d'abattage le positionnement de l'animal est identique, l'éjection se faisant sur le dos pour faciliter le dépeçage (Brevet FR.A. 2.632.491).

Cependant pour des installations de faible ou moyenne capacité le profil des box de contention est généralement en V en U, les perfectionnements portent sur les moyens de basculement et d'éjection. Ainsi une nacelle maintenant l'animal pivote après anesthésie, ce basculement provoque l'ouverture d'une porte pivotante permettant l'éjection de l'animal (Brevet EP.0.280.211).

Pour des installations très performantes l'automatisation indispensable conduit à une contention précise permettant notamment de positionner la tête de l'animal pour l'anesthésier soit en manoeuvrant l'appareil délivrant la tension (Brevet
EP.0.396.148 et NL.A.8.501.798) soit en élevant l'animal au niveau de l'appareil (Brevet EP.0.114.063). L'éjection de l'animal est effectuée soit par basculement de l'ensemble de contention soit par pivotement du panneau latéral combiné à l'effondrement du plancher (Brevet DE.A.2.133.027).

Cependant ces installations mettant en oeuvre des automatisations sophistiquées sont très complexes pour permettre de traiter de grandes séries d'animaux. Leur adaptation à des abattoirs de petites villes ne serait guère rentable ou très onéreuse. Ce sont les raisons pour lesquelles les box de contention de faible ou moyenne capacité sont le plus souvent universels de façon à pouvoir traiter différentes catégories d'animaux. Mais dans cette hypothèse le passage d'une espèce à une autre n'est pas toujours aisé et l'adaptation à toutes les catégories est rarement parfaite. En outre la contention est rarement complètement satisfaisante et n'évite pas la rupture des os source de déchets importants ni les micro hémorragies précisées précédemment.

L'invention a justement pour objet des perfectionnements apportés aux box de contention pour anesthésier les animaux de boucherie, notamment les porcs, avant abattage par égorgement. Selon l'art antérieur les éléments constituant ce box permettent de maintenir l'animal pendant l'anesthésie de façon que ne reposant sur aucun plancher , en quelque sorte suspendu entre des panneaux inclinés, les mouvements de rétraction dus au passage du courant n'induisent plus de rupture des os. Ce qui évite les déchets importants rappelés ci-dessus. Ce box de conception rustique est de maniement aisé et convient à des abattoirs de faible ou moyenne capacité. Réglable il permet de traiter des animaux de catégories et de volumes différents.

La présente invention se propose de pallier les inconvénients de l'art antérieur précisé ci-dessus et concerne un box de contention pour anesthésier les animaux de boucherie, notamment les porcs avant l'abattage par égorgement, constitué d'un cadre châssis fermé à l'arrière par une porte guillotine ouvert à l'avant, sur lequel s'articulent, des panneaux latéraux inclinés dont l'un est réglable l'autre mobile, un panneau constituant plancher mobile, des branches supports électrodes, formant pince, destinées à délivrer sur la nuque de l'animal un courant électrique anesthésiant, ledit box se caractérise en ce que, les branches supports électrodes formant pince sont articulées sur des volets d'arrêts disposés sur l'ouverture avant du box, ces branches, volets, porte, panneaux sont électriquement isolés et mis en oeuvre par le positionnement de l'animal dans le box.

Avantageusement les branches supports électrodes formant pince sont actionnées par des moyens détectant la tentative de passage de l'animal à travers le box.

De préférence les moyens détectant la tentative de passage de l'animal et destinés à le stopper à la sortie du box sont constitués par les volets d'arrêts réglables selon la taille de l'animal, mobiles à faible débattement selon des axes sensiblement verticaux.

Selon une réalisation préférentielle les branches de support électrodes formant pinces sensiblement verticales sont guidées par des paliers coulissants supportés par les volets d'arrêts et actionnées par des vérins.

Avantageusement ces branches supports électrodes formant pince, destinées à délivrer le courant électrique anesthésiant sur la nuque de l'animal, sont actionnées par les vérins mis en oeuvre par des contacteurs détectant le déplacement des volets d'arrêts mobiles sous la poussée de l'animal.

Selon une autre caractéristique le courant électrique anesthésiant est délivré lorsque la pression exercée par les branches porte électrodes sur la nuque de l'animal à l'aide des vérins atteint une valeur réglable prédéterminée.

En outre les paramètres caractérisant ce courant : tension; intensité en fonction du temps et la durée d'application du courant, sont réglables selon la nature de l'animal et les résultats qualitatifs observés précédemment en fonction de ces paramètres.

Ainsi l'animal acheminé jusqu'au box de contention y pénètre sans difficultés du fait que ledit box est ouvert tant à l'arrière qu'à l'avant. Lorsque l'animal est introduit la porte arrière à guillotine se referme, L'animal continue à avancer et passe la tête entre les volets d'arrêt. Le poitrail, les épaules, viennent heurter les volets d'arrêt, un premier détecteur du mouvement des volets déclenche l'effondrement du plancher. L'animal se trouve coincé suspendu entre les parois latérales les pattes dans le vide de sorte que les pattes n'ont pas à supporter le poids de l'animal ce qui évite, lors de la délivrance du courant électrique, que les rétractions brutales ne se traduisent par des ruptures d'os génératrices d'hémorragies internes évitant ainsi les pertes de jambons.

Un deuxième détecteur temporisé par rapport au précédent déclenche la fermeture des branches supports d'électrodes formant pince sur la nuque de l'animal. Le courant électrique n'est délivré que lorsque la pression exercée par les branches de la pince sur la nuque de l'animal atteint une valeur réglable prédéterminée. Les paramètres du courant, tension, intensité en fonction du temps, sa durée sont également réglables selon la nature de l'animal son poids et les résultats observés sur la qualité de la viande.

Après délivrance du courant, les branches de la pince s'ouvrent, un détecteur déclenche l'ouverture du panneau latéral incliné mobile, L'animal anesthésié tombe alors sur la table du boucher;
Le panneau mobile formant plancher se referme en poussant si nécessaire l'animal sur la table, le panneau latéral incliné mobile revient en position initiale.
Généralement dans les abattoirs des villes de moyenne importance le plan de travail sur lequel les bouchers égorgent puis dépècent l'animal est à hauteur d'homme, le box de contention étant légèrement surélevé par rapport à ce plan de travail.

Selon la cadence de travail des bouchers, dès qu'ils sont en mesure de traiter l'animal suivant, la porte guillotine s'ouvre à nouveau pour laisser le passage à un autre animal et ainsi de suite selon la séquence précisée ci-dessus.

De préférence les différents panneaux , porte, volets, en contact avec l'animal lorsque les branches supports électrodes formant pince sont appliqués sur la nuque de l'animal, sont électriquement isolées de façon à éviter toute fuite de courant à travers le corps de l'animal entre les électrodes et le cadre châssis relié à la terre.

Avantageusement ces différents panneaux, porte, volets branches supports électrodes formant pince sont électriquement isolés soit par interposition de revêtements isolants soit pas utilisation de matériaux pour leur utilisation, soit une combinaison revêtements isolants et matériaux isolants.

Le but à atteindre est en effet d'éliminer les pertes de courant électrique lors de sa délivrance par les électrodes appliquées sur la nuque de l'animal. II s'agit d'isoler tous les éléments constituant le box de contention qui sont en contact avec le corps de l'animal de façon qu'il n'y ait aucune fuite de courant entre le corps de l'animal et le box de contention mis à la terre par le cadre-châssis.

Ainsi l'action sur les différents paramètres pression, temps, tension, intensité, iiée à une réalisation isolant électriquement l'animal du box de contention sont de nature à éviter les micro-hémorragies et en conséquence améliorer la qualité de la viande.

D'autres caractéristiques et avantages de l'invention ressortiront mieux dans la description qui va suivre d'un mode de réalisation d'un box donné à titre d'exemple illustratif et non limitatif et en regard des dessins annexés sur lesquels: - la figure 1 est une vue schématique de face du box de contention - la figure 2 est une vue schématique de face du box lorsque l'animal est stoppé, - la figure 3 est une vue schématique partielle de dessus du box lorsque l'animal est stoppé.

On a représenté sur la figure 1 selon une vue schématique de face partielle le box de contention lorsque le porc est introduit par la porte 2 verticale à guillotine. Les différents panneaux sont articulés sur le châssis 1 fixé au sol. Le panneau 3 fixe est réglable en position selon le volume de l'animal à traiter. Pratiquement le réglage est effectué pour une série d'animaux présentant sensiblement le même poids. Le panneau 4 est mobile actionné par un vérin. De même en ce qui concerne le plancher 5. Sur cette figure la porte 2 est en position haute. Dès que le porc est introduit cette porte coulisse en position basse empêchant l'animal de reculer. Le plancher 5 s'effondre alors, le porc est ensuite anesthésié. Après anesthésie le panneau mobile 4 s'ouvre, le porc tombe alors sur la table du boucher.

On a représenté en pointillés les positions du panneau 4 ouvert, du plancher 5 effondré et de l'animal prêt à être dépecé. Le plancher 5 revient ensuite en position initiale en poussant si besoin l'animal sur la table. Les panneaux 3 et 4 sont revêtus d'une feuille de polypropylène de façon à isoler électriquement le corps du porc pour éviter toute fuite de courant entre les électrodes et le châssis 1 du box mis à la terre.

Le plancher 5 et la porte 2 peuvent également être isolés de la même façon bien que ce ne soit pas indispensable le corps de l'animal au moment de l'anesthésie n'étant pas au contact de ces éléments.

Sur les figures 2 et 3 on montre l'animal stoppé à la sortie du box par les volets d'arrêt 8. La figure 2 est une vue schématique partielle de face alors que la figure 3 est une vue schématique partielle de dessus. Sur cette figure 2 L'animal repose encore sur ses pattes, le plancher 5 n'est pas effondré sous l'action de sa poussée les volets 8, réglables en position selon le volume de l'animal, oscillent autour d'un axe 9 sensiblement vertical. Ce mouvement est détecté par des contacteurs 12 schématiquement représentés sur la figure 3. Ce contacteur déclenche l'effondrement du plancher 5, l'animal est alors suspendu entre les panneaux 3 et 4.

L'effondrement du plancher commande l'action de la pince, les branches 6 guidées par des paliers 10 sont actionnées par des vérins 11. Les électrodes 7 montées sur ces branches sont appliquées sur la nuque de l'animal. La pression exercée par ces branches commandent la délivrance du courant anesthésiant.

En fonction de cette pression, les paramètres caractérisant le courant délivré sont prédéterminés notamment les valeurs de la tension, de l'intensité, en fonction du temps ainsi que ia durée d'application. A l'issue de cette durée les branches 6 de la pince s'ouvrent lesquelles déclenchent l'ouverture du panneau 4. L'animal anesthésié tombe directement sur la table du boucher comme indiqué sur la figure 1 précédente.

Les volets d'arrêts 8 comme les panneaux 3-4 sont revêtus d'une feuille de polypropylène isolante. Les branches 6 de la pince sont réalisées en matériau isolant supportant les électrodes 7. Pour obtenir cette isolation électrique il est également possible de réaliser porte 2 panneaux 3-4, volets 8 en matériaux isolants mais de caractéristiques mécaniques suffisamment élevées pour ne pas être déformés par le poids ou la poussée de l'animal.

Ainsi le box de contention selon l'invention répond aux buts fixés, automatisation du processus, élimination des risques de rupture des pattes et de micro-hémorragies de façon que la qualité de la viande soit constante et appréciée.

Bien entendu, entrent également dans le cadre de la présente invention, les modifications ou substitutions susceptibles d'être apportées, par l'homme de l'art, au dispositif décrit et qui, sans en altérer les dispositions originales n'en seraient que de simples équivalents techniques.

Claims (10)

REVENDICATIONS

1) Box de contention pour anesthésier les animaux de boucherie, notamment le porc avant l'abattage par égorgement, constitué d'un cadre châssis (1) fermé à l'arrière par une porte guillotine (2) ouvert à l'avant, sur lequel s'articulent, des panneaux latéraux inclinés dont l'un est réglable (3) L'autre mobile (4), un panneau constituant plancher (5) mobile, des branches (6) supports élaborés (7), formant pince destinées à délivrer sur la nuque de l'animal un courant électrique anesthésiant, ledit box se caractérise en ce que, les branches (6) supports électrodes (7) formant pince sont articulées sur des volets d'arrêts (8) disposés sur l'ouverture avant du box, ces branches (6), volets (8), porte (2), panneaux (3-4-5) sont électriquement isolés et mis en oeuvre par le positionnement de l'animal dans le box.

2) Box de contention pour anesthésier les animaux de boucherie selon la revendication 1 caractérisé en ce que les branches (6) supports électrodes (7) formant pince sont actionnées par des moyens détectant la tentative de passage de l'animal à travers le box.

3) Box de contention pour anesthésier les animaux de boucherie selon la revendication 2 caractérisé en ce que les moyens détectant la tentative de passage de l'animal et destinés à le stopper à la sortie du box sont constitués par les volets d'arrêts (8) réglables selon la taille de l'animal, mobiles à faible débattement selon des axes sensiblement verticaux (9).

4) Box de contention pour anesthésier les animaux de boucherie selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que branches (6) de support électrodes (7) formant pinces sensiblement verticales sont guidées par des paliers coulissants (10) supportés par les volets d'arrêts (8) et actionnées par des vérins (11).

5) Box de contention pour anesthésier les animaux de boucherie selon la revendication 4 caractérisé en ce que les branches (6) supports électrodes (7) formant pince, destinées à délivrer le courant électrique anesthésiant sur la nuque de l'animal, sont actionnées par les vérins (11) mis en oeuvre par des contacteurs (12) détectant le déplacement des volets d'arrêts (8) mobiles sous la poussée de l'animal.

6) Box de contention pour anesthésier les animaux de boucherie selon la revendication 5 caractérisé en ce que le courant électrique anesthésiant est délivré lorsque la pression exercée par les branches (6) porte électrodes (7) sur la nuque de l'animal à l'aide des vérins (11) atteint une valeur réglable prédéterminée.

7) Box de contention pour anesthésier les animaux de boucherie selon la revendication 6 caractérisé en ce que les paramètres caractérisant le courant tension, intensité en fonction du temps et la durée d'application du courant, sont réglables selon la nature de l'animal et les résultats qualitatifs observés précédemment en fonction de ces paramètres.

8) Box de contention pour anesthésier les animaux de boucherie selon la revendication 1 caractérisé en ce que les différents panneaux (3-4-5), porte (2), volets (8), en contact avec l'animal lorsque les branches (6) supports électrodes (7) formant pince sont appliqués sur la nuque de l'animal, sont électriquement isolées de façon à éviter toute fuite de courant à travers le corps de l'animal entre les électrodes et le cadre châssis (1) relié à la terre.

9) Box de contention pour anesthésier les animaux de boucherie selon la revendication 8 caractérisé en ce que les différents panneaux (3-4-5), porte (2), volets (8) branches (6) supports électrodes (7) formant pince sont électriquement isolés par interposition de revêtements isolants.

10) Box de contention pour anesthésier les animaux de boucherie selon la revendication 8 caractérisé en ce que les différents panneaux, porte, volets, branches (6) supports électrodes (7) formant pince sont électriquement isolés par utilisation de matériaux isolants pour leur constitution.