FR2708471A1 - Appareil pour traitement par stimulation lumineuse trans-iridienne. - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un dispositif permettant une monture comme des lentilles dans des lunettes, prévoyant pour ce but une pièce plane -1- dotée de graduation -e-, orifice visé -j-, pièce dans laquelle peut se glisser et être fixé dans certaines positions l'ensemble de pièces -2- et -3- prévu de graduations -d-, de fentes circulaires -b- et -c-, respectivement une fente -h- moyennant des vis -6- et -7-. Le dispositif selon l'invention est particulièrement destiné à faciliter le ciblage d'une région iridienne lors de l'application thérapeutique de la lumière naturelle.

Description

La présente invention concerne un appareil pour le traitement des perturbations fonctionneLLes et des maladies au stade manifeste par l'utilisation d'une stimulation sectorielle trans-iridienne et par L'intermédiaire de L'iris, des processi dentati, du système nerveux central, des organes internes. L'appareil s'utilise directement dans La recherche fondamentale des fonctions non-visuelles de L'ara serrata de la rétine périphérique ainsi que dans des applications cliniques Il est un moyen commode de traitement individuel qui pourrait être monté comme une banaLe lentille dans des lunettes.

L'invention se réfère à L'appareil destiné à La stimuLation lumineuse trans-iridienne par la directivité lumineuse provenant d'une source éloignée et indépendante à travers des secteurs de cercle, de calibre et positions variables et réglables.

La stimulation Lumineuse trans-iridienne constitue une modalité naturelle de traitement pour diverses perturbations fonctionnelles. La stimulation Lumineuse trans-iridienne est basée sur la propriété physiologique de l'oeil consistant en un réglage fin de l'activité rythmique des organes internes. Ce rôle synchroniseur de L'organe de La vision est connu sous le nom de Zeitgeber (Synchroniseur, Pacemaker). Il existe des dispositifs de traitement par lumière notamment dans la psychose maniacale-depressive (maladie bipolaire, SeasonaL Affective Depression, SAD- DSM III R) mais, ces dispositifs ne spécifient pas les secteurs individueLs dans l'oeil.

Le désavantage de ces appareils consiste en effet dans leur manque de spécificité. IL existe d'autres appareils utilisant comme source de lumière une ampoule ordinaire et un système de focalisation et de ciblage sectoriel, mais le désavantage majeur de ces dispositifs consiste en l'existence d'un système de contention limitant les mouvements de La tête et éblouissant l'oeil traité;
Le but de La presente invention est d'offrir une simplification constructive et une efficacité dans L'utiLisation du principe du traitement par lumière. Le problème résolu par
L'invention est la facilité de la sélection du ciblage iridien et L'indépendance de la source lumineuse qui pourrait être autonome et éloignée par rapport à L'oeil traité.

L'appareil conformément à L'invention élimine tous les désavantages décrits ci-dessus pour d'autres systèmes du fait qu'il utilise une monture banale de lunettes. La lentille étant remplacée par une plaque métallique opaque, marquée sur la circonférence d'une fente centrale circulaire, dans laquelle glisse une deuxième plaque métallique circulaire, où on a découpé un secteur de 30 , de manière à ce qu'elle bouche Le trou circulaire. Une troisième pièce ayant la forme d'un quart de disque et l'apex au centre de La pièce sous-jacente détermine par sa rotation Limitée au moyen de deux vis différents, à la fois La fente circulaire dans l'intervalle de O" à 30 et la position de cette fente autour du centre jusqu'à 360 .

Ci-dessous, en continuation on donne un exemple de réalisation de vllnventiOn, dans Les
Figures de 1 à 4, comme il suit:
Fig. 1.: Un schéma de l'action lumineuse sur l'ora serrata à travers l'iris
Fig 2.: Une we frontale de l'appareil
Fig. 3.: Une vue supérieure d'une section transversale au niveau du centre du dispositif.

Fig. 4.: Une vue des composants de L'appareil
L'appareil, conformément à l'invention, est composé de trois pièces circulaires superposées, d'aluminium traité: 1, Z, et 3, chacune d'une épaisseur allant jusqu'à 1 mm, qui délimitent ensemble une fente d'un calibre variable, déplacable dans un sens circonférenciel, montée comme une lentille dans des lunettes, sur une monture -4-. La pièce n -1- présente des graduations équidistantes -d-, espacées de 9 , qui constituent avec la graduation -e- sur la pièce n -3- un ensemble de Lecture de type Vernier. La pièce n -2- est dotée d'un orifice central -f- par lequel passe un axe -5-. Elle présente également un orifice -a-, une fente -h-, et, ayant été ajustée sur sa circonférence elle peut glisser sur la surface homologue de la pièce n -3-. La pièce n -3- présentant L'orifice central -i- est graduée de 10 en 10 sur toute sa circonférence -e- et montée dans La pièce n -4-. La pièce n -3- présente également 6 orifices -j- situés à 30 , 90 , 1500, 210 , 270 et 3300, dans Lesquels les vis peuvent fixer l'ensemble mobile des pièces A- et -Z-. La pièce -3- est solidaire avec La monture -4-, et donc fixe par rapport à celle-ci. La dimension de La fente -h- est fixée dans les Limites de 0 à 30 moyennant la vis n -6- à travers La fente -b- et visée dans l'orifice -a- de manière à ce que les pièces -1- et -2- deviennent solidaires entre elles.

La précision de lecture est de 1 grâce au dispositif Vernier. La précision du positionnement de la fente autour du centre, dans L'intervalle de 0 à 360 se réalise avec L'aide de la graduation -d- et -e- indexée par le vis n -7- à travers La fente -c- et L'orifice -W-. Finalement, L'ensemble composé des pièces - et -2- devient ainsi solidaire avec La pièce n -3- et moyennant cette pièce avec la monture des lunettes n -4-.

L'appareil est maintenant prêt à être utilisé.

Après la consultation, on règle l'appareil en ce qui concerne le calibre et la position de La fente. Le protocole comprend les paramètres suivants:
Source indépendante de lumière naturelle
- le type
- la distance
- Le spectre (chrominance)
- l'intensité (luminosité, luminance)
- La saturation
- La durée
- le rythme
Secteurs prescrits
- le nombre
- les noms
- L'ordre de stimulation
Le nombre des secteurs fonctionnels prévu par La théorie PHOS est situé entre 60 et 80; il est en correspondance directe avec Le nombre de processi dentati de l'ora serrata. Cette structure de la périphérie rétinienne est le siège de la fonction de synchroniseur Lumineux (mais non visuel) de L'oeil, conformément à La théorie. Cette structure reçoit la Lumière à travers L'iris et codifie les différences de filtrage selon le pattern de transparence iridienne, dans des stimuli banals de photo-transduction adressés aux régions de cortex non-visuel, donc autre que V1, V2, V3, V4, V5 et Le gyrus piriforme. Ainsi, un code structural iridien est utilisé pour le réglage fin du rythme d'activité propre d'environ une soixantaine d'organes, au moins autant que des processi dentati.

L'invention présente les avantages de la simplicité, de l'efficacité thérapeutique, de l'innocuité, de la spécificité, de la facilité d'utilisation (similaire à celle d'une paire de lunettes), de l'économie énergétique, de l'économie du temps de traitement pour le médecin et pour le patient.

Claims (3)

REVENDICATIONS

1) Appareil pour le traitement lumineux trans - iridien monté comme des lentilles dans des lunettes, caractérisé en ce qui il comprend une pièce plane (3) dotée de graduation (e),et d'un orifice central visé (j), pièce dans laquelle peut glisser et être fixé dans certaines positions l'ensemble de pièces (2 et 1) prévu de graduations (d), de fentes circulaires (b et c), respectivement une fente (h) moyennant des vis (6 et 7).

2) Appareil selon la revendication 1 caractérisé en ce qu'une fante variable est délimitée par le concours de trois pièces (1, 2 et 3).

3) Appareil selon la revendication 1 ou la revendication 2 caractérisé en ce que la fante est déplacée autour d'une circonférence (e)