FR2652542A1 - Module elementaire pour la constitution de casiers de classement oblique. - Google Patents

Abstract

- Classement. - Le module est caractérisé en ce qu'il comporte des moyens complémentaires de liaison avec un module identique, moyens comprenant: . d'une part, deux bords latéraux (10) présentés par le dosseret (4) et prolongés chacun par un retour d'équerre (11) s'étendant en direction de la base du dosseret sensiblement à partir d'un plan fictif (P1 ) parallèle au plan d'appui (P) et passant par le second côté longitudinal (7), d'autre part, des conformations complémentaires (II) présentées par les deux côtés verticaux du bord d'appui (8) pour coopérer avec les retours d'équerre d'un autre module. - Application à la constitution de caissons obliques.

Description

La présente invention concerne le domaine du classement, du triage ou de

la sélection d'objets plats, rigides et/ou flexibles ou souples et elle concerne, plus particulièrement, le triage, la sélection ou le classement de feuilles, feuillets, pochettes, susceptibles de faire l'objet d'utilisations ultérieures variées, telles que reliure, sélection, classement, consultation. Dans de nombreux domaines, il est utile, sinon nécessaire voire impératif, de pouvoir trier, classer ou sélectionner des documents selon différents critères de sélection ou de triage, de manière à disposer ensemble ceux répondant à un

ou plusieurs de ces critères.

A cette fin, il a tout d'abord été proposé de disposer les documents dans des cases horizontales superposées possédant au moins une entrée facilitant l'introduction ou la reprise des documents. De telles cases ou casiers ont été réalisés en de nombreuses manières différentes et, plus particulièrement, en

matière plastique moulée.

Si une telle proposition peut être estimée satisfaisante lorsque le nombre de critères de sélection est relativement faible et que, par suite, l'exigence de nombre de cases nécessaires est réduite, en revanche il n'en est plus de même lorsque le nombre

des critères augmente sensiblement.

Dans un tel cas, les cases superposées atteignent alors une hauteur difficilement compatible avec l'utilisation quotidienne ou encore avec le stockage ou les installations aptes à les supporter. Dans le but de réduire cet inconvénient, il a été proposé de disposer des cases de manière verticale de façon à placer les documents sur tranche. Il devient possible avec une telle méthode de réaliser des installations moins encombrantes et plus stables, offrant une grande capacité de stockage et répondant à des critères

de sélection multiples et variés.

Toutefois, cette proposition ne s'est pas non plus avérée satisfaisante en raison du caractère souple ou flexible des documents stockés. Comme généralement, les cases ou casiers ne sont pas pleinement occupés, les documents qui y sont disposés roulent

ou se replient sur eux-mêmes par flexion ou flexibilité naturelle.

Les utilisateurs rencontrent alors des difficultés pour la reprise, le prélèvement ou l'insertion des documents. Pour tenter de répondre à ce problème, différentes propositions ont été formulées pour que le classement de documents intervienne, non plus

verticalement, mais obliquement.

Il convient de citer, notamment, l'enseignement divulgué

dans ce sens par le brevet français 83 06 679 (2 544 667).

Selon cet enseignement, il est préconisé de réaliser un casier oblique modulable pour le classement de documents en faisant appel à des ensembles élémentaires identiques, respectivement constitués par un dosseret, une embase s'étendant par un côté sensiblement à angle droit par rapport au dosseret et un bord d'appui prolongeant l'embase à partir du second côté et à l'opposé

du dosseret.

De tels éléments peuvent être réalisés en plusieurs

matières différentes.

La constitution d'un casier consiste à placer côte à côte les éléments identiques, de manière à délimiter, pour deux successifs et entre les dosserets et l'embase, un compartiment ouvert qui est incliné sur la verticale de la mesure correspondant

à la hauteur du bord d'appui.

Selon cet enseignement, les côtés transversaux de l'embase sont pourvus de rebords repliés, de manière à pouvoir entourer un prolongement vers l'avant du bord d'appui afin de

tenter une liaison entre deux éléments successifs.

Il est incontestable qu'une telle proposition a contribué à résoudre en partie le problème posé par le classement oblique de

documents souples.

Toutefois, les moyens techniques mis en oeuvre et préconisés par ce brevet français ne donnent pas entière satisfaction pour ce qui concerne la Liaison entre deux éléments successifs et, plus particuLièrement, Lorsque ceux-ci sont réalisés

en matière plastique injectée.

L'objet de l'invention est de remédier à ces inconvénients en proposant des perfectionnements à la technique antérieure, perfectionnements qui sont principalement orientés vers la mise en oeuvre de moyens complémentaires de liaison, capables d'assurer une solidarisation temporaire de deux éLéments successifs

tout en autorisant une désolidarisation rapide en cas de besoin.

Les perfectionnements seLon l'invention sont, plus particulièrement, conçus pour correspondre à une réalisation des

éléments en matière plastique moulée ou injectée.

Pour atteindre les objectifs ci-dessus, l'invention préconise un module élémentaire pour la constitution de casiers de classement oblique, caractérisé en ce que les moyens complémentaires de liaison comprennent: d'une part, deux bords latéraux présentés par le dosseret et prolongés chacun par un retour d'équerre s'étendant en direction de la base du dosseret sensiblement à partir d'un plan fictif parallèLe au plan d'appui et passant par le second côté longitudinal de l'embase, - d'autre part, des conformations complémentaires présentées par Les deux côtés verticaux du bord d'appui pour coopérer avec les retours d'équerre d'un autre

module identique.

Diverses autres caractéristiques ressortent de la

description faite ci-dessous en référence aux dessins annexés qui

montrent, à titre d'exemples non limitatifs, des formes de

réalisation de l'objet de l'invention.

La fig. 1 est un schéma explicatif illustrant le domaine

d'application de l'invention.

La fig. 2 est une perspective montrant une première forme

de réalisation du module élémentaire selon l'invention.

La fig. 3 est une coupe prise, à plus grande échelle,

sensibLement selon le plan III-III de la fig. 2.

La fig. 4 est une vue latérale en partie arrachée

illustrant une autre forme de réalisation.

La fig. 5 est une coupe partieLLe prise, à plus grande

écheLLe, seLon la ligne V-V de la fig. 4.

La fig. 6 est une perspective partielle, en partie arrachée, montrant, à écheLLe différente, une autre forme de réaLisation de certains des éLéments constitutifs du module élémentaire. La fig. 7 est une coupe prise sensiblement selon Le plan

VII-VII de La fig. 6.

La fig. 8 est une perspective montrant, à écheLLe

différente, un autre aspect de La réaLisation selon la fig. 6.

La fig. 9 est une coupe partielle prise selon Le plan

IX-IX de la fig. 8.

La fig. 10 est une coupe iLLustrant l'association des

parties complémentaires seLon les fig. 7 et 8.

La fig. 11 est une perspective, à écheLLe différente,

montrant une autre variante de réalisation de l'invention.

La fig. 12 est une coupe partieLLe représentant

L'assemblage de deux modules selon la fig. 11.

La fig. 1 montre, de façon schématique, Le domaine d'application de L'objet de L'invention consistant à vouLoir former des casiers C de cLassement oblique à partir de modules élémentaires 1 disposés parallèLement côte à côte sur un support de référence 2, tel qu'une étagère délimitée latéralement par deux parois, cloisons ou panneaux 3. De manière connue, chaque module élémentaire 1 comprend, tel qu'illustré par la fig. 2, un dosseret 4 s'éLevant, de préférence, à angle droit à partir du premier côté longitudinal 5 d'une embase 6 sensiblement rectangulaire. Le second côté longitudinal 7 de l'embase 6 est prolongé par un bord d'appui 8 dirigé à l'opposé du dosseret 4 par rapport à l'embase 6 et, de préférence, parallèLement à ce dernier. La hauteur du bord d'appui 8 est choisie largement supérieure à celle de points d'appui tels que 9 formés ou prévus à proximité du premier côté longitudinal 5 pour définir, avec le bord d'appui 8, un plan d'appui P sur le support de référence 2. La hauteur du bord 8 est calculée de manière à conférer au dosseret 4 un angle a sur la verticale, par exemple un angle compris entre 10 et 20 et, de

préférence, égal à 15 .

Selon l'invention, le module élémentaire I est, de préférence, réalisé en matière plastique par injection d'une seule pièce. Des dispositions classiques en la matière sont prévues pour conférer la raideur souhaitée à la fois à l'embase 6 et au dosseret 5, tout en leur donnant une épaisseur minimale de matière première pour à la fois diminuer le coût de fabrication et

réduire le poids.

Selon une disposition de l'invention, il est prévu de former le long des côtés du dosseret 4 et de l'embase 6, un bord latéral 10 dit de raidissement s'étendant selon un angle, de préférence égal à 90 par rapport au plan du dosseret 4 et à celui de l'embase 6. Le bord 10 est saillant par rapport à la face

arrière 4a du dosseret 4 et à la face arrière 6a de l'embase 6.

Selon l'invention, des moyens complémentaires de liaison sont prévus sur chaque module élémentaire, de manière à permettre l'assemblage de deux modules élémentaires, identiques, disposés successivement et parallèlement l'un à l'autre comme illustré par la fig. I pour définir, entre eux, un casier de classement oblique C ouvert, dont les parois latérales sont constituées par les dosserets 4 et dont le fond est constitué par l'embase 6 du

premier module élémentaire mis en place.

Ces moyens complémentaires de liaison comprennent des moyens I prévus en relation avec le dosseret 4 et des moyens complémentaires II ménagés le long des côtés transversaux de

l'embase 6, de préférence en relation avec le bord d'appui 8.

Dans la forme de réalisation selon les fig. 2 et 3, les moyens de liaison I comprennent deux retours d'équerre 11 qui sont formés par les bords latéraux 10 pour s'étendre sensiblement parallèlement à la face 4a du dosseret 4. Les retours d'équerre 11 sont formés sensiblement à partir d'un plan de référence P1 parallèle au plan d'appui P et passant par Le second côté longitudinal 7. A partir de cette position de référence, Les retours d'équerre s'étendent vers la base du dosseret 4 en direction des points d'appui 9 sur une longueur qui est au maximum

égale à la hauteur du bord d'appui 8.

Les moyens complémentaires II sont constitués par des conformations complémentaires qui sont présentées par les côtés transversaux du bord d'appui 8, considérés seuls ou en association

avec la partie attenante des côtés transversaux de l'embase 6.

Dans un première forme de réalisation, les moyens II font

intervenir un dégagement 12 des côtés transversaux du bord 8.

Chaque dégagement 12 possède une profondeur égale à l'épaisseur du bord latéral 10. Les moyens II complémentaires font aussi intervenir une rainure 13 qui est ménagée dans l'embase 6 à partir du dégagement 12 sur une profondeur correspondant à l'étendue transversale des retours 11. Il est évident qu'une même conformation est adoptée pour les deux côtés du bord d'appui 8 et

de l'embase 6.

Comme cela ressort des fig. 2 et 3, les moyens I et II permettent, après la mise en place d'un module élémentaire tel que 11, de disposer un module élémentaire 12 en superposition partielle, de manière à aligner les retours d'équerre 11 avec les rainures 13, tout en disposant les deux bords latéraux 10 du dosseret 4 à l'aplomb des dégagements 12. Il suffit, ensuite, de déplacer le module élémentaire 12 dans le sens de la flèche f1 pour assurer l'engagement des retours d'équerre 11 dans les rainures 13 o ils se comportent comme des languettes. Dans une telle position illustrée par la fig. 3, les moyens II du module 1 sont entourés par les moyens I du module 12 avec coopération de surfaces sur une longueur au moins équivalente à celle des retours d'équerre 11. Il en résulte une liaison latérale et transversale certaine des deux modules élémentaires assemblés qui présentent une bonne résistance au pivotement relatif sous charge le long d'une ligne passant par les points d'appui 9, en raison des

longueurs d'emboîtement et de coopération entre les moyens I et II.

Une liaison plus ferme pourrait intervenir en prévoyant de former, sur le bord 11' de chaque retour d'équerre 11, une empreinte positive ou négative apte à coopérer avec une empreinte complémentaire présentée par le fond de la rainure 13. De tels moyens non illustrés aux dessins peuvent consister en deux bossages ou un creux présentés par le bord 11', de manière à emboîter, par exemple, l'épaisseur de l'embase 6. Par de tels moyens, il devient possible d'obtenir un verrouillage élastique

entre les modules élémentaires 11 et 12.

A titre de variante, le verrouillage élastique de deux modules élémentaires assemblés peut aussi intervenir en prévoyant de former, à proximité du second côté 7 et sur la face extérieure du bord d'appui 8, au moins une conformation en saillie 14 tel qu'un bossage ou analogue et, de façon correspondante, dans le dosseret 4 au moins une fenêtre, encoche, fente ou cuvette 15 complémentaire. Après emboîtement comme dit cidessus, le verrouillage intervient lorsque la saillie 14 du module élémentaire 11 est engagée à force dans la fenêtre 15 du

module 12.

Les fig. 4 et 5 montrent une variante de réalisation selon laquelle les moyens I sont constitués, sur chaque côté transversaux du bord d'appui 8, par une languette 20 s'étendant, de préférence, sur toute la hauteur de ce bord d'appui. La languette 20 est séparée du bord latéral 10 longeant le côté transversal de l'embase 6 par une rainure 13 correspondant à l'épaisseur du retour d'équerre 11 constitutif des moyens II. De préférence mais non exclusivement, la languette 20 peut présenter la même épaisseur que le bord 8 et, dans un tel cas, une nervure de raidissement 21 est alors prévue sur la face arrière 8a du bord

d'appui 8.

Selon cette variante de réalisation, les moyens II font toujours intervenir le rebord latéral 10, ainsi que le retour d'équerre 11, de manière que l'assemblage de deux modules élémentaires 11 et 12 s'obtienne par glissement de la languette 20 derrière le retour 11 contre lequel cette languette est maintenue par l'intermédiaire d'une moulure de raidissement 22 formée à partir de la face arrière 4a du dosseret 4. Il doit être considéré que des moyens de verrouiLlage élastique identiques ou équivaLents à ceux décrits précédemment peuvent être prévus de façon

complémentaire.

Un autre exemple de réalisation est illustré par Les fig. 6 et 7 montrant que le retour d'équerre 11 est constitué par deux pattes 30 séparées l'une de L'autre, la patte supérieure étant réunie à la face 4a du dosseret 4 par une barrette transversale 31. Selon ce mode de réalisation, il doit être considéré que le moyen d'assemblage complémentaire I peut aussi être remplacé par un retour 11 du type de l'exemple selon la fig. 2. La barrette 31 comporte, de préférence, comme cela est illustré par la fig. 7, une largeur égale à la hauteur du retour

11 ou des pattes 30 le constituant.

Dans un tel exemple de réalisation, les moyens complémentaires II prévus à proximité et en relation du bord 8 et des côtés transversaux de l'embase 6 sont constitués comme illustré par les fig. 8 et 9 par un logement 32 comprenant une rainure 33 et un dégagement 34 ménagé à partir de la face supérieure 6b de l'embase 6 et depuis le second côté longitudinal 7. La profondeur et la longueur du dégagement 34 correspondent respectivement à la mesure transversale et à l'épaisseur de la barrette 42. Comme dans l'exemple précédent, la longueur du bord 8 est réduite de chaque côté d'une mesure correspondant à

l'épaisseur des retours 11 ou des pattes 30.

La coopération des moyens I et II lors de l'assemblage d'un module 12 avec un module 11, comme illustré par la fig. 6, fait intervenir un glissement relatif dans le sens de la fLèche f1 pour engager les retours 11 ou les pattes 30 dans les rainures 32, afin d'emprisonner, entre ces retours et les dosserets, les

parties correspondantes des côtés transversaux du bord d'appui 8.

L'engagement maximal est atteint lorsque les deux barrettes 31 sont emboîtées dans les deux dégagements 34. Dans cette position telle qu'illustrée par la fig. 10, les bords latéraux 10 du module élémentaire 12 viennent aLors affleurer Les bords Latéraux 10 du

module 11.

La fig. 11 montre une autre variante selon laquelle les moyens I sont constitués par des retours 40 qui peuvent être formés dans le plan des bords 10 ou être décaLés en retrait par rapport à ces derniers. Les retours 40 s'étendent à partir de segments de parois 41 inclinés de façon convergente en direction l'un de l'autre et vers le côté longitudinal 5 de L'embase 6. Les segments

de parois 41 sont bordés en tête par une moulure saillante 42.

Selon cette variante, des moyens complémentaires II dans les côtés transversaux du bord d'appui 8, comprennent, en dessous du plan de l'embase 6, un logement 43 complémentaire à la moulure et une partie 44 faisant suite au logement 43 et s'étendant de

façon inclinée complémentairement au segment 41.

La constitution de casiers obliques consiste à emboîter les côtés transversaux du bord 8 d'un module entre les segments de parois 41 du module Le précédant, pour assurer un verrouillage par encliquetage relatif entre les moulures 42 et les logements 43, comme cela apparait à la fig. 12. Dans cette position, Les modules sont immobilisés relativement dans les trois directions. Un tel verrouillage peut aussi intervenir par simple coincement des parois 41 et 44 ou, encore, par l'intermédiaire des moyens 14 et 15

décrits précédemment.

Comme cela ressort des dessins et de la description qui

précède, les moyens complémentaires I et II permettent d'établir un assemblage du type à rainure et languette ou à glissière entre les côtés du dosseret 4 et Les côtés du rebord d'appui 8. IL en résulte une soLidarisation efficace contre tout glissement transversal ou latéral et une immobilisation s'opposant à tout risque de pivotement de L'un des modules élémentaires par rapport à un autre

par exemple sous l'effet de la charge s'appuyant sur le dosseret 4.

Un autre avantage d'un objet de l'invention réside dans la construction particulièrement simple des moyens complémentaires I et II qui peuvent facilement venir de moulage lorsque le

module est réalisé en matière plastique injectée.

Claims (9)

1. REVENDICATIONS:

   I - Module élémentaire pour la constitution de casiers (C) de classement oblique, du type comprenant une paroi ou dosseret (4) s'élevant sensiblement à angLe droit à partir d'un premier côté longitudinal (5) d'une embase (6) sensiblement rectangulaire dont le second côté longitudinal (7) est pourvu d'un bord d'appui (8), dirigé à l'opposé du dosseret et dont la hauteur est supérieure à celle de points d'appui (9) prévus à proximité du premier côté et avec lesquels il définit un plan (P) d'appui sur un support de référence (2), de préférence plan, et des moyens complémentaires (I-II) de liaison étant prévus pour assurer l'assemblage de deux modules élémentaires disposés successivement et paraLLèLement pour définir entre eux un casier de classement oblique ouvert dont les parois latérales sont constituées par les dosserets et dont le fond est constitué par l'embase, caractérisé en ce que les moyens complémentaires de liaison comprennent: - d'une part, deux bords latéraux (10) présentés par le dosseret (4) et prolongés chacun par un retour d'équerre (11) s'étendant en direction de la base du dosseret sensiblement à partir d'un plan fictif (P1) parallèle au plan d'appui (P) et passant par le second côté longitudinal (7), - d'autre part, des conformations complémentaires (II) présentées par les deux côtés verticaux du bord d'appui (8) pour coopérer avec les retours

   d'équerre d'un autre module.
2. 2 - Module élémentaire seLon La revendication 1, caractérisé en ce que chaque retour d'équerre (11) est raccordé au dosseret (4), en partie supérieure, par une barrette transversale (31) et en ce que la conformation complémentaire (II) présente un Logement ouvert (34) ménagé dans La face supérieure (6b) de

   L'embase (6) pour recevoir Ladite barrette.
3. 3 - ModuLe élémentaire selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que la conformation complémentaire (II) est

   constituée par une rainure (13, 33).
4. 4 - Module élémentaire selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que la conformation complémentaire (II) est

   constituée par une languette (20).
5. 5 - Module élémentaire selon la revendication 1 ou 4, caractérisé en ce que chaque retour d'équerre (11) coopère avec la face intérieure de la languette (20) du bord d'appui (8) sur la face extérieure (6b) duquel prend appui une nervure (22) saillant

   à partir de la face arrière (4a) du dosseret (4).
6. 6 - Module élémentaire selon la revendication 1 ou 5, caractérisé en ce que chaque retour d'équerre (11) comporte au moins une empreinte de verrouillage élastique apte à coopérer avec une empreinte complémentaire présentée par la conformation

   complémentaire correspondante d'un autre module.
7. 7 - Module élémentaire selon la revendication 1, caractérisé en ce que des moyens de verrouillage élastique complémetaires (14, 15) sont prévus dans le dosseret et sur le

   second côté longitudinal de l'embase.
8. 8 - Module élémentaire selon la revendication 1, caractérisé en ce que le retour d'équerre (11) borde un segment de paroi (41) s'étendant, à partir d'une moulure saillante (42), en direction du second côté longitudinal de l'embase en étant incliné de façon convergente vers le segment du second bord latéral et en ce que le moyen complémentaire (2) comprend, dans le côté transversal du bord d'appui (8) et en dessous du plan de l'embase, un logement (43) auquel fait suite une partie (44) inclinée

   complémentairement au segment (41).
9. 9 - Ensemble de casiers obliques de classement constitué par une pluralité de modules élémentaires selon l'une des

   revendications 1 à 7, assemblés par les moyens de liaison.