FR2636847A1 - Systeme automatique de surveillance post mortem des signes cliniques de la vie et de commande eventuelle des secours - Google Patents
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Abstract
Système de surveillance des signes éventuels de survie d'un patient notamment dans le cas d'un sujet déclaré légalement décédé, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens pour détecter les signes d'activité cardiaque, d'activité respiratoire et/ou d'action thermique dudit patient, des moyens de transmission, à un personnel habilité, des informations provenant de ces moyens de détection, et d'un calculateur de gestion et des moyens de déclenchement de secours physiques et psychiques de première nécessité.
Description
La présente invention concerne un système destiné à la surveillance des signes éventuels de survie d'un individu, par exemple victime de mort subite mais naturelle, et permettant de le secourir lors d'un éventuel retour à la vie, par l'intermédiaire d'un dispositif placé à l'intérieur ou à l'extérieur d'un cercueil, d'une tombe, d'un caveau ou d'une nécropole.
Ce système s'applique avant la mise en bière, pendant le délai légal ou pratique entre la constatation de la mort clinique et la mise en bière, et après que celle-ci ait été réalisée, si des signes de retour à la vie apparaissent. Le but de l'invention est d'éviter l'inhumation d'un patient encore en vie, de prodiguer à un tel sujet les secours nécessaires, et même éventuellement de détecter l'existence de signes de retour à la vie de patients récemment décédés avant ou après l'inhumation pour leur prodiguer également les secours nécessaires. La période de surveillance débute dès la constatation du décés et elle dure pendant plusieurs jours, assurée 24 heures sur 24 par des équipes d'intervention spécialisées susceptibles d'intervenir très rapidement.
Cependant, préliminairement à toute étude technique du système, il est nécessaire de se pencher sur les problèmes de l'appréciation de la notion de décès et de la définition de la mort telle qu'elle peut être envisagée sous différents points de vue. Ainsi, ce problème a des prolongements scientifiques par le biais de la médecine, légaux par des dispositions législatives et culturels par un courant social construit au cours des siècles.
Une étude scientifique et raisonnée du phénomène de la mort nous permet de prétendre que cette invention apporte la solution concrète, qui ne peut souffir d'interprétation, d'un problème scientifique, législatif et social. Ce problème est l'ambiguïté de la définition de la mort.
- Ambiguïté législative : la définition de la mort dans le
code civil ou pénal est Le sujet est mort quand le
médecin estime qu'il est mort".
code civil ou pénal est Le sujet est mort quand le
médecin estime qu'il est mort".
- Avis médical :selon la médecine légale, la mort est
caractérisée en pratique par l'arrêt irréversible des
fonctions de respiration et de circulation, ainsi que de
thermo-régulation.
caractérisée en pratique par l'arrêt irréversible des
fonctions de respiration et de circulation, ainsi que de
thermo-régulation.
- Opinion sociale : d'une part la mort est considérée comme
un échec de la science, échec momentané, d'où la
cryoconservation en attendant le traitement de la cause
responsable, et d'autre part l'incertitude des signes de
la mort et la peur consécutive des inhumations
prématurées hante l'actuelle génération comme les
précédentes. Autrement dit, l'appréhension d' être
enterré vivant" est une réalité vécue par le plus grand
nombre.
un échec de la science, échec momentané, d'où la
cryoconservation en attendant le traitement de la cause
responsable, et d'autre part l'incertitude des signes de
la mort et la peur consécutive des inhumations
prématurées hante l'actuelle génération comme les
précédentes. Autrement dit, l'appréhension d' être
enterré vivant" est une réalité vécue par le plus grand
nombre.
Pour mieux comprendre cette invention et les multiples problèmes auxquels elle répond, il est utile de relater les faits, ensuite de formuler les problèmes et enfin de démontrer les dispositifs les résolvants
En application du décret du 18 Mai 1976 du Code Civil et de l'article 74 du Code Pénal, lorsqu'un décès subit, même naturel, survient
- A domicile : Un médecin constate la mort du défunt et
délivre le certificat de décès, qui est un acte
médico-juridique, mentionnant le diagnostic de la mort.
En application du décret du 18 Mai 1976 du Code Civil et de l'article 74 du Code Pénal, lorsqu'un décès subit, même naturel, survient
- A domicile : Un médecin constate la mort du défunt et
délivre le certificat de décès, qui est un acte
médico-juridique, mentionnant le diagnostic de la mort.
Le diagnostic du médecin traitant ou du médecin de
I'état-cjvil peut être influencé par des pressions
psychologiques et sociales ainsi que familiales, parce
qu'il peut être un proche, aussi bien parce qu'il
méconnais dans la plupart des cas les antécédents du
défunt. De plus, dans la majeure partie des cas, aucune
autopsie n'est pratiquée.
I'état-cjvil peut être influencé par des pressions
psychologiques et sociales ainsi que familiales, parce
qu'il peut être un proche, aussi bien parce qu'il
méconnais dans la plupart des cas les antécédents du
défunt. De plus, dans la majeure partie des cas, aucune
autopsie n'est pratiquée.
Une erreur de diagnostic est donc à envisager avec un
pourcentage élevé.
pourcentage élevé.
En pratique, les signes de la mort ou les signes
négatifs de la vie, selon la médecine légale, sont
l'arrêt irréversible des fonctions de respiration et de
circulation sanguine ainsi que de la régulation
thermique.
négatifs de la vie, selon la médecine légale, sont
l'arrêt irréversible des fonctions de respiration et de
circulation sanguine ainsi que de la régulation
thermique.
La certitude de la mort est acquise après 10 à 15
minutes d'absence de réponse électrique cardiaque et
d'absence de pulsations.
minutes d'absence de réponse électrique cardiaque et
d'absence de pulsations.
A noter que 3a grande majorité des constatations de
décès au domicile du défunt sont effectuées par un médecin n'ayant pas d'électrocardiographe.
décès au domicile du défunt sont effectuées par un médecin n'ayant pas d'électrocardiographe.
A signaler également que certains comas par intoxications et des hypodermies accidentelles peuvent produire des silences électriques absolus pour des durées de 28 heures et être suivis de récupération clinique parfaite. Les praticiens le définissent comme un "coma avec sidération végétative transitoire". De même, la mort constatée cliniquement peut n'être qu'apparente lors de catalepsie, dont la durée est mal définie ou d'arrêts cardiaques, etc...
A l'hôpital : L'administration de l'hôpital a le droit de faire procéder à l'autopsie, en ayant pour argument "l'intérêt scientifique", malgré une opposition de la famille du défunt.
Selon un décret de 1979, dans un milieu hospitalier, le prélèvement d'organes sur des personnes déclarées mortes, accidentées de la route ou autres, peut avoir lieu sans l'autorisation de la famille et même malgré son opposition, sauf si le défunt porte sur lui une déclaration signée dans laquelle il interdit tout prélèvement d'organe.
A domicile et à l'hôpital :Dès la constatation de la mort clinique d'une personne, que ce soit au domicile ou à l'hôpital, les appareils de surveillance et d'assistance électro-médicale sont débranchés.
* Le défunt, à son domicile, reste déposé sur un lit dans une pièce funéraire jusqu'à la mise en bière qui a lieu 24 heures après la constatation de décés selon la législation française et 48 heures selon la pratique.
* A l'hôpital, la personne constatée morte est transportée à la morgue pour cette période d'attente légale, sur une table et ensuite dans un réfrigérateur à -4 Celsius.
D'où le problème dans les deux cas de l'absence d'une surveillance des signes cliniques de la vie, à savoir les signes d'activité cardiaque, respiratoire et thermique. Cette phase de 48 heures, située entre la constatation du décés eS la mise en bière, est la plus susceptible et la plus favorable à un éventuel retour à
la vie. Cette période n a jamais été abordée ni traitée
par aucune invention précédente et son problème reste
entier.
la vie. Cette période n a jamais été abordée ni traitée
par aucune invention précédente et son problème reste
entier.
Une deuxième phase située entre la mise en bière et l'inhumation et qui peut s'étendre jusqu a six jours est aussi importante que la première. Cette phase a ses problèmes qui s'ajoutent aux problèmes précédents
Le corps est dans une bière hermétiquement fermée et scellée. L'air présent dans ce volume est restreint et ne permet la respiration que pour une très courte durée, dans l'éventualité d'un retour des signes cliniques de la vie. De plus, dans cette éventualité, cet air disponible est pollué et réduit d'autant les possibilités de respiration. Il est même certain que cette atmosphère confinée produit une suffocation causant, dans les cinq minutes qui suivent l'éventuel retour à la vie, une mort par anoxie avant le réveil de la victime.
Le corps est dans une bière hermétiquement fermée et scellée. L'air présent dans ce volume est restreint et ne permet la respiration que pour une très courte durée, dans l'éventualité d'un retour des signes cliniques de la vie. De plus, dans cette éventualité, cet air disponible est pollué et réduit d'autant les possibilités de respiration. Il est même certain que cette atmosphère confinée produit une suffocation causant, dans les cinq minutes qui suivent l'éventuel retour à la vie, une mort par anoxie avant le réveil de la victime.
Bien que portant sur des cas rarissime, on remarque que le nombre de personnes certifiées médicalement mortes, et ayant recouvert la vie pendant ou au-delà de 24 heures, est très faible. L'explication de ce chiffre très faible pourrait se trouver dans le fait qu'aucun moyen ou dispositif scientifique et technique n'existe à l'heure actuelle, par exemple installé dans les cercueils ou les tombes, et pouvant signaler à l'extérieur un retour éventuel des signes cliniques de la vie de# ces corps reconnus cliniquement morts et enterrés à ce titre.
Par ailleurs, en cas de retour éventuel à la vie, les signes cliniques peuvent être de faible amplitude et de fréquence lente et dans cette hypothèse, pour survivre durablement, il est nécessaire que la victime léthargique reçoive des secours spontanés à l'intérieur de la bière, dans l'attente d'un secours extérieur apporté par des équipes spécialisées prêtes à intervenir. Le délai d'intervention entre ces deux aides ne doit être que de quelques minutes, lors d'une utilisation individuelle de l'invention et de quelques secondes lorsque l'invention est exploitée dans une nécropole de surveillance.
La rupture totale de communication entre la personne présumée morte à l'intérieur de la bière et le monde extérieur réduit à néant toutes chances de survie. De toutes façons, en cas de retour éventuel à la vie de la personne, il est probable qu'une communication d'ordre phonique ne serait pas efficace, ni possible, pour cause de faiblesse ou de lésion clinique. Il était nécessaire d'invention des dispositifs performants, fiables et automatiques, détectant les premiers signes cliniques de retour éventuel à la vie quelles que soient leur amplitude et leur fréquence. La première action, en présence du début du premier signe clinique, déclenche le processus d'aide à l'intérieur de la bière.
Le premier signe clinique décelable d'un éventuel retour à la vie, peut être soit la présente d'activité cardiaque, soit d'activité respiratoire pulmonaire, ou bien les deux simultanément. la variation thermique du corps, prise en compte différentiellement avec la température ambiante, peut-être positive ou négative selon les saisons et le lieu ou se trouve le corps ; elle est la conséquence de la présence des deux signes cliniques précités.
Dans le passé, l'état de la technique a déjà mentionné des réalisations abordant le thème du reetour à la vie après la mise en bière ou l'inhumation, mais elles n'apportent aucune solution tech#nique ou scientifique satisfaisante à ce problème.
Les inventeurs constatent des antécédents et citent des statistiques relevées ici et là. Ouvertement ou implicitement, ils accusent la profession médicale d'erreur car elle est l'auteur du certificat de décés. Toutefois, ce phénomène de résurrection reste sans explication scientifique plausible jusqu a ce jour, sans doute à cause de la rareté des cas qui peut être due à l'absence technique de détection et de communication du retour des signes cliniques de la vie.
Toutes les solutions proposées par ces inventions pour résoudre ce problèmes n'ont aucun fondement scientifique ou logique car elles essayent de traiter la forme et non pas le fond du problème, autrement dit l'effet et non pas la cause.
Toutes les inventions font appel à la détection du mouvement des membres ou du corps pour le déclenchement de leur mécanisme et de l'alarme. La majorité d'entre elles néglige le gonflement du corps lors de la décomposition, qui modifie le volume et provoque le mouvement des membres, d'où l'activation intempestive et inévitable de leur dispositif. Aucun des dispositifs précités n'est basé sur la détection des activités physiologiques involontaires que sont l'activité cardiaque, respiratoire ou thermique.
Toutes ces inventions sont mises en application uniquement après la mise en bière, dont 48 heures après le décés pour la
France, comme solution à une éventualité faisant appel à la participation active de l'utilisateur, en l'occurence à l'aide d'un mouvement. Scientifiquement et pratiquement, cela ne peut se produire qu'après de longues heures de retour des activités ou des signes cliniques de la vie, sans aide aucune, ce qui diminue énormément la chance d'un retour durable à la vie, pour les raisons citées plus haut.
France, comme solution à une éventualité faisant appel à la participation active de l'utilisateur, en l'occurence à l'aide d'un mouvement. Scientifiquement et pratiquement, cela ne peut se produire qu'après de longues heures de retour des activités ou des signes cliniques de la vie, sans aide aucune, ce qui diminue énormément la chance d'un retour durable à la vie, pour les raisons citées plus haut.
Aucune invention ne s intéresse à la phase post mortem la plus importante, celle des premières 48 heures qui suivent le décés, au cours de laquelle l'éventualité d'un retour à la vie est indubitablement la plus grande et la moins hasardeuse.
A noter que les inventions précédentes s'appliquent exclusivement aux cercueils.
En particulier, l'une de ces inventions, celle du brevet
N 2 516 790, s'applique particulièrement aux cataleptiques qui ont dépassé le délai légal d'attente de 48 heures avant l'inhumation. En premier lieu, il s'impose de déterminer la définition exacte du mot catalepsie, par exemple selon le dictionnaire français LAROUSSE de 1985
Catalepsie : suppression apparente et momentanée de la
vie par la suspension des mouvements.
N 2 516 790, s'applique particulièrement aux cataleptiques qui ont dépassé le délai légal d'attente de 48 heures avant l'inhumation. En premier lieu, il s'impose de déterminer la définition exacte du mot catalepsie, par exemple selon le dictionnaire français LAROUSSE de 1985
Catalepsie : suppression apparente et momentanée de la
vie par la suspension des mouvements.
Cette définition est lignuistique et sommaire.
La définition médicale et scientifique selon certains principes fondamentaux connus et prouvés mondialement et surtout selon la pratique médicale, permet quant à elle d'aller plus loin dans le raisonnement.
Catalepsie : perte momentannée de la contraction des
muscles de la vie animale avec hypertonie s'opposant à tout
essai de mobilisation et d'aptitude des membres et du tronc à
conserver les attitudes données.
muscles de la vie animale avec hypertonie s'opposant à tout
essai de mobilisation et d'aptitude des membres et du tronc à
conserver les attitudes données.
D'après les observations médicales, les dix sept volumineux muscles formant la langue sont relaxés et décontractés, provoquant l'obturation complète du pharynx, comme au cours de l'anesthésie par le curare.
Etant donné que le corps d'une personne constatée morte, cataleptique ou autre, est toujours positionné allongé sur le dos, pendant toute la période légale de 48 heures avant l'inhumation, et vu la définition médicale de la catalepsie ainsi que la conclusion formelle de l'obturation totale du pharynx lors de la catalepsie, cette personne cataleptique n'a aucune chance de revenir à la vie pour cause d'asphyxie liée à l'obturation du pharynx.
En conclusion, le dispositif de l'invention en référence n'apporte aucune sécurité pour une personne en état cataleptique, car aucune alarme ne risque de se déclencher, d'où l'infondé de l'invention.
Reste le problème de la durée de la surveillance post-mortem des signes cliniques de la vie, pour lequel il est impératif de définir le critère selon lequel cette surveille peut cesser. Ce critère ne peut être que la certitude de l'irréversibilité de la mort qui, selon la médecine légale, est acquise et rigoureusement indiscutable lors de la putréfaction manifeste, ayant pour irréfutable et évident signe le gonflement du cadavre jusqu'au dédoublement du volume et ensuite la rupture de la paroi abdominale.
La solution de ce problème doit prendre en compte le fait que le corps peut être enfermé dans un cercueil, d'où l'impossibilité d'un contrôle visuel.
L'invention résoud ce premier problème par un dispositif de détection de putréfaction, composé d'un capteur incorporé dans une ceinture placée autour de la taille, relié par conducteur au détecteur.
Ce dispositif reste en veille tout au long de la période de surveillance. Il est activé lorsque le volume de l'abdomen atteind un seuil confirmant la putréfaction avancée.
Cette information de putréfaction en forme d'un signal électrique nommé S4, S4 = 1, est traitée par un calculateur de gestion de la manière suivante
I. La présence du signal S4 précédé par un signal positif
provenant d'un détecteur de la respiration, n'a aucune
conséquence et ce signal S4 ne sera pas pris en compte,
car dans ce cas la cause de ce signal est la
respiration et son mécanisme physiologique.
I. La présence du signal S4 précédé par un signal positif
provenant d'un détecteur de la respiration, n'a aucune
conséquence et ce signal S4 ne sera pas pris en compte,
car dans ce cas la cause de ce signal est la
respiration et son mécanisme physiologique.
2. La présence du signal S4 non précédé d'un signal positif
d'activité respiratoire, provoque l'émission de cette
information après traitement, par l'intermédiaire d'une
interface de communication et ensuite par un moyen de
communication choisi.
d'activité respiratoire, provoque l'émission de cette
information après traitement, par l'intermédiaire d'une
interface de communication et ensuite par un moyen de
communication choisi.
A la réception et après décodage de cette information P* par un dispositif de réception, le système de surveillance clinique post-mortem objet de cette invention peut être débranché et récupéré si il est à l'extérieur du cercueil, et l'inhumation définitive peut avoir lieu, notamment lorsque la surveillance s'effectue dans une nécropole de surveillance post-mortem prévue pour la surveillance et le contrôle d'un éventuel retour à la vie.
D'une manière générale, le dispositif de l'invention agit par la détection automatique et permanente des signes d'activité cardiaque, respiratoire, thermique et de la putréfaction. Les informations codées provenant des détecteurs sont décodées et analysées par le dispositif central de l'invention et ensuite transmises par des moyens de communication divers à une équipe d'intervention rapide de secours, habilitée à intervenir dans les minutes qui suivent l'apparition des premiers signaux.
La fréquence de ces signes cliniques est comptabilisée dans le dispositif central de l'invention. Lorsque le seuil présélectionné garantissant un retour à la vie est atteint, la phase de communication avec le monde extérieur est déclenchée.
A titre d'exemple et pour mieux comprendre ce dispositf, si le seuil présélectionné est de X pulsations cardiaques par Y minutes et X* inspirations d'air par Y* minutes, lorsque les chiffres X ou X* sont atteints, quelle que soit la durée de leur comptabilisation à condition qu'elle soit inférieure à Y ou Y*, le calculateur de gestion envoi un signal codé à l'interface de communication, et ce dernier déclenche le processus de transmission des informations reçues vers le monde extérieur au cercueil ou extérieur au lieu où se trouve le corps, par l'intermédiaire d'un moyen de communication choisi, que ce soit par ligne téléphonique, radio téléphone, cables, ondes hertziennes ou tout autre moyen direct ou indirect.
Un certain nombre de paramètres sont à considérer, variables d'un individu à l'autre, nécessitant la prise en con te de toutes les particularités afin de couvrir toutes les hypothèses de ces signes caractéristiques de retour à la vie.
Parmi les paramètres fondamentaux de ces signes cliniques, il faut prendre en compte
1. L'activité cardiaque, d'où la circulation et les
pulsations.
1. L'activité cardiaque, d'où la circulation et les
pulsations.
2. L'activité respiratoire, d'où l'inspiration ou
l'inhalation d'air, qui est la phase active de la
respiration.
l'inhalation d'air, qui est la phase active de la
respiration.
3. L'activité thermique, d'où la température corporelle et
sa variation avec la température ambiante.
sa variation avec la température ambiante.
Dans la réalisation pratique de ce système
- les moyens de détection de l'activité cardiaque
consistent en un électrocardiographe ou un détecteur de
différence de potentiel du myocarde dont les électrodes
sont fixées sur le corps du patient,
- les moyens de détection de l'activité respiratoire
consistent en un capteur d'inhalation d'air ou d'oxygène
placé dans la bouche du patient, et relié à un détecteur
d'inspiration,
- les moyens de détection de l'activité thermique
consistent en des moyens de comparaison entre des
indications fournies par un capteur de la température
ambiante et par un capteur de la température du corps de
l'utilisateur,
- les moyens de détection de la putréfaction consistent en
un capteur incorporé dans une ceinture placée autour de
la taille de la personne, relié par un conducteur à un
détecteur de ladite putréfaction.
- les moyens de détection de l'activité cardiaque
consistent en un électrocardiographe ou un détecteur de
différence de potentiel du myocarde dont les électrodes
sont fixées sur le corps du patient,
- les moyens de détection de l'activité respiratoire
consistent en un capteur d'inhalation d'air ou d'oxygène
placé dans la bouche du patient, et relié à un détecteur
d'inspiration,
- les moyens de détection de l'activité thermique
consistent en des moyens de comparaison entre des
indications fournies par un capteur de la température
ambiante et par un capteur de la température du corps de
l'utilisateur,
- les moyens de détection de la putréfaction consistent en
un capteur incorporé dans une ceinture placée autour de
la taille de la personne, relié par un conducteur à un
détecteur de ladite putréfaction.
Selon l'invention, enfin, l'ensemble des informations
provenant des moyens de détection est géré par des
moyens de mémorisation, de comptabilisation et
d'analyse, déterminant, en fonction desdites
informations, l'intervention des secours appropriés.
provenant des moyens de détection est géré par des
moyens de mémorisation, de comptabilisation et
d'analyse, déterminant, en fonction desdites
informations, l'intervention des secours appropriés.
On va maintenant décrire l'invention d'une manière plus détaillée, en se référant aux figures présentées en annexes, pour lesquelles
- la figure A est un schéma synoptique général de
l'ensemble des éléments de ce système,
- la figure 1 est une vue schématique d'un cercueil
(compartiment C), équipé du système de surveillance et
de contrôle selon l'invention (compartiment D
détachable).
- la figure A est un schéma synoptique général de
l'ensemble des éléments de ce système,
- la figure 1 est une vue schématique d'un cercueil
(compartiment C), équipé du système de surveillance et
de contrôle selon l'invention (compartiment D
détachable).
- les figures 2 à 16 représentent aes éléments des cartes
électroniques gérant cet ensemble
On procèdera préalablement à une description générale avant d'explquer plus en détail le fonctionnement des cartes électroniques.
électroniques gérant cet ensemble
On procèdera préalablement à une description générale avant d'explquer plus en détail le fonctionnement des cartes électroniques.
En se référant tout d'abord aux Figures A et 1, on voit que le système comporte, à l'intérieur du cercueil C une série de capteurs désignés par les références 1 à 7 et 10, connectés par des conducteurs de liaison 11 à 17 et 20 à une prise multi-contacts 23 fixée sur la paroi du cercueil. Ces capteurs ont les fonctions respectives suivantes
Les capteurs 1 à 4 sont des électrodes, reliées par les conducteurs 13-14-15-16 à la prise 23 dans laquelle vient se brancher une prise 26 connectée au détecteur d'activité cardiaque 29, par exemple un électrocardiographe, par l'intermédiaire d'une liaison 27 et d'un calculateur de gestion 28, alimenté par une source 40.
Les capteurs 1 à 4 sont des électrodes, reliées par les conducteurs 13-14-15-16 à la prise 23 dans laquelle vient se brancher une prise 26 connectée au détecteur d'activité cardiaque 29, par exemple un électrocardiographe, par l'intermédiaire d'une liaison 27 et d'un calculateur de gestion 28, alimenté par une source 40.
Les capteurs 5 et 6 sont respectivement des capteurs de la température du corps du patient, placés dans l'anus, et de la température ambiante. Ils sont de même reliés à un détecteur d'activité thermique 31 par les conducteurs 11 et 12, les prises 23 et 26, la liaison 27 et le calculateur de gestion 28.
Le capteur 7 est un détecteur d'inhalation d'air ou d'oxygène, placé dans la bouche du patient, et réuni à un détecteur d'activité respiratoire 30 par l'intermédiaire, comme ci-dessus, du conducteur 17, des prises 23 et 26, de la liaison 27 et du calculateur de gestion 28.
Enfin, le capteur 10 est un capteur de la putréfaction placé en ceinture autour de la taille, il est pareillement relié à un détecteur de la putréfaction 32 par l'intermédiaire du conducteur 20, les prises 23 et 26 de la liaison 27 via le calculateur de gestion 28.
Le dispositif des quatre groupes de capteurs 1,2,3,4 ;7;6;5;10 et leurs liaisons 11 à 17, 20 est caractérisé en ce que ces groupes peuvent être exploités, séparément ou groupé, à l'e-térieur du cercueil par l'intermédiaire d'une prise étanche identique à la prise 23, mais non fixée sur un cercueil, en particulier au cours de la phase de 48 heures qui suit la consatation du décès.
Ce système de détection des signes cliniques de la vie est aussi caractérisé en ce qu'il peut être utilisé également à l'intérieur du cercueil. Dans ce cas, l'ensemble du système doit être abandonné ; on entend par "l'intérieur du cercueil" le volume du cercueil enfermant le corps. Dans le cas d'une utilisation à l'extérieur du cercueil, l'ensemble du système peut être récupéré pour une utilisation ultérieure à l'exclusion des capteurs, leurs conducteurs et la prise 23.Il est de coutume et même prévu pa#r la législation française que l'inhumation n'a lieu que 48 heures après la constatation du décès, mais dans d'autres pays c'est le jour même ou au plus tard le lendemain.
Dès la constatation de la mort clinique d'une personne même en milieu hospitalier, les appareils de surveillance et d'assistance électro médicale sont débranchés et la personne est transférée à la morgue pour 48 heures dans le but de confirmation de la mort mais sans surveillance et à -4 Celsius.
Dans la grande majorité des cas, surtout les décés subits pour cause cardiaques ou autres, le décés survient à domicile.
Un médecin constate la mort et délivre le certificat de décés.
Dès lors la personne reste jusqu'à l'enterrement sans surveillance.
Afin de résoudre le problème d'absence de surveillance pendant la période située entre la constatation du décés et la mise en bière, il est important de prévoir le branchement de l'appareil sujet de l'invention sur le corps du défunt aussitôt que le décés est constaté, que ce soit au dominicle ou à la morgue d'un hôpital. La surveillance des signes cliniques peut avoir lieu dans le cercueil ou à l'extérieur par exemple sur un lit, un chariot d'hôpital ou une civière ou encore sur une table de la morgue et même dans un réfrigérateur. Dans ce dernier cas, les capteurs des signes cliniques seront palcés sur et dans le corps puis reliés par leurs conducteurs aux détecteurs et au reste des dispositifs du système placé à l'extérieur du ré: rigérateur.
L'ensemble des informations provenant des détecteurs 29, 30, 31, 32 sont mémorisées, comptabilisées, et analysées. Selon les analyses des informations, la priorité est donnée à une action d'aide à l'intérieur du cercueil, en vue d'apporter des secours immédiats au patient, suivis par une action extérieure.
L'action à l'intérieur du cercueil peut être
- un secours physique, par exemple l'activation d'une vanne
électrique 33 provoque l'injection d'oxygène en
provenance d'une bouteille à l'extérieur du cercueil,
par l'intermédiaire de la valve d'admission 34 et
l'ouverture de la valve d'évacuation 35 munie d'un
filtre déodorant,
- un secours psychique, par exemple l'activation d'une
source lumineuse 9, par une liaison 18,
- un secours psychique, par exemple l'activation d'une
source de communication audio 8, par une liaison 19
diffusant un message tranquilisant, pré-enregistré et
personnalisé.
- un secours physique, par exemple l'activation d'une vanne
électrique 33 provoque l'injection d'oxygène en
provenance d'une bouteille à l'extérieur du cercueil,
par l'intermédiaire de la valve d'admission 34 et
l'ouverture de la valve d'évacuation 35 munie d'un
filtre déodorant,
- un secours psychique, par exemple l'activation d'une
source lumineuse 9, par une liaison 18,
- un secours psychique, par exemple l'activation d'une
source de communication audio 8, par une liaison 19
diffusant un message tranquilisant, pré-enregistré et
personnalisé.
Les actions extérieures peuvent être de deux natures
a) L'organigramme d'analyse des informations, reçues des
détecteurs 29, 30, 31, 32, provoque un traitement
sélectif qui va mettre en oeuvre des moyens de
communications appropriés 37, par l'intermédiaires
d'une interface 36,
b) L'interface de communication vers le monde extérieur au
cercueil C réalise le codage de l'information à
transmettre provenant du calculateur de gestion 28 et
émet ces informations selon le mode de communication
choisi 37 vers le monde extérieur (câbles
téléphoniques, ondes hertziennes, rayons infrarouges,
fibres optiques, etc...). L'information ainsi transmise
est identifiée par un code représentatif de la nature
de l'activité physiologique signifiante d'un retour à
la vie ou de la putréfaction qui aura été détecté.
a) L'organigramme d'analyse des informations, reçues des
détecteurs 29, 30, 31, 32, provoque un traitement
sélectif qui va mettre en oeuvre des moyens de
communications appropriés 37, par l'intermédiaires
d'une interface 36,
b) L'interface de communication vers le monde extérieur au
cercueil C réalise le codage de l'information à
transmettre provenant du calculateur de gestion 28 et
émet ces informations selon le mode de communication
choisi 37 vers le monde extérieur (câbles
téléphoniques, ondes hertziennes, rayons infrarouges,
fibres optiques, etc...). L'information ainsi transmise
est identifiée par un code représentatif de la nature
de l'activité physiologique signifiante d'un retour à
la vie ou de la putréfaction qui aura été détecté.
La réception des informations peut se faire en mode direct
En provenance des moyens de communications 37, le message codé à l'émission est reçu simultanément par l'ensemble des personnes ou autorités habilités à porter secours au sujet ressuscité. La réception du message codé a lieu par l'intermédiaire des récepteurs décodeurs appropriés 39, comme par exemple un simple téléphone recevant dans ce cas un message vocal préenregistré dans le calculateur de gestion.A titre d'exemple, les mêmes informations peuvent être reçues simultanément par
- un membre de la famille de l'interessé ou une personne
par lui désignée lors des accords préalables,
- une personne assermentée de permanence, désignée par la
société responsable des équipements techniques,
- un médecin du service d'action spécialisée ayant autorité
légale d'intervention afin de porter secours au sujet,
- tout autre service ou personne concernés.
En provenance des moyens de communications 37, le message codé à l'émission est reçu simultanément par l'ensemble des personnes ou autorités habilités à porter secours au sujet ressuscité. La réception du message codé a lieu par l'intermédiaire des récepteurs décodeurs appropriés 39, comme par exemple un simple téléphone recevant dans ce cas un message vocal préenregistré dans le calculateur de gestion.A titre d'exemple, les mêmes informations peuvent être reçues simultanément par
- un membre de la famille de l'interessé ou une personne
par lui désignée lors des accords préalables,
- une personne assermentée de permanence, désignée par la
société responsable des équipements techniques,
- un médecin du service d'action spécialisée ayant autorité
légale d'intervention afin de porter secours au sujet,
- tout autre service ou personne concernés.
La réception des informations peut également être effectuée suivant un mode indirect
Le message codé à l'émission, en provenance des moyens de communication choisis 37, est reçu par un poste de gestion locale 38, situé à l'intérieur du cimetière ou aux abords. Ce poste 38 est caractérisé par sa capacité de réception d'un grand nombre de messages et les communique à son tour comme expliqué précédemment dans la "réception directe". Ce poste de gestion local est envisagé dans l'invention comme solution aux problèmes d'interférence et de saturation de lignes lorsque le nombre des tombes d'un cimetière équipées par ce système de surveillance devient important.
Le message codé à l'émission, en provenance des moyens de communication choisis 37, est reçu par un poste de gestion locale 38, situé à l'intérieur du cimetière ou aux abords. Ce poste 38 est caractérisé par sa capacité de réception d'un grand nombre de messages et les communique à son tour comme expliqué précédemment dans la "réception directe". Ce poste de gestion local est envisagé dans l'invention comme solution aux problèmes d'interférence et de saturation de lignes lorsque le nombre des tombes d'un cimetière équipées par ce système de surveillance devient important.
Il convient de considérer que la présente invention est en complémentarité et non pas en contradiction avec les méthodes médicales, législatives et convictionnelles actuelles selon lesquelles le décès est défini, d'où la délivrance du
Certificat de Décès. C'est dans ce sens que le système selon la présente invention ne fait que soit confirmer le décès en éliminant tout doute possible, soit infirmer la constation médicale du décès avec sauvetage de la personne concernée lors de son retour éventuel à la vie, sans pour autant prétendre qu'une erreur médicale a été commise du fait de la délivrance du certificat de décès, car ce phénomène de retour à la vie reste jusqu a ce jour pratiquement inexploré et sans explication intelligible, d'où l'intérêt d'un dispositif complémentaire, d'enregistrement quantitatif et qualitatif ainsi que temporel des évènements de reprise des activités vitales lors d'un éventuel retour à la vie.
Certificat de Décès. C'est dans ce sens que le système selon la présente invention ne fait que soit confirmer le décès en éliminant tout doute possible, soit infirmer la constation médicale du décès avec sauvetage de la personne concernée lors de son retour éventuel à la vie, sans pour autant prétendre qu'une erreur médicale a été commise du fait de la délivrance du certificat de décès, car ce phénomène de retour à la vie reste jusqu a ce jour pratiquement inexploré et sans explication intelligible, d'où l'intérêt d'un dispositif complémentaire, d'enregistrement quantitatif et qualitatif ainsi que temporel des évènements de reprise des activités vitales lors d'un éventuel retour à la vie.
Pour pallier le problème du volume d'air restreint et pollué dans la bière, l'invention prévoit dans le calculateur de gestion un dispositif d'épuration d'air. Ce dispositif fo:#ctionne de la manière suivante : un circuit électroniqce provoque l'enclanchement cyclique de la vanne d'oxygène 33 et les valves 34 et 35 pour une durée déterminée permettant l'évacuation de l'air pollué dans la bière par l'injection d'un volume correspondant d'oxygène. La longueur de ce cycle peut être de six heures à douze heures.
Au titre de complément à la description précédente, il est prévu que pour pallier le risque d'intervention des phénomènes d'électricité statique dans l'atmosphère aux environs du système objet de la présente invention, que ce soit à l'intérieur ou à l'extérieur d'un cercueil, d'une tombe ou d'une nécropole, il est prévu la mise en oeuvre de moyens de protection antiparasites et d'élimination des décharges électriques -tels que les orages ou l'environnement électrique ces protections peuvent être disposées à l'intérieur ou à l'extérieur des lieux précités ainsi que par le capitonnage du cercueil par une mince feuille métallique reliée à une prise de terre, ou un paratonnerre.
Dans le but de montre#r l'objectivité de la présente invention, ainsi que le produit industriel qu'elle suscite aussi bien que l'activité qu'elle peut créer, il est important de citer un des modes de son exploitation envisagée.
Conjointement avec l'objectif de démocratisation et de vulgarisation de ce procédé, vu le coût élevé de ce système, on prévoit la création d'un local qui peut être dans un cimetière genre nécropole ou reposoir équipé afin de recevoir en grand nombre pour une période à déterminer, suite à laquelle l'inhumation définitive de l'intéressé doit avoir lieu, selon le désir du défunt lors des accords préalables de son vivant.
Ce local est équipé d'un certain nombre de dispositifs selon la présente invention, équivalent au nombre de places prévues dans ce local. L'ensemble des dispositifs et appareils peut être incorporé dans un coffret central relié par des conducteurs, correspondant à 27 qui ont chacun pour extrémités une prise 26. D'autre part, ce coffret central est aussi relié à un pupitre de voyants lumineux pour une surve.lZance visuelle et locale pouvant indiquer le cercueil et la personne concernée lors d'une éventuelle "résurrection".Le pupitre est aussi équipé d'un dispositif sonore se mettant en activité lors d'un tv#nement, simultanément avec le voyant lumineu^.. Le dispositif d'interface de communication 36 et les moyens de communication choisis 37 sont semblables à ceux expliqués ci-dessus. Dans ce local de surveillance post mortem des signes cliniques de la vie il est prévu un personnel qualifié d'intervention de secours en permanence.
L'avantage fondamental qu'offre ce mode d'exploitation de l'invention est l'intervention immédiate des secours qui sont de permanence sur place ; de ce fait, le décalage entre le retour des signes cliniques de la vie de l'interessé et l'intervention des secours extérieurs est réduit à quelques secondes. D'autre part le coût de ce mode collectif de surveillance peut diminuer sensiblement le prix de l'utilisation du procédé de l'invention par rapport au coût de son utilisation individuelle, qui est aussi possible.
Comme on l'a dit auparavant, on va maintenant entamer une description plus détaillée des circuits électroniques assurant les fonctions décrites ci-dessus, lesdits circuits étant représentés sur les figures 3 à 15.
Sur la figure 2, le signal issu des capteurs cardiaques
TDC est envoyé sur un amplificateur inverseur (100), puis i3 est émis vers deux destinations différentes : en premier lieu, vers un compteur décimal (102) par l'intermédiaire d'un Buffer (101) et en second lieu vers la commande des secours intérieure, par le biais de la liaison S1.
TDC est envoyé sur un amplificateur inverseur (100), puis i3 est émis vers deux destinations différentes : en premier lieu, vers un compteur décimal (102) par l'intermédiaire d'un Buffer (101) et en second lieu vers la commande des secours intérieure, par le biais de la liaison S1.
Deux compteurs décimaux (102) et (104) sont placés en cascades et comptabilisent X tops sur le premier (102) en un temps Y sur le second (104), comme on l'a déjà évoqué auparavant. Plus précisément, chaque signal envoyé sur le compteur (102) est comptabilisé et ajouté au(x) précédent(s), dans la mesure où cela n'excède pas un certain temps.
Le nombre de signaux suffisants pour déclencher la suite de la procédure est fixé par un commutateur (105) qui est relie à la sortie de comptage choisie. Le circuit est identique en ce qui concerne le second capteur décimal (10il) qui est également relié à un commutateur (106) destiné à fixer la période comptage. Ce second compteur (104) est relié à une horloge constituée d'un timer classique (107), du type 555, dont les condensateurs et résistances sont calculés de telle sorte que le signal envoyé sur l'entrée d'horloge du compteur égrène les minutes. Cette horloge est formée de deux comparateurs (108) et (109) dont les sorties sont envoyées sur une bascule FLIP-FLOP (110), puis sur un étage de sortie (111), les changements de la bascule étant bien entendu contrôlés et déterminés par les valeurs des composants placés sur les broches du circuit.
A chaque minute, un signal est comptabilisé sur l'entrée d'horloge du compteur (104) ; lorsque le nombre Y choisi sur le commutateur (106) est atteint, la sortie de comptage correspondante est active et, par l'intermédiaire dudit commutateur, un signal S3 est envoyé sur les entrées RESET des deux compteurs en cascade. le cycle d'attente peut recommencer, les deux compteurs sont à nouveau à zéro. Mais ce cycle répétitif n'intervient que lorsque le nombre X comptabilisé par le premier compteur n'atteint pas le seuil fixé par le commutateur (105) pendant le temps Y défini par le second commutateur (106).
Dans le cas contraire, si ce seuil est atteint dans la période fixée, un signal est émis en S2, car la sortie de comptage correspondante est reliée à S2 par l'intermédiaire du commutateur (105).
En tout état de cause, dès que le premier compteur comptabilise deux tops, c'est-à-dire dès lors que deux pulsations cardiaques ont été enregistrées, la sortie correspondante du compteur envoie son signal à une horloge (112) par l'intermédiaire d'un circuit intégré du type 555 (113) relié à ladite horloge à travers un composant optoélectronique (114) d'interfaçage, comme le montre la figure 3.
Le signal issu du capteur cardiaque est, parallèlement au circuit décrit ci-dessus, envoyé sur un comparateur non inverseur (115) du type 1458 dont la sortie est envoyée sur un circuit convertisseur tension/fréquence (116), comme représenté en figure 5. En sortie, le signal sous forme d'un spectre de fréquence est envoyé vers un enregistreur connecté à la borne (#17), de sorte qu'il est possible d'effectuer une analyse ultérieure des pulsations émises par le coeur du sujet.
La liaison S1, déjà citée, est raccordée, comme le montre la figure 6, à une porte logique OUT (118) à laquelle est également raccordée une liaison notée SR venant du circuit de détection de respiration. La sortie de ce OU (118) est amenée à un circuit temporisateur (119), par exemple un 555 ou une moitié de 556 selon les besoins de construction pratique de la carte électronique. Ce circuit intégré introduit une temporisation de 3 à 5 minutes selon le choix des composants extérieurs. Pendant cette période, le signal de sortie actif est envoyé sur un multiple Buffer (120), (121), (122), (123), qui le distribue vers plusieurs composants de puissance (124), (125), (126) assurant l'interface avec par exemple des circuits de secours immédiat.Ainsi, chaque sortie du buffer, à part la liaison SD, est connectée à la gâchette d'un de ces composants, qui peuvent être du type IRF, et dont les anodes sont reliées à trois circuits
L'alimentation de l'appareil enregistreur SAE, qui peut
ainsi déclencher l'enregistrement des signes apparus,
le circuit destiné à activer une lampe à l'intérieur de
la bière SL, assurant une aide psychologique au patient
et,
le circuit fournissant en sortie de l'oxygène S02 pour
pallier l'insuffisance d'air respirable en cas
d'apparition des premiers signes de retour à la vie.
L'alimentation de l'appareil enregistreur SAE, qui peut
ainsi déclencher l'enregistrement des signes apparus,
le circuit destiné à activer une lampe à l'intérieur de
la bière SL, assurant une aide psychologique au patient
et,
le circuit fournissant en sortie de l'oxygène S02 pour
pallier l'insuffisance d'air respirable en cas
d'apparition des premiers signes de retour à la vie.
Le dernier buffer sort sur la liaison S5, laquelle est amenée dans le cercueil et est destinée à la commande d'un circuit phonique interne préenregistré qui constitue une aide psychologique supplémentaire, par diffusion d'un message rassurant.
Les signaux issus du circuit de détection de l'inspiration sont traités par un circuit similaire à celui qui traite les informations provenant du circuit de détection des pulsations cardiaques. Comme le montre la figure r, ce circuit se compose également d'un compteur ( 1DO) et d'un commutateur multipositions (151), chaque position étant connectée à une des sorties de comptage dudit compteur (150). Le fonctionnement global est analogue : l'entrée d'horloge est connectée au signal d'arrivée du détecteur respiratoire TDR, signal qui t également envoyé, bufferisé et noté SR, à une porte OU (118) déjà mentionnée, placée en amont du temporisateur commandant des sorties de puissance. La liaison S3 est celle qui relie les trois entrées RESET des trois compteurs (102), (104) et (150).
Lorsque le temps Y est atteint, si les nombres choisis de pulsations cardiaques ou d'inspirations ne sont pas égalés ou dépassés, les trois compteurs sont remis à zéro. Dans le cas contraire, le signal S6, indiquant que la procédure globale peut s'enclencher, est envoyé sur le circuit de sélection des priorités de programme. Sur la sortie de comptage indiquant deux phénomènes respiratoires, un circuit comportant une horloge destinée à marquer la date de l'évènement est prévu, exactement de la même manière que pour le circuit de détection des pulsations cardiaques.
Dans la bière, des capteurs de température forment le troisième moyen de mesurer un éventuel retour à la vie. Ceux-ci peuvent être placés en différents endroits du corps, par exemple dans l'anus. Ainsi que le représente la figure 4, un circuit se compose de deux capteurs (160) et (161), par exemple du type LM 334, dont les signaux de sortie sont traités en premier lieu par un étage amplificateur différentiel, assuré par un composant du type 741, (162) et dont le signal différentiel de sortie est envoyé sur un comparateur (163), par exemple du type 339, qu'on peut régler en fonction des conditions de températures saisonnières, notamment par l'intermédiaire du potentiomètre (164). En effet, il est évident que le signal en sortie de l'amplificateur différentiel n'est pas identique selon la période de décès.Le signe même du signal peut changer : il est donc impératif de pouvoir régler la tension de référence du comparateur (163). En fin de circuit, le signal est bufferisé et relié au circuit de sélection de priorité de programme par la liaison S7 sortant du buffer (165).
La figure 8 montre le schéma logique établissant les priorités de traitement des signaux, en fonction de leur importance eu égard à la renaissance d'un sujet ou de sa mort irréversible. Les quatre signaux traités sont
84 issu du détecteur de putréfaction
82 issu du premier compteur (102 > c-t commandai4 ee
circuit de priorité de programme. S2 est active
lorsqu'il y a des signaux effectifs et sérieux provenant
du muscle cardiaque.
84 issu du détecteur de putréfaction
82 issu du premier compteur (102 > c-t commandai4 ee
circuit de priorité de programme. S2 est active
lorsqu'il y a des signaux effectifs et sérieux provenant
du muscle cardiaque.
86 venant du compteur en sortie du circuit de déte tion
de respiration
87 est enfin le signal issu du circuit de comparaison
entre la température du corps et celle qui règne dans la
bière.
de respiration
87 est enfin le signal issu du circuit de comparaison
entre la température du corps et celle qui règne dans la
bière.
Ce circuit débouche sur trois sorties entrainant trois programmes de traitement différents. En premier lieu, la sortie S10 ou PACRT représente le signal de commande du programme signalant la présence d'activité cardiaque ET respiratoire ET thermique.
En second lieu, S9 ou PACR figure le signal de la présence d'activité cardiaque et respiratoire, alors que la troisième sortie S8 ou PACR représente l'indice d'une activité cardiaque ou respiratoire.
S2 et S6 sont divisés chacun en trois signaux équivalents au travers des buffers (169) à (174) et se retrouvent avec S7 en entrée d'un circuit NAND (175), dont la sorte est elle-même scindée en trois liaisons au travers des buffers (176), (177) et (178). Comme le montre la table de vérité située en bas de figure, on obtient un signal O logique en sortie du NAND (li5) seulement si les trois liaisons S2, S6 et Sl sont actives. Dans tous les autres cas, la sortie est à 1 logique. Lorsqu'on a un signal actif sur les trois entrées S2, S6 et S7, on obtient un 1 logique sur S8 ou PACR en sortie, car le circuit NAND de sortie (183) a deux de ses entrées à O et la troisième à 1.
L'une est issue de la porte OU exclusif (182) qui a ses deux entrées à 1, donc sa sortie à 0. L'autre est reliée au buffer (181) connecté à la sortie d'une porte NAND (179), dont les entrées sont S2 et S6 bufférisées et le signal en sortie du buffer (178). Deux entrées sont donc à 1, la troisième à O et à la sortie du NAND (179), on obtient 1 logique. La troisième entrée du NAND (183) est directement issue du NAND (175) par l'intermédiaire d'un buffer (177) : elle est donc à 0.
S9 ou PACR correspond à la sortie bufférisée de la porte > .;D (179) : elle est donc à l'état 1. enfin S10 ou PACRT correspond à un OU exclusif entre le signal de détection de la putréfaction S4 et le signal issu de la porte NAND (175) à travers un buffer (176) : en règle générale. Elle est à l'état bas lorsque S2, S6 et S7 sont à l'état haut.
Elle est à l'état du bas également lorsque S2, S6 et S7 sont à l'état bas et S4 à l'état haut. Ce qui déclenche le programme PACRT directement sans que le programme PACR ou PACR ait été déclenché au préalable ce qui signifie que la putréfaction avancée a lieu. Pour être plus explicite ce programme PACRT, signalant le rétablissement des trois activités physiologiques vitales, ne déclenche normallement qu'après un certain temps après que l'un des deux autres programmes ait été déclenché car l'activité thermique n'apparait que lorsque les activités cardiaques et respiratoires ont été rétablies.
Ce dispositif de "priorité des programmes" est conçu pour répondre à deux problèmes fondamentaux parmi d'autres, le premier est de définir à distance l'activité physiologique qui a repris lors d'une éventuelle résurrection, le deuxième est de rendre le procédé plus fiable et de pallier à une éventuelle défaillance partielle d'ordre technique ou humaine.
On a explicité en détail un cas d'espèce relatif au fonctionnement des signaux dans ce circuit ; tous les résultats correspondant aux combinaisons des états de S2, S6 et S7 sont donnés dans la table de vérité constituée en figure 8.
Les trois sorties S8, S9 et S10 sont alors connectées au circuit terminal qui réalise l'interface avec les dispositifs destinés à avertir les équipes de secours permanentes ou les personnes habilitées à intervenir. Les trois circuits auxquels arrivent les trois signaux S8, S9 et 810 sont identiques, reliés par des portes logiques qui permettent d'assurer les priorités de certains signaux par rapport à d'autres. Chacun d'eux est connecté à un ensemble de deux timer (200) et (201) du type 555, par exemple, et montés en cascades comme montré en figure (9) pour le circuit du programme I. Chacun de ces timer réalise une temporisation d'à peu près 45 secondes, d'où une durée totale possible d'une minute et demi.La sortie S12 du premier timer (200) débouche sur un ensemble de portes
.#iques: un OU exclusif (202) dont l'autre entrée provient du second timer (201), suivi d'une porte AND (203) dont la seconde entrée est reliée à S12. S18, la liaison de sortie de cette porte AD est connectée à une porte OU exclusif (210), suivie d un inverseur (211) et parallèlement d'une porte OU exclusif (216) dont la sortie active un relais SDDC qui active le téléphone ou moyen de communication choisi, l'inversuer (211) dont la sortie est branchée sur l'entrée RESET d'un compteur (212), type 4017, représentés en figure 12.
.#iques: un OU exclusif (202) dont l'autre entrée provient du second timer (201), suivi d'une porte AND (203) dont la seconde entrée est reliée à S12. S18, la liaison de sortie de cette porte AD est connectée à une porte OU exclusif (210), suivie d un inverseur (211) et parallèlement d'une porte OU exclusif (216) dont la sortie active un relais SDDC qui active le téléphone ou moyen de communication choisi, l'inversuer (211) dont la sortie est branchée sur l'entrée RESET d'un compteur (212), type 4017, représentés en figure 12.
Lorsqu'un signal bas apparaît en S8, il est transmis en sortie du timer en signal positif pour une durée de 45 secondes et envoyé sur une entrée du OU exclusif (202). Ce signal est transmis au compteur (212) pendant la durée déterminée par le choix des composants extérieurs et qui est calculée pour se situer aux alentours de 45 secondes. Ce signal est appliqué à l'état bas sur l'entrée RESET dudit compteur qui peut alors procéder à un comptage. Ce compteur (212) étant relié à l'horloge fonctionnant à 1 Herz, les sorties sont successivement actives à cette fréquence à une seconde d'intervalle.
La sortie correspondant par exemple à 5 secondes est reliée à un relais SCM déclenchant un circuit de mémoire sur un téléphone, et elle reste active pendant une seconde. Quelques secondes plus tard, la sortie correspondante active un autre relais SCI qui commande une mémoire contenant un numéro de téléphone. Ce numéro est un code reçu, analysé et mis en mémoire par les postes récepteurs décodeurs (39) qui peuvent être à titre d'exemple genre Paget ou Euro-signal, des personnes et des instances à prévenir simultanément sans pour autant que les postes (39) signalent l'événement. Le rôle de cette première partie du programme est d'empêcher toute erreur d'appel et notamment des appels extérieurs non voulus. D'autres
OU exclusifs dont la fonction de priorité sera expliquée ultérieurement interviennent dans le circuit.
OU exclusifs dont la fonction de priorité sera expliquée ultérieurement interviennent dans le circuit.
Ainsi au terme de la phase du timer (200) sa sortie passe à l'état bas ce qui met fin à la communication du codage précité et de même provoque l'activation du timer (201) pour 45 secondes.
Ainsi, en sortie du second timer (201), on trouve deux astres compteurs décimaux (213) et (214), dont les fonctions sont les suivantes. Le signal issu du second timer (201) est inversé (204) et envoyé par S13 sur l'entrée RESET du compteur (213), dont la sortie CARRY, indiquant la retenue intervenant après le comptage de 10 tops d'horloge, est envoyé au travers des OU exclusifs (215,216) sur le même relais permettant l'alimentation du téléphone. A cet instant, on trouve un 1 logique sur une entrée du OU exclusif (216), donc un état haut en sortie, commandant le relais SDDC. Le téléphone est branché à nouveau pour 35 secondes après la coupure franche de la ligne de dix secondes.Cependant, la sortie CARRY du compteur (213) est également reliée, après inversion (217), à l'entrée RESET du compteur (214) qui commence son comptage, et la sortie correspondant à 9 secondes est reliée à un relais (SNC 2) dont la liaison de sortie SNC2 active une seconde mémoire avec un deuxième numéro de téléphone différent de celui mentionné auparavant, sans que rien ne vienne perturber la manoeuvre.En outre, la fonction mémoire du poste téléphonique activée par le relais SCM a également été réactivée avant que la fonction SNC2 n'intervienne, car en sortie du second compteur décimal (214) une sortie correspondant à un comptage inférieur à celui qui active SNC2 a été reliée au relais de SCM, exactement de la même manière que pour le compteur (212), l'appel SNC2 étant effectué et reçu simultanément par l'ensemble des récepteurs décodeurs (39), cet appel additionné à l'aapel SNC1 provoque un signal audio-visuel spécifique à l'apparition du signal S8 ou
PARCR figure 8, ce qui est le programme I. Pareillement pour le programme Il la réception de l'appel SNC1 suivi et additionné à la réception de l'appel SNC3 provoque un autre signal audio-visuel différent du premier spécifiant l'apparition du signal S9 ou PACR figure 8. Enfin, la réception par ces postes (39) de l'appel SNC4 qui est un numéro téléphonique différent des trois autres précités ayant été précédés par l'appel SNC1 provoque un troisième signal audiovisuel spécifique à l'apparition du signal S10 ou PACRT.
PARCR figure 8, ce qui est le programme I. Pareillement pour le programme Il la réception de l'appel SNC1 suivi et additionné à la réception de l'appel SNC3 provoque un autre signal audio-visuel différent du premier spécifiant l'apparition du signal S9 ou PACR figure 8. Enfin, la réception par ces postes (39) de l'appel SNC4 qui est un numéro téléphonique différent des trois autres précités ayant été précédés par l'appel SNC1 provoque un troisième signal audiovisuel spécifique à l'apparition du signal S10 ou PACRT.
Les figures 10 et 11 représentent respectivement les circuits d'arrivée des signaux S9 et S10, et sont similaires au circuit de la figure 9. Les deux timers d'entrée de la figure 10 sont référencés (220) et (221). En sortie de (220), la liaison S22 conduit également à un exclusif (222) suivi dune porte AND (223) celles-ci assurant les mêmes fonctions que précédemment. Même chose en ce qui concerne la figure 11 avec ses deux timers (230) et (231), la liaison S 25 en sortie du premier débouchant sur le OU exclusif (232) et le AND (233).
Le circuit d'exclusion nécessité par les priorités apparaît en figure 12 : S19 et S20 sont soumis à un OU exclusif (218), le résultat étant confronté à 818 par le OU exclusif (210) déjà rencontré.
De la même manière, les figures 13 et 14 complémentent la figure 12 en explicitant les voies des programmes il et III.
Les voies S21 et 824 au travers des inverseurs (224) et (234) activent respectivement les compteurs (243), (244) et (253), (254), dont les sorties CARRY sont connectées à l'entrée RESET du compteur vis à vis par l'intermédiaire d'inverseurs (248) et (258). Lorsque les programmes Il et III sont mis en oeuvre, le circuit de sécurité faisant intervenir le relais SNC1 intervient également, grâce aux liaisons S19 et S201 dans les mêmes conditions qu'avec S18.
Un jeu de OU exclusifs est destiné à prévenir toute fausse manoeuvre au niveau de l'établissement de l'alimentation téléphonique. Les signaux de commande S16, S17, S20, en sortie des trois compteurs terminaux (213), (243) et (253) sont traités successivement par des portes OU exclusif. Ainsi, 816 et S17 sont traités par une première porte (240) dont le résultat est confronté à 828 dans la porte (215). Enfin, le résultat final des trois sorties précédentes est relié å une dernière porte OU exclusif (216) dont l'autre entrée est occupée par la sortie du OU exclusif (210) destiné à l'accomplissement de l'opération de sécurité. En sortie, on est relié au bobinage du relais d'alimentation du poste téléphonique, comme cela apparaît en figure 12.
En ce qui concerne la validation du programme en cours, effectuant simultanément l'invalidation des deux autres programmes possibles, on dispose de trois circuits parallèles fonctionnant comme suit. Un certain nombre de portes logiques liant les trois circuits relient finalement les entrées RESET des deux timers d'entrée au circuit terminal. Les sorties S11 et 812 des timers du programme I forment les entrées d'une porte NOR (300) dont la sorte se divise en deux connections (voir figure 15). D'une part, on aboutit sur un inverseur (301) qui est relié à une porte NOR (302) adressant les entrées RESET des timers d'entrée du programme III (S31). D'autre part, on aboutit sur une porte NAND (303), puis sur un inverseur (304) réalisant la même fonction que le précédent pour les timers d'entrée du programme Il par S30.Ainsi, lorsque survient un état haut sur S11 ou S12, on a toujours un état bas en sortie du NOR (302) commandant les entrées RESET des timers du programme III. De même, on a toujours un état bas en sortie de l'inverseur (304) commandant les entrées RESET des timers du programme Il.
De la même manière, lorsqu'un état haut survient sur les liaisons S22 ou S23, on obtient toujours un O logique sur S29 connecté sur les entrées RESET des timers d'entrée du circuit du programme I, par l'intermédiaire d'un NOR (305). S29 est également connecté à un inverseur (306) dont la sortie rejoint le NOR (302), produisant exactement les mêmes effets que le signal issu du programme I, explicité ci-dessus.
Enfin, un état haut sur S25 ou S26 donnent un O logique en sortie du NOR (307), lequel est connecté sur la porte NAND (303) citée ci-dessus, produisant un état haut en sortie, immédiatement converti en état bas par l'inverseur (304).
En conclusion, lorsqu'un circuit est validé grâce à la priorité respectée par le signal issu du circuit de gestion des priorités, les autres entrées sont logiquement invalidées. Seul un programme fonctionne, ce qui est strictement nécessaire eu égard aux différents relais prévus pour activer les circuits téléphoniques de sortie. Seule une routine peut se déclencher, de façon qu'il n'y a pas de possibilité d'interférences fâcheuses et assurant la fin du programme en cours aussi bien que garantissant l'intégralité de la communication de l'information de l'événement.
A cet égard une autre possibilité d'interverrouillage existe entre les circuits des différents programmes au niveau de la sortie vers le relais d'activation de la touche mémoire
SCM. Ainsi, les signaux de comptage 814, S15 et S27 délivrés juste avant le signal d'activation des mémoires contenant les numéros à réaliser, signaux destinés à activer la touche nienoire, sont également sélectionnés suivant un circuit logiqun à portes OU exclusif. S14 et Silo, respectivement des programmes il et III, sont sélectionnés par la porte OU exclusif (2X6), dont la sortie est confrontée à 527 issu du programme I par le
OU exclusif (256).Enfin, le signal assurant la même fonction et qui est délivré par le compteur du circuit de sécurité est envoyé sur l'entrée d'un dernier OU exclusif (257), dont l'autre entrée est S27, S14 ou S15, l'un à l'exclusion des deux autres. Ce petit circuit logique apparaît en figure 12.
SCM. Ainsi, les signaux de comptage 814, S15 et S27 délivrés juste avant le signal d'activation des mémoires contenant les numéros à réaliser, signaux destinés à activer la touche nienoire, sont également sélectionnés suivant un circuit logiqun à portes OU exclusif. S14 et Silo, respectivement des programmes il et III, sont sélectionnés par la porte OU exclusif (2X6), dont la sortie est confrontée à 527 issu du programme I par le
OU exclusif (256).Enfin, le signal assurant la même fonction et qui est délivré par le compteur du circuit de sécurité est envoyé sur l'entrée d'un dernier OU exclusif (257), dont l'autre entrée est S27, S14 ou S15, l'un à l'exclusion des deux autres. Ce petit circuit logique apparaît en figure 12.
En résumé, la partie électronique se compose de quatre parties principales
- les capteurs avec leurs circuits de mise en forme des
signaux,
- la détection des signaux selon certains critères et
notamment des seuils sous lesquels il n'est pas
nécessaire d'enclencher l'ensemble du processus, la
personne présumée décédée n'ayant pas manifesté de
signes suffisants pour conclure à un éventuel retour à
la vie,
- la sélection de programmes différents selon les# signes de
vie enregistrée,
- le déclenchement de ces programmes incluant l'appel
téléphonique de personnes habilitées et capables
d'intervenir efficacement, ainsi que l'aide immédiate
sous forme de secours physiques et psychiques.
- les capteurs avec leurs circuits de mise en forme des
signaux,
- la détection des signaux selon certains critères et
notamment des seuils sous lesquels il n'est pas
nécessaire d'enclencher l'ensemble du processus, la
personne présumée décédée n'ayant pas manifesté de
signes suffisants pour conclure à un éventuel retour à
la vie,
- la sélection de programmes différents selon les# signes de
vie enregistrée,
- le déclenchement de ces programmes incluant l'appel
téléphonique de personnes habilitées et capables
d'intervenir efficacement, ainsi que l'aide immédiate
sous forme de secours physiques et psychiques.
Il est à noter que des précautions maximales ont été prises pour empêcher tout fonctionnement intempestif : ainsi, le dispositif d'appel téléphonique fonctionne en deux temps, après déclenchement d'une procédure de sécurité. Brièvement exposé, lorsque les signes sont suffisants pour enclencher d'urgence les opérations de secours un numéro de téléphone est effectué après activation de la mémoire et alimentation du poste, la ligne est ensuite coupée pour finalement être reliés à nouveau. Quelle que soit leur localisation les équipes d'urgence peuvent intervenir très rapidement.
Bien entendu, l'invention exposée ci-dessus ne représente qu une exemple illustratif qui ne peut être considéré comme limitatif. Au contraire, l'invention englobe toute variante susceptible d'entrer dans son cadre. Par exemple, on peut concevoir un circuit de traitement des informations basé sur un microprocesseur, ou sur un autre circuit en logique câblée constituant une variante de celui qui est décrit.
Le dessin du cercueil équipé de la figure 1 est cité à titre d'exemple et susceptible d'être modifié, il est caractérisé en ce qu il comporte deux compartiments
- le compartiment C contenant les capteurs précités et leurs conducteurs ainsi que les accessoires prévus pour l'intérieur de la bière aussi bien que pour le dépôt du corps.
- le compartiment C contenant les capteurs précités et leurs conducteurs ainsi que les accessoires prévus pour l'intérieur de la bière aussi bien que pour le dépôt du corps.
- le compartiment D qui peut être détachable et récupérable de l'ensemble du cercueil, contient la totalité ou une partie de l'ensemble de la présente invention.
Le circuit électronique du dispositif d'épuration cyclique de l'air à l'intérieur de la bière fait apparaitre la figure 16 est composé d'un timer (307) en fonction d'horloge émettant un signal de changement d'état électrique à sa sortie à une fréquence par exemple de 0, 17, horloge règlable par la résistance variable 315. Cette sortie est appliquée à l'entrée d'horloge d'un compteur décadé (314) sa sortie carry est connectée en cascade avec deux autres compteurs similaires (313 et 312) la sortie carry du dernier est appliquée après inversement par l'inverseur (311) à l'entrée du timer (308) par l'intermédiare du condensateur (317).Le timer (307a) oscille en permanance, l'application de ces oscillations aux trois compteurs en cascade précités, se traduit en la modification d'état à la sortie carry du dernier et qui passe à l'état haut, inversée à l'état bas par le (311), qui met en activité le timer (308) pour une durée T règlable déterminée par la résistance variable (316), la sortie de ce timer étant bufférisée par les (309) et (310). Le signal électrique à l'état bas à la sortie 310 est appliquée au RESET des trois compteurs en cascade et passe à l'état haut afin de remettre ces trois compteurs à zéro, et le comptage recommence pour un nouveau cycle de 6 à 12 heures.Quant à la sortie du buffer 309 devenue à l'état haut, elle est appliquée par la sortie d'épuration d'air SEA à une porte du circuit logique OU (117a) qui communique à sa sortie ce signal positif à la gachette du 124 qui commande l'ouverture de la vanne d'oxygène (33) et les valves (34) et (3a) pendant le temps T regelé afin que le volume d'air pollué dans la bière soit recyclé et remplacé par l'oxygène. Ce dispositif d'épuration cyclique d'air confiné dans la bière laisse entière la chance pour l'utilisateur d'une éventuelle résurrection.
Alimentation électrique : l'ensemble des dispositif et d'appareils sujets à l'invention sont électriquement alimentés par une source autonome rechargeable (40) genre accumulateur ou batterie d'une puissance appropriée à la consommation de l'ensemble des appareils principaux et annexes pour la totalité de la période d'utilisation sans interruption. Il est à noter que des accumulateurs peuvent être chargés au cours de l'utilisation par l'électricité du secteur ou par des cellules solaires ou bien tout autre source d'énergie électrique.
Claims (15)
1. Système de surveillance des signes éventuels de survie d'un patient notamment dans le cas d'un sujet déclaré légalement décédé, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens pour détecter les signes d'activité cardiaque, d'activité respiratoire et/ou d'action-thermique dudit patient, des. moyens de transmission, à un personnel habilité, des informations provenant de ces moyens de détection, et d'un calculateur de gestion et des moyens de déclenchement de secours physiques et psychiques de première nécessité.
2. Système de surveillance selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens de détection de l'activité cardiaque consistent en un électrocardiographe dont les électrodes sont fixées sur le corps du patient et dont les signaux éventuels sont traités par un circuit de comptage qui déclenche les secours si le nombre de signaux cardiaques enregistrés pendant une durée déterminée peut signifier un retour à la vie.
Système de surveillance selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens de détection de l'activité respiratoire consistent en un capteur d'inhalation d'air ou d'oxygène placé dans la bouche du patient, dont les signaux sont envoyés à un circuit de comptage qui déclenche les secours si l'activité respiratoire décelée pendant un intervalle de temps fixé peut signifier un retour à la vie.
4. Système de surveillance selon l'une des revendications 2 ou 3, caractérisé en ce quele circuit de comptage des signaux issus des capteurs cardiaques ou respiratoires fonctionne en boucle temporelle, examinant en permanence l'état desdits signaux, jusqu a un éventuel déclenchement des secours.
5. Système selon la revendication 1, caractérisé en ce que 'les moyens de détection de l'activité thermique consistent en des moyens de comparaison entre des indications fournies par un capteur de la température ambiante et par un capteur de la température du corps du patient.
6. Système de surveillance selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que l'ensemble des informations provenant des moyens de détection est envoyé à un circuit de sélection de différents programmes, selon le nombre de signaux émis par le corps et leur degré de pertinence pour le diagnostique d'un retour à la vie, lesdits programmes déclenchant l'intervention des secours appropriés.
7. Système de surveillance selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que les informations provenant du circuit de sélection de programme sont traitées par une interface de communication comportant un nombre de circuits correspondant au nombre de programmes prévus, la validation du programme prioritaire se faisant en même temps que l'invalidation des autres, chacun desdits circuit opérant la transmission avec le personnel habilité à intervenir, des moyens d'assurer la sécurité de la transmission étant prévus au surplus.
8. Système de surveillance selon la revendication 7, caractérisé en ce que les moyens de transmissions peuvent utiliser toutes voies, câbles téléphoniques, fibres optiques, ondes hertziennes, rayons infrarouges et autres.
9. Système de surveillance selon la revendication 7, caractérisé en ce que les circuits de transmissions adressent une ou plusieurs lignes téléphoniques par une procédure en deux temps, la ligne étant coupée par sécurité envers des appels parasites extérieurs après un premier appel, lequel est suivi après un bref délai par un second appel validé déclenchant l'intervention des personnes habilitées.
10. Système de surveillance selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que les secours physiques et psychiques de première nécessité sont l'activation d'une vanne provoquant l'injection d'oxygène en provenance d'une bouteille à l'extérieur du cercueil, l'activation d'une source lumineuse et l'activation d'une source de communication audio diffusant un message transquilisant pré-enregistré.
11. Système de surveillance selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que l'air pollué régnant à l'intérieur de la bière est recyclé périodiquement et remplacé par de l'oxygène injecté durant une période qui se répète à intervalle régulier.
12. Système de surveillance selon l'une quelconque des revendications précédentes, exploité collectivement dans un local, préalablement à l'inhumation dans une nécropole ou analogue, caractérisé en ce que chaque cercueil est relié à un pupitre muni de voyants lumineux et d'un dispositif sonore, chaque voyant correspondant individuellement aux cercueils présents dans le local, et permettant l'intervention d'un personnel qualifié.
13. Système de surveillance selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que les cercueils à surveiller comportent un premier compartiment C contenant les capteurs, leurs conducteurs et les accessoires prévus à l'intérieur de la bière, et un second compartiment D qui peut être détachable et récupérable contenant la totalité ou une partie d'une configuration du système de surveillance.
14. Système de surveillance selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il comporte un dispositif antiparasite d'environnement d'électricité statique incluant le capitonnage du cercueil par une mince feuille métallique reliée au dispositif.
15. Système de surveillance selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que les moyens de détection de l'activité de la putréfaction cadavérique consistent en un capteur de l'augmentation du volume abdominal placé en ceinture autour de la taille du patient, dont les signaux du détecteur sont envoyés au calculateur de gestion qui déclenche l'émission de l'information de la putréfaction avancée, critère selon lequel la surveillance clinique post-mortem peut cesser.
16. Système de surveillance selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que son branchement sur le corps du patient s'effectue dès la constatation du décès, quel que soit le lieu de dépôt du corps, et jusqu'à la mise en bière en un premier temps et de la mise en bière \jusqu'à réception du signal de confirmation de la putréfaction en un second temps.
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FR2636847A1 true FR2636847A1 (fr) | 1990-03-30 |
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Cited By (3)
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- 1988-09-02 FR FR8811671A patent/FR2636847B1/fr not_active Expired - Fee Related
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