FR2630635A1 - Iridoscope de cabinet mixte pour observation directe avec notation possible de resultats et pour la photo des iris. materiel protege, prevu pour etre transporte - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un dispositif mixte pour pratiquer l'iridologie en cabinet, avec possibilité d'observation-analyse directe et enregistrement des données, et aussi de macro-photo. Prévu pour transport. L'appareil est constitué d'un capot 30 protecteur, muni de sangle ou poignée 29, qui se verrouille sur une semelle 1. Sur celle-ci est fixé le système frontal 4 - mentonnière 3 coulissant sur les deux colonnes 2 vissées à la semelle 1, à l'avant. Lui faisant face, le corps de l'appareil 8 supporte soit la tête optique A soit la tête photo B. Un dispositif original à bouton cranté 12 fait engrener un couple pignon 10/ crémaillère 10' pour assurer le déplacement rapide ou fin des têtes. Un pupitre éclairable 14 permet de lire ou de recueillir des données et de les mémoriser soit sur document archivable soit en ordinateur. Un dispositif d'éclairage 20 superpose coaxialement les faisceaux de la lampe et du flash, optimise optiquement leur rendement lumineux et les dévie à 90degre(s) tout en pouvant balayer 360degre(s). Ce dispositif bâti autour d'un flash non dédié, est articulé sur un bras 19 qui lui permet une très grande mobilité. Le dispositif est particulièrement destiné à la pratique de l'iridologie avec possibilité de mémorisation et de photo des iris.

Description

DESCRIPTION
Le dispositif objet de ce brevet est un ensemble formant un
iriscope ou iridioscope de cabinet ou de table, pouvant être protégé par un capot ce qui le rend plus apte à être transporté.

Cet appareil est combiné à vocation double d'iriscopie (obsel-
vation directe) et d'irigraphie (notation immédiate des résultats
sur documents à la main, par surface-digitaliseur ou par photo).

C'est en somme un peu comme une lampe à fente simplifiée (et rendre transpoltable) du même type t'vu de loin que celles employées en ophtalmologie. Cette simplification se justifie par le fait qu'il ne s'agit pas de regarder l'état du cristallin ou de la rétine avec possibilité d'analyse ou de photo du "font de l'oleil, mais tout au contraire d'observer la partie antérieure des yeux, l'analyse ou la photo de l'iris et/ou de la coinée, voire des paupières avoisi nantes: c'est à dil-e un appareil plis spécialisé dans la pratique de l'ridiologie.

Cependant, cet appareil pourrait servir de substratum à l'élaboration d'une lampe à fente.

Au commencement de la pratique de l'iridologie, il y a peut-être des millénaires, on devait observer l'oeil éclaire au soleil. et d'une façon un peu glbale. Longtemps après, pour résumer, et depuis l'autrichien Ignace Peckzely vers 1881 (grand révélateur et chef de file des écoles contemporaines) les procédés se sont sioccedes, plus ol- moins efficaces, plus ou moins ingénieux compliqués. voire utiles on utilisés... et ce depuis la vulgaire loupe jusqu'à la lampe à fente la plus sophistiquée uitlisée en ophtalmologie.

On a assisté depuis à la combinaison de loupes éclairantes, puis de bâti au dispositif pour l'observation et, plus récemment, pour la photo. Un certain manque de matériel; ou parce que tropsuccinct (ou mal adapté) etou parce que trop sophistiqué ou trop cher, a jusqu'ici enrayé l'évoluti-on et la pratique de l'iridologie.

Les solutions simples, originales et pratiques employées ici permettent de réduire considérablement les prix et de mettre un appatreillage performant à la portée de chaque spécialistc.

Si mes deux précédents brevets /N 8613118 et 8801812 ) se rapportent à des instrlements légers, portables à main (mais malgré tout munis d'une loupe binoclllaire stéréo et d'bien éclairage réglable) ce bre vet-ci couvre lin appareil de table ou de cabinet comme il a été dit plus haut, capable de permettre l'observation avec un clair et fort grossissement qie pent fournir une loupe binoculaire stéréo avec possibilité de noter on d'enregistrer les résultats et, ou la photo fortement grossie de l'iris, principalment.

Le probleme se pose ainsi à la base: on doit pouvoir soit observer les yeux d'un patient à l'aide d'un système optique à fort grossissemet recréant l'impression de relief et conserver une trace mémo- risée d'une façon ou d'une autre soit photographier ces yeux avec un système photo au flash oii directement si 1 ' éclairage et/ou la sensibilité di film le permettent. Le système photo peut être constitué, par exemple, d'un boîtier réfles 24x30mm. équipé en macro-photo polir arriver à un grossissement de x2 à x2,5 fois tout en conservant une distance de travail pouvant varier dans de fortes proportions entre 7 et 30 cm. par exemple.Cet appareil photo peut travailler en solo salivant la technique macrophoto oii bien être monté directement sur la loupe, soit un objectif, soit sur un tube spécialisé aboutissant sur un système optique (prisme, miroir semi-transparent) passant a" moins par un des objectifs, soit encore par un dispositif maintenant l'appareil photo à la place dlq tube indiqué ciavant.

On peut se servir aussi de système photo à d'éveloppement instantané ou semi-instantané en utilisant soit un appareil "Polaroid" soit un film "Polaroid" à développement par procédé- individuel.

O peut aussi utiliser une caméra vidéo...

Dans tous les cas, on est quasiment obligé de prévoir le déplacement d'un oeil à l'al!tre et lin système plus ou moins élaboré d'éclairage (avec flash inclus possible) auquel on peut adjoindre des filtres.

En effet, dès que le stade de débutant est dépassé, après avoir acuis le plus vite possible la meilleure expérience en regardant beaucoup d'iris avec un matériel perfornlant mais bon marché, on va tres vite sentir le besoin de mémoriser l'identité irienne -du patient pour la conserver dans le dossier, en clientèle suivie.

Cela sera réalisable en recueillant les données lues dans l'iris sur une fiche archivable dans le dossier, si'r document-tablette à digitaliser sur ordinateur ou en une macrophoto dont un exemplaire pourra être remis au client et l'autre dans le dossier.

Si la partie observation directe est relativement simple, en
revanche, toute mémorisation des données de l'iris s'avère plus
délicate de par les contraintes techniqles.

En effet, il faut travailler en ambiance tamisée pour ne pas être
gené par des reflets intempestifs et de ce fait on n'y voit pas
assez polir noter avec précision . Quant à la photo, un triple pro
blème rend plus hasardoux les bons résultats:
- il faut un fort grandissement de rapport 2,4 à 1 environ
- il fal-t un éclairage annexe pour opérer le réglage iin de la mise
au point (trés peu de profondeur de champ) et cet éclairage doit
tenir compte du flash ...

- l'un comme l'autre éclairage, et si possible coaxialenlent, doit
venir s'imprimer exactement dans la pupille, sans déborder sur le
reste de l'iris afin de ne pas en gêner la lecture et favoriser
les reflets.

Ces résultats ne sont pas toujours obtenus avec les systèmes tradi
tionnels macro iitili sant un flash annulaire - car cel,'i-ci est large
et déborde facilement sur la collerette de l'iris - ni avec les
objectifs du type "Medical-Nikkor" de focale trop longue et ... de
prix exorbitant.

Par ailleurs, il contient d'installer le patient confortablement
calé par le menton et le front por qu'in ne bo"e pas pendant 3e
i églage et la prise de vIe ne même pendant l'observation en dit ect.

II fat aussi, sans déranger la pose du patient pouvoir se déplacer
d'un oeil à l'autre facilement 1 sans prendre le repérage des yetax.

Pour toutes ces raisons sot nées les solutions caractéristiques
de l'invention et ilustrées par les dessins ci-annexés, q-i sont
assez loin des solutions déjà vite.

- La figure 1 représente l'appareil dans son ensemble avec, en mé
daillon B la variante: équerre spéciale pour recevoir l'appareil
photo et permettre ainsi l'interchangeabilité des 2 tetes avec un
minimum de gestes et de réglages.

La figure 2 représente en A le principe de déplacement du support
des têtes-optiques ou photo pour passer d'un oeil à l'autre, ainsi
que le détail d'agencement du pupitre, en B, avec la glissiere
latérale au bâti permettant un réglage en fonction des différents
modules et caractéristiques de loupes et appareils photo.

on y voit aussi la figuration du caot devant s'emboîter sur la
semelle qui supporte l'appareil, avec sa sangle ou Sa poignée de
transport. (C)
La figure 3 représente le systeme combiné spécial relatif à l'é
clairage/ flash coaxiaux et réglables.

-La figure 4 est composée de 4 photos représentant l'appareil
réalisé, en tant qu'exemple: où l'on voit en:
. A- Version scopie ou observation directe avec la loupe
. B- Version graphie o a photo
. C- Le détail de l'éclairage et flash
. C- Le détail d pupitre et de la bag@e crantée de déplacement.

Selon la figure 1 l'appareil apparait dans son ensen;ble: - En A. on distingue à l'avant fixé sur la semmelle (1) par en-dessous
les deux collones (2) supportant la mentonnière (3) de hauteur
réglable ainsi que le frontal(4) également réglable. Au-dessous, = poli" rigidifier et maintenir l'entr'axe, on peut prévoir i:n r,rceai
(5) cintré assurant la liaison des 2 colones par l'intermédiaire
de bagues de jonction (0) Si,'- lesqlwelAes elles sont goupillées.

Cet arceau est facilitatif suivant la solution de construction du
frontal. Lappareil par lui-même est relié à la semelle par deux
rails ou glissiòres (7) ou tout système propre à permettre un ré
glage d'avant en arriè@e du corps support ou batî (8) de l'appareil
Un système de réglage de hauteur et de fixation de la loupe, ici
ne cémaillére (13) est rendue solidaire du bloc de déplacement
latéral (9.Fig.2-A) actionée parun gros bouton cranté special (12)
I)e cette crémaillère qili sert donc de dispositif monte, baisse part
un doigt hoiizontai (15) qui répond ail passage de la colonne di'
statif d'origine de la loipe (alors qiie son monte/baisse sert au
réglage de mise au point).Source doigt on glissera au choix:
soit la loupe d'observation .(16) - . soit l'ensemble photo B, comprenant 1'ne équerre spéciale (17)
sur laquelle est fixé le boîtier photo avec ses accessoires
macro grâce à un boulon moleté dit "imperdable" (18)
On voit donc la faculté d'interchangeabilité de la tête optique
(16) avec la tête photo (B) par simple pivotement de 180 de la
crémaillère (13) avec repositionnement sur le doigt (15).

Entre le sommet du bouton crante (12) limité par la collerette de
l'axe vertical (12') et le bas de la crémaillère, le bras support
(19) peut pivoter à 360 et vient s'articuler, pour lui assurer une
grande mobilité, avec le système d'éclairage double (20) flash/
halogène, par la plague /(fig.-23).

Mais ces mobilités ne suffisent pas. Il faut encore pouvoir passer
d'un oeil à l'alntre.

Selon la figure 2, en A et D. on peut voil- (en élévation) le principe du déplacement latéral. Il est obteni par glissement du bloc(9) sur l'axe horizontal (11) et su le bord du pupitre(14). Le déplacement peut être lapide. à la main ou très précis en faisant tourner plus ou moins vite le bouton cranté (12) solidire du pignon (10) qui engr^ne sur la crèmaillère(10) laquelle est fixée ail batî(8).

Le pignon-crémaillere pouvant être réalisé comme ici dans une matière plastique à trs faible coefficient de frottement, hlliles et graisses sont inutiles. De la mme façon, une fourr@e de plastique est prévue pour l'alèsage de l'axe(11).

Ainsi, aucun graissage ni entretien n'est nécessaire.

En B, on peut voir l'agencement d! pupitre (14) par rapport au bâti(8). On y trouve le bouton de règlage de l'éclairage, ainsi que les autres conimandes(voir Fig.4-D). Sir le dess-s on aperçoit les zones claires (o',iii peuvent être traitées par dépoli), avec les valets à ressort, de chaque coté, servant à pincer un document qiii peut soit être consulté soit servir ail relevé ou enregistrement de données
Ce pupitre peut être éclairé par en-dessous de l'intérieur ou par en-dessus de l'extèrieur por faciliter la lecture et/ou l'enregistrement des données.

Sur les joues du bâti(8) sont pratiquées ici 2 rainures correspondant à 2 glissères(7) (en médaillon). Ceci permet de réaliser un déplacement longitudinal de l'ensemble du bâti afin de répondre aux variations des distances focales ou de travail de différents matériels dans le but d'en accroitre le choix. Les glissières sont ici vissées sur la semmele(1) par en-dessous.

En C, on voit comment le rebord de la semelle vient recevoir le capot général(30). Après verrouillage de celu.-ci sur la semelle.

par n importe quel moyen efficace, notamment et simplement par des crochets, une sangle ou une poignée(29) permet de rendre l'ensemble transportable.

Selon la figure 3, une ville semi-transparente explique le procédé
du double éclairage coaxial(20).

Sur le flash(21) de type adaptable aux différents boîtiers photo automatiques TTL au flash, tourné le réflecteur en l'air, est vissée une plague #(23)pouvant regruper les fontions et commandes du flash d'une part et d'autre part articulée avec le bras support(19). Le
flash peut être alimenté par piles ou par le secteuren basse tension.

On trouve aussi le sabot et la prise du cordon de liaison (dédiés ail boîtier choisi) qui vont se raccorder à la griffe-flash du boîtier
(L'automatisme en TTL au flash est en effet vivement recommandé ici car il libore l'operateur de sujétions d'abaques de réglages... )
Dans l'axe mécanique et optiqlle du flash, et vissé sir sonboîtier, on installe in boîtier secondaire spécial(22) à travers la paroi
verticale frontale duquel est tslaintenl!e la lampe d'éclairage normal
(24)(qi'i- pet être à incandescence ni, aux halogones) avec son support
Dans tous les cas le filament sera sera positionné dans l'axe optique
De plus, un ensemble optique (25) formé d'un condensateur et d'une
lentille convergente permet d'optimiser le rendement lumineix.

Le boîtier (26) emmanché sur la cheminée du boîtier(22) est coiffé du tube(27) dont la découpe en L renverse (trait de scie) autorise un frottement elastique et doux sans jel. permettant une orientation sur 360 de l'ouverture du miroir(2@) destiné à dévier le faisceau lumineux à 90 . On notere que des aérations peuvent être practiquées tant sur le boîtier(22) qlle snr les tubes(20) et 27) mais la chaleur peut déjà s'évacuer par convention naturelle par l'orifice ('a découpe spécialement étudiée) du système miroir(28).

On remarqllera donc que les 2 éclairages sont exactement superposés et coaxiaux. L'éclairage (24) est réglable. Il sert autant pour l'observation directe avec la loupe (fonction normale) que pour permettre la délicate manoeuvre de la mise aii point, très précise, juste avant d'appuyer sur le déclacheur (fonction photo).

L'éclair jailli t vers le haut traversant l'ampoule et le systome optique en se mélangeant à l'éclairage normal pour être finalement déviés par le dispositif miroir vers l'oeil du patient.

On peut pévoir un dispositif à fibres optiques on conducteur de lumière quelconque et/ou un dispositif pour des filtres colorés.

Les deux faisceaux coaxiaux permettent d'avoir une super précision quant à l'impression du flash (et lumiore ordinaire) bien centrée dans la pupille ce qui est trés recherché afin de ne pas gêner le lecture ou l'étude de l'iris.

Cependant, on pourra à volonté orienter le faisceau latéralement de façon à produire l'action du flash en lumiare rasante et obtenir ainsi une photo avec un modelé remarquable ponr l'appréciation du relief de la collerette, par exemple.

Selon la figure 4, en A et B, l'appareil se trouve pésenté avec la tête optique, puis la tête photo.

En C. on a un gros-plan sir l'agencement des différents réglages mécaniques et surtout sur le système combiné d'éclairage/flash.

En D, on a un gros-plan sl!r l'ensemble du bâti où n r reconnait bien tous les organes déjà décrits: semelle, glissières, joues du batî, pupitre avec ses commandes et ses zones claires, système de déplacement avec son bot ton cranté.

Ces photos sont produites à titre d ' exples et parlent d'elles-mêmes.

NOTA: Un certificat d'addition est prévu pour une variante de cet
appareil basée sur les principaux points faisant l'objet des
présentes revendications.

Claims (7)

REVENDICATIONS

1) Appareil de cabinet oi de table destiné à l'observation et la photo d'une partie di visage, notamment des iris, partie antérieure des yeux y compris les paupières, dans le but principal de practiquer l'iridiologie, et l'irigraphie.

L'ensemble de l'appareil est fixé sir une semelle coiffée d'un capot qui l'abrite le protège et le rend apte déplacements.

à mémoriser découlant de l'analyse de l'iris -un système macro pour photographier l'oleil. Lensemble de

férentes .y compris à zoom, pour l'observation directe - un pupitre éclairé polir lire, reporter ou enregistrer les données

Il est caractérisé par ses trois possibilités majeures: - une loupe binocîîlaire stéréo pouvant être de caractéristiques dii

2) Dispositif selon la revendication i caractérisé par in bloc(9) coulisant horizontalement. supportant sur un axe vertical le bloc optique(16) nr, photo(1@) et permettant par lnn ensemble pignon(1O)/ crémaillere(104)- bouton cranté(12) d'assurer le déplacement rapide d'un @eril à l'autre ainsi que le réglage fin.

3)Dispositif selon revndication 1 caracterisé par un pupitre groupant d'une part sur un flanc frontal incliné toutes les commandes de l'appareil et sur le dessous d'autre part, une ou deux zones claires pouvant recevoir un document transparent ou translucide de préférence qui peut servir comme repérage en lecture avec topographie préimprimée par exemple et en mémorisation des indications soit repor- tées à la main soit par l'intermédiaire d'un systole à digitaliser (pour entrer les données dans in micro-ordinateur). On aura pu tracer auparavant sur le documet des repères afin de retrouver les différents lieux de l'iris. Le document est maintenu en place d'une part entre les joues de l'appareil et d'autre part pincé par 2 valets.

4) Dispositif selon revendications 1 et 2 caractérisé par un ensemble d'éclairage et flash(20) pouvant se déplacer:

en hauteiîr avec les têtes optiques ou photo et latéralement librement autour de ces têtes de façon à pouvoir projeter son fais

ceau lumineux le plus pres possible de l'axe optique ou au contraire

latéralement près de l'oleil en éclairage rasant

Flash et éclairage sont coaxiaux et le faisceau est dévié::

- horizontalement à 900

- balayage possible sîir 3600 , grâce à un capuchon terminal avec

dispositif miroir/27 et 28)

5) Dispositif selon revendication 1 caractérisé par in doigt(15) horizontal solidaire de la crémaillère à déplacement vertical(13).

sur lequel on pourra monter au choix soit la loupe, en scopie soit l'équefle spéciale(17) avec l'appareil photo fixé dessus.

6) Dispositif selon revendication I caractérisé par un système de rails ou de glissières(7) autorisant un réglage de la distance longitudinale de travail ( objectifs, oeil du patient) dans le but d'accroître les possibilités de choix du matériel aussi bien pour les loupes que pour les appareils photo.

7) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé par un ensemble semelle(1) - capot(30) formant un coffre abritant l'appareil des poussièr et des chocs. le rendant ainsi transpor-table par l'intermédiaire d'une sangle ou d'une poignée(29); ce serait la même chose si le capot était présenté sous forme de valise.