FR2621091A1 - Dispositif amortisseur de torsion et volant pour transmission comportant un tel dispositif, notamment pour vehicule automobile - Google Patents

Abstract

Il s'agit d'un dispositif amortisseur de torsion comportant deux parties coaxiales A, B montées rotatives l'une par rapport à l'autre à l'encontre d'organes élastiques à action circonférentielle 38. Suivant l'invention, ces organes élastiques à action circonférentielle 38 sont constitués par des tampons en matière élastique, par exemple en forme d'anneau, et ils sont chacun respectivement portés par l'une ou l'autre des parties coaxiales A, B entre lesquelles ils sont interposés, en étant rapportés par un moyen de fixation 43 sur cette partie coaxiale à l'une de leurs extrémités circonférentielles, et en s'étendant circonférentiellement en porte-à-faux à compter de ce moyen de fixation 43. Application, notamment, aux doubles volants amortisseurs pour transmission, en particulier pour véhicules automobiles.

Description

"Dispositif amortisseur de torsion et volant pour
transmission comportant un tel dispositif, notamment
pour véhicule automobile"
La présente invention-concerne d'une manière générale les dispositifs amortisseurs de torsion du type de ceux qu'il est usuel d'insérer sur une transmission, notamment sur un véhicule automobile, pour filtrer les vibrations susceptibles de prendre naissance tout au long de la chai ne cinématique, allant du moteur aux arbres de roue sur un tel véhicule, que constitue une telle transmission.

Elle vise plus particulièrement, mais non nécessairement obligatoirement, le cas où un tel dispositif amortisseur de torsion est incorporé au volant, c'est-à-dire à la pièce d'inertie prévue par ailleurs dans l'embrayage pour régulariser le cycle de travail du moteur concerné.

Un volant incorporant ainsi un dispositif amortisseur de torsion, communément dit double volant amortisseur, se trouve par exemple décrit dans la demande de brevet français qui, déposée le 21 Août 1985, sous le No 85 12585, a été publiée sous le No 2.571.461.

Le dispositif amortisseur de torsion y intervient entre deux masses d'inertie.

Ainsi qu'on le sait, et d'une manière très générale, un dispositif amortisseur de torsion comporte, globalement, deux parties coaxiales montées rotatives l'une par rapport à l'autre dans les limites d'un débattement angulaire déterminé, et, s'agissant d'un double volant amortisseur, ces parties coaxiales sont chacune respectivement constituées par les deux masses d'inertie de celui-ci, avec, circonférentiellement interposés entre lesdites parties coaxiales, des organes élastiques å action circonférentielle.

Le plus souvent, et c'est le cas dans la demande de brevet français No 85 12585 mentionnée ci-dessus, ces organes élastiques à action circonférentielle sont constitués par des ressorts du type ressort boudin, et, pour leur intervention circonférentielle entre les parties coaxiales concernées, ils sont chacun individuellement disposés dans des fenêtres évidant à cet effet deux flasques annulaires, communément dits rondelles de guidage, qui, établis à distance l'un de l'autre, en étant convenablement entretoisés, par exemple par une couronne annulaire prévue à cet effet à leur périphérie externe, appartiennent à une première desdites parties coaxiales, cependant que la deuxième de celles-ci comporte elle-même, entre ces flasques annulaires, radialement en-deçà de la couronne les entretoisant, au moins un flasque annulaire, cnunément dit voile, qui, par des bras radiaux, est propre à interférer avec les organes élastiques à action circonférentielle ainsi établis.

Pour une valeur de couple nulle, les ressorts constituant ces organes élastiques à action circonférentielle sont simplement en appui, par leurs extrémités circonférentielles, contre les bords radiaux correspondants des fenêtres des rondelles de guidage dans lesquelles ils sont disposés, avec, éventuellement, l'interposition de pièces d'appui appropriées.

Pour une valeur de couple quelconque, et après éventuellement une course à vide des rondelles de guidage par rapport au voile, ils se trouvent chacun individuellement pris entre, d'une part, l'un des bords radiaux des fenêtres de ces rondelles de guidage, et, d'autre part, l'un des bras radiaux du voile, en étant ainsi progressivement l'objet d'une compression entre ces rondelles de guidage et ce voile.

L'un des problèmes rencontrés en service avec une telle disposition tient à ce que, sous les effets de la force centrifuge, les organes élastiques à action circonférentielle ont tendance à venir radialement se plaquer, au moins dans leur partie médiane, contre la couronne entretoisant les rondelles de guidage, et à ce que, une partie au moins de leurs spires étant l'objet d'un déplacement circonférentiel par rapport à cette couronne du fait de la compression qui est alors la leur, il en résulte immanquablement une certaine usure des ressorts qui les constituent et/ou de ladite couronne.

Cet inconvénient se trouve d'autant plus accentué que le véhicule concerné est équipé d'un moteur à régime de rotation élevé, que, pour permettre un débattement angulaire important, fréquemment recherché, entre les parties coaxiales entre lesquelles ils sont interposés, les organes élastiques à action circonférentielle en cause ont circonférentiellement une longueur importante, et que, s'agissant d'un double volant amortisseur, ils sont quasi nécessairement implantés sur une circonférence présentant elle-même un diamètre relativement important.

Un autre inconvénient de la disposition en cause tient encore à ce que, lorsque, comme indiqué, une course à vide est prévue à couple nul entre les rondelles de guidage et le voile, il se produit immanquablement, au terme de celle-ci, même en la présence de pièces d'appui en matière synthétique, un choc, inévitablement générateur de bruits, entre, d'une part, les organes élastiques à action circonférentielle alors exclusivement portés par ces rondelles de guidage, et, d'autre part, les bras radiaux du voile.

La présente invention a d'une manière générale pour objet une disposition permettant d'éviter ces inconvénients et conduisant en outre à d'autres avantages.

De manière plus précise, elle a tout d'abord pour objet un dispositif amortisseur de torsion, notamment pour véhicule automobile, du genre comportant deux parties coaxiales montées rotatives l'une par rapport à l'autre dans les limites d'un débattement angulaire déterminé, avec, circonférentiellement interposés entre lesdites parties coaxiales, des organes élastiques à action circonférentielle, ce dispositif amortisseur de torsion étant d'une manière générale caractérisé en ce que, lesdits organes élastiques à action circonférentielle étant constitués par des tampons en matière élastique, ils sont chacun respectivement portés par l'une ou l'autre des parties coaxiales entre lesquelles ils sont interposés, en étant rapportés par un moyen de fixation sur cette partie coaxiale à l'une de leurs extrémités circonférentielles, et en s'étendant circonférentiellement en porte-à-faux à compter de ce moyen de fixation ; elle a encore pour objet un volant pour transmission, notamment pour véhicule automobile, mettant en oeuvre un tel dispositif amortisseur de torsion.

Du fait que, à l'une de leurs extrémités circonférentielles, les organes élastiques à action circonférentielle ainsi mis en oeuvre sont fermement assujettis, par un moyen de fixation, à la partie coaxiale qui les porte, leur tenue à la force centrifuge se trouve convenablement assurée, et les risques de les voir radialement porter contre la couronne entretoisant les rondelles de guidage sous les effets de celle-ci sont minimisés, sinon annulés.

Conjointement, leur réalisation sous forme de tampon en matière synthétique facilite leur fixation, soit que, cette fixation se faisant à l'aide d'un moyen de fixation spécifique, une ou plusieurs vis ou rivets par exemple, il soit aisé de ménager dans un tel tampon le ou les perçages propres au passage d'un tel moyen de fixation, soit que, cette fixation se faisant par surmoulage sur un bloc de support, ce bloc de support constitue par lui-même le moyen de fixation correspondant.

En outre, lorsque, à couple nul, il est prévu une course à vide entre les rondelles de guidage et le voile, le choc entre les organes élastiques à action circonférentielle ainsi constitués de tampons en matière élastique et les bras radiaux du voile n'est avantageusement plus générateur de bruits.

Suivant un développement de l'invention, l'un au moins des tampons en matière élastique constituant ainsi les organes élastiques à action circonférentielle mis en oeuvre, et en pratique chacun d'eux, se présente sous la forme générale d'un anneau d'axe parallèle à l'axe des parties coaxiales concernées.

A faible couple, un tel anneau n'est l'objet que d'un simple écrasement.

Il en résulte une courbe de raideur d'abord avantageusement plate.

En outre, le frottement interne dont est alors l'objet un tel anneau est lui-même avantageusement très faible, et il n'intervient donc pas de manière significative sur l'"hystérésis", c'est-à-dire sur la différenciation intervenant, en raison du frottement en jeu, pour une valeur donnée du débattement angulaire entre les parties coaxiales concernées, entre la valeur de couple pour une évolution croissante de ce couple et sa valeur pour son évolution décroissante.

De plus, du fait du contour globalement arrondi d'un tel anneau, que ce contour soit rigoureusement circulaire, ou qu'il s'écarte plus ou moins d'un tel contour rigoureusement circulaire, aucune précaution particulière n'est normalement avantageusement à prendre pour un alignement convenable d'un tel anneau avec l'anneau voisin lorsque, en raison du débattement angulaire entre les parties coaxiales concernées, ces anneaux viennent en contact l'un avec l'autre.

Enfin, et pour autant que, par ailleurs, la raideur à obtenir soit assurée, un tel anneau peut avantageusement être plus ou moins plat.

Ainsi, il est avantageusement possible, si désiré, et pour des caractéristiques données, de réduire l'encombrement axial de l'ensemble, ou, à encombrement axial donné, d'ajuster à la demande les caractéristiques obtenues, en mettant en oeuvre, à la manière des poids d'une boite de poids, et dans les limites, bien entendu, de l'encombrement axial disponible, des anneaux plus ou moins épais.

Les caractéristiques et avantages de l'invention ressortiront d'ailleurs de la description qui va suivre, à titre d'exemple, en référence aux dessins schématiques annexés sur lesquels
la figure 1 est une vue en coupe axiale, suivant la ligne brisée I-I de la figure 2, d'un dispositif amortisseur de torsion suivant l'invention
la figure 2 est une vue en élévation-coupe transversale, suivant la ligne brisée II-II de la figure 1, de ce dispositif amortisseur de torsion, pour la configuration de repos de celui-ci
la figure 3 reprend, à échelle supérieure, le détail de la figure 2 repéré par un encart III sur cette figure 2
la figure 4 est, à échelle différente, une vue en élévation d'un des tampons en matière élastique mis en oeuvre dans le dispositif amortisseur de torsion suivant l'invention, représenté isolément
la figure 5 est une vue en coupe axiale de ce tampon en matière élastique, suivant la ligne V-V de la figure 4
la figure 6 est une vue qui, analogue à celle de la figure 3, se rapporte à une configuration de service du dispositif amortisseur de torsion suivant l'invention
les figures 7 et 8 sont des vues en élévation qui, analogues à celle de la figure 4, se rapportent chacune respectivement à une variante de réalisation des tampons en matière élastique mis en oeuvre dans ce dispositif amortisseur de torsion
la figure 9 est, avec un arrachement local, une vue en élévation qui, également analogue à celle de la figure 4, se rapporte à une autre forme de réalisation
la figure 10 est une vue en élévation qui, analogue elle aussi à celle de la figure 4, se rapporte encore à une autre forme de réalisation.

Ces figures illustrent, à titre d'exemple, l'application de l'invention à un volant pour transmission, notamment pour véhicule automobile.

S'agissant d'un double volant amortisseur, c'est-à-dire d'un volant incorporant un dispositif amortisseur de torsion, ce volant comporte, globalement, deux parties coaxiales A, B montées rotatives l'une par rapport à l'autre.

La partie A, ou partie primaire d'entrée, est destinée à être solidarisée en rotation à un premier arbre, en pratique un arbre menant, par exemple l'arbre de sortie, ou vilebrequin, non représenté, du moteur, dans le cas de l'équipement d'un véhicule automobile.

La partie B, ou partie secondaire de sortie, est destinée, elle, à être solidarisée en rotation, par frottement, à un disque de friction, également, non représenté et lui-même calé en rotation sur un deuxième arbre, en pratique un arbré mené, par exemple l'arbre d'entrée de la boite de vitesses dans le cas, concerné, de l'équipement d'un véhicule automobile.

La partie primaire A comporte un premier plateau 10, dont la zone centrale, relativement pleine et épaisse, forme un moyeu 11 pour l'ensemble, tout en présentant, outre une ouverture centrale 12 propre au centrage de l'arbre mené, des perçages 13 propres au passage des vis nécessaires pour rapporter l'ensemble sur l'arbre menant, et une zone périphérique, qui, relativement creuse, forme, annulairement, autour du moyeu il précédent, en regard de la partie secondaire X, un logement 15.

Pour des raisons qui apparaîtront ci-après, ce logement 15 est mis à profit pour l'implantation, de place en place, suivant une même circonférence de l'ensemble, de blocs 16A, dits ici par simple commodité blocs de support.

Ces blocs de support 16A, qui font saillie sur le fond du logement 15, sont portés par le plateau 10 en étant chacun individuellement rapportés par deux vis 17 sur celui-ci.

Il s'agit, en pratique, de blocs de configuration globalement parallélépipédique, chacun allongé suivant le plan radial de l'ensemble passant par leur zone médiane.

Dans les formes de réalisation représentées, et pour des raisons qui apparaîtront ci-après, chacun des blocs de support 16A que porte ainsi le plateau 10 présente, en creux sur celle de ses faces transversales qui est tournée vers l'axe de l'ensemble, parallèlement à cet axe, une rainure 18A.

Dans la forme de réalisation représentée, cinq blocs 16A sont ainsi prévus, régulièrement répartis circulairement.

Extérieurement, le plateau 10 de la partie primaire A porte, de man.- C usuelle, une couronne de démarreur 19.

Dans les formes de réalisation représentées, la partie secondaire B comporte elle-même un moyeu 22, communément dit plateau de liaison, par lequel elle est adaptée à être rapportée, avec interposition d'un roulement à billes 23, sur le moyeu 11 de la partie primaire A, et, apporté par des vis 24 sur ce plateau de liaison 22, un deuxième plateau 25, formant plateau de réaction, par la face transversale duquel opposée à la partie primaire A elle est destinée à coopérer en frottement avec le disque de friction associé.

La partie secondaire B comporte en outre, annulairement autour de son plateau de liaison 22, dans le logement 15 formé par le plateau 10 de la partie primaire A, un voile 27 sur lequel sont circulairement rapportés, de place en place, en y étant chacun fixés par deux vis 28, des blocs de support 16B.

Ces blocs de support 16B, qui sont en nombre égal à celui des blocs de support 16A de la partie primaire A, font axialement saillie en direction du fond du logement 15 et, établis suivant la même circonférence que les blocs de support 16A, ils-alternent circulairement avec ceux-ci.

En outre, ces blocs de support 16B ont une constitution analogue à celle des blocs de support 16A globalement parallélépipédiques, ils s 'étendent sensiblement radialement par rapport au plan axial de l'ensemble passant par leur zone médiane, et, sur celle de leurs faces transversales qui est tournée vers l'axe de l'ensemble, ils présentent, axialement, une rainure 18B.

Dans la forme de réalisation représentée, le voile 27 de la partie secondaire B intervient au sein d'un limiteur de couple 30 comportant, entre le plateau de réaction 25 et une bride 31 que comporte le plateau de liaison 22 parallèlement à celui-ci, outre ce voile 27, un deuxième voile 32, qui, par des dents 33, engrène avec les blocs de support 16B à la faveur des rainures axial- -8B de ceux-ci, avec, entre le voile 27 et le plateau de réaction 25, une première rondelle de frottement 34, entre le voile 32 et la bride 31 du plateau de liaison 22, une deuxième rondelle de frottement 35, et, entre les deux voiles 27 et 32, une rondelle élastique à action axiale 36, en pratique une rondelle Belleville.

Un tel limiteur de couple étant bien connu par lui-même, et n'étant d'ailleurs pas impératif, il ne sera pas décrit plus en détail ici.

Entre les deux parties coaxiales A, B ainsi constituées sont circonférentiellement interposés des organes élastiques à action circonférentielle 38.

Suivant l'invention, et conformément à des modalités décrites plus en détail ultérieurement, ces organes élastiques à action circonférentielle 38 sont constitués par des tampons en matière élastique, et ils sont chacun respectivement portés par l'une ou l'autre des parties coaxiales A, B entre lesquelles ils sont interposés, en étant rapportés par un moyen de fixation sur cette partie coaxiale A, B à l'une de leurs extrémités circonférentielles, et en s'étendant circonférentiellement en porte-à-faux à compter de ce moyen de fixation.

Par mesure de simplicité, ces organes élastiques à action circonférentielle seront indistinctement désignés par la même référence générale 38 lorsqu'il en sera question de manière indistincte, et, lorsqu'il en sera question de manière plus précise, cette référence générale 38 sera accompagnée de l'indice A dans le cas d'un organe élastique à action circonférentielle porté par la partie coaxiale A, et de l'indice B, dans le cas d'un organe élastique à action circonférentielle porté par la partie coaxiale B.

Dans les formes de réalisation représentées, certains des organes élastiques à action circonférentielle 38 ainsi mis en oeuvre s'étendent circonférentiellement en porte-à-faux dans un sens circonférentiel, supposé correspondre par exemple à un fonctionnement en tirage pour l'ensemble, c'est-à-dire à un fonctionnement pour lequel, ledit ensemble tournant par exemple dans le sens qui, repéré par la flèche F sur les figures 2, 3 et 6, est supposé ici correspondre à une marche avant pour le véhicule concerné, c'est le moteur qui a tendance à entrainer le véhicule, et les autres s'étendent circonférentiellement en porte-à-faux dans le sens circonférentiel opposé au précédent, supposé, lui, correspondre à un fonctionnement en rétro de cet ensemble, c'est-à-dire à un fonctionnement pour lequel, tout en allant dans le même sens que précédemment, c'est le véhicule qui a tendance à entraîner le moteur.

Dans ce qui suit, la référence générale 38 désignant les organes à action circonférentielle mis en oeuvre sera accompagnée, en sus de l'indice A ou B précédent, de l'indice T ou de l'indice R, chaque fois qu'il sera nécessaire de préciser qu'il s'agit d'un organe élastique à action circonférentielle intervenant pour un fonctionnement en tirage ou d'un organe élastique à action circonférentielle intervenant pour un fonctionnement en rétro.

Dans les formes de réalisation représentées, les organes élastiques à action circonférentielle 38 mis en oeuvre s'étendent circonférentiellement en porte-à-faux alternativement dans un sens circonférentiel et dans le sens circonférentiel opposé au précédent.

Chacune des parties coaxiales A, B comporte ainsi au moins un organe élastique à action circonférentielle 38 qui s'étend circonférentiellement en porte-à-faux dans un sens circonférentiel, et au moins un organe élastique à action circonférentielle 38 qui s'étend circonférentiellement en porte-à-faux dans le sens circonférentiel opposé au précédent.

Plus précisément, il en est ainsi pour chacun de leurs blocs de support 16A, 16B respectifs.

Plus précisément encore, pour chacun de ces blocs de support 16A, la partie coaxiale A comporte un organe élastique à action circonférentielle 38AT qui s'étend circonférentiellement en porte-à-faux dans le sens circonférentiel correspondant à un fonctionnement en tirage pour l'ensemble, et donc dans le sens repéré par la flèche F sur les figures 2, 3 et 6, et un organe élastique à action circonférentielle 38AR qui s'étend circonférentiellement en porte-à-faux dans le sens circonférentiel opposé au précédent et correspondant, lui, à un fonctionnement en rétro pour cet ensemble, et donc dans le sens inverse de celui repéré par la flèche F sur les figures 2, 3 et 6.

Il en est de même pour la partie coaxiale B, dont chacun des blocs de support 16B porte, d'une part, un organe élastique à action circonférentielle 38BT, qui, destiné à intervenir lors du fonctionnement en tirage de l'ensemble, s'étend circonférentiellement en porte-à-faux dans un premier sens circonférentiel, et, d'autre part, un organe élastique à action circonférentielle 38BR, qui, destiné à intervenir lors d'un fonctionnement en rétro de cet ensemble, s'étend circonférentiellement en porte-à-faux dans le sens circonférentiel opposé au précédent.

Mais1 compte tenu-de l'alternance des blocs 16A, 16B, les organes élastiques à action circonférentielle 38BT portés par la partie coaxiale B s'étendent circonférentiellement en sens opposé à celui des organes élastiques à action circonférentielle 38AT portés par la partie coaxiale A, pour coopération avec ceux-ci, et donc en sens opposé à celui repéré par la flèche F sur les figures 2, 3 et 6.

De même, les organes élastiques à action circonférentielle 38BR portés par la partie coaxiale B s'étendent circonférentiellement en sens opposé à celui des organes élastiques à action circonférentielle 38AR portés par la partie coaxiale A, et donc dans le sens repéré par la flèche F sur les figures 2, 3 et 6.

Il résulte de ce qui précède, que certains au moins des organes élastiques à action circonférentielle 38 mis en oeuvre, et en pratique la totalité, sont associés par paire, les deux organes élastiques à action circonférentielle 38AT-38AR, ou 38BT-38BR d'une même paire étant portés par une même partie coaxiale, A ou B, en étant rapportés sur celle-ci par l'intermédiaire d'un même bloc de support, 16A ou 16B, vis-à-vis duquel ils sont circonférentiellement disposés dos à dos, l'un d'eux s'étendant circonférentiellement en porte-à-faux dans un sens circonférentiel à côté du moyen de fixation corrrespondant et l'autre s'étendant circonférentiellement en porte-à-faux dans le sens circonférentiel opposé au précédent à compter de son propre moyen de fixation.

Dans la forme de réalisation plus particulièrement représentée sur les figures 1 à 5, l'un au moins des tampons en matière élastique constituant les organes élastiques à action circonférentielle 38, et en pratique il en est ainsi pour chacun d'eux, se présente sous la forme générale d'un anneau d'axe parallèle à l'axe des parties coaxiales A, B.

Plus précisément, dans ces formes de réalisation, l'anneau constituant ainsi un tel organe élastique à action circonférentielle 38, représenté isolément sur les figures 4 et 5, a, au repos, un contour globalement circulaire.

En pratique, il se présente sous la forme d'un tronçon de tube, à faces transversales 40 droites et parallèles, et à surfaces intérieure 41 et extérieure 42 cylindriques et de contour circulaire.

Sa section méridienne est donc globalement quadrangulaire.

Soit H sa hauteur, parallèlement à son axe, D1 son diamètre interne, et D2 son diamètre externe.

Ainsi qu'il est aisé de le comprendre, il est loisible de choisir à volonté ces dimensions géométriques, suivant la raideur recherchée, l'encombrement diamétral et/ou circonférentiel à respecter, et la nature du matériau constitutif susceptible d'être mis en oeuvre.

En pratique, la hauteur H est au plus égale à l'épaisseur axiale des blocs de support 16A, 16B à équiper, et, de préférence, le diamètre externe D2 est au moins égal à deux fois cette hauteur.

Par exemple, pour des organes élastiques à action circonférentielle 38 disposés sur une circonférence de 10 cm de rayon, de bons résultats ont été obtenus avec des anneaux ayant, axialement, une hauteur comprise entre 12 et 15 mm, et, extérieurement, un diamètre D2 compris entre 25 et 30 mm.

Mais, bien entendu, ces valeurs numériques ne sont données ici qu'à titre d'exemple, et elles ne doivent en rien être considérées comme limitatives de l'invention.

Quant au matériau susceptible d'être mis en oeuvre pour la constitution de tels organes élastiques à action circonférentielle 38, il peut être indiqué que la matière élastique connue sous la désignation commerciale "TECSPAK" donne satisfaction.

Il s'agit d'une matière élastique à base d'élastomère thermoplastique technique vendu sous la désignation commerciale "HYTREL" et permettant une bonne combinaison charge-déplacement.

Mais, comme précédemment, ces indications ne sont données ici qu'à titre d'exemple, sans caractère limitatif pour l'invention.

Dans la forme de réalisation plus particulièrement représentée sur les figures 1 à 5, les organes élastiques à action circonférentielle 38 d'une même paire, c'est-à-dire ceux associés à un même bloc de support 16A, 16B, sont chacun individuellement rapportés par un moyen de fixation spécifique sur ce bloc de support 16A, 16B bien que celui-ci leur soit commun.

Il s'agit en l'espèce d'une vis unique 43.

Pour le passage d'une telle vis, l'anneau constituant dans cette forme de réalisation un tel organe élastique à action circonférentielle 38 présente, transversalement par rapport à son axe, en positions diamétralement opposées l'un par rapport à l'autre, deux perçages 44, 45.

Le premier est juste suffisant pour le passage du fût d'une vis 43.

Le second, qui est disposé dans l'axe du premier, est suffisant pour le passage de la tête de cette vis 43.

il a donc un diamètre supérieur au précédent.

Conjointement, chacun des blocs de support 16A, 16B à équiper présente, débouchant sur ses faces radiales opposées, et disposés dans l'alignement l'un avec l'autre, tangentiellement à une même circonférence de l'ensemble, deux perçages taraudés 46.

Sur les faces radiales opposées de chacun des blocs de support 16A, 16B sont donc rapportés, dos à dos, par deux vis 43, et suivant les modalités explicitées précédemment, deux organes élastiques à action circonférentielle en forme d'anneau 38.

Par la vis 43 correspondante, chacun de ces organes élastiques à action circonférentielle 38 se trouve plaqué radialement, par sa surface extérieure 42, contre la face radiale correspondante d'un tel bloc de support 16A, 16B, du côté du perçage 44 qu'il présente transversalement, et il s'étend circonférentiellement en porte-à-faux à compter du moyen de fixation que constitue ainsi pour lui une telle vis 43.

Le dispositif amortisseur de torsion que met en oeuvre le volant pour transmission ainsi constitué se complète par des moyens de frottement intervenant axialement entre ses deux parties coaxiales A, B.

Dans les formes de réalisation représentées, ces moyens de frottement sont établis entre le plateau 10 de la partie primaire A et la bride 31 du plateau de liaison 22 de la partie secondaire B, et ils comportent, d'une part, au contact de cette bride 31, une rondelle de frottement 47, et, d'autre part, prenant appui sur le plateau 10, une rondelle élastique à action axiale 48, par exemple une rondelle Belleville.

Par des dents 49, la rondelle de frottement 47 engrène avec les rainures 18A des blocs de support 16A de la partie primaire A.

Au repos, c'est-à-dire lorsqu'aucun couple n'est à transmettre de la partie primaire A à la partie secondaire
B, il subsiste, dans la forme de mise en oeuvre représentée, figures 2 et 3, un jeu angulaire J entre, d'une part, les organes élastiques à action circonférentielle 38AT portés par les blocs de support 16A de la partie primaire A, et, d'autre part, les organes élastiques à action circonférentielle 38BT portés, en regard des précédents, par les blocs de support 16B de la partie secondaire B, et il en est de même pour les organes élastiques à action circonférentielle 38AR, 38BR.

Lorsque, pour un fonctionnement en tirage, le couple à transmettre de la partie primaire A à la partie secondaire
B croit, la partie primaire A pivote autour de l'axe de l'ensemble par rapport à la partie secondaire B, dans le même sens que le sens de rotation de cet ensemble, tel que schématisé par la flèche F sur les figures 2, 3 et 6.

Pour plus de simplicité, il a été supposé, sur la figure 6, que la partie secondaire B restait fixe.

Dans un premier temps, il y a simplement absorption du jeu angulaire J précédent, ce qui amène les organes élastiques à action circonférentielle 38AT portés par la partie primaire A au contact des organes élastiques à action circonférentielle 38BT portés par la partie secondaire B.

Ce contact se fait avantageusement suivant une génératrice des anneaux correspondants, sans qu'il y ait ainsi besoin d'individualiser la zone de contact correspondante.

Dans un deuxième temps, et tel que représenté sur la figure 6, il y a un écrasement progressif des organes élastiques à action circonférentielle 38AT, 38BT concernés, jusqu'à un aplatissement plus ou moins complet des anneaux qu'ils forment, voire même une compression totale de ceux-ci.

Lorsque le couple à transmettre entre les parties coaxiales A, B change de sens, le fonctionnement de l'ensemble devenant un fonctionnement en rétro, un processus inverse du précédent se développe : dans un premier temps il y a un retour à leur configuration de repos des organes élastiques à action circonférentielle 38AT, 38BT, puis, le processus se poursuivant, une intervention, du même type que la précédente, des organes élastiques à action circonférentielle 38AR, 38BR.

Tout au long de ce processus, la rondelle de frottement 47 développe ses effets, du fait qu'elle se trouve entrainée par la partie primaire A.

Suivant la variante de réalisation illustrée par la figure 7, l'un au moins des tampons en matière élastique constituant les organes élastiques à action circonférentielle 38 mis en oeuvre se présente sous la forme générale d'une pièce en U, dont la partie médiane présente le perçage 44 nécessaire au passage d'une vis.

En variante, figure 8, il s'agit d'un bloc qui, au fond d'un alésage 50, présente également un tel perçage 44.

Dans la variante de réalisation illustrée par la figure 9, les organes élastiques à action circonférentielle 38 d'une même paire, et il s'agit par exemple, tel que représenté, des organes élastiques à action circonférentielle 38AT-38AR associés à un même bloc de support 16A de la partie primaire A, appartiennent, conjointement, à une même pièce 51, qui a par exemple, tel que représenté, une forme générale de huit, et qui, par exemple par surmoulage, enserre le bloc de support 16A commun à ces deux organes élastiques à action circonférentielle 38, en sorte que ce bloc de support 16A constitue par lui-même le moyen de fixation à compter duquel, chacun respectivement, ils s'étendent circonférentiellement en porte-à-faux.

Pour sa fixation, le bloc de support 16A peut lui-même présenter dans ce cas deux perçages 45', pour en éviter la rotation.

Dans la variante de réalisation représentée sur la figure 10, qui est dérivée de la précédente, l'anneau appartenant à l'un au moins des organes élastiques à action circonférentielle 38 concernés se prolonge circonférentiellement, d'un seul tenant, au sein de la même pièce 51, par au moins un autre anneau d'axe parallèle au sien.

C'est alors l'ensemble de ces deux anneaux qui constituent l'organe élastique à action circonférentielle 38 correspondant.

nans la forme de réalisation représentée, il s'agit d'un organe élastique à action circonférentielle 38AT, mais, isolément ou en combinaison, il peut en être de même pour l'organe élastique à action circonférentielle 38AR.

Cette disposition permet d'accroître le débattement angulaire entre les parties coaxiales A, B, dans le cas où, par ailleurs, un tel accroissement est effectivement possible compte tenu notamment de l'encombrement circonférentiel à respecter pour l'ensemble.

Elle permet également de moduler à volonté, si désiré, la raideur pour le fonctionnement en tirage et/ou pour le fonctionnement en rétro, avec, si désiré, une différenciation de ces raideurs pour l'un et l'autre de ces fonctionnements.

Bien entendu, la présente invention ne se limite pas aux formes de réalisation décrites et représentées, mais englobe toute variante d'exécution.

En particulier, lorsque les tampons en matière élastique constituant suivant l'invention les organes élastiques à action circonférentielle mis en oeuvre sont des anneaux, ces anneaux n'ont pas nécessairement un contour rigoureusement circulaire.

Au contraire, ce contour, au repos, pourrait par exemple tout aussi bien être ovale, notamment lorsque le débattement angulaire recherché pour les parties coaxiales concernées est moindre.

Les conditions d'application de la charge d'un anneau à l'autre se trouvent alors avantageusement améliorées.

Mais ce contour peut également être quelconque, et par exemple en triangle ou en accordéon.

De même, il n'est pas nécessaire que, à couple nul, il y ait un jeu angulaire entre les anneaux en vis-à-vis.

Au contraire, ceux-ci pourraient être dès l'origine au contact les uns des autres, voire même être sous précontrainte.

De plus, l'implantation des anneaux mis en oeuvre ne correspond pas nécessairement à la disposition alternée plus particulièrement décrite et représentée.

Par exemple, ces anneaux pourraient tout aussi bien tous s'étendre circonférentiellement dans le même sens, soit dans un sens, soit dant l'autre.

En variante, il peut y avoir des blocs de support munis dos à dos d'anneaux s'étendant circonférentiellement en sens opposés l'un par rapport à l'autre, et, par exemple en alternance avec les précédents, des blocs de support dépourvus de tout anneau ou ne présentant, dans un sens ou un autre, qu'un seul anneau.

En outre, au lieu d'être constante, l'épaisseur de l'un au moins des anneaux mis en oeuvre, et, par exemple, de chacun eux, peut être variable axialement, c'est-à-dire parallèlement à l'axe d'un tel anneau, et/ou radialement.

Quoi qu'il en soit, au lieu d'une seule vis, plusieurs vis peuvent être mises en oeuvre pour.la constitution du moyen de fixation d'un tel anneau, lorsque la fixation de celui-ci se fait de manière spécifique.

Par ailleurs, le domaine d'application de l'invention n'est pas limité à celui du seul volant pour transmission plus particulièrement décrit et représenté, mais s'étend de manière plus générale à celui de n'importe quel type de dispositif amortisseur de torsion.

Claims (12)

REVENDICATIONS

1. Dispositif amortisseur de torsion, notamment pour véhicule automobile, du genre comportant deux parties coaxiales (A, B) montées rotatives l'une par rapport à l'autre dans les limites d'un débattement angulaire déterminé, avec, circonférentiellement interposés entre lesdites parties coaxiales, des organes élastiques à action circonférentielle (38), caractérisé en ce que, lesdits organes élastiques à action circonférentielle (38) étant constitués par des tampons en matière élastique, ils sont chacun respectivement portés par l'une ou l'autre des parties coaxiales (A, B) entre lesquelles ils sont interposés, en étant rapportés par un moyen de fixation (43, 16) sur cette partie coaxiale (A, B) à l'une de leurs extrémités circonférentielles, et en s'étendant circonférentiellement en porte-à-faux à compter de ce moyen de fixation (43, 16).

2. Dispositif amortisseur de torsion suivant la revendication 1, caractérisé en ce que certains des organes élastiques à action circonférentielle (38) qu'il comporte s'étendent circonférentiellement en porte-à-faux dans un sens circonférentiel et les autres s'étendent circonférentiellement en porte-à-faux dans le sens circonférentiel opposé au précédent.

3. Dispositif amortisseur de torsion suivant la revendication 2, caractérisé en ce que les organes élastiques à action circonférentielle (38) qu'il comporte s'étendent circonférentiellement en porte-à-faux alternativement dans un sens circonférentiel et dans le sens circonférentiel opposé au précédent.

4. Dispositif amortisseur de torsion suivant l'une quelconque des revendications 2, 3, caractérisé en ce que chacune de ses parties coaxiales (A, B) comporte au moins un organe élastique à action circonférentielle (38) qui s'étend circonférentiellement en porte-à-faux dans un sens circonférentiel et au moins un organe élastique à action circonférentielle (38) qui s'étend circonférentiellement en porte-à-faux dans le sens circonférentiel opposé au précédent.

5. Dispositif amortisseur de torsion suivant l'une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que certains au moins des organes élastiques à action circonférentielle (38) qu'il comporte sont associés par paire, les deux organes élastiques à action circonférentielle (38AT-38AR, 38BT-38BR) d'une même paire étant portés par une même partie coaxiale (A, B) en étant rapportés sur celle-ci par l'intermédiaire d'un même bloc de support (16A, 16B) vis-à-vis duquel ils sont circonférentiellement disposés dos à dos, l'un d'eux s'étendant circonférentiellement en porte-à-faux dans un sens circonférentiel et l'autre s'étendant circonférentiellement en porte-à-faux dans le sens circonférentiel opposé au précédent.

6. Dispositif amortisseur de torsion suivant la revendication 5, caractérisé en ce que les organes élastiques à action circonférentielle (38AT-38AR, 38BT-38BR) d'une même paire sont chacun individuellement rapportés par un moyen de fixation spécifique (43) sur le bloc de support (16A, 16B) qui leur est commun.

7. Dispositif amortisseur de torsion suivant la revendication 5, caractérisé en ce que les organes élastiques à action circonférentielle (38AT-38AR, 38BT-38BR) d'une même paire appartiennent conjointement à une même pièce (51), et, par exemple par surmoulage, celle-ci enserre le bloc de support (16A, 16B) qui leur est commun, en sorte que ledit bloc de support constitue par lui-même le moyen de fixation à compter duquel, chacun individuellement, ils s'étendent circonférentiellement en porte-à-faux.

8. Dispositif amortisseur de torsion suivant l'une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisé en ce que l'un au moins des tampons en matière élastique constituant les organes élastiques à action circonférentielle (38) qu'il comporte se présente sous la forme générale d'un anneau d'axe parallèle à l'axe de ses parties coaxiales.

9. Dispositif amortisseur de torsion suivant la revendication 8, caractérisé en ce que ledit anneau a, au repos, un contour globalement circulaire.

10. Dispositif amortisseur de torsion suivant l'une quelconque des revendications 8, 9, caractérisé en ce que, pour le passage d'un moyen de fixation spécifique propre à le rapporter sur la partie coaxiale (A, B) qui le porte, ledit anneau présente, transversalement par rapport à son axe, en positions diamétralement opposées l'un par rapport à l'autre, deux perçages (44, 45).

11. Dispositif amortisseur de torsion suivant l'une quelconque des revendications 8 à 10, caractérisé en ce que ledit anneau se prolonge circonférentiellement d'un seul tenant par au moins un autre anneau d'axe parallèle au sien.

12. Volant pour transmission, notamment pour véhicule automobile, du genre mettant en oeuvre un dispositif amortisseur de torsion, caractérisé en ce que ledit dispositif amortisseur de torsion est conforme à l'une quelconque des revendications 1 à 11.