FR2560031A1 - Preparateur culinaire - Google Patents

Abstract

PREPARATEUR CULINAIRE DU TYPE ROBOT DE CUISINE COMPRENANT UN SOCLE S SUR LEQUEL EST MONTEE, D'UNE MANIERE AMOVIBLE, UNE CUVE DE TRAVAIL C, L'ARBRE MOTEUR FAISANT SAILLIE A L'INTERIEUR DE LA CUVE. SELON L'INVENTION, UN JOINT 2 EST INTERPOSE ENTRE LE MOYEU 1 DE L'OUTIL ET UN REBORD 3 DE LA CUVE ENTOURANT L'ORIFICE DE PASSAGE DE L'ARBRE A. APPLICATIONS: AUGMENTATION DE LA CAPACITE DE LA CUVE ET MAINTIEN DE L'OUTIL LORS DE LA SEPARATION CUVE-SOCLE.

Description

PREPARATEUR CULINAIRE
La présente invention est relative aux préparateurs culinaires, robots de cuisine et appareils de traitement des aliments analogues.

On sait qu'un préparateur culinaire est un appareil constitué par un socle, renfermant un moteur électrique, une cuve de travail étant montée d'une manière amovible sur ledit socle.

L'arbre du moteur électrique ou un arbre entraîné par le moteur fait saillie verticalement à partir d'une surface horizontale du socle ou carter-moteur et passe à travers un orifice prévu dans la partie centrale de la cuve généralement cylindrique. Sur l'arbre moteur peuvent être disposés différents outils ou dispositifs.

Un premier type d'outils est constitué par des disques coupeurs,rApeurs, éminceurs ou analogues. Ces disques, montés sur un moyeu, tournent à la partie supérieure de la cuve au-dessous d'une goulotte d'introduction des produits à traiter. Le moyeu de l'outil entraîne l'arbre moteur et, étant donné que les produits à traiter sont solides', il ne se pose dans ce cas aucun problème d'étanchéité entre la cuve et le socle, le diamètre extérieur du moyeu étant sensiblement égal au diamètre de l'orifice circulaire prévu dans le fond de la cuve pour permettre le passage de l'arbre moteur
Us second type d'outils est constitué par des lames ou fouets évoluant, sous l'action d'entraînement de l'arbre moteur, à différents niveaux de la cuve pour couper ou mélanger des produits à consistance solide, pâteuse ou liquide.En particulier, on connaît un outil constitué par un ensemble de deux lames de couteau en forme de croissant,espacés en hauteur et décalés de manière à s'étendre dans des directions radiales opposées, l'un des deux couteaux tournant à une petite distance du fond de la louve. Ce dernier outil permet de couper, de mélanger, d'émulsionner differents produits.

Avec les outils de ce deuxième type, il se pose un problème d'étanchéité du montage de la cuve sur le socle qui provient de l'existence de l'orifice de passage de l'arbre moteur. Ce problème est classiquement résolu dans les robots de cuisine en entourant l'orifice de passage de l'arbre moteur par une cheminée verticale faisant saillie à l'intérieur de la cuve et constituant une chicane.

Dans le cas des outils en forme de disque, le moyeu de l'outil passe à l'intérieur de la cheminée et tourne sans contact à l'intérieur de celle-ci. Dans le cas des outils devant travailler à différents niveaux de la cuve et, en particulier en fond de cuve,les outils sont fixés à la partie supérieure de l'arbre et descendent dans la cuve à l'extérieur de la cheminée de sorte que l'on obtient ainsi une cuve étanche dans laquelle tournent des outils. De tels appareils sont décrits, notamment, dans les brevets
CH-A-263064 (MLADEK) et US-A-3 176 968 (APPLETON).Dans ces brevets, la cheminée centrale s'élève sensiblement jusqu'à la partie supérieure de la cuve. Cette solution n'est satisfaisante ni mécaniquement, ni économiquement.En effet, le couple d'entraînement de l'outil est important et la réalisation de la cheminée, outre qu'elle est coûteuse réduit sensiblement l'espace de travail.

Une solution à ces problèmes a été proposée dans le brevet
FR-A-2 147 361 (VERDUN). Dans l'appareil décrit, l'arbre moteur fait saillie sur une hauteur égale à sensiblement le tiers de la hauteur de la cuve. La cheminée est d'une hauteur sensiblement égale comme il apparaît sur la Fig.1 qui montre (en coupe verticale) l'art antérieur tel qu'il ressort du
Brevet Verdun. On distingue sur cette Fig. la partie supérieure du socle S sur laquelle est montée d'une manière amovible la cuve C , à l'intérieur de laquelle fait saillie l'arbre moteur A . L'orifice de passage de l'arbre A est entouré par une cheminée verticale B, le diamètre de B étant supérieur à celui de l'arbre A.Cette différence de diamètre permet l'insertion sur arbre A d'une jupe interne J faisant partie intégrante d'un moyeu M présentant une jupe externe
JE, entourant la cheminée B ,èt à 'partir de laquelle s'étendent. radialement deux lames de couteau L. La section interne de la jupe J est telle que celle-ci s'adapte parfaitement sur l'arbre A pour établir un entraînement en rotation sans glissement. L'ensemble ainsi constitué forme une chicane s'opposant à l'écoulement par le trou T des produits liquides ou simplement fluides se trouvant dans la cuve. Cette solution présente des avantages par rapport à la technique précédente dans la mesure où l'entraînement est effectué directement par un arbre court et où la cheminée occupe un espace réduit.Toutefois, la hauteur de la cheminée
B constitue une limitation à la contenance de la cuve en produits pâteux ou liquides, dont le niveau est limité par la hauteur de la cheminée. De plus, l'outil est glissé sur l'arbre A et, dans certains cas clipsé sur celui-ci, afin de contrebalancer les efforts de désolidarisation de l'outil et de l'arbre. Lorsque la cuve C est séparée du socle S, l'outil est séparé de l'arbre et, éventuellement, déclipsé. I1 en résulte qu'il peut glisser par rapport à la cheminée B. Si-le produit contenu dans la cuve est versé dans un plat,l'outil tombe dans le plat lorsqu'une certaine inclinaison de la cuve est atteinte.Si l'on veut éviter ce risque, il est nécessaire, avant de verser le produit, de retirer l'outil de la cuve en plongeant la main à l'intérieur du produit traité ce qui est non seulement désagréable, mais également dangereux en raison de la présence des couteaux.

Un premier objet de la présente invention est la réalisation d'un montage qui assure l'étanchéité de la cuve, malgré l'orifice central, tant au cours du travail qu'après celui-ci.

Un second objet de la présente invention est de conserver une solidarisation de l'outil et de la cuve après que celle-ci ait été retirée du socle.

Selon la présente invention, le préparateur culinaire comprenant un socle renfermant un moteur électrique dont l'arbre moteur fait saillie verticalement à partir d'une surface horizontale du socle, une cuve de travail étant montée d'une manière amovible sur le socle et présentant dans sa face cenntrale un orifice de passage de l'arbre moteur,différents outils pouvant etre montés sur ledit arbre est caractérisé en ce que, au moins un joint est disposé entre la cuve et le moyeu de l'outil.

Ainsi, l'étanchéité est assurée; au cours du travail par le joint disposé entre un organe fixe (la cuve) et un organe tournant (le moyeu de l'outil). Cette étanchéité subsiste après le travail alors que le moyeu ne tourne plus,même lorsque la cuve est retirée du socle. De plus, l'écrasement du joint constitue une liaison mécanique entre la cuve et le moyeu de l'outil,qui peut être rompue lorsque l'utilisateur le désire.

Selon une autre caractéristique de l'invention, un second joint est disposé entre l'arbre moteur et la cuve.

Selon encore une autre caractéristique de l'invention, un second joint est disposé entre la cuve et le socle de l'appareil.

D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront au cours de la description qui va suivre de modes de réalisation particuliers, donnés uniquement à titre d'exemples non limitatifs, en regard des dessins qui représentent - La Fig.1, une vue partielle d'un appareil de l'art antérieur; - La Fig.2, un premier mode de réalisation de l'invention; - La Fig.3, une vue de détail à échelle agrandie de la Fig.2,
au niveau du joint; - La Fig.4, un autre mode de réalisation avec double
enclipsage; - La Fig.5, un mode de réalisation à deux joints.

Sur la Fig.2, on retrouve une disposition générale analogue à celle de la Fig.1 de l'art antérieur. C'est-à-dire que la cuve C est montée d'une manière amovible sur le socle S,la fixation de la cuve n'ayant pas été représentée mais relevant de la technique courante et consistant en une fermeture à balonnette ou en un pas de vis. L'outil monté sur l'arbre A se compose,comme précédemment d'un moyeu M à partir duquel s'étendent radialement deux lames de couteau L dont l'une tourne très près du fond de la cuve C. Une jupe intérieure 1 du moyeu M est glissée sur l'arbre A. L'arbre A fait saillie au-dessus du socle S à partir d'une embase tronconique G renfermant un palier et des moyens pour assurer l'étanchéité du socle S.Autour de l'orifice 4 de passage de l'arbre moteur A est prévu un rebord 3 qui forme siège pour un joint 2 qui entoure l'orifice 4 en débordant à l'intérieur de celui-ci lorsqu'aucun outil n'est monté sur l'arbre. Le montage d'un outil provoque l'application d'une pression sur le joint 2 qui s'écrase. Dans l'exemple représenté sur la
Fig.2, la solidarisation de l'arbre A et du moyeu M provient de la présence d'un méplat formé sur l'arbre A, mais toute autre section appropriée peut être mise en oeuvre. Sur la
Fig.2, la jupe 1 est entourée par une jupe extérieure 7.

Cette jupe n'est plus nécessaire mais sa présence protège le joint des projections de produits résultant de la vive agitation de ceux-ci au cours du travail. De préférence, et comme celà apparaît sur la Fig.3, une gorge 6 est formée dans la partie inférieure de la jupe 1, gorge dans laquelle pénètre la partie interne du joint torique 2 pour assurer une meilleure tenue du joint et, par là une meilleurs étanchéité.Il se produit ainsi une sorte d'enclipsage qui réalise un assemblage relatif de la cuve et du moyeu. Ainsi, il devient très difficile de séparer le moyeu de la cuve lorsque la cuve est montée sur le socle, alors que, si la
Jupe 1 présente une certaine élasticité radiale, le démontage est aisé lorsque la cuve a été retirée du socle.La gorge 6 peut être renforcée par la pose d'une bague, par exemple en acier inoxydable, le joint 2 étant, de préférence, réalisé en un matériau à faible coefficient de frottement. Au cours du travail, le moyeu tourne à l'intérieur du joint , le joint pouvant lui-même tourner à l'intérieur du logement 3. Lorsque le travail est terminé, la cuve est retirée du socle S, le moyeu M et, par suite l'outil restant solidaires. Ainsi le contenu de la cuve peut entre versé sans que l'outil tombe.

D'une comparaison entre la Fig.l et la Fig.2, il ressort immédiatement que la cheminée B a été supprimée grace à l'invention ce qui, d'une part, permet de réaliser une économie de matière et, d'autre part,permet d'augmenter la capacité de la cuve, à volume constant, notamment lorsque la jupe extérieure 7 n'existe pas. En effet, dans le brevet
Verdun, le niveau de produits liquides traités ne devait pas dépasser la hauteur de la cheminée B. Cette limitation n'existe plus. Par ailleurs, la réduction du diamètre du moyeu libère un espace complémentaire à l'intérieur de la cuve.

Le mode de réalisation précédent se rapporte au cas dans lequel le niveau du moyeu de l'outil par rapport à la cuve n'est pas modifié lorsque l'on retire la cuve du socle. Il est connu de réaliser un enclipsage du moyeu M sur l'arbre A au moyen de petites pattes élastiques périphériques pénétrant dans une gorge Etant donné que cet enclipsage doit être relativement résistant afin de maintenir l'outil sur l'arbre on éprouve souvant des difficultés à dégager l'outil. Lorsque la cuve est montée sur le socle par un pas de vis, le dévissage de la cuve provoque un mouvement d'élévation de celle-ci qui, en entraînant l'outil en hauteur dégage celui-ci des cliquets. Dans le cas d'un montage à bäionnette, il est possible de prévoir uen rampe hélicoidale donnant le meme effet.Ainsi, c'est le mouvement de dégagement de la cuve qui provoque le désencliquetage -automatique de l'outil.

Etant donné que le diamètre de la cuve par rapport à l'arbre est grand par rapport à celui de l'arbre, il existe une démultiplication de l'effort de sorte que le désencliquetage ne requiert qu'une force minime. Au cours de ce mouvement, le moyeu prend appui contre le fond de la cuve alors que, au cours du travail il est légèrement éloigné de celui-ci. Il existe donc, dans ce cas deux positions du moyeu par rapport à la cuve qui seront désignées ci-après par :"position haute" et "position basse", référence étant faite au niveau de la cuve par rapport au socle. En "position basse", le moyeu M n'est pas en contact avec la cuve et il peut tourner alors qu'en "position haute" le moyeu est en contact avec la cuve c'est-à dire qu'il ne peut pas tourner, les deux organes étant fixes l'un par rapport à l'autre.

La Fig.4 représente un second mode de réalisation de l'invention. Cette Fig. est constituée de deux demi-coupe. La partie gauche de la Fig. représente les éléments en position de dégagement(position haute) alors que la partie droite représente les mêmes éléments en position de travail(position basse). Sur la partie droite de la Fig. on voit que rebord 3 de la cuve C présente une section en "L". A -la partie inférieure de la branche horizontale 5 du L" est fixée une couronne 8 , par exemple en métal. A la partie supérieure de la branche 5 est emprisonné, dans un logement 15 un joint d'étanchéité 2. La partie inférieure du moyeu 1 présente un épanouissement de plus grand diamètre que le reste du moyeu 1 venant entourer le rebord 3 de la cuve C.L'arbre A, contrairement au mode de réalisation précédent a une base 9 de diamètre plus grand que le reste de l'arbre. Cette base se termine à sa partie supérieure par une collerette 9a. A l'intérieur du moyeu 1, on distingue deux pattes 10 et 11 dont on comprendra qu'elles appartiennent à un ensemble de pattes réparties sur des circonférences, chacune d'elle étant constituée par un petit secteuren matériau élastique.

Comme celà apparaît sur la partie droite de la Fig. les pattes 10 coopèrent avec la collerette 9a pour réaliser l'encliquetage de l'outil sur l'arbre moteur A en position basse. Sur la base 9 de l'arbre A est monté un joint à lèvre 12 présentant une lèvre 13 et un talon 14, la lèvre venant porter, en position basse contre la couronne 8 pour assurer l'étanchéité alors que le talon 14 repose sur le moyeu 9. La bague 8 est prévue pour éviter le contact du joint tournant avec une pièce en matière plastique ce qui pourrait provoquer un échauffement.Le joint 12 pourrait également être monté dans l'autre sens,la couronne 8 étant portée par le moyeu.

Lorsque l'on passe de la position de travail ou position basse à la position de- dégagement ou position haute (représentée sur la partie gauche de la Fig.4),par exemple par rotation de la cuve C,les différents éléments mentionnés prennent les positions suivantes : les pattes 10 sont dégagées de la collerette --9a; les pattes 11 viennent s'engager dans une rainure 17 prévue à la périphérie du rebord 3; le joint 2 est écrasé contre la surface inférieure 18 du moyeu 1. Ainsi, l'étanchéité de la liaison cuve C-moyeu 1 est assurée par le joint 2 alors que la solidarisation mécanique.est donnée par l'enclipsage des pattes 11 dans la rainure 17. Dans ce mode de réalisation, le joint 12 reste, à demeure, sur l'arbre A.L'ensemble cuve-outil peut ainsi être dégagé du socle en conservant ses propriétés d'étanchéité, bien qu'il n1 existe plus de cheminée verticale s'étendant en hauteur à l'intérieur de la cuve. Comme précédemment, celle-ci peut être entièrement remplie sans qu'il y ait des risques de fuites. De plus, il n'est plus nécessaire de retirer l'outil avant de vider le contenu de la cuve, celui-ci restant sur la cuve. La hauteur du moyeu 1 peut être réduite au minimum compatible avec l'entraînement des disques ce qui permet, à nouveau une économie de matière et une augmentation de la capacité de la cuve. L'outil peut être facilement sorti de la cuve après que le contenu de celle-ci ait été vidé.

Les modes de réalisation précédents présentent la caractéristique commune dexfaire appel à un "joint tournant".

Dans certaines applications, il est possible de s'affranchir de cette servitude et un mode de réalisation sans joint tournant est représenté sur la Fig.5, dans les mêmes conditions que sur la Fig.4, c'est à dire que la partie droite de la Fig.5 représente le préparateur,en coupe partielle,en position de travail alors que la partie droite de la Fig.5 représente. les mêmes éléments en position de dégagement de la cuve. Sur cette Fig. les mêmes éléments sont désignés par les mêmes référencés que précédemment. Dans ce mode de réalisation l'étanchéité entre le moyeu 1 et la cuve
C n'est pas assurée lorsque l'outil est en position de travail.0n voit, par comparaison avec la Fig.4 que le joint tournant 12 a été supprimé. I1 est remplacé par un joint 19 interposé entre la paroi inférieure 20 de la cuve et la surface supérieure 21 du socle S. Ainsi, au cours du travail, une petite quantité de liquide peut passer entre le rebord 3 et le cône 6. Si le cône 6 est fixe, il est possible de disposer le joint 19 à ce niveau de manière à réduire la quantité de liquide introduite qui n'excède pas quelques cm.3. Il est possible, comme précédemment de prévoir un encliquetage de l'outil sur l'arbre (non représenté) et le même système d'encliquetage que précédemment lors du dégagement de la cuve (joint 2 ;pattes 11- rainure 17).

I1 va de soi que de nombreuses variantes peuvent être apportées, notamment par substitution de moyens techniquement équivalents, sans sortir pour celà du cadre de l'invention, tel que défini par les revendications annexées.

Claims (2)

REVENDICATIONS 10Préparateur culinaire comprenant un socle renfermant un moteur ' électrique dont l'arbre moteur fait saillie verticalement à partir d'une surface horizontale du socle,une cuve de travail étant montée d'une manière amovible sur le socle et présentant dans sa face inférieure un orifice central de passage de l'arbre moteur, différents outils pouvant être montés sur ledit arbre, caractérisé en ce que un joint (2) est disposé entre la cuve (C) et le moyeu (1) de l'outil. 20Préparateur selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens d'encliquetage (10) du moyeu (1) sur une partie (9a) de l'arbre (A),lorsque l'outil est en position de travail. 30préparateur selon l'une des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens d'encliquetage (11) du moyeu (1) sur la rebord (3) de la cuve (C).
1. 40 Préparateur selon l'une quelconque des revendications

   précédentes, caractérisé en ce que un joint (12) à lèvre

   est monté sur l'arbre moteur (A).
2. 50 Préparateur selon l'une quelconque des revendications

   précédentes, caractérisé en ce qu'un joint (19) est

   disposé entre la surface supérieure du socle (S) et la

   surface inférieure de la cuve (C).