FR2555340A1 - Centrale d'alarme - Google Patents

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FR2555340A1 FR8318358A FR8318358A FR2555340A1 FR 2555340 A1 FR2555340 A1 FR 2555340A1 FR 8318358 A FR8318358 A FR 8318358A FR 8318358 A FR8318358 A FR 8318358A FR 2555340 A1 FR2555340 A1 FR 2555340A1
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    • GPHYSICS
    • G08SIGNALLING
    • G08BSIGNALLING OR CALLING SYSTEMS; ORDER TELEGRAPHS; ALARM SYSTEMS
    • G08B13/00Burglar, theft or intruder alarms
    • G08B13/22Electrical actuation
    • GPHYSICS
    • G08SIGNALLING
    • G08BSIGNALLING OR CALLING SYSTEMS; ORDER TELEGRAPHS; ALARM SYSTEMS
    • G08B25/00Alarm systems in which the location of the alarm condition is signalled to a central station, e.g. fire or police telegraphic systems
    • G08B25/14Central alarm receiver or annunciator arrangements

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Abstract

L'INVENTION CONCERNE UNE CENTRALE D'ALARME POUR LA DETECTION ET L'IDENTIFICATION DU FRANCHISSEMENT D'UN OU PLUSIEURS PASSAGES PROTEGES. CHAQUE POSTE PERIPHERIQUE DE LA CENTRALE COMPREND ESSENTIELLEMENT UN PREMIER CIRCUIT BISTABLE G2 DONT UNE ENTREE DE COMMANDE EST CONNECTEE A UN POTENTIEL DE REFERENCE VIA DES CONTACTS K1-K4 ASSOCIES AUX PASSAGES PROTEGES ET UN SECOND CIRCUIT BISTABLE G1 DONT UNE ENTREE DE COMMANDE EST CONNECTEE A UNE SOURCE DE TENSION VG DE MISE EN ETAT DE VEILLE DU PERIPHERIQUE, ET DONT UNE SORTIE EST CONNECTEE A LADITE ENTREE DU PREMIER CIRCUIT BISTABLE G2 ET DONT UNE SECONDE SORTIE EST CONNECTEE A UNE SORTIE DE CE PREMIER BISTABLE G2. L'INVENTION EST APPLICABLE A LA PROTECTION DES LOCAUX.

Description

La présente invention a pour objet une centrale d'alarme, c'està-dire un dispositif électronique qui détecte le changement d'état -ouvert ou fermé- de certains passages protégés et/ou la présence d'intrus dans des lieux protégés et qui en réponse transmet un signal de détection ou d'alarme, ainsi qu'un signal d'identification du passage et/ou du lieu violé. Cette invention est applicable, notamment, à la protection des locaux d'habitation, des locaux commerciaux et des locaux industriels.
Ces locaux sont en général assurés contre le vol auprès de compagnies qui imposent l'installation dons ces locaux d'une centrale d'alarme.
Une telle centrale doit répondre à certaines exigences qui rendent son prix prohibitif. Elle comprend un ensemble de détection et un ensemble électronique qui reçoit des signaux issus de l'ensemble de détection pour commander la mise en fonctionnement d'une alarme sonore et/ou lumineuse.
L'ensemble de détection comprend notamment des micro-contacts actionnés par la manoeuvre d'une porte ou d'une fenetre, des contacts dits de pédales disposés sous des revêtements de sol du type tapis ou moquettes et qui sont actionnés dès que l'on pose le pied dessus, ainsi que des détecteurs à ondes lumineuses (cellules photo-électriques à infra-rouges, par exemple) ou à ondes électromagnétiques.
L'ensemble électronique de commande reçoit les signaux de sortie des différents détecteurs et doit alors commandeur la mise en fonctionnement d'une alarme dès qu'une intrusion est détectée. D'une façon générale, il est exigé que cette alarme comprenne au moins une sirène extérieure qui fournit un signal d'alarme pendant trois minutes seulement, et une sirène intérieure qui doit fournir un signal d'alarme permanent.
Ces centrales d'alarme, outre les avertisseurs sonores, comprennent donc un poste central de commande et de signalisation, un bloc d'alimentation autonome et des postes périphériques disposés dans les différentes pièces du local à protéger. I1 est souvent exigé que l'alarme soit déclenchée lors de toute tentative de destruction des postes périphériques ou de sectionnement des câbles assurant la liaison entre ceux-ci et le poste central de commande.
Les centrales d'alarme actuellement en usage répondent peu ou prou a ces exigences et leur coût est, dans la pluport des cas, prohibitif.
La présente invention a donc pour objet une centrale d'alarme qui répond aux exigences précitées et dont le prix de revient est très limité.
La centrale d'alarme de l'invention, constituée d'un poste de commande central et de un ou plusieurs postes périphériques de détection associés chacun à un ou plusieurs passages protégés pourvus de contacts dont l'état est modifié lors du franchissement de l'un de ces passages est caractérisée par le fait que chaque poste périphérique comprend essentiellement un premier circuit bistable dont une première entrée de commande est connectée à un potentiel de référence par l'intermédiaire desdits contacts dont une seconde entrée de commande est connectée audit potentiel de référence ainsi qu'à une source de signal de remise dans un état initial et dont une sortie est connectée à un voyant de signalisation et d'identification disposé dans ledit poste de commande central, ainsi qu'un second circuit bistable dont une première entrée de commande est connectée à une source de tension de mise en état de veille du périphérique via un boutonpoussoir, dont une seconde entrée est connectée à ladite source de signal de remise dans un état initial, dont une première sortie est connectée à ladite première entrée du premier circuit bistable et dont une seconde sortie est connectée à ladite sortie du premier circuit bistable.
Une autre caractéristique de l'invention réside dans le fait qu' au moins un des postes périphériques de détection comprend en outre une porte logique dont une première entrée de commande est connectée à l'un desdits contacts et dont une seconde entrée de commande est connectée à une sortie d'un circuit de temporisation qui fournit un signal interdisant la transmission d'un signal de détection du changement d'état dudit contact pendant un temps prédéterminé réglable compté à partir de ce changement d'état.
Une autre caractéristique de l'invention réside dans le fait que le poste de commande central comprend notamment un circuit monostable dont une entrée est connectée, par 1 'intermédiaire d'une porte logique à la sortie de chacun des postes périphériques de détection et dont la sortie est connectée, par l'intermédiaire dfun circuit de commutation à une entrée d'un premier avertisseur sonore.
Une autre caractéristique de l'invention réside dans le fait que le poste de commande central comprend également un circuit bistable dont une entrée de commande est connectée à ladite sortie du circuit monostable, et un second avertisseur sonore dont une entrée est connectée à ce circuit bistable par l'intermédiaire d'un circuit de commutation.
Les différents objets et caractéristiques de l'invention vont maintenant être détaillés dans la description qui va suivre, donnée à titre d'exemple non limitatif, en se référant aux figures annexées qui représentent
- la figure 1, le schéma détaillé d'un exemple de réalisation de postes de détections périphériques d'une centrale d'alarme conçue conformément à la présente invention ;
- la figure 2, le schéma détaillé d'un exemple de réalisation d'un poste de commande central d'une centrale d'alarme conçue conformément à la présente invention.
On décrira tout d'abord, en se reportant à la figure 1, le schéma détaillé d'un exemple de réalisation de postes de détections périphériques.
On a représenté sur la figure 1 le schéma détaillé de quatre types de postes périphériques de détection.
Le premier type de poste périphérique de détection est destiné à fournir un signal de détection en réponse à l'ouverture d'un contact kl associé, par exemple, à une porte ou à une fenêtre. Il comprend notamment deux circuits bistables g1 et 22 du type RS.
L'entrée de forçage en position 1 du bistable g1 est connectée, d'une part, à un potentiel de référence, la masse par exemple via une résistance rl, et d'autre part, par l'intermédiaire d'un bouton-poussoir el à une source de tension positive vg, +12V par exemple. L'entrée de remise à zéro du bistable 91 est connectée, d'une part à la masse à travers une résistance r2, d'autre part, à une source de tension positive vz. La tension vz (niveau logique 1) est la tension vg commutée à l'aide d'un boutonpoussoir p2.
La sortie directe du bistable al est connectée à une extrOmit d'une résistance r4 dont l'autre extrémité est connectée à une source de tension d'alimentation +v via une diode d3, à la masse via une diode d4 et un condensateur c1 connectés en parallèle et à l'entrée de forçage à l'état 1 du bistable 92.
La sortie complémentaire du bistable gl est connectée à l'anode d'une diode bl dont la cathode est connectée à la masse par l'intermédiaire d'une résistance r3 et d'un voyant 11, et à la cathode d'une diode d2.
L'anode de cette diode est connectée à la sortie directe du bistable 22.
L'entrée de forçage à l'état 1 du bistable g2 est connectée à la masse à travers le contact kl normalement fermé et une résistance r6, ainsi qu'à une entrée d'une porte logique 95 réalisant la fonction OU-.N, par l'intermédiaire d'une diode d5.
L'entrée de remise à zéro du bistable 92 est connectée à la masse par l'intermédiaire d'une résistance r5 et à la source de tension vz.
Lors de la mise en fonctionnement de la centrale d'alarme le périphérique de détection que l'on vient de décrire est mis à zéro par le signal vz (niveau logique 1) retransmis à l'aide du bouton-poussoir p2. Puis le périphérique de détection est activé, ou mis en état de veille en commandant, à l'aide du bouton-poussoir pl, la transmission du signal vg (niveau logique 1) à l'entrée de forçage en position 1 du bistable gl.
Pour faciliter la compréhension, on a représenté, dans chaque périphérique un bouton-poussoir de mise en état de veille (pl) ainsi qu'un bouton-poussoir de remise à zéro (p2), mais il est bien évident que ces boutons-poussoirs de commande, ainsi que les voyants de signalisation 11 à 14 sont disposés sur le coffret du poste central de commande qui sera décrit ultérieurement (figure 2).
Le bistable g1 passe à l'état 1 et fournit alors en direction de la résistance r4 un signal de niveau logique 1 (+12V), et un signal de niveau logique 0 à l'anode de la diode di qui reste bloquée.
Le contact kl étant normalement fermé, la masse est retransmise aux deux entrées du bistable 92 : en effet, l'impédance de la résistance r4 étant de l'ordre de 20 ket et celle de la résistance r6 de l'ordre de 3,3ksi, la tension au point commun aux résistances r4 et r6 et aux diodes d3 et d4 est voisine de zéro.
Il en résulte tout d'abord que le bistable g2 est maintenu dans l'état 0. Le bistable 92 fournit donc un signal de niveau logique 0 à l'anode de la diode d2 qui reste bloquée. Aucun signal n'est fourni au voyant 10 qui reste éteint.
Il en résulte également qu'un signal de niveau logique 0 est fourni à l'anode de la diode d5 donc également à l'entrée de la porte 85.
En supposant que l'autre entrée de cette porte est connectée à la sortie d'un périphérique de détection qui fournit également un signal de niveau logique
O, la porte 95 fournit donc un signal AL de niveau logique 1 ou signal de non détection d'intrusion.
Toute intrusion à l'intérieur du local protégé par le périphérique que l'on vient de décrire provoque, comme on l'a vu précédemment, l'ouverture du contact kl.
La masse n'est alors plus retransmise via la résistance r6 et ce contact kl sur l'entrée de forçoge à l'état 1 du bistable 92. Par contre, le signal de niveau logique 1 fourni à la sortie directe du bistable 91 est retransmis intégralement à cette entrée via la résistance r4.
Le bistable 92 passe donc à l'état 1 et fournit un signal de niveau logique 1 (+12V) au voyant 10 via la diode d2 et la résistance r3.
Ce voyant, situé au poste de commande central, est donc alimenté normalement il s'éclaire signalant ainsi que le local protégé par le périphérique que l'on vient de décrire est l'objet d'une intrusion.
En outre, le signal de niveau logique 1 issu du bistable 1 est également retransmis par la résistance r4 et la diode d5 à l'entrée de la porte 95 du type OU-NON. En réponse, cette porte fournit un signal AL de niveau logique 0 ou signal de détection d'intrusion. On verra par la suite que ce signal commande l'éclairement d'un voyant général d'alarme et, sous certaines conditions, la mise en fonctionnement d'une ou de plusieurs sirènes (figure 2).
On peut alors intervenir et le périphérique de détection est ramené à l'état initial : l'accès forcé est refermé ce qui entraine la fermeture du contact kl et donc le passage du signal fourni à l'entrée de forçage à l'état 1 du bistable 92 du niveau logique 1 ou niveau logique 0.
Le bistable 92 du type R.S dont les deux entrées sont au niveau logique 0 reste dans son état antérieur c' est-à-dire à l'état 1. Le voyant li du poste de commande central reste allumé. On commande alors, du poste central le basculement à l'état 0 du bistable 92 en appuyant sur le bouton-poussoir 2.
L'entrée de remise à zéro du bistable 92 reçoit alors le signal vz (niveau logique 1). Le bistable 92 passe à l'état zéro et fournit un signal de niveau logique 0 sur sa sortie directe, à l'anode de la diode d2 qui se bloque. Le signal vz est également fourni à l'entrée de remise à zéro du bistable 1. Ce bistable passe à 0 et fournit un signal de sortie complémen taire de niveau logique 1 qui assure le maintien de l'alimentation du voyant 11 à travers la diode dl et la résistance r3.
Par pression sur le bouton-poussoir el, on ramène le bistable g1 à l'état de veille, c'est-à-dire à l'état 1. Le signal de sortie complémen taire fourni par ce bistable passe au niveau logique 0. Le voyant li n'est plus alimenté et il s'éteint indiquant ainsi que le périphérique de détection est en état de veille.
Les diodes d3 et d4 n'interviennent pas dans le fonctionnement proprement dit du périphérique. Elles assurent une protection contre d'éventuelles surtensions. Le condensateur cl a une fonction de filtrage (antiparasite).
L'ensemble périphérique de détection d'ouverture de contact que l'on vient de décrire fournit donc, en l'absence d'intrusion, un signal de niveau logique 1 et, lors d'une intrusion, un signal de niveau logique 0.
Ce périphérique détectait donc l'ouverture d'un contact de porte ou de fenêtre par exemple. On peut utiliser le même périphérique pour détecter la présence d'un individu dans un lieu protégé en disposant des contacts du type pédale sous les tapis ou moquettes. L'enfoncement de cette pédale sous le poids d'un intrus commande l'ouverture ou la fermeture d'un contact.
Dans le premier cas, le périphérique que l'on vient de décrire est utilisé.
Dans le second cos, on utilise le circuit illustré sur la figure 1 analogue au précédent et comprenant notamment des bistobles g3 et 94 du type R.S
Le contact de pédale k2 normalement ouvert est connecté entre une résistance r9 (analogue à la résistance r4) et l'entrée de forçage à l'état du bistable 4 et non pas entre cette entrée et la masse via une résistance comme dans le cas precedent. La fermeture de ce contact k2 assure la transmission du signal de sortie du bistable 93 à cette entrée du bis table 4 et le fonctionnement de ce périphérique est identique à celui du précédent.
Les deux types de périphérique que l'on vient de décrire peuvent être installés dons n'importe quelle pièce d'un local industriel, commercial ou d'habitation à l'exception de la pièce où se trouve le poste central de commande, l'entrée d'un appartement, par exemple. En effet, dès la mise sous tension et la mise en veille des périphériques précédents par enfoncement des boutons-poussoirs el et e3, un signal de détection AL est transmis par la porte 5 au poste de commande central (figure 2) à la première ouverture d'un accès de la pièce sous-surveillance. Il est donc nécessaire de prévoir dans ladite entrée de l'appartement où est disposé, en général, le poste de commande, un périphérique de détection pourvu d'un circuit de temporisation.Ce circuit permet à l'occupant du local de quiter celui-ci après avoir mis tous les périphériques de détection en veille à portir du poste de commande central sans provoquer la commande de l'alarme pourvu que l'inter- vale séparant ces deux opérations soit inférieur à un temps prédéterminé.
Il permet également de pénétrer dans le local et d'effectuer la mise au repos de la centrale sans déclencher l'alarme à condition que cette mise au repos soit effectuée dons un temps minimum prédéterminé compté à partir de l'ouverture du contact associé à la porte d'accès.
On a représenté sur la moitié inférieur de la figure 1 un exemple de réalisation d'un tel périphérique.
Le périphérique ainsi représenté est destiné à fournir, en période nocturne, après un intervalle de temps prédéterminé un signal de détection d'intrusion de niveau logique 1 à une entrée de la porte 95 en réponse à l'ouverture d'un contact de porte k4 normalement fermé et/ou à la fermeture d'un contact de pédale k3 normalement ouvert.Il comprend donc les principaux éléments constituant les deux périphériques précédemment décrits auxquels on adjoint, notamment, un premier circuit à constante de temps constitué d'un condensateur c3, d'une diode d5, d'une résistance riS et d'une résistance ajustable u,a un second circuit à constante de temps constitué d'un condensateur c4, d'une diode d18, d'une résistance rl7 et d'une résistance ajustable Ld, une porte 98 du type oe-NON et un bistable 99 du type RS.
L'entrée de remise à zéro de ce bistable est connectée à la masse via une résistance rl6, à une source de tension vs via une diode dl6 et à une source de tension vb via une diode dol7. On verra, en relation avec la figure 2, que la tension vs est une tension positive fournie pendant le jour et vb une impulsion de tension positive fournie, selon l'exemple choisi, pendant la nuit et après la détection d'une intrusion.
Pendant les heures de jour, les deux entrées de la porte 98 reçoivent un signal de niveau logique 1, respectivement via les résistances r15 et ra et via le contact k4 et la résistance r18. Elle fournit donc un signal de niveau logique 0. En l'absence d'ouverture du contact k4 et/ou de fermeture du contact pédale k3, donc en l'absence d'intrusion, aucun signal n'est fourni à l'entrée de forçage à l'état 1 du bistable g9 dont l'entrée de remise à zéro reçoit le signal vs de niveau logique 1 à travers la diode d16.
Le bistable 99 est donc à l'état 0 et il fournit un signal de niveau logique 0 à l'anode de la diode d19 via les résistances rl7 et rb.
Il en résulte finalement que la porte 95 ne reçoit pas de signal et qu'elle fournit en réponse un signal AL de non-détection de niveau logique 1.
L'utilisateur à l'aide d'un inverseur (figure 2) commande alors le fonctionnement de la centrale en mode nocturne : la tension vs passe au niveau logique 0. Le condensateur c3 se charge à travers les résistances ra et rl5. Le temps de charge de condensateur est d'environ 30s. Pendant cet intervalle de temps, l'utilisateur doit quitter le local protégé. L'ouverture de l'accès de ce local provoque l'ouverture du contact k4. Un signal de niveau logique 0 est donc fourni à une entrée de la porte p, le signal fourni à l'autre entrée de cette porte étant maintenu au niveau logique 1.
Cette porte du type OU-NON reste bloquée et le signal fourni à l'entrée de forçage à l'état 1 du bistable ? à travers la diode dl5 est maintenu au niveau logique 0.
L'utilisateur quitte donc le local protAgF et en referme l'accès (contact k4).
Après 30s, le condensateur c3 est chargé et le signal fourni à l'entrée correspondante de la porte 98 passe au niveau logique 0. Cette porte retransmettra donc un signal de niveau logique 1 dès que le signal fourni sur son autre entrée passera du niveau logique 1 au niveau logique 0, c'est-à-dire à l'ouverture du contact k4 donc, en particulier, à l'ouverture de l'accès du local protégé.
Afin de permettre à l'utilisateur de pénétrer dans ce local sans déclencher l'alarme, le périphérique de détection comprend la seconde temporisation r17 - rb - c4.
En effet, en pénétrant dans le local, l'utilisateur provoque l'ouverture du contact k4 et un signal de niveau logique 0 est fourni à l'autre entrée de la porte g8 qui fournit en réponse un signal de niveau logique 1 à l'entrée de forçage à l'état 1 du bistable g9 à travers la diode dl5. Le signal de sortie de ce bistable passe du niveau logique 0 au niveau logique 1. Le condensateur c4 primitivement déchargé se charge à travers les résistances rb et rl7. Pendant cette charge, le signal fourni à l'anode de la diode d19 est maintenu au niveau logique 0. Aucun signal de détection de l'ouverture du contact k4 n'est fourni à la porte g5.
L'utilisateur peut donc neutraliser la centrale d'alarme pendant le temps nécessaire à la charge du condensateur c4. Il peut également commander le retour du fonctionnement de la centrale en mode diurne : la tension vs passe au niveau logiqique 1. Le contact k4 étant fermé seule l'entrée de remise à zéro du bistable 99 reçoit un signal de niveau logique 1 via la diode dol6. Ce bistable bascule et fourni un signal de niveau logique 0.
Si le contact k4 reste ouvert et que le mode de fonctionnement nocturne est maintenu, le condensateur c4 se charge entièrement et le point commun à ce condensateur et à la résistance rb passe au niveau logique 1. Un signal de détection d'intrusion AL est donc finalement retransmis au poste central de commande (figure 2) via la diode dl9 et la porte 95 une trentaine de secondes environ après l'ouverture du contact k4 donc de l'ac cès du local protégé.
On décrira maintenant, en se reportant à la figure 2, le schéma détaillé d'un exemple de réalisation d'un poste de commande d'une centrale d'alarme conçue conformément à la présente invention et qui commande, sous certaines conditions, l'émission d'au moins un signal sonore d'alarme à la réception d'un signal de détection d'intrusion AL de niveau logique 0 issu de l'un ou de plusieurs des périphériques de détection de la figure 1.
Selon l'exemple choisi, ce signal sonore est émis-en période nocturne par une sirène extérieure SE pendant une durée prédéterminée (3mn) et par une sirène intérieure SI jusqu'à l'intervention de l'utilisateur ou jusqu'à épuisement des batteries d'accumulateurs assurant l'alimentation de la centrale.
Le poste de commande de la figure 2 comprend tout d'abord un inverseur jour/nuit J ouvert la nuit et fermé le jour, dont le point milieu est connecté à la source de tension positive v et dont le point travail est connecté à la masse via une résistance R4, et à l'entrée d'un monostable composé de deux portes G4 et G5 du type OU-NON, d'un condensateur C6 et d'une résistance 13 via un condensateur C2. Le point commun au condensateur
C2 et à la première entrée de la porte G4 est connecté à la masse par l'intermédiaire d'une résistance RS.
Le signal de sortie du monostable G4zG5 est le signal vg précédemment cité en relation avec la figure 1.
Le point travail de l'inverseur J fournit le signal vs qui est au niveau logique 0 pendant la nuit et au niveau logique 1 pendant la journée, comme on l'a vu précédemment.
Ce point travail est connecté à l'entrée d'un inverseur logique j1 (porte CU-.ION) dont la sortie est connectée à la masse via une résistance R1 et un voyant L1. Ce voyant reçoit donc un signal vs inversé. Il ne s'allume donc que lorsque l'inverseur J est ouvert, c'est-à-dire la nuit.
Le poste de commande de la figure 2 comprend également une porte o2 du type OU-NON dont une première entrée, connectée à la sortie de la porte 25 (figure 1) reçoit le signal de détection d'intrusion AL. La seconde entrée de la porte G2 est connectée à la masse via une résistance R2 et une résistance ajustable R3, à la source de tension v via un condensateur C1 et à la tension vs via une diode dl.
La sortie de la porte G2 est connectée à travers une diode d'2 et un condensateur C4 aux deux entrées d'une porte G3 du type OU-NON connectée en inverseur. Le point commun à la cathode de la diode d'2 et au condensateur C4 est connecté à la masse par l'intermédiaire d'une résistance R7. Les entrées communes de la porte G3 sont connectées à la masse via une résistance ?8.
Le poste de commande de la figure 2 comprend également un circuit monos table MS du type du circuit commercialisé sous la référence 555, dont une première entrée est connectée à la masse via une résistance R9 et à la sortie de la porte G1, dont une seconde entrée est connectée à la masse via un condensateur C7 et à la source de tension v et dont une troisième entrée est connectée à la sortie de la porte G3. En réponse à une impulsion négative fournie sur sa troisième entrée, ce monostable, lorsque la première entrée reçoit un signal de niveau logique 1 (v), fournit une impulsion positive à l'anode d'une diode d'8. La durée de cette impulsion positive est définie par des résistances R11 et R12 et un condensateur C8 connectées à d'autres de ses entrées et comme illustré sur la figure 2.
La troisième entrée du monostable MS est également connectée à la source de tension v via une résistance de polarisation R10, et à la masse via un condensateur de filtrage C5.
Le signal retransmis par la diode d'8 est le signal vb précédemment cité (figure 1).
La cathode de la diode d'8 est connectée, d'une part, à la masse par l'intermédiaire d'une résistance R16, d'autre part, à l'électrode de base d'un transistor T2 de type n-p-n par l'intermédiaire d'une résistance
R17. L'émetteur de ce transistor est connecté à la masse et son collecteur est connecté à une extrémité de l'enroulement d'excitation de la sirène extérieure SE. L'autre extrémité de cet enroulement est connectée à la source de tension v.
Le poste de commande de la figure 2 comprend en outre un bistable
RS constitué de deux portes 56 et 7 du type OU-KN. L'entrée de remise à zéro de ce bistable est connectée à la masse via une résistance R14 et au point travoil de l'inverseur J par l'intermédiaire d'un condensateur C3. Son entrée de forçage à l'état 1 est connectée à la masse à travers une résistance R15 et à la cathode de la diode d'8 per l'intermédiaire d'une diode d'4.
La sortie directe du bistable G6-G7 est connectée, par l'intermédiaire d'une résistance R18, à l'électrode de base d'un transistor T1 de type n-p-n dont l'émetteur est connecté à la masse. Le collecteur de ce transistor est connecté à la source de tension v à travers l'enroulement d'excitation de la sirène intérieure SI, et à la cathode d'une diode d'9.
L'anode de cette diode est connectée à la source de tension v à travers une résistance R6 et un voyant L2, ainsi qu'à la première entrée de la porte G2 via une diode d'3.
On va décrire maintenant le fonctionnement du poste de commande de la figure 2.
Pendant la nuit l'inverseur J est ouvert : la tension vs et la tension vg sont égales à zéro. L'inverseur logique G1 fournit donc un signal de niveau logique 1 qui-alimente le voyant L1. Ce signal est également fourni à la première entrée du monostable MS.
En l'absence de signal de détectiqn d'intrusion fourni par les périphériques (figure 1) le signal AL est au niveau logique 1. La porte G2 du type OU-N0N qui reçoit ce signal fournit en réponse un signal de niveau logique O qui bloque la diode d'2 et un signal de niveau logique 0 est fourni aux entrées de l'inverseur logique G3 à travers la résistance R8. En réponse, un signal de niveau logique 1 est fourni à la troisième entrée du monostable MS dont le signal de sortie est alors maintenu au niveau logique 0. Le signal vb, retransmis comme on l'a vu précédemment au bistable g9 du circuit de temporisation des périphériques (figure 1), est donc au niveau logique 0. Ce signal est également transmis à l'électrode de base du transistor T2 qui reste bloqué : la sirène extérieure SE n'est pas alimentée.
Le signal vb est également retransmis à l'entrée de forçage à 1 du bistable G6-G7 de type RS, dont l'entrée de remise à zéro est également connectée à la masse. Ce bistable primitivement à l'état 0 s'y maintient.
Il fournit donc un signal de niveau logique 0 à l'électrode de base du transistor T1 et le maintient ainsi à l'état bloqué : la sirène intérieure
SI n'est pas alimentée.
Une intrusion est détectée par un ou plusieurs des périphériques de détection de la figure 1. Le signal de détection AL passe alors au niveau logique 0. Le voyant d'alarme L2 est donc normalement alimenté à travers la résistance R6 et la diode d'3 : il s'allume. En outre, la porte
G2 dont les deux entrées sont au niveau logique 0 fournit un signal de niveau logique 1 qui débloque la diode d'2. Ce signal est fourni à la cellule 7-C4-8 qui~fournit en réponse une impulsion positive à la porte G3 qui l'inverse. Le monostable eS qui reçoit une impulsion négative sur sa troisième entrée fournit en réponse une impulsion de niveau logique 1 pendant un temps déterminé par la constante de temps C8-R11-R12.Cette impulsion est retransmise par la diode d'8 : le signal vb retransmis au bistable 99 du circuit de temporisation de la figure 1 passe au niveau logique 1 et commande la remise à zéro de ce bistable. Ce signal est également retransmis à l'électrode de base du transistor T2 qui est rendu conducteur : la sirère extérieure SE, normalement alimentée, fournit un signal sonore pen- dant toute la durée de l'impulsion fournie par le monostable VS (3mn).
Le signal vb est également retransmis au bistable G6-G7 qui passe à l'état logique 1. Il fournit donc un signal de niveau logique 1 à l'électrode de base du transistor T1 qui devient donc passant : la sirène intérieure SI, normalement alimentée à travers ce transistor, fournit un signal sonore.
A la fin de l'impulsion positive fournie par le monostable MS, on est ramené au cas précédent : le transistor T2 se bloque et la sirène extérieure SE n'est plus alimentée. Par contre, le passage du niveau logique 1 au niveau logique 0 du signal fourni sur l'entrée de forçage à l'état 1 du bistable :,6-G7 dont l'entrée de remise à zéro reste connectée à la masse est sans effet sur l'état de ce bistable qui est maintenu à l'état 1. Le transistor T1 est maintenu à l'état passant et la sirène intérieure SI reste alimentée.
Le retour à l'état logique 1 du signal de détection d'intrusion AL est sans effet : le bistable G6-G7 est maintenu à l'état 1, le transistor T1 est maintenu à l'état passant, la sirène SI reste aliment et le voyant d'alarme, alimenté maintenant à travers la résistance R6, la diode d'9 et le transistor T1, reste allumé.
L'utilisateur ainsi alerté peut commander le retour à l'état de veille de la centrale en fermant l'inverseur J : le signal vs passe à l'état logique 1. Ce signal est retransmis à l'entrée de remise à zéro du bistable
G6-G7 qui bascule et fournit un signal de niveau logique 0 bloquant le transistor T1 : la sirène intérieure SI n'est plus alimentée et s'arrête.
Le voyant d'alarme L2 n'est plus alimenté à travers le transistor T1. Il reste allumé si le signal de détection d'intrusion AL est maintenu au niveau logique O signalant ainsi la présence de l'intrus (détecteur du type pédale) ou le maintien en position ouverte de l'un des accès protégés (détecteur de porte/fenêtre). La localisation de cette anomalie est indiquée, comme on l'a vu précédemment, par le ou les voyants tels que 11 à 14 (figure 1) associés à chacun des périphériques de détection.
Pendant la journée, l'inverseur J est en position fermée : le signal vs est au niveau logique 1. Ce signal est fourni à travers le condensateur C3 à l'entrée de remise à zéro du bistable C6. Celui-ci fournit donc un signal de niveau logique O à l'électrode de base du transistor T1 qui est ainsi maintenu à l'étot bloqué. La sirène intérieure SI n'est pas alimentée.
En outre, la porte G1 fournit sur la première entrée du monostable MS un signal vs inversé soit un signal de niveau logique 0. Ce monostable est donc maintenu à l'état 0. Il fournit un signal de niveau logique 0.
Ainsi, quel que soit le niveau logique du signal de détection d'intrusion AL, le bistable G6-G7 reçoit en permanence un signal de niveau logique 1 sur son entrée de remise à zéro et un signal de niveau logique O sur son autre entrée. Il est donc maintenu dans l'étot 0 bloquant ainsi le transistor TO. La sirène SI est hors-circuit.
il en est de même de la sirène extérieure SE, le transistor T2 étant maintenu bloqué par le signal de sortie-du monostable MS fourni sur son électrode de base.
En cas d'intrusion, le signal de détection AL passe au niveau logique 0. Le voyant d'alarme général L2 est alimenté normalement à travers la diode d'3. Il s'allume.
Le signal de détection d'intrusion AL n'est pas retransmis aux autres éléments du poste de commande, la porte G2 étant bloqué par le signal vs de niveau logique 1 retransmis par la diode d'2 à une entrée de cette porte.
Ainsi, selon l'exemple choisi, le poste de commande central, pendant les heures de nuit (J ouvert) commande la mise en fonctionnement permanent de la sirène intérieure SI et la mise en fonctionnement pendant une durée prédéterminée de la sirène extérieure SE dès qu'un signal de détection d'intrusion AL de niveau logique 0 lui est fourni. Il commande également l'éclairement du voyant d'alarme générale L2. Pendant les heures de jour, les sirènes SI et SE sont mises hors circuit et seul le voyant d'alarme général L2 est commandé.
Le poste de commande central de la figure 2 comprend en outre un circuit de détection de rupture des câbles de liaison postes périphériquesposte central et/ou d'effraction des bottiers de ces postes. Ce circuit comprend un conducteur supplémentaire dont une extrémité est connectée à la source de tension v par l'intermédiaire d'une résistance R19 et dont l'autre extrémité est connectée à la masse via une résistance R20.
Ce conducteur est disposé de façon à être rempu lors de toute tentative de destruction de la centrale. Cette rupture est illustrée par un contact K normalement fermé.
Le circuit de détection de rupture comprend également une porte logique G8 du type OU-NON connectée en inverseur : ses entrées sont connectées au conducteur supplémentaire entre le contact K et la résistance R20.
Sa sortie est connectée à l'anode d'une diode d'5 dont la cathode est connectée à l'entrée de forçage à l'état 1 du bistable G6-G7. Le circuit de détection de rupture est pourvu d'un condensateur C9 d'antiparasitage et de deux diodes d'6 et d'7 de protection contre les surtensions.
En fonctionnement normal, le contact K étant fermé, la porte G8 dont les entrées sont à un potentiel voisin de v (niveau logique 1) fournit un signal de niveau logique O à l'anode de la diode d'5 qui se bloque.
Lors d'une rupture, le contact K est ouvert et la porte G8 reçoit via la résistance R20 un signal de niveau logique 0 (la masse). Elle fournit en réponse un signal de niveau logique 1 qui est retransmis par la diode d'5 à l'entrée de forçage à l'état 1 du bistable Ga-G7. Ce bistable bascule et fournit un signal de niveau logique 1 qui rend le transistor T1 conduc teur. La sirène intérieure SI est alors aliments d travers ce transistor et elle émet un signal sonore d'alarme.
Le poste de commande central de la figure 2 comprend également un bouton-poussoir d'urgence et de contrôle PC normalement ouvert, connecté entre la source de tension v et l'entrée de forçage à l'état 1 du bistable
G6-G7. La fermeture de ce contact commande la mise en fonctionnement de la sirène intérieure SI. Cette focilité peut être utilisée en cas d'incendie, par exemple, ou pour tester le bon état de la batterie d'accumulateurs assurant l'alimentation de la centrale.
La centrale d'alarme de l'invention répond donc bien aux exigences précédemment citées. Elle est réalisée à l'aide de composants de type couront (résistances, condensateurs, diodes, portes logiques réalisant la fonction
OU-NON, monostable du type 555), d'un coût très réduit.
La centrale d'alarme de l'invention est donc d'un prix de revient nettement inférieur au prix de revient des centrales d'alarme actuellement commercialisées, et son fonctionnement est d'une grande fiabilité.
Dans la description qui précède, on a associé à chaque poste périphérique de détection, un seul contact de porte (kl) ou un seul contact de type pédale (k2). Il est bien évident que l'on peut associer à chacun de ces périphériques une pluralité de contacts de porte connectés en série, ou une pluralité de contacts de type pédale connectés en parallèle.
Il est bien évident que la description qui précède n'a été fournie qu'à titre d'exemple non limitatif et que de nombreuses variantes peuvent être envisagées sans sortir pour autant du cadre de l'invention.

Claims (8)

REVENDICATIONS
1. Centrale d'alarme pour la détection et l'identification du franchissement d'un ou plusieurs passages protégés, constituée d'un poste de commande central et de un ou plusieurs postes périphériques de détection associés chacun à un ou plusieurs passages protégés pourvus de contacts dont l'état est modifié lors dudit franchissement, caractérisée par le fait que chaque poste périphérique comprend essentiellement un premier circuit bistable (2) dont une première entrée de commande est connectée à un potentiel de référence par l'intermédiaire desdits contacts (kl-k4) dont une seconde entrée de commande est connectée audit potentiel de référence ainsi qu'à une source de signal (vz) de remise dans un état initial et dont une sortie est connectée à un voyant (11) de signalisation et d'identification disposé dans ledit poste de commande central, ainsi qu'un second circuit bistable (gel) dont une première entrée de commande est connectée à une source de tension (vg) de mise en état de veille du périphérique via un bouton-poussoir (pu), dont une seconde entrée est connectée à ladite source de signal (vz) de remise dans un état initial, dont une première sortie est connectée à ladite première entrée du premier circuit bistable (92) et dont une seconde sortie est connectée à ladite sortie du premier circuit bistable (2).
2. Centrale d'alarme telle que définie en 1, caractérisée par le fait qu'au moins un des postes périphériques de détection comprend en outre une porte logique (98) dont une première entrée de commande est connectée à l'un desdits contacts (k4) et dont une seconde entrée de commande est connectée à une sortie d'un circuit de temporisation (c3, rl5, ra) qui fournit un signal interdisant la transmission d'un signal de détection du changement d'état dudit contact (k4) pendant un temps prédéterminé régla- ble compté à partir de ce changement d'état.
3. Centrale d'alarme telle que définie en 1, caractérisée par le fait que l'un au moins desdits postes périphériques de détection comprend également un troisième circuit bistable (99) dont une entrée de commande est connectée à l'un desdits contacts (k3) et dont une sortie est connectée à une entrée d'un circuit de temporisation (c4, rl7, rb) qui bloque la transmission d'un signal de détection du changement d'état dudit contact (k3) pendant un temps prédéterminé réglable compté à partir de ce changement d'état.
4. Centrale d'alarme telle que définie en 1, caractérisée par le fait que le poste de commande central comprend notamment un circuit monostable (MS) dont une entrée est connectée, par l'intermédiaire d'une porte logique (95) à la sortie de chacun des postes périphériques de détection et dont la sortie est connectée, par I'intermédiaire d'un circuit de commutation (T2) à une entrée d'un premier avertisseur sonore (SE).
5. Centrale d'alarme telle que définie en 4, caractérisée par le fait que le poste de commande central comprend également un circuit bistable (G6-G7) dont une entrée de commande est connectée à ladite sortie du circuit monostable (MS) et un second avertisseur sonore (SI) dont une entrée est connectée à ce circuit bistable (G6-G7) par l'intermédiaire d'un circuit de commutation (T1).
6. Centrale d'alarme telle que définie en 5, caractérisée par le fait que le poste de commande central comprend en outre un circuit de détection de rupture des câbles de liaison des postes périphériques de détection au poste de commande central constitué d'un conducteur supplémentaire et d'une porte logique (G8) dont les entrées sont connectées à ce conducteur supplémentaire et dont une sortie est connectée à une entrée dudit circuit bistable (G6-G7).
7. Centrale d'alarme telle que définie en 1, caractérisée par le fait que lesdits circuits bistables (gel, 92) sont des bistables du type R-S.
8. Centrale d'alarme telle que définie en 5, caractérisée par le fait que lesdits circuits de commutation (T1, T2) sont des transistors du type n-p-n.
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Cited By (2)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
GR890100443A (en) * 1989-07-11 1991-12-10 Andreas Lotsaris Central alarm unity
WO2024016062A1 (fr) * 2022-07-19 2024-01-25 Perez Kapazi Joserli Système d'actionnement et de commande de dispositifs électroniques

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