FR2551874A1 - Procede et dispositif de controle d'une piece metallique par ultrasons - Google Patents

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Abstract

LA PRESENTE INVENTION CONCERNE UN PROCEDE ET UN DISPOSITIF DE CONTROLE D'UNE PIECE METALLIQUE PAR ULTRASONS, EN PARTICULIER POUR LE CONTROLE D'UNE SOUDURE. LE DISPOSITIF COMPREND UN ENSEMBLE D'ELEMENTS EMETTEURS-RECEPTEURS ER DISPOSES SUR LA PIECE A CONTROLER, UN MULTIPLEXEUR 110 QUI ALIMENTE LES ELEMENTS ER, UNE UNITE CENTRALE 100 CONTROLANT LE MULTIPLEXEUR, DES MOYENS D'ANALYSE 120 APTES A TRAITER DES INFORMATIONS DELIVREES PAR LES ELEMENTS ER, ET DES MOYENS DE VISUALISATION 180 DE LA DETECTION D'UN DEFAUT. L'UNITE CENTRALE 100 ET LE MULTIPLEXEUR 110 DETERMINENT UNE ALIMENTATION SUCCESSIVE DE CHACUN DES ELEMENTS ER D'UNE MEME RANGEE, ET, ENTRE DEUX PHASES D'EMISSION, DES PHASES DE RECEPTION POUR LE DERNIER ELEMENT EMETTEUR, AINSI QUE LES ELEMENTS N'AYANT PAS ETE ENCORE PORTES A L'ETAT EMETTEUR.

Description

La présente invention concerne le contrôle de pièces métalliques par ultrasons.
La présente invention concerne plus précisément un procédé et un dispositif adaptés pour effectuer des contrôles par ultrasons, de pièces métalliques, et en particulier de soudures.
La présente invention s'applique en particulier au contrôle automatique de soudures de deux tôles ou de deux tubes métalliques.
Différents systèmes pour le contrôle de pièces métalliques par ultrasons ont déja été proposés.
Dgune façon générale, de tels systemes sont adaptés pour envoyer un faisceau d'onds ultrasonorg à l'intérieur du matériau à tester, et pour détecter ultérieurement les ondesréfléchies par une inhomogénéité ou un défaut contenu à l'intérieur du matériau.
Lorsque le matériau à contrôler, tel qu'une soudure, ne présente aucun défaut, l'onde ultrasonore incidente ne rencontre aucune surface réfléchissante, et de ce fait aucun écho n'est détecté.
Au contraire, lorsque un défaut est présent dans le matériau à contrôler, celui-ci réfléchit l'onde ultrasonore ce qui donne lieu à l'apparition d'un signal sur un détecteur associé.
On a décrit en particulier dans la demande de brevet en France, au nom de la demanderesse, publiée sous le nwrlero 2 090 409, un dispositif de sondage à ultrasons permettant de réduire la durée du contrôle tout en améliorant les conditions de travail de liopérateur par rapport aux dispositifs antérieurement ensistants.
Ce dispositif permet en particulier de simplifier le déplacement des éléments, sur la pièce, lors du contrôle.
Plus précisément, le système décrit et représenté dans la demande de brevet NO 2 090 409 comporte un matériau de transmission définissant d'un côté une surface appelée semelle et de l'autre côté une pluralité de surfaces planes inclinées par rapport à ladite semelle, des céramiques piézo-électriques, émetteur et récepteur d'ultrasons, chaque céramique étant accolée par l'une de ses faces émettrices à l'une desdites surfaces planes, ainsi qu'un amortisseur recouvrant lesdites céramiques et ledit matériau de transmission et des moyens permettant d'appliquer et de prélever les tensions électriques aux bornes desdites céramiques, suivant un schéma électrique permettant de répartir convenablement la puissance d'émission entre les différentes céramiques.
Plus précisément encore, selon la demande de brevet NO 2 090 409, afin de détecter de façon certaine les échos réfléchis par les défectuosités internes du matériau, en tenant compte du fait que d'une part la partie efficace suffisamment énergétique d'un faisceau ultrasonore est réduite et que d'autre part en raison de leurs nombreuses facettes de réflexion, les défectuosités présentent un diagramme de réflexion très ouvert, on a proposé que toutes les céramiques piézo-électriques fonctionnent simultanément en récepteur de telle sorte que celles-ci captent chacune une partie de l'énergie réfléchie par le défaut.
Comme cela est précisé dans le texte de cette demande de brevet NO 2 090 409, un tel dispositif, s'il améliore la sensibilité de détection, présente en particulier l'inconvénient de ne pas permettre de connaître immédiatement la localisation exacte du défaut détecté.
La présente invention vient maintenant proposer des perfectionnements à un tel dispositif, qui permettent en particulier une meilleure identification des défauts dans le matériau à contrôler, notamment dans le cas de défauts mal orientés, et une localisation générale de ces défauts, ainsi qu'un contrôle rapide et efficace, tout en limitant très notablement la fatigue visuelle de l'opérateur.
La présente invention permet en particulier d'adapter de façon simple le dispositif de contrôle à différents matériaux, de détecter de façon certaine et sure la présence de défauts, enfin et surtout d'effectuer dans un premier temps un contrôle automatique rapide de la pièce ne demandant pas d'intervention de l'opérateur, suivi éventuellement lorsqu'un défaut est détecté d'une exploration manuelle permettant de localiser le défaut avec précision, et de l'apprécier en fonction de critères de référence prédéterminés.
Pour ce faire, la présente invention propose un procédé de contrôle d'une pièce métallique par ultrasons, en particulier pour le contrôle d'une soudure consistant a) à déplacer sur la pièce, selon une direction de trans
lation déterminée, au moins un groupe d'éléments émet
teurs-récepteurs d'ultrasons répartis et orientés en
fonction du contrôle à réaliser, les directions
d'émission respectives des éléments étant choisies de
façon à répartir l'émission dans un volume déterminé
à contrôler de la pièce, b) à définir pour les éléments émetteurs-récepteurs des
séquences de phases d'émission et de réception, c) à traiter les informations délivrées en phase de ré
ception par les éléments, pour en déduire la présence
éventuelle de défauts dans la pièce, et localiser
ceux-ci, l'étape b) étant plus particulièrement caractérisée par le fait qu'elle consiste pour chaque groupe i) à alimenter successivement chacun des éléments de ce
groupe, afin de rendre ceux-ci émetteurs et entre deux
phases d'émission successives, c'est-à-dire après avoir
alimenté un élément et avant de rendre émetteur
l'élément suivant, ii) à rendre récepteur, dans un ordre choisi, le dernier
élément émetteur ainsi que les éléments n'ayant pas
été encore portés à l'état émetteur, et iii) à réitérer le cycle défini par les étapes i) et
ii), une pluralité de fois lors du déplacement des
éléments sur la pièce.
Selon une caractéristique considérée actuellement comme préférentielle, l'étape c) de traitement consiste à comparer d'une part l'instant de détection d'un écho par un élément récepteur avec un créneau temporel d'écoute défini par rapport à l'instant d'émission antérieur, d'autre part l'amplitude de l'écho détecté avec une valeur de référence, et à signaler la présence d'un défaut lorsque l'amplitude détectée est supérieure à la valeur de référence et que l'écho est détecté dans ledit créneau temporel.
De façon préférentielle, le procédé comprend une phase initiale d'étalonnage au cours de laquelle on utilise un élément de -référence présentant un défaut de caractéristiques connues pour déterminer le paramètre amplitude de la comparaison pris en compte lors de l'étape de traitement c).
Avantageusement, le procédé comprend une phase préalable d'étalonnage au cours de laquelle on utilise une cale de référence de dimensions connues, par exemple hémi-cylindrique et réalisée dans le meme matériau que la pièce à contrôler, pour adapter l'analyse à la vitesse des ondes ultrasonores dans le matériau de la pièce à contrôler.
Selon une caractéristique avantageuse, le procédé comprend l'étape supplémentaire consistant après détection d'un défaut lors de l'étape de traitement c) à explorer minutieusement la pièce en n'utilisant que le couple élément émetteur / élément récepteur ayant détecté ledit défaut afin de localiser précisément celui-ci dans la pièce.
De plus, de façon avantageuse, la vitesse de déplacement des éléments sur la pièce à contrôler est déterminé par rapport à la durée d'un cycle complet défini par les étapes i) et ii), de telle sorte que pour chacun de ces cycles les différents éléments émetteurs explorent l'ensemble de la zone à contrôler.
Le dispositif pour la mise en oeuvre du procédé précité, conforme à la présente invention comprend : - un ensemble d'éléments émetteurs-récepteurs dont
les directions d'émission respectives sont choisies
de façon à répartir l'émission dans un volume déter
miné à contrôler, de la pièce, - un multiplexeur qut alimente successivement les
différents éléments, - une unité centrale qui contrôle le multiplexeur et
définit la séquence d'alimentation des éléments, des moyens d'analyse aptes à traiter les informations
délinées par les éléments en phase réception et, - des moyens de visualisation de la détection a fun
défaut dans la pièce.
De pré'erence, l'ensemble d'éléments émetteurs récepteurs est une matrice d'éléments.
D'autre part, selon une caractéristique avantageuse de la présente invention, le dispositif comprend en outre un élément emetteur-récepteur auxiliaire apte à vérifier l'existence d'un film de liquide de couplage entre l'ensemble d'éléments émetteursrécepteurs et la pièce métallique à contrôler.
Selon un mode de réalisation particulier, les moyens d'analyse sont commandés par un amplificateur à gain programrrable relié aux éléments émetteurs-récepteurs par l'intermédiaire d'un multiplexeur, et le gain de l'amplificateur est contrôlé par l'unité centrale en fonction de chaque couple élément émetteur / élément récepteur considéré.
De préférence, le dispositif conforme à la présente invention comprend en outre un clavier permettant à un opérateur de définir à volonté un créneau temporel d'écoute et une valeur de référence d'a'plitude pris en compte pour établir l'existence d'un défaut dans la pièce, par comparaison avec un écho reçu.
Selon une autre caractéristique avantageuse de la présente invention, le clavier du dispositif est adapté en outre pour permettre à l'opérateur de choisir un élément émetteur et un élément récepteur. Cette disposition permet, dans un fonctionnement en mode manuel qui sera explicité plus en détail par la suite de définir à volonté le couple d'éléments émetteur/récepteur en fonctionnement.
Selon une autre caractéristique avantageuse de la présente invention, les moyens d'analyse comprennent un premier compteur qui détermine un retard à compter de l'émission émanant d'un élément émetteur pour définir l'origine d'un créneau temporel pendant lequel un écho peut être assimilé à un défaut, un second compteur qui définit la durée du créneau temporel et un troisième compteur qui détermine le retard d'un écho détecté par rapport à l'origine du créneau temporel.
Selon encore une autre caractéristique avantageuse de la présente invention, les compteurs sont commandés par une horloge réglable en fonction de la célérité des ondes ultrasonores dans le matériau à contrôler.
De préférence l'horloge est réglée lors d'une phase d'étalonnage en cours de laquelle on utilise une cale de.référence, telle qu'une cale hdmi-cylindrique.
Par ailleurs, les moyens de visualisation précités sont adaptés pour indiquer le couple élément émétteur / élément récepteur utilisé lors de la détection d'un défaut.
Enfin, de préférence, le dispositif comprend également un écran apte à visualiser simultanément le créneau temporel et l'allure de l'écho reçu.
D'autres caractéristiques et avantages de la présente invention apparaîtront à la lecture de la des cription détaillée qui va suivre et en regard des dessins annexés donnés à titre exemple non limitatif, et qui doivent être intégrés à la présente description par la référence qui leur est faite ici, sur lesquels - la figure 1 représente une vue schématique en perspec
tive d'un ensemble d'éléments émetteurs-récepteurs
utilisés dans un dispositif conforme à la présente
invention, placé sur une pièce métallique à contrôler, - les figures 2a à 2c représentent des vues en coupe
transversale de cet ensemble et de la pièce métallique
selon des plans de coupe référencés respectivement
a-a, b-b et c-c sur la figure 1, - la figure 3 représente une vue schématique, sous forme
de blocs fonctionnels de la structure d'un dispositif
conforme à la présente invention, - la figure 4a représente schématiquement la structure
des moyens d'analyse rapide utilisés dans un dispositif
conforme à la présente invention, - la figure 4b représente un diagramme explicitant le
fonctionnement des moyens représentés sur la figure
4a, et - les figures 5a à 5e représentent des sus-ensembles
d'un organigramme de fonctionnement du dispositif
conforme à la présente invention.
Le dispositif conforme à la présente invention pour le contrôle d'une pièce métallique comprend d'une façon générale, comme représenté sur la figure 3, un ensemble d'éléments émetteurs-récepteurs d'ultrasons référencés ER, une unité centrale 100 définissant une séquence d'alimentation des éléments ER, un multiplexeur 110 commandé par l'unité centrale 100 pour l'alimentation des éléments ER, ainsi que des moyens 120 d'analyse aptes à traiter les informations délivrées par les éléments ER en phase réception et des moyens 180 d'interface opérateur.
Les moyens 180 comprennent de préférence des touches de sélection de fonctions, un clavier numérique d'entrée de paramètres, un dispositif d'affichage des paramètres et des moyens de visualisation des alarmes (tels qu'une matrice de diodes électroluminescentes) identifiant notamment le couple d'éléments ER en cause lors de la détection d'un défaut.
De préférence, afin de simplifier le processus d'exploitation, l'unité centrale n1 autorise les combinaisons d'éléments émetteurs / récepteurs qu'entre les éléments d'un même groupe, par exemple rangée par rangée selon le mode de réalisation représenté, comme cela sera explicité par la suite.
Enfin, l'appareil comprend un écran 150, par exemple d'oscilloscope, permettant l'analyse conventionnelle des échos reçus.
De préférence, l'appareil conforme à la présente invention possède trois modes de fonctionnement.
Le premier mode dit "d'étalonnage" permet d'adapter les caractéristiques de l'émission à la nature du matériau à contrôler et de déterminer les paramètres de la comparaison ayant pour but de valider un écho reçu.
Le mode dit "de fonctionnement automatique a pour but d'opérer un contrôle automatique et rapide de 1 pièce (séquence de phases émission/réception définie par l'unité centrale) avec analyse des échos reçus afin de sélectionner ceux correspondant à un défaut réel et visualisation par les moyens 180, le cas échéant, du couple éléments émetteur/récepteur ayant détecté un défaut. Ce mode permet à l'opérateur de localiser rapidement les zones de défectuosités de la pièce.
ie mode dit "de fonctionnement manuel" permet alors une exploration lente et manuelle, à l'aide du couple retenu, pour localiser précisément le défaut et visualiser celui-ci sur l'écran 150.
Ces modes seront décrits plus en détail par la suite.
La présente invention permet de simplifier notablement les opérations de contrôle par rapport aux procédures classiques au cours desquelles l'opérateur devait garder les yen fixés sur un écran en même temps qu'il plaaiE le traducteur sur la pièce et devait interpréter immédiatement un écho reçu. L'examen de l'écran n'est maintenant requis qusen fonctionnement manuel.
'ensemble d éléments émetteurs/récepteurs ER utilisé dans le mode de réalisation représenté sur la rivure i est formé d'une matrice de trois rangées de trois éléments émetteurs-récepteurs Une telle dispo sition permet "d'éclairer" les défauts sous des incidences différentes et en conséquence d'augmenter la probabilité de leur détection.
En l'espèce, cette matrice d'éléments ER est positionnée sur la surface 2 d'une pièce 1 formée par assemblage de deux éléments métalliques 3 et 4 à l'aide d'une soudure 5 dont la section droite est délimitée par l'enveloppe référencée A-B-C-D. La matrice d'éléments ER est disposée sur la surface 2 à distance de la soudure 5 et est adaptée pour être déplacée parallèlement à la direction longitudinale de la soudure 5, comme cela est schématiquement représenté sur la figure 1 par la flèche référencée F, les rangées précitées étant alors perpendiculaires d la direction de translation.
La structure particulière des éléments émetteurs-récepteurs, classique en elle-même, ne sera pas décrite en détail dans la suite de la description.
Toutefois, on se reportera utilement à la description de la demande de brevet N 2 090 409, pour la bonne compréhension de la présente invention.
A titre indicatif, la matrice d'éléments ER peut comprendre un matériau de transmission reposant sur la surface 2 de la pièce 1, avec interposition d'un liquide de couplage permettant un couplage acoustique correct entre la semelle du matériau de transmission et la surface de palpage de la pièce à contrôler.
En outre, une matrice de céramiques piézoélectriques est disposée inclinée par rapport à la surface de palpage précitée, au niveau de surfaces planes respectives, en dent de scie, prévues à la partie supérieure du matériau de transmission.
Des moyens sont en outre prévus pour appliquer et prélever les tensions électriques aux bornes desdites céramiques piézo-électriques, et enfin un matériau amortisseur recouvre les céramiques piézo-électriques.
A titre d'exemple non limitatif, le matériau amortisseur est une résine époxy ou similaire à deux composants, chargée en sciure de bois, pour créer des microporosités, le matériau de transmission est une résine identique à deux composants, les céramiques piézoélectriques sont à base de titanate de baryum, et le liquide de couplage est un mélange de carbonyl-méthylcellulose et d'eau, l'épaisseur optimale du film de couplage est d'environ 3/10 de millimètres.
Afin de faciliter le déplacement des éléments
ER sur la pièce, on prévoit une pluralité de roulettes.
D'autre part, afin de garantir un déplacement (flèche F) parallèle à la direction longitudinale de la soudure 5, on prévoit de déplacer l'ensemble d'éléments
ER en appui contre un guide rectiligne (non représenté).
Sur la figure 1 on a représenté trois rangées de trois éléments émetteurs-récepteurs orientées chacune sensiblement perpendiculairement à la direction de translation F. Les éléments de la première rangée sont réfé reniés du plus proche au plus éloigné par rapport à la soudure 5 : 11, 12 et 13.
Les éléments de la seconde rangée (intermédiai re) sont référencés du plus proche au plus éloigné par rapport à la soudure 5 : 21, 22 et 23.
Les éléments de la troisième rangée sont réfé rentes, du plus proche au plus éloigné par rapport à la soudure 5 : 31, 32 et 33.
Les figures 2a, 2b et 2c correspondent respee- tivement à des vues en coupe transversale passant par le plan médian des première deuxième et troisième rangées, perpendiculaire à l'axe longitudinal de la soudure 5 à contrôler.
On reconnaît sur les figures 2a à 2c les éléments ER de chaque rangée, schématiquement repré sentés, ainsi que la soudure 5 à contrôler, en section droite.
On-a également représenté schématiquement sur les figures 2a, 2b et 2c les axes des cônes d'émission de chacun des éléments ER.
Les angles d'inclinaison des axes des cônes d'émission par rapport à la normale à la surface supérieure 2 de la pièce à contrôler, pour un mode de réalisation particulier, seront donnés ultérieurement.
Sur les figures 2a à 2c, ces différentes inclinaisons sont référencées par la lettre G munie d'un indice correspondant à la référence de l'élément ER considéré.
De façon similaire, la distance de l'orgine du cône d'émission au plan de symétrie S-S de la soudure 5, référencée schématiquement par la lettre L munie d'un indice correspondant à la référence de l'élément ER considéré, sera indiquée ultérieurement pour un exemple de réalisation particulier.
Dans tous les cas, les directions d'émission respectives (et schématisées par l'axe du cône d'émission), sont choisies de façon à répartir l'émission dans un volume déterminé à contrôler de la pièce. En l'espèce, il s'agit du volume de la soudure 5 délimitée par l'enveloppe référencée A-B-C-D.
L'inclinaison de l'émission des différents éléments ER peut être adaptée de telle sorte que les faisceaux ultrasonores parviennent directement dans le volume (A-B-C-D) à contrôler, comme c'est le cas pour les éléments 11, 21 et 31 sur les figures 2a à 2c, ou encore après réflexion sur une surface principale de la pièce à contrôler, comme c'est le cas pour les éléments
T2, 13, 22, 23 et 32, 33.
Comme cela est représenté sur la figure 3, l'unité centrale 100 qui commande le multiplexeur 110 alimentant les éléments ER alterne pour ceux-ci les phases d'émission et de réception de telle sorte que, pour chaque rangée précitée (formant chacune un groupe), chacun des éléments (par exemple 11,12 et 13 pour la première rangée) soit alirnenté successivement et rendu émetteur.
En outre, l'unité centrale 100 contrôle le multiplexeur 110 de telle sorte que après avoir rendu émetteur un élément de la rangée, et avant de rendre émetteur l'élément suivant, le multiplexeur 110 rende récepteur le dernier élément émetteur, ainsi que les éléments de la même rangée n'ayant pas encore été portés à l'état émetteur.
Selon le mode de réalisation représenté sur les figures 1 à 3, on peut par exemple définir pour la première rangée un cycle de couple élément émetteur / élément récepteur comme suit : dans un premier temps 11 / 11, 11 / 12, 11 / 13, dans un deuxième temps 12 / 12, 12 / 13, et dans un troisième temps : 13 / 13.
On peut d'autre part compléter la séquence ci-dessus en définissant pour chaque céramique piézoélectrique ER plusieurs créneaux d'écoute, afin d'affiner l'analyse. Dans un tel cas' on peut associer un seuil d'amplstude différent à chacun de ces créneaux afin de différencier des échos provenant de zones différentes de 7.a pièce.
Les cycles pour les autres rangées de l'ensem- ble d'éléments ER sont similaires.
Bien entendu, les cycles ainsi définis sont réi-térds un grand nombre de fois lors du déplacement des éléments ER sur la pièce.
D'autre part, la vitesse de déplacement des éléments dans la direction de translation F sur la pièce 1 est déterminée par rapport à la durée d'un cycle complet, tel que précédemment défini, de telle sorte que pour chacun de ces cycles, les différents éléments émetteurs (11, 12, 13 pour la première rangée) explorent l'ensemble de la zone à contrôler.
A titre d'exemple, on peut prévoir un déplacement de l'ordre de 1 à 2 cm/sec pour une fréquence de multiplexage de l'ordre de 1 kHz.
Afin de contrôler la présence du liquide de couplage entre la matrice d'éléments ER et la pièce 1 à contrôler, il est prévu en outre un élément récepteur auxiliaire référencé 40 sur la figure 3.
De préférence, comme cela est représenté sur la figure 3, afin de simplifier l'équipement électronique du dispositif, on prévoit un amplificateur à gain prograitimble 140 unique, reliant les moyens d'analyse rapide 120 au multiplexeur 110. Le gain de l'amplificateur 140 est contrôlé par l'unité centrale 100 en fonction de chaque couple élément émetteur / élément récepteur ER considéré, par l'intermédiaire du bus 101 commandé par l'unité centrale 100.
De façon avantageuse, afin d'éviter à l'opérateur d'examiner constamment l'écran pour interpréter tout écho reçu, l'étape de traitement des informations délivrées en phase de réception par les éléments ER, afin d'en déduire la présence éventuelle de défauts dans la pièce, consiste à comparer, d'une part, l'instant de détection d'un écho par un élément récepteur ER avec un créneau temporel défini par rapport à l'instant d'émission antérieur, d'autre part l'amplitude de l'écho détecté avec une valeur de référence, et à signaler la présence d'un défaut lorsque l'amplitude détectée est supérieure à la valeur de référence et que l'écho est détecté dans ledit créneau temporel.
Le créneau temporel d'écoute précité est propre à chaque couple d'éléments utilisé et correspond aux limites du volume à contrôler (A-B-C-D en l'espèce).
Cette limitation permet notamment d'éliminer les échos provenant de la surface de la soudure 5.
De même, la valeur de référence de l'amplitude est propre à chaque couple. On rappellera que l'amplitude de l'écho d'un défaut dépend de sa dimension, de son état de surface, de sa forme, de son orientation et de sa distance au traducteur.
Avantageusement, l'appareil comprend des moyens permettant d'augmenter la sensibilité de l'ensemble des combinaisons de 6 dB, en abaissant le seuil de référence, afin d'augmenter la probabilité de détection des défauts.
Comme cela sera explicité dans la suite, ledit créneau temporel peut être soit calculé, soit déterminé lors d'une phase d'étalonnage au cours de laquelle on utilise un élément de référence de caractéristiques connues et de même matériau que la pièce à contrôler.
On va maintenant décrire la structure des moyens d'analyse rapide 120, telle que représentée sur la figure 4a.
On reconnaît sur la figure 4a le bus 101 relié à l'unité centrale 100 et qui contrôle un circuit d'interface 121,un compteur dit"d'origine11î22,un compteur dit delårgeur"123,et un compteur dit'Eginstant échd'réfé- rencé 124.
La sortie du circuit d'interface 121 est reliée d'une part en 121A à l'entrée de validation d'un circuit de synchronisation 125, d'autre part en 121B à la borne de remise à zéro du compteur 124 précité.
Le circuit de synchronisation 125 est d'autre part attaqué par une horloge 160 réglable en 161 comme cela est schématiquement représenté sur la figure 4a.
La base de temps 160 est ainsi réglable en fonction de la célérité des ondes ultrasonores dans le matériau à contrôler (à l'aide d'une cale de .référence), et commande un dispositif 170 de visualisation de célérité.
La sortie du circuit de synchronisation 125 attaque d'une part en 125A l'entrée de comptage du compteur d'origine 122, d'autre part en 125B l'entrée de comptage du compteur largeur 123, ainsi qu'en 125C, une première entrée d'une porte ET 126 à deux entrées commandant l'entrée de comptage (5ème ligne figure 4b) du compteur instant écho 124.
Comme cela est représenté sur les deux premières lignes du diagramme de la figure 4b, le contenu du compteur origine 122 (2ème ligne figure 4b) évolue à partir de l'émission d'une impulsion émanant de l'interface 121 (1ère ligne figure 4b), sur l'entrée 121A de validation du circuit de synchronisation 125. Cette impulsion est synchronisée avec le début de l'émission d'un quartz émetteur. La sortie référencée S1 du comp-teur d'origine 122 attaque une bascule 127 dont la sortie référencée S2 contrôle d'une part en 127A l'en- trée d'autorisation de comptage du compteur-largeur 123 et d'autre part en 127B le circuit de synchronisation 125.
La sortie S1 attaque également une bascule 128 dont la sortie, qui passe à l'état logique 1 lors de l'évolution de la sortie S1 du compteur origine 122 est reliée en 128A à la seconde entrée de la porte ET 126 précitée, pour autoriser alors le comptage du compteur instant écho 124.
La sortie 128A de la bascule 128 est remise à zéro par l'apparition d'un signal représentatif d'un écho sur l'entrée 128B de la bascule 128.
La sortie 123A du compteur-largeur 123 commande d'autre part la première bascule 127 afin de contrôler l'état de la sortie S2 (3ème ligne figure 4b) de celle-ci.
Comme cela est représenté sur la figure 4b le compteur 122 définit l'origine d'un créneau temporel pendant lequel un écho (4ème ligne figure 4b) détecté par les éléments ER peut être assimilé à un défaut, sur la base de l'émission d'un signal d'excitation provenant du bus 101, et coïncidant avec l'émission d'une onde ultrasonore par l'un des éléments ER.
La durée séparant l'origine du créneau temporel de l'émission du signal d'excitation est définie par le compteur origine 122, et est susceptible d'être modifiée par le bus 101.
Le compteur-largeur 123 définit la durée du créneau temporel à partir de ladite origine précédemment définie.
Là encore, la durée du créneau temporel est définie par le compteur 123 et est susceptible d'être modifiée par l'intermédiaire du bus 101.
Enfin, le contenu du compteur 124 évolue à compter de l'origine définie par le compteur 122 (validation de la porte ET 126) et ce jusqu'à l'arrivée d'un écho sur l'entrée 128B, bloquant la porte ET 126, de telle sorte que le contenu du compteur 124 détermine l'instant d'apparition de l'écho par rapport à l1ori- gifle définie par le compteur 122.
Sur la base de ces informations, l'unité centrale 100 peut aisément déterminer si l'écho détecté par les éléments BR a été perçu à l'intérieur du créneau temporel ainsi défini ou non.
Dans l'aifirmative, cela signifie que l'écho détecté est dû à une réflexion sur une surface réfléchissante correspondant au volume à examiner. L'écho détecté est alors interprété comme étant représentatif d'un défaut dans le matériau à-contr8ler si ltamplitude de 11 écho dépasse un seuil prédéterminé, propre à chaque combinaison, et qui peut être modifiée à tout moment par l'opérateur.
Dans a négative, 1 1écho n'est pas pris en compte.
Comme cela a été précédemment indiqué, de préfé rence l'appareil possède trois modes de fonctionnement.
Le premier mode dit dlétalonnage permet à lande d'une cale de référence, de caractéristiques connues, de régler la base de temps 160 de l'appareil en fonction de la célérité des ondes ultrasonores dans le matériau à contrôler1 laquelle célérité est affichée en permanence en 170.
Un mode dit manuel permet à l'opérateur de choisir la combinaison élément émetteur / élément récepteur qu'il désire faire fonctionner et de visualiser sur l'écran 150, en même temps que les échos, les paramètres d'écoute (créneau temporel et valeur de référence d'amplitude prédéterminée). Ces paramètres sont affichés en clair en 180.
C'est également dans cette configuration de fonctionnement que les divers paramètres de réglage peuvent être accessibles et modifiables. Une pièce présentant un défaut de caractéristiques connues peut être utilisée à cet effet.
Après sélection de la combinaison à régler, il est possible de rentrer en mémoire à l'aide d'un clavier 180, les paramètres des créneaux temporels pendant lesquels les échos sont pris en compte (origine et largeur), ainsi que la valeur relative au seuil d'alarme.
Enfin, un mode dit automatique, qui est le mode normal de fonctionnement en contrôle, permet, si un signal de niveau supérieur au seuil d'alarme apparaît dans un quelconque des créneaux préalablement réglés, d'indiquer immédiatement la combinaison émetteur/récepteur en cause et de mémoriser la positon du défaut par rapport au début du créneau.
On va maintenant décrire le fonctionnement de l'appareil en regard des différents organigrammes représentés sur les figures 5a à 5e.
Comme cela est représenté sur la figure 5a, après mise sous tension du dispositif, on procède à une phase dite d'initialisation (étape 200).
Plus précisément, cette première phase d'initialisation consiste, après initialisation des registres et remise à zéro des mémoires de travail et de visualisation, à procéder au chargement, notamment des combinaisons possibles mémoriser dans une mémoire ROM, et des paramètres variables (origine, largeur, gain) sauvegardés dans la mémoire RAM secourue.
Ultérieurement, après l'étape 200, on opère cycliquement une surveillance d'une intervention sur le pupitre du dispositif, par un opérateur, comme cela est représenté à l'étape 201.
Lorsque l'opérateur intervient on opère une première interrogation 210 d'intervention sur le boutonpoussoir de remise à zéro manuelle.
Dans l'affirmative, on mémorise à l'étape 211 la volonté de l'opérateur de procéder à une remise à zzro de l'alarme sur commande manuelle.
Dans la négative on passe à la seconde interrogation représentée à l'étape 212.
Celle-ci correspond à une surveillance d'une intervention sur le bouton-poussoir de remise à zéro autorllatìqun.
Dans ''affirmative; on mémorise à l'étape 213 le souhait de l'opérateur de procéder à une remise à zéro automatique temporisée des alarmes, au bout de quelques secondes.
Dans la négative, on passe à l'étape d'interrogation 214 correspondant à une surveillance d'une intervention sur le bouton-poussoir étalonnage.
Dans l'affirmative, on passe à l'étape 220 consistant en une remise à zéro des alarmes et visualisations antérieures de paramètres, à une visualisation du mode de fonctionnement en étalonnage, et-en un saut à l'organigramme d'étalonnage représenté sur la figure 5e.
Dans la négative, on passe à l'étape d'interrogation suivante référencée 215.
Cette étape consiste en une surveillance d'une intexventiOII sur le bouton-poussoir correspondant à une demande de visualisation sur l'écran 150 précité.
Dans l'affirmative, on procède à une mise sous tension des moyens de visualisation 150, avec temporisation, à l'étape 216.
Dans la négative, on passe à l'étape d'interrogation 217 correspondant à une surveillance d'une intervention sur le bouton-poussoir de fonctionnement manuel.
Dans l'affirmative, on passe à l'étape 230 correspondant à une remise à zéro des alarmes et des visualisation antérieures de paramètres, à une visualisation du mode de fonctionnement en manuel, et à un saut à l'organigramme de fonctionnement manuel représenté sur la figure 5b.
Dans la négative, on passe à l'étape 218 correspondant à une surveillance du bouton-poussoir de mode de fonctionnement en automatique.
Dans l'affirmative, on passe à l'étape 260 consistant en une remise à zéro des alarmes et des visualisations antérieures de paramètres, à une visualisation du mode de fonctionnement en automatique, et en un saut à l'organigramme de fonctionnement automatique représenté sur la figure 5c.
On va maintenant décrire l'organigramme représenté sur la figure 5b correspondant an mode de fonctionnement manuel qui suit l'étape 23G.
Lorsque l'opérateur requiert un tel mode on opère une vérification d'un appel sur le pupitre, en 231, avec retour le cas échéant à l'étape 210. Dans la négative on procède à une première interrogation 232 déter- minant si l'opérateur choisit ou non une céramique en émetteur QE.
Si Oui,on visualise celui-ci en 233 avant de passer à l'étape ultérieure 236.
Si Non, on procède à une seconde interrogation 234 correspondant au choix du récepteur QR, qui conduit si la réponse à cette question est positive à l'étape 235 de visualisation de la céramique en récpeteur correspondant à l'appel du clavier 180.
L'étape 236 suivante détermine si le couple émetteur/récepteur ainsi choisi est valide ou non, c'est d-dire si ces éléments appartiennent à un même groupe (sont disposés sur une même rangée selon l'exemple précédent)
Dans la négative, on opère une mise à zéro, à l'étape 237 de la visualisation des informations origine, largeur du créneau temporel et gain de référence pralablement définis, le couple émetteur / récepteur étant quant à lui constamment visualise.
L'étape 237 est suivie d'une étape 244.
Dans le cas où le choix est déterminé valide à l'étape 236, Q autorise le reglage en cascade de l'origine du créneau temporel, de la largeur de celui-ci et du gain de référence considéré, aux étapes respectives 238, 239 et 240.
Dans le cas où aucun réglage n'est requis, on saute à l'étape 243 suivante.
Dans le cas où lgun des réglages précités est requis, on procède à un appel clavier à l'étape 241, pour proeder à la modification du paramètre choisi.
La valeur retenue est alors visualisée à leéta- pe 242 qui est suivie de l'étape 244.
De même, dans le cas où la visualisation d'un écho sur l'écran 150 est requise en 243 on procède à cette visualisation en 242.
Les étapes 237, 242, 23 précitées sont suivies d'une étape 244 appel mesure (étapes 280 à 284) qui sera décrite plus en détail par la suite en regard de la figure 5d, avec retour ultérieur à l'étape 231 précitée.
On va maintenant décrire le sous programme qui suit l'étape 260 correspondant au mode de fonctionnement en automatique, représenté sur la figure 5c.
La première étape représentée en 261 consiste a détecter des interventions éventuelles sur le pupitre, avec retour dans l'affirmative à l'étape 210 précitée.
Dans la négative, le premier couple d'éléments émetteurs-récepteurs ER est alors positionné à l'étape 262.
Après un tel positionnement, on réalise un appel mesure à l'étape 263, conformément au sous programme (étapes 280 à 284) représenté sur la figure 5d.
A la fin de cette étape 263 on procède à une interrogation en 264, visant à déterminer si la séquence de phases émission / réception est terminée ou non.
Dans la négative, on procède en 265 au positionnement du couple suivant, avant de réitérer l'étape 263 correspondant au sous programme de mesure.
Dans l'affirmative, c'est-à-dire si la séquence est terminée, on procède en 266 au positionnement de l'élément référencé 40 sur la figure 3 qui a pour but de vérifier la présence du-liquide de couplage, à l'étape 267, en réalisant là encore un appel mesure.
Dans le cas où cet élément 40 ne détecte pas d'écho ce qui signifie l'absence de liquide de couplage on visualise une alarme à l'étape 268, et l'on reboucle le sous programme de fonctionnement en automatique au niveau de l'étape 261 d'appel pupitre.
En fonctionnement automatique l'opérateur se contente de vérifier que les moyens de visualisation 180 sont bien éteints. De tels moyens 180 peuvent être formés par exemple d'une matrice de diodes électroluminescentes.
Lorsque les moyens 180 visualisent la détection d'un défaut par un couple d'élémentsER déterminé, l'opérateur peut revenir en arrière, en mode manuel, en réexplorant la pièce plus minutieusement, à l'aide dudit couple déterminé, et en visualisant l'écho sur l'écran 150 de façon classique.
On va maintenant décrire le sous programme de mesure représenté sur la figure 5d.
La première étape de ce sous-programme consiste à opérer un chargement de l'origine, de largeur et du gain du créneau d'écoute considéré.
On procède alors à l'étape 280 à une excitation d'un élément et à une attente, pendant un temps déterminé, par exemple de l'ordre de 250 microsecondes, avant de procéder à l'étape 281 à l'analyse de la réception ou non dsun écho valide (comparaison avec un créneau temporel et une valeur de référence d'amplitude).
Dans 11 affirmative, on procède à étape 282 à une mémorisation de l'instant d'apparition de l'écho par rapport à l'origine du créneau d'écoute, à une visualisation de l'alarme et à une remise à zéro de la temporisation dans le cas d'une commande de remise à zéro automatique.
Lorsqu'aucun écho valide n'est reçu, on procède à une interrogation en 283 afin de déterminer si l'opérateur a requis une remise à zéro automatique de l'alarme ou non
Dans la négative, on retourne au programme général.
Dans l'affirmative, on procède à la remise à zéro d'une éventuelle alarme antérieure, en fin de temporisation, à l'étape 284, avant d'opérer là encore un retour au programme général
On va maintenant décrire le sous programme d'étalonnage représenté sur la figure 5e, qui suit l'étape 220 précitée.
De préférence, ce sous programme est réalisé à l'aide du dixième élément référencé 40 sur la figure 3, qui est utilisé soit pour vérifier la présence du liquide de couplage, soit sur une sortie séparée pour un fonctionnement manuel avec palpeur unitaire.
Dans un premier temps, on procède à l'étape 221 au positionnement d'un premier créneau d'écoute de cet élément.
On procède alors à l'étape 222 à une excitation de celui-ci.
A l'étape suivante 223 on vérifie si l'écho est valide ou non.
Dans la négative, on procède à l'étape 224 à une remise à zéro de la visualisation de l'écho, ainsi qu'une visualisation des éléments émetteurs QE et récepteurs QR considérés.
Enfin, à l'étape 225 on vérifie si les conditions d'exploitation ont été modifiées par l'opérateur, par un appel pupitre. Si oui on part à l'étape 210 précitée.
Si non on reboucle au niveau de l'étape 222.
Lorsque l'écho valide est déterminé à l'étape d'interrogation 223, on opère une seconde interrogation à l'étape 226 afin de déterminer si le créneau d'écoute considéré est le premier créneau
Dans l'affirmative, on procède à l'étape 227 au positionnement du second créneau avant de réitérer l'étape précitée 225 (appel pupitre).
Lorsque le résultat de l'interrogation 226 est négatif, ce qui signifie que la mesure aura été réalisée pour les deux créneaux, et suivie d'un écho valide, on procède à l'étape 228 au calcul de la différence existant entre la réception des deux créneaux, et une visualisation.
Un tel sous-programme d'étalonnage est utilisé pour procéder au réglage de la base de temps ajustable 160 préalablement définie en regard des figures 3 et 4a.
A titre d'exemple, on peut utiliser une cale étalon de forme hémi-cylindrique, déterminant de par ses dimensions connues, un retard étalon entre les échos successifs parvenant à l'élément récepteur, dûs aux différentes réflexions intervenant sur les interfaces cylindriques ou plane de la cale précitée.
On va donner à titre d'exemple non limitatif dans le tableau c,.-dessous, différents paramètres d'utilisation de l'ensemble d'éléments représentés sur la figure 1, dans un mode particulier d'utilisation co.rrespoiadant au contrôle d'une soudure bout à bout de deux tôles 3 et 4 de 30 mm d'épaisseur, la plus grande largeur de la soudure 5, au niveau des surfaces des tôles, étant de 30 mm et la plus petite largeur, au centre de la soudure, étant de de 5 mm.
Figure img00250001
<tb>
Référence <SEP> Angle <SEP> # <SEP> <SEP> Distance <SEP> L <SEP> au <SEP> début <SEP> largeur
<tb> élément <SEP> inclinaison <SEP> plan <SEP> S-S <SEP> de <SEP> la <SEP> créneau <SEP> écoute
<tb> <SEP> en <SEP> degrés <SEP> soudure <SEP> en <SEP> mm <SEP> en <SEP> mm <SEP> en <SEP> mm
<tb> <SEP> 11 <SEP> 70,7 <SEP> 57 <SEP> 45 <SEP> 30
<tb> <SEP> 12 <SEP> 65,9 <SEP> 85 <SEP> 82 <SEP> 10
<tb> <SEP> 13 <SEP> 71,1 <SEP> 117 <SEP> 116 <SEP> 20
<tb> <SEP> 21 <SEP> 63,4 <SEP> 60 <SEP> 50 <SEP> 20
<tb> <SEP> 22 <SEP> 60 <SEP> 90 <SEP> 85 <SEP> 20
<tb> <SEP> 23 <SEP> 63,9 <SEP> 122 <SEP> 120 <SEP> 18
<tb> <SEP> 31 <SEP> 67,9 <SEP> 59 <SEP> 45 <SEP> 15
<tb> <SEP> 32 <SEP> 69,4 <SEP> 89 <SEP> 85 <SEP> 15
<tb> <SEP> 33 <SEP> 70 <SEP> 117 <SEP> 115 <SEP> 23
<tb>
Des essais réalisés à l'aide d'un appareil conforme à l'invention ont montré que l'opération de recher- che des défauts est très sensiblement améliorée par rapport aux operations utilisant les systèmes antérieurs, sur les plans de la rapide et du confort. I1 suffit, en effet, selon l'invention, d'effectuer une simple translation du dispositif parallèlement à la zone à contrôler et de s'assurer de l'absence d'alarme, sans avoir à observer en permanence l'écran d'un oscilloscope.
La fiabilité et la sensibilité de cette recherche sont elles aussi grandement améliorées notamment vis-à-vis des défauts mal orientés, par la possibilité de prendre en compte dans les créneaux d'écoute des échos reçus par des traducteurs non émetteurs.
D'autre part, associé à une source d'alimentation autonome, le dispositif conforme à la présente invention constitue un ensemble portatif.
Bien entendu, la présente invention n'est pas limitée au mode de-réalisation qui vient d'être décrit, à partir duquel on pourrait envisager de nombreuses variantes conformes à l'esprit de l'invention.
La structure de la matrice représentée et décrite, en particulier, ne doit pas être considérée comme limitative. On pourra par exemple scinder chaque groupe, si nécessaire, en deux sous-groupes disposés respectivement de part et d'autre de la zone à contrôler, telle que la soudure.

Claims (19)

REVENDICATIONS
1. Procédé de contrôle d'une pièce métallique par ultrasons, en particulier pour le contrôle d'une soudure, consistant a) à déplacer sur la pièce, selon une direction de trans
lation déterminée, au moins un groupe d'éléments
émetteurs-récepteurs (ER) d'ultrasons répartis et
orientés en fonction du contrôle à réaliser, les
directions d'émission respectives des éléments étant
choisies de façon à répartir l'émission dans un
volume déterminé à contrôler de la pièce, b) à définir pour les éléments émetteurs-récepteurs (ER)
des séquences de phases d'émission et de réception, c) à traiter les informations délivrées en phase de
réception par les éléments, pour en déduire la pré
sence éventuelle de défauts dans la pièce, caractérisé par le fait que lgétape b) consiste pour chaque groupe i) à alimenter successivement chacun des éléments de
ce groupe (11, 12, 13), afin de rendre-ceux-ci
émetteurs et, entre deux phases d'émission succes
sives, ii; à rendre récepteur, dans un ordre choisi, le dernier
éliment émetteur ainsi que les éléments n'ayant pas
été encore portés à l'état émetteur (11, 12, 13
12, 13 ; 13), et iii) à réitérer le cycle défini par les étapes i) et ii)
lors du déplacement des éléments sur la pièce.
2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé par le fait que l'étape c) de traitement consiste à comparer d'une part l'instant de détection d'un écho par un élément récepteur (ER), avec un créneau temporel d'écoute défini par rapport à l'instant démission antérieur, d'autre part l'amplitude de l'écho détecté avec une valeur de référence, et à signaler la présence d'un défaut lorsque l'amplitude détectée est supérieure à la valeur de référence et que l'écho est détecté dans ledit créneau temporel.
3. Procédé selon la revendication 2, caractérisé par le fait que plusieurs créneaux d'écoute séparés sont prévus pour certains au moins des éléments.
4. Procédé selon l'une des revendications 2 et 3, caractérisé par le fait qu'il comprend une phase initiale d'étalonnage au cours de laquelle on utilise un élément de référence présentant un défaut de caractéristiques connues, pour déterminer les amplitudes de la comparaison prises en compte lors de l'étape de traitement c).
5. Procédé selon l'une des revendications 2 à 4, caractérisé par le fait qu'il comprend une phase préalable d'étalonnage au cours de laquelle on utilise une cale de référence de dimensions connues, par exemple hémi-cylindrique et réalisée dans le même matériau que la pièce à contrôler, pour adapter l'analyse à la vitesse des ondes ultrasonores dans le matériau de la pièce à contrôler.
6. Procédé selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisé par le fait que la vitesse de déplacement des éléments sur la pièce est déterminée par rapport à la durée d'un cycle complet défini par les étapes i) et ii) de telle sorte que pour chacun de ces cycles, les différents éléments émetteurs explorent l'ensemble de la zone à contrôler.
7. Procédé selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisé par le fait qu'il comprend l'étape supplémentaire consistant après détection d'un défaut lors de l'étape de traitement c) à explorer minitieusement la pièce en n'utilisant que le couple élément émetteur / élément récepteur (ER) ayant détecté ledit défaut afin de localiser précisément celui-ci dans la pièce (1).
8. Procédé selon l'une des revendications 1 à 7, caractérisé par le fait qu'il comprend en outre une étape consistant à vérifier, à l'aide d'un élément émetteur/récepteur d'ultrasons, la présence d'un film de liquide de couplage entre ledit groupe d'éléments émetteurs / récepteurs et la pièce à contrôler
9.Dispositif pour la-mise en oeuvre du procédé selon l'une des revendications 1 à 8, caractérisé par le fait qu'il comprend - un ensemble d'éléments émetteurs-récepteurs (ER) dont
les directions d'émission respectives sont choisies de
façon à répartir l'émission dans un volume déterminé
à contrôler, de la pièce, - un multiplexeur (110) qui alimente successivement les
différents éléments, - une unité centrale (100) qui contrôle le multiplexeur
et définit la séquence d'alimentation des éléments, des moyens d'analyse (120) aptes à traiter les infor
mations,délisrdes par les éléments en phase réception,
et - des moyens de visualisation (180) de la détection d'un
défaut dans la pièce.
10. Dispositif selon la revendication 9, carac térisé par le fait que l'ensemble d'éléments émetteursrécepteurs (ER) est une matrice d'éléments.
11. Dispositif selon l'une des revendications 9 ou 10, caractérisé par le fait qu'il comprend en outre un élément émetteur-récepteux auxiliaire (40) apte à vérifier l'existence d'un film de liquide de couplage entre l'ensemble d'éléments émetteurs-récepteurs (ER) et la pièce métallique (1).
12. Dispositif selon l'une des revendications 9 à 11, caractérisé par le fait que les moyens d'analyse (120) sont commandés par un amplificateur à gain programmable (140) reliés aux éléments émetteurs-récepteurs (ER) par l'intermédiaire d'un multiplexeur (110) et par le fait que le gain de l'amplificateur est contrôlé par l'unité centrale (100) en fonction de chaque couple élément émetteur / élément récepteur considéré.
13. Dispositif selon l'une des revendications 9 à 12, caractérisé par le fait qu'il comprend en outre un clavier (180) permettant à un opérateur de définir à volonté un créneau temporel et une valeur de référence d'amplitude pris en compte pour établir l'existence d'un défaut dans la pièce, par rapport auxquels un écho reçu est comparé.
14. Dispositif selon l'une des revendications 9 à 13, caractérisé par lofait que les moyens d'analyse (120) comprennent - un premier compteur (122) qui détermine un retard, à
compter de l'émission émanant d'un élément émetteur
pour définir l'origine d'un créneau temporel d'écoute,
pendant lequel un écho peut être assimilé à un défaut, un second compteur (123) qui définit la durée du
créneau temporel; et - un troisième compteur (124) qui détermine le retard
d'un écho détecté par rapport à l'origine du créneau
temporel d'écoute si cet écho dépasse le seuil d'am
plitude programmé.
15. Dispositif selon la revendication 14, caractérisé par le fait que les compteurs (122, 123, 124) sont commandés par une horloge réglable (160) en fonction de la célérité des ondes ultra sonores dans le matériau à contrôler.
16. Dispositif selon la revendication 15, caractérisé par le fait que l'horloge (160) est réglée lors d'une phase d'étalonnage au cours de laquelle on utilise une cale de référence, telle qu'une cale hémi-cylindrique.
17. Dispositif selon la revendication 13, caractérisé par le fait que le clavier (180) est adapté en outre pour permettre à l'opérateur de choisir un élément émetteur et un élément récepteur.
18. Dispositif selon l'une des revendications 9 à 17, caractérisé par le fait qu'il comprend également un écran (150) apte à visualiser simultanément le créneau temporel et l'allure de l'écho reçu.
19. Dispositif selon l'une des revendications 9 à 18, caractérisé par le fait que les moyens de visualisation (1S0) sont adaptés pour indiquer le couple élément émetteur / élément récepteur utilisé lors de la détection d'un défaut.
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