FR2522346A2 - Fixations pour composants beton - Google Patents

Abstract

L'INVENTION PRESENTE DES VARIANTES A PARTIR DU MODELE DE FIXATIONS POUR COMPOSANTS EN BETON, PATTE DEPLIABLE MUNIE D'UN FOURREAU POUR CLOU OU VIS, QUI, SOIT PERMETTENT UNE IMMOBILISATION DE MANIERE INDIVIDUELLE DE LA PATTE APRES DEPLIAGE, SOIT S'ADAPTANT AUX CONDITIONS FAVORABLES RESIDANT DANS LA POSITION DE LA FIXATION SONT DISPENSEES D'IMMOBILISATION - SUSPENSION D'UN RAIL POUR PLAFOND SUSPENDU -, SOIT AU CONTRAIRE S'ADAPTANT A DES CONDITIONS DEFAVORABLES RESIDANT DANS LA FORME DE L'ELEMENT A FIXER SONT TENUES A UNE IMMOBILISATION MUTUELLE DE DEUX PATTES - FORMATION D'UN APPUI A PARTIR D'UNE PAIRE POUR RECEVOIR UN DOUBLAGE. ELLE CONCERNE EGALEMENT LES PROCEDES CORRESPONDANT A CES VARIANTES.

Description

La demande de certificat d'addition présente fait suite au brevet 80 04051 et à srr divers certificats d'addition et doit être rattachée à ce brevet.

L'invention a pour objet differentes pattes conçues pour être incorporées à des oomposantes en béton, puis dépliées pour fixer divers éléments.

Ce pattes peuvent Store classées en trois catégories:
- pattes étant bloquées individuellement après dépliage
- pattes réglables pour plafonds à ossature métallique.

- pattes formant tablette d'appui et de fixation.

La première catégorie est la plus nombreuse. Bulle regroupe:
- pattes bloquées dans un seul sens
- pattes bloquées dans les deux sens.

Toutes ces pattes pouvant ou non être bloquées dans des positions réglables.

La patte représentée figure 1 comporte une languette se détachant de la partie centrale de la patte en se pliant autour d'un axe parallèle à l'arête du retour en équerre et situé à proximité de l'extrémité de celle-gi, et se soulevant à partir de son extré- mité propre qui se situe de l'autre côté par rapport à l'arête du retour en équerre.

La languette se déplie avant la patte et se place dans une encoche appartenant à l'extrémité non dépliée de la patte.

L'encoche appartient éventuellement à une succession d'encoches permettant un choix de positions pour la patte et dono un réglage discontinu.

L'encoche, dans une autre formule, est remplacée par un fourreau cylindrique vide, l'extrémité d. la languette comporte un clou lui même guidé dans un fourreau. Le clou est enfoncé dans le fourreau fixe appartenant à la partie de la patte non dépliée.

ainsi, la patte est bloquée dans les deux sens. Bulle est reprdsen- tée figure 9.

La patte représentée figures 3 et 4, comporte des ailettes latérales qui sont dépliées après dépliage de la patte. Ces ailettes bloquent l'angle. Elles peuvent être situées de part et d'autre du plan de la patte après dépliage de façon à bloquer celle-çi dans les deux sens.

La patte représentée figure 5, constitue le fond d'un prisme, de section triangulaire, lorsque celui-çi apparat enfoncé dans le béton La patte, elle même constituant le fond, a une forme classique soit réctangulaire. Son extrémité est à la surface du béton. Blle est dépliée jusqu'à buter oontre le bord du creux que forme le prisme.

La figure 6 représente une patte comportant une nervure dépassant légèrement du béton et interrompue par une section en général perpendiculaire au plan de la patte, et une partie ancrée elle même présentant une nervure identique, dont la section apparatt au nu du béton. La patte est dépliée jusqu'à buter, o'ext- à-dire Jusqu'à reconstitution d'une nervure continue.

La figure 7 montre comment les pios utilisés pour maintenir la patte peuvent être utilisés pour bloquer l'angle qu'elle fait avec son support.

'La figure 8 montre comment ce même angle peut outre immobilisé dans les deux sens à l'aide d'une entretoise repliée en deux segmentes sous la patte et trouvant sa rigidité après dépliage par reconstitution d'une nervure.

La figure 13 reprisent une patte double dont une moitié se sépare à mi-longueur. Cette patte présente l'avantage d. pouvoir être bloquée individuellement par rapport au tasseau tout en étant réglable. Le sens de dépliage de la moitié libre peut outre inversé, l'extrémité de celle-çi étant plus proche du pied de la patte double que son origine.

La figure 14 représente une patte dont les axes des fourreaux ne sont pas parallèles au pied de la patte. Ils sont en général symétriques par rapport à l'axe de la patte. L'avantage que présente cette patte est le momie que celui de la patte précédente.

XeB figures 20 et 21 représentent des pattes pour supporter des rails métalliques formant l'ossature de plafonds suspendus. Elles sont en forme de Y renversé, le tronc oommun étant dégagé d'une des deux branches lors du dépliage. Les extrémités de celle-çi comportent des lumières orientées transversalement par rapport à la patte ce qui permet une plage de réglage selon cette direction.

Sur la figure 20, l'angle entre les deux branches eet bloqué par une languette solidaire d'une branche et s'enfilant dans l'autre de la longueur souhaitée.

La languette traverse une lumière adéquate. Elle est bloquée immssdiat- ement après avoir traversé la lumière, par une lame située dans le plan de la branche traversée, qui force sur elle jusqu'à ce qu'il y ait coincement et formation d'un cran dans le métal.

L'action de la lame sur la languette est due au fait que cette dernière fait obstacle à la progression de la lame dans deux coulisses dont la direction de guidage n'est pas parallèle au bord de la lame.

Sur la figure 21, l'angle entre les deux branches du Y est bloqué grâce à une entretoise de longueur constante s'interposant entre celles gi à un niveau variable par rapport à la longueur des branches. Lt entretoise est au repos plate. Lorequ'elle est placée entre les branches, ses extrémités ne pouvant tourner par rapport à celle-oi, elle prend la forme d'un arc de cercle. Cependant, gracie à son effet de ressort elle bloque la position de ses extrémités sur les branches.Adifferenteo positions de l'entretoise correspondent differentes ouvertures de l' angle.

La figure 22 illustre une patte siamoise comortant une partie commune prolongée par deux pattes orientables librement autour d'un axe paral lèle au pied de la patte.

La figure 23 illustre deux pattes formant un même ensemble qui, après dépliage forme une tablette, en général parallèle au support sur lequel on peut fixer l'élément prévu à cet effet. L'avantage d'un tel système vaut pour la fixation de doublage sans utilisation de tasseau ou profilé intermédiaire.

Chaque patte comporte deux segments le deuxième étant replié sur le premier. Les pliages, de mOrne que les pieds dee pattes sont parallèles à une même direction.

Une patte comporte à son extrémité un clou et des lumières dans la zone de pliage au ras du support.

L'autre patte comporte des créneaux à son extrémité. La zone de pliage est moins large que la patte.

Pour former une tablette d'appui et de fixation, il convient tout d'abord de soulever le premier segment des deux pattes, puis de soulever le segment ancré dans le support de façon à introduire les créneaux d'extrémité d'une patte dans les lumières du pied de l'autre patte.

Ensuite, l'extrémité de cette dernière patte, pourvue d'un clou et en forme de U, vient enserrer la zone de pliage, plus étroite, de l'autre patte. Le clou est enfoncé sous l'angle de pliage et dans le fourreau de l'autre branche du U.

Par la suite, il est facile de fixer un doublage sur la tablette avec des vis auto-perforantes. L'interêt final du système étant de faire apparattre un vide entre le gros-oeuvre et le doublage pour, en principe, y loger l'isolant.

Pour les pattes destinées à la fixation de plafond suspendu sur rail métallique, il convient d'observer, oes pattes étant en forme de Y renversé après dépliage, que l'angle entre les deux branches du Y est automatiquement bloqué si les extrémités des branches sont bloques sur le rail. Ce dernier est supporté par des petites plaques qui sont enfilées sur la tête du rail. Leur encoche a la forme réciproque de cette dernière;elles sont perpendiculaires au rail. Une modification de cette orientation par rapport au rail entrains un coincement et un blocage de leur position.

Ceci peut outre obtenu par un levier qui les fait basculer jusqu' au coincement. Ce levier peut exercer son action gracie, en particulier, au fait que son extrémité est accrochée à la patte. Le poids du rail et du plafond entraînent la mise en biais de la plaque enserrant la tête du rail, le coincement et le blocage de l'angle entre les deux branches du Y, donc fixe la position du plafond.

On peut envisager un fourreau conique à l'extrémité des pattes, le clou n'étant enfoncé qu'en partie.

Claims (13)

RIVIlDICÂTIOlS

1. Patte, selon l'invention, double, plate, caractérisée en ce qu'elle comporte une partie distincte par rapport au corps de la patte, rattachée à ce dernier par une section affaiblie par rapport à celles de la parte et de la partie qui s'y rattache, de manière à être facilement dépliable.

2. Patte selon la revendication 1, caractérisée en ce que la partie dépliable, à son extrémité, comporte un fourreau pouvant accueillir un clou, la partie fixe également.

3. Patte selon la revendication 1, caractérisée en ce qu'elle comporte, repliée en deux segments l'un recouvrant l'autre, plaquée sous son plan dans sa partie centrale, une bande comportant une nervure sectionnée exactement au niveau du pli entre les deux segments, prolongée par un retour en équerre.

4. Patte selon l'invention de base, caractérisée en ce que les cités autres que celui d'extrémité muni du. fourreau, comportent des rebord allant en se retréoissant pour s'annuler à l'extrémité.

5. Patte double selon la revendication 1, caractérisée en ce que la section affaiblie se situe au niveau de la base des branches formant le U.

6. Paire de pattes doubles caractérisée en ce qu'elle sont constituées chacune de deux segments, que tous leurs axes de pliage sont parallèles, en ce qu'elles sont placées en vis à vis l'une par rapport à l'autre;la première patte comportant un pied retré oi, la seconde comportant une zone de pliage entre les deux segments retréois;le partie retrécies étant de largeur inférieure à l'intervalle central d'extrémité des pattes doubles.

7. Paire de pattes selon la revendication6 , caractérisée en ce que le pied de la première patte n'est pas retréci mais comporte des fentes et en ce que l'extrémité de la deuxième patte se termine en créneaux.

8. Curseur caractérisé en ce qu'il est constitué d'une petite plaque comportant à une extrémité une encoche dont la plus grande largeur, selon la direction du bord de la plaque n'est pas situa sur celui-ci et à l'autre extrémité, un levier pouvant être un retour en équerre de la plaque, muni à son extrémité propre d'un crochet.

9. Entretoise caractérisée en ce qu'elle est oonstituée d'une plaque d'élastomère doublée de renforts élastique comportant quatre fentes, identiques, parallèles, aux quatre coin d'un rec- tangle dont elles figurent les extrémités de deux côtés opposés, pourvues de bords à angle vif.

10. Procédé caractérisé en ce qu'il consiste, en premier lieu, à déplier les éléments dépliables appartenant aux pattes, languette, entretoise, ailettes, pattes, jusqu'en butée puis le cas échéant, à enfoncer un clou traversant à la fois les fourreaux des éléments dépliables et aes éléments fixes de la patte pour bloquer l'ensemble.

11. Procédé de mise en place de plafond suspendu sous un plancher en béton, caractérisé en ce qu'il consiste à déplier et à plier les pattes apparaissant au nu du béton jusqu'à ce qu'elles prennent la forme de Y renversé, puis à aoorooher sous ces pattes décrites à la revendication 5, des curseurs tels que décrits à la revendication 8, préalablement enfilés sur des rails métallique, à ouvrir ou à fermer l'angle entre les branches du Y jusqu'à ce que le rail soit dans la position souhaitée.

12. Procédé de mise en place de plafonds suspendus sous un plancher en béton, selon la revendioation 11, caractérisé en ce que les curseurs n'étant pas munis de leviers, l'ouverture de l'angle entre les branches du Y est déterminée par la position le long de ces branches de l'entretoise décrite à la revendication 9, dont les extrémités peuvent coulisser et se bloquer dans la position sou- haitée en particulier selon la figure 22.

13. Procédé de constitution d'une tablette d'appui ou de fixation à partir d'une paire de pattes, caractérisé en ce qu'il consiste à déplier les deux pattes formant la paire décrite à l'une guelcon que des revendications 6 et 7, k enfiler l'extrémité de la pre- mière patte dans le pied de la seconde, à utiliser les moyens dont cette extrémité est pourvue pour oter à la patte la possi- bilité de se retirer, puis à placer les fourreaux de la seconde patte double en forme de U de chaque côté de la zone de pliage rétrécie de la première patte et à enfoncer un clou dans ceux - çi,lequel passe dessus l'angle de pliage de cette première patte.