FR2502740A1 - Dispositif electrique pour detection des fuites d'eau - Google Patents

Abstract

L'INVENTION CONCERNE UN DISPOSITIF CAPABLE DE DETECTER ET DE LOCALISER LES FUITES D'EAU AUX ENDROITS NON VISIBLES. IL COMPREND: UNE NAPPE IMPERMEABILISEE 1, EMULSIONNEE D'UNE SUBSTANCE HYDROLISANTE 2, DEUX FEUILLES METALLIQUES 3 ETALEES SUR LA NAPPE 1, INATTAQUABLES PAR LA SUBSTANCE, UNE TOILE 4 POUVANT ABSORBER L'EAU, NON HYDROFUGEE, RECOUVRE L'ENSEMBLE. DEUX BORNES DE CONTACT 6 "SOUDEES" AUX FEUILLES METALLIQUES 3, UN DOUBLE CONDUCTEUR 7 Y EST BRANCHE, RELIE A UNE SOURCE DE COURANT DE 12 VOLTS QUI COMMANDE UNE ALARME. L'EAU QUI PENETRE DISSOCIE LA SUBSTANCE 2, LE CIRCUIT EST FERME ENTRE LES DEUX FEUILLES METALLIQUES 3, L'ALARME EST DONNEE. IL OFFRE DE MULTIPLES UTILISATIONS, LES PLUS INTERESSANTES: DETECTER LES FUITES DES POSTES D'EAU ENCASTRES (HOTELS, IMMEUBLES, ETC.), DECLENCHER CERTAINS MECANISMES DE FERMETURE POUR PROTEGER LES LIEUX DEVANT ETRE AERES MAIS CRAIGNANT L'EAU, PREVENIR DES INONDATIONS DES CAVES, DES GRENIERS.

Description

La présente invention concerne l'idée de créer un dispositif pour dé-

tecter les différentes faites d'eau sur certains postes d'eau non accessi-

ble, ainsi que les inondations accidentelles des caves et des greniers.

A ma connaissance il n'y a pas de système connu qui puisse prévenir d'une fuite d'eau à sa naissance, par exemple z la fuite d'un siphon en-

castré est aperçue lorsque l'eau a pénétré le sol et traversé le flafond.

Le dispositif, selon les expériences que j'ai réalisées, permet d'éviter ces inconvénients. Il est posé sous le poste d'eau susceptible

d'avoir une fuite, grace à un système d'alarme, il prévient du commence-

IO ment de la fuite à son plus juste endroit.

Le dispositif selon l'invention est réalisé à partir de la théorie de la dissociation électrolytique et des éléments connus suivants a une toile de tissus, ou autre matière, hydrofugée et émulsionnée d'un côté

par une substance hydrolisante (ex. Na C1), sur laquelle sont posées paral-

I5 lèlement deux feuilles métalliques fines et souples, inattaquables par la substance, distancées de deux-trois cm environ. Les fiches d'un conducteur

électrique sont " soudées " sur chaque partie métallique. Une deuxième toi-

le de tissus, ou autre matière, simple et non hydrofugée recouvre cet en-

semble, si la matière utilisée est rigide la nappe doit être perfore pour

aérer et laisser pénétrer l'eau. Nous oonstituons ainsi un rupteur peraa-

nent d'un circuit électrique. Le circuit électrique est alimenté par une

source de courant de 6 à I2 volts et un système d'alarme est branché.

Dès que l'eau d'une fuite pénètre dans le dispositif, la substance hydrolisante se dissocie et sert de conducteur (théorie des électrolytes), le liquide contacte les feuilles métalliques et ferme le circuit, l'alarme

est donnée. A l'aide d'un interrupteur ordinaire et apparent on peut étein-

dre le circuit après avoir été prévenu pour procéder aux réparations occa-

sionnées par la fuite.

L'ensemble du dispositif selon l'invention peut être indépendant du réseau électrique grâce à la fixation de chaque contacteur à la fiche du

conducteur correspondant par un système de bouton-pression, ainsi le dis-

positif est rechargeable après usage.

Le dispositif objet de l'invention peut être utilisé dans tous les cas o une eau " dépasse les bornes ", pour détecter les fuites des postes

d'eau non contrôlables à cause de leur placement. On peut d'avance instal-

ler le dispositif sous une toiture à construire ou sous toute autre cons-

truction susceptible d'avoir des fuites d'eau dans l'avenir. On peut aussi

placer le dispositif dans un Jardin afin d'être averti en caa de commence-

ou op uTZe enw pu^xeq jeu emleweoB i '9t[ouwq awue %se jTITsod0np el * Nuepuodoe.Xjoo ve;.uA etl suep 8.uea$%eue 4g '9 eeuoq eT 'I eI eAtIo.xdt MS 6 elweATOO el.enx; otl ettbmol * 9992w1m9m ju08 X Ttnt 991TAW 5ú xnep -ie" seoueq %uo8 ae '6 %unosT lozxeanoo el %1us"AU.r4 'L mteonpuoo seT '9 jouuoo op eo=oq op 4uge'e vqj4e0eq 0eo op oemnTfl9 e Z soTz4id et 'I e4j%eano-rdp, ep epT. el eMwp oeopuedomn %uoer oe '8 uoqoonoq el %ue0aX * 'ú. envtbTIitjm eellouml rneó -8 uoqonoq un a-ed eem=e; %e elle 4' uo0T%9w T =nod %e ' ntie,lI ep zoî *gu jI m'od sgeToxd sel eup pem O - o&edtne enoa% snep 'I eeAn=oxdp eun t puegdmoo ednoo ue uTOep el je4BA - Il0dpp ouzo; $mo (t - ú 3C 't'/Z e.qored) "sueupxd sue ut-nb Tel ZeATp ujueTdTo "p ep % e qTaTx p 4ep0 mnKaLq sep xze Sep tuBeproqpp np xTueapid %.e m.eIguoo mnod pe 'q.tn e.xj. %ined 'jueu -,muo;ouo; op edTeOU.:d seme sel Tne 'woTnjuoo o ep e.qT..Im SZ %0* oo0o e usp PTïJpom,%s uoadTp et i sOJu.XeA euxTnep emun uoTeS *L m.netejopuoo sep.uemottq eOl mod 49 oujouo ep eeuoq xnep op Ttu r e II eMTt nseTnow np ptUot joew rpaedp"opuT # "rTToIe1fTp eT Qiespe.de 'Z '0*T; 't/I eoqoutd uTsgop el *TMCTBe UT OU unip 4uemetouto oz -pp ol enboAo;d %je Tfuti ' etnb;leqpm 'etu$no; x,ep sel sjue Tno.ro elt VLIB.; ne am*-e4dfte,.dn. xouT ouoo lT tnb 'Z eouii. qne et elooeo:p %e eTq -eMeRUtI Mep exqtipd otnoo;nb nl 'te.xpup ue 'jçeodovp eo mn *z T;,; '1. ' brioeTp ame*onpuoo ep veueqoueq et rnod uoTsemezd-moq.noq I I9.oxuoo Bp aesuoq xnep awd pzeAm. %i SI t- - q-I tq ue,T *',eT ep uoTld.oeqeaT q eoqTuee e.r% 4,çoP elle 'oIq -uwuesT exAtntooe eopt;o.pq uou '.zi;j.e exns4p no 'j oj;ao ep eddu eoq -qMOp OUft Z eooujeqne T Tm eePMe 'ú mebTçtteqpu me tToe; mnep seo 'z eBustTo3p: eoeounqne w ep eqonoo eoun ' T.9eb jtAnt0d ojTp;qy ep od euu. ie.rde 4g ou e nb '.jeuqi exjenp no II en'on;xptq oeTo% ep eddu etmun OI t pue.xdoo 1:To!Tdp el (I 4:T; 't/I eitoueTd) P.ueqmpa q.e T,1nb tle, *eaToedsted( e,puea

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pas être impressionné par une autre eau que celle débordant du récipient.

On charge l'éprouvette I, avec la substance hydrolisante 2, avant utili-

sation. La mise en marche du dispositif est déclanchée selon le mécanisme

connu par la pénétration des eaux débordantes par le trou 4, dans l'éprou-

vette. Selon une troisième variante, le détecteur de fuites d'eau peut être po-tatif grâce à un dispositif spécial pouvant fonctionner indépendamment

du réseau électrique avec des piles électriques.

Il est conçu pour tester des installations récemment achevées, sans IO visibilité et d'accès difficile, comme par exemple: un siphon de receveur

de douche.

Tel qu'il est présenté (planche 3/4, fig. 6) sous forme de bottier, le dessin en perspective comprend: un bottier en plastique rigide I, son

couvercle 4, qui est perforé 5, pour la pénétration de l'eau et l'aération.

I5 Deux lamettes métalliques 3, sont fixées au travers d'un c8té du bottier I, les parties restant à l'intérieur sont à l'écart des paroies inférieures,

les parties restant à l'extérieur servent de bornes de contact 6.

La figure 5, planche 3/4, annexée représente un bottier 9, muni de deux

orifices métallisés 6a, dans lesquels s'encastrent les bornes de contact 6.

Les conducteurs 7, sont soudés à l'intérieur du bottier 9, sur chaque ori-

fice 6a, et branchés sur une pile (a), électrique de 4,5 volts. Un bras (b), est incorporé sur le bottier 9, sa longueur est de 50 cm environ, il est muni d'une lampe témoin en (c), de voltage égal à celui de la pile, et

d'une poignée (d). L'ensemble du dispositif fig. 5, s'adapte sur le dispo-

sitif fig. 6, de façon que le bottier 9, (couvercle) ferme hermétiquement les bornes 6. On charge avec la substance hydrolisante 2, avant utilisation, la mise en marche du dispositif est déclenchée par la pénétration de l'eau de la fuite, suivant le mécanisme connu l'alarme est donnée: la lampe (c),

témoin s'allume.

Selon une quatrième variante, le dispositif peut être constitué éga-

lement en matières rigides, sous des formes multiples et des dimensions

variables (carré, rectangle, rond, etc...).

Il est conçu pour prévenir du commencement d'une pluie, de l'inonda-

tion des parties sèches des petits bateaux et diverses autres utilisations.

Tel qu'il est représenté (planche 4/4, fig. 7) le dispositif comprend s

un bottier rigide en plastique I, son couvercle 4, perforé 5, pour la péné-

tration de l'eau et l'aération. Deux lamettes métalliques 3, un couvercle -4 -

plastique rigide 9, incorporé au dispositif, renferme les bornes de con-

tact 6, et le conducteur 7, soudé aux bornes 6. On charge le dispositif

avec la substance 2, avant utilisation, il fonctionne suivant le méca-

nisae connu.

Le dispositif, objet de l'invention, s'offre à de multiples modifi-

cations dans ses formes. Il peut être constitué avec des matières variées.

Les feuilles métalliques 3, planche I/4 fig. I, peuvent être perforées ou remplacées par un grillage métallique (de préférence en aluminium). Il

peut aussi fonctionner sans couvercle 4. Il est également possible d'ap-

IO pliquer la substance hydrolisante 2, sur les parties métalliques 3, de contact.

Il peut être utilisé dans tous les cas o il y a des risques de fui-

tes d'eau pouvant provoquer des dégâts.

Ses utilisations sont très diverses i prévenir d'une fuite d'un poste I5 d'eau, d'une toiture, de l'inondation des caves et des greniers. localiser une fuite d'eau de mer dans les parties sèches d'un petit bateau qui ne peut être équipé par les moyens utilisés pour les navires. Avertir du

débordement de l'eau d'un bassin, d'une rivière et de divers récipients.

Déclancher le fonctionnement de certains mécanismes de fermeture pour pro-

téger les lieux qui doivent être aérés mais qui craignent l'eau ou la pluie

(tels les trappes des granges, les auvents divers, les ouvertures des gre-

niers, etc...).

Des applications particulièrement intéressantes sont s l'installation du dispositif (planche I/4, fig. I) sous les sanitaires des salles de bains

dans les hôtels, les immeubles ou certaines usines.

C'est un dispositif de large diffusion par ses utilisations très va-

riées et également par son coût de revient convenable car les différentes

matières utilisées pour sa fabrication sont ordinaires.

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Claims (8)

1. REVENDICATIONS

   I. Le dispositif électrique pour la détection des fuites d'eau sous les postes d'eau non visibles et d'accès difficile, caractérisé par les moyens utilisés pour sa eonstitution (planehe I/4, fig. I) I une nappe en

   toile, en papier ou plastique (I) hydrofugée ou imperméabilisée, émulsion-

   née d'une substance hydrolisante (2) (exemple Na Ci). Sur la nappe (I) émulsionnée (2) est étalée une feuille métallique (3) fine et souple,

   sectionnée en deux parties distancées de deux-trois cm environ, inattaqua-

   ble par la substance hydrolisante. Cet ensemble est recouvert d'une toile,

   ou d'un papier, ou d'autre matière (4) non hydrofugée, sensible à l'absorp-

   tion de l'eau, pouvant à la rigueur être retirée avant utilisation. Deux bornes de contacteura métalliques (6) traversent l'ensemble de façon que

   chaque feuille métallique soit touchée par un contacteur (6).
2. 2. Le détecteur de fuites d'eau selon la revendication I, (planche I/4, fig. I) a comme principe la théorie de la dissociation électrolytique et est caractérisé en ce qu'un rupteur permanent fonctionne par une eau accidentelle d'une fuite qui ferme le circuit électrique entre les deux feuilles métalliques (3). AÀ l'aide de deux conducteurs (7) branchés sur

   une source de courant de 12 volts, un signal d'alarme est actionné (son-

   nette ou lumineux).
3. 3. Le détecteur de fuites d'eau selon les revendications I et 2,

   (planche I/4, fig. I et 2), caractérisé en ce qu'il est fabriqué en grande longueur et en différentes largeurs pouvant être ainsi sectionné, chaque

   partie constituant toujours un rupteur indépendant (planche I/4, fig. 2).
4. 4. Le détecteur de fuites d'eau salon la revendication I, oaractéria en ce que les feuilles métalliques (3) (planche I/4, fig. I) peuvent être perforées ou remplacées par un grillage (de préférence en aluminium) pour

   permettre une dissociation plus rapide de la substance (2).
5. 5. Le dispositif électrique selon la revendication 2, destiné pour prévenir et contrôler le débordement des bassins, caractérisé en ce qu'il

   comprend (planche 2/4, fig. 3) une éprouvette (I) de diamètre et de lon-

   gueur variables (verre ou plastique), munie de deux trous superposés: l'un

   pour la pénétration de l'eau (4), l'autre pour la prise d'air (5). L'éprou-

   vette est fermée à l'aide d'un bouchon spécialement conçu (8) traversé par deux lamettes métalliques (3) dont les parties inférieures restent dans le vide à l'intérieur de l'éprouvette (I), les parties supérieures restent à l'extérieur et servent pour le contact (6). Lee parties supérieures sont -6 -

   couvertes par un couvercle (9) isolant qui est traversé par lea conduc-

   teurs (7). Un support permet de maintenir l'éprouvette en place. la mise

   en marche du dispositif est déclanchée par la pénétration des eaux débor-

   dantes. L'éprouvette est chargée de substance hydrolisante (2) avant uti-

   lisation.
6. 6. Ie détecteur des fuites d'eau selon la revendication 2, destiné à la mise en marche de certains mécanismes annexes ainsi que pour prévenir du commencement d'une inondation ou m8me de la pluie (planche 4/4, fig. 7) caractérisé en ce qu'il comprend 2 un récipient rigide en plastique (I)

   IO son couvercle (4) perforé (5) pour la pénétration de l'eau et l'aération.

   Deux lamettea métalliques (3),un couvercle plastique rigide (9) inoorporé

   au dispositif renferme les bornes de contact (6) et le conducteur (7) soi-

   dé aux bornes (6). I1 peut également fonctionner sans couvercleo.
7. 7. Le détecteur de fuites d'eau selon la revendicatlon 6, destiné pour I5 tester par l'installateur certaines Installations réceement achevée. sans visibilité et d'accès difficile, caractérisé par l'addition d'un dispoaitif portatif (planche 3/4, fig. 5) pouvant le faire fonctionner inépendamment

   du réseau électrique à l'aide de piles électriques. I1 comprend: un bot-

   tier (9) muni de deux orifices métalliséa (6a) dans lesquels s'encastrent les bornes de contact (6). Les conducteurs (?) sont soudé3s à l'intérieur

   du bottier (9) sur chaque orifice (6a) et branohés sur une pile (a) élec-

   trique de 4,5 volts. Un bras (b) est incorporé sur le bottier (9) sae lona-

   gueur est de 50 cm environ, il est muni d'une lampe témoin en (c) de vol-

   tage égal k celui de la pile, et d'une poiganée (d). L'ensemble du disposi-

   tif fig. 5 s'adapte sur le détecteur fig. 6, de façon que le bottier (9)

   (couvercle) ferme hermétiquement les bornes (6).
8. 8. Le détecteur de faites d'eau selon les revendicationz 2 et 6, des-

   tiné pour prévenir et localiser l'endroit précis d'une fuite d'eau de mer

   dans les parties sèches d'un petit bateau, caractérisé en ce que la sube-

   tance hydrolisante (2) est remplacée par l'eau de mer aux propriétés éleo-

   trolytiques connues.